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Une mise en abîme sur laquelle nous devrions réfléchir!

Bonjour, J'explore sur le Net les réflexions existantes concernant notre MOOC collaboratif et tombe sur cet article. Confus et polémique, mais explorant des thèmes de réflexion qui ne sauraient nous laisser indifférent. C'est sur : http://www.01net.com/editorial/524165/philosophie-sur-arte-les-joueurs-ont-des-tetes-dabrutis/ Personnellement, je vais y réfléchir et vous soumets bientôt mes remarques.

Une mise en abîme sur laquelle nous devrions réfléchir!

Bonjour Domipec, Suis-je le seul qui voit du mépris et un sentiment de supériorité dans l'intervention de Colas Duflo ? Son doctorat doit nous faire croire qu'il ne dit pas de bêtises ? Pourtant on a droit à un tas de lieux communs sur les jeux vidéos... Et le plus ironique, c'est qu'on obtient quelque chose qui s'apparente à la querelle du [sexe des anges][1] : de la pure [masturbation intellectuelle][2] puisqu'il n'y a rien de constructif. La philosophie seule dans son coin, dit des choses pertinentes parfois, mais est aussi pleine de préjugés ou d'inepties. Bertrand Russell le disait très bien dans son livre [De la fumisterie intellectuelle][3], où il expliquait qu'Aristote (loué par les philosophes comme "parangon de sagesse") balançait tout un tas de fadaises (cf. p. 78 dudit livre pour des exemples). Et ceux qui n'allait pas le même sens que les grands philosophes étaient calomniés sous des prétextes fallacieux. Comme les sophistes (p. 109 de [L'histoire occidentale de la philosophie][4] pour des détails), les cyniques, les cyrénaïques, etc. Seule la philosophie **en interaction** avec les sciences me semble utile et productive, donc rassures-toi Domipec : ce n'est pas parce qu'il a Bac+8 qu'il vaut la peine d'être écouté. Il ne semble pas connaître le sujet des jeux vidéos, mais plutôt des jeux bien antérieurs. Pas étonnant que des philosophes plus ouverts se sentent isolés (ah tient l'isolement ne touche pas que les jeux vidéos) en France (cf. interview de Catherine Malabou dans la revue Philomag n°83 d'octobre 2014). C'est ignorer par exemple qu'en Corée du Sud, Starcraft est comme un sport national depuis plus de dix ans. Il réunit énormément de gens : c'est le *e-gaming*, qui en plus fédère beaucoup de gens sur Internet *dans le monde*. Un petit tour sur la chaîne de [Pomf et Thud][5] pour un exemple non coréen. Bref, je ne fais pas une défense totale des jeux vidéos (n'étant moi-même pas un grand joueur), mais je voulais soulever une injustice de Colas Duflo qui ne sait pas tout mais semble faire comme si. Cordialement, Jérémy. [1]: http://correcteurs.blog.lemonde.fr/2006/02/06/2006_02_byzantin/ [2]: https://fr.wiktionary.org/wiki/masturbation_intellectuelle [3]: http://www.decitre.fr/livres/de-la-fumisterie-intellectuelle-9782851972590.html [4]: http://www.lesbelleslettres.com/livre/?GCOI=22510100606890 [5]: https://www.youtube.com/user/PomfEtThud

Une mise en abîme sur laquelle nous devrions réfléchir!

Où se situe le problème là ? dans la communauté de joueurs qui ne fait que (trop ?) jouer ou dans la mise en lumière d'un comportement par un scientifique qui déclare ce comportement comme anormal. Je me rappelle des mêmes scientifiques attaquant les joueurs de jeu de rôle comme étant des satanistes avérés au journal de 20h. Le Coucou qui fait son nid dans celui des autres, c'est un comportement connu. Agresser une communauté organisée, pacifiste de préférence, c'est un bon moyen de se faire connaître. Colas Duflot a ensuite dit " Il y a à l’origine de tout cela une maladresse de ma part, mais aussi une mauvaise interprétation de mes propos" ( http://www.arte.tv/fr/jeu/2235124,CmC=3516262.html ) puis laissé croire que personne n'avait rien compris. Bel exemple de stratégie d'expert en manque de reconnaissance sociale, ça !

MOOC?

Bonjour, Que signifie MOOC? Merci d'avance de votre réponse. Kassel34

MOOC?

Bonjour, La définition se trouve dans le WIKI.

MOOC?

Bon une fois passé par le WIKI comme Jacaddict a dit, il faut savoir que ce MOOC ci est spécial: pas un cours traditionnel où des enseignants délivrent un savoir et vérifient à la fin l'acquisition des connaissances, mais plutôt une expérience collaborative où chacun est à la fois enseignant (de ses connaissances et usages du numérique) et enseigné (par les apports des autres). Les autres MOOCs sur France Université Numérique sont en général plus classiques sur la forme. ![][1] [1]: /media/14194204958252053.jpg

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

Bonjour,<br/> voici un inventaire de souvenirs qui me sont venus en parcourant vos présentations sur le forum. je me suis dit que chacun et chacune pourrait aussi ouvrir ses tiroirs à souvenirs .... Qu'en pensez-vous ? Une manie d'ateliers d'écriture sans nulle doute mais qui me rends curieuse de vos propres souvenirs ! Antoinette <br/> **Souvenirs à la charnière**<br/> Je me souviens de la carte de téléphone dans le portefeuille <br/> je me souviens des cabines téléphoniques de Belleville<br/> je me souviens que l'une d'elle servait de maison à une femme brune très en colère<br/> je me souviens de ma première machine à écrire puis de la machine à écrire électronique puis du Mac sur lequel j'ai saisi mon mémoire<br/> je me souviens de ce petit bloc compact où des lignes de codes vertes s'inscrivaitent sur fond noir<br/> je me souviens de la découverte de la notion de sauvegarde après avoir perdu une bonne partie du texte<br/> je me souviens mal du minitel<br/> je me souviens de windows 3.1<br/> je me souviens de quelques uns des carnets utilisés avant les "docs" et les "fichiers"<br/> je me souviens que ce qui les relient est sans doute, encore et toujours, la question du rangement, de l'ordre, du classement<br/> je me souviens de l'apprentissage difficile de l'ordinateur dans les services où je travaillais<br/> je me souviens des boîtes d'archives<br/> je me souviens des matins de réveil avec la radio et sans Facebook<br/> je me souviens de matin en musique<br/> je me souviens du poids des dictionnaires<br/> du poids du sac dit à main mais en vérité à livres<br/> du poids des piles de vinyles puis de CD puis de la légèreté de la petite boite noire et plate, disque dur externe qui les contient tous<br/> je me souviens du premier portable prêté par le boulot, de sa masse, du choc lorsqu'il a été volé à l'arrache,<br/> je me souviens de l'attente des lettres aimées, du coup de fil aimé, bloquée chez moi, vérifiant que l'écouteur était bien posé sur son socle,<br/> Je me souviens du temps, plus dense, plus long, plus compact même s'il fuyait aussi parfois à l'intérieur des livres à tomes multiples<br/> je me souviens de la montée en pression des mails et de l'instauration progressive de l'instantané immédiat<br/> je me souviens des premiers Skype, puis, plus tard, des premiers Hangout de la magie des premiers, du soulagement des seconds qui évitaient des heures de train pour une réunion,<br/> je me souviens du développement des ordinateurs portables et de leur présence dans le TGV de 8h09 du lundi matin pour Paris et de l'affairement de leur propriétaire en costume gris ou noir<br/> je me souviens de *Momo ou l'étrange histoire des voleurs de temps et de l'enfant qui rendit aux gens le temps qui leur avait été volé*<br/> je me souviens de l'envahissement progressif et tenace de l'espace public par l'espace privé de chacun comme si le fait de parler au téléphone dans la rue créait magiquement une bulle à part<br/> je me souviens avoir mis du temps à comprendre que celui ou celle qui parlait seul(e) dans la rue en gesticulant, s'exclamant, s'arrêtant parfois pour être plus véhément n'était pas fou mais relié à son téléphone par un écouteur bluetooth,<br/> je me souviens de la découverte des revues en lignes, de la manne des blogs d'auteur et d'artistes, du premier blog tenté, du plaisir de jouer à cet endroit là,<br/> je me souviens de Google drive et du plaisir de pouvoir travailler à plusieurs et à distance <br/> je me souviens de la prise de conscience des traces numériques, de la surveillance simultanée, du Big Brother multiforme et commercial, du [Capitalisme linguistique de F. Kaplan][1], de la notion de "révoltés de Panurge" pour souligner les pétitions indignées et incessantes que je signe bien pourtant encore<br/> je me souviens que je peux encore me souvenir de tout cela, faisant de moi et de bien d'autres des êtres à la charnière du passage numérique<br/> [1]: https://fkaplan.wordpress.com/2011/09/07/google-et-le-capitalisme-linguistique/

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

Bonjour, Je trouve que cet album photo est une très bonne idée. C'est comme si j'avais les images de tous ces moments et tous ces outils qui avaient défilé devant mes yeux. Merci à vous pour ce petit film. Guillaume

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

ah : )) merci ! <br/> et le vôtre de petit film ?<br/> Antoinette

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

Bonjour, C'est difficile de répondre à ce message bien complet :) Ce que ça m'évoque, en tout cas, c'est que cette charnière est très courte ! Je n'ai que (presque) 28 ans, j'ai découvert le numérique assez tôt mais j'ai tout de même le sentiment que ça à évolué à une vitesse folle et j'ai aussi des souvenirs (RIP aux disquettes et aux disques ZIP... et au modem qui coupait le téléphone :)). Bref, du coup est-ce que nos craintes face au numériques ne viennent pas du fait que c'est encore relativement nouveaux pour nous et qu'on ne sait pas vraiment comment faire face à son évolution rapide ? D'ailleurs je me demande si on va vers une phase de stabilisation (et sûrement de réglementation..) mais c'est une autre question.. Je ne sais pas si j'ai bien répondu au message mais c'est ce que ça m'évoque :) Bonne journée, Angéla

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

ah oui !!! les disquettes et le modem ! et la rapidité, oui, le numérique a introduit l'instantanéité voire le simultané d'où le vertige de vitesse. Mais on doit être capable non seulement de s'adapter - la preuve en est ce forum - mais de transformer aussi non ?<br/> Antoinette

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

Oui, je pense que le web va voir apparaître une nouvelle transformation où de nouvelles règles apparaitront (gestion de l'identité...etc). Mais ce que je voulais dire c'est: Est-ce qu'on n'a pas tendance à vite parler d'addiction au numérique parce qu'on n'a pas de recul pour gérer ces nouveaux comportements ? (bien sûr ce questionnement ne remet pas du tout en cause l'existence de vrais addictions au numérique...) bonne soirée, Angela

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

Oui, très bien vue cette remémoration à la manière de George Pérec. Je me souviens de Sami Frey à vélo... Merci Antoinette. Sinon je me souviens des premiers jeux de briques et des premiers Mario. Je me souviens des disquettes souples sur lesquelles j'ai tapé ma thèse; résultat: heureusement que j'ai gardé un exemplaire papier des fois que j'aurais envie de la relire! Je me souviens d'Adibou et de Lapin Malin qui étaient censés tout apprendre aux enfants; résultat: un fils très (trop?) passionné par le numérique, moins (assez?) par l'école. Je me souviens que mon père se souvenait de tous les numéros de téléphones de ses connaissances. Moi, j'ai la mémoire qui flanche, je ne me souviens plus très bien... Que d'enjeux autour de la mémoire avec le numérique! ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14197862657035439.gif

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

ah super ! oui, mémoire et numérique, souvenirs gardés ou souvenirs confiés à l'outil ... Sacrés enjeux ! Bonne fin d'année aussi !<br/> Antoinette

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

Oui ! Adibou j'y jouais :) c'était pas mal dans mes souvenirs.. Mais si on doit parler jeux, c'est le Prince of Persia sur PC sans sauvegarde qui m'a bien marquée... et la Game Gear, ma première console "portable" qui tenait genre 15 minutes avec 6 piles ! :) Bonnes fêtes Angéla

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

:)))

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

Bel exercice !

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

Je me souviens aussi des parties de Monopoly en famille autour de la table de la salle à manger. Je me souviens aussi de mon premier contrôle parental, le câble du MoDem rangé dans mon sac à main. Mais pas de nostalgie, c'est le temps qui passe et le meilleur reste à venir. Peut-être que mes 50 ans me font voir la vie en rose.

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

Merci pour ces souvenirs, l'image du jeu de Monopoly me donne l'image suivante : l'a-plat cartonné du plateau de jeu qui se transforme, à la verticale en écran. peut-on se réunir autour de cet écran là dans le même lieu et en famille ? Comment le numérique s'apprivoise-t-il ? ce qui me frappe en cette période de réunion de familial c'est de voir, par moment, 80 % des personnes présentes en connexion via son portable - chacun avec son outil, et plus rarement, ensemble à regarder une vidéo, un doc sur le même écran ... Mais qui de l'oeuf ou de la poule ..., le numérique s'inscrit dans une époque, un contexte, une société, la nôtre et on ne peut le dissocier ...Pas de nostalgie non plus plus un questionnement tenace ! belles fêtes !

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

Je me souviens du téléphone portable de ma mère qui ne fonctionnait qu'à proximité de certaines bornes/poteaux, un Ola sur forfait feu itineris (Orange), Je me souviens du tamagochi (ce jeux qui avait l'air de prendre beaucoup de temps), Je me souviens de la connexion internet 54k et 56k où tu attendais 20 minutes avant que ta page internet daigne charger, Je me souviens d'Age of Empire et de Rayman, Je me souviens de ma première gameboy, la grosse grise avec tetris, Je me souviens du jeux de tennis avec deux barres et une balle.

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

ah le tennis avec deux barres et une balle, oui, totalement : )) et le son, ce "bop" qui marquait le coup, et l'accélération progressive de la balle !<br/> Merci pour ce partage !!!

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

J'ai 23 ans, mais je me souviens d'Alerte rouge premier du nom, d'Age of Empire II, du bruit de la connexion d'un modem 56k, des gros téléphones portables. Bref, l'enfance :p A l'année prochaine! et bonne révolution nouvelle de la Terre ^^

Vous souvenez-vous de la charnière numérique ?

comme quoi, le numérique va assez vite pour laisser des traces sur différentes générations ! (j'ai ledouble en âge : )) bonne année !

L'infobésité ; le mal du siècle ?

Bonsoir à toutes et tous, Je vous souhaite paix et santé en ce début d'année. Voici un sujet qui mérite que l'on s'y intéresse de plus près, qu'en pensez-vous ? http://www.francetvinfo.fr/economie/entreprises/video-infobesite-le-mal-du-siecle_348052.html Cordialement Mathéa

L'infobésité ; le mal du siècle ?

Oui, bonjour Mathéa, c'est effectivement à mon avis une excellente introduction à un sujet qui disparaît trop souvent derrière l'inquiétude vis à vis des enfants face aux jeux et incitations de tous ordres. On est passé d'un temps où l'information était rare à la surinformation anarchique. La surinformation est une question essentielle et l'intervenante introduit très bien la question... A suivre! Cordialement, Bzzz.

L'infobésité ; le mal du siècle ?

Bonjour Mathéa, bonjour (re) Bzzz Je rebondis sur ce qui est dit à environ 2 minutes 30 secondes. L'intervenante, Caroline Sauvajol-Rialland, dit de qu'il faut faire la différence entre vie privée et vie professionnelle et que si dans le privé on fait le choix d'être connecté à tout c'est un choix, c'est une liberté donc pourquoi pas. (Je résume). Je pense qu'il y a là aussi à réfléchir et faire un lien entre ce qui est du domaine du subi (vie pro) du choisi (vie privé) et de l'addiction ou l'habitude qui peut en découler. En effet, nous faisons un choix, mais le choix est fait à un instant T. Avec le temps, on peut facilement se laisser déborder et entrer dans une spirale que nous ne maîtrisons plus. J'attends le début du MOOC pour avoir plus de notions sur ce qu'est une addiction et comment elle démarre mais je pense qu'il y a un "choix" qui est fait au départ. Evidemment je fais un gros raccourci sur ce qui a induit ce choix, (la notion de choix étant aussi à étudier), sur le parcours, les conditionnement externes et internes, le vécu etc. qui ont mené à faire ce choix mais à un moment, consciemment ou inconsciemment il y a bien un choix, délibéré ou non, qui nous fait mettre le doigt dans l'engrenage. Qu'en pensez vous?

L'infobésité ; le mal du siècle ?

Bonjour, Je suis d'accord que la surabondance concerne aussi la sphère privée et qu'elle n'est pas voulue, ni maitrisée. Par exemple Facebook où il serait intéressant d'analyser les pratiques de dépendance ou de mise à distance. Une question qui rejoint celle de l'infobésité des mails en entreprise (sujet développé par Caroline SR) est que le temps passé à lire les messages peut devenir exponentiel et bien sûr au détriment de temps passé à d'autres choses (ex : lire les journaux, des livres, discuter avec ses enfants, des amis, s'occuper de sa maison, de soi, ......). Serions nous 30 % moins productif ou 30 % plus dispersé à l'identique de la situation en entreprise ? C'est possible. En tout cas, dans la sphère privée nous ressentons l'effet du trop et il nous arrive tous de ne plus vouloir regarder ses mails, FB, ... Je pense que ce MOOC va apporter un questionnement et des réponses intéressantes. Je suis particulièrement intéressé par l'aspect collaboratif. Je ne sais pas si c'est ici que je dois me présenter mais je me lance ... Isabelle T, consultante dans une entreprise spécialisée dans la Gestion des documents, mère de 3 jeunes filles, je suis intéressée par l'éducation et la transmission et la place du numérique. Pour citer B. Stiegler, la présentation du numérique comme un pharmacon (remède et poisson) me semble pertinente. De plus c'est ma première participation à un MOOC et je suis intéressée par le dispositif de plus collaboratif. A très bientôt donc sur le forum et dans les interactions. Isabelle T

L'infobésité ; le mal du siècle ?

Bonsoir Qui d'autre que moi a le pouvoir d'ouvrir **et** de fermer internet ou tout autre outil,prendre sa voiture ou marcher à pied etc ....c'est une question de désir ,de volonté ,-en principe- plus facile dans la vie personnelle que professionnelle.A bientôt. jphed

petit point technique et pratique

Bonjour, un petit point technique qui pourrait peut être aider dans l'établissement de discussions plus approfondies autour de certains thèmes car là je trouve que chacun donne sa petite idée, c'est très bien mais échanger encore plus autour de noyaux de discussion serait mieux me semble-t-il. Alors le point technique: Quand vous consultez un message, il y a trois touches en haut sur la droite. Quand un sujet abordé vous intéresse, appuyer sur la touche étoile entraîne de "suivre ce message" il sera enregistrés dans "messages suivis". Plus tard, vous pourrez automatiquement voir s'il y a du nouveau sur le sujet en sélectionnant "messages suivis" dans "toutes les discussions" (tout en haut à gauche). Vous pouvez aussi voter positivement pour un sujet ou un avis exprimé en appuyant sur le bouton au dessus de l'étoile qui lui est une croix. Quand il y aura beaucoup d'avis positif, ce sera le signe que quelque chose d'intéressant pour un grand nombre se passe par là... Bon, pour certains c'était probablement évident, mais pas pour moi, alors je me dis que je n'étais sûrement pas le seul... (Merci à Guillaume qui l'avait déjà transmis, ce rappel m'a semblé utile après ce premier jour).

petit point technique et pratique

J'ai appuyé sur la touche "+" qui est désormais verte. je ne vois pas ce que ça produit... Merci pour ces renseignements précieux !

petit point technique et pratique

C'est un vote pour signaler l'intérêt d'un message. A priori les messages avec des votes positifs devraient être mis en évidence dans le forum. YP

petit point technique et pratique

mais effectivement on ne voit pas d'effet direct autre que le passage au vert après avoir appuyé...

petit point technique et pratique

Il y a ensuite un tri possible par "maximum de votes " ou "maximum d activité " en déroulant sous "par activité récente " (sous rechercher en haut à droite )

petit point technique et pratique

Merci Cardoso, je découvre une nouvelle fonctionnalité!

petit point technique et pratique

Merci beaucoup pour l'explication, j'ai appris des choses

Un peu d'humour...

En parlant d'addictions et de drogues, une courte vidéo pour ce qui ne l'ont pas vue... [sur la drogue en voiture...][1] [1]: https://www.google.fr/?gws_rd=ssl#q=10%20drogen%20die%20sie%20nicht%20nehmen%20sollten%20wenn%20sie%20autofahren

Addict ? c'est pour bientôt

Après ce premier contact, j'ai le sentiment que ce MOOC devrait plutôt s'appeler : "Comment devenir addict au WEB". C'est ainsi que, pour ma part : j'ai relancé mon compte Twitter / j'ai lancé une campagne de recrutement de nouveaux "amis" Facebook / je me suis créé un avatar, toujours sur Facebook, pour animer mon compte principal / j'ai souscrit à Skype (pour la participation au MOOC) / je viens de créer mon dashboard Netvibes ... j'attends de nouvelles suggestions. Signé Francis.

Addict ? c'est pour bientôt

Toi tu me fais rire. Je me suis posé la même question. Rien que lire les messages, ça prend des plombes .... J'ai même pas pu retrouver le texte de ma présentation Alors, repérer les dangers d'addiction, l'aspect préventif, de qui se moque-t_on , lol ? Moi je m'en fous, suis déjà à crous Bon Auvinet, tu as toute ma solidarité, mais je ne me créerai pas un compte facebook pour autant : ni compte surtout pas§ Ca leur ferait bien trop plaisir de me profiler à vie. Bonne Année à toi et à tous . Kondor

Les frontières de l'addiction

Bonsoir. Je m'appelle Anita C. Je viens de lire les messages de présentation des animateurs et les questions que pose Domipec me semblent fondamentales: parler d'addiction nous oblige à "établir des limites": suis-je un utilisateur du net "comme-il-faut"? Où tracer la ligne à partir de laquelle on peut parler d'addiction? Peut-on "abuser" d'internet comme on abuse de l'alcool ou la masturbation :)? Surtout sous l'empire grandissant du politiquement correct et l'autocensure qui gèrent presque toutes les pratiques occidentales. Pour ma part, j'avance timidement l'idée que tout pratique qui échappe au contrôle de notre volonté nous soumet en quelque sorte.

Les frontières de l'addiction

Ah oui, AnitaC je pense que c'est un bon départ ton hypothèse: "Toute pratique qui échappe au contrôle de notre volonté nous soumet en quelque sorte." En sachant que plein de choses échappent au contrôle de notre volonté et heureusement d'ailleurs que l'on ne contrôle pas tout! Nous sommes soumis à plein de choses, à commencer par notre mort à venir et c'est assez terrible... J'ajouterai donc peut-être, tout aussi timidement, que ce qui n'est vraiment pas souhaitable c'est que 1) quelque chose échappe à notre contrôle et 2) passe sous le contrôle d'autres que je n'ai pas choisis ou que nous n'avons pas choisis collectivement... Effectivement parler d'addiction nous oblige à établir des limites, encore faut-il que nous ayons la liberté de les choisir, condition nécessaire mais pas suffisante... Bon, je dis ça, c'est juste pour faire avancer le schmilblik. En matière de numérique, il me semble qu'il y a l'utilisateur que je suis et il y a l'utilisateur que l'on fait de moi.

est ce grave d'être addict ?

Bonjour à tous, Tout d'abord merci à ceux qui ont permis que ce mooc existe. C'est le quatrième que je suis depuis l'ouverture de FUN et je suis sûre qu'il sera aussi gratifiant que les autres. Née avec un stylo dans la main et pas avec une souris - 60 ans cette année- je suis pourtant "tombée" dans le numérique et ces outils au point d'être devenue administrateur réseau et responsable du système d'information de mon entreprise ; évolution qui s'est faite au gré de formations et de curiosités. Suis je devenue addict ? je me suis posée cette question le jour où après 5 heures de marche, arrivée sur un sommet des montagnes près desquelles je vis, je me suis rendu compte qu'avant même de profiter du paysage, j'ai vérifié si j'avais du réseau sur mon smartphone !! Quand je parle avec la nouvelle stagiaire du service RH ou la jeune remplaçante du service facturation et qu'elles me répondent tout en vérifiant leurs messages - voire en répondant- sur leur smarphone, je me demande aussi si c'est cela être addict. Est on addict parce que nous passons beaucoup et/ou trop de temps dans l'environnement numérique ou parce que nous ne pouvons plus vivre sans cet environnement ? J'espère qu'ensemble nous allons trouver des réponses et qui sait.... des traitements :) mais est ce nécessaire ? ne sommes nous pas la préfiguration des hommes de demain ??? Bon week end à tous.

est ce grave d'être addict ?

Je ne pense pas que vous soyez addict, vous êtes entrée dans une nouvelle civilisation. J'ai 67 ans et je ne peux plus vivre sans le numérique, l'ordinateur, le smartphone. Si mon ordinateur tombe en panne, j'en rachète un dans l'heure qui suit, s'il s'avère que la réparation n'est pas possible ou trop longue. J'ai des amis de mon âge qui n'ont pas pris ce train en marche. Ils me considèrent comme addict, et moi comme attardés dans le siècle. Je n'imagine plus vivre sans ces outils qui m'ont ouvert des possibilités inimaginables quelques décennies auparavant.

Droit de réponse - Article dans "20 minutes"

J'ai échangé hier avec une journaliste du magazine 20 minutes concernant l'addiction au numérique, pour un article crée le jour même ([voir ici][1]). Si je suis impressionné de la vitesse de rédaction, je voulais faire deux mises au point par rapport au contenu, notamment : 1. L'addiction au numérique n'est pas un "fléau", et ne concerne que de très rares personnes (1-2% prévalence à vie) 2. Peu de français font un usage excessif des nouvelles technologies. Passer 30h devant les écrans n'est pas un indicateur d'un problème. Ou alors de nombreux salariés (dont moi-même!) sont dans cette catégorie à cause de leurs emplois. Pour avoir des informations de qualité, voici une étude récente de l'OFDT ([voir ici][2]). C'est plus long à lire, mais nettement plus précis! Didier Acier [1]: http://www.20minutes.fr/societe/1505691-20141222-video-addiction-numerique-mesure-perte-liberte [2]: http://www.ofdt.fr/publications/collections/periodiques/lettre-tendances/ecrans-et-jeux-video-ladolescence-tendances-97-decembre-2014/

Droit de réponse - Article dans "20 minutes"

Merci pour ce partage d'info. En tant que professionnelle du conseil en entreprise et mère du ado de 13 ans, c'est avec enthousiasme que j'attends la semaine prochaine pour le démarrage du Mooc. Sophie Caufment

Droit de réponse - Article dans "20 minutes"

Si j'ai bien compris ce n'est pas parce qu'on passe plus de la moitié de la journée sur les écrans qu'on y ait addict ?

Droit de réponse - Article dans "20 minutes"

Bonjour Clément, C'est effectivement ce qui a été dit lors du webinaire par les intervenants. L'addiction à Internet n'est pas déterminée par le temps passé sur les écrans. C’est un facteur qui entre en ligne de compte, mais qui ne suffit pas à dire qu'il y a addiction. Guillaume

@ddict aux MOOCs ?

Bonjour tout le monde :) J'en suis à mon 13ème MOOC, est-ce grave docteur ? Y-a-t'il d'autres accros à ce nouvel outils de formation ? Pour vous, j'ai recensé plus de 200 MOOCs en français sur [**www.annuaire-mooc.fr**][1] Enjoy ! [1]: http://www.annuaire-mooc.fr/

@ddict aux MOOCs ?

Salut Lucas, Beau boulot! J'en profite pour te suggérer un MOOC intéressant à rajouter ;) : http://icap.univ-lyon1.fr/actualites/ideal-un-mooc-pour-apprendre-a-concevoir-des-robots-766768.kjsp (il est déjà terminé, mais pourrait être reconduit). Cordialement, Jérémy.

@ddict aux MOOCs ?

Bonjour et bravo Excellente initiative Betty

@ddict aux MOOCs ?

BOnjour, c'est mon premier Mooc, mais je me suis inscrite à 6 autres Mooc sur Fun. De nature curieuse, j'ai envie de découvrir ce que ces outils peuvent apporter (connaissances, savoirs, échanges, interactions..). en revanche j'ai déjà participer à des formations à distance en ligne (en 2001 et 2003). Je sais ce que ça implique comme investissement.

@ddict aux MOOCs ?

On se connaît déjà, je suis sans conteste addict aux MOOCS, plus d'une vingtaine déjà suivis.

@ddict aux MOOCs ?

Bonjour, merci beaucoup

Certificat

Bonjour! j'aimerai savoir si à l'issue de ce MOOC les participants auront droit à des certifications ou non? Merci.

Certificat

Bonjour, Ce MOOC étant un MOOC connectiviste, il ne soumet les participants à aucune évaluation et par conséquent n'offre aucune certification. Pour plus de renseignements, allez dans le contenu du cours, onglet Pré-MOOC et sujet "Un MOOC collaboratif" Guillaume

Certificat

Bonjour, Dommage :-( "L'attestation de suivi avec succès" peut être un bon moteur de suivi car au delà de l'aspect "évaluation" elle apporte une part de jeu. Je ne connaissais pas le mot connectivisme avant ce post, mais d'après ce que j'ai lu sur Wikipédia (http://fr.wikipedia.org/wiki/Connectivisme), je ne vois pas en quoi cela est incompatible avec le fait d'avoir des QCM formatifs ou évaluatifs ? Ceci dit, je respecte totalement votre approche pédagogique. Merci pour votre réponse. Bonne journée et bonne année 2015

Certificat

Le mooc connectiviste Itypa 2 a tenté d'utiliser des badges, de valider des blogs, etc., et apparemment l'idée n'a pas été retenue pour Itypa 3.

Famille et numérique

Bonjour, je trouves beaucoup de documentation sur l'addiction des adolescents, des adultes ect... Mais il est rarement fait cas des parents qui poussent, incitent l'addiction de leurs enfants en leurs créant des comptes Facebook, en leurs mettant la connexion, l'ordinateur, la tablette, le portable, la console jeu (voir 2 à 3 consoles) dans leur(s) chambre(s) etc... Qu'elle est le pourcentage d'addict du au comportement familiale? Cordialement Katia

Famille et numérique

Bonjour Katia J'entends plutôt l'inverse, et j'avais tendance à croire que les parents étaient réfractaires à un compte Facebook pour leur enfant. D'un autre coté, comme parent, je peux comprendre l'envie de mettre un enfant devant un écran et d'avoir la paix quelques heures pour pouvoir dormir. Je n'ai pas la réponse à votre question, mais j'ai une autre question: est-ce qu'une tablette est pire que la télévision? Cordialement Didier

Famille et numérique

Pour ma part (3 enfants de 13, 15 et 23 ans), j'ai toujours accompagné leurs usages du numérique. A l'époque des skyblogs que tout ado avait et qui affichait des pubs parfois très limite, ma fille avait son blog sur un hébergement personnel sans pub, ça m'a paru salutaire. Quand ils sont arrivés sur facebook, papa était un des premiers "amis". La console, je joue avec eux, ça permet d'arrêter. C'est illusoire de penser que l'on pousse : sans nous, ils y vont de toute façon. Même l'école pousse plus aujourd'hui. Je forme au numérique et parfois je m'amuse, parfois je m’inquiète des parents qui découvrent ce que leurs enfants racontent sur le net. Je crois que c'est un des devoirs de parent (pas le plus simple souvent) que d'accompagner vers de nouveaux territoires. En grandissant, ils trouvent leurs espaces de liberté mais avec de bonnes bases et surtout des alternatives et là, comme parent, on a encore plus à jouer : qu'est-ce qui peut faire lâcher une partie de Minecraft sachant que c'est infini ?

Famille et numérique

BJR,sur la dernière question: > Citation qu'est-ce qui peut faire lâcher une partie de Minecraft sachant que c'est infini ? pour moi (jphed)ce serait:Je décide d'arrêter car j'en ai le pouvoir ,la volonté,le désir ,comme j'avais en commençant un autre désir celui de jouer. A suivre jphed

Famille et numérique

BJR,sur la dernière question: Citation qu'est-ce qui peut faire lâcher une partie de Minecraft sachant que c'est infini ? pour moi ,ce serait:Je décide d'arrêter car j'en ai le pouvoir ,la volonté,le désir ,comme j'avais en commençant un autre désir celui de jouer. A suivre jphed Plus posté il y a environ 3 heures par jphed

Kondor : nouvelle présentation, motivations, remarques,réserves et tutti frutti

Re Bonjour à tous Des petites remarques toutes bêtes pour commencer: Y'a pas assez d'onglets dans ce FAC (je vous le disais bien, je suis faché avec les abréviations, n'insistez pas) , ou **alors je ne les ai pas trouvé** [en gras, souligné, hoops] Comment s'y retrouvé dans ce magma bouillonnant d'idées, sans un minimum declasssements et de repères (déja trouver où il faut cliquer pour écrire un message :-)) ? Je n'ai pas pu retrouver la présentation que j'avais faite : bpourtant j'ai relu tous les messages ! Personnelle (remarque) Une étude de la Faculté de Nantes, ça ne peurt pas être mauvais : et puis... Et puis : il lui faut bien des data pour faire progresser la science. Pourquoi natais, ça ne peut-être mauvais. Il suffit de suivre le championnat [de fotbal] : le FCNA (Football Club Nantes Atlantique, sauf erreur) et la ferveur inconditionnelle mais bon enfant de son public, le muguet du mois de mai , le vin blanc .... et le reste loin d'être laid, s'en ^parler du jeu à la nantaise, coco Suaudeau .... personnelle 2 : je suis complexé Tous ces gens à titres, à masters (avouez que c'est quand même plus chique que maîtrise, alors la licence : tiens, la Licence existe toujours, dieu soit loué), à spécialités informatiques , et même ceux à bonne conscience, ça m'impressionne, alors je me sens tout petit moi qui ne suis que le Directeur de la BNF (Bibliothèque Natinale de France)et de l'IMA (Institut du Monde Arabe) réunis RIDEAU ! ___________________________________ Bien, je me représente Petit (de taille), j'ai fait des études universitaires et eu mon bac (à lauréats) en 69 (je n'ai pas le sens de l'humour, vous savez : c'était le bac qui suivait le bac oral de 68 et il était loin d'être drôle). J'ai dû me mettre à l'informatique pour des raisons professionnelles, à mon corps défendant, hostile et réfractaire. C'est pourquoi, entre autres, je fais beaucoup de fautes de frappes avec mes (mon) doigt(s) gourd(s). Mais y'a pas que le travail dans la vie, y'a aussi le plaisir, diantre. Alors je me suis mis à étudier des langues, pour le plaisir. Je crois que j'aime finalement toutes les langues, même ma maternelle qu'est si compliquée (la langue de boeuf, j'ai toujours aimé, la question ne se pose même pas. Et puis voila, j'ai rencontrer Google sur ma route, comment l'éviter ? Et bien je me marre, avec Googletranslater : je lui tends des pièges, le pousse dans ses retranchements, le met dans les cordes, le pousse au tapis. Faites lui re traduire ce qu'il vient de proposer comme traduction, en sens inverse : ça ne manque pas de sel .. ! Bon mais jusque là , pas d'addiction que je sache Et puis il y a les addictions, les vrais, les inavouables, que par définition on avoue pas. Dois-je mettre en avant une caution, un prétexte scientifiques pour vous avouer que j'essais de me constituer un catalogue personnel des perversions sexuelles de ce bas monde : l'envie de ré-écrire les "Caractères" me démange, si vous saviez. Pourquoi se voiler la face : les réseaux sociaux, c'est partout éducatif Auprès de ses "amis" en tout genre, et de fac (université) las, je m'invente une méthode de langue personnalisée : finalement, c'est beau l'allemand, même si le chinois a ses attraits. Allez, Bonne année: 新年快了 Kondor

Kondor : nouvelle présentation, motivations, remarques,réserves et tutti frutti

Bonjour, Pour retrouver des messages précédents je vois au moins 2 façons de le faire : il est possible de **suivre** des messages en cliquant sur l'étoile en haut à droite. Pour les retrouver en passant la souris sur toutes les discussions dans le menu à gauche il suffit de cliquer sur messages suivis ;-) Sinon pour avoir accès à tous les messages d'un internaute il faut cliquer sur son pseudo (qui apparait bleu). Peut etre que cela va vous eclaircir ^^ Bonne St Sylvestre

Kondor : nouvelle présentation, motivations, remarques,réserves et tutti frutti

Merci Ostertam, ce sont effectivement les deux moyens les plus simples de retrouver les messages de quelqu'un. Guillaume

*Kondor: nouvelle présentation ... : ERRATA

Au moins trois fautes de syntaxe dans ma présentation précédente: un infinitif marqué d'un " é " A rebours, un participe orthographié "er" un verbe , "essayer",je crois, maltraité au présent : *j'essaye L'orthographe ne nécessitait sans doute pas cette mise au point, mais je le-la (?) considère comme une forme de covivialité. ah Pis, Nov year Kondor

*Kondor: nouvelle présentation ... : ERRATA

Vous pouvez éditer vos messages pour les corriger (cliquer sur les trois points sous l'étoile, puis éditer).

Pas de compte Fb ou Twitter

Bonjour, Je dispose d'un profil sur Linkedin - Mathéa COSTE MOURATILLE - ne souhaite pas multiplier les canaux et ne suis pas intéressée par Fb ou Twitter. Dans quelle mesure serait-il envisageable de créer un groupe Linkedin publique @addictMOOC ? Je demeure à votre écoute et vous remercie de votre attention. Bonnes fêtes de fin d'année. Mathéa COSTE-MOURATILLE

Pas de compte Fb ou Twitter

Bonjour, je pense que vous pouvez créer ce groupe (nous encourageons toutes les initiatives sur toutes les plateformes !), par contre nous ne pouvons garantir que nous pourrons suivre ce qu'il s'y passera (à moins qu'il y ait un flux RSS que nous pourrions agréger dans le netvibes du mooc ?). Y.P.

Pas de compte Fb ou Twitter

Pourquoi pas un groupe linkedin oui Ambre

Pas de compte Fb ou Twitter

Je n'utilise que Facebook.

Qu'est-ce que le numérique ? Quelle est sa place dans nos vies ? Quels sont mes propres usages du numérique ? L'addiction au numérique existe-t-elle ?

**1. Qu'est-ce que le numérique ? Quelle est sa place dans nos vies ?** D’abord, une première question : pourquoi « numérique » plutôt que « informatique » ? Qu’y va-t-il derrière ce glissement ? Informatique renvoie à la fusion des mots « information » + « automatique », proposée par Dreyfus et quelques autres dans les années 60. Information renvoie à data, donc aujourd’hui « big data ». Et automatique renvoie à la notion de contrôle [au sens anglo-saxon, c’est-à-dire, en français, régulation], avec une finalité, une qualité de service. Techniquement, c’est bien de cela dont il s’agit ; donc pourquoi changer ? Veut-on par-là signifier que l’usage peut complètement s’affranchir de la technique sous-jacente ? Numérique, pour M. Tout-Le-Monde, c’est le nombre [en anglais le digit, d’où digital], et comme on sous-entend toujours ordinateur, c’est un monde abstrait de 0 et de 1. Ce qui était intéressant comme concept [information, régulation, calcul] a totalement disparu. « numérique = capacité de traitement + capacité d’interactions », une excellente définition mais qui a l’inconvénient de faire du mot numérique un faux ami dont le sens est sans rapport avec le mot ! Numérique apparaît comme terriblement réducteur. Le projet agile Dans la vulgate du numérique, on parle presque immanquablement d’agilité, de projets agiles,… termes que l’on voit apparaître avant les années 2000, avant la déferlante numérique, sans d’ailleurs se poser la question du « Comment peut-on être agile ? ». En perdant du poids, bien sûr, mais alors de quel poids s’agit-il. Les auteurs du Manifeste Agile donnent la réponse : « En ne développant pas ce que les usagers n’utiliseront jamais », bien qu’ils le demandent, et parfois avec force. Ceci sous-entend un vaste nettoyage du patrimoine existant et une maîtrise complète de l’architecture de ce patrimoine ; mais de cela, personne ne parle. Comme c’est bizarre… aurait dit Louis Jouvet [dans Drôle de drame, dialogue de J.Prévert]. Derrière le terme « Agilité », sécurisant et consensuel en apparence, se cache donc une problématique ultra technique qui requiert une grande compétence et un solide savoir-faire d’architecte pour obtenir l’effet recherché. Le terme “Architecture centric” est utilisé aux Etats-Unis, pas chez nous.   Que dire des mots nouveaux du numérique ? Je passe sur la création de nouveaux mots, comme « accéluction », autoporteur comme on dit… chacun jugera. Mais à côté de l’avalanche que nous avait infligée Edgar Morin dans les quatre tomes de La Méthode, avec sa « découverte » de la complexité, il y a une marge de progrès. Quand on ne sait pas, on crée un nouveau terme, aux contours incertains, et le problème disparaît, puisqu’il a maintenant un nom, alors qu’il faudrait se taire [cf. Wittgenstein, dernière pensée du Tractacus] et surtout travailler, réfléchir. Quand tout le monde fabrique sa propre terminologie, on connaît d’avance le résultat : la Tour de Babel, et le désordre4. Juste l’inverse de ce qu’il faudrait faire pour interagir mieux et se synchroniser, ce qui suppose un langage partagé. Alors, que faire pour s’entendre sur les mots du numérique ? Pour être sûr qu’on est d’accord dans la durée, il faut commencer par être certain du sens de ce que l’on met dans le pot terminologique commun, en évitant les faux amis, les mauvaises traductions, la polysémie… et le reste viendra par surcroît, en restant constant et patient. **2. Quels sont mes propres usages du numérique ?** Mes usages du numériques On a coutume d'entendre dans de nombreuses présentations et échanges sur le numérique dans le monde scolaire des propos comme "ce n'est qu'un outil". On comprend qu'à la suite de cette affirmation se trouve l'idée que l'usager est maître l'outil, qu'il l'a "à sa main". A partir des travaux de Pierre Rabardel (Les hommes et les technologies. Approche cognitive des instruments contemporains, Armand Colin, 1995), en particulier, nous savons qu'un outil n'est pas qu'un outil, c'est d'abord un instrument. La différence ne saute pas aux yeux dans la vie courante et pourtant quand on y regarde de près, on peut comprendre l'importance d'un tel aphorisme. Or dans le cas du numérique on peut parfois parler d'artefact, d'instrument ou encore de dispositif. Cette question de termes n'est pas anodine, elle est même significative de notre relation au monde technique. L'affordance considérée en ergonomie comme "la capacité d'un objet ou d'une caractéristique à suggérer sa propre utilisation", doit être définie aussi par le fait que la conception d'un objet, en particulier dans le domaine des TIC, voit s'incorporer des intentions humaines sous forme d'algorithmes, d'interfaces, de câblages, etc. L'objet n'est donc pas un simple objet, mais c'est bien un instrument, dans la mesure où son utilisation est largement dirigée, imposée par sa forme, sa nature, son fonctionnement même. L'usage parfois décalé de certains instruments nous alerte sur ce point. On me l'impose, et j'essaie de l'utiliser. Mais les contraintes sont telles que je ne peux utiliser réellement ce pourquoi il m'est présenté. L'exemple des fonctionnalités non utilisés d'un traitement de texte ou d'un TBI illustre ce point. J'ai un instrument de travail qui peut faire beaucoup de choses, mais je n'en ai pas l'usage ou l'accès aux fonctions dont j'ai besoin se révèle trop difficile. **3. L'addiction au numérique existe-t-elle ?** Là encore se pose la question de ce qu'on met derrière le mot numérique, parle-on des usages, des outils, des manières d'aborder le vaste champ de l'internet ? Parle-t-on pas plutôt de la notion de littératie Définition : Connaissances fondamentales dans les domaines de la lecture et de l’écriture, permettant à une personne d’être fonctionnelle en société. Sommes-nous addicte quand on doit élaguer une infobésité informationnelle ? ou bien lorsqu'on se sert mal d'un outil numérique ? Est-ce que c'est le temps qui est le facteur communn de l'addiction ou l'usage inapproprié de l'outil ? j'ai créé un framapad pour les internautes : https://lite5.framapad.org/p/E4uz1OFXhL [ici][1] [1]: https://lite5.framapad.org/p/E4uz1OFXhL

Qu'est-ce que le numérique ? Quelle est sa place dans nos vies ? Quels sont mes propres usages du numérique ? L'addiction au numérique existe-t-elle ?

Bonjour. Une petite précision : la notion d'instrument chez Rabardel est la combinaison d'un outil-artefact, et de schèmes d'utilisation, de pratiques incorporées. Pour lui, l'instrument est un outil que l'on sait utiliser.

Modifier mes messages ?

Bonsoir, je ne sais pas modifier un de mes messages sur ce forum ou sur facebook ? Quelqu'un peut-il m'aider ?

Modifier mes messages ?

Bonjour, sur ce forum vous pouvez cliquer sur les trois points "..." en haut à côté du message, et sélectionner "Editer". Pour Facebook, je ne peux vous aider :-)

Les groupes de discussion

Bonjour, Vous avez pu recevoir un mail d'invitation à des groupes de discussion via Skype. Ils font partie d'une recherche à laquelle vous êtes tous invités mais qui est *facultative*. Elle s'insère dans le cadre de mon travail universitaire de Master 2 Recherche en Psychologie. Son déroulement est simple: des groupes de discussion seront organisés via Skype sur différents thèmes autour d'Internet et des risques d'addiction liés à son usage, tous les soirs du Vendredi 26 Décembre 2014 au Samedi 10 Janvier 2015. Les thématiques sont détaillées dans le mail reçu et vous pouvez vous inscrire sur le calendrier doodle à l'adresse suivante: http://doodle.com/timfiifv3n3hmuvx Si vous participez, il est fondamental que vous nous laissiez une adresse mail ou Skype en commentaire sur Doodle pour que nous puissions reprendre contact avec vous. Pour plus de précisions, vos questions sur ce forum sont les bienvenues. Cordialement, Guillaume

Les groupes de discussion

bonjour hum 20 mn de webinaire c'est trop long et difficile à charger car tout le monde n'a pas une bonne bande passante. merci :) bonne continuation

Les groupes de discussion

Bonjour. Les prochains webinaires feront 1h15. Normalement c'est le prestataire diffusion vidéo (Dailymotion) qui adapte le débit de diffusion à la bande passante disponible. Peut-être que c'est désactivé quand on passe par FUN ? Essayez peut-être directement depuis le compte Dailymotion du MOOC : http://www.dailymotion.com/mooc-addict

Les groupes de discussion

Ce format et mode d'accès peut effectivement être un souci. Pour faciliter les choses, j'ai mis en place un podcast de la version audio uniquement du webinaire: ça permet ainsi d'avoir des fichiers plus légers, et surtout de pouvoir emmener avec soi le podcast, pour l'écouter au choix. Pour accéder à ce podcast, il faut utiliser le lien http://comin-ocw.org/contents/numaddict/podcast/feed.xml avec votre lecteur de podcast favori.

Les groupes de discussion

En tout cas, bravo pour la possibilité de télécharger la vidéo. Pour retrouver des passages (en vitesse hyper accélérée c'est bien). Quelles règles sur l'utilisation d'extraits ?

Les groupes de discussion

Les vidéos sont normalement en CC-BY-NC.

Les groupes de discussion

Bonjour, Certains d'entre vous se sont bien inscrits mais n'ont pas laissé leur adresse mail ou leur identifiant Skype. Si vous lisez ce message et que vous êtes concernés, n'hésitez pas à retourner sur doodle (lien ci dessus) et le faire, sans quoi nous ne pourrons vous contacter. Ou bien ajouter nous sur Skype. Voici notre identifiant: animateur.addict Cordialement, Guillaume

Les groupes de discussion

Bonsoir, je me suis inscrit aux séances de discussion et je l'avoue j'ai oublié de mettre mes coordonnées en commentaire. Mais j'ai un petit problème, je ne me rappelle plus du tout des dates que j'ai sélectionné ... Est ce que je peux les sélectionner à nouveaux ? Cordialement Victor

Les groupes de discussion

Bonjour Victor, Vous êtes inscrit au groupe de demain 19h (normalement on vous a contacté par Skype), puis le samdei 3 à 18h, le dimanche 4 à 18h et mercredi 7 à 19h. Si vous souhaitez faire des modifications, contactez nous par mail: guillaume.mazet@etu.univ-nantes.fr Cordialement, Guillaume

Les groupes de discussion

Bonjour ! Pareil pour moi, je crois m'être inscrite mais je ne me souviens plus quand... Désolée entre les jours de fête et les voyages, je n'ai pas noté... Mon identifiant SKYPE : na.vi024 Meilleures salutations, Anna VICENTE vicente.rabat@gmail.com

Les groupes de discussion

Bonjour Anna, Vous êtes inscrite ce soir, mais c'est un peu tard, ainsi que jeudi, vendredi et samedi midi. Avec votre mail et votre Skype, nous vous recontacterons un jour avant chaque groupe de discussion. Si vous rencontre un empêchement, n'hésitez pas à nous le signaler. Bonne Année Guillaume

Les groupes de discussion

Merci pour la réponse ! Et Meilleurs voeux également. Je vais essayer de suivre les discussions de fin de semaine, Bien cordialement. Anna

Impatiente!

Ca donne envie! Je suis vraiment pressée de voir tout ça! Merci de mettre cela en place. Ambre Erbisti

Impatiente!

A2mbre Erbisti, ça fait joli De quelles addictions va-t_on parler finalement? quelle part d'autocensure possible?

Merci

Bonjour à toutes et tous, Merci pour votre vidéo éclairante et incitante. Une forme proposée qui correspond en tous points à ce que j'attends de cet outil. Bien à vous Mathéa COSTE MOURATILLE

je hais l'ignorance

Merci pour cette organisation. j 'ai soif de la connaissance . je crois que je me trouve au bon endroit pour m 'abreuver.

je hais l'ignorance

Bref mais efficace! Cela me fait penser à cette phrase relevée sur la façade d'une école par chez nous:"Vous trouvez que la culture coûte cher? Essayez l'ignorance!"

Où se trouve le bâtiment "chantiers navals"

Je ne sais pas si ça a été répondu ailleurs, je n'ai pas trouvé. Je n'arrive pas à localiser ce bâtiment "près des nefs". Pourriez-vous donner un plan d'accès? Je m'y prend un peu tard je sais bien, au pire si je n'ai pas l'info à temps, je le regarderai de chez moi :) Merci bien!

Où se trouve le bâtiment "chantiers navals"

Bonsoir, Il y a un plan dans la case webinaire sur la bande noire. Au pire vous tapez "les nefs nantes" sur google maps, et il vous indiquera où aller. Le bâtiment s'appelle "chantier naval". Bonne soirée

Où se trouve le bâtiment "chantiers navals"

C'est le batiment de la [Formation Continue de l'Université de Nantes:][1] 2 bis bd Léon Bureau Quartier Ile de Nantes 44000 Nantes Cedex [1]: https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/univnantes/31002/Trimestre_4_2014/fb9640efb99c42ec9e8f6096cd36315d/

Où se trouve le bâtiment "chantiers navals"

Merci bien

Avis à la population mooc @ddict? !

Nous proposons à ceux qui le peuvent, qui ont un peu de temps, et qui le veulent bien de construire des analyses plus globales de tous les (ou de certains) avis émis au fur et à mesure des échanges et d'organiser ces constructions sous forme de google doc, de cartes conceptuelles ou autres présentations. Cela peut se faire seul ou à plusieurs, par exemple en contactant des gens avec lesquels on a déjà eu quelques échanges ou par affinités d'intérêts. Ces analyses pourront bien sur circuler sur les forums et celles en circulation avant mardi prochain seront dans la mesure du possible largement prises en compte pour le bilan de la semaine. Merci d'avance! Philippe Decan Co-animateur de la semaine 1

Le point de vue d'un concepteur de jeu

J'arrive un peu tard et je ne sais pas vraiment quelle semaine correspondrait le mieux à mon propos. Je suis un jeune concepteur de jeux vidéo et je voudrais partager mon point de vue sur les addictions aux numériques en étant de l'autre côté du miroir en quelque sorte. Comme je l'ai dit dans un commentaire sur un autre sujet, les jeux vidéo ont des mécanismes de rétention, qui ont pour but de focaliser le joueur sur le jeu, de le fidéliser, de l'habituer à la pratique de lancer son jeu pendant son temps de libre ou de lui faire ponctuellement mais régulièrement payer de petites sommes d'argent réel. Ces mécanismes sont pour moi essentiels, puisqu'ils sont générateurs de revenus pour nous autres concepteurs de jeux, mais je trouve aussi que nous avons le devoir de faire notre possible pour éviter que ces mécanismes ne facilitent pas des conduites à risques et ne génèrent pas d'addiction. J'aimerais avoir vos avis sur mon point de vue, éventuellement des conseils sur comment ils nous seraient possible d'éviter d'utiliser ces mécanismes ou des les rendre bénins pour les joueurs. Si besoin, je pourrais développer quelques uns des mécanismes utilisés.

Le point de vue d'un concepteur de jeu

Très bien. Par contre je suis en train de me rendre compte que je me suis trompé dans mon autre message (corrigé depuis) : les mécanismes on en parlera la semaine prochaine (semaine 4) et pas cette semaine. Les invités seront Erik Geslin et Samuel Coavoux.

Présentation des animateurs

Bonjour et bienvenue à toutes et à tous, Nous sommes Marine, Guillaume et Stéphanie, étudiants en Psychologie à l'Université de Nantes, respectivement en Doctorat, Master II et Master I. Nous sommes présents sur le Forum et les réseaux sociaux en tant qu'Animateurs de Communauté, et nous occuperons aussi le rôle de modérateurs des discussions ouvertes sur ce Forum. Nous interviendront en soutien de l’équipe pédagogique et technique qui sera naturellement sur les forums, comme tous les participants du MOOC. Nous suivrons ainsi les échanges afin d'identifier les questions importantes auxquelles nous répondrons dans la mesure de nos capacités. Ce Forum est à vous. N'ayez donc aucune hésitation à poster vos questions, à répondre à celles des autres, et à voter pour les questions qui, selon vous, demandent le plus une réponse. La participation à ce forum est soumise à une charte d'utilisation (disponible dans la partie **Outils disponibles sur cette plate-forme/Forums**), merci de la respecter. Nous ferons tout notre possible pour ne laisser aucune question sans réponse, nous vous demandons néanmoins une certaine indulgence si nous ne parvenons pas à vous répondre immédiatement. Dans l’espoir de vous voir nombreux et dynamiques sur ce forum, ainsi que sur vos réseaux sociaux favoris, Bon MOOC à tous et à très bientôt. Stéphanie, Marine, Guillaume

Présentation des animateurs

Bonjour, C'est l'hiver et il fait froid ce matin, le temps idéal pour un café devant l'ordi ... ma présentation : Jean-Noël, Formateur pour Adultes, de plus en plus addict aux MOOCs. J'ai démarré mon histoire Internet en 1997 avec un site créé sur Mygale.org et je la continue entre autres via un e-portfolio récent à lire ici pour mieux me connaître : http://www.saintrapt.com Le net, c'est un élément important de ma vie professionnelle (je forme au numérique), associative (micro-éditeur de BD en souscription et vente via Net) et, avec 3 enfants, de ma vie personnelle. Souvent je me pose la question de l'usage pertinent contre l'addiction. Où s'arrête l'un, où commence l'autre ? Voila de quoi bien démarrer un Mooc sensible à ces questions ...

Présentation des animateurs

Bonjour, Je m'appelle Domipec, philosophe et sociologue, et suis l'un des membres de l'équipe pédagogique. Prêt à participer aussi à ce Mooc en tant qu'inscrit "de base", une des postures indispensables à la construction collective de connaissances. La preuve? Je remercie Jean-Noël, car il me semble pas que l'équipe ait pensé un moment avoir affaire à un "addict des MOOCs". Encore faudrait-il se mettre d'accord sur une définition commune de l'addiction (au numérique)? Une des parties du cours porte sur cette interrogation, mais rien ne nous empêche de commencer à y réfléchir spontanément. Pour ma part, j'ai envie de voir dans l'usage du mot "addiction" se généralisant à toute activité humaine, le symptôme de la poussée hygiéniste qui accompagne désormais les pratiques de consommation. User sans mesure d'une pratique renverrait-il toujours à quelque chose d'anormal? Y a-t-il des pratiques qui échappent à ce jugement, des pratiques plus "nobles" que d'autres. Pour ma part, j'ai quelques idées sur la question, mais nous aurons sûrement l'occasion d'en reparler. A bientôt à tous.

Présentation des animateurs

"User sans mesure d'une pratique renverrait-il toujours à quelque chose d'anormal?" J'espère que non ;-) mais, avant qu'être Geek soit à la mode, nous, usager du net, avons été longtemps hors norme et mis en lumière via quelques médias qui ne montraient que le côté sombre des choses. il a fallu du temps pour valoriser tout ça et certains usages pourtant courants restent encore limites pour la société. De plus, l'addiction au numérique revêt tellement de formes qu'elle ne peut être que difficilement vue dans une globalité...

Présentation des animateurs

Tout à fait d'accord avec ce commentaire de saintrapt. Pour ma part, je vois dans la réflexion sur l'addiction, la possibilité d'articuler normes, habitudes, sujet, assujettissement, réification... Je m'explique. Il existe, par exemple des "addictions" au travail qui peuvent être considérées comme pathologiques par les uns (par exemple les médecins du travail), et souhaitées par les autres (par exemple, le DRH). Les normes, c'est ce qui paraît "normal" pour un grand nombre. Plus les pratiques sont marginales, plus elles sont stigmatisées, et, plus elles se généralisent, plus elles apparaissent normales aux yeux du plus grand nombre! L'assujettissement peut être le résultat de la domination des habitudes sur la réflexion sur soi-même. L'hypothèse d'un quant-à-soi à la remorque de pratiques numériques est à creuser. En même temps, je fais cette réflexion par le medium de mon micro-ordinateur. Oh, là, là...

Présentation des animateurs

Bonjour à tous, je suis Yannick Prié, enseignant-chercheur à l’Université de Nantes et un des membres de l’équipe pédagogique. Je suis tombé dans le numérique au cours de mes années collège, à l’époque des Oric et autres ZX spectrum, et depuis je n’ai jamais vraiment lâché. Ingénieur et docteur en informatique, mon intérêt principal porte en fait sur l’interface de celle-ci avec les humains, et je fais donc en sorte que chacun de mes projets me permettre d’échanger avec des collègues d’autres disciplines, particulièrement en sciences humaines et sociales et en sciences cognitives. Présentées de la façon la plus large, mes recherche portent sur le couplage et le co-développement entre humains et systèmes numériques, vu sous l’angle de l’interaction homme-machine, de l’analyse de l’activité, de l’ingénierie des connaissances. Je ne suis pas loin d’être tout le temps connecté, et n’ai pas (encore) d’opinion sur l’addiction au numérique. J’espère que nous pourrons tous tirer connaissances et humanité de cette aventure collective.

Présentation des animateurs

Bravo pour l'humanité. l'humanité, c'est ce qui nous rend humain. Je n'ai pas trouvé de définition plus simple. et l'humain, pour moi, c'est ce que proposait Nietzsche : l'état génial de l'homme qui peut faire une chose et en rire en même temps.

Présentation des animateurs

J'aimerais bien avoir la référence si vous vous en souvenez de ce passage de Nietzsche. L'humain alors, c'est un peu le rire de Démocrite tout en réfléchissant sur le système du monde alors ^^ J'aime ça!

Présentation des animateurs

Bonsoir, On trouve beaucoup de références de ce thème dans Nietzsche. Je vous en propose deux assez caractéristiques de ce thème. "jouer librement de soi et rire de soi" (Fragment 7 (12) Ecce Homo, 1880); "(...) tout artiste ne parvient au dernier sommet de sa grandeur que lorsqu'il sait regarder d'en haut son art et sa propre personne - lorsqu'il sait rire de lui-même." (Généalogie de la morale, III §3).

Présentation des animateurs

Bonjour Je suis Olivier Aubert, ingénieur de recherche en informatique. En tant qu'utilisateur d'outils informatiques, mais aussi de développeur d'outils et d'observateur des usages, depuis de nombreuses années, je me pose bien évidemment aussi des questions sur la place grandissante que ces technologies prennent dans notre société. Elles en prennent en termes de temporalité, par l'immersion qui nous fait parfois oublier notre horloge murale, mais également en termes d'importance prise par la variété des informations qu'elles mettent à disposition et de tâches qu'elles permettent d'effectuer. Un adage dit "With great power comes great responsibility", et il peut s'appliquer dans le domaine du numérique autant aux utilisateurs qu'aux fournisseurs de services et outils. Comment trouver justement cette utilisation responsable des formidables moyens à notre disposition ? Le partage d'expériences et d'informations sur ce sujet sera sans aucun doute très fertile.

Présentation des animateurs

Bonjour tout le monde. Je m'appelle Damien Aubert, je suis ingénieur en technologie de la formation à l'Université de Nantes et je fais partie de l'équipe technique de ce MOOC. Technophile depuis le début des années 2000, je suis particulièrement touché par l'hyper-connectivité affectant la société. J'ai pris l'habitude depuis quelques années de tracker mes randonnées et courses à pied, mes recettes de cuisine me suivent au supermarché dans leur carnet de note in the cloud et il n'y pas une journée où je ne consulte 15 fois par jour l'actualité du monde. Il me devient même parfois difficile de ne pas aller sur internet pendant ma journée de travail pour aller glaner quelques informations nouvelles. Et pourtant, je n'ai pas le sentiment d'être addict. Quelques séjours dans l'arrière pays ariégeois en guise de sevrage forcé ne m'ont jamais fait ressentir le moindre symptôme de manque. Il n'empêche que mon usage et celui de mes contemporains m'interrogent. J'espère donc trouver sur ce MOOC des éléments de réponse à mes questions, qu'on y abordera par exemple le rapport qu'entretient le marketing avec les usages excessifs, où qu'on discutera du paradoxe qui réside au cœur même de ce MOOC, à savoir user du numérique pour traiter de ses usages excessifs. Je vous souhaite à tous des échanges féconds, que ce MOOC vous apporte joie et bonheur dans votre vie :-) et qu'il soit source de bonnes résolutions pour l'année à venir. A bientôt.

Présentation des animateurs

Hello Je suis professeur en psychologie clinique au Laboratoire de psychologie des Pays de la Loire et l'un des animateurs du MOOC. J'ai commencé à m'intéresser au numérique par les jeux vidéo, dans les années 1999-2000 avec Everquest et ma stupeur de voir un couple d'amis qui ne pouvaient pas se décoller de leur jeu alors que j'étais dans la même pièce qu'eux. Et l'expérience de passer une soirée à regarder par dessus les épaules et à ne rien comprendre... Par la suite, j'ai continué à m'y intéresser, professionnellement, en ouvrant une des premiers sites de consultation en ligne en 2001. Site que j'ai fermé rapidement car cela ne correspondait pas vraiment à une pratique de psychologue. Même si je pense qu'il peut s'agir d'un bon moyen pour créer un premier contact. Actuellement je fais partie de ceux qui pensent que l'addiction à certaines applications existe, bien qu'elle soit très rare. Au plaisir d'échanger, Didier Acier

Présentation des animateurs

Hello, Comme je crains de ne pas mémoriser vos noms, je trouve que les échanges futurs seraient plus clairs si les animateurs étaient identifiés avec un bandeau bleu "Animateur" de la même façon que les membres du staff sont identifiés par "Equipe pédagogique".

Présentation des animateurs

Bonjour. Pour l'instant le choix est que nous apparaissions comme des intervenants comme les autres, sans mise en valeur spécifique. C'est aussi un paramètre de la plateforme, certains ont au niveau de EdX un rôle d'enseignant (= équipe pédagogique), d'autres d'animateur (= les trois animateurs de communauté), et c'est soit l'un soit l'autre. Les animateurs peuvent épingler les posts qu'ils souhaitent mettre en valeur, c'est le cas pour celui de Didier Acier (droit de réponse article dans "20 minutes"). Nous pourrions modifier le fonctionnement, mais qu'en pensent les autres ?

Présentation des animateurs

Bonjour à tous ; je suis jean luc venisse ,enseignant de psychiatrie à la fac de médecine de Nantes et soignant en addictologie au CHU;je m'intéresse au processus addictif dans ses aspects les plus tranversaux ,avec ou sans consommations de "drogues" ,avec la conviction que la vulnérabilité addictive fait partie intégrante de notre dimension humaine; nous sommes tous concernés par la question de l'addiction me semble t il et c'est ce que reflètent ces premiers échanges sur le forum; ma relation à l'outil numérique reste fragile et j'ai surtout jusqu'à présent eu un usage de ma messagerie ainsi que des moteurs de recherche, avec des réticences pour aller voir plus loin;à ce titre ce MOOC est une double expérience pour moi ; j'attends beaucoup de cette confrontation de points de vue et d'expériences multiples ; à suivre donc...

Présentation des animateurs

Je trouve que la position d animateur sans mettre en relief le nom est pertinent dans la démarche participative. En tout cas, c est ainsi que je pratique dans ma vue pro d animatrice.

Présentation des animateurs

Bonsoir. Tout à fait d'accord avec cette remarque de Cardoso. En tant qu'animateur, mon premier message est signé Dompec (je crois que cela ne trompera personne!). C'est le début de mon vrai prénom et de mon vrai nom! A la réflexion, pourquoi avoir fait cela? en conclusion: 1°) Je suis contre le fait d'être repéré comme animateur par un bandeau spécifique. 2°) Mais, avancer avec un pseudonyme est bien aussi une manière d'être repéré. 3°) Derrière tout cela, existe le rêve (ou le phantasme) de l'avatar, cette manière d'exister à distance ou différemment, tout en préservant son identité, mais aussi de s'impliquer sans réelle contrepartie sociale . Une dimension de l'usage du numérique? A suivre sur le thème de la "présentation de soi" que permet des applications de cette technologie (jeux, anonymat, mise en abîme...). Bonne année à tous.

Présentation des animateurs

Bonjour, Je suis Philippe Decan, (entre autres) psychologue au service d'addictologie du CHU de Nantes. J'ai fait une grande partie de mon parcours professionnel en institution auprès de personnes dépendantes de drogues, légales ou non, et en souffrance à cause de cela. L'apparition puis la multiplication des applications numériques m'ont à la fois beaucoup intéressé et inspiré une certaine méfiance. Personnellement, j'ai régulièrement pesté contre l'inadéquation des outils proposés, les virus, les publicités envahissantes, les pertes non sauvegardées, les accords à donner après trois kilomètres de contrat illisibles, etc. Mais d'un autre côté, merci couper/copier/coller! Quel plaisir aussi de pouvoir organiser ses documents à volonté, de communiquer de visu avec quelqu'un à l'autre bout de la planète, de trouver des tas de documentations difficilement accessibles auparavant, etc. A la maison, j'avais évacué la télé (si souvent débilitante) par la porte et l'ordinateur est rentré par la fenêtre! C'est moins passif mais cela peut-être envahissant... Addictogène? La participation à un diplôme universitaire sur les adolescents en difficulté puis une série de conférences pluridisciplinaires passionnantes sur le numérique m'ont amené à prendre conscience de la rapidité impressionnante, de l'ampleur et de la complexité de l'irruption du numérique et à souhaiter relever le défi d'y voir sufisamment clair, spécialement dans les interactions avec mon domaine professionnel: la psychologie humaine. Et j'ai trouvé cela assez passionnant pour m'engager dans la co-construction d'@ddict?...

Et si on tissait des liens?

Bonjour à tous et bienvenue, Je crée ce post pour donner un endroit où tout le monde, participants comme membres de l'équipe pédagogique, pourra déposer des liens vers des articles ou des vidéos jugés intéressants et susceptibles d'alimenter et d'enrichir le débat. Je commence par relayer un lien déjà présent sur notre page Facebook, si vous avez le temps de lire l'article, entre deux chocolats, n'hésitez pas: http://www.ofdt.fr/publications/collections/periodiques/lettre-tendances/ecrans-et-jeux-video-ladolescence-tendances-97-decembre-2014/ Bonnes fêtes Guillaume

Et si on tissait des liens?

10 tendances pédagogiques pour 2015 : [http://www.infobourg.com/2014/12/08/10-tendances-pedagogiques-a-surveiller-en-2015/][1] [1]: http://www.infobourg.com/2014/12/08/10-tendances-pedagogiques-a-surveiller-en-2015/

Et si on tissait des liens?

Merci pour cette source digne du plus grand intérêt. Cordialement Mathéa CM

Et si on tissait des liens?

merci!

Et si on tissait des liens?

Proposé par [@YohannGilles][1] sur twitter : "[Avoidance][2]" de Erica Rotberg. *A short animation film about People's emotional detachment from reality, and how easy it, especially today, to escape to more comfortable, flat and fake alternate realities*. Peut-être qu'utiliser le wiki pour collecter les liens serait plus pratique. [1]: https://twitter.com/YohannGilles [2]: http://vimeo.com/99992788

Et si on tissait des liens?

sur France Inter - La tête au carré (26 décembre) Céline Bonnaire, psychologue clinicienne, spécialiste des **addictions comportementales** Elle est co-auteur de l'enquête Pelleas sur la pratique des écrans et jeux vidéo à l’adolescence. lire l'étude : http://www.ofdt.fr/BDD/publications/docs/eftxiouc.pdf

Et si on tissait des liens?

et http://www.franceinter.fr/emission-grand-angle-les-tablettes-ne-sont-pas-nocives-pour-la-sante-cerebrale-des-enfants qui peut être intéréssant aussi. Je met ici car même radio.

Et si on tissait des liens?

Je suggère l'article dans Slate, sur l'usage *retravaillé* de Twitter pour la com politique : http://www.slate.fr/story/95687/com-politique

Et si on tissait des liens?

![Le MOOC @ddict?][1] [1]: http://vidberg.blog.lemonde.fr/files/2014/12/news460.gif Lu sur l'actu en patate :)

Et si on tissait des liens?

ha, y'a pas de j'aime !!!! (je suis addict)

Et si on tissait des liens?

Bonjour à toutes et tous, Voici quelques liens: - un site informant sur le lien entre les violences subies dans un passé proche ou lointain et les addictions de toutes sortes. Site très riche avec de nombreuses références, des vidéos, émissions, textes, articles, brochures. http://memoiretraumatique.org - une émission de Rfi: "Jeune, sexe, et vidéo" concernant l'impact sur la santé et les risques d'addiction pour les jeunes et aussi les enfants http://rfi.my/1zGxbaH

Et si on tissait des liens?

Un bilan critique (mais favorable) sur ce qu'est devenu Internet par rapport aux attentes initiales. http://rue89.nouvelobs.com/2015/01/03/antonio-casilli-peut-encore-aimer-internet-256885

Et si on tissait des liens?

Un commentaire sur la récente enquête PELLEAS, on aura sans doute l'occasion d'y revenir ! http://www.psyetgeek.com/lenquete-pelleas-sur-laddiction-aux-jeux-video-pose-11-problemes-de-trop

Et si on tissait des liens?

Un dossier de 7 pages paru dans le courrier international de la semaine dernière (n°1261 du 1er au 7 janvier 2015) : "En 2015 Débranchez !" Extrait : http://www.courrierinternational.com/article/2015/01/07/en-inde-le-boom-des-cyberaddictions

Et si on tissait des liens?

Un dossier qui colle à notre réflexion, et qui tombe à point nommé. C'est intéressant de voir comment il a vu grandir les possibilités du Net, avec l'arrivée des blogs et des réseaux sociaux. Personnellement de par ma profession, professeur documentaliste, je risque chaque jour de tomber dans l'addiction aux outils 2.0 de création, de veille, de travail collaboratif. Et d'y faire tomber mes élèves aussi ! Car ce sont des outils qui font le contenu de la plupart de mes cours : des outils design, du vrai "prêt à porter technologique", grpace à eux, tu cliques, c'est beau, c'est prêt ! quelle magie, comment s'en passer ensuite ! Fred Lamy

Et si on tissait des liens?

Captation d’un colloque sur l’enfant et les écrans (avril 2014 Paris) sur les répercussions négatives de l'augmentation du temps passé devant les écrans. Avec Sabine Duflo, Sophie Jehel... [http://carrefour-education.qc.ca/nouvelles/les_nouvelles_technologies_de_communication_nont_pas_que_des_effets_positifs][1] bonus : Compléments et pistes d'actions pour réduire le temps d'exposition aux écrans et mieux l'accompagner [http://jacbro13.com/colloques/paris/c2-expe.php][2] [1]: http://carrefour-education.qc.ca/nouvelles/les_nouvelles_technologies_de_communication_nont_pas_que_des_effets_positifs [2]: http://jacbro13.com/colloques/paris/c2-expe.php

Et si on tissait des liens?

[Drogue, tabac, alcool, jeux vidéo: une campagne contre l'addiction des jeunes][1] [Les spots][2] [1]: http://www.francesoir.fr/societe-sante/drogue-tabac-alcool-jeux-video-une-campagne-contre-laddiction-des-jeunes-video [2]: https://www.youtube.com/watch?v=3Q1-PImXGEc

Et si on tissait des liens?

"Le syndicat du jeu vidéo est monté au créneau lundi, après le lancement d'une campagne des autorités de santé visant à alerter les jeunes sur les risques de conduites addictives" [(article site figaro)][1]. [1]: http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/01/14/23259-fabricants-jeux-video-colere-contre-campagne-prevention

Et si on tissait des liens?

Addiction = endomorphines http://www.theguardian.com/science/2015/jan/18/modern-world-bad-for-brain-daniel-j-levitin-organized-mind-information-overload

Et si on tissait des liens?

Une vidéo qui illustre avec humour le concept d'économie de l'attention présenté par Alain Giffard lors du 3e webinaire : **Si c'est gratuit vous êtes le produit !** https://www.youtube.com/watch?v=8vLSf1i4E7A J'aime la présenter à mes étudiants juste après les avoir "menacé" de sortir la boîte à doudous "numériques" s'ils ne rangent pas leur smartphone en cours ;)

Et si on tissait des liens?

Article de sciences et avenir santé du 28/01/15 Connaissez-vous l'angoisse de séparation de... l'iPhone ? Une nouvelle étude met en évidence une baisse des performances cognitives lors de la séparation avec l'iPhone. La conséquence d'une réelle addiction ? http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20150128.OBS1010/connaissez-vous-l-angoisse-de-separation-de-l-iphone.html?cm_mmc=EMV-_-SEA-_-20150128_NLSEAACTU-_-connaissez-vous-l-angoisse-de-separation-de-l-iphone#xtor=EPR-6-%5BActuSciences17h%5D-20150128

des ressources à partager sur Diigo

bonjour j'ai créé un groupe spécifique "Mooc addict" dans Diigo https://groups.diigo.com/group/mooc-addict pour permettre de partager des ressources vous pouvez l'utiliser à votre tour. Il suffit de vous inscrire gratuitement sur Diigoo (https://www.diigo.com/index) et de l'installer la barre d'outils. Grâce à un classement par étiquettes (les «tags») et à des outils de gestion et de recherche faciles d’accès, les signets sont retrouvés très rapidement. De multiples autres fonctionnalités sont également proposées : l’ajout de commentaires, de notes, d’images, de surlignage, etc. Diigo est un outil social, il permet notamment : -le partage des signets, -la publication sur les réseaux sociaux ou sur un blog, -la constitution de groupes d’échanges, -la possibilité de suivre une personne, un groupe, une étiquette précise ou une liste directement via le site ou par le fil RSS proposé, - ou encore la curation via les abonnements à d’autres utilisateurs. La possibilité d’intervention directe sur les pages sauvegardées (annotation, surlignage, etc.) est également offerte aux utilisateurs. lien vers un tutoriel assez complet : http://www.cndp.fr/crdp-besancon/fileadmin/CR/Fichiers_CR/ress_pedagogiques/Usage_des_TICE/Tutoriels-diigo/19-Diigo-tutoriels-complet.pdf

des ressources à partager sur Diigo

Je pense que c'est une excellente idée, mais qu'il conviendrait de rendre le groupe accessible à tous sans inscription, afin de faciliter la consultation.

Général / Recherche-Action

mais ou on discute?

Je dois vraiment pas être doué.....ou on se retrouve pour discuter? Sur facebook c'est mort. J'avais pas twitter ça y est inscrite mais ça bouge pas plus et la rubrique discusion c'est pas top ...alors y'a un autre endroit ou vous êtes caché?

mais ou on discute?

C'est vrai que les forums de FUN ne sont pas des plus pratiques... Je pense qu'il faut essayer de se tenir dans une discussion, avec un titre suffisamment évocateur, qui sera épinglé par les animateurs de communauté. Peut-être aussi encourager les gens à ne pas démarrer une discussion à chaque fois, mais à répondre à leur tour au sein d'une discussion, peut-être lancée par les animateurs. Ça donnera de la consistance aux discussions.

mais ou on discute?

Bon donc personne n'est caché? ça me rassure...j'arrive pas a voir le webinaire, juste le bonus, et lire tous les messages pour se faire un avis sur ces premières question...quel boulot!!!

mais ou on discute?

On essaye d'améliorer les choses. A suivre.

mais ou on discute?

Bonjour, Les impressions portant sur la difficulté de discuter ne sont pas à prendre à la légère dans un MOOC qui se veut "collaboratif". Plusieurs explications peuvent être avancées. Pour ma part, j'en retiendrai au moins deux. La première a trait aux media utilisés. Twitter et Facebook ne sont pas fait pour discuter mais pour échanger des informations nécessairement brèves, et la discussion ne se nourri que d'échanges élaborés où chacun prend d'une part, le temps et l'espace d'élaborer sa propre réflexion, et, d'autre part, de s'approprier celle des autres. La seconde porte sur le mouvement de la discussion. Pas de discussion sans dialectique. A la lecture des échanges, on s'aperçoit qu'ils ne "prennent" pas, ni à deux, ni à plusieurs. Ainsi, sur le support "discussion", les échanges sont duels, et s'arrêtent généralement à deux ou trois propos, et, quand une personne essaie de s'immiscer dans la discussion, elle oblige à revenir trop en arrière pour que quelqu'un lui réponde, ou trop à partir sur autre chose pour que la discussion progresse. Il me semble que l'appareil technique qu'est le MOOC ne prend pas en compte la nature même de la discussion, c'est-à-dire la progression en commun d'une signification qui se construit dans le dialogue "réel", ne mettant pas à l'écart, même provisoirement, même involontairement des personnes. De plus, l'appareil technique doit être vu aussi comme un dispositif de pouvoir qui gêne le mouvement de la recherche-action. Ce dispositif se concrétise à travers les webinaires où le savoir des experts ne rencontre pas ou peu le savoir profane (qui est dans la salle, qui pose des questions? (la participation ne consisterait-elle qu'à poser des questions?), les synthèses proposées, les nomenclatures, les questionnaires..., autant de productions qui maintiennent des distinctions contre-productives et des hiérarchies en terme de connaissances. Aussi, en tant que membre de l'équipe pédagogique, j'ai renoncé à animer les deux webinaires qui m'étaient réservés, et préfère adopter une posture différente. Désormais, je vais essentiellement m'intéresser au fonctionnement général du MOOC, et vais tenter, jusqu'à la fin, de proposer des éclairages sur ce fonctionnement, afin de maintenir l'objectif de "collaboration" et de soutenir la volonté d'une recherche-action. NB: Je poste le même message dans "Mais où on discute"

Tentative d'une synthèse de la définition d'addiction

Tentative d'une synthèse de la définition d'addiction par le biais d'une carte heuristique [saisir une description du lien ici][1] [saisir une description du lien ici][2] [1]: http://www.xmind.net/m/edfE/ [2]: http://imgur.com/share/i/c8ZqBqV

Tentative d'une synthèse de la définition d'addiction

Cliquer [ici][1] pour accéder à la carte heuristique clique [ici][2] [1]: http://www.xmind.net/m/edfE/ [2]: http://i.imgur.com/c8ZqBqV.jpg

Tentative d'une synthèse de la définition d'addiction

Merci pour cette proposition. Pourriez-vous donner le guide de lecture de cette carte heuristique ?

Tentative d'une synthèse de la définition d'addiction

Bonjour, La tentative d'une synthèse de la définition d'addiction n'a pas l'air d'inspirer grand monde. Personnellement, au regard de ce que je lis, vois ou entends sur le MOOC, je serais bien incapable d'en proposer une. Deux raisons: soit cette définition ne relève pas d'une discussion (et dans ce cas, il conviendrait de s'appuyer sur des définitions "officielles"; soit les discussions ne sont suffisantes pour permettre de définir ce qu'est l'addiction. Dans la tradition philosophique, la synthèse est l'aboutissement d'un mouvement dialogique: thèse, antithèse, synthèse. Difficile de tirer quelque chose de ce type de carte, même qualifiée d'heuristique. Où est la thèse, où est l'antithèse? Dans les nuages?

C’est quoi ce sentiment de frustration ?

Après avoir fait le test, j’arrive à un score de 49/100. C'est-à-dire pas d’usage excessif mais je dois rester vigilante. Ca me ressemble bien. Au travail, j’évite au maximum d’utiliser l’outil informatique même s’il fait parti du programme puisque aujourd’hui il faut intégrer les NTIC partout. Je me rassure en me disant que les apprenants ont besoin d’apprendre à s’en servir. Et puis mon expérience reste la mienne. Je me souviens encore du jour où j’ai découvert l’informatique. Je m’étais déjà acheté mon premier pc portable (relation à l’objet). Et puis enfin tout devenait accessible rapidement. Moi curieuse de tout, l’envie d’apprendre au bord des lèvres. Il me suffisait d’entrer un mot et me voilà avec une chaîne d’informations à n’en plus finir. A n’en plus finir c’est bien ça le problème. Il faut se raisonner. Je finis par ne plus me souvenir de ma première recherche. Mince, trois heures se sont écoulées. Allez je vais partager cette info en ligne, ça pourrait intéresser du monde que je connais. Enfin que je pense connaitre car il faut être honnête, on se voit peu, si peu, voire jamais. La distance c’est souvent l’excuse mais en y regardant de plus près, même s’ils étaient à côté, que partagerions-nous vraiment ? Je me le demande. Qu’importe, l’outil est magique. Plus besoin de courir à la banque. La direction des impôts vous facilite le paiement de vos taxes. Vos collaborateurs peuvent obtenir de vous réponses à leurs questions, via votre boite mail, votre téléphone en moins de 2. L’envoi de documents se fait si vite que parfois vous en oubliez de les joindre. La poste doit se diversifier !!! Le stylo numérique associé au tableau blanc permet le travail collaboratif (mot à la mode). J’ai le sentiment d’un monde qui court dans le vide. Dans lequel je me retourne de moins en moins même si je lutte. Quand l’information va plus vite que les idées, quel sens peut-on encore lui donner ?

C’est quoi ce sentiment de frustration ?

Bonjour, Je suis sensible à votre remarque concernant le "travail collaboratif". Pour ma part, au delà de la mode comme cause de son usage, je pense que l'expression appelle au moins deux remarques. La première prend la forme d'une question: Pourquoi ajouter au concept de travail la notion de collaboration? La collaboration, c'est le travail lui même. L'étymologie du mot collaboration témoigne de cette idée. Collaborer, c'est "travailler avec", mais, d'un point de vue anthropologique, c'est travailler tout court, dans la mesure où le travail individuel ne peut jamais être individuel. L'activité dont il est l'objet s'inscrit toujours dans une dimension collective. Organisation du travail et signification du travail en témoignent. Elles induisent des types de collaboration entre humains (présents ou absents) et non-humains (ici, tout ce qui a trait aux objets et outils ayant trait au "numérique". Alors pourquoi utiliser cette expression? L'écrivain Anatole France évoquait il y a longtemps l'usure des mots, du fait de leur trop grande utilisation. Etonnante remarque qui mérite toutefois d'être explorée. La généralisation du travail industriel qui a imposé un sens commun au travail d'aujourd'hui s'est faite avec l'intention d'accroître la production et sa valeur. Une solution a consisté à organiser le travail en développant l'automatisme et en accroissant la division du travail, jusqu'à concevoir et développer l'isolement du travailleur. Y aurait-il eu une usure du mot travail en même temps qu'une usure des travailleurs? Pourquoi parle-t-on autant de risques psycho-sociaux aujourd'hui? D'où finalement deux apparitions: l'invention de la notion de travail collaboratif pour redonner au mot travail son acception traditionnelle; les MOOC collaboratifs qui tentent de réconcilier apparition de l'intelligence collective et un machinisme pas tout à fait débarrassé de l'effet de réification inhérent aux pratiques qu'il met en œuvre.

C’est quoi ce sentiment de frustration ?

Bonjour, Les impressions portant sur la difficulté de discuter ne sont pas à prendre à la légère dans un MOOC qui se veut "collaboratif". Plusieurs explications peuvent être avancées. Pour ma part, j'en retiendrai au moins deux. La première a trait aux media utilisés. Twitter et Facebook ne sont pas fait pour discuter mais pour échanger des informations nécessairement brèves, et la discussion ne se nourri que d'échanges élaborés où chacun prend d'une part, le temps et l'espace d'élaborer sa propre réflexion, et, d'autre part, de s'approprier celle des autres. La seconde porte sur le mouvement de la discussion. Pas de discussion sans dialectique. A la lecture des échanges, on s'aperçoit qu'ils ne "prennent" pas, ni à deux, ni à plusieurs. Ainsi, sur le support "discussion", les échanges sont duels, et s'arrêtent généralement à deux ou trois propos, et, quand une personne essaie de s'immiscer dans la discussion, elle oblige à revenir trop en arrière pour que quelqu'un lui réponde, ou trop à partir sur autre chose pour que la discussion progresse. Il me semble que l'appareil technique qu'est le MOOC ne prend pas en compte la nature même de la discussion, c'est-à-dire la progression en commun d'une signification qui se construit dans le dialogue "réel", ne mettant pas à l'écart, même provisoirement, même involontairement des personnes. De plus, l'appareil technique doit être vu aussi comme un dispositif de pouvoir qui gêne le mouvement de la recherche-action. Ce dispositif se concrétise à travers les webinaires où le savoir des experts ne rencontre pas ou peu le savoir profane (qui est dans la salle, qui pose des questions? (la participation ne consisterait-elle qu'à poser des questions?), les synthèses proposées, les nomenclatures, les questionnaires..., autant de productions qui maintiennent des distinctions contre-productives et des hiérarchies en terme de connaissances. Aussi, en tant que membre de l'équipe pédagogique, j'ai renoncé à animer les deux webinaires qui m'étaient réservés, et préfère adopter une posture différente. Désormais, je vais essentiellement m'intéresser au fonctionnement général du MOOC, et vais tenter, jusqu'à la fin, de proposer des éclairages sur ce fonctionnement, afin de maintenir l'objectif de "collaboration" et de soutenir la volonté d'une recherche-action. NB: Je poste le même message dans "Mais où on discute"

C’est quoi ce sentiment de frustration ?

Bonjour, Les impressions portant sur la difficulté de discuter ne sont pas à prendre à la légère dans un MOOC qui se veut "collaboratif". Plusieurs explications peuvent être avancées. Pour ma part, j'en retiendrais au moins deux. La première a trait aux media utilisés. Twitter et Facebook ne sont pas fait pour discuter mais pour échanger des informations nécessairement brèves, et la discussion ne se nourrit que d'échanges élaborés où chacun prend d'une part, le temps et l'espace d'élaborer sa propre réflexion, et, d'autre part, celui de s'approprier celle des autres. La seconde porte sur le mouvement de la discussion. Pas de discussion sans dialectique. A la lecture des échanges, on s'aperçoit qu'ils ne "prennent" pas, ou mal, ni à deux, ni à plusieurs. Ainsi, sur le support "discussion", les échanges sont duels, et s'arrêtent généralement à deux ou trois propos, et, quand une personne essaie de s'immiscer dans la discussion, elle oblige à revenir trop en arrière pour que quelqu'un lui réponde, ou trop à partir sur autre chose pour que la discussion progresse. Il me semble que l'appareil technique qu'est le MOOC ne prend pas en compte la nature même de la discussion, c'est-à-dire la progression en commun d'une signification qui se construit dans le dialogue "réel", ne mettant pas à l'écart, même provisoirement, même involontairement des personnes. De plus, l'appareil technique doit être vu aussi comme un dispositif de pouvoir qui gêne le mouvement de la recherche-action. Ce dispositif se concrétise à travers les webinaires où le savoir des experts ne rencontre pas ou peu le savoir profane (qui est dans la salle, qui pose des questions? (la participation ne consisterait-elle qu'à poser des questions?), les synthèses proposées, les nomenclatures, les questionnaires..., autant de productions qui maintiennent des distinctions contre-productives et des hiérarchies en terme de connaissances. Aussi, en tant que membre de l'équipe pédagogique, j'ai renoncé à animer les deux webinaires qui m'étaient réservés, et préfère adopter une posture différente. Désormais, je vais essentiellement m'intéresser au fonctionnement général du MOOC, et vais tenter, jusqu'à la fin, de proposer des éclairages sur ce fonctionnement, afin de maintenir l'objectif de "collaboration" et de soutenir la volonté d'une recherche-action. NB: Je poste le même message dans "Mais où on discute"

Ressources

Quelques lectures : [Quel impact sur les salariés][1], [Rencontre avec Evgeny Morozov, chercheur et écrivain][2] , [Révolution numérique][3], [Extrait de : Rêver, fantasmer, virtualiser - Du virtuel psychique au virtuel numérique ... Par Serge Tisseron][4] [1]: http://www.rslnmag.fr/post/2012/12/14/Les-outils-numeriques-quel-impact-sur-les-salaries.aspx [2]: http://www.rslnmag.fr/post/2014/10/17/Internet-peut-il-sauver-le-monde-Rencontre-avec-Evgeny-Morozov.aspx [3]: http://www.csc.com/fr/ds/71138/71285-r%C3%A9volution_num%C3%A9rique_7_tendances_qui_vont_changer_le_monde [4]: https://books.google.fr/books?id=21k29D18aMcC&pg=PA72&lpg=PA72&dq=qualifier%20une%20relation%20num%C3%A9rique&source=bl&ots=hjQ91FjWAi&sig=p8yNreWqyl-Ug-rnEq7AYsea20U&hl=fr&sa=X&ei=mt-0VK_uBMm0aYPygagF&ved=0CEkQ6AEwBzgK#v=onepage&q=qualifier%20une%20relation%20num%C3%A9rique&f=false

De la dépendance sur le nuage de mots

Bonjour, Vous avez été nombreux à répondre dès le premier jour aux questions de la semaine, merci et continuez ! Nous allons regrouper vos avis et proposer une analyse globale en fin de semaine. Mais d’ores et déjà un élément important ressort : voici l’état du nuage de mots hier soir : ![ndm][1] Cela autorise quelques premiers commentaires : Pour nous tous l’addiction c’est beaucoup, beaucoup de choses différentes mais dans l’esprit de presque tous il y a clairement quelque chose de commun aux addictions : la dépendance. C’est un premier point très important me semble-t-il. Mais est-ce que la dépendance suffit à définir l’addiction ? Rappelons que dès qu’il vient au monde, l’être humain est le plus dépendant de tous les animaux. Totalement dépendant même : il ne peut se déplacer seul, se nourrir seul, etc. Et dépendants le plus longtemps, durant des années ! Au point que certains ont estimé que l’humain arrive au monde prématuré, en tous cas pas fini ! Par ailleurs l’évolution de la société contemporaine montre une interdépendance sans cesse croissante entre nous, par exemple, les smartphones (ordiphones) ou les ordinateurs fabriqués en Chine ou en Inde sont indispensable à l’échange que nous avons actuellement : nous en sommes, consciemment ou non, dépendants. C’est valable pour quasiment tous les objets de consommation. Tout cela pour dire qu’il ressort du nuage de mots que la notion de dépendance est essentielle pour définir la notion d’addiction mais pas suffisante, sinon nous serions tous addicts ! Et si l’on regarde maintenant les nombreux autres termes que nous avons utilisés dans ce nuage de mots, à mon avis, à première vue, pas un ne semble « à côté de la plaque », chacun décrit effectivement un trait ou un aspect de certaines addictions ou de l’addiction en général. Il faut aussi constater que la plupart de ces mots, mais pas tous, font référence à quelque chose de négatif, du côté d’une souffrance plutôt que d’un bien être, à l'image de ce que je rencontre dans ma pratique clinique... Je pense que cela serait très intéressant d'aller analyser encore un peu plus du côté de tous ces termes... A suivre ! Continuez à participer et à vendredi pour le webinaire en direct ! Cordialement, Philippe Decan Co-animateur semaine 1. [1]: /media/14206404754238777.png

De la dépendance sur le nuage de mots

Cher Philippe Decan, Je souhaiterais ajouter quelques commentaires à ton commentaire. Je m'adresse directement à toi, pour respecter une manière de communiquer qui me semble convenable dans le cadre d'une recherche-action tentant rejeter par principe toute position en surplomb, et, si possible, tout échange duel qui ne serait pas rendu public! Aussi, j'aimerais que cette adresse soit publiée sous la même forme que le tien, et souhaiterais inviter d'autres personnes à participer à ce dialogue en construction. La dépendance peut être constatée de manière objective (par exemple sur le plan de la physiologie humaine ou, autre exemple, de la physique terrestre), mais elle peut aussi être vue comme une norme sociale régulant, plus ou moins implicitement, les formes de l'action collective, ou dit plus simplement, les manières d'être ensemble. Dans le cas de la dépendance entre deux êtres humains, il m'apparaît important de ne pas distinguer trop rapidement, ce qui relèverait d'une nature ou d'une « mécanique physique », et ce qui relèverait de rapports sociaux où la dépendance se constaterait à travers des rapports de domination. Je prendrais l'exemple du holding, cher au psychanalyste Winnicott. Pour lui, la relation entre la mère et l'enfant manifeste, si mes souvenirs sont bons, une interdépendance de fait, disons physiologique : l'enfant est incapable de subvenir à ce que suppose sa survie, mais la mère qui va le « manipuler » (une traduction possible de « holding ») est considérée par Winnicott comme psychologiquement attachée à son enfant. Sans prendre partie de la valeur de cette interprétation, elle me semble posséder une vertu épistémologique première. Sur un plan anthropologique, elle évite de séparer ce qui serait de l'ordre de la nature de ce qui serait de l'ordre de la culture (si l'on admet cette distinction), donc de réduire quelques écueils aux conséquences politiques néfastes. D'un côté le naturalisme, de l'autre, le physicalisme. Par exemple, si l'on admet la dépendance comme un phénomène « naturel », à quoi bon vouloir la dépasser au nom de l'égalité politique des individus ? Pourquoi ne pas simplement la constater et l'organiser ? Qui le fera ? Ceux qui croiront avoir dépassé la dépendance ! Il y a des chances qu'au nom du pouvoir qu'ils s'attribuent ou que les autres leur donnent, ils se décrèteront indépendants. Telle était ma première réflexion. Une deuxième concerne le rapport souvent établi entre dépendance et besoin. Il existe une manière comportementaliste de justifier l'orientation de l'action individuelle ou collective par l'hypothèse de la « satisfaction des besoins ». Je crois, notamment à la suite de la lecture des travaux de, par exemple, Baudrillard et de Radkowski, que l'inversion que suppose cette manière mérite d'être remise en cause. Elle dénonce les pratiques du marketing qui reposent sur la définition d'un homme comme être de besoins qu'il chercherait à satisfaire de manière consciente (d'où l'idée de manipuler les consciences!). Tous les organismes vivants trouvent dans l'environnement ce dont ils ont besoin, et ce dont ils ont besoin n'a pas besoin (!) d'être conscientisé pour être satisfait. De ce point de vue, l'orientation de notre action n'est jamais strictement volontaire. De plus, il n'est pas sûr que notre culture agisse volontairement dans le choix de cette orientation. En tous les cas, quand ces organismes vivants, dont nous faisons partie, ne trouvent pas ce qui maintient leur intégrité, ils changent d'environnement ou meurent, d'où peut-être la tonalité « négative » que tu relèves. Cette évidence n'est pas sans importance pour comprendre la question de la dépendance. Je pense que nous y reviendrons au cours de ce MOOC. Enfin, dernière réflexion, elle porte sur l'ensemble des mots qui constituent le nuage. Pour ma part, je ne suis pas surpris qu'aucun ne soit, comme tu le dis, « à côté de la plaque », dans la mesure où leur agrégation ne traduit que l'expression de chacun, et ne peut s'opposer à une définition a priori de la dépendance. C'est cela aussi l'intérêt de la recherche-action. Reste à porter un regard critique et collectif sur cet agrégat. Mais cela aussi, j'espère que nous en reparlerons. Amicalement. Dominique Pécaud

De la dépendance sur le nuage de mots

Bonjour, Merci pour vos commentaires, sur le versant philosophique. Qui conduisent ma pensée vers les concepts de l'autonomie, l'hétéronomie. De votre point de vue : - on définit souvent la perte de contrôle comme un des signes du comportement addictif ; suffit-il à définir une addiction ? - l'addiction est souvent qualifiée comme une perte de l'indépendance ; peut-on dire qu'elle est le contraire de l’autonomie ? - y a-t-il une différence entre dépendance et addiction ? si oui, laquelle ? - peut-on dire que l'hétéronomie est une forme de dépendance ? - dans quelle mesure l'hétéronomie (au sens de la soumission inévitable, selon KANT) peut être un chemin vers l'addiction ? Selon les travaux de Paul KEEDWELL, psychiatre à l’Université de Cardiff, *"l’addiction est une maladie psychiatrique qui est la somme de l’inné et de l’acquis. On doit suivre ces personnes pour établir le risque que l’inné prenne le dessus sur l’acquis."* Qu'en pensez-vous ? Suite au webinaire 1, aux différents échanges sur le forum, il m'apparait qu'une addiction, qu'elle soit comportementale ou toxicologique : - est l'expression d'une recherche de remédiation à un désordre intérieur ou la difficulté à s'auto-satisfaire dans des contextes donnés. - s'exprime au travers de comportements plus ou moins dangereux. - trouve sa source intrinsèquement. La propension à l'addiction m'oriente vers les neurosciences et la plasticité du cerveau. - est un phénomène lié à l'écologie de l'action. *"Toute action échappe à la volonté de son auteur en entrant dans le jeu des inter-rétro-actions du milieu où elle intervient. Tel est le principe propre à l’écologie de l’action … L’écologie de l’action c’est en somme tenir compte de la complexité qu’elle suppose, c’est-à-dire aléa, hasard, initiative, décision, inattendu, imprévu, conscience des dérives et des transformations …"* (E MORIN) Peut-on faire une interprétation objective de l'addiction ? Cordialement Mathéa CM

De la dépendance sur le nuage de mots

Bonjour Mathéa, Qu'entendez vous par "l'addiction trouve sa source intrinsèqument"? Guillaume

De la dépendance sur le nuage de mots

Bonjour Guillaume, L'addiction trouverait sa source intrinsèquement, eu égard à notre degré de résistante et/ou remédiation à l'addiction, fortement liée à notre structure psychique. Conféré Otto F. KERNBERG : *[...] Je crois qu’une représentation de soi, une représentation d’objet et l’état affectif qui les relie, sont les unités essentielles de la structure psychique [...]* Source : http://mapageweb.umontreal.ca/scarfond/T6/6-Bouchard.pdf Qu'en pensez-vous ? Cordialement Mathéa

De la dépendance sur le nuage de mots

Bonjour, Ne prenait pas mon commentaire comme une critique mais, vu que la définition du MOOC est d'être "ouvert massivement", est-il possible d'avoir une définition simple des termes suivants : - épistémologique - anthropologique - naturalisme / physicalisme - hétéronomie Et je n'ai mis là que les termes que je ne connais pas moi-même mais je trouve que le texte, d'une manière plus globale, n'est pas forcément accessible à tous... Si l'idée est de provoquer des discussions avec des gens qui partagent leur ressenti, leur expériences, je pense qu'il faut faire attention au langage utilisé. Merci pour vos explications, Cordialement, Angéla R.

De la dépendance sur le nuage de mots

Bonjour Angela, Je trouve votre message intéressant sur le versant de l'utilisation des outils numériques et leur appropriation individuelle. Dans l'objectif de nourrir ce MOOC, que pensez-vous de l'idée qu'il vous appartient aussi, d'apporter ici les définitions des termes qui vous posent question - que vous pourriez par exemple trouver en lisant, surfant ; je vous laisse le choix des moyens - et que chacun-e pourrait confronter, enrichir... ? Pistes de réflexion : exemples de liens qui proposent des références utiles. http://www.cairn.info http://www.etudes-litteraires.com/figures-de-style/naturalisme.php Bien à vous. Mathéa

Pré-MOOC / Fonctionnement du MOOC

la connaissance donne la liberte de choix

les échanges nous permettent de progresser dans le connaissance

la connaissance donne la liberte de choix

exact! ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14194407712555267.gif

Présentation

Bonjour aux participants à ce MOOC, Je m'appelle Etienne et suis comptable en entreprise. Je suis intéressé par l'informatique que j'utilise professionnellement et aux réseaux sociaux qui sont pour moi une activité ludique et source d'information. Je me suis intéressé aussi à la psychologie. Ce Mooc sera sans doute source d'enrichissement intellectuel personnel et source de réponse pour mes propres addictions et aide pour mon entourage. Ma grande question étant de savoir à partir de quel moment il y a addiction. Je suis impatient comme vous tous de participer et débuter ce MOOC. Bonne fin d'année et Bon Mooc.

Parole de Doc

Bonjour à tous et à l'équipe de la MOOc, je me présente, Fred, professeur documentaliste dans un lycée qui poursuit en proposant les voies telles que BTS en management. Ce qui m'intéresse particulièrement chez eux, c'est la réflexion qu'ils peuvent porter sur la révolution du numérique, la e-réputation, et ces objets numériques qui peuvent nous gouverner. D'ailleurs ces sujets, ils ont à les étudier, dans le cadre d'un moduel appelé " culture générale". Votre MOOC va apporter son grain de sel et j'imagine aussi, son grain de poivre autour de cette réflexion. Et me permettre ainsi de prendre du recul sur ma façon d'engager le débat au sujet des @ddictions avec mes élèves . Merci et à très vite Fred

Parole de Doc

Bonjour Fred et bienvenue. Pour mettre en plus un peu de piment, il serait aussi possible pour certains élèves un peu intéressés de participer éventuellement, individuellement ou à plusieurs...

présentation

Bonjour Je m'appelle sévrine , et je suis en master 2 éducation et formation, et je cherche à mieux comprendre l'addictologie au numérique surtout pour le jeune public, la genèse les comportements, les éventuelles solutions. merci

Pré-MOOC / Outils

Lien aides mémoire du Wiki

Après avoir cliqué sur Editer, je ne trouve pas le lien aides mémoire que vous indiquez

Lien aides mémoire du Wiki

Il faut cliquer sur les mots "aides mémoire" dans la phrase au dessus du texte à éditer ("Une syntaxe Markdown est permise. Regardez les aides mémoire pour de l'aide.").

Identification auteurs annotations

Bonjour à tous, nous avons ajouté une fonctionnalité d'identification des auteurs des annotations : en cliquant sur "anonyme" dans l'interface, vous pouvez désormais taper l'identifiant sous lequel vous souhaitez apparaître si vous publiez vos annotations. N'hésitez par à utiliser le forum pour commenter sur l'utilisation de ce service expérimental !

netvibes help

j'ai 1 compte netvibes j'aimerais lui associer le netvibes du mooc (comme dasboard par ex) mais je ne sais comment m'y prendre merci pour votre aide

netvibes help

Ben peut-être une section de ton netwibes en liaison avec le "MOOC", en créant un lien. Qu'est ce que t'en penses? ou créeer un (nouveau) netwibe consacré à ce "MOOC" et le mettre en lien avec ton netvibes d'origine Bonne Année Agnès, la parisienne (?75) comme moi. Kondor. Appelez-moi Guy

netvibes help

merci pour ta réponse seulement mon pbl est précisément de ne pas savoir comment mettre en lien le netvibes du mooc et le mien. je vais devoir me plonger dans l'aide de netvibes. si tu as une piste pour un bon tuto sinon il est possible que je soit parisienne... ou pas c'est le charme du pseud Très Bonne Année

Outils 2.0

[Liste d'outils 2.0][1] proposée par [@DorotheeLeVot][2] sur twitter. [1]: https://outils-20-en-francais.zeef.com/fr/isabelle.dremeau [2]: https://twitter.com/DorotheeLeVot

COConotes

Comment et où se procurer l'application COConotes ? Comment l'installer sur mon ordinateur ?

COConotes

Bonjour, il s'agit d'une application web : il suffira de charger la bonne URL dans votre navigateur (ordinateur, téléphone, tablette), et tout devrait fonctionner. Vous pouvez tester sur http://comin-ocw.org/live/demo/

Pas de compte Fb et Twitter

Bonjour, Je ne possède ni compte Facebook, ni Twitter et mon téléphone mobile n'est pas un smartphone, c'est uniquement un téléphone sans connexion web. Par ailleurs, j'ai créé des profils sur Viadéo et Linkedin et participe à des groupes liés à ces réseaux. Je travaille et me sert d'ordinateurs pour tout ce qui relève de l'internet ; c'est un choix qui me permet de garder des espaces de liberté auxquels je tiens et ne suis pas disposée à changer cela. De votre point de vue, je vous remercie de me préciser si ma participation à ce MOOC reste possible et pertinente ? Cordialement Mathéa COSTE MOURATILLE

Pas de compte Fb et Twitter

Bonjour, l'utilisation des réseaux sociaux vise à permettre aux participants de communiquer entre eux, et de co-construire. Les forums disponibles sur FUN peuvent déjà servir à cela donc tout va bien, votre participation reste possible et pertinente. Twitter et facebook permettent également de diffuser de l'information, ainsi que tout autre mode de diffusion (e.g. groupe LinkedIn). Par contre nous ne sommes présents que sur les forums, twitter et facebook, et ne pouvons suivre tout ce qui se passera en dehors !

Pas de compte Fb et Twitter

Bonjour Mathéa, Votre participation me semble tout à fait pertinente, même si vous évitez les "gros" réseaux sociaux. L'important dans ce MOOC sera la communication, peu importe par quel média. Et puis si votre téléphone ne fait que téléphone, nous serons au moins deux. Guillaume

Pas de compte Fb et Twitter

Guillaume bonjour et merci pour votre réponse. Tout va bien donc. Cordialement Mathéa

Fonctionnement du wiki glossaire

La rédaction se fait en utilisant une syntaxe particulière appelée Markdown. --c'est quoi ?-- Vous trouverez plus d’information à ce sujet dans le Wiki en cliquant sur Editer puis sur le lien aides mémoire. Mettre un lien hypertexte vers aides mémores svp Cordialement @Bruno_TISON OU brunotison@gmail.com

Fonctionnement du wiki glossaire

Je retrouve ce message sans réponse. Il faut cliquer sur un lien pas très visible ("aide mémoire") au dessus du formulaire d'édition. Je mets une image du contenu, car il n'y a pas de lien direct. ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/1421531396656696.png

Pré-MOOC / Présentez-vous

Bonjour

Je m'appelle Sarah, j'ai 28 ans. Mes activités n'ont rien à voir avec le sujet de ce MOOC, je suis là par curiosité et envie d'apprendre, après avoir terminé le MOOC "Soyez acteur de la sécurité de l'information". Je passe beaucoup de temps sur internet, je ne pense pas être addict mais on ne sait jamais ^^

presentation

bonjour je suis ici pour deux raisons principales , d'une part c'est ma premiere participation a un mooc, donc je vais inaugurer ce systeme de cours, et je pense que cest l'avenir , d'autre part je m'intéresse à l'aspet psychologique de l'humain. je vais me former au coaching (de vie) donc tout ce qui touche le comportement tant dans l'aspect positif que pathologique m'intéresse. et puis le fait que ce soit en réseau et d'échanger , c'est formidable, j'ai hate de commencer, je me prénome agnès.

presentation

Je vais aussi me présenter : Stéphane, @ddict me semble-t-il à l'informatique depuis mon premier TO9 - les plus jeunes purront chercher la date sur Internet... Quelques dizaines d'années plus tard, je suis curateur, mooceur, webmestre et anti-google. Et je fais simple. Donc très intéressé par cette excellente initiative : comment savoir si on est addict à Internet en nous poussant à utiliser Internet ! Je trouve cela génial, merci.

presentation

Bonjour à vous, Avec votre expérience, vos idées sont plus que les bienvenues. En tant qu'anti-google,vous aurez particulièrement la possibilité de vous exprimer lors de la semaine 5. Bonnes fêtes et bon MOOC Guillaume PS: Le TO9 est né avant moi, mais j'ai mieux vieilli que lui

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snif-- snif-- Le mail que vous avez envoyé pour l'enquête me demande de remplir un DOODLE et un GOOGLEFORMULAIRE... Comment puis-je éviter ce dealer numérique (sem 5) ? ;)

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Google est un bon dealer, il propose des produits simples et gratuits. Mais si ça peut vous rassurer, l'utiliser est un crève-coeur pour nous tous...

presentation

Si une entreprise propose un produit gratuit, c'est que le produit c'est nous (à l'exception des sociétés proposant des services basés sur des logiciels libres et sans doutes quelques autres exceptions). Si cela peut inspirer pour une prochaine session du MOOC : - Une [alternative libre][1] pour les formulaires. - Une [alternative libre][2] à Doodle De même pour Skype, il existe par exemple Jitsi, etc. [1]: http://www.formtools.org/ [2]: https://framadate.org/

presentation

Merci pour ces infos. Le MOOC proposera d'autres questionnaires qui ne seront pas hébergés sur une plate-forme Google ni un de ses concurrents. Vous pourrez donc éviter ce dealer du numérique;)

presentation

Bonjour à tous, Perso je suis mamie/addict/web...je profite de ma retraite pour m'enrichir encore et toujours..je ne sais vivre sans computer et cela dure depuis....20 ans ! mais je vais me soigner (cette promesse fait partie des résolutions pour le 1er janvier prochain)...j'ai déjà participé à plusieurs MOOC dans le cadre du C2i ! cette formule est vraiment géniale.De plus cette communauté m'apporte énormément au travers des groupes Google (pardon SVince) ! Bonnes fêtes à tous (il y a une vie après le MOOC) ! et au plaisir sur celui ci ! Cordialement Nicole

Mon addiction

Mon addiction se limite à FOMS (Fear Of Missing Something). Elle consiste à consulter le site du Monde (abonné) tous les quarts d'heure. (Je m'appelle Francis)

Mon addiction

Salut Francis, Ah c'est intéressant cette addiction! Je l'ai plus ou moins eu, puis je me suis rendue compte que trop s'informer déprimait, alors j'ai réduit la cadence. Je suivais à une période 4 journaux en ligne plusieurs fois par jour. De quoi vous rendre fou!

Mon addiction

J'ai été abonné plus de 10 ans au Monde. C'est fini depuis 1 an. Et finalement ... Je ne vais pas plus mal. Même mieux en fait. Je suis presque totalement déconnecté de l'actualité. Ou disons plutôt de l'information trié par les journalistes. Je ne crois pas au complot je crois juste qu'ils répètent ce que dit le collègue. J'ai créé il y a 1 mois une association dans ma ville. Je contacte un journal local qui rédige un article. Une semaine après je suis contacté par l'autre journal local, une semaine après par la TV locale. Ralentir la vie. CQFD. Renaud

Mon addiction

Salut Ambre, dans le cadre d'une réflexion perso sur comment faire face à au surplus d'informations j'aimerais bien avoir ton avis (perso et en tant que jeune psychologue social ^^) plus tard, quand le tout aura pris un peu plus de forme. J'ai lu ta présentation mais je n'ai pas trouvé de coordonnées pour te contacter, un compte FB ou autre pour le peuple ? :p

Mon addiction

Salut Jberry, J'ai été prise ces derniers temps, donc excuse moi pour le délai de réponse. Je suis trouvable assez facilement sur linkedin avec mon nom et prénom. Je crois qu'un point de vue psycho-cognitif serait plus intéressant pour comprendre comme se gère un tel afflux d'informations, et je ne crois pas qu'on puisse en gérer tellement sans conséquence. Ma solution personnelle c'est d'être presque déconnectée des infos. Disons que lorsqu'un évènement important se produit, je ne me renseigne pas quotidiennement dessus, mais je préfère plutôt faire un point régulier. Ainsi je loupe les détails et les tergiversations pour aller à l'essentiel, peut-être au prix d'une finesse d'analyse.

Merci pour ce Mooc !

Bonjour à tous, Curieux d'apprendre toujours plus, je suis intéressé par ce Mooc vu qu'il va me permettre d'avoir un regard plus détaillé sur les nouveaux modes de communication et leurs qualités/défauts. Il est vrai que l'individu possède désormais plusieurs identités (civile, sociale, numérique, familiale)...l'addiction au numérique pose ainsi le problème de la gestion de soi dans un monde toujours plus rapide, toujours plus connecté, toujours potentiellement dangereux selon ce que les pouvoirs politiques ou économiques feront des données et opinions personnelles collectées. Je suivrais donc avec plaisir ce Mooc. Bonnes fêtes de Noël à tous ! Chris

Présentation

bonjour, la participation à ce mooc est pour moi liée à une double motivation : découvrir cette nouvelle forme d'apprentissage, tout en se donnant les moyens de la questionner au travers de la place du numérique dans nos environnements quotidiens. Je suis père de trois enfants et me questionne sur la (bonne) relation à trouver vis à vis de la pratique du web. Je suis moi-même grand utilisateur du web, depuis son déploiement massif en France à la fin des années 1990, mais je n'ai jamais pris le temps de réfléchir aux enjeux comportementaux que cela peut recouvrir. Enfin, l'orientation "collaboratif" de ce mooc m'intéresse vraiment, et que telle présentée dans le webinaire, produit une motivation forte.

Comportements et réseaux sociaux

Bonjour à toute l'équipe pédagogique et d'animation, bonjour aux participants. Consultant Formateur spécialisé sur le sujet des réseaux sociaux, j'accompagne les entreprises dans le développement de leurs marques sur facebook, twitter, viadeo, linkedin... J'ai été consulté par un centre de formation en début d'année pour animer un module destiné à un jeune public en collège et lycée : comment prévenir les risques liés aux réseaux sociaux. J'ai eu l'occasion de créer et d'animer à plusieurs reprises ce module de formation auprès d'équipes éducatives dans l'enseignement catholique en partie sur le sujet du harcèlement entre les jeunes, de l'usurpation de l'identité, du non respect du droit à l'image... Par ailleurs, je me suis associé à Anne Courvasier, notamment spécialiste des addictions aux substances et comportements, pour créer une conférence en 2013 que nous avons baptisée : "Addiction ou performance ? Comment prévenir l'utilisation excessive des réseaux sociaux ?" [Vous trouverez le programme ici.][1] Nous observons autour de nous un réel intérêt autour de ce sujet et plus largement, autour des comportements excessifs liés aux usages numériques. Je participe pour la première fois à un MOOC :) J'attends de cette expérience des rencontres, d'enrichir mes propres recherches, de découvrir d'autres points de vue et d'élargir mon sujet de prédilection à des territoires plus larges. Je pourrais aussi apporter mon expertise liée aux réseaux sociaux dans les commentaires par exemple. [Vous trouverez mon profil complet ici.][2] Au plaisir d'échanger. Frédéric BERNIER [1]: http://fr.slideshare.net/fredericbernier12/conference-inno-pegasiaddictionreseauxsociaux [2]: http://frederic-bernier.com/

Du papier à l'écran

En 36 années de vie professionnelle (1968 - 2004), j’ai connu le papier et la machine à écrire, puis l’informatique, laquelle fut d’abord naissante et bientôt envahissante. Et j’observe comme nous tous que la place du numérique dans ma vie ne fait que croître et embellir, alors même que je suis retraité: téléphone, ordinateur personnel, liseuse, tablette ont investi bien des domaines de mon activité. Mais tous ces outils fort précieux n’ont pas encore, pour moi, remplacé les livres, les dictionnaires; ils s’y ajoutent, les complètent, mais ne sont pas des compagnons aussi chers et affectivement précieux que les ouvrages qui garnissent mes rayons de bibliothèque.

Présentation

Bonjour à tous, Ingénieur en systèmes et réseaux de Communication et Docteur en électronique & télécommunications, j'ai travaillé 3 ans au sein d'Orange Labs sur les techniques permettant de réduire les rayonnements électromagnétique. Actuellement je suis chargé de mission numérique pour l'agglomération de la Roche-sur-Yon. Au cours de mes différentes expériences j'ai été confronté aux différentes peurs liées au numérique (nocivité des ondes, failles de sécurité...). J'ai donc choisi ce MOOC pour parfaire mes connaissances des risques du numérique. J'espère que mon expertise technique m'aidera à contribuer à ce MOOC ! En attendant les premiers échanges, je vous souhaite d'excellentes fêtes de fin d'année ! Marc-Antoine Bouzigues @MABouzigues

Présentation

Bonjour Marc-Antoine, Bien que votre expérience professionnelle ne soit pas directement reliée à l'addiction au numérique, elle nous apportera sûrement un éclairage important sur des éléments peut-être sous considérés (nocivité des ondes, sécurité...). N'hésitez donc pas à la partager. Bonne journée et bonnes fêtes Guillaume

Présentation

Bonjour à tous, Je suis lycéenne en terminale scientifique en banlieue parisienne. Je ne passe pas un jour sans consulter mon téléphone, un réseau social ou mes mails, mais pour autant je ne pense pas être "addict", en comparaison avec les jeunes d'aujourd'hui... J'attends de ce MOOC qu'il me donne du recul sur les activités numériques aujourd'hui. Par ailleurs ma mère est très impliquée au niveau associatif sur les addictions (drogues, tabac...), au tour du numérique d'être considéré comme tel ! Bonnes fêtes à tous

Présentation

Salut, Personne ne pense être addict, jusqu'au moment d'essayer de se passer de sa non-addiction :p En tout cas, si jamais tu tentes le défi de te passer de ton téléphone, ce serait intéressant pour tout le monde de savoir combien de temps tu tiens. J'ai entendu parlé d'un mouvement de garçons qui veulent s'abstenir de se masturber (les "Nofap" il me semble), donc connaître les résultats d'un "Notél" serait intéressant =D Bonnes fêtes! ^^

Présentation

Salut, c'est assez surprenant ton parallèle entre les nofap et les notél mais très drôle :D Tu as l'air bien au courant par rapport aux nofap ;-) je suis un peu dans le même état d'esprit que toi (la personne en terminale) je suis en permanence face à un écran mais je ne me sens pas addicted. Cependant après réflexion je me dis que ne pas se sentir addicted ou s'assumer addicted, est ce que ce n'est pas justement avouer une certaine addiction ?

Présentation

Hello, Bonne question, en quelque sorte c'est devenu une habitude surement... cependant je pense que je serais (et suis) capable de me passer des ecrans pendant les fetes notamment en ce moment... A partir de quand considerer que l'on est addict ? La plupart des gens ont en permanence leur telephone sur eux par necessite, "au-cas-ou", les considere t on comme addict ? Voila d'autres questions auxquelles il faudra egalement reflechir a mon avis...

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On pense tous pouvoir ou on peut se passer de nos écrans. Dans un sens oui mais si on pousse la réflexion jusqu'au bout ce n'est pas "vrais" la preuve nous parlons depuis nos écrans ;-)

Présentation

> Cependant après réflexion je me dis que ne pas se sentir addicted ou s'assumer addicted, est ce que ce n'est pas justement avouer une certaine addiction ? La réponse est dans la question :p. Il faut se méfier des sensations, elles ont le pouvoir de nous faire croire des choses absurdes.

Présentation

Bonjour à tous Je suis psychiatre et addictologue, travaillant en particulier sur les addictions sexuelles et à la recherche de pistes nouvelles pour la compréhension de ces situations et pour leur prise en charge

Présentation

Bonjour à toutes et à tous! Tout d'abord merci aux organisateurs du MOOC pour cette excellente idée. Je suis étudiante en sixième année de pharmacie. Gérer l'addiction avec substances fait partie du quotidien d'un pharmacien, c'est donc d'une part pour élargir mon horizon à d'autres formes d'addiction que je participe à ce MOOC. D'autre part, c'est en tant qu'utilisatrice du numérique que ce MOOC m'intéresse. Je passe beaucoup de temps sur mon smartphone, que ce soit sur les réseaux sociaux ou pour échanger messages et mails. Née dans la génération connectée, prendre du recul par rapport à nos usages et essayer de trouver des réponses aux questions auxquelles nous sommes confrontés me semble nécessaire. J'espère trouver des réponses à mes questions et apporter une contribution utile à ce projet! Levana

Dès l'Argentine

Bonjour !! Je suis professeur en Argentine et je trouve qu'on n'a pas assez de sensibilité envers les dangers de l'Internet. L'addiction en est un et je voudrais être préparée pour pouvoir répondre effectivement face à ce sujet. En plus, j'aime les MOOCS sur FUN puisque la plateforme est très amicale! Joyeux Noel!

Dès l'Argentine

Bravo! à bientôt sur le mooc bonnes fêtes en Argentine

Présentation

Bonjour, Je suis retraitée habitant la campagne et je me sers beaucoup d'internet, la preuve je suis là! Après le MOOC sur la sécurité de l'information, je continue à m'informer sur cet outil.

En Formation Tout au Long de ma Vie

Bonjour à toutes et tous, Merci pour cette occasion offerte d'apprendre, encore. De mon point de vue, outil constitutif des changements. C'est sur les fondations d'une famille, de régions et environnements à fortes identités culturelles que j'ai commencé ma vie et construis mon chemin, du mieux que je peux, dans la complexité et le métissage. Mon questionnement est intrinsèque, en cela que l'accès à la connaissance me fait prendre conscience du peu de mes connaissances. Depuis 11 ans, la reprise d'études et l'obtention d'un Master "Sciences de l'homme et de la société", a ouvert les portes d'emplois aux seins d'organisations privées ou publiques. Actuellement je suis fournisseur / vacataire, en ingénierie de systèmes de formation et d'évaluation et Conseillère en insertion professionnelle et professionnalisation ; je me qualifie plutôt de facilitatrice. Ayant exercé des activités de tuteur transversal, sur des dispositifs de Formation Organisée A Distance (FOAD), je considère utile - pour approfondir ma compréhension des mécanismes en jeux et leur articulation - de m'inscrire sur ce parcours. Bonnes fêtes de fin d'année à toutes et tous Mathéa CM

Présentation PresneauJ

Bonjour à tous et merci pour ce MOOC; Quelques éléments de présentation. Je suis intéressé à titre professionnel et personnel par ce MOOC. Je suis enseignant en lettres histoire à Rezé (un régional de l'étape donc...), j'ai l'occasion de former et sensibiliser les élèves du lycée aux usages du numérique. La question de l'addiction est une entrée qui me semble pertinente. Je suis aussi intéressé à titre personnel, car je suis père de trois ados (ou pré-ados) et de l'observation de leurs pratiques des écrans naissent de nombreuses questions. Enfin, je m'interroge sur ma propre addiction, les journées n'ayant que 24 heures à mon grand désespoir... Jérôme Presneau

Présentation PresneauJ

Bravo pour cette triple motivation intéressante: * comme prof, beaucoup devraient s'intéresser au sujet; * comme parents, idem; * pour soi-même, mieux comprendre, mieux maîtriser; à bientôt sur ce mooc!

Présentation PresneauJ

Bonjour à tous et merci également pour ce MOOC, Je suis professeur au collège et chaque année depuis longtemps, je fais intervenir l'ANPAA pour sensibiliser les élèves aux risques liés aux addictions à Internet, jeux vidéo et Réseaux Sociaux. J'attends de ce MOOC un éclairage sur les liens entre les différents paramètres sociologique, psychologique,... pour comprendre comment non seulement on devient addict, mais aussi comment arrêter le processus. J'attends aussi des réponses sur l'usage intensif du numérique, parfois imposé dans certains domaines professionnels, et l'épuisement, l'isolement, et d'autres risques. Quelles alternatives?? Merci à tous pour cette initiative!

présentation mpen

Retraitée. Spécialiste de sécurité des systèmes d'information (incluant spatial). Docteur en maths. Pour communiquer une vision "senior". Pour apprendre sur les addictions numériques. Pour comprendre pourquoi j'oublie l'horloge devant l'écran. Pour aller plus loin : excès, cyber-délits, comment réguler ? Bonjour à l'équipe et aux participants.

Motivée

Bonjour, je suis chef de projet usages numériques pour le Département de la Seine-Saint-Denis, avec une formation en sciences de l'information et de la communication (Celsa). Ce MOOC attise ma curiosité, tant sur la méthode que sur le résultat qu'on peut obtenir. A titre personnel, je me sens plutôt réfractaire aux nouveaux usages numériques qui vont au-delà de l'amélioration de services existants. Acheter en ligne, suivre gratuitement des cours à distance, avoir des informations pratiques en ligne sans téléphoner ou me déplacer, oui, très bien. Se mettre en scène sur Facebook ou utiliser tweeter, je ne comprends pas. Vu mes fonctions, cela me paraît important de comprendre les attentes et les comportements du public face aux possibilités offertes par le numériques. Ce MOOC pourrait aussi être une source d'inspirations pour lancer de nouveaux projets. A bientôt !

Motivée

Bonjour Marion (si je suppose bien ? ^^) Je me permets de tutoyer, merci de me dire si cela te mets mal à l'aise stp et je corrigerai ;) > Se mettre en scène sur Facebook ou utiliser tweeter, je ne comprends pas. Les réseaux sociaux (de préférence décentralisés) peuvent être utiles. Concernant la mise en scène que tu évoques, peut-être est-ce le signe d'une mutation d'un mal-être déjà existant. Peut-être le culte de l'image par les publicités, la solitude, voire l'anxiété. Et je me demande si ce [genre de chose][1] est un cas rare. J'espère qu'on pourra tirer au clair ces choses là, parmi d'autres, dans les semaines qui suivent. Alors à bientôt :) Cordialement, Jérémy. [1]: http://www.dailymail.co.uk/news/article-2588364/Selfies-killed-Schoolboy-took-200-photos-day-wanted-perfection-describes-addiction-drove-attempt-suicide.html

Nathcardoso : "Bonjour !

Addict très certainement ...aux apprentissages et au numérique, ce MOOC satisfera ces deux besoins ! J'utilise les outils numériques dans mon champ professionnel et dans ma vie personnelle. L'aspect collaboratif m'interresse particulièrement ! Ma pratique professionnelle est multiple : aide -soignante dans le secteur médico-social ( psychiatrie et handicap),puis animatrice sociale je me dirige vers le métier de formatrice pour adultes dans ces domaines. Mes loisirs et mon travail s'entrecroisent, les fils rouge, orange et jaune de mon parcours pourraient être les interactions sociales, la communication adaptée et la coopération au service du vivre ensemble : IRL et sur la toile. Je suis également clown (mais pas sur le web, j'essaie du moins sur ce point d'éviter de trop croiser avec ce fil là pour ne pas dérouter mes interlocuteurs !)

Présentation

Bonjour Je suis Arnaud Lecuyer, DSI dans un ensemble scolaire qui développe le label "lycée numérique". Nous avons implanté des tablettes dans les classes et enseignons avec l'outil numérique. Aussi je m'intéresse aux effets du numérique sur les comportements. 43 ans, fan de "numérique", j'y suis très favorable et je passe beaucoup de temps sur le net. J'ai également de nombreux objets connectés dans la maison. Je souhaite découvrir et m'enrichir au travers de ce MOOC

Présentation

Bonjour Arnaud, La question du bienfait ou non des tablettes pour l'éducation est difficile. J'aimerais avoir ton avis sur ces deux articles stp : - [Ces patrons de la Silicon Valley qui interdisent la high tech à leurs enfants][1] - [Silicon Valley: une école interdit tout appareil high-tech][2] C'est une des choses dont j'aimerais tirer au clair durant les semaines qui arrivent. Cordialement, Jérémy. [1]: http://www.francetvinfo.fr/monde/ameriques/ces-patrons-de-la-silicon-valley-qui-interdisent-la-high-tech-a-leurs-enfants_695203.html [2]: http://www.rtbf.be/info/regions/dossier/un-an-dans-la-vie-des-etudiants/detail_silicon-valley-une-ecole-interdit-tout-appareil-high-tech?id=7687963

Présentation

Je Suis Passassim ATADE NANGUIT,du Togo en Afrique de l'Ouest; journaliste (info Com - Gestion des technologies médias). Je m’intéresse depuis peu aux MOOC et suis sur plateforme par curiosité d'une part et espère d'autre part apprendre et apporter ma modeste contribution à ce Mooc collaboratif(le tout 1er pour moi). Merci d'avance et bon courage à l'équipe d'animation! A bientôt

Curiosité et intérêt

Bonjour! Merci aux organisateurs de ce MOOC. Je découvre à peine l'existence de ce mot et je m'y suis inscrite avec beaucoup d'intérêt et de curiosité. Je travaille en santé publique au Québec, plus particulièrement en prévention de la consommation problématique et des pratiques préjudiciables de jeu. Je suivrai et participerai, avec quelques heures de décalage, aux différentes réflexions et réalisations du MOOC. Je souhaite de bons échanges à tous!

Présentation

Bonjour, Je suis bibliothécaire/documentaliste dans un centre de documentation spécialisé en dépendance au Québec. Je suis bien entendu intéressée par le sujet de ce MOOC - merci aux organisateurs ! - mais aussi par son fonctionnement.

Présentation (+1)

Bonjour. Avec dans mes bagages une formation scientifique, je fais du graphisme d'édition et de la communication pour des PME du sud de la France. Aujourd'hui, j'entends&nbsp;: Internet est tout et plus rien d'autre n'existe. Alors, je m'interroge. De la génération qui a vu éclore la micro-informatique "populaire", comme Arnaud, je suis émerveillé et enthousiaste. Mais devant des outils et des usages qui modifient les relations sociales, je suis désemparé. Je viens là pour essayer de comprendre, grâce à vous tous, cet espace dans lequel plus qu'ailleurs, comme disait René Char, l'essentiel est sans cesse menacé par l'insignifiant.<br> Yohann GILLES @yohanngilles

Gwenael Prié, consultant numérique dans pays en dvpt

Bonjour je m'inscris à ce MOOC pour alimenter mes réflexions individuelles et professionnelles sur les nouveaux outils numériques, les nouveaux usages, leur place grandissante dans notre vie économique, politique, sociale, personnelle etc. Mon travail se concentre sur la création et la promotion de nouveaux outils numérique à destination des ONG sur leurs terrains d'intervention, les pays en crise et/ou en développement. Serveurs vocaux, campagne SMS, apps smartphones, cartographie/GIS, réseaux sociaux etc. sont amenés à occuper une place de plus importante pour y améliorer l'impact, l'efficacité, la transparence des interventions, et la communication avec les populations bénéficiaires. J'espère aussi à travers ces quelques semaines de pratique mieux appréhender le potentiel et le fonctionnement des MOOC ! GP

Présentation, motivation

Retraité de l'Education Nationale, je réside en province et l'occasion d'enrichir ses connaissances n'est pas facile.Les propositions sont plutôt limitées. Je viens de suivre un MOOC et la formule m'a énormément plu. J'ai donc cherché un nouveau sujet à découvrir et celui-ci me semble intéressant. Alors, j'attends avec une certaine impatience que nous entrions dans le vif du sujet. En attendant je souhaite de bonnes fêtes à toute l'équipe.

présentation

Bonjour, 46 ans, médecin. Je passe beaucoup de temps sur internet et dans les MOOC, notamment...

Twitter addict et heureuse de l'être !

Je vous rassure, pas au sens médical du terme, mais je crois que nous allons explorer tout ça pendant ce MOOC justement... Je m'appelle Stéphanie, je suis professeur des écoles, je suis actuellement détachée comme conseillère technique dans un syndicat d'enseignants et je m'occupe notamment des questions autour du numérique à l'école. Je suis très active sur Twitter (pseudo [@2vanssay][1]) depuis 4 ans 1/2 maintenant et je n'hésite pas à dire que cela a changé ma vie. C'est pour moi devenu un outil de développement personnel et professionnel à part entière ! Pour partager cela avec d'autres et accompagner les débutants sur Twitter j'ai même créé il y a presque un an un MOOC dédié pour apprendre à tweeter en tweetant : [le TwittMOOC][2] Voilà, je suis ravie de l'occasion donnée par ce MOOC d'échanger avec vous sur nos usages du numérique. [1]: https://twitter.com/2vanssay [2]: http://www.2vanssay.fr/twittmooc/

Twitter addict et heureuse de l'être !

Bonjour Stéphanie, Ravie de croiser un nom connu :) Bon MOOC à toi et au plaisir d'échanger que ce soit pour le TwittMOOC ou pour ce nouveau MOOC @ddict :) Bonne soirée, Angéla

Twitter addict et heureuse de l'être !

Bonjour Stéphanie et Angéla, Je vous rejoins sur ce mooc :-) Ai fait aussi une présentation en bonne et due forme. Au plaisir d'échanger ...

Présentation

Bonjour Je suis à la retraite et toujours passionnée par le numérique et son évolution. Voilà pourquoi je me suis inscrite à ce Mooc. Merci à vous

Présentation

Bonsoir. Je m'appelle Anita C. Je viens de lire les messages de présentation des animateurs et les questions que pose Domipec me semblent fondamentales: parler d'addiction nous oblige à "établir des limites": suis-je un utilisateur du net "comme-il-faut"? Où tracer la ligne à partir de laquelle on peut parler d'addiction? Peut-on "abuser" d'internet comme on abuse de l'alcool ou la masturbation :)? Surtout sous l'empire grandissant du politiquement correct et l'autocensure qui gèrent presque toutes les pratiques occidentales. Pour ma part, j'avance timidement l'idée que tout pratique qui échappe au contrôle de notre volonté nous soumet en quelque sorte.

Présentation

51 ans, j'ai été dépendant à l'alcool, j'en suis abstinent complet depuis 4 ans. J'ai d'autres tendances addictives (sans produits) moins dangereux pour la santé physique ;) Des personnes qui ont des tendances addictives quand d'autres savent s'arrêter à temps. C'est lié à des troubles comportementaux. Etant grand utilisateur du numérique (emails, sms, création de sites d'informations) dans des buts associatifs variés mais visant globalement la transition écologique, mes questions sont : 1 - suis-je addict à internet ? 2 - dans quelle mesure l'usage - que j'estime utile - que je fais d'internet pour créer du lien et aider au changement est-il compatible avec le but recherché d'une certaine résilience de notre société ? 3ème Mooc. Merci. Renaud

Présentation

Anita, on peut abuser d'internet et de la masturbation dans le cadre d'internet, justement! ... Simple petite remarque en passant.

Présentation

Bonne remarque! ^^ Et si la masturbation en rend pas sourd, on peut se poser des questions sur les conséquences des abus du net et des jeux. En ce sens, le [témoignage de Julie][1] était très éclairant ;) [1]: https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/univnantes/31002/Trimestre_4_2014/discussion/forum/756dd9adc6fb4d84a4b4b48faac075b3/threads/5499dca054ecc0c4a9000012

Présentation

Ah oui, AnitaC je pense que c'est un bon départ ton hypothèse: "Toute pratique qui échappe au contrôle de notre volonté nous soumet en quelque sorte." En sachant que plein de choses échappent au contrôle de notre volonté et heureusement d'ailleurs que l'on ne contrôle pas tout! Nous sommes soumis à plein de choses, à commencer par notre mort à venir et c'est assez terrible... J'ajouterai donc peut-être, tout aussi timidement, que ce qui n'est vraiment pas souhaitable c'est que 1) quelque chose échappe à notre contrôle et 2) passe sous le contrôle d'autres que je n'ai pas choisis ou que nous n'avons pas choisis collectivement... Effectivement parler d'addiction nous oblige à établir des limites, encore faut-il que nous ayons la liberté de les choisir, condition nécessaire mais pas suffisante... Bon, je dis ça, c'est juste pour faire avancer le schmilblik. En matière de numérique, il me semble qu'il y a l'utilisateur que je suis et il y a l'utilisateur que l'on fait de moi.

Présentation

ou que l'on voudrait faire de moi (l'utilisateur), et qui a le droit, et aussi le devoir de résister. Fût-il profilé, qui peut dire non (s'il le peut; exemple : sollicitions commerciales, médiocrités médiocres : liste à , non pas définir, mais compléter). quoiqu'il en soit, ne nous cachons pas que cette toile est dominé par des forces à tendance hégémoniques (capitalistiques ou capitaliste : Google numérisateur de livres, amazon vendeur de livres en tout genre, tueurs de libraires et d'éditeurs indépendants), que notre liberté , celle qu'on s'arroge peut-être un peu abusivement, se situe dans un cadre qui supervise nos actions dans un cadre prédéfini qui nous échappe et don le moteur est l'accumulation d'argent

Présentaction!

Bonjour, Dans cette espace internumérique, mon nom est Bzzz. Je m'intéresse particulièrement aux changements présents et à venir du vivant et spécialement de l'humain. Dans ce domaine, l'explosion du numérique est un gros morceau. C'est pour cela que j'ai atterri sur @ddict?, pour tenter de voir de plus près de quoi il retourne. Cela semble a priori sympa sur cette petite planète collaborative, loin du trou noir des algorithmes rentabilisateurs de la galaxies du grand marché. J'espère y renforcer mes équipements mentaux et numériques pour éviter les risques de décérébration programmée. J'espère l'instauration d'interconnexions collaboratives et solidaires. Pour entrer un peu dans le débat, pour moi le numérique est à ce jour un outil et il est indispensable qu'il le reste. Un outil, ce n'est ni bon ni mauvais, tout dépend de ce que l'on en fait. Qu'allons nous en faire durant notre séjour sur cette petite planète éphémère? On va voir... Quoi que l'on y fasse, au moins faisons le dans la bonne humeur: si on arrive à se faire plaisir ensemble, c'est déjà ça de gagné! Pour terminer cette introduction: On dirait qu'on ne peut pas se mettre en avatar sur ce forum? Pas de trombinoscope? Pas de photo? Pas d'image? Bon, faute de petite photo identitaire, je suis obligé de me présenter en grand format semble-t-il (en espérant que ça marche!): ![Bzzz!][1] [1]: /media/1419270719287223.jpg

Présentaction!

Salut Bzzz ^^ > Un outil, ce n'est ni bon ni mauvais, tout dépend de ce que l'on en fait. Dans le cas des êtres vivants, je me demande s'il y a des outils au contraires qui ne pourraient être que mauvais. A l'image de certaines substances qui sont fondamentalement toxiques même s'il n'y en a qu'un seul atome (contrairement à ce que disait Paracelse : "la dose fait le poison"). Let's bee happy :p *et je sors*

Présentaction!

Salut jberry D'après Platon repris par Derrida (ah ben oui quand même!) les substances psychoactives sont toutes à la fois (et simultanément) remède et poison... Un peu comme on a les défauts de ses qualités si tu vois ce que je veux dire... Platon mettait aussi l'écriture dans cette catégorie, je mettrais bien aussi le numérique. Tout dépend de l'usage. Le curare par exemple peut permettre d'anesthésier mais aussi de tuer, là c'est une question de dosage, mais l'usage, cela ne s'arrête pas au dosage. ![A+ Bzzz][1] [1]: /media/14193510632877774.jpg

Présentaction!

Bonjour, Qui es-tu IRL ? Es-tu le psychiatre de l'équipe pédagogique de ce MOOC ? Pourquoi dans ce cas, te cacher derrière un pseudo ?

Présentaction!

Bonjour Anneb90, c'est moi (Bzzz) que tu appelles IRL? Dans ce cas mauvaise pioche, je ne suis pas le psychiatre de l'équipe pédagogique. Quant au pseudo, c'est une possibilité offerte à chacun qui participe me semble-t-il? De plus, je ne me cache pas je montre ce que je veux de moi dans cet espace, voilà tout! Cordialement.

Présentaction!

Ah IRL, In Real Life! Chavé ba gompri! Cela ne change pas ma réponse précédente. Cordialement

Présentation d'un participant au Mooc @ddict

Je suis retraité , ancien salarié d'Orange, entreprise acteur majeur du développement du numerique auprès des consommateurs. J'en ai garde et même developpe un attrait très important au numerique que çe soit dans le fonctionnement des outils du numeriques et dans leur utilisation propre. Depuis que je suis possesseur d'une tablette (4 ans au moins) je suis relié constamment au monde numerique: lecture de quotidiens, consultation de sites d'actualité, lecture de livres , écoute en parallèle de musiques via deezer. J'ai intégré ces atouts du numerique dans mes activités artistiques comme la peinture en utilisant un modèle photo sur tablette avec possibilité d'agrandissement, d'utiliser des video d'aide quand je répare des appareils ou conçoit des articles de menuiserie. Voici quelques unes de mes pratiques avec le numerique qui est un utilitaire, une aide précieuse et un support dans ma vie au quotidien

Présentation d'un participant au Mooc @ddict

Bonjour Peillot, Est-ce qu'au fil des années d'utilisation de la tablette tu as constaté une diminution de la vitesse de lecture ou d'avoir plus de mal à visualiser une scène lue ? Cela semble être le cas de nombreuses personnes et j'aimerais bien avoir ton retour. Cordialement, Jérémy.

Présentation

Quand j'ai commencé mes études l'informatique n'existait pas. J'ai arrêté mon premier métier en 1987 pour un stage de développeur. Depuis le numérique me fait vivre (financièrement et intellectuellement), je pense même être addict depuis cette époque, pas forcément par rapport à internet mais je ne peux pas vivre sans ordinateur. J'ai travaillé ces 5 dernières années en télétravail (responsable de production chez un éditeur de logiciels en ligne). Après 8 à 9 heures devant mon écran pour le travail je continuait à animer mes sites webs et à surfer. J'ai dû arrêter de me servir de la souris avec la main droite qui est devenue très douloureuse, j'utilise maintenant la gauche (comme me l'a proposé la médecine du travail :-) Au chômage depuis peu je me suis lancé dans les mooc et j'ai bien peur de m'être inscrit à tous les mooc fun numériques. Ce qui m'a interpellé sur le wiki c'est l'acronyme FOMS, je n'avais pas encore vu les choses comme ça mais il y a du vrai la dedans. Évidemment, j'attends la suite !

Présentation d'outre atlantique

Bonjour à toutes et tous, Je travaille à la coordination des programmes d'enseignement en intervention en toxicomanie pour l'Université de Sherbrooke (Québec, Canada). L'un de mes dossiers concerne la formation à distance et en ce sens à prendre connaissance des nouvelles technologies disponibles. On entend de plus en plus parler de MOOC et lorsque me fut donné l'occasion d'en suivre un en français et de surcroit, dans mon champ d'intérêt principal (les dépendances), j'ai sauté sur l'occasion. Je ne suis pas en contact direct avec une clientèle qui éprouve des difficultés avec l'utilisation du net mais me sens interpelé tant par le monde professionnel dans lequel j'évolue qu'à titre de parent d'adolescents et de jeunes adultes.

Présentation d'outre atlantique

Bonjour Je suis Nathalie Durand, consultante en ingénierie de la formation et des acquis de l'expérience. Je travaille à distance en formation et pour l'accompagnement VAE. L'approche recherche action et connectiviste de ce mooc m'intéresse car je souhaite échanger sur ces pédagogies que j'intègre dans mes activités. je m'intéresse aussi aux travaux sur la reconnaissance des acquis au niveau international (RAC au Québec par exemple). j'ai besoin de comprendre comment le "a distance" prend sa place dans des activités professionnelles ou sociales. Hum et puis j'ai un fils de 14 ans plus accro à son ordi qu'à sa guitare et ça m'énerve :)) Bon MOOC ou CLOM à tous :)) Nathalie

Présentation d'outre atlantique

Je déteste les abréviations - parfois polysémiques - auxquels on ne comprend rien. C'est la spécialité navrante d'un organisme qui devrait s'en abstraire : le Ministère de l'Education Nationale (française ou français, c'est selon) et ses filiales (Rectorats, ...) . alors , je vous en prie : épargnez moi ! '(pour la clarté de l'expression. Il est vrai que je déteste aussi le néologisme "au final", particulièrement hideux. Finalement, j'espère que je ne déteste pas tout

Présentation

Bonjour à toutes et à tous, Je m'appelle Frédéric GERAUD. J'ai 39 ans. je travaille depuis 15 ans dans l'informatique de gestion sur Paris. J'occupe aujourd'hui un poste d'architecte fonctionnelle en informatique dans un grand groupe bancaire international. Je suis depuis 1 an des MOOC sur internet, d'abord par curiosité (en espérant ne pas encore en être complètement addict :-)). Je suis également, par intérêt personnel, des enseignements en STS (Science, Technologie et Société). Côté professionnel j'ai pas mal travaillé sur les nouveaux usages de paiements (mobile) et je participe aujourd'hui activement à des transformations de Système d’ Information autour de ces nouveaux usages et comportements associés. Je me suis inscrit à ce MOOC collaboratif pour prendre de l'information sur les recherches en cours autour des comportements des usagers d’internet et pour apporter, si possible, une contribution à vos travaux. Bravo pour cette initiative collaborative. Bien à vous, Frédéric GERAUD.

Plus débordée qu'addict...

Bonsoir à tous, Je commence avec une petite présentation : Angéla, 27 ans, jeune Ingénieur en mécatronique (ou généraliste si vous préférez :)), je travaille actuellement dans l'automobile. J'ai découvert les MOOCs récemment suite à une envie d'évoluer professionnellement et, peut-être, de changer d'activité. Je suis là par curiosité, pour découvrir toujours de nouvelles choses et échanger :) Quand je lis les différentes présentations, je suis ravie de la diversité des profils et de l'enthousiasme, ça donne envie de se lancer ! :D Donc, pour commencer, j'ai l'impression que définir l'addiction n'est pas si simple... Je ne me suis jamais sentie "addict" de quoi que ce soit (il parait que les gens sont plus ou moins sensibles aux addictions, c'est vrais ?). Pour moi, une addiction c'est quelque chose que vous ne pouvez arrêter, qui vous empêcherait de mener vos autres activités... Hors ça, ça ne m'arrive pas. Je me déconnecte facilement que ce soit de mon PC ou de mon portable... Par contre, quand je suis connectée, je suis un peu hyperactive, du coup je suis vite débordée (j'œuvre quinze pages, saute entre mes mails, Twitter et tous les blogs super intéressants à lire ^^...etc) et j'ai l'impression de ne pas profiter pleinement du numérique et de tous les outils qu'il offre :( Bref, j'espère en apprendre ici plus sur le numérique, ces usages et outils et échanger sur nos pratiques. Au delà de l'addiction pure, j'aimerais comprendre comment réguler nos pratiques et mieux les organiser. J'arrête mes bavardages ici et espère échanger ici ou sur Twitter (avec le même pseudo) avec vous ! Bonne soirée et bonnes fêtes, Angéla

Plus débordée qu'addict...

Un petit coucou à mon tour... Ravie de te croiser à nouveau ici !

Plus débordée qu'addict...

Salut Angéla, > (il parait que les gens sont plus ou moins sensibles aux addictions, c'est vrais ?). Pour moi, une addiction c'est quelque chose que vous ne pouvez arrêter, qui vous empêcherait de mener vos autres activités... Je souscris à cette définition : je me demande d'ailleurs si les vrais addicts rient en entendant l'expression "libre arbitre" ? Il existe des gens plus sensibles que d'autres à certains médicaments (nécessité de prendre plus d'aspirine par exemple), je suppose qu'il en est de même pour les addictions. > j'ai l'impression de ne pas profiter pleinement du numérique et de tous les outils qu'il offre :( C'est une sorte de zapping ? Est-ce que tu arrives à lire longuement un livre ? Bonnes fêtes à toi aussi ^^

Plus débordée qu'addict...

Bonjour, Tout d'abord merci pour l'intérêt porté à ma présentation et pour ces questions. Je n'ai pas le sentiment d'avoir des soucis pour lire des textes longs de type romans par exemple même si en ce moment je n'ai pas vraiment le temps de tenter l'exercice. J'ai surtout l'impression qu'Internet accentue un tendance à la multitâche que j'ai déjà naturellement (je ne peux pas regarder la télé sans rien faire par exemple). Quand je travaille, j'ai déjà du mal à faire une tâche pleinement longtemps... Quand je surf, ou que je participe à un MOOC comme celui-ci, je découvre pleins de choses et d'outils et j'ai pleins d'idées de choses à faire, de projets auxquels participer..etc. Mais j'ai le sentiment de ne pas savoir comment trier tout ça pour en profiter. Comment décider de ce qui est vraiment intéressant, comment organiser les projets de loisirs, le temps qu'on y consacre...etc J'ai déjà des pistes sur ces questions mais ça m'intéresse d'en parler ici et j'espère découvrir de nouvelles pratiques :) Sinon, si votre question à pour but de parler des soucis de concentration sur Internet c'est vrais que les notifications, les hyperliens qui vous renvoient sans cesse vers de nouvelles choses..etc sont aussi compliqués à gérer. Bonne journée, Angéla

Plus débordée qu'addict...

Bonjour, Je suis également souvent avec quinze pages ouvertes (et J avoue même parfois avec deux écrans simultanés...) Pour réguler c, J ai pas mal investi des outils de collectes du type pearltrees ou scoop it. des qu un lien m interresse, je peux le ranger de façon à le retrouver facilement selon les thématiques. Ça m aide à mieux organiser mon temps d écran . (Et je rajoute au sujet de l addiction...il me semble qu une caractéristique de l addiction peut être de ne pas se définir soi même comme addict la suite du parcours me permettra d y réfléchir encore ;) )

Plus débordée qu'addict...

Bonsoir, Pour ta dernière remarque, je pense qu'il faut faire attention a ne pas faire d'illogisme.. les gens addict, ou dépendant on tendance à le nier mais ça ne signifie pas que les gens qui disent ne pas être addict le sont ! 😉 Et j'ai l'impression que parfois on confond l'addiction et les difficultés de gestion et d'organisations lies aux activités numériques.. mais j'espère en apprendre plus sur ce point 😊 Bonne soirée, Angela

Plus débordée qu'addict...

PS : c'est plutôt de faux syllogisme dont je voulais parler je crois...

Victor de Champeaux Jeune Diplômé

Bonjour à tous et à toutes, je m'appelle Victor de Champeaux, j'ai 24 ans et viens d'être diplômé en Management des Ressources Humaines à l'European Business School, Paris (EBS). À l'heure où je vous écris je suis en stage (non obligatoire) dans une SSII en tant que chargé de recrutement et ce jusqu'au 31 Décembre, date hautement importante à laquelle je me consacrerai entièrement au MOOC et à ma cherche d'emploi à bon entendeur (sans être opportuniste ;-)). Moi non plus je ne sais pas comment définir l'addiction numérique. Mais si on prend la définition strict d'addiction, je suis peut être un peu addicted au numérique. En effet je switch très souvent entre l'ordinateur sur lequel je travaille en permanence et mon téléphone pour être en contact avec mes relation ( pas de jeux). Cependant j'essaye au maximum de me détacher de tout ces écrans (pas facile). Ce qui m'intéresse via ce MOOC en plus de vouloir apprendre de nouvelles choses, est de pouvoir réfléchir et interagir avec des "civils" et des "scientifiques" sur ce thème, afin de comprendre les différents points de vue et de comprendre le sens de ce qu'est "L'addiction au numérique".

Victor de Champeaux Jeune Diplômé

Bonjour Victor, Super le 31 décembre, on commence vraiment le 6 Janvier! "je switch très souvent entre l'ordinateur sur lequel je travaille en permanence et mon téléphone pour être en contact avec mes relation ( pas de jeux). Cependant j'essaye au maximum de me détacher de tout ces écrans (pas facile)." Une manière très concrète et sincère d'introduire la problématique! A bientôt donc,![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14193689495376148.jpg

Victor de Champeaux Jeune Diplômé

Effectivement ce mooc correspond parfaitement à mes attentes. Par contre je te trouve un peu sévère avec cette photo dans laquelle je ne me reconnais pas du tout ;-)

Victor de Champeaux Jeune Diplômé

Désolé. C'est vrai, cela ne te ressemble pas du tout! :-) ![bf][1] [1]: /media/14198049174023834.gif

Présentation ^^

Salut tout le monde!! , je suis étudiante en développement informatique dans un centre, aussi étudiante de sciences math et info à l'université. La programmation informatique est ma passion , je cherche toujours des nouveautés dans ce domaine. J'aime cette plateforme et je veux bien participer avec vous .Merci :)

Présentation ^^

Salut Anne Onyme :p Bienvenue ^^ Vu que tu es étudiante en math-info, peut-être que tu aimeras ceci : https://www.youtube.com/watch?v=aQWnx1PX7-w Bonnes fêtes! :)

Hello

Bonjour à tous et à toutes, Amélie 25 ans diplômée en Master Marketing et Ventes spécialisé dans les médias et la communication. Actuellement assistante commerciale dans une banque, je suis passionnée par tout ce qui touche au numérique.

Hello

Bonjour Amélie, "je suis passionnée par tout ce qui touche au numérique." Passionnée... A ce point là?! Bonne fin d'année![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14193682724603866.jpg

Jeremy

Bonjour, Je m'appelle Jérémy, j'ai une licence en informatique validée il y a un an. Si le sujet déchaîne assez les passions, il pourrait être intéressant de se rencontrer IRL :p par ville. Je suis sur Marseille. Ce qui m'intéresserait : - Savoir comment les gens ressentent les choses, avoir des points de vue différents sur les addictions - Avoir des pistes pour un usage intelligent des écrans (qui ne détériore pas nos capacités à la concentration prolongée, par exemple pour la lecture de longs textes) - Savoir si nos capacités sont affectées d'autres façons. - Et probablement d'autres choses au fur et à mesure :) Bonnes fêtes à toutes et à tous! ^^

Jeremy

Beau programme Jérémy! Pour la lecture de longs textes je recommande la mise sur papier! Bonne fin d'année à toi.![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14193674644997918.jpg

Jeremy

Je suis entièrement d'accord avec Bzzz pour lire, réfléchir et étudier un long texte (ou un texte en générale, toutes choses égales par ailleurs) rien vaut que de l'avoir sur une feuille de papier.

Jeremy

Oui et ne pas hésiter à écrire sur le papier, j'ai eu du mal pour les livres mais maintenant je me retrouve plus facilement ^^

Josephine

Bonjour, je suis Josephine, toute nouvelle docteur en chimie et assistante d'enseignement à l'université de Montpellier. On se rend compte, jour pour jour, que le web fait partie de notre quotidien et chacun doit pouvoir gérer un équilibre entre son utilité et la perte de temps. Cela m'intéresse bien de savoir comment d'autres personnes ressentent cette problématique.

Josephine

Bonjour Joséphine, félicitations pour le doctorat! "On se rend compte que le web fait partie de notre quotidien et chacun doit pouvoir gérer un équilibre entre son utilité et la perte de temps." Oui, tout à fait d'accord. Encore que: quid de la dimension ludique dans tout cela? Bonne fin d'année! ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14193670909157811.gif

Josephine

Salut Josephine, Bienvenue sur le MOOC. Il y a un livre qui mériterais d'être lu sur cet équilibre utile/inutile : http://www.lesbelleslettres.com/livre/?GCOI=22510100438150 (mais je n'ai pas encore eu l'occaz de le lire) J'aimerais bien savoir la part d'informatique dans ton quotidien de nouvelle tête chercheuse scientifique ? :p Il y a bien un livre de Dunod sur la bioinformatique, mais en chimie qu'en est-il ? Bonne année! :)

Présentation

Bonjour, Ayant plus de 50 ans, je peux vraiment mesurer les changements qu'a apporté le numérique dans ma vie de tous les jours (Ah ! les achats de Noël sur internet... quelle délivrance !), dans mes relations, mon travail... et mes loisirs puisque c'est mon quatrième mooc depuis le début de l'année 2014 (depuis que j'ai découvert le mot "mooc"). Une remarque pour commencer : Addict est un mot qu'on rencontre à propos de tout et de n'importe quoi depuis quelques années. Il semble qu'on puisse être "addict" au chocolat, à Game of Thrones ou aux chaussures Louboutin aujourd'hui ! Et mon centre d'intérêt particulier par rapport à ce mooc : Comment l'usage du numérique nous transforme-t-il ? Psychiquement, neurologiquement (transforme-t-il le cablage neurologique du cerveau ?), socialement...

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Bonjour, Oui je suis d'accord avec toi, addict cela peut s'appliquer à n'importe quoi maintenant. C'est d'ailleurs le sens du mot anglais t addiction, mot anglais qui vient lui-même d'un vieux mot français. J'espère que le MOOC va nous aider à y voir un peu plus clair et à accorder nos violons. C'est le thème de la semaine 1. Comme je partage ton centre d'intérêt particulier, je recopie ma présentation, question de faire un peu connaissance: Dans cette espace internumérique, mon nom est Bzzz. Je m'intéresse particulièrement aux changements présents et à venir du vivant et spécialement de l'humain. Dans ce domaine, l'explosion du numérique est un gros morceau. C'est pour cela que j'ai atterri sur @ddict?, pour tenter de voir de plus près de quoi il retourne. Cela semble a priori sympa sur cette petite planète collaborative, loin du trou noir des algorithmes rentabilisateurs de la galaxies du grand marché. J'espère y renforcer mes équipements mentaux et numériques pour éviter les risques de décérébration programmée. J'espère l'instauration d'interconnexions collaboratives et solidaires. Pour entrer un peu dans le débat, pour moi le numérique est à ce jour un outil et il est indispensable qu'il le reste. Un outil, ce n'est ni bon ni mauvais, tout dépend de ce que l'on en fait. Qu'allons nous en faire durant notre séjour sur cette petite planète éphémère? On va voir... Quoi que l'on y fasse, au moins faisons le dans la bonne humeur: si on arrive à se faire plaisir ensemble, c'est déjà ça de gagné! Bzzz!

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Bonjour Sylvie, Oui c'est vrai qu'on entend "addict" très souvent. D'ailleurs je me demande s'il s'agit d'un euphémisme pour "dépendant" ou que le mot comporte un autre sens. J'ai l'impression que c'est assez différent de dire que quelqu'un est dépendant aux jeux vidéo par exemple, ou qu'il en est addict. Etre "Addict", c'est mignon. Etre "Dépendant", c'est être malade. Mais il n'y a peut-être que moi qui voit ça comme ça? Ambre Erbisti

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Oui Ambre cette distinction me parle car il y a quelque chose de l'ordre de la déstigmatisation qui est en jeu;nous y reviendrons forcément des la première semaine du MOOC;à bientot donc.JLVenisse

Moi c'est Salima

Bonjour à tous, Je m'appelle Salima, je souhaiterais en savoir plus au sujet des nouvelles technologies et de la façon dont elles influencent nos habitudes particulièrement en ce qui concerne les ados. Je suis également concernée, j'exploite ces ressources et prépare une activité de blogging. Je voudrais éviter les pièges de l'aliénation tout en étant dynamique. Je ne connaissais pas du tout ce mode d'échange et je suis vraiment curieuse et impatiente de découvrir ce que les équipes nous réservent. Passez une agréable journée A bientôt

Moi c'est Salima

Salut Salima, un peu d'humour pour commencer... ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14193513998375709.jpg

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Bonjour, Je m'appelle Antoinette et je suis une ligérienne installée à environ 50 km de Nantes. je suis formatrice et animatrice d'atelier d'écriture depuis 10 ans et je m'intéresse depuis plusieurs années aux changements liés à l'émergence de l'écriture numérique et aux ateliers de créations numériques et plus largement à la question des formations à distance. Le numérique comme espace de bricolage et de surgissement, oui, cela est de plus en plus sensible et me rend très curieuse de cette réelle mutation ... ontologique en cours ! En pleine période de changement professionnel - licenciement économique en cours - ce MOOC tombe à pic par son sujet et par sa forme collaborative ! J'aurai des liens à donner autour de tout cela mais il me semble avoir vu quelque part dans le forum qu'il y avait un espace dédié .... à retrouver. Au plaisir d'échanger avec vous ! Antoinette

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Bienvenue Antoinette! "Le numérique comme espace de bricolage et de surgissement, oui, cela est de plus en plus sensible et me rend très curieuse de cette réelle mutation ... ontologique en cours": Voilà une base de départ qui me plaît bien, en plein dans la recherche action à mon avis!. Bonne fin d'année et à bientôt!! ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/1419355502228850.jpg

Gaël, technophile

Bonjour à tous, Je suis très curieux de découvrir comment fonctionne un MOOC et le sujet "@ddict ?" me donne très envie d'échanger. Les objets connectés sont omniprésents dans mon quotidien (ordi, tablette, smartphone), je travaille dans la conception et la réalisation de logiciels et je m'intéresse particulièrement à l'ergonomie (ou l'UX, comme c'est si bien dit dans le webinaire d'introduction !). Je suis très réceptif aux produits Google depuis qu'ils existent et je n'hésite pas à en vanter les mérites dans mon entourage. Je suis également adepte du binge-watching et persuadé qu'il s'agit d'une forme d'addiction. Une question me hante déjà quand je lis les présentations de chacun (avec des retraités accros aux MOOC) et quand je découvre petit à petit les outils du MOOC (Facebook, Twitter, Skype, Google Drive, Wiki, forum, blog) : est-ce qu'à terme les MOOC ne vont pas rendre tout le monde @ddict ? Le sujet se mord la queue... :)

Gaël, technophile

Hmmm Oui c'est vrai le sujet se mord la queue. Y a quelque chose qui tourne pas rond là dedans, il faut que j'y retourne immédiatement! ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/1419354061349942.jpg

Saint Martin Presse Prévention

Bonjour, je suis Muriel, je vis sur l'île de Saint-Martin et je suis formatrice auprès de jeunes en difficulté, je m'intéresse aux @ddict

Saint Martin Presse Prévention

Bonjour Muriel, Si tu t'intéresses aux addicts... Bienvenue! ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14193538006236294.gif

Virginie - chargée de communication

Bonjour, Je vis à Poitiers et m’intéresse aux usages d'internet. L'aspect collaboratif et pluridisciplinaire de ce Mooc m'a semblé particulièrement intéressant. J'ai suivi le semestre dernier un cours "Internet, réseaux sociaux, jeux vidéo et subjectivités" délivré par l'université (citoyenne) de Poitiers. Je n'ai encore jamais participé à un Mooc. En revanche j'ai suivi des formations (diplômantes) à distance en ligne en 2001 et 2003. j'utilise internet notamment dans mon boulot mais aussi à titre privé. Je ne pense pourtant pas avoir la même approche ni la même attitude vis à vis de l'outil.

Virginie - chargée de communication

Bonjour Virginie,Intéressant le sujet du cours, dans quel domaine d'étude si ce n'est pas indiscret? !![Subjectivité...][1] [1]: /media/14193526858421532.jpg

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Bonjour à tous et toutes. Je m'appelle stéphane de Paris et je suis architecte en informatique. Je viens sur ce Mooc par gout pour l'apprentissage sans attente particulière sinon de la curiosité.

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Bienvenue Stéphane, "Je viens sur ce Mooc par gout pour l'apprentissage sans attente particulière sinon de la curiosité". la curiosité n'est pas toujours un vilain défaut! Bonne fin d'année. ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14193535618780396.gif

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Trop cool le dessin ! Je reconnais quelqu'un à la maison !

Séverine

Bonjour à tous, je suis enseignante en collège et le numérique fait maintenant partie intégrante de l'école... et de nos vies : la mienne (personnelle et professionnelle) et celle de mes élèves (peut-être encore plus?). J'attends de ce MOOC collaboratif des échanges enrichissants. Ma pratique du numérique n'est pas forcément la votre, qui est sans doute différente de celle(s) de mes élèves. Alors, @addict**S**? A bientôt!

Anne, professeur des écoles

Bonjour à tous, Ex-ingénieur, 46 ans, je suis professeur des écoles. Après avoir passé une bonne partie de mon temps libre et de mes nuits sur les jeux vidéos, la navigation sur internet, un forum, Facebook et ses jeux, les moocs dont Itypa 2, je suis actuellement principalement sur Twitter et je joue autant que possible à Ingress, le jeu en réalité alternée de Google. J'utilise maintenant surtout ma tablette et mon smartphone, moins mon ordinateur portable. En évoquant mon souhait de désintoxication sur Twitter, une twamie à l'écoute m'a fait part de ce mooc. J'ai la nette impression qu'il ne va pas m'aider à tenir mes bonnes résolutions :-) Mais je suis sûre qu'il va m'aider à avancer dans mes réflexions et à finir une discussion inachevée sur les réseaux sociaux que j'ai entamée avec un médecin ... Au plaisir d'échanger Anne B. @anneb90

Ambre Erbisti, jeune psychologue

Bonjour, Voilà, je suis jeune diplômée en Psychologie Sociale, et je suis à la recherche de mon premier boulot. Du coup j'ai beaucoup de temps libre, et c'est en voulant trouver de quoi garder mon cerveau en marche que je suis tombée sur ce MOOC. J'avais déjà entendu le terme MOOC, mais je ne m'y étais pas encore intéressée de près, c'est donc ma première expérience. Je m'intéresse au numérique vu que je suis plus ou moins née dedans (j'ai 26 ans) et que je ne conçois pas tout à fait comment je ferais pour vivre sans internet (comment on fait pour trouver une adresse, connaître la recette des crêpes, organiser des soirées sans internet?! ;D ) Je suis pressée de pouvoir échanger avec vous tous, j'ai lu chacune de vos présentations et je pense que ça va être très sympa! Ambre ERBISTI

Ambre Erbisti, jeune psychologue

Bonjour Ambre Erbisti. Bonne chance pour ta recherche de boulot. J'ai bien une idée du domaine, mais on travaille dans quoi quand on est psychologue social? ![][1] ![][2] [1]: /media/1419440552284448.jpg [2]: /media/14194405967559893.jpg

Ambre Erbisti, jeune psychologue

Salut Buzz! Y'a pas vraiment de place stéréotype pour les psy-sociaux. Je dirais que quand on est psychologue social, on travaille à peu près partout où travaillent les autres psy, mais avec une autre manière d'aborder les choses. On peut aussi travailler là où il y a des phénomènes sociaux à comprendre voir à résoudre, comme par exemple des situations de conflits (intra ou intergroupes). Bref un peu partout quoi! Ambre

Ambre Erbisti, jeune psychologue

Merci Ambre, Si je comprends bien, pour nous ramener au sujet du MOOC, la psychologie sociale pourrait par exemple très bien servir à analyser le décalage psychique lié au surgissement des technologies numériques ou, autre exemple, à analyser les complexités de l'interface homme/robot... Bzz. ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/1419784612483451.gif

Julie, ex addict (enfin, encore un peu quand même)

Bonjour à tous, Je m'appelle Julie, chargée de communication interne dans une banque en ligne. Après des années de réelle addiction au numérique et plus particulièrement aux jeux vidéos, j'ai appris à prendre du recul et à analyser mes propres réactions. J'ai connu beaucoup d'autres personnes dans le même cas que moi à travers mes relations in game et c'est en regardant le comportement des autres que j'ai pu comprendre le mien. J'attends plusieurs choses de ce mooc : apprendre à comprendre le pourquoi de ces addictions, d’où viennent elles, comment notre comportement peut il en être autant modifié. Je dois également l'avouer, les mooc je crois que c'est une nouvelle addiction qui est en train de me gagner :) on est tellement mieux à apprendre plutôt que devant sa télé... Bonnes fêtes à tous et à bientôt !

Julie, ex addict (enfin, encore un peu quand même)

Bonjour Julie, Peux-tu expliquer ce qui a fait que tu te sois dis que tu étais réellement accro au numérique? Quelles conséquences (sans forcément entrer dans les détails) ça avait sur ta vie? Ce que j'observe autour de moi qui me fait le plus penser à de l'addiction c'est l'application facebook sur le téléphone de membres de mon entourage. Ainsi ils peuvent interrompre une conversation IRL pour se plonger dans une conversation virtuelle. Ils ne sont jamais tout à fait là, mais toujours un peu là-bas (sur facebook, avec quelqu'un d'autre). Ca a donc un impact sur leurs relations familiales par exemple. Ambre Erbisti

Julie, ex addict (enfin, encore un peu quand même)

Bonjour Ambre, Je vais essayer de te résumer ce qui pour moi représentait mon addiction. La liste ne sera pas exhaustive car elle serai trop longue ! 1ere chose : mon temps de jeu. Entre 21 et 27 ans, je jouais de 6h à 10h par jour en semaine et jusqu'à 18h le week end. Ce temps de jeu a eu de grosses répercutions sur ma vie quotidienne : - perte de lien avec mes amis "réels" : entre aller boire un verre ou rester à jouer, je n'hésitais pas. Aujourd'hui, je me suis coupée de toutes les personnes que je fréquentais il y a encore quelques années. Je n'ai plus d'"amis" à proprement parler. - Incapacité à sortir de chez moi pour des activités : je n'ai pas mis les pieds au cinéma depuis des années, pourtant j'adore ça. Les musées, expos et autre, se limitent à des affiches que je vois et ou je me dis "ça a l'air bien ! mais.... non...." - Stress ingérable : je n'avais aucune coupure dans mes journées, et ce dès le réveil. levée -> jeu -> Boulot -> jeu -> dormir. Même pour manger je restais devant mon écran. Cela a eu des répercussions que je commence seulement à identifier, voici la principale : je me croyais insomniaque depuis des années, depuis que je joue moins je dors beaucoup mieux. Autre exemple, je manquais de patience au travail, je suis aujourd'hui beaucoup plus calme et patiente. J'ai pris conscience de mon addiction en vivant avec quelqu'un encore plus dépendant que moi. Cette personne en était au point de faire des crises d'angoisse le matin en allant travailler. Il faisait demi tour, rentrait s'installer devant son ordinateur, et tout allait mieux. Il jouait le jour, la nuit, il était incapable de s’arrêter une seule minute. J'ai très vite identifié d'ou venait son problème, et le voir agir, se comporter ainsi, m'a complètement dégoûté de mon rapport aux jeux. J'ai essayé de l'envoyer voir un spécialiste, mais dès que le mot "addiction" tombait, il ne retournait jamais voir la personne. Il a perdu plusieurs emplois à cause de ça, mais ça n'avait pas d'importance pour lui, il lui suffisait d'avoir son ordinateur pour être heureux. Nous nous sommes finalement séparés à cause de ça. Moi, la grande joueuse, je ne supportait plus quelqu'un qui jouait trop. Étonnant vu mon parcours, mais salutaire. Aujourd’hui je me suis forcée à changer, et je me force au quotidien. Parfois au moment de lancer un jeu, je réfléchis, et je me dis "non, mets toi un film/va lire/faire autre chose, mais ne joue pas" Pour conclure, je dirais que cette addiction a eu un impact sur ma vie sociale, ma vie professionnelle ainsi que ma santé. C'est cher payé, pour quelque chose dans lequel je suis tombée à à peine 18 ans, un age ou on ne voit pas venir l'avenir :)

Julie, ex addict (enfin, encore un peu quand même)

Bonjour Julie, Un grand merci de partager avec nous ce témoignage sur votre usage des jeux videos et les répercussions négatives que cela a pu avoir dans votre vie. L'impact sur les différents aspects de la vie (social, professionnel, et la santé) que vous décrivez très bien est un critère repris par de nombreux chercheurs sur l'addiction à Internet. J'espère que ce MOOC apportera d'une manière ou d'une autre des éléments de réponse aux questionnements qui vous animent sur ces sujets. Guillaume

Julie, ex addict (enfin, encore un peu quand même)

Merci pour ce témoignage.

Julie, ex addict (enfin, encore un peu quand même)

merci pour ce témoignage tres contributif qui décrit bien les dommages liés à la conduite répétitive ,et aussi qu'il peut etre plus facile d'en prendre conscience à travers le fonctionnement (ou le témoignage) de quelqu'un d'autre. JLVenisse

Julie, ex addict (enfin, encore un peu quand même)

La fuite de la réalité nous aveugle sur les dangers que l'on encourt. Une ancienne addiction aux jeux en ligne de mon côté, mais c'est fini. J'attends aussi de ce MOOC des échanges sur la pensée réflexive et la prise de conscience, d'où l'intérêt de ton témoignage : merci Julie ^^

Se présenter

Bah, je vais pas tout dire. Je frappe très mal, je ne suis pas, ou plutôt je suis d'une génération pré-informatique. je m'y suis mis d'abord malgré moi, par nécessité professionnelle, et puis... Mais pas tout : facebook auquel je refuse d'addhérer, préférer une lettre à un mail, trouver ridicule la moitié de la population, des haut parleurs dans les oreilles et une main qui fait défiler des icones, tout ça, je crois pas que ce soit pour moi, comme l'informatique donc. Un de mes péchés mignon : triturer les traducteurs automatiques avec des phrases improbables (ce sacré Googletranslate et encore d'autres bien plus courants

Se présenter

Bonjour Kondor, Si j'ai bien compris, vous n'êtes pas français mais vous apprenez la langue. Bon courage, des amis (allemand, anglais, espagnol, japonais, etc.) me disent que c'est difficile. D'où venez-vous ?

Pour mieux comprendre...

Bonjour à tous, Je participe, avec quelques collègues formateurs dans l'éducation populaire, à un petit groupe qui réfléchit sur l'usage du numérique chez les jeunes. Ce Mooc devrait pouvoir m'aider à mieux comprendre les mécanismes d'addiction afin de chercher (et peut-être trouver) une réponse éducative à ces phénomènes. Bonne fin d'année à tous,

Mes motivations

C'est mon premier MOOC : l'occasion de voir comment ça se passe... Le sujet me passionne : - A titre personnel, car je suis probablement "accro" et que j'ai un fils de 11 ans qui l'est probablement aussi ! - A titre professionnel, car je bosse dans les télécommunications.

Mes motivations

Bienvenue! igouraud. ![][1] ![][2] [1]: /media/14194210801699076.jpg [2]: /media/1419421146764191.jpg

Hello

Bonjour à tous(tes), Informaticien à la retraite, j'ai commencé ma carrière dans un monde sans PC et sans internet. Puis j'ai assisté à l'avènement des PC au bureau, puis d'internet et de l'intranet au sein des entreprises. A partir de là, en dehors des réunions, j'ai passé l'essentiel de mon activité devant un écran d'ordinateur. Et maintenant j'ai du mal de m'en décrocher, quitte à inventer des activités, par exemple ce MOOC, pour me maintenir devant cette fabuleuse fenêtre. Est-ce une addiction ? La suite de ce MOOC nous éclairera peut-être...

Hello

"La suite de ce MOOC nous éclairera peut-être"... Oui jacaddict, on l'espère en tous cas! Bonne fin d'année. ![][1] ![][2] [1]: /media/14194388648522953.jpg [2]: /media/1419438898836015.jpg

Hello

Merci Bzzz, un brin d'humour et un zeste de moocuerie amèneront un peu de gaité dans ce sujet relativement austère. En souhaitant de bonnes fêtes de fin d'année à tous-tes.

Bonjour!

Florence Jou : je débute un doctorat en arts plastiques et poésie contemporaine sur la constellation - constellation : je m'intéresse aux processus de création ( croisements entre les arts, systèmes et méthodes de pratiques, relations cognition-performance…)- ; je suis tombée par hasard sur ce projet et j'ai envie d'échanger, de voir comment on peut construire un/des lieux de pensée différents ; si je peux apporter une idée ou un "tag" poétique. ; la poésie peut sans doute nous conduire vers des pistes de réflexion sur l'addiction et le numérique. Je vais chercher dans ma bibliothèque… Bonne journée!

Bonjour!

Bonjour florejou. Originale et intéressante ta démarche. Oui la poésie a surement une place là dedans! Cela m'intrigue un peu et je suis curieux de voir la suite... ![][1] [1]: /media/14194397984516037.jpg

Bonjour!

Assurément ce "Tag" poétique nous nous ouvrirait des chemins insoupçonnés

Bonjour!

Salut Florence, peut-être que rencontrer Jean-Pierre Luminet sera fructueux pour vous deux. Tu peux connaître un peu son travail (astrophysicien, écrivain, musicien un peu aussi) par son blog : http://blogs.futura-sciences.com/luminet/2014/04/06/du-piano-aux-etoiles-33/

Bonjour!

J'aimerais effectivement échanger avec lui - je lui ai envoyé un mail - en attente de réponse!

Bonjour

J'ai 54 ans et suis responsable qualité/gestionnaire de risques dans un établissement de santé. Je me suis formée tout au long de ma vie, avec un diplôme d'ingénieur CNAM en 2004 et une dernière formation universitaire en 2008. J'ai découvert les MOOCs en début d'année et depuis c'est le bonheur : plus besoin de se déplacer pour apprendre (je vis depuis 10 ans en milieu rural), la variété des thèmes abordés me permet de passer de MOOCS à visée professionnelle à d'autres MOOCS pour ma culture générale. J'ai juste un petit problème de temps pour tout faire... Pas addict aux MOOCs, juste un peu compulsive peut être... Pas d'addiction non plus au numérique, il me semble..., j'arrive à me passer de mon ordi ou de ma tablette (ah, un peu à Candy Crush, ça me déstresse), et mon smartphone me sert uniquement à téléphoner et récupérer mes mails (mon plus gros problème, 3 jours sans consulter ma boîte et c'est la cata, je suis envahie!!), mais le sujet m'intéresse et je suis impatiente de voir la suite du MOOC. Bonnes fêtes de fin d'année à tous.

Pourquoi

Vais-je dans ce mooc, commencer à comprendre pourquoi et comment vient cette addiction au outils numériques ? Quelle est la personnalité d'un nomophobe ? J'ai ma petite idée...

Pourquoi

J'espère que nous pourrons en découvrir plus sur votre idée ! Et oui, dès les premières semaines nos invités vont partager leurs points de vue. A bientot da

Pourquoi

Vous m'intriguez qu'est ce qu'un nomophobe?

Pourquoi

No Mobile et phobie => l'être qui supporte mal d'être privé de son tél. mobile. C'est tout neuf pour moi également.

Pourquoi

Oo c'est énorme. Est-ce qu'il y a des noapple-ophobe aussi ? Vu le marketing délirant d'Apple, ce serait pas étonnant. Et puis je laisserai le mot de la fin à Norman :p https://www.youtube.com/watch?v=EHQCvSbHW-k

Pourquoi

Je ne connaissait pas ce terme En y réfléchissant, je pense qu'il y a énormément de nomophobe et surtout plusieurs niveaux d'addiction : nous avons pour la plupart pris l'habitude d'avoir toujours notre téléphone avec nous. De la à ce que son absence devienne une angoisse, c'est ensuite une autre chose

Présentation

Bonjour, je me présente GM55, nouvelle en MOOC et en Twitter. Je recherche surtout à comprendre les nouvelles Technologies, leurs avantages comme leurs dérives. J'apprends à maitriser ces nouvelles façon de communiquer et j'apprécie cette approche intelligente de la culture. Le partage, selon moi, est le meilleur moyen d'avancer grâce à l'expérience des uns et des autres. Je suis ravie de participer à ce MOOC Addict? et j'espère pouvoir vous apporter mon aide comme recevoir la votre. Cordialement, GM55

PRESENTATION

Je vis en Côte d'Ivoire,J'ai un BTS en informatique et actuellement je suis gestionnaire de stock d'une chaîne de magasins de vêtement. c'est la première fois que je participe à un MOOC. J'attends beaucoup de cette première participation de part le fonctionnement et les connaissances à acquérir. En tant qu'informaticien, je veux avoir par le biais de ce cours toutes informations nécessaires qui me permettent de bien vivre ma vie d'informaticien en connaissant les effets des usages du numérique et aussi les techniques adaptées pour améliorer cette vie et la rendre moins stressante.

PRESENTATION

Salut, noble objectif de viser à amoindrir les maux du monde ^^ J'espère que tous ensemble on trouvera des pistes de réflexions ;)

Présentation

Bonjours je suis vétérinaire très passionner d’internet et d’outillée numérique. et je veut connaitre comment mieux s'en servir.

Presentation

salut, c'est laurgamkanza au clavier en direct de DRC precisement au Congo-Kinshasa,j'aime faire le mooc quand je suis au bureau pour appronfondir ma connaissance et reveil mon esprit de culture . Merci a tout Le moocoeur

Présentation

Bonjour, je suis Florence. J'ai travaillé pendant plus de 30 ans chez un constructeur automobile. j'ai crée mon entreprise depuis 1 an et je découvre le Web, les connaissances disponibles et les réseaux. Je me rends compte que j'ai vécu toutes ces années dans le cocoon de culture, d'information, et d'outils de cette grande entreprise sans avoir pris le temps d'aller voir à l'extérieur.....

Bonjour à tous

Je m'appelle Catherine et je suis Animatrice TICE (Technologies de l'information et de la communication pour l'Education) au sein d'une académie. Je forme et accompagne les professeurs des écoles dans leurs projets informatiques avec les élèves. Je "baigne" dans l'informatique depuis (hou là là) ... 30 ans... Je suis passée par divers métiers de l'informatique (technicienne, technico-commerciale, chef de produit, commerciale, ...) pour "atterrir" dans l'éducation. Je ne me sens pas addict malgré tout ceci et malgré le fait que mon smartphone n'est jamais trop loin de moi, mais ce phénomène de l'addiction au NET m'intéresse tout particulièrement. A très bientôt ! Et très bonnes fêtes de fin d'année.

Effectivement tout est dans le "?"....

Bonjour, Je m'appelle Sylvie. Je suis accro aux nouveaux outils de communications connectés (surtout le smartphone qui est un ordinateur miniature de nos jours). Je ne parviens pas à me passer de lui. Il est présent à mes côtés du matin au soir et si je l'oublie c'est l'angoisse. Il me permet de communiquer par e.mails, de photographier, d'aller sur le net, de jouer, de rester en contact et accessoirement de téléphoner. Je vais sur la soixantaine, donc je ne suis pas "née avec" contrairement à la nouvelle génération. Je suis une autodidacte de l'informatique à usage domestique (puis professionnel) depuis une quinzaine d'années et je continue à apprendre tous les jours. Internet est très utile pour faire des recherches (principalement dans le domaine de la généalogie, en ce qui me concerne), c'est une source d'informations inépuisable (dont il faut quand même vérifier le contenu). Il abolit les distances, rapproche les humains qui, sans ça, ne se seraient probablement jamais connus. Par contre, il remplace "la vraie vie" par une existence davantage virtuelle (superficielle et volatile ?), au détriment du contact humain (toucher). Pourrai-je un jour me passer d'internet de façon volontaire ? Je l'ignore. Le sevrage est-il souhaitable ? Une prise de conscience de l'état de dépendance est déjà un premier pas. Je me suis inscrite dans ce groupe car je me sens très concernée par le sujet. Et je viens ici pour entendre ce que les spécialistes et les usagers ont à dire sur ce sujet. Bien hâte de découvrir la suite ! A l'année prochaine,

Effectivement tout est dans le "?"....

Hello, > Pourrai-je un jour me passer d'internet de façon volontaire ? Peut-être n'aurons nous pas le choix, car les réseaux de télecom sont relativement fragiles. Une éruption solaire un peu plus violente que d'habitude, et la plupart des satellites seraient hors service, car leur électronique est très sensible aux radiations et diverses particules ionisées.

Effectivement tout est dans le "?"....

Ok, mais dans ce cas ce sera une façon involontaire de nous passer d'Internet : résultat obtenu à l'insu de notre plein gréé, pour les addictés que nous sommes (pour certains). Sevrage radical.... douloureux syndrome de manque en perspective ! En contrepartie, nous pourrons profiter un peu plus des rayons du soleil (à consommer également avec modération) et prendre l'air, une fois détachés de nos écrans, par la force des choses...

Effectivement tout est dans le "?"....

je suis d'accord avec vous quand vous dites qu'internet est une source d'information formidable, bien qu'il faille faire un peu de tri sur les articles publiés. Ma grand mère elle même fan de généalogie s'est aussi mise à l'ordinateur et à internet pour completer les informations qu'elle récolte dans ses livres.

Présentation

Bonjour à toutes et à tous! Je m'appelle Eric et suis infirmier en psychiatrie. J'accompagne des jeunes adultes schizophrènes, ayant des troubles du comportement, abandonniques (service de réadaptation pour ceux qui connaissent ce terme). J'ai observé que certains de ces patients peuvent avoir une attirance par le monde virtuel (jeux en réseau le plus souvent observé pour ma part) en plus de la trop classique toxicomanie aux substances psychotropes. Le but de ma participation est de pouvoir progresser dans le domaine des addiction avant de suivre un DU. L'addiction au numérique n'ayant pas encore un corpus d'études des plus solides, j'espère que ce MOOC me permettra d'évoluer loin des croyances et idées toutes faites afin de m'armer pour le futur dans mon travail mais aussi au quotidien car les personnes ayant une maladie psychiatrique ne sont souvent qu'un des reflets possibles de la façon de vivre devant le miroir de la société.

Présentation

Bonjour Eric, Effectivement, j'ai pu constater durant ma pratique professionnelle que des jeunes patients schizophrènes ont une appétence importante pour certains jeux sur Internet, par exemple Dofus. Au-delà des risques d'addiction, qui comme pour les addictions aux substances psycho-actives se posent en d'autres termes que pour les personnes non schizophrènes, il serait très intéressant et très novateur d'avoir une approche thérapeutiques des Techniques de l'Information et de la Communication auprès de ces jeunes gens. Je pense qu'un groupe expérimental constitué de patients volontaires et de personnels hospitaliers serait une expérience très enrichissante et très instructive et qu'autour de ce MOOC, la conception d'un tel groupe est envisageable... J'ai envie de rappeler que ce MOOC est ouvert à tous, y compris aux jeunes patients schizophrènes! On pourrait en tous cas commencer par un groupe de discussion autour de ce thème, ce qui ne nous empêcherait bien sur pas de suivre le reste du MOOC dans sa généralité... ![fou][1] [1]: /media/14196808032893853.gif

[Présentation] Mario

Bonjour à vous, Je suis très intéressé par le numérique est j'y suis accroc, je m'intéresse donc aux sources de l'addiction. Bon mooc à tous !

Présentation Adeline

Bonjour à toutes et à tous, Je m'appelle Adeline et je suis étudiante en master 1 Médias internationaux, enjeux et pratiques à l'Université Paris VIII. J'ai connu les MOOC grâce à une amie et après avoir suivi un premier MOOC très enrichissant, j'ai décidé de m'inscrire à celui-là pour comprendre la notion d'addiction et plus particulièrement la notion d'addiction au numérique. Mon petit frère est accro aux jeux vidéos en ligne et je me demande si c'est une véritable addiction ou si c'est "juste" une phase. De plus, j'ai remarqué que les smartphones altèrent le comportement des personnes qui en possèdent et je suis moi-même anti-smartphone. Je préfère les relations sociales réelles et j'ai un téléphone portable qui sert principalement à donner des rendez-vous par appel ou sms. Cependant, je possède un ordinateur et je trouve que je passe trop de temps sur Facebook. Aussi, j'attends de ce MOOC collaboratif de répondre à mes interrogations sur la notion d'addiction au numérique, que ce soit aux réseaux communautaires ou aux jeux vidéos. Bon MOOC à tous et bonnes fêtes de fin d'année !

Présentation Adeline

Salut Adeline, je suis à peu près pareil, d'où mon choix pour un téléphone préhistorique (pourrait-on dire :p). J'aurais quelques questions sur ton cursus, si c'est bien celui-ci : http://www.univ-paris8.fr/Master-medias-internationaux A la suite du manuel d'histoire critique du Monde-diplomatique (http://boutique.monde-diplomatique.fr/boutique/hors-series/manuel-d-histoire-critique.html), je me suis rendu compte que les médias français sont trop centrés (en plus d'être majoritairement détenus par des groupes privés, ce qui ne favorise pas l'objectivité chère à la profession). Je suis tombé sur un concept : la "réinformation" qui consiste à présenter le point de vue de l'actualité par un autre pays afin de comparer avec l'information de nos médias et tenter de rétablir le contexte de l'information le plus exactement possible. Est-ce que tu as entendu parlé de ça ? Et si oui, j'aimerais bien avoir d'autres références ^^ Bonne soirée/année :p

Présentation, motivations

Je suis une mère de famille dont le fils (12ans) passe (à mon goût) beaucoup de temps en ligne ou non, en réseau ou non, à des jeux vidéos. J'y vois des avantages : il maîtrise mieux l'outil informatique, certains programmes, il apprend à élaborer des stratégies, il apprend à collaborer. J'y vois des inconvénients : beaucoup de temps passé devant les écrans, au détriment de jeux moins virtuels, un certain comportement addictif (il a du mal à se détacher du ou des jeux virtuels, et quand il n'y joue pas, il en parle ...) Je me rends compte qu'il utilise en même temps plusieurs écrans : tablette, TV, ordinateur, et je me demande si c'est bien pour lui. Quant à moi, je me rends compte que je passe beaucoup de temps à me promener sur Internet (sur des thèmes qui m'intéressent et qui vont de mon monde professionnel à la cuisine, le jardinage, le bricolage), et que le foisonnement d'information que je suis, passant d'une page à l'autre me prend beaucoup de temps et me laisse insatisfaite puisqu'il y a encore tant à explorer .... Je me suis inscrite à ce mooc pour me faire une idée de ce qu'est un comportement addictif, pour tenter de savoir si mon comportement et celui de mon fils sont des comportement addictifs.

Présentation, motivations

Bienvenue anonyme! Il faut reconnaître que les jeux numériques sont fascinants. ![jeu][1] "Quand il n'y joue pas il en parle", cela me semble très bien, à mon avis c'est le contraire qui serait inquiétant. En tous cas vous semblez sur le bon mooc! Bonne fin d'année et à bientôt! [1]: /media/14197891692125285.jpg

Présentation

Bonjour, J'ai 60 ans et suis retraité. C'est mon deuxième MOOC (le premier portait sur la sécurité des informations sur le net). Je suis très intéressé par les nouvelles technologies de l'information, et ma femme me dit que je le suis un peu trop. Suis-je @ddict ?? Ce MOOC me le dira peut-être. Il m'intéresse surtout au titre de la culture générale sur l'impact des nouvelles technologies sur nos modes de vie.

Présentation

Bonjour Dede64, Alors, la sécurité des informations sur le net? Chaud non? ![saisir une description de l’image ici][1] Bon ceci dit ce qui m'intéresse aussi surtout c'est l'impact des technologies de l'information et de la communication numérique sur nos modes de vie. D'ici là bonne fin d'année. [1]: /media/14197872554116543.jpg

Premier MOOC

Bonjour, Je m'appelle Claire, j'ai 35 ans et je suis professeur des écoles. Cela fait déjà quelques mois que j'ai envie de tester un MOOC, et aussi quelques temps que je m'interroge sur mon utilisation du numérique au quotidien. J'ai 3 enfants et plein d'élèves ... autant de petits individus nés avec Google et qui ne comprennent pas qu'un écran ne soit pas tactile. L'autre jour, mon fils (6 ans) m'a reproché de passer trop de temps avec mon téléphone... Je lui mets un chrono quand il joue à la tablette ou à la console, mais pour moi c'est utilisation illimitée (smartphone et ordinateur surtout pour internet et réseaux sociaux). Bref, je me demande si mon utilisation du numérique peut avoir une influence, positive ou négative, sur mes enfants et sur mes élèves. Je me pose aussi souvent la question de mon addiction, de leur addiction au numérique, ce MOOC est donc l'occasion de creuser le sujet !

Un Méta-MOOC ?

Bonjour, Je travaille comme régisseuse technique multimédia au sein d'un lieu de création et diffusion d'arts numériques. Je suis très régulièrement en contact avec les dernières évolutions et applications technologiques se rapportant aux domaines du numérique. J'ai pu constater au fur et à mesure de mon expérience professionnelle, à quel point nous sommes tenus d'accompagner la cadence effrénée du renouvellement constant de nouvelles techniques / technologies et interfaces d'utilisation, générée par la compétition acharnée que se livrent les constructeurs dans les domaines du numérique. Ce rapport de compétition permet évidemment une innovation toujours renouvelée, mais également et surtout une modification constante des paradigmes de fonctionnement d'outils mis au service de nos équipes de travail, ou bien de ceux que peuvent s'approprier les artistes avec lesquels nous travaillons. Je suis très intéressée par ce MOOC, car je considère qu'il se positionne sur un questionnement extrêmement important, quant à l'impact que peut avoir cette mutation très cadencée de nos outils, au service du travail, comme de l'art, mais également sur nos psychés individuelle, dans le quotidien de tout un chacun, et sur notre représentation de nous-même. Quelle image a-t-on de soi, quand on est tenu d'appréhender immédiatement une nouvelle technologie, alors même qu'on vient à peine de comprendre sa version précédente ? Comment ne pas se sentir dépassé, débordé et continuer d'être soi-même en usant des nouvelles interfaces de fonctionnement qui nous correspondent le mieux, sans être noyé dans le flot incessant de leur évolution, et ce sans s'en rendre compte, en y étant addict sans le percevoir ? Il me parait essentiel de prendre du recul et de se remettre en question, dans le domaine même des nouvelles technologies numériques au service de l'individu, du grand public, mais également dans les milieux précurseurs et même prescripteurs des évolutions numériques, afin d'être clairvoyant et d'aider le public à vivre avec. Merci pour ce MOOC, et pour ce travail que vous nous proposez de partager, car c'est aussi cela, le bénéfice des évolutions du numérique : nous donner à créer les outils qui nous permettent d'analyser ces mêmes évolutions de manière collaborative et universellement accessible. Un MOOC créé à partir des dernières avancées combinées en matière de culture universitaire, de recherche-action, d'outils numériques pour la diffusion du savoir, et dont le thème est l'analyse des outils qui lui permettent d'exister... ! Bravo pour cela.

Présentation

Bonjour à tous, Vous avez de la chance vous avez un cobbaye : je dois être une mooc addict ! j'en ai déjà suivi 6 sur FUN depuis le lancement de la plateforme essentiellement autour du numérique : la serie consacrée aux compétences du C2i, être acteur de la sécurité de l'information + décoder le code - un Mooc sur solemi la plateforme d'Orange et à venir le mooc sur les bases de la programmation en java ). Je mooc sur mon temps de loisirs et donc un peu en touriste , je ne répondrai peut être pas le jour même à un message et je vous prie par avance de m’en excuser - ça au moins c’est fait. Je suis bibliothécaire et j'ai 50 ans (un peu passés ;-), l'évolution des services offerts en médiathèque m'amène à m'occuper d'un espace numérique ( jeux video, tablettes, liseuses, de services en ligne.. ) , ces moocs m'offrent des opportunités de compléter mes connaissances et d'enrichir ma pratique professionnelle. La flexibilité et la richesse de cette forme d'apprentissage (chacun s'engage suivant ses disponibilités et ses envies ) et ma curiosité naturelle m'ont même amenée à suivre des moocs hors TIC ( dont un fort intéressant sur l'économie circulaire), Alors addiction ? Les moocs offrent une chance fantastique d'acquérir des connaissances et d'échanger sur les sujets les plus variés autant en profiter… La question de la relation aux objets connectés et aux réseaux se pose forcement dans un espace numérique qui accueille en majorité un public jeune (7-12 ans). Comment accompagner au mieux les usagers,? J’espère trouver des élèments de réponses au fil de nos échanges. A bientôt sur les forums Agnès

Présentation

J'avais oublié mon pseud skype est manipura75 j'utilise très peu cet outil

Présentation

Bonjour, Je suis Héléna FILIPOVIC. Je souhaite mieux appréhender les réseaux sociaux et la communication sur le web en général. Je m'occupe actuellement de monter un blog pour ensuite construire le site web de mon compagnon prothésiste dentaire. Nous souhaitons étendre notre clientèle locale à une plus grande envergure et concernant un produit sur lequel il travaille depuis plus de vingt ans : les prothèses buccales. Pour cela nous pensons qu'internet est la meilleure voie. Les artisans manipulent très peu internet et j'attends de ce mooc qu'il m'aide à devenir experte dans ce domaine d'activité afin d'élargir notre clientèle. A bientôt. Héléna

Présentation

Bonne idée! Bonne fin d'année.

Présentation

Bonjour Helena, Le MOOC "Soyez acteur du Web" serait plus approprie que celui-ci pour s'initier aux techniques de promotion de votre activité dentaire.

Présentation

Voila au moins une initiative commerciale à peine déguisée Kondr

Patrick

bonjour, Patrick, jeune bipède hétéro de 49 ans. Gérant un site et forum associatif, utilisateur régulier d'internet et réseaux sociaux, je suis formateur dans une école professionnelle. Je m'intéresse au fond et à la forme de ce MOOC comme individu et professionnel. Je viendrai en touriste en fonction de ma disponibilité et de mes envies sur le forum. Bien cordialement.

Présentation Frag'n Fun

Bonjour, L'association Frag'n Fun est une association basée en pays de la loire. Son but consiste en l'organisation d'événements autour du numérique, du divertissement vidéo ludique. A ce titre nous organisons des salons, des événements tournant autour des pratiques numériques, découverte, innovation, sensibilisation. Ce MOOC est une expérience inédite pour nous permettre d'avoir une autre vision autour du numérique, c'est pour cela que nous participons à cette session. En espérant pouvoir suivre le rythme! Merci pour cette proposition de MOOC en tout cas et bonne chance! Guillaume

Présentation Frag'n Fun

Merci Guillaume. Y a t il un site en ligne pour en savoir plus sur Frag'n Fun? Bonne fin d'année et à bientôt sur @ddict?

Présentation Elise

Bonjour, Je rejoins ce MOOC en souhaitant trouver le temps d'y participer réellement...! Je travaille dans une association d'éducation pour la santé où cette question de l'addiction au numérique s'est posée il y a quelques années : en 2006-2007, parler de la santé des jeunes ce n'était plus tant parler des questions liées à la consommation de cannabis ou aux relations affectives et sexuelles, mais bien des questions liées à ce qu'on appelait alors les "nouvelles technologies de l'information et de la communication". Nouvelles, nouvelles... plus tellement et pourtant toujours nouvelles. La grande question il y a 7 ans était centrée sur le risque d'addiction (à Internet, aux jeux vidéo, au portable...). Elle s'est vite déplacée vers les repères éducatifs à travailler avec les parents et les professionnels pour accompagner l'utilisation des outils numériques et relativiser les peurs de ceux qui se sentaient étrangers à ce monde. Quelques années d'un travail riche de partenariat et voilà le résultat : [www.pixelland.fr][1] Merci pour vos commentaires qui nous ferons progresser ! ;-) Je suis intéressée par ce que nous allons pouvoir partager dans ce MOOC, pour moi quelques années après le début de cette réflexion. Et au passage je suis aussi maman et comme beaucoup de ceux qui se sont présentés concernées de près par l'éducation à ce monde numérique... A bientôt ! [1]: http://www.pixelland.fr

Présentation Elise

Bonjour Elise, Merci pour cette présentation. Je suis allé voir pixelland, je trouve les vidéos bien: simple, clair et pour toutes les oreilles! Un bon outil pédagogique, merci. Bon les enfants, les adolescents, tes enfants, tout cela c'est très bien mais toi? Ton usage du numérique te satisfait? (moi oui, à peu près) Est-ce que le développement de tout cela n'est pas un peu trop rapide à ton goût? (moi si, un peu quand même!) Et je me pose beaucoup de questions sur où tout cela nous mène... Bonne fin d'année et à bientôt!

Présentation Elise

Bonjour Elise Je suis aussi aller voir quelques vidéos, je n'étais pas au courant de cette démarche, c'est bien intéressant. Toutes ces capsules vidéos me paraissent intéressants lorsque l'on ne connait pas l'Internet et que l'on s'interroge sur l'influence de nos enfants, bravo! Didier

Présentation Elise

Bonjour Elise et bravo pour ces videos au plus pres des questions et enjeux de notre MOOC ; encore une belle réalisation de l'IREPS des Pays de loire ; bienvenue donc aux Pixophages et Papyvores- JLV

Présentation Elise

Bonjour Élise, je suis allée voir aussi, bien vu, bien fait !

Présentation Elise

Merci à chacun-chacune pour ces retours encourageants ! Pour répondre à Bzzz (ou pas ?), en effet c'est quelque chose qui m'interpelle : **peut-on travailler sur ce sujet sans y mêler ses propres pratiques numériques ?** Je constate que ceux qui sont les plus prompts à utiliser les outils numériques à des fins professionnelles sont aussi ceux qui les utilisent le plus personnellement. Est-ce qu'avoir un profil FB ou beaucoup d'heures de vol sur un MMORPG fera bientôt partie du CV ? Quant à moi, oui mon usage du numérique me questionne : si je peux m'en passer très facilement quand je suis en vacances et que mon portable peut rester en panne de batterie tout le we, j'ai bien du mal à ne pas consulter mes mails très très régulièrement dans la journée... ou à arrêter des recherches qui m'emmènent parfois très loin de proche en proche ! Tout est une question d'équilibre, et je suis trop "addict" aux relations humaines qui utilisent les 5 sens pour me perdre sur la toile... je pense !

Présentation gwendu28

Bonjour, Je suis un jeune retraité et je passe beaucoup de temps sur le web, trop sans doute! j'ai déjà suivi plusieurs moocs et je suis curieux d'informatique. Je pense être addict mais bon!!

Présentation gwendu28

Ne pense pas que tu es addict, Gwen Je te le déclare de façon préremptoire*: tu l'es.. un peu, beaucoup passionnément** Pas/tout Comme nous Kondor */** : sincérement, je vous jure, le français est une langue difficile !

Présentation KatiaT

Bonjour, je viens de finir un Du de développeur web. Je suis connectée à la toile depuis 1995. Ce MOOC est une formidable idée. Je suis impatiente de voir la suite. Merci c'est la toile que j'aime.

Présentation KatiaT

Tiens en parlant de toile, pire c'est celle de la table de la cuisine qu'est plus bien cirée. Changer la toile : une superbe résolution pour ce début d'année naissant

à l'aube

bonjour, Je suis Laurence et je collabore à un beau projet de développement du numérique dans le premier degré. L'arrivée des tablettes individuelles ,( applications, programmation, ressources ...) montre l'aube d'une nouvelle façon d'apprendre ( pour les enseignants comme pour les élèves) et offre de nouvelles perspectives d'individualisation de la pédagogie. Ces nouveaux outils, bien que sécurisés, entrant à la maison par le cartable,j'attends de ce Mooc qu'il me permette de mesurer si le risque d'addiction existe tant pour l'enseignant dans ses pratiques que pour les enfants, dans les usages scolaires purs mais aussi au sein de la famille , comment reconnaître une attitude addictive au numérique, et comment la prévenir . Enfin à titre plus personnel mon métier comme mes loisirs et ceux de mes enfants nos amènent à être souvent connectés et j'espère profiter de ce Mooc pour réfléchir sur ces usages et mesurer notre taux de dépendance ! Mes meilleurs voeux à tous,

Impatiente et curieuse !

Bonjour, Je m'appelle Ophélie, je suis étudiante en master Neurosciences à Paris-Sud XI et je suis tout simplement curieuse et impatiente de découvrir ce MOOC ! Je souhaiterai intégrer une école de journalisme après mon master afin de faire de la vulgarisation scientifique. Merci de mettre à notre disposition ces contenus, j'ai hâte de commencer à découvrir les vidéos et projets ! Je n'aurai pas beaucoup de temps à y consacrer chaque semaine mais je vais faire de mon possible. Meilleurs vœux à tous et à toutes !

bonjour des cotes d'armor

bonjour, je suis Jérôme cadre de santé formateur en institut de formation infirmière, responsable de l'E.N.T. de l’école , utilisateur d'outils Web 2.0 dans mes unités d'enseignements en lien avec la santé mentale.

Présentation

Bonjour cher tous, c'est Mouhameth Beye! je suis étudiant en licence 3 en information-communication à l'Université du Sud Toulon-Var. et je suis intessé à tous ce qui tousse les techniques de l'information et de la communication. Merci d'avance et je suis toujours ouvert à tisser des lien!

Je me présente...

Bonjour à toutes et tous, Je suis Patricia, de formation informatique au départ je suis devenue enseignante spécialisée dans l'aide aux élèves en difficulté, très intéressée par les violences faites aux enfants et leurs conséquences. Les addictions étant une conséquence directe et logique, pour ne pas dire normale, des violences anormales subies dans un passé proche ou lointain, je m'intéresse donc aussi aux addictions. Pour plus d'informations sur le lien entre violence et addiction voir le site du Dr Muriel Salmona: http://www.memoiretraumatique.org (textes, blog et vidéos explicatives des mécanismes). Je suis très intéressée par tout ce qui concerne cette révolution du numérique que nous vivons. J'ai déjà suivi quelques Moocs de façon active ou passive et j'espère pouvoir être active dans celui-ci... En attendant, bonne fête de fin d'année !

Je me présente...

Bonjour Patricia, Il est intéressant de mettre en perspective les violences passées et les comportements présents, cela nous rappelle qu'un être humain est avant tout une histoire de vie. Votre avis nous aidera sûrement à ne pas l'oublier. Bonne année 2015 à vous, Guillaume

Stopporn

Bonjour, Je suis Florent, 31 ans. Je me suis inscrit pour comprendre un peu plus les mécanismes de l'addiction au numérique. Depuis avril dernier, je travail sur mon site http://stopporn.fr qui traite de l'addiction à la pornographie. Je pense que cette addiction est liée à celle du numérique. J'attends donc de voir ce que ce MOOC pourra m'apporter pour creuser cette piste. Au plaisir de vous lire.

Stopporn

Bonjour Florent, J'ai pu lire "Philosophie des sites de rencontres" de Marc Parmentier où il est démontré la propension naturelle de l'humain pour le virtuel qu'il soit numérique ou non. C'est une piste que je suis dans mes activités de coaching. A bientôt Jean-Louis

Stopporn

Hum, c'est intéressant, je vais lire ce livre ! Merci. Cela dit, le virtuel non numérique c'est quoi ? La philosophie, les rêves, le monde des idées, la politique ?

Stopporn

Salut à tous les deux, j'ai assisté à une soirée débat sur la philosophie des sites de rencontre et il y a effectivement plus à dire que les idées reçues. Est-ce que tu t'es inspiré du mouvement NoFap pour ton site Florent ?

Stopporn

J'ai lancé le site sans vraiment connaitre le mouvement NoFap, j'ai découvert après.

Stopporn

Bonjour Florent, Effectivement, pour certains chercheurs, l'addiction à la pornographie est une addiction au numérique. Votre site est bien fait et dit des choses très vraies sur la pornographie. Pour abonder dans votre sens, je vous donne un lien vers le témoignage d'une ancienne actrice, qui explique les dessous de la pornographie (en anglais) : https://www.youtube.com/watch?v=ymWVWHOgDFM Cela nous rappelle qu'en chosifiant l'être humain, la pornographie est plus une histoire de violence que de sexualité, et cela ouvre aussi une belle perspective pour la semaine 5 avec les dealers du numériques. Bonne année 2015, Guillaume

Stopporn

Génial, merci pour le lien. Ça m'a l'air fort intéressant. Je le garde sous le coude ! Ravi pouvoir apporter à la discussion curieux de voir quelle forme va prendre ce MOOC.

Stopporn

Bonjour Florent, Voici un lien vers une émission sur RFI-Priorité santé avec des spécialistes, intitulée "Jeunes, sexe, et vidéo" consacré à l'impact sur la santé et les risques d'addiction pour les jeunes et aussi les enfants. http://rfi.my/1zGxbaH Bonne écoute...

Stopporn

Merci Patricia ! Je vais l'écouter et ça me servira de support de réflexion (et un article sur mon blog).

A la bourre

Bonjour. Je me prénomme Dominique, je suis assez addict aux écrans (TV non incluse) et de surcroît intéressé par la formation à distance (que j'envisage d'intégrer à des pratiques d'analyse de l'activité) Deux bonnes raisons de me trouver ici même si je viens de m'inscrire aujourd'hui. Je vais essayer de vous rattraper avant le commencement des choses sérieuses le 5 janvier.

Remerciment

Merci pour l'effort fournit à la réalisation de ce MOOC. Bon courage à tous les participants

Présentation Jean-Louis Activ-Coach

Bonjour à tous, Je suis coach professionnel et pour parfaire mes formations j'ajoute du "MOOC". J'ai suivi "du manager au leader" et dernièrement "Envie d'entreprendre" dont l'enseignement m'est très utile pour le coaching d'entrepreneurs. Le phénomène numérique m’intéresse et me fascine parce que je ne suis pas né avec (60 ans)et que je peux mesurer l'écart entre une cabine téléphonique à 5 francs des années 80 et une montre connectée, un GPS ... d'aujourd'hui. Mon but est de pouvoir travailler avec un client qui me dirait "demain je veux jeter mon Iphone mais j'ai peur de ne pas y arriver" ou tout simplement évaluer quelle est la part du numérique, des médias comme freins dans la poursuite de leurs objectifs. Je vous souhaite un bon passage en 2015 c'est bientôt...! Jean-Louis TERZI

Présentation Florent Psychopraticien

Bonjour, Je m’appelle Florent, je suis Gestalt-Thérapeute Psychopraticien et j’exerce sur Paris. J’accompagne des adultes et des adolescents notamment sur la thématique de l’addiction et de la dépendance. http://www.psychotherapieparis.fr L’ « Addiction » est à mon sens une problématique complexe qui nécessite une approche en réseau, aussi je remercie l’équipe pédagogique de ce MOOC pour cette initiative novatrice qui permet de rassembler et fédérer autour de ce thème. Je souhaite ici découvrir, échanger et partager afin d’enrichir ma pratique et aussi tisser des liens. Bonne année et meilleurs vœux à tous ! Florent.

Présentation Florent Psychopraticien

Bonjour Florent :)

Présentation Florent Psychopraticien

Bonjour ;) content de se retrouver ici.

Médecin et mère d'un ado je m'interroge

Où est là frontière entre l' addiction et un comportement générationnel chez les ados d'aujourd'hui, quand les amis ne se retrouvent plus au ciné ou les uns chez les autres mais en réseau sur des jeux en ligne ? Quand le jeu semble être la seule activité qui procure du plaisir ? J espère que ce Mooc apportera quelques éléments de réponse concrète...

Steven, prof de sensibilisation aux concepts psychologiques

Bonjour, Je m'apelle steven, je suis professeur de sensibilisation aux concepts psychologiques sur le diplôme d'Etat en conseiller(ere) en ESF. J'exerce sur Nantes.

Comprendre les mécanismes d'appréhension du numérique

Travaillant dans la lutte contre la cybercriminalité, j'espère grâce à ce MOOC mieux comprendre les mécanismes individuels qui se mettent en place dans l'usage du numérique. J'espère mieux comprendre comment détecter l'addictologie dans sa déviance et peut être mieux appréhender comment certain poussent toujours plus loin les limites de ce qui est admissible par rapport à ce qui devient, peut être par perte de repère, illégal.

Comprendre les mécanismes d'appréhension du numérique

Bonjour, avez vous jeté un coup d'oeil sur le MOOC qui forme à la lutte contre la cybercriminalité ? Est-ce qu'il vous semble pertinent ? (j'hésite à m'y inscrire)

Comprendre les mécanismes d'appréhension du numérique

Bonjour, De quel MOOC parlez-vous ? J'ai peut être loupé ce MOOC ....

Comprendre les mécanismes d'appréhension du numérique

L'intitulé du MOOC est :"Soyez acteur de la sécurité de l'information" https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/unormandie/68001/Trimestre_4_2014/about

Comprendre les mécanismes d'appréhension du numérique

Effectivement j'ai suivi ce MOOC. Alors j'attire votre attention sur le fait qu'il traite de la sécurité de l'information et non pas sur la sécurité des systèmes d'informations. Il ne traite donc pas de cybercriminalité à proprement parlé. Toutefois il permet de mieux comprendre ce qu'est une information (publique, privée, professionnelle ...) et comment savoir la protéger et prendre conscience des diverses formes de fuites possibles. J'ai apprécié ce MOOC qui à mon sens est déjà un premier pas donnant les outils pour éviter la fuite d'information, notamment personnelle (Phishing, etc ....)

Comprendre les mécanismes d'appréhension du numérique

JTRIPIAU voici un mur padlet, tu pourras mettre des documents que tu juges utiles aux internautes. [http://fr.padlet.com/nonodemaubeuge/2o0asbcswww8][1] L'intitulé du MOOC est :"Soyez acteur de la sécurité de l'information" est pour toi intéressant en quoi il peut nous être utile ? Dépose des docs sur le mur [1]: http://fr.padlet.com/nonodemaubeuge/2o0asbcswww8

Comprendre les mécanismes d'appréhension du numérique

Bonjour, très intéressant... J"espère que ce mooc répondra à une partie de vos attentes et je crois que vous aurez de nombreuses choses à nous apprendre aussi, dans la mesure du possible bien entendu! La question de la légalité et du droit et de son application sur le numérique est l'un des sujets importants pour préserver nos libertés. Des échanges enrichissants en perspective...

Comprendre les mécanismes d'appréhension du numérique

Bonjour, j'espère oui que nous pourrons échanger sur les facettes différentes mais, j'en suis sûr, complémentaires de notre approche du numérique.

Xavier

Bonjour et bonne année à tous ! Passionné d'informatique depuis son arrivée dans les foyers (années 80...), j'en ai fait ma profession. Aujourd'hui, en tant que travailleur indépendant, je fais de l'aide informatique à domicile en Vendée, et je rencontre donc des usages très variés, avec des problématiques différentes. Je pense que le MOOC peut m'aider à répondre à certaines attentes des utilisateurs (notamment des parents), ainsi qu'à des questions plus personnelles. J'espère juste que ma disponibilité me permettra de participer à toutes les sessions ! @ bientôt ! Xav.

Mehdi

Bonjour et bonne annee tout le monde. J'habite au Maroc, plus precisement a Rabat. J'ai decouvert l'informatique grace a mes parents dans les annees 80. Cela fait 15 ans que j'en ai fait mon metier. Depuis deux ans, j'essaie d'ameliorer l'usage du numerique dans la boite ou je bosse. Je suis donc tres interessé par ce Mooc d'un point de vue profesionnel mais ausi personnel par rapport a mes enfants qui baignent dans ca depuis qu'ils ont ouverts mes yeux. Je remercie l'equipe de ce mooc qui donne de son temps. A bientot. Mehdi

Mehdi

Bonjour Mehdi merci pour ces précisions et bonne année aux habitants de Rabat! Il paraît qu'un marocain sur deux est sur facebook, il y a donc de quoi faire! A bientôt. Cordialement. ![addict?][1] [1]: /media/14203956325820164.jpg

bonjour, chiclala

Bonjour, Je suis technicienne d'assistance en informatique, c'est mon 3 ème mooc, je viens de faire le mooc soyez acteur de la sécurité de l'information et j'enchaine tout naturellement avec ce mooc. Je suis curieuse de savoir à quel moment on devient cyberaddict, le suis-je ? Je ne pense pas, mais on sait jamais ! De plus je trouvais aussi intéressant de parler d'addiction au numérique sur un support numérique comme Internet. Je joue beaucoup aux jeux vidéo qu'ils soient en ligne ou hors ligne, et passe pas mal de temps sur Internet, mais je dispose de beaucoup de temps libre étant sans activité professionnelle.

présentation

Bonjour je viens de m'inscrire à ce mooc, pour ma culture perso et aussi parce que je suis mère d'ado accro aux jeux en ligne et aussi car je viens de créer ma structure professionnelle et souhaite exploiter au mieux les outils numériques afin de faire la promotion pro d'autres entreprises. En février je vais suivre un mooc sur le community management bonne année et bonne journée à tous Muriel

présentation

Bonjour Muriel, Sur quelle plateforme est ce mooc sur le community management ? Auriez-vous un lien ? Merci

@ddict ou passionnée?

Je m 'appelle Régine, je suis une passionnée de littérature jeunesse, donc de lecture et de jour en jour, de site en site, d'heure en heure je lis , je découvre, j'alimente ma curiosité à tel point que je me coupe un peu du monde réel et que j 'ai déjà fait une cure de désintox imposée par mon médecin.

@ddict ou passionnée?

Bonsoir Régine, Je songe à m'imposer une cure de désintox. Que vous a imposé votre médecin si ce n'est pas trop indiscret ? Merci

candice

Bonjour, je m'appelle Candice je suis enseignante/formatrice actuellement en congé parental. Je m'intéresse particulièrement à l'utilisation des nouvelles technologies dans l'enseignement. J'ai déjà suivi plusieurs mooc, et j'apprécie cette nouvelle façon de se former. A bientôt mon blog: https://environnementnumeriqueetapprentissage.wordpress.com/

Présentantion

Bonjour à tous. Je me suis inscrit pour comprendre le mécanisme d'addictions. J'habite dans un pays en développement et j'aimerai bien comprendre ce phénomène car il commence vraiment à être perçu tout atour de moi (collègues, enfants, moi y compris...) Merci

Présentantion

Bonjour, j'habite dans un pays dont on peut se demander s'il est en développement ou en régression... Mais je crois qu'effectivement cette problématique gagne rapidement tous les pays et toutes les civilisations et j'espère qu'on échangera bien là-dessus. A bientôt! ![addict?][1] [1]: /media/1420392603206509.jpg

Protéger nos enfants

Bonjour Je suis une maman de 3 enfants et j'ai 37 ans. Je m'intéresse a ce mooc car je souhaite dans la mesure du possible protéger mes enfants contre l'addiction du numérique. Ils ont 8 et 5 ans.Ils sont jeunes donc on peut encore les contrôler mais sur mes jumeaux de 8 ans il y en a un qui est mordu. Je me demande comment je vais faire quand il sera adolescent. Il n'y a pas de violence dans les jeux car je contrôle et qu'ils jouent sur ma tablette ou sur mon téléphone mais plus tard ... Qu'en pensez vous ? Bonne journée

Protéger nos enfants

Je pense qu'il est judicieux de réfléchir à ce questions et j'espère que le mooc vous donnera des éléments de réponse satisfaisants et ouvrira d'autres horizons intéressants sur le numérique. Même dans ce domaine à mon avis il n'y a pas de parent parfait, chacun fait de son mieux... Mais il y a des repères intéressant à intégrer. Jouer avec eux sur le numérique même si cela nous prend un peu de notre temps est à mon avis un élément important et permet de dialoguer sur des sujets qu'ils aiment et cela débouche souvent sur d'autres choses que le jeu en lui même. A bientôt sur le mooc!

Je me présente

Bonjour, Je m'appelle Olivier, j'ai 37 ans. J'ai été responsable d'équipe dans le domaine de la relation clients puis chargé de projets formation. Aujourd'hui, je suis formateur en initiation à l'informatique et aux nouvelles technologies en auto-entreprise. Je me suis inscrit à ce MOOC pour divers raisons. Sans ordre particulier: - Je me sens concerné par l'addiction au numérique pour moi mais également pour les personnes qui m'entourent. - Je souhaite comprendre, connaitre et reconnaître l'addiction, qui et quoi la crée, comment, comment elle s'installe, comment elle se manifeste, quelles sont ses conséquences et comment s'en sortir. - Vue mon activité professionnelle, il me parait important de faire de la prévention auprès du public que je forme. - J'ai par mon expérience personnelle et mes observations vu des modifications de comportements liées à l'appel du web et le stress qui en découle: se connecter aux réseaux sociaux en permanence, regarder ses e-mails toutes les 2 minutes, lire et relire les sites d'informations, les forums, les blogs, sur un ordinateur à la maison sur une tablette ou un smartphone en déplacement, le besoin de jouer en ligne et de passer des heures sur WoW par exemple. - J'ai envie de lire, de réfléchir, d'échanger, de partager et d'écouter pour construire une réflexion approfondie sur le sujet. Merci de m'avoir lu et à très bientôt sur les forums!

Je me présente

Bonjour, merci Olivier, Effectivement ta profession te met en première ligne! Ta présentation donne envie de participer avec toi à construire une réflexion approfondie sur ce sujet qui est très vaste et complexe me semble-t-il. A bientôt !

Je me présente

Merci Bzzz de ta réponse! @ bientôt!

crickette

Bonjour, Crickette de Brive la gaillarde fonctionnaire de 40 ans, je souhaite développer mes connaissances dans le domaine du numérique pour rester "à la page"

Présentation David

Bonjour à toutes et à toutes, Pour reprendre un petit peu la présentation de Yann Prié, j'ai commencé l'informatique très jeune et il y a un bail. Pour les connaisseurs : en vrac sur du Thomson (TO7, MO6, jusqu'au TO16), Oric 20, Sinclair ZX 80 / Spectrum, Spectravideo, CPC, PC1512, Goupil Golf etc... Idem avec Internet : Renater, CompuServe... Ca ne me rajeunit pas... :) Au point que j'en ai fait mon métier : j'ai en charge la direction de gros projets d'infrastructure pour une des ESN majors en Europe. Ce MOOC est l'occasion de m'instruire un peu mieux sur l'addiction car je me pose la question (en essayant de me convaincre que ce n'est pas le cas) de savoir si j'ai une addiction (je passe au final ma vie derrière des écrans, que ce soit smartphone, PC, TV, tablette...), et si oui est-ce normal. Comme en plus je suis papa, je me pose pas mal de questions sur la jeune génération qui baigne dans les NTIC et les débordements que cela induit. Merci à l'équipe pédagogique de nous proposer ce cours, et vivement demain que cela commence ! David

Présentation David

Bienvenue David. Deux petites corrections : je m'appelle Yannick Prié, et le Mooc commence après-demain !

Présentation David

Oups désolé Yannick pour la contraction du prénom. :) Pour le démarrage du MOOC, je n'ai pas fais attention que le démarrage n'est que Mardi. L'impatience ! :) Merci pour ces corrections.

Un cas à part ?

Bonjour, Je m'appelle Daniel et j'envisage une réorientation professionnelle dans le domaine de l'informatique. J'ai donc un a priori positif sur l'informatique. J'aimerais savoir s'il existe une définition clinique de l'addiction et quels en seraient les critères. Les addictions sont très nombreuses mais certaines sont mises en avant par les médias (alcool, drogues, jeux vidéos). Se focaliser sur certaines addictions ne serait-il pas un phénomène médiatique qui s'auto-entretien ? D'autre part, l'addiction informatique comme d'autres addictions n'est-il pas plus un symptôme d'une pathologie, un révélateur que le problème ? En parcourant les messages, j'ai remarqué de nombreux témoignages de parents inquiets de l'addiction de leurs enfants aux jeux vidéos. Le problème vient-il des jeux ou n'est-ce qu'un révélateur d'autres problèmes qui n'ont rien à voir avec l'informatique ? Merci pour ce Mooc !

Addict ? Passionné ? Curieux ?

Bonjour, Avec une double compétence, bibliothécaire et informatique, je passe ma vie pro sur les écrans et ma vie perso itou ;-). A la maison, deux personnes et 6 écrans connectés. Mais pendant les vacances, on les laisse et on emmène des livres, des vrais ;-). Bonne année Didier

Présentation

Bonsoir, je m'appelle Séverine et j'ai 35 ans. Je suis professeur-documentaliste dans un lycée. Ce MOOC m'intéresse car je suis confrontée dans mon métier aux usages intensifs d'Internet par les élèves. Je souhaiterai en savoir plus sur ce type d'addiction et comment y faire face afin de mieux les conseiller. Merci

Présentation

Bonjour, A 58 ans, au chômage depuis 6 mois après 16 ans de bons et loyaux services dans la même entreprise, j'ai découvert les formations par les MOOC.Celles-ci sont très enrichissantes et permettent d'aborder en profondeur des sujets qui tiennent à cœur. Pour info:à la place de MOOC j'ai entendu parler de FLOT pour "Formation en Ligne Ouverte à Tous"..... Pour ma part, ce sera mon premier MOOC collaboratif, mais je pense que ce sera aussi passionnant. Le sujet choisi peut me permettre de comprendre les comportements à travers les nouvelles technologies et jusqu'où doit-on aller dans ses connexions? c'est une question très importante pour moi. A demain pour le début de ce mooc. Cordialement

Présentation

Bonjour Christine Journaliste, je cherche des témoignages autour des Mooc. Votre expérience pourrait me semble-t-il intéresser les lectrices, seriez-vous d'accord pour la partager? Je vous remercie,

Présentation

Animatrice multimédia dans un Centre d'Animation et d'Information pour les jeunes, je me suis inscrite à ce Mooc car c'est un sujet qui m’intéresse beaucoup.

Natag présentation

Bonjour à toutes et à tous, Formatrice pour adultes, j'interviens auprès de personnes éloignées de l'emploi et notamment des jeunes dans le cadre des compétences clés 'communiquer' et 'nouvelles technologies' pour résumer. Dans mon quotidien, je note la difficulté des apprenants à rester concentrer, à poser leur téléphone et à utiliser l'outil informatique à bon escient. Sans chercher de solutions, ce (premier) Mooc est donc l'occasion d'échanger, de mieux comprendre certains mécanismes, comportements, par un partage d'expérience et de connaissances. Merci pour ce mooc collaboratif Cordialement,

Mesurer mon addiction et voir ce que j'en fais...

Bonjour à tous et toutes La semaine dernière, j'étais responsable de la modernisation d'un immense ministère. Cette semaine, je suis "à la retraite", même si j'ai bien l'intention de conduire quelques missions de conseil sur les sujets que je connais. Entre les deux, je me suis inscrite à ce mooc. Pas pour avoir une activité, du genre poterie ou macramé. Mais parce que le sujet m'interpelle : en "activité", j'avais 200 mails /jour, je conduisais des projets d'intranets, de mise en place de réseaux sociaux, de dématérialisation, de nouvelles formes de travail, et mon iphone était toujours à portée de regard. Now what ? Je débranche ou pas ? Je me pose ou pas ? Je suis addict ou pas? Je twitte sous pseudo, avec un peu plus de 700 abonnés. et bien sur je vais continuer. Mais la question et par la même occasion l'un des objectifs de mon inscription est de mesurer mon addiction et de voir comment elle évolue, d'outiller ma réflexion à ce propos. Ce mooc m'intéresse déjà. Vais-je devenir addict au Mooc ? Bien amicalement, A demain ! Frédérique

Mesurer mon addiction et voir ce que j'en fais...

Bonjour Fanne Journaliste, je recherche des témoignages autour des Mooc. Auriez-vous le temps ou l'envie d'échanger avec moi? Alouettedc

Présentation

Bonjour, je m'appelle Isabelle, j'ai 34 ans. Je suis chargée de projets dans le domaine de l'éducation pour la santé et travaille en ce moment sur les risques liés aux nouvelles technologies, c'est pourquoi je me suis inscrite à ce MOOC.

Addict et passionnée, incompatible ?

Bonjour, Je m'appelle Anna VICENTE, et suis professeur documentaliste depuis 10 ans (et depuis bientôt 8 ans dans les lycées de l'étranger). Je suis passionnée de numérique et me sers énormément de tous les outils qui sont à ma disposition dans mon travail aussi bien que dans ma vie personnelle. Cela fait 4 ans qu'en plus de mon job de prof-doc, je fais une formation sur le C2I2E où j'amène mes collègues enseignants à la certification via une ESPE en France. Je leur délivre une formation sur les TICE, les relations entre les jeunes et le numérique, les nouveaux outils au service de la pédagogie, etc. ça m'intéresse, ça me passionne, et j'adore ça. Je peux passer toute la journée sur écran avec 12 fenêtres ouvertes, y compris SKYPE, FB et j'en passe.... En revanche je ne suis pas connectée à 100%. Après en avoir eu un (et je l'ai perdu !), je n'ai pas repris de smartphone... J'aime être "déconnectée" aussi. Voilà, passionnée et/ou addict, est-ce vraiment incompatible ? A bientôt pour le début du MOOC, Meilleures salutations. A. VICENTE

Addict et passionnée, incompatible ?

Voila une vraie question Anna qui n'a cessé d'etre posée à propos des conduites addictives depuis tres longtemps ;jusqu'à quel point est ce du meme ordre? peut on réfléchir plus précisement aux caractères communs et différentiels entre passion et addiction?y a t'il des passions plus ou moins addictives?le débat est ouvert!JLV

Présentation : P H S

Je suis informaticien ayant suivi des formations de Formateur en Informatique et plus récemment sur la plate forme FUN, celle de Formateur d'adultes avec le numérique. Je travaille beaucoup plus en auto-emploi avec des services informatiques que j'offre : maintenance, réseaux, infographie, formation, conseil. Je consomme les services Internet assez régulièrement pour des raisons beaucoup plus professionnelles. Je peux citer la préparation des cours, recherches d'astuces ou techniques pour réaliser un travail, mettre à jour mes connaissances en informatique, récupérer les TP de mes apprenants, me former,... Je me suis inscrit à ce MOOC juste pour échanger avec les autres et savoir comment les autres "vivent" le numérique. C'est donc beaucoup plus question de curiosité mais s'il vrai que j'adore les causeries éducatives.

Présentation

Bonjour à tous, je m'appelle Kevin Thiolon, je travaille actuellement dans un Point Accueil Ecoute Jeunes qui gère aussi une Consultation Jeunes Consommateurs. Je viens donc plutôt du domaine de l'addicto. J'occupe la fonction de chargé de prévention, et j'anime des actions collectives en milieu scolaire (collège), d'une part sur le numérique, d'autre part sur les addictions. Et forcément, la question de l'addiction au numérique se pose durant ces sessions...et j'ai vraiment besoin d'y voir plus clair.

Présentation

Bonjour, Je m'appelle Aurore, je suis animatrice multimédias dans un Centre Régional d'Information Jeunesse, je prépare aussi le concours pour devenir enseignante documentaliste. J'adore les livres, l'informatique et les jeux vidéos (depuis quelques années surtout les jeux PC). Je suis passionnée par les Nouvelles Technologies. Ce MOOC peut m'apporter de nouvelles connaissances que ce soit pour ma carrière professionnelle ou pour mon plaisir personnel. Je suis donc fortement intéressée par cette question d'addiction au numérique. Bonne Journée.

Présentation Candy

Bonjour à tous, Une courte présentation pour mon tout premier MOOC - cela met un peu la pression :) Je suis Candy, 30 ans, spécialisée dans la communication et l'événementiel et future auto-entrepreneur. Et, je l'avoue, ancienne joueuse de WoW. A ce sujet, pour ma part, l'addiction ne provenait pas tant du jeu en lui-même que de la possibilité de discuter avec des joueurs, devenus de vrais amis, et avec qui j'aimais passer des soirées "virtuelles" à papoter de tout et de rien. Le sujet de l'@ddiction me parle donc particulièrement depuis quelques années, surtout lorsque je vois le pouvoir qu'a mon smartphone sur moi... et les autres. J'aimerais comprendre s'il s'agit bien d'une addiction ou d'une nouvelle manière de s'organiser dans sa vie quotidienne - avec un niveau de stress propre à ces nouveaux comportements (qui n'a jamais cru sentir son portable vibrer dans sa poche alors qu'il est éteint - ou pire, posé sur la table ?) J'ai hâte d'échanger autour des différents points de vue afin de décortiquer ce que signifie vraiment la phrase "j'en suis addict". Candy

Présentation Mistralain

Bonjour à tous, Mon exercice favori, me présenter, bon c'est plus facile par écrit... Je me présente, Alain, 46 ans travaillant dans le développement d'applications dans le domaine de la téléphonie. Je m'intéresse à ce MOOC pour des raisons personnelles et non professionnelles car le numérique sous toutes ces formes m'occupe beaucoup et depuis...mon adolescence. Sans être un véritable geek je suis passé par toutes les étapes associé au geek : calculatrice programmable, début de l'informatique individuelle, organiseur numérique, liseuse électronique, smartphone, tablette et les petits gadgets gravitant autour. Et puis je voulais tenter l'expérience du MOOC, donc pourquoi pas celui là. Mais j'ai une question sur le perimetre couvert par le terme numérique. À part le côté réseau social qui me concerne moins, Parlerons nous aussi de tout ce qui peut être representé sous forme numérique ? La musique, les photos et même les données personnelles (quantified self), sans parler des notes en tous genre (je suis un très gros consomateur d'Evernote).

Présentation

Bonjour à tous! Je me lance dans cette nouvelle expérience! Toujours intéressée d'apprendre de nouvelles choses, de me perfectionner, d'aller plus loin dans la réflexion! Bref, je suis psychologue de 34 ans et je travaille avec des jeunes déficients intellectuels qui sont pour la plupart trop attachés à leur portable, à Facebook et j'en passe! C'est pourquoi le sujet proposé m'interpelle!

Présentation Pascaline

Bonjour, je vous écrit du Québec, je vous suivrais donc en décalé mais voici déjà un avantage du MOOC pouvoir se connecter de partout. Je suis Pascaline, je travaille actuellement à monter des projets de formation en entretien motivationnel pour les cliniciens afin qu'ils intègrent ce savoir-être et ce savoir-faire pour accompagner leurs patients dans des changements de comportements. Ces formations sont proposées en format hybride mêlant un espace en ligne et des formations en présentiel. J'ai travaillé auparavant dans la prévention des addictions auprès des adolescents principalement et nous commencions à parler d'addictions aux écrans. Nous cherchions des manières intéressantes d'en discuter avec les jeunes et de repérer leurs pratiques. Depuis les choses ont grandement avancées. Ce MOOC m'intéresse donc à 2 niveaux: - les connaissances sur les addictions (prévention, repérage, soin) - les connaissances sur la pédagogie et l'utilisation du numérique dans ce domaine J'ai hâte d'en savoir plus et de voir tout ce qui va être dit dans cette belle communauté.

Présentation Frédéric M

Bonjour je suis Frédéric et je travaille actuellement pour un syndicat de fonctionnaires, où j'ai en charge entre autres l'animation du réseau des délégués, et la revue de presse des services. A côté, j'anime depuis 5 ans un réseau d'échanges de pratiques de 260 adhérents (inspecteurs sanitaires), et je gère la revue de presse / veille économique des abattoirs français. J'ai une pratique intensive du net, je crains d'être la victime d'une légère addiction. Mais d'un autre côté, je pense vraiment que les méthodes de travail doivent s'adapter à ces nouveaux outils, et qu'elles sont l'avenir.

Bonjour

Je suis jeune retraitée et je me sers beaucoup du net comme base de données, échange artistique, lien social car j'habite une maison à la campagne mais je n'oublie pas pour autant le contact avec le réel lors d'activités associatives dans le domaine artistique et le droit.

Présentation

Bonjour, j'ai 42 ans, je suis infirmier en service de psychiatrie adulte et animateur d'un atelier informatique et multimedia auprès de patients atteints de troubles psychiatriques. L'addiction sous toutes ses formes est une des pathologie que je rencontre dans mon travail. Féru de technologie et de numérique et père de 3 enfants qui jonglent entre smartphones, tablettes, ordinateurs et tv en replay, je suis fortement interessé par ce mooc qui me touche tant d'un point de vue professionnel que personnel. Etant tombé tout petit dans le chaudron avec des ordinateurs mo5 thomson puis amstrad cpc, j'ai vécu l'évolution du numérique de près jusquà ce jour. La pratique des MMORPG m'a définitivement fait comprendre la dépendance qu'elle peut générer. Et tant d'autres raison qui m'ont inciter à m'inscrire à ce mooc.

AQuessar, je me présente

Bonjour. Bonne et heureuse année avec plein de bonnes choses pour tous. Je suis médecin-enseignant, utilise beaucoup les nouvelles technologies pour le travail quotidien et de plus en plus pour la communication et la formation des professionnelles de santé, des étudiants et jeunes médecins et des malades et leurs familles. Je veux apprendre plus pour une meilleure maitrise de ces outils en vue d'une utilisation à bon escient. C'est ma première expérience MOOC. Bon vent alors et bonne chance à tous dans cet espace d'échange pluridisciplinaire

Présentation

Bonjour. Je participe à ce MOOC en priorité dans le but de mieux comprendre l'utilisation abusive de l'ordinateur de mon époux pour les jeux informatiques. Je souhaite l'aider à accepter son addiction pour qu'il puisse ensuite y faire face et qu'il régule son comportement avec cette drôle de machine. Je passe moi-même également pas mal de temps devant mon ordi. (travail et maison). J'espère apprendre beaucoup de choses de ce MOOC. A bientôt.

présentation

Déjà beaucoup de message, et beaucoup de lecture, ça va pas arranger le temp que je passe sur le net déjà beaucoup trop!!! Je me présente, Christelle, 40 ans étudiante en 1ere année de psycho par correspondance, je cherchais un mooc pour m'aider sur les statistique et je suis tomber sur celui-ci.... Certes je continuerais a galérer en stats mais je pense que je vais apprendre pleins de choses....mais pas passer moins de temps sur mon écran.

Presentation :Christelle Duverger

Gestionnaire d'une société d'ingénierie (bâtiment) qui intègre de plus en plus les interactions numérique, je suis confrontée à une part grandissante du temps alloué au support numérique. comment juger ou non d'une phase addiction? Notre société reposant de plus en plus sur les échanges dématérialisés peut on en limiter les aspects intrusifs? J'ai beaucoup de questions auquels je recherche des éléments de réponse. J'ai 36 ans. A trés bientôt

il y a un début à tout

bonjour, je suis Christine et je rejoins ce Mooc connectiviste, collaboratif, interactif, interdisciplinaire, engagé, bref j'adhère bien à cette formule participative de recherche action "où il n’y a pas d’« idiot culturel »" et ok pour "changer de paradigme pour penser l’action et les situations sociales comme nous l’avons souligné en passant de la logique d'ingénierie vers celle du bricolage, de la logique de projet vers celle de maîtrise d'usage. C’est une manière de réintroduire dans le processus d'innovation l'erreur, le désordre, l’errance, l’incertitude. .. " A bientôt Christine

il y a un début à tout

l'errance surtout, en tout cas, j'espère Kondor

Comment lutter contre les effets pervers de l'addiction?

Bonjour, Je suis professeur des écoles stagiaires et je me suis inscrite à ce MOOC car c'est un sujet qui m'interpelle. De plus en plus, les personnes sont accrocs à leur portables, à internet au point d'oublier la vraie vie. J'aimerais savoir ce qu'il faudrait faire pour aider ces personnes dites "addictes". Je vous remercie. bien à vous, Marie-Line

Comment lutter contre les effets pervers de l'addiction?

Bonjour, Je ne crois pas qu'il faille raisonner en terme de la vraie vie, sur internet, c'est du réel aussi, la preuve si on fait un achat sur leboncoin on reçoit vraiment un objet (si tout se passe bien!). Mieux vaut à mon avis raisonner en termes de réalités différentes qui sont à notre portée et dans lesquelles nous "voyageons". Mais cela ne retire rien à votre questionnement: que faire quand il y a de l'excès, voir de l'enfermement (addiction). C'est un des sujets principaux du MOOC! Et cela débouche sur d'autres questions qui me semblent très intéressantes... A suivre!

Comment lutter contre les effets pervers de l'addiction?

Bonjour, Je pose aussi la question sur ce que signifie "la vraie vie" en rejoignant Bzzz sur la notion de réalité**S**. Nous en avons tous une notion et une vision différente. La vraie vie pour l'un sera d'être présent dans une réalité physique avec des interactions directs avec les autres et avec leur environnement. Pour d'autres, la vraie vie sera plus une vie numérique. Pour d'autres encore ce sera vivre sans contacts sociaux mais milieu de la nature. Pour d'autres une vie professionnelle intense ou une vie personnelle et familiale. Un mix de tout ça mais quelle part pour chaque? Il y a à mon sens autant de définitions que d'individus. L'un est elle meilleure que l'autre? L'une vaut elle plus que l'autre? A mes yeux peut être, mais si je vois avec les yeux de l'autre qui sont forcément différents des miens? A partir de quand, si il le faut, faut il remettre en question son mode de fonctionnement et sa vision du monde? Cela nous fait en effet nous poser beaucoup de questions, j'espère qu'avec les éléments du MOOC nous alimenterons une réflexion sur ces sujets!

Comment lutter contre les effets pervers de l'addiction?

À mon sens, le numérique est maintenu devenu une facette de la vie tout simplement. Reste à savoir définir la taille qu'elle prend, et l'équilibre (changeant d'ailleurs) que chacun peut trouver. Laurence Allard, qui va intervenir lors du prochain webinaire (vendredi 16 janvier) parle du numérique comme d'un horsc-champ par exemple: "Avec le numérique, le hors-champ s'impose comme la scène principale (...) le hors-champ communicationnel du numérique participe désormais pleinement de la vie offline."

Présentation

bonjour, Je travaille dans une direction informatique dans le secteur public. Je suis en charge de développer les usages numériques et je m'interroge sur certains effets dus à l'utilisation excessive du numérique. J'espère approfondir ce sujet à travers ce MOOC et expérimenter à cette occasion cette nouvelle modalité pédagogique.

Dominique H, consultant formateur TIC

Bonjour, J'ai 56 ans et je suis consultant formateur indépendant depuis une quinzaine d'années. J'interviens dans le domaine du travail collaboratif à distance (Google Apps) et du Webmarketing (Wordpress, SEO, Adwords, ...). Je passe en moyenne une cinquantaine d'heures par semaine derrière mon ordinateur dont beaucoup de temps sur Internet pour me former et m'informer. C'est la première fois que je m'inscris à un MOOC et si j'ai choisi celui-ci, c'est parce que je ressens une certaine forme d'addiction. Dominique

Présentation

Bonjour, Je suis Madeleine, une retraitée, ancienne professeure de philosophie... mais toujours philosophe, naturellement. J'utilise volontiers Internet que je considère comme un outil extraordinaire pour apprendre et rester en contact avec l'actualité et le monde. Je me suis inscrite car je suis curieuse de tout ce qui concerne l'être humain. de plus, je pense que ce MOOC sera l'occasion de faire des rencontres (virtuelles) très enrichissantes. Amitiés

présentation jphed

Bonjour .Je suis jphed ici.poloka3 sur skype où j'ai déjà commencé les échanges sous l'impulsion de clémentine et guillaume.Merci à eux .J'ai 68 ans .En retrait ,(mais pas en retraite-sauf administrativement )de la vie professionnelle planifiée,organisée,dirigée.Internet m'as permis de m'investir davantage ,depuis 3 ans ,dans des activités que je ne pratiquais avant que de loin.Par exemple étant membre d'un club d"investissement boursier ,j'en suis devenu beaucoup plus actif.Ceci dit l'internet boursier, c'est comme tomber dans la fournaise :ça chauffe très très vite;ou hypnotiser par Ka:la tête et les sensations explosent;mais aussi "payer" de sa personne:les émotions sont très fortes.Alors j'ai rapprocher ces 3 verbes de ce que signifiait pour moi "addiction" .Mais au milieu du gué après 1,5 an ,cette immersion est devenue plus raisonnable,les réussites aussi ont augmentées,j'ai optimiser ,j'optimise de plus en plus.Je suis sur la voie d'une utilisation normale du numérique??? A suivre avec vous

présentation jphed

Bonjour jphed, Ah oui, cela a l'air très chaud du côté des la bourse et du numérique, il paraît même que des "traders" ont du mouron à se faire face à des machines qui calculent très vite, ne font pas d'erreur de calcul, ont une mémoire infinie mais pas d'émotions... Vous auriez manifestement beaucoup à nous apprendre sur ces évolutions... Je ne crois pas qu'il y ait une utilisation "normale" du numérique mais des utilisations qui conviennent et que c'est différent pour chacun. A bientôt!

présentation jphed

Bonjour Bzzzzz Oui pour moi, ce qui me **convient** ,c'est à dire me fait aller bien et qui ne nuit à personne est une vie normale. C'est assez simple...A bientôt

curiosité

Bonjour, je suis une bibliothécaire curieuse de savoir, si par mes pratiques professionnelles et personnelles du numérique, je suis addict ou pas ! Bon, j'ai mon idée mais à confirmer... Les informations obtenues pourront aussi servir à mon entourage!

Présentation

Bonjour à toutes et tous, Je m'appelle Pierre, à la suite d'une reconversion professionnelle je suis actuellement doctorant en sciences de gestion. Mon travail porte sur l'impact de l'introduction d'une TIC sur la santé au travail, je me sens donc naturellement attiré par les thématiques sous-jacentes à ce MOOC. J'espère pouvoir me libérer suffisamment de temps afin de pouvoir apprécier le côté 'collaboratif' du MOOC et interagir au mieux avec l'ensemble des participants. A très bientôt. Pierre

Prėsentation Emilie_78

Bonjour, Je travaille depuis 10 ans dans un grand groupe bancassurance. Aujourd'hui en poste à un poste de procurement performance and risks specialist. Je me pose des questions à l'heure où la digitalisation est considérée comme un enjeu majeur de nos sociétés et où nous sommes encouragés à intensifier nos pratiques dans tous les facettes de notre vie. Merci à vous pour ce MOOC (c'est mon premier) ! Bonne journée, Emilie

Présentation

Bonjour, Je suis Marie, j'ai 38 ans. Je m'intéresse à ce MOOC (1ère expérience de formation de ce type en ce qui me concerne)à titre personnel et professionnel. Je passe peut-être trop de temps sur internet et notamment sur Facebook. Je ne suis pas sûre que ce soit le signe d'une addiction, mais d'un besoin de rester connectée avec des "amis" (dont des proches qui vivent à l'autre bout de la planète), ça c'est certain. J'ai 2 enfants de 4 ans et bientôt 2 ans : ce sont donc des digital natives qui vont forcément me dépasser de loin dans le domain numérique et je me dis qu'il faut que je me forme pour ne pas rester trop à la traîne ! Sur le plan professionnel, je représente mon institution, l'Education Nationale, et mon service, le service social en faveur des élèves, dans un groupe départemental pluri-institutionnel et pluridisciplinaire qui réfléchit et mène des actions (conférences débats par exemple) depuis plusieurs années sur le thème de l'éducation responsable au numérique. Je ne sais pas si je vais réussir à me dégager suffisamment de temps pour participer pleinement à ce MOOC mais je vais essayer de faire mon maximum. A bientôt et au plaisir de vous lire.

Je vous rejoins

Bonjour Je suis Chloé, éducatrice spécialisée et travaillant dans une Consultation Jeunes Consommateurs et à ce titre je suis amenée à recevoir des personnes qui s'interroge sur leur consommation de jeu vidéos, nouvelles technologies, écran... J'aimerais élargir mes connaissances dans ce domaine et partager mon expérience personnelle et professionnelle à ce sujet.

Je vous rejoins

Bienvenue parmi nous Chloé! J'espère que ce MOOC pourra répondre à vos attentes. SI vous avez des questions, n'hésitez pas le forum est là pour ça. Guillaume

Bonjour à tous

Je suis Cécile, 44 ans, et je travaille dans le déploiement de systèmes d'informations dans le public (gestion du territoire, du patrimoine...) en essayant d'être pédagogique et juste avec les utilisateurs sur la valeur à accorder aux usages numériques... Je suis mère de trois enfants (6,12 et 20 ans) tous confrontés à leur niveau aux risques d'addiction que je tente de déjouer... mais je ressens moi même l'addiction au numérique en raison de ma grande curiosité (je suis déjà plusieurs Mooc). Je trouve que la démarche collaborative est aussi vraiment intéressante pour ce sujet. Pour toutes ces raisons je suis ravie de pouvoir encore suivre ce Mooc et je vous en remercie pour l'organisation.

Bonjour à tous

Bienvenue à vous Cécile! En espérant que ce MOOC réponde à certaines de vos attentes. N'hésitez pas à participer au forum pour toute question ou avis que vous voudrez partager. Guillaume

Matthieu

Bonjour, Je m'appelle Matthieu, j'ai 33 ans. Je suis éducateur spécialisé et je me sens concerné personnellement mais aussi de part ma profession à ce sujet. Je ne rejoins le groupe que maintenant car je découvre tout juste les MOOCs. Je dis être intéressé personnellement car j'ai connu une période "d'addiction" aux jeux vidéo. En effet, j'ai passé beaucoup de temps à jouer à un jeu en ligne qui impliquait de passer quotidiennement, jusqu'au point où finalement, je passais mes journées entières à jouer. Il s'agit d'un MMORPG (jeu de rôle multi joueurs)La conception du jeu fait le personnage que l'on crée évolue même lorsque nous ne sommes pas connecté. Pour accéder à certaines parties du jeu il est nécessaire d'être en groupe. Cela impliquer de devoir se réunir à des moments précis... Tous les éléments sont présents dans ce jeu pour se laisser entrainer dans "l'addiction". J'ai réussi à arrêter le jeu, grâce à mon entourage. Ainsi, je suis curieux de découvrir ce MOOC et la façon dont le sujet va être abordé.

Catherine

Bonjour, Je suis infirmière depuis 25 ans et travaille en psychiatrie depuis 7 ans . la psychiatrie m'a tout de suite passionnée . Je me suis intéressée aussi à l'addiction car nous rencontrons beaucoup de patients présentant une addiction associée . Du coup, j'ai obtenu un DU en addictologie. De plus en plus de jeunes sont hospitalisés présentant des addictions aux produits . l'utilisation du numérique est plus présente aussi dans nos vies et nos pratiques . Il va être essentiel de questionner nos utilisations (moi même, je passe énormément de temps devant un écran )et de repérer les différents usages. aussi , ce MOOC m'intéresse personnellement et professionnellement.

Semaine 1 / 1.1 Définition de l'addiction

ma réponse

selon moi l'addiction est un comportement néfaste liée au départ à un objet(substance toxique, alcool, drogue, tabac, jeu vidéo, internet, tv, même le sport...) qui va générer du plaisir mais qui avec le temps va s'avérer destructeur pour la personne qui y investit l'essentiel de son temps au point de perdre les relations sociales qu'il avait, l'objet va focaliser complètement l'attention de la personne dépendante et n'etre plus que le seul objet de son désir. la perte de repère temporelle( oublier de manger de se laver,etc...), la perte des contact avec autrui, etc... sans parler des problèmes de santé pour les substances toxiques sont des symptomes. lorsque l'objet n'est plus source de plaisir mais une nécessité impérieuse sans laquelle la vie devient angoissante et impossible ( comportement d'aggressivité peuvent découler de la privation brutale) alors on peut parler d'addiction même si ce terme est fortement galvaudé par les médias aujourdhui qui mettent l'addiction à toutes les sauces, il ne faut pas confondre passion et addiction, la passion pour une activité génére du plaisir et amène le passionné à aller à la rencontre d'autrui pour partager celle ci, l'addiction relève de la pathologie surtout par le caractère solitaire de l'activité quelqu'elle soit et du plaisir tourné essentiellement vers soi même et non pas dans le partage. pour exemple: les passionnés de jeux vidéos ne sont que très rarement dans une conduite addictive car il partage celle ci via des clubs, amis passionnés, réseau sociaux etc.. comme un amateur de bon whisky ne sera pas obligatoirement un alcoolique. on est addict quand la simple persective de devoir se passer d'un objet de "désir-plaisir" génère de l'angoisse et de la frustration impossible à gérer.

Qu'est ce que l'addiction?

A mon avis, il y a addiction quand la personne rentre dans une phase de dépendance (à un produit par exemple), que celui-ci n'engendre plus de plaisir mais de la souffrance mais que malgré tout, on ne peut pas s'en passer

Addiction = besoin sous dépendance

Selon moi, l'addiction commence quand la personne ne maîtrise plus son usage.On parle d'addiction à des besoins non vitaux. On parle d'addiction à la cigarette ou à l'alcool, au chocolat aussi, par extension on parle d'addiction aux jeux.Le besoin créé devient plus fort que les besoins vitaux et perturbe le comportement de la personne qui peu devenir déviant (aggressif, fermé aux autres, manipulateur,....).

l'addiction = perte de contrôle

L'addiction sous entend que la personne perd le contrôle de ses actes : autrement dit, même quand elle ne veut pas, elle fait quelque chose qui peut se révéler être contre son interêt. L'addiction n'est jamais un bien car elle agite les pulsions profondes de la personne.

Passion

L'addiction comportementale est souvent perçue comme négative car elle suppose que l'individu perd le contrôle de lui-même dans le rapport à l'objet de son addiction. Pourtant comme toute réalité humaine, elle est sans doute ambivalente. Pour moi, cette "perte de contrôle" peut aussi se lire comme un engagement total dans une activité donnée, comme une passion en quelque sorte. Or c'est parfois ce type d'engagement qui donne du sens à une vie qui en semble dépourvue. Cet engagement pourrait donc mener, au bout du compte, à une forme de créativité... Oserais-je dire à une forme de liberté ?

Passion

Mais alors on ne parlerai pas d'addiction mais de passion puisqu'elle n'entraîne aucun mal....bien au contraire

Passion

Je suis d'accord car certaines formes d'addiction sont considérées comme résultant de la bipolarité. Alors on soigne la personne qui dès lors ne ressent plus aucune émotion, n'est plus en mesure de créer et se retrouve elle-aussi couper des autres. Perdre ses désirs est pour moi une perte de liberté

Créer un lien Youtube / le MOOC

Je ne sais pas comment créer un lien entre une vidéo Youtube et le MOOC

Créer un lien Youtube / le MOOC

Bonjour, vous pouvez mettre un lien (icone Terre avec une flèche verte) en recopiant l'adresse web de la vidéo youtube et en la collant.

Ces addicts qui nous gouvernent

Une vidéo sur Gaston Flosse : http://youtu.be/anEvaKVJnzQ ; comme quoi l'addiction peut être davantage préjudiciable aux autres qu'à soi-même.

non

Mais en disant *non*, je me fais l'effet du fou qui, coiffé d'un entonnoir, soutient au médecin que, non, il n'est pas fou.

L'addiction comble un vide

L'addiction est pour moi associée à un usage abusif d'une drogue, d'un service, ... Mais il y a dans l'addiction un certain pouvoir. On est addicte à une substance mais surtout à la "liberté supposée" à laquelle elle nous fait croire, au pouvoir que cela nous donne. Prenons les réseaux sociaux. Je pense que la question est "qu'est ce que les gens en retire" une idée de liberté, d'être connecté à autrui, d'avoir le controle sur sa vie.... L'addiction est pour moi un moyen de combler un vide. Il faut se poser la question du pourquoi ce vide plutot que pourquoi l'addiction. https://www.youtube.com/watch?v=66cYcSak6nE

un mal et un poison

**Selon vous, qu'est-ce que l'addiction ?** Selon moi, l'addiction est une dépendance à "quelque chose". Il est difficile de se passer de ce "quelque chose". La dépendance va conduire la personne qui la subit à enfreindre des règles pour avoir son "quelque chose". Il y a également un effet "boule de neige" : plus on consomme et plus l'addiction est grande. **L'addiction est-elle un bien ou un mal, un remède ou un poison ?** Je pense que l'addiction est un mal et un poison. En effet, une addiction conduit a une destruction plus ou moins réversible d'une personne.

L'addiction : une illusion de bien être

On peut se réfugier dans une addiction suite à un mal être et avoir l'impression que la chose à laquelle on est addict va nous faire "du bien". **Exemple** : - En ce qui concerne l'alcool on entend souvent dire "je bois pour oublier" - Pour le monde virtuel (jeux vidéo / facebook / etc.) on va se sentir plus à l'aise en communiquant à distance, on se réfugie dans ce monde Donc à partir des deux cas ci-dessus peut se développer une addiction. On peut dire que l'addiction est plus fort qu'une passion pour quelque "chose" car en plus d'affectionner énormément cette "chose" on en ressent un besoin incontrôlable. Se développe une dépendance à l'égard de cette "chose" qui nous donne le sentiment qu'elle est essentielle à l'accomplissement de notre bonheur : on a besoin d'elle pour se sentir mieux. Celle-ci est considérée comme néfaste car : La personne est enfermée dans une illusion du bien être. Prenons l'exemple de Golum (personnage du Seigneur des anneaux) qui est attiré par l'anneau. Golum représente une personne addict à une chose => l'anneau. Il ne peut s'en séparer et est "heureux" quand il l'a en sa possession. Il vit seul et reclus. Il devient agressif contre toute personne souhaitant le séparer de son bien. Une personne addict réagit de la même façon, cette "chose" pour laquelle elle est addict lui donne le sentiment qu'elle est heureuse/bien en son contact et dès que quelqu'un veut l'en séparer elle devient agressive. Cette personne se "renferme" sur elle-même et vit son addiction seule. L'addiction au téléphone portable est différente des autres. Déjà parce que le portable est ancré dans notre société aujourd'hui et que même certains de nos grand-parents en ont un. Que c'est un élément mobile, petit, un outil "d'intégration" dans la société. On le garde à la main tout en étant en contact avec les autres. Et pourtant certains ne peuvent pas s'en séparer, dorment avec, partent en vacance avec, remplace les moyens de communication orale par le simple sms, mangent avec,etc.

L'addiction : une illusion de bien être

Votre parallèle avec Gollum est très drôle et parlante, je n'aurais jamais pensé à faire ce lien. Cependant pour ma part je la trouve très pertinente et suis totalement d'accord avec vous.

Ma réponse à la 1ère question de la semaine

**L'addiction** est un **mal** mais un **remède** pour *combler* un vide

Ma réponse à la 1ère question de la semaine

Mais si l'addiction entraine une dépendance, et peut pousser quelqu'un à faire des actes extrêmement néfaste, et à se renfermer sur lui même. Est-ce toujours un remède ?

Ma réponse à la 1ère question de la semaine

Avant il y avait la sex-addiction, l'alcool, le tabac, l'abus de médicaments, la boulimie, etc. je suis convaincue qu'il s'agit d'un phénomène de société, où, à moins d'être un héros ou un génie, on est un anonyme et l'on souffre d'un manque de reconnaissance.

l addiction manque affectif

l addiction est un remede pour combler nos failles affective notre manque d atenttion a travers l achat de tablette s portables les parents comblent le manque de temps accorde du au travail il essaient d apaiser leur enfants ces objets sont des nounous hors les enfants ont besoin d amour ils trouventdans les reseaux sociaux leurs amis virtuels ce qui ils ne trouvent pas chez leurs parents ils peuvent rester des heures sur internet a jouer un moyen pour oublier leurs problemes

l addiction manque affectif

Je ne suis pas convaincu que le manque affectif soit cause de l'addiction Il y a certes une recherche de plaisir, mais c'est plus vicieux que ça je pense, exmeple le succés du jeu candy crush saga...tout est fait pour qu'il soit addictif mais pas sûre qu'il comble un manque affectif...c'est plutôt une dépendance sournoise.

l addiction manque affectif

Expérience de mère d'adulte addict : l'affection a disparu

addiction ?

Pour moi, l'addiction est la dépendance d'une personne à une substance (licite ou illicite) ou une activité, dont elle est esclave. Ce n'est certainement pas une bonne chose, quelle que soit l'addiction.

Le suis je ?

Certainement puisque je suis intéressé par le sujet ! Je ne peux me passer de chocolat, de pratiquer du sport, de consulter facebook et quelques fora... Conscient de cette dépendance, je ne suis pas moins "atteint" !

L'addiction

L'addiction est une dépendance vis à vis dun produit ou sans produit: jeux, sexe, numérique. Elle produit un état de bien être lorsque la "chose" désirée est obtenue mais c'est souvent une utilisation nocive (tabac, alcool).

Bébés addicts

L'addiction aux gouts sucrés/vanillés commence chez les bébés. Elle est fabriquée par les industriels de l'agro-alimentaire. Le but serait de guider les enfants puis les adultes vers leurs produits en recherche de ces gouts appris très tôt.

l'Addiction, un bien ou un mal, remède ou poison

Pour moi cela penche plus vers un mal car cela entraîne une dépendance, une privation de liberté, mais on le voit comme un remède, procurant un bien-être. **Tout est question de mesure**. J'aime bien lire le soir avant de m'endormir, est-ce une addiction ? Suis-je prête à tuer père et mère pour cela ? Certainement pas mais il m'arrive de lire jusque tard dans la nuit. J'aime bien faire des petits jeux sur tablette ou téléphone et je ne vois pas le temps passer ... Je ne passe pas non plus des nuits blanches à jouer ... Où s'arrête le passe-temps et où commence l'addiction ?

l'Addiction, un bien ou un mal, remède ou poison

Le passe temps comme vous le décrivez est à ce moment là un plaisir je pense. Non ?

Addiction, où es-tu ?

J'aimerais être sûre de ma vision de l'addiction à l'outil informatique. Où sont les limites du bon et du mauvais pour en faire un mal justement ? Je pense qu'une fois le comportement humain déstabilisé par l'utilisation abusive de l'objet, il y a addiction, c'est-à-dire "trop" et ça fait "parfois mal".

L'addiction est-elle une dépendance?

C'est une définition compliquée, à plusieurs niveaux, car dans un premier temps, je voyais l'addiction faisant une action destructrice sur la personne dépendante. Oui, car l'addiction me semble une dépendance à un apport extérieur. Cela peut être physique comme du chocolat, de la drogue ou de la course à pied, comme cela peut être des conduites vis à vis des nouvelles technologies. Le résultat est le même: le comportement de la personne est changé suite à sa conduite avec ce dont elle dépend, cela peut même aller jusqu'à sa destruction de la propre personne. Mais jusqu'où va la réelle dépendance? Je pense que cela va jusque lorsque l'on ne peut pas se passer de cette "chose". Je penserai que l'addiction est un poison et non un remède.

Definition obsolète?

La définition d'Olievenstein est-t-elle toujours pertinente? ==>L'addiction est "la rencontre entre un produit, un individu et un contexte socio-culturel" Car le numérique n'est pas un produit.

Un bien vaste concept

L'addiction est un vaste concept. Qu'est ce que signifie vraiment l'addiction aujourd'hui ? On peut être addict au chocolat, aux jeux vidéos, au sexe, à l'alcool, etc. Comme le dit un des intervenants (le psychiatre il me semble), aujourd'hui on peut être addict de tout et n'importe quoi, de ce fait le terme d'addiction n'est pas forcément utilisé à bonne escient. De plus est ce que l'addiction à le même "impact" sur les gens, que la dépendance. Est ce que ces deux termes peuvent être utilisés dans les mêmes cas ? Pour ma part il me semble qu'une personne est addict dans le cas où elle ne peut plus se passer de quelque chose et est prête à tout pour assouvir son manque. L'addiction peut avoir des répercussion psychologiques, comportementales, voir psychiatriques grave sur une personne. Par exemple un alcoolique, un cocaïnomane, un héroïnomane, etc. sont des personnes qui ne peuvent pas se passer de leurs drogues respective. Ils vivent leur drogues, ils vivent pour leurs droguent, et ils pensent le drogues. Ils se renferment totalement sur eux mêmes, donc ils cassent tout liens sociaux. Et ils sont prêt à tuer ou à se faire tuer pour avoir une dose.

qu'est ce que l'addiction

L'addiction me semble le fruit d'un fait ou comportement produisant par habituation un effet de dépendance. Sans aller juqu'à dire que c'est un mal je dirai que quand on commence a s'interroger sur une dépendance c'est qu'il y a interrogation sur cette dépendance, voir géne. Cette dépendance si elle n'est pas intérrogé suffisamment tôt peut devenir , notamment dans le cadre de consommation de drogue, d'usage du numérique (jeu vidéo..) un mal lorsqu'elle coupe l'addict de situations sociale.

qu'est-ce que l'addiction

Pour moi, l'addiction est un comportement qui implique une perte de maîtrise sur la chose. En effet, il me semble que ce n'est pas la quantité (en temps, en argent, ou autre) dépensée pour satisfaire son besoin qui me parait caractériser l'addiction mais plutôt le fait qu'on ne puisse se passer de la chose à laquelle on est dépendant. L'addiction me parait donc un mal, car elle est incontrôlable.

Où sont les limites ?

Personnellement, je définis une attitude ou un comportement "addict" lorsque qu'il y a une perte de contact avec la réalité, que le jugement n'est plus possible et que la personne est dans le déni de cet état. Après la dangerosité se mesure par rapport à l'objet de l'addiction.

en video c'est plus rigolo

[nuggets: un exemple d'addiction][1] [1]: https://www.youtube.com/watch?v=HUngLgGRJpo

en video c'est plus rigolo

sympa cette définition :-)

en video c'est plus rigolo

Oui c'est très très parlant ! Elle détruit. Mais ce que ça ne montre pas, c'est que ça ne nous détruit pas forcément directement. L'usage excessif du numérique ou addiction (peut m'importe son nom) peut détruire la relation de couple ou le lien social. Sans nous détruire personnellement.

en video c'est plus rigolo

A la question qu est ce qui définit l addiction votre réponse pose celle ci également : qu est ce qui définit l homme ? le lien social ne fait il pas parti de ce te définition ?

en video c'est plus rigolo

J aime cette vidéo. Ce qui me semble frappant c est la perte progressive du plaisir...quand le manque fait souffrir mais quand plus la satisfaction du "besoin " ne fait même plus "planer"... Comme ma clope machinale...et que je me vois m en préparer une alors même que la première est déjà allumée ...Oupssss....

L'addiction

Bonjour, Pour moi l'addiction représente une forme de dépendance. En tant que psychologue, il me semble que l'essentiel réside dans le "juste milieu" dans notre forme de dépendance. La question pourrait nous amener à nous demander si nous sommes tous dépendants, si notre dépendance peut avoir toutes les formes, si c'est dangereux ou non... Il est clair que dans notre société on peut être addict à beaucoup de choses.... Aux Etats-Unis les groupes "anonymes" sont très divers ! Voici un lien sur les addicts au travail. http://workanonymes.free.fr/

@ddiction

Pour moi c 'est : se perdre dans un univers passionnant ne plus avoir la notion de temps ne plus voir les autres comme ils sont prendre des médicaments pour tenir

Définition addiction

Pour ma part, je définis l’addiction comme une perte de liberté du corps comme de l’esprit. La notion de plaisir s'évanouit pour laisser place petit à petit à la notion de besoin. Une soif insatiable.

addiction ? un bien ... un mal

l'addiction c'est être accroc a une pratique ou une substance (voir les deux) ne pas pouvoir faire "sans" l'addiction au sport peut être une bonne chose si on le fait à plusieurs en respectant son corps, l'addiction au travail peut entraîner une meilleur situation si on respecte sa famille et ses amis ne pas pouvoir "se passer de" ... se sentir prisonnier, s'isoler ... exagérer le temps passer à ... , le dosage ... ne plus être lucide sur ses pratiques voilà ou l'addiction peut nous amener !

Définition addiction

Pour moi, l'addiction c'est quand il y a dépendance. Quand on ne peut plus se passer de quelque chose : que ce soit une substance, une activité, un comportement, etc. On devient quelque part une victime de cela, dans le sens où ce n'est plus nous avons le contrôle mais l'addiction. C'est elle qui va "décider" quand on va réaliser ce comportement, quand on va prendre cette substance, etc. La notion de plaisir disparait, cela devient une obligation.

Ma réponse à la première question.

Pour moi une addiction est un besoin de faire quelque chose impliquant une notion de dépendance et qui modifierait nos comportements en cas de manque. On se sent pousser à faire cette chose, l'envie, le besoin sortent du contrôle et au final la chose doit être faite plus par besoin que par choix, il y a obligation de satisfaire un besoin qui n'en est plus un mais qui est devenu un manque. Ce n'est pas forcément un excès, on peut avoir une dépendance à faire quelque chose plusieurs fois par jour, par semaine, par mois. Bien ou mal, remède ou poison, cela va dépendre de comment la personne dite addict va le vivre, quels vont être les impacts sur sa santé physique, mentale, son comportement, comment cela va impacter son mode de fonctionnement vis à vis d'elle même mais aussi au niveau de l'environnement personnel, familial ou professionnel. Qu'en pensez vous?

L’addiction est un concept à la mode

Nous sommes peut-être tous addicts, embarrassés que nous sommes tous de la jouissance. Les addictions masquent le malaise et les impasses, individuelles et sociétales, de la consommation.

qu'est ce que l'addiction

L'addiction est un lien fort entre un être vivant et/ou un autre être/et ou une abstraction et/ou un geste et/ou une réponse à un besoin physiologique et/ou psychologique . L'addiction se distingue car elle ne peut être rompue simplement . Il ne suffit pas de dire non, stop, assez, je ne veux plus pour que tout s'arrête. L'addiction a créé un lien si fort pour celui qui n'est pas l'objet de l'addiction qu'il ne peut imaginer comment le couper. L'addiction n'est ni un bien, ni un mal, ni un remède ni un poison. Elle est les 4 en même temps : elle fait du bien, elle fait du mal ; elle peut être un remède (à la solitude, à la nervosité, à la peur, à la timidité..)elle peut être un poison quand elle prend toute la place et que l'esclavage est installé et est irréversible pour celle ou celui qui est en la victime. Il/elle devra être aidé(e) accompagné(e) soutenu(e) pour s'en éloigner, s'en défaire. L'addiction qu'elle soit aggravée par un produit (alcool, drogue, nourriture..) un "comportement" (sport, mise en danger dans des situations extrêmes avec la production corporelle de substances - dopamine, adrénaline) ou plus abstraite (jeu vidéo, internet, travail ) est une souffrance alors même qu'elle s'est développée pour répondre à une autre souffrance.

Un besoin compulsif incontrôlable

A mon sens, l'addiction est un besoin compulsif qui s'est ancré dans les besoins "primaires" de la personne et s'en trouve banalisé dans son quotidien. Si elle répond à ce besoin, tout va "bien" - si elle y résiste, un mal-être se déclenche et une obsession complémentaire se crée, pouvant aller jusqu'à occulter toute autre pensée. Il est difficile de juger une addiction : un sportif obsédé par l'adrénaline sera jugé positivement, un drogué... moins bien. Pourtant, les deux souffriraient du même manque s'ils venaient à lutter contre leur addiction. Qu'en pensez-vous ?

Un besoin compulsif incontrôlable

C'est pas mal comme question ! Le besoin vers un bien-être... mais un besoin sain ou malsain dès le début ? Là est la différence peut-être entre celui qui va courir dehors tous les matins, même dans le froid le plus dingue, et celui qui est prêt à tout pour pouvoir prendre sa dose ?

Un besoin compulsif incontrôlable

Besoin sain ou malsain... ne serait-ce alors qu'une histoire de représentations ??? Pourtant ils souffrent bien tous les 2 et sont prêts à prendre des risques

je donne mon piont de vue!!!

L'addiction pour moi c'est une seconde nature dont l'homme dispose face à un besoin qui est intrinsèque à son existence

définition de l'addiction

Ce serait une dépendance, supportée par un individu, liée à un ou des « produits » ou des comportements avec l'impossibilité pour cet individu de se détacher de cette dépendance. **Définition et étymologie du concept d’addiction – Cairn.info** [http://www.cairn.info/revue-archives-de-politique-criminelle-2009-1-page-9.htm][1] *rapport pathologique qu’un sujet entretient avec une substance ou un comportement. Cette nouvelle discipline vise à appréhender dans un cadre commun les psychopathologies entraînant un rapport d’abus ou de dépendance. L’addiction se rapporte autant à l’usage de produits qu’à des conduites répétitives (comme le jeu pathologique ou l’anorexie mentale). Elle est une caractéristique comportementale qui se reconnaît à une envie constante et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour y échapper. Le sujet se livre à des conduites dites « addictives », et ceci souvent malgré la conscience aiguë des risques d’abus et de dépendance. Toujours en langue anglaise, le mot addiction est totalement intégré dans le langage populaire pour désigner toutes les passions dévorantes et les dépendances Les addictions à une substance psychoactive concernent les substances licites (tabac, alcool, médicaments psychotropes) ainsi que les substances illicites (cannabis, opiacés, cocaïne, amphétamines, etc). Les addictions comportementales désignent quant à elles certains troubles du comportement alimentaire, le jeu pathologique, les achats compulsifs, l’utilisation problématique d’Internet ou des jeux vidéo, le surentraînement sportif, les addictions sexuelles ou au travail, etc. Le terme d’addiction recouvre un continuum de comportements de consommation, du plus anodin au plus pathologique, du simple usage à la dépendance, en passant par l’usage à risque et l’abus (ou usage nocif).* **D'après la [MILDECA][2]** L’addiction est une relation de dépendance plus ou moins aliénante pour l’individu, et plus ou moins acceptée voire parfois totalement rejetée par l’environnement social de ce dernier, à l’égard : - d’un produit : drogue, tabac, alcool, médicaments… - d’une pratique : jeu, achat, sexe, Internet… Plus récemment on a mentionné la possibilité d’une addiction à tout ou presque : le travail (workaholisme), le sport etc. Le concept général d'addiction est théorisé par le **psychiatre **Aviel Goodman** en 1990** qui définit l'addiction comme « un processus par lequel un comportement, qui peut fonctionner à la fois pour produire du plaisir et pour soulager un malaise intérieur, est utilisé sous un mode caractérisé par : (1) l’échec répété dans le contrôle de ce comportement (impuissance) et (2) la persistance de ce comportement en dépit de conséquences négatives significatives (défaut de gestion) » source [Wikipedia][3] [1]: http://www.cairn.info/revue-archives-de-politique-criminelle-2009-1-page-9.htm [2]: http://www.drogues.gouv.fr/comprendre-laddiction/presentation/definitions/ [3]: http://fr.wikipedia.org/wiki/Addiction

addiction

L'addiction pour moi c'est la dépendance, à un produit, à un comportement. C'est un poison car l'objet de l'addiction pour l'individu supplante ses besoins primaires et le coupe du monde qui l'entoure.

l'addiction pour ma part

Jusqu'à aujourd'hui, le terme addiction était pour moi plutôt associé à une drogue et aux dégâts physiques et psychologiques engendrés par celle-ci. Je pense que l'on ne "tombe" pas directement dans l'addiction, mais que dans une période plus sensible de notre vie, un sentiment de mal-être nous conduit à rechercher un moyen de retrouver une joie de vivre et je crois, que si le moyen trouvé nous paraît satisfaisant, nous y reviendrons, nous ré-utiliseront ce moyen et ce quelques fois jusqu'à l'excès. J'ai l'impression que c'est dans notre corps (notre cerveau) où des stimulus sont en jeu et où se produit une sorte de chimie (de molécules ?). Quand cette chimie naturelle est adéquate chez une personne, tout va bien; mais dès qu'il y a un trouble dans cette chimie, nous sommes mal.En fait, c'est toute l'histoire de l'humanité que de chercher à être bien. Pardonnez-moi si je m'exprime pas avec des termes qui vous paraîtront simplistes. Murielle

l'addiction pour ma part

Je comprends l'addiction comme un besoin qui prends la place laissée vacante par la volonté; comme si la satisfaction d'un désir en devenant habituelle devint pour le corps ou le psychisme un besoin. Ce besoin s'il n'est pas satisfait provoque un manque, une souffrance qui cesse au moment de la satisfaction. Il me semble que le plaisir ressenti s'estompe au profit du seul besoin au grès des répétitions.

l'addiction pour ma part

Je rejoins complètement cette vision de la disparition progressive du plaisir.

l'addiction pour ma part

Ces réflexions me font penser à cette petite vidéo sur le thème de l'addiction, où on ressent bien la disparition progressive du plaisir: https://www.youtube.com/watch?v=HUngLgGRJpo

L'addiction est un anglicisme...

...pour dire dépendance. Alors faut-il définir la dépendance pour définir l'addiction ? Ou l'utilisation d'un nouveau mot a-t-elle un sens ? La seconde hypothèse semble a priori plus riche. Par exemple, certaines personnes âgées ou handicapées sont dépendantes, dans le sens où elles ont perdu leur autonomie, les bébés le sont car ils ne l'ont pas encore acquise. Les personnes en proie à l'addiction ont-elles perdu leur autonomie ? Ces dernières sont supposées disposer de leur libre arbitre, techniquement, sur le plan pratique, elles ne semblent pas en perte d'autonomie. Accro (pour accroché) me semble refléter davantage les nuances que je perçois dans *addict*. C'est le coup de pas de chance du poisson hameçonné. Ce n'est pas un choix : c'est le vers qui se tortillait au bout le la ligne qui était tentant et le gober ne devait provoquer aucune conséquence néfaste. Une métaphore n'est pas une définition, mais c'est ma contribution...

Ni bien ni mal ni remède ni poison

L'addiction est pour moi un comportement qui répond à un manque. Manque d'affection, de repère etc. Le problème c'est qu'il s'inscrit dans une société normée contrôlée sécurisé légalisée. Je vois plutôt l'addiction comme un substitut. Exemple possible là où il y a addiction aux jeux (internet) violents n'y a t il pas substitut à une violence envers la société. Etc..

Ni bien ni mal ni remède ni poison

l'addiction est du trop d'une chose au détriment de l'harmonie qui veut un peu de tout. Et par extension comme il y a désordre, il y a carence. L'addiction n'est pas un substitut mais plutôt une béquille. La violence n'est que la conséquence de cette carence.

Plaisir passé...

Selon moi (maintenant, mais j'aurai peut-être changé de vision tout à l'heure en lisant les autres réponses !), l'addiction est un phénomène qui nous pousse à une consommation de quelque chose qui nous a procuré du plaisir un jour, une consommation que l'on s'en-tête à poursuivre dans l'espoir de retrouver le plaisir passé, sans forcément y parvenir. En écrivant, je me dis que cette description s'applique sans doute davantage à une addiction comportementale... "L'addiction est-elle un bien ou un mal ?" Ça dépend du point de vue où on se place... Je dirais que du point de vue de la personne "addict", l'addiction devient un mal si elle détruit la santé ou les relations inter-personnelles. A l'inverse, l'addiction peut sans doute devenir bénéfique si elle permet d'échapper à autre chose pour aller mieux physiquement ou mentalement.

Pareil

Addiction= Dépendance Sommes nous pas tous dépendant? Un loisir , une passion nous rend dépendant (j'peux pas demain j'ai piscine!!)Ou est le mal? Pour ceux qui ont une psychodépendance aux drogues, à l'alcool, ces consommateurs sont dans la recherche de plaisir ou ont un désir de chasser une sensation de malaise.On a du mal dans ce cas à voir le bien! (pour ceux qui ne ne l'on pas vu ou lu je vous citerais le film ou un livre Requiem for a dream) Dans l'addiction, j'ose mettre à coté le coureur de marathon ,l'alcoolique,le toxicomane,la nymphomane,le nanomane,le geek,l'individu,nous..... A chacun sa cam,dirons nous!

L'Addiction? Un mal? Un bien? Un poison?

L'Addiction? La dépendance d'une personne à une substance ou une activité génératrice de plaisir, dont elle ne peut plus se passer en dépit de sa propre volonté. Un mal? Oui parce sans sa pratique ou son utilisation on est pas en l'aise.

Addiction

L’addiction va entraîner une focalisation sur le « produit » et notre vie ne va tourner qu’autour de cela, l’addiction nous prive de liberté.

Selon vous, qu'est-ce que l'addiction ? L'addiction est-elle un bien ou un mal, un remède ou un poison ?

Pour moi une addiction est une conduite qui repose sur une envie répétée et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts de mon cerveau. L'addiction se manifeste dans la répétitivité de la chose au détriment du tout un petit peu. L'addition a pour symptômes l'isolement de la personne. L'homme doit trouver dans la nature le remède au poison qui l'assaille.Je voudrai faire ceci ou cela et je me vois à faire cela. Il y a un désordre entre l'action effectuée et celle que je devrai normalement faire pour ne pas être en conflit avec mon moi intérieur. J'utilise trop mon smarphone et mon ordinateur en tout temps alors que je devrai faire du courrier professionnel ou de m'occuper de ma famille. Une petite vidéo à regarder http://youtu.be/-6fOBSrNUGg

Addict, possessivité???

Pour moi c'est de ne plus être maître de soi-même dans la gestion de son comportement (raisonnable), d'avoir un accoutumance maladive à un bien matériel ou immatériel, ou même à une personne. Est ce si éloigné de la possessivité poussée à l'extrême, ou est ce un prolongement?

Une définition de l'addiction

j'aime bien cet exposé de Jean-Pol Tassin que je trouve assez clair pour des non spécialistes http://www.universcience.tv/video-l-addiction-4937.html

Qu'est-ce que l'addiction?

Bonjour pour moi un comportement est addictif lorsqu'on organise son temps pour mettre en place ce comportement ou cette activité

1

D'après Wikipédia, l'addiction est "une conduite qui repose sur une envie répétée et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire." Il y a donc notion de répétition (engrenage), d'inexorabilité, de conscience de l'anormalité de la situation et une notion de perte de contrôle donc d'atteinte de la liberté.

Une réponse

**Selon vous, qu'est-ce que l'addiction ?** On peut bien sûr répondre à cette question en se basant sur le fameux DSM5 : [Critères diagnostiques d'addiction aux opioïdes][1] (dans ce lien il s'agit des critères pour l'addiction aux opioïdes mais ils sont proches de ceux des addictions comportementales). Mais au final ce qui compte le plus c'est de rechercher une souffrance causée par la répétition d'un comportement, une altération de la qualité de vie, etc... Pourquoi rechercher une addiction si elle n'a pas d'impact sur la vie d'une personne ? **L'addiction est-elle un bien ou un mal, un remède ou un poison ?** L'addiction c'est une perte de sa liberté, c'est une souffrance. Il n'y a pas d'histoire de bien ou de mal et encore moins de remède ou de poison... Peut être qu'au début il y a une souffrance qui sera "soignée" par l'addiction, puis se remède va se transformer en poison. C'est un peu comme un médicament miracle au début, qui fait apparaitre des années après des effets indésirables pires que la maladie d'origine. [1]: http://www.addictauvergne.fr/dsm-5-dependance-opiaces/

Addition = privation de liberté ?

Récemment, une publicité pour une campagne anti-tabac parlait de gain de liberté en arrêtant de fumer. Etre addict, c'est peut-être être pris au piège de quelque chose. Avec de grosses difficultés pour s'en sortir (efforts physiques et psychiques)

Addiction = bien ou mal ?

Jusqu'à présent, je n'ai vu ou connu que des effets nocifs. Quelqu'un a-t-il un contre-exemple ?

L'addiction, un mal ?

Addiction Dans les addictions, il faut prendre en compte la notion de plaisir que donne le produit addictif avant de ne voir que les effets nocifs, c'est bien pour cela que c'est si difficile d'en sortir.

Addiction = souffrance

Le mot addiction évoque avant tout pour moi de la souffrance, je ne peux y voir de plaisir ! Souffrance de la perte de liberté, mal-être quand la substance est manquante ou le comportement dont on est dépendant, impossible... La dépendance inhérente à l'addiction est source de souffrance... Et si l'addiction peut paraître un remède dans un premier temps, par l'apaisement qu'elle apporte, elle devient vite quelque chose qui empoisonne la vie si on ne peut pas se sentir bien en l'absence de la substance ou du comportement...

l'addiction : un plaisir excessif transformé en dépendance

Pour moi l'addiction est au départ l'un de ces petits plaisirs que l'on peut se faire (cigarette par exemple). Ce geste répété, transforme d'un plaisir exceptionnel en quelque chose d'habituelle. Puis, cette routine s'ancrée et fait partie de son identité. C'est à partir de là que l'addiction devient dangeureuse dans le sens où on ne peut plus s'en défaire. L'addiction met en péril le libre-arbitre.

Addiction et excès

A la suite du premier reportage, j'assimilerai l'addiction à un processus lié à l'excès. Chacun d'entre nous consommons à plus ou moins forte dose, nourriture, boissons, internet, sport, ... Nous pouvons en faire de manière tout à fait régulée avec plus ou moins d'assiduité. L'excès arrive lorsque cette activité (se nourrir, boire, regarder un écran, ...) change notre comportement, notre relation à l'autre. L'addiction prend alors le pas et il est, à mon avis, nécessaire que notre environnement nous le fasse constater.

qu'est ce que l'addiction?

BJR Pour moi ce n'est pas un état ,mais le constat que l'on est entré ( à son insu !?,)à un moment donné dans un processus et qu à un moment t+++ on découvre ( ou plus souvent d'autres nous le disent ) que ce processus nous mène dans le mur. jphed

habitude transformée

une habitude, pas forcement mauvaise, transformée en ... ne plus pouvoir vivre sans ... en prendre conscience ou non

social network

[Le court métrage virtuose du jeune Beomseok Yang][1] et si l'usage effréné des reseaux sociaux était une forme d'addiction collective? [1]: http://youtu.be/QBHMO7PRqs0

social network

en effet le réflexe qu on a de s'y connecter dès qu'on a 5mn à tuer relève d'une forme d'addiction en mon sens !

social network

excellente vidéo, merci. Mathéa CM

Faim de vie... TCA

Une petite vidéo des Hopitaux Universitaires de Genève : http://youtu.be/lbljnwQpFnU

Addiction, c'est quoi ?

A mon avis, l'addiction est la dépendance à un objet ou une pratique, par l'attachement, l'utilisation ou l'exercice de manière abusive.

Addiction, c'est quoi ?

Comme jouer à des jeux vidéos pendant 3 h le soir alors qu'on comptait se coucher tôt...

Addiction

C'est une dépendance psychologique voir même physique d'une chose , devenu un besoin pseudo vital selon ses nouveaux repères psychique.

l'addiction ?

Qu'est-ce que l'addiction ? Selon moi c'est lorsqu'on est dépendant à quelque chose, et je pense que ça peut-être tout aussi mental que physique. Être esclave de quelque chose, et avoir un besoin compulsif. L'addiction est-elle est un bien ou mal, un remède ou un poison ? Je ne pense pas que l'addiction soit bien même si elle peut faire se sentir mieux ou oublier. Je ne pense pas que se réfugier dans une addiction pour guérir d'un mal être ou autre est une solution. Un remède pour oublier, pour soulager, mais après ? Un poison, qu'on doit aussi soigner ? Un mal pour un bien, ou un mal pour un autre mal ? Mais peut-être qu'il y'a des addictions qui ne sont pas liées à un manque ou un mal être, peut-être juste que des fois on devient "accro" parce que l'on s'ennuie tout simplement. Mais dans ce cas est-ce une addiction ? A mon avis, c'est différent pour chaque personne et donc compliqué.

Ma définition de l'addiction

Une addiction est une dépendance à une activité ou à un produit licite ou illicite. Son absence produit un manque alors que son consommation produit un effet de soulagement et de bien-être immédiat. Une addiction a des conséquences psychologiques, physiques et comportementales notamment lorsque ce produit un manque. Les effets ressentis ne perdurent pas et demandent une consommation de plus en plus importante pour ressentir des sensations identiques (phénomène d'accoutumance). Il me semble compliqué de parler de remède tant les conséquences sur le long terme font oublier cet état de bien être immédiat. La vie sociale, affective et professionnelle se trouvent mise à mal.

A-t-on toujours conscience de son addiction?

Pour pouvoir répondre à la question, ai-je une addiction? Il serait bon de s'interroger au préalable sur la notion de conscience de son addiction. Je ne suis pas certaine que nous avons toujours conscience de ses dépendances, on est parfois dans le déni ou plutôt la dénégation. De prime abord, je dirais que je ne souffre pas d'addiction, je ne fume pas, je bois occasionnellement et je ne pratique pas de sport de manière intense. Je ne ressens pas de manque lorsque j'éteins mon ordinateur, mon téléphone et pourtant je me rends quotidiennement sur les réseaux sociaux et je regarde beaucoup trop la télé. Finalement la question est: quels critères pour définir une addiction?

A-t-on toujours conscience de son addiction?

Justement, dans le webinaire d'aujourd'hui la question du déni a été abordée. Si l'addiction se comprend forcément de manière subjective et est liée à la notion de souffrance, cette souffrance n'est pas forcément celle du sujet (qui peut-être dans le déni), mais aussi celle de son entourage. Même si on a vu qu'on ne pouvait pas s'appuyer sur une norme pour définir une addiction (nombre de verres, quantité de tabac, nombre d'heures sur un écran), est-ce que l'impact que le comportement a sur la vie normale d'un individu peut être un indice? Par exemple si quelqu'un passe 5 heures par jour devant un jeu vidéo et en oublie de nourrir son chien (ce qu'il ferait s'il ne jouait pas, car c'est normal de nourrir son chien), n'est-ce pas un indice d'une addiction au numérique?

A-t-on toujours conscience de son addiction?

Si l'on peut continuer à avoir une vie sociale normale, une activité professionnelle, un respect des autres, etc., je pense ce c'est un fait de société seulement mais si l'on ne vit plus que sa vie numérique alors là est le danger et pas seulement pour soi-même. Mon cadet a 20 ans et nous n'avons quasiment plus de dialogue sauf par SMS........... et moi j'en deviens dépressive et je culpabilise de n'avoir pas fait ce qu'il fallait à temps

Jouissance

C'est une dépendance. Elle peut être plus ou moins consciente, acceptée et entretenue. L'important c'est qu'elle soit plus jouissive que mortifère, je crois.

qu'est-ce que l'addiction ?

une envie incontrôlable de quelque chose. Si forte, l'envie, que le déroulement de la journée dépend de cette addiction, tout est planifié pour ne pas risquer d'être en manque... Un poison, donc. un mal. Une privation de liberté. On est obsédé, obnubilé par la peur du manque.

Qu'est-ce que l'addiction ?

L'addiction correspond à une dépendance d'un individu à un produit, service ou comportement, nécessitant un recours indispensable et excessif à ce produit, service et comportement. Si elle provoque un soulagement immédiat, l'addiction est par nature néfaste à long terme. Sa nature excessive entraine nécessairement des effets pervers difficiles à maitriser : dégradation physique, économique ou de la relation sociale.

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What is Addiction?

[Cette vidéo décrit bien ce qu'est une addiction.][1] [1]: https://www.youtube.com/watch?v=T5sOh4gKPIg

What is Addiction?

Merci pour cette vidéo, très éclairante de mon point de vue. Mathéa CM

What is Addiction?

Oui c'est intéressant cette partie sur "échapper à la douleur". Mais qu'est-ce qui explique que certains individus se font piéger par une addiction dans le but d'échapper à leur douleur? Est-ce que l'addiction au numérique, si elle existe, rentre dans ce cas de figure? Un échappatoire à la douleur? Comment ça marche?

What is Addiction?

Bonjour Adediez, J'ai moi aussi trouvé cette video très simple et très intéressante (je précise que je parle pour moi et non l'ensemble de l'équipe pédagogique). Pour information, je précise que Gabor Maté est un scientifique de renom, même s'il est contesté par certains, et il a beaucoup dénoncé, entre autre, l'utilisation excessive que les psychiatres et médecins américains ont de certains médicaments, surtout pour les enfants : http://www.democracynow.org/2012/12/25/dr_gabor_mat_on_the_stress Guillaume

Mon point de vue sur l'addiction

Bonjour, En choisissant de me pencher sur le mot addiction - anglicisme de dépendance - et une définition : > Selon l'équipe du docteur Pierrick HORDE : *La dépendance désigne un état psychologique et/ou physique qui se manifeste par un besoin irrépressible et répété, jamais réellement assouvi. Celui-ci peut être lié à une consommation de produits (d'alcool, de tabac, de psychotropes) ou à un comportement (addiction au jeu, au sexe, à Internet...).* De ce point de vue, l'addiction dessert les individus ; est nocive tel un poison. ![l'addiction par Geluck][1] Mathéa CM [1]: /media/14208089508138133.jpg

Mon point de vue sur l'addiction

Merci d'utiliser le terme dépendance...

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ?

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ? Je suis passionnée par tout ce que j'apprends ou découvre sur le Net et je passe beaucoup de temps devant mon écran. Le matin, la première chose que je fais est d'ouvrir mon ordinateur..... Est ce que cela devient une addiction c'est à dire un état de dépendance ?

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ?

Bonsoir! Le webinaire 1 qui sera disponible demain apportera des réponses à votre question :) Stéphanie

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ?

Tout dépend pour moi si cet usage rend créatif ou non.

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ?

Un instant SVP. Une habitude, si néfaste soit-elle, n'est pas une addiction....

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ?

Tout est affaire de dommages (ou répercussions négatives ,pour vous ou pour ceux qui vous entourent); si il n'y en a pas ,pourquoi en faire un problème? à moins que le fait de poser la question manifeste un certain degré de souffrance liée à un ressenti de contrainte interne? JLV

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ?

Il y a justement une étude en ce moment sur les différences entre passion et addiction: [etude de l'U de Nantes][1] [1]: http://www.numaddict.univ-nantes.fr/92159834/0/fiche___pagelibre/&RH=1418837111364&RF=1418892142383

qu'est ce que l'addiction?

Selon moi l'addiction est un mal. A partir du moment ou l'esprit est dominé par quelque chose, il n'existe plus de libre arbitre. Nous ne sommes plus maître de nos choix et de nos actions. Il est vrai que la société actuelle nous apportent quotidiennement sont lots de nouvelles addictions. Internet, la télévision, les smartphones, l'alcool, les substances illicites, les jeux en lignes, jeux de hasards..Tout ceci nous écartent des choses simples. Pouvons nous rester une semaines sans toutes ses choses?

Un souci , j'ai tenté deux fois de répondre à Nuggets...

mais la touche "soumettre " était cachée au moment de terminer le message... Rester zen

Un souci , j'ai tenté deux fois de répondre à Nuggets...

Bonjour, ça ne devrait pas avoir lieu, mais rester zen me semble une bonne solution. Je fais remonter l'info. Guillaume

Addiction : plutôt un poison

Une addiction envahit notre vie de manière incontrôlable. Selon des normes inacceptables par la société, l'addiction peut créée des complexes qui nous forcent à satisfaire des pulsions en cachette : alimentation, sexe, jeux, ... A contrario, le numérique est vantée dans notre société (par le marketing "il faut être branché") et d'être en permanence connecté (smartphone à la main ou en voiture, écrans TV, d'ordinateur, tablette en marche, ...) , d'interrompre brutalement une discussion pour répondre à un appel ne choquent plus. Imaginons un parent qui déposerait son enfant à l'école une bouteille à la main, quel accueil il aurait !!!!

un peu de bien, beaucoup de mal

Un acte répété irrépressible, qui me « fait du bien » dans l'instant, même s’il peut me nuire ensuite. (addiction alcool, tabac, drogue et bien d’autre chose). • Une addiction est un mal et un poison, car le besoin irrépressible peut m’amener à faire des actions néfaste pour moi ou pour les autres.

Tous addicts ?

L'addiction au sens strict est un abandon à une habitude négative au détriment de toute autre considération ou préoccupation. L'addiction n'est pas seulement associée aux drogues. On trouve, à titre d'exemple, l'addiction aux jeux vidéos, au sexe, à internet ... Nous sommes tous inégaux face à l'addiction. On parle de vulnérabilité interindividuelle. L'addiction est la conséquence du circuit de la dépendance et devient une pathologie psychiatrique complexe et chronique à partir du moment où il y a eu passage de l'impulsivité à la compulsivité. Je m'explique : vous pouvez consommer de façon récréative ce qui vous plait mais dès lors que survient la compulsion de trouver cette chose plus qu'une autre (si on préfère consommer de l'héroïne au lieu de se nourrir par exemple) alors vous entrez, sans le savoir, dans la compulsivité. Cette dernière peut mener vers de la dépendance. Seule solution pour s'en sortir : le sevrage. Dans ce cas l'addiction aux drogues est vue comme un "mal" dans le sens où la motivation pour trouver de la drogue est plus importante que tout le reste (s'alimenter, boire, avoir une vie sociale ...). De plus, l'addiction est totale lorsque la personne poursuit la consommation de la drogue en dépit de conséquences négatives. Pour vous donner un exemple sur des sujets murins (souris), ces derniers continuent à s'autoadministrer des drogues malgré les chocs électriques qu'ils peuvent subir à chaque administration. De nos jours, la neurobiologie de l'addiction est connue mais pas dans les moindres détails. Les chercheurs savent pertinemment que le cortex préfrontal, le noyau accumbens, l'aire tegmentale ventrale, l'hippocampe, l'amygdale ... sont des structures impliquées dans la mise en place de l'addiction. Le fait d'avoir découvert les liens existant entre ces différentes structures cérébrales, a permis de comprendre les voies associées aux stress. Par exemple, le syndrome de stress post-traumatique (mis en évidence chez des militaires américains rentrant d'Afghanistan) est mieux compris de nos jours suite à l'étude des "réseaux liés à l'addiction". Chez un sujet normal, lorsqu'un stress survient, les fonctions de l'amygdale (gérant les émotions telles que l'anxiété et la peur) et l'hippocampe (impliquée dans la mémoire et l'apprentissage de faits) sont renforcées. Cette consolidation d’événements stressants permet de "préserver" le cortex préfrontal et ainsi d'éviter au mieux ces situations dans le futur. En revanche, chez des personnes souffrant du SPT, la transmission de neurotransmetteurs dans le cortex préfrontal est amplifiée et cela contribue aux rappels en mémoire constants, aux flash-backs intrusifs et traumatiques. A la lumière de cet exemple, on peut émettre l'hypothèse que l'addiction est un "bien" dans le sens où cela a permis aux chercheurs de mieux comprendre ce syndrôme, provoquant des milliers de suicides à travers le Monde. Non pas l'addiction en tant que telle, mais le fait de comprendre les réseaux cérébraux de l'addiction est bénéfique, et constitue est forme de remède pour des personnes souffrant de stress traumatiques. Ophélie JOLY, étudiante en Neurosciences

Tous addicts ?

Merci Ophélie pour ce développement très intéressant qui permet d'aborder une facette positive de l'addiction. Je ne voyais pour ma part que le côté négatif.

Tous addicts ?

Bonjour Ophélie, Je vous remercie de nous expliquer que les recherches sur l'addiction ont permis des avancées dans d'autres domaines et pour d'autres troubles. Auriez vous des références à nous donner quant à ces explications? Je pense qu'il faut faire attention quand vous dîtes que l'addiction est un abandon à une habitude négative. Cela sous-entend que la personne choisit de se laisser aller et qu'elle est, par conséquent, responsable de l'addiction dont elle souffre. Ensuite, pour reprendre les termes de Marc Valleur, je pense qu'il serait plus juste de dire que l'addiction se traduit neurologiquement par le circuit de la récompense, si l'on pense que le corps et l'esprit, le psychologique et le biologique, sont comme deux facettes d'une même pièce. Qu'en pensez-vous? Guillaume

Qu'est-ce que l'addiction?

Selon moi, la première utilisation du terme "addiction" correspondait à la toxicomanie. Ensuite sont apparues comme addictions des phénomènes antérieures aux prises de drogues illégales (rappelons qu'à une certaine époque dans le passé la prise d'opium, le tabac, l'alcool n'était pas considérée comme une addiction mais comme un fait de société et de culture). Aujourd'hui on parle sex-

Réponse à la question 1

L'addiction est de mon point de vue forcément un mal. Toute chose pratiquée ou consommée à l'excès est nuisible. Si l'on parle d'addiction, on est dans une idée de dépendance donc de manque en cas d'absence. S'il y un manque, il y a un mal-être. C'est donc forcément mauvais.

Mes addictions

Nous sommes tous victimes. Pour ma part, la course à pied. 3 fois par semaine et pas une fois de moins...sinon il y a un manque. Mais il y a la cigarette, que j'ai arrêté mais qui me hante et parfois je craque!! On peut être victime d'une addiction et de ses propres paradoxes!!

Mes addictions

Si la dimension addictive du comportement peut etre commune ,tout n'est pas pour autant équivalent en terme d'intoxication et de dommages JLV

Réponse à la question

Pour moi, une addiction ou une conduite addictive est un comportement qui nous asservi de quelque chose, substance ou comportement. On ne peut pas s'empêcher d'adopter ce comportement, pensant qu'il va nous apporter un bien-être, sans pour autant que nous soyons apaisé après l'avoir observé. L'addiction est un mal, car c'est un comportement impulsif, compulsif. Personnellement, je ne pense pas avoir de comportement addictif, mais j'ai souffert de boulimie quand j'ai été plus jeune et pour moi c'était une période de mal-être absolu. J'ai fumé aussi pendant 20 ans, et j'étais très addictive - au point de ne pas pouvoir m'empêcher de fumer chaque jour et dès le matin- mais cela fait 10 ans que j'ai arrêté et je n'ai pas du tout envie de recommencer.

Réponse à la question

Je suis tout à faitd'accord avec vous sur la définition de l'addiction qui best une forme d'asservissement rendant sa victime esclave et sans défense . donc c'est un mal et n'est pas un remède à tous les problèmes que l'homme doit résoudre dans sa vie .

Addiction

La consommation de substance par exemple n'est pas à l'origine un besoin vital, comme le fait de devoir dormir ou manger. Mais être Addict à quelque chose est le fait a mon avis que cette consommation devient vitale, sous peine d'avoir des troubles de comportements, physiques.... L'addiction créer un manque, une dépendance. Et l'addiction procure du plaisir et un soulagement éphémère, mais qui devient un besoin difficilement contrôlable. J'ai du mal, pour ma part, à différencier l'addiction de la nocivité.

Addiction

J'aime bien que vous compariez la dépendance à un besoin vital. Car un individu dépendant n'a besoin pour survivre que sa dose quotidienne.Même si cela le tuera éventuellement. Tout est organisé en fonction du plaisir de consommer...

Addiction positive?

je dirais qu'une addiction est un mal qui cible le ou les points faibles de chacun d'entre nous pour nous rendre dépendant. Pour ma part, je pense être accro au sport car j'ai l'impression d'avoir un manque quand je n'en fait pas pendant plusieurs jours. Je ne sais pas si on peut alors parler ici aussi d'addiction puisque je ne pense pas que cela soit mauvais pour moi.

Addiction positive?

La dépendance se définit comme un état qui empêche l'individu de fonctionner et de ressentir. Si je bois un verre de vin ou plus le lundi soir, et que je vais travailler le mardi matin, il n'y a aucune entrave à mon fonctionnement psychosocial. Si je bois un verre de vin¸, que je ne peux m'arrêter et que je ne rentre pas au travail, là ma conso est problématique, quelle qu'elle soit...

Addiction positive?

Bonjour quand vous parlez de manque si vous ne faites pas de sport, est ce que vous en êtes à la souffrance physique intense et à l'idée fixe obsessionnelle qui ne s'arrêtent qu'après avoir pratiqué , ou est ce juste la sensation que 'c'est mieux avec ' ?

Addiction positive?

La notion de souffrance est effectivement importante lorsque l'on parle d'addiction. Stéphanie

l'addiction, une affaire personnelle

L'addiction est un terme qui fait peur. Il ramène très souvent à des notions de justice, de conséquences néfastes médicosociales voire professionnelles. Pour moi, il s'agit avant tout d'une relation ou d'un comportement particulier avec ou sans substance, propre à chacun: dépendance mais aussi mésusage. Aussi il est difficile de dire si cela est bon ou mauvais. Si un usage régulier de sport devient nécessaire, quel délit y a-t-il? Aussi, ce plaisir propre à la personne doit-il être corrigé si cela ne l'empêche pas d'avoir une vie sociale et professionnelle épanouie? Cela n'est pas forcément vrai pour l'alcool ou le cannabis par exemple...

L'addiction comme mécanisme de défense

L'addiction, que je nommerai dépendance, est le résultat de facteurs de protection déficients et de facteurs de vulnérabilité très présents... La dépendance est utilisée comme moyen de défense contre les agressions exterieures parce que l'individu n'a que cela pour assurer sa survie psychologique...

addiction ou dépendance ?

Pour commencer je différencie addiction de dépendance, en effet, on peut être dépendant de sa voiture pour aller au travail par exemple ou partir en vacances, mais de là à en être addict...il y a un fossé dans lequel on ne peut décemment pas tomber... Par la suite j'estime que l'essence même de l'addiction serait une mauvaise gestion de ses émotions. Surtout si on finalement on relie les différentes définitions existantes de l'addiction. C'est pour cela que je pense qu'il est difficile de dire si c'est un bien ou un mal...Car dans un premier temps c'est une réaction de soulagement à des tensions internes donc plutôt un bien mais c'est par la suite que cela devient un mal quand il faut augmenter ses consos ou pratiques coûte que coûte pour en ressentir les effets.

addiction = souffrance

Bonjour pour moi l'addiction est un mal au sens où il s'agit d'une consommation qui n'est plus contrôlable par la personne qui en est victime, et dont le manque entraine une souffrance physique ou psychique. La consommation en elle même peut être un plaisir (et les conséquences une souffrance pour la personne concernée ou son entourage) , ou un moyen d'échapper à une souffrance. Je placerai la limite entre l'abus et l'addiction au niveau de la crise de manque.

qu'est ce que l'addiction?

Pour moi, l'addiction correspond à une dépendance, que ce soit à une substance (drogue, alcool, médicaments) ou à une activité (jeu, sexe, etc.). Il peut s’agir d’un remède à un mal-être, mais à partir du moment où il y a dépendance, où la vie ne peut pas se dérouler en toute autonomie sans cette « béquille » il s’agit d’un poison qui empêche de construire un comportement de femme ou d’homme libre.

qu'est ce que l'addiction?

ce n' est pas une poison mais plutôt un désir de résoudre notre tendance nos curiosité, nous sommes de natures curieux, la recherche des nouveautés a toujours emportée dans notre vie

discussion

qu'est-ce que l'addiction? est-elle un bien ou un mal, un remède ou un poison? Selon moi, l'addiction est une perte de contrôle ou le besoin devient un manque dès qu'il y a absence. C'est à la fois une bonne chose comme une mauvaise, cela dépend comment on l'utilise. Exemple: on peut être addict à manger sainement, c'est très bien pour la santé. On peut être addict à la télévision et là on ne vit que par procuration. Tout dépend de nous.

Addiction

Pour moi, l'addiction est un besoin ressenti par une personne, qui nous pousse à avoir un comportement qui nous éloigne d'une vie équilibrée. L'addiction est à priori un mal, mais elle peut dans certains cas être un bien: - pour oublier le poids néfaste d'une réalité - quand elle constitue une passion productive

Ma définition de l'addiction

C'est quand la raison n'a plus sa place dans la consommation d'un produit ou autre et que seul le besoin domine.

1ere question

l'addiction n'est pas bien dans le sens ou l'on perd sa liberté tant dans son comportement , sa raison, ses dépenses et autres

Définition personnelle

C'est une dépendance à un besoin (comportement, substance, objet, ...) nocif pour l'individu qui provoque chez ce dernier un déséquilibre (comportemental, social, physique,...).

Addiction

Bonjour, Je pense que l'addiction à un certain niveau est toujours mauvaise. Il ne faut jamais être addict à mon sens. Toutes addictions n'est jamais une solution. C'est un remède et un poison.

Une privation de liberté

L'addiction est une "dépendance très forte (à une substance nocive) entraînant une conduite compulsive." nous dit le Robert. Qui dit dépendance dit privation de liberté. Donc nécessairement, l'addiction est négative. L'addiction implique un enferment de la personne dans l'univers de l'addiction sans pouvoir s'en sortir seul.

Une privation de liberté

L'addiction est une "dépendance très forte (à une substance nocive) entraînant une conduite compulsive." nous dit le Robert. Qui dit dépendance dit privation de liberté. Donc nécessairement, l'addiction est négative. L'addiction implique un enferment de la personne dans l'univers de l'addiction sans pouvoir s'en sortir seul.

Une privation de liberté

Sans pouvoir s'en sortir seul ? Tout dépend de la personne, j'en connais qui s'en sont sortis seuls et d'autres qui même accompagnés n'en sont jamais sortis

Une privation de liberté

Bonjour, Effectivement, certaines personnes s'en sortent toutes seules, on parle alors de "rémission spontanée"... Cordialement, Stéphanie

L'addiction est...

une dépendance à quelque chose ! Qu'elle soit physique ou psychique, elle ne peut pas être jugée comme bonne ou mauvaise. Ce sont les effets induits que l'on peut qualifier ainsi.

L'addiction est...

Une bonne cause pourrait produire des effets néfastes ?

Réagir avant les problèmes et prendre conscience de son addiction

L'addiction est un problème !!! Pour moi une addiction peut vite devenir un problème: A différent niveau bien sur mais je pense que on devient addict à quelque chose sans même sans rendre compte ou en refusant de s'en rendre compte se disant que ce n'est pas grave et que l'on peut en sortir quand on veut ce qui est faut !!! c'est là que ca devient un problème. Pour moi peut importe l'addiction dont on souffre, il me parait difficile d'en sortir seul et il faut avant tout l'accepter pour se donner des chances d'en sortir !! Quand la vie s'organise autour d'une addiction il est déjà trop tard ( pas pour s'en sortir mais pour éviter d'une habitude devienne une addiction) Je penses que peut importe l'addiction, cela est dans tout les cas un mal qui cache quelque chose qui peut devenir un vrai problème et qui peut avoir de graves conséquences ( familiale, professionnelle, judiciaire, ....)Alors si l'addiction peut être un remede dans le sens ou elle va répondre à un besoin qu'on ne peut pas controler et va apporter un bien être sur le coup, l'addiction reste dans tout les cas un poison qui nous couper du monde de la réalité de la famille et de l'entourage qui ne pourra pas toujours comprendre et surtout qui ne s'est jamais douté qu'une personne à un problème. Il faut donc reéussir à surmonter cette addiction se donner tout les moyens de s'en sortir pour que ce problème soit utile pour d'autre et reprendre le controle de sa vie avant de tout perdre dans les cas d'addiction les plus grave !!!

addictions

Quelques addictions : il y a longtemps pendant quelques mois difficiles : addiction à l'alcool le soir après le repas. en ce moment : addiction aux jeux sur mobiles et auparavant sur ordinateur et souvent addiction au chocolat. point commun : dépendance forte malgré le sentiment que cela n'est pas rationnellement souhaitable.

addictions

On peut dire alors qu'il y a un lien entre addiction et émotion? "mois difficiles"

Addiction

Aux regard du monde extérieur ou à ses propres yeux ? Remède ou poison ? Les 2, cela dépend à mon sens si on plonge seul ou si on entraîne quelqu'un ?

Addiction

Je crois que la différence c'est plutôt le résultat de l'addiction: est-ce que Van Gogh était adicte à la peinture? Thomas de Quincey?

âge et addiction

Il y a quelques personnes pour ce MOOC, mais quel âge avons-nous en moyenne (pour ma part 48 ans), peut-on donc se poser la question à nouveau de la définition même de l'addiction. L'alcool pour une personne de mon âge ne sera pas forcement une addiction mais le "net" pour mon fils oui...Pour quelqu'un de mon âge peut-être est-il plus facile d'accepter le terme de dépendance !!

âge et addiction

Bonjour. Nous disposons de quelques informations démographiques minimales sur les participants. Voici les données aujourd'hui 15 janvier. En vert les hommes, en orange les femmes. La dernière colonne comprend les données non connues. ![Démographie @ddict?][1] [1]: /media/14212683881038294.png

âge et addiction

Alors, cela signifie qu'il y a plus de femmes âgées que d'hommes?

âge et addiction

A vue d'oeil c'est possible, au moins pour ceux nés avant 1961. Mais je ne suis pas sûr que ça soit significatif statistiquement, i.e. qu'il y ait une différence significative (= non due au hasard) entre la population des participants du mooc et la population française ou francophone. Il y a également au moins 70 personnes qui ne donnent pas de sexe (la barre bleue à droite).

Besoin

Addiction: besoin non vitale dont on ne peut se passer. L'addiction est crée par la société de consommation: Création d'un produit, création d' une mode, création d'un besoin, création de l'addiction...

L'addiction

Pour moi, de l'extérieur, l'addiction ressemble à un comportement insensé, de renfermement mais qui révèle un malaise, une souffrance de la personne "victime" qui agit comme un poison, en tout cas, jusqu'à ce que la personne elle-même s'en rende compte (en espérant qu'elle s'en rende compte). Mais l'addiction peut être vue comme bénéfique pour les industries, qui peuvent baser leur économie là-dessus (je pense à certains jeux sociaux que l'on trouve sur un certain réseau social).

qu'est que l'addiction

L'addiction est un comportement de dépendance à un produit dans lequel on a mis de l'illusion et en lequel on croit

addiction ?

L'addiction est la dépendance incontrôlée. C'est quand vous n'êtes plus maître de faire ou ne pas faire. Beaucoup (dans les réponses sur le forum) parlent de dépendance a un produit mais cela peut aussi être a un comportement. Par exemple pour les fumeurs l'addiction n'est pas tant a la cigarette et ses composants qu'au geste, qu'à la "pose cigarette". L'addiction vient peut-être plus de ce que la personne associe à l'acte au départ et qui d'encre dans son esprit, a son insu.

un bien ou un mal, un remède ou un poison

Je pense qu'il y a mise en place de l'addiction quand le produit de celle-ci est associé a un bien, un remède au départ et qu'il devient justement un mal, un poison quand il est addictif.

suite de ma réflexion

Pour faite suite a la notion de bien et de mal, de maitrise ou non, je me suis alors demande si j'etais addict au bonheur? Oui tous les jours je tend au bonheur donc je suis dans la repetition, dans l'endoctrinement (la positive attitude), oui quand je ne suis pas dans ce comportement je suis moins bien. Non ce n'est pas mal et plutot bien. Alors est-ce qu l'addiction doit remplir plusieurs conditions en meme temps. Et vous, etes-vous addict au bonheur? Qu'en pensez-vous ?

suite de ma réflexion

Bonsoir Corine, En se plaçant sur un point de vue médical, l'addiction renvoie à la notion de souffrance... Il me paraît donc paradoxal d'être addict au bonheur :) Personnellement, tout comme vous, j'essaye (avec des hauts et des bas) de tendre vers le bonheur tous les jours! Cordialement, Stéphanie

une dépendance

Pour moi, l'addiction est le fait de ne plus pouvoir se passer d'une substance, d'un comportement qui au départ ne fait pas partie des choses indispensables à la vie.

JEUX DE LETTRES

Peut-être par rapport aux jeux de lettres. Dès que j'allume ma tablette, j'aime bien jouer à Ruzzle.

Connotation négative

L'addiction a, selon moi, une connotation négative : c'est un besoin excessif et irrépressible qui dépasse l'entendement bien qu'il ne soit pas vital.

Connotation négative

Je me permet une question : l entendement de qui ?

Une définition de l'addiction

Je définirais l'addiction comme étant une dépendance. L'objet de la dépendance devient un besoin dont la personne ne peut se passer. En ce sens, l'addiction n'a rien de bénéfique parce qu'elle prive la personne d'une certaine liberté (assouvir absolument un besoin qui n'est pas nécessaire, qui n'est pas vital).

Tout dépend de ce à quoi on est addict.

Entre être addict à la lecture et addict au jeu, je pense que la lecture favorise un peu plus le développement personnel, la réflexion (tout dépend aussi ce qu'on et/ou à quoi on joue...) Je pense quand même que peu (pas?) d'addictions ont un effet 100% positif sur la personne concernée. Même si c'est une addiction à la musique, le fait de se coucher à 2h du matin tous les jours pour en écouter, découvrir de nouveaux artistes, ou en faire, n'est pas un comportement sain à la longue. Dans certains cas, je pense qu'elle peut être une thérapie pour soigner certains maux psychologiques, et se plonger à corps perdu dans la passion pour oublier d'autres événements plus douloureux.

addiction

Il s'agit d'une dépendance où les risques sont un poison, un mal pour la personne concernée.

Dépendance

L'addiction est une dépendance, un besoin irrepressible de faire telle activité ou de consommer telle substance, pour prendre du plaisir. Au début, c'est pour cela que l'on y revient, pour retrouver ce plaisir ressenti les premières fois. Et petit à petit, ce besoin devient une nécessité, la recherche du plaisir nous entraîne parfois à consommer ou agir de façon excessive, le plaisir n'étant plus forcément présent mais il devient impossible de s'en passer. Le manque commence à se faire ressentir et plutôt que de se sentir "mal" on continue afin d'assouvir ce "besoin", au détriment de la vie sociale, familiale, au détriment même des besoins vitaux (sommeil, alimentation...) Il ne faut pas confondre une consommation abusive, excessive avec une addiction où la notion de dépendance (physique et/ou psychique) est forte.

Acte de plaisir engendrant une dépendance

L'addiction peut se définir comme un acte répété et prolongé dans le temps recherché avec avidité pour le plaisir mais engendrant une dépendance à un produit psychotrope ou une situation génératrice de sensations fortes

Acte de plaisir engendrant une dépendance

Je ne pense pas que la notion de sensation forte puisse être la seule source d'addiction notamment dans le numérique. Si l'on prend l'exemple d'un joueur de MMORPG, il peut développer une addiction parce que la progression de l'avatar du joueur, et donc par dérivée du joueur lui même, est linéaire et progressive alors que sa vie réelle peut être en stagnation (echec scolaire, travail peu gratifiant, solitude etc...)

Acte de plaisir engendrant une dépendance

Bonjour, votre remarque est intéressante. Il est vrai que le jeu vidéo offre un monde dans lequel les moyens de reconnaissance sont nombreux, en effet dans l’univers du jeu les exploits sont reconnus par le jeu mais aussi par les autres joueurs qui reconnaissent la performance. Marine

Dépendance

Impossible de s'en passer ; sensation de manque quand l'objet d'addiction n'est pas disponible

Addiction

L'addiction est une forme de dépendance liée la recherche du plaisir, du bien-être ou de l'oubli.

suis-je victime d'une addiction ?

Non, je ne pense pas en être victime, mais je suis très intéressée par ce sujet pour comprendre le fonctionnement des personnes dépendantes, et notamment des ados.

Qu'est ce que l'addiction ?

L'addiction est le fait d'avoir certains comportements compulsifs dont la volonté est incapable à gérer ou à mettre un terme. Elle est un mal car elle entrave la liberté d'un individu; dans ce sens elle est plutôt un poison.

Qu'est ce que l'addiction ?

Je suis en partie d'accord. Je pense qu'en plus d'un comportement obsessionnel-compulsif, l'addiction se définit comme une réponse aux angoisses, coupant ainsi le lien rattachant la personne à ses émotions et sentiments. Je pense que c'est un moyen de fuir la réalité qui est alors insoutenable pour la personne. C'est un remède dans le sens où c'est une solution que la personne a trouvé à un problème rencontré et un poison à la fois car comme vous le disiez, cela entraîne la perte de contrôle, une dépendance physique et psychologique accompagné ou non d'effets secondaires.

La musique

Je préfére la musique, car elle m'a beaucoup apporté dans ma vie, je choisis ce que j'écoute en fonction de mes activités (musique classique, rock, mais aussi musique naturelle). J'ai fait un stage il y a quelques années où l'on m'a fait comprendre l'impact de la musique sur l'individu. Nous ne réagissons pas de la même manière s'il nous écoutons une goutte d'eau tomber, une vague venant sur le rivage, un coup de tonnerre, le vent, les oiseaux chanter, une petite sonnette). Je me suis laissée aller à vivre intensément l'instant en écoutant différents sons, (qui sont employés en relaxation), mes émotions. Cela m'a appris beaucoup de choses (que l'on peut aller de l'état de stress à l'état de plenitude, puis pleurer même en dormant en écoutant de la musique. Mais c'est une belle expérience, et je suis mélomane depuis mon enfance car j'avais de bons profs de musique et des amis jouaient dans un groupe de Hard. Mais je n'en suis pas dépendante pour autant.

1ere Question !!!

A mon avis, l'addiction est la dépendance physique, psychologique ou physiologique d'un individu à une substance ou à un comportement de façon à en avoir des conséquences néfastes sur soi ou sur son entourage

addiction la question

L'addiction c'est un mal, un poison de l'esprit, effectivement généré par la société moderne qui offre un statut particulier et très flatteur à l'image et les interfaces pour capter les images, les visionner, les arranger, les collectionner, les partager etc. . l'image pour moi est apparentée à l'idée de possession, je prends pour exemple les photos que les personnes prennent des œuvres d'art dans les musées... Connaissant depuis longtemps ma faiblesse addictive à l'image, je vis depuis 12 ans déjà sans TV mais les interfaces numériques ont progressivement envahi ma vie. Actuellement je remarque le caractère virtuel de tout cela et m'interroge sur ce qu'est vivre vraiment, c'est à dire libéré de cette addiction...

addiction la question

Bonjour, si cela ne vous gêne pas de donner un peu de détails, qu'appelez-vous une "faiblesse addictive à l'image" ?

Addiction suite

Je vis également un aspect fuite des réalités dans le fait de céder à l'addiction...

L'addiction en trois temps

Quelques bribes de réflexion quant à la question posée: le sens éthymologique de ce mot, les aspects "thérapeutiques" de l'addiction vus selon l'intérêt d'autrui et enfin la notion de déséquilibre présente dans l'addiction. Ethymologiquement la notion d'addiction vient du latin "ad-dicere", expression latine employée à l'encontre des esclaves qui, n'ayant droit à un patronyme, se voyait apostrophés par la précédente locution, signifiant "dire à". Cela conforme ainsi mon impression de départ ralliant l'addiction à la servitude, à la perte d'identité et à d'autres notions péjoratives. Personnellement, je ne vois pas comment l'addiction pourrait être un bien ou un remède pour soi. En revanche elle peut être un "bien" utilisée comme outil de manipulation. En effet, il existe plusieurs niveaux de manipulation, lorsque certains ont un caractère clairement win-loose (c'est-à-dire lorsque la manipulateur a un comportement qui ne bénéficie pas au manipulé) au win-win (par exemple, lorsqu'un parent voudrait induire un comportement addictif à son enfant vis-à-dis de la lecture de livres didactiques, voire de livres tout simplement). Ainsi l'usage de l'addiction comme remède à des fins manipulatoires win-win suppose un comportement manquant de la part du manipulé. Cela implique dès lors une faiblesse de la part du manipulé (immaturité, insuffisance cognitive...), ainsi nous revenons à la coercition et à la servitude. Les addictions sont en général liées à des comportements exagérés. Or tout comportement sain devrait être mesuré afin de ne pas empiéter sur les droits, devoirs et envies saines de son initiateur. Tout comportement sain ne devrait pas non plus priver l'initiateur de contact équitable avec la société. Dès lors, l'addiction est un "mal" voire un poison pour celui qui en souffre et ne sera donc un possible remède uniquement si l'addiction à des fins manipulatoires afin de changer de façon coercitive la personnalité du manipulé.

L'addiction en trois temps

Bonjour Aurelia, On peut par exemple voire l'addiction comme un bien parce qu'elle permet de mettre à distance certaines souffrances, et d'oublier certains problèmes. La substance utilisée (ou l'outil), devient ainsi un moindre mal pour la personne en difficulté. Qu'en pensez-vous? Guillaume

L'addiction en trois temps

Bonjour, "On peut par exemple voire l'addiction comme un bien parce qu'elle permet de mettre à distance certaines souffrances, et d'oublier certains problèmes.": je pense que si ces souffrances sont mises à distance, elles ne disparaissent en aucune façon... Et le retour de bâton risque d'être violent.

L'addiction en trois temps

Bonjour monnat, Je suis d'accord avec vous, elles ne disparaissent pas et le soulagement n'est que momentané. Mais si l'on va dans ce sens je trouve que cela amène d'autres questions. Guillaume Pourquoi des individus en viennent-ils à recourir à un tel moyen de se soulager de leur souffrance? Cette souffrance est-elle si grande? Les offres de soin médicales comme psychologiques sont-elles si peu connues? Si peu adaptées?

Mes addictions

Question hautement personnelle et visant à mettre son âme à nu. Je vais donc jouer le jeu: mes addictions sont selon moi de deux formes: numériques et primaires. Mes addictions numériques sont principalement liées mon smartphone et à mon ordinateur mais surtout à ce qu'ils me permettent de faire: être en société, parler à de nouvelles personnes et découvrir des horizons nouveaux. Comme pour la télé, longtemps décriée comme endormeuse de cerveau, il s'agit surtout de ce que l'on fait de nos objets connectés: allons nous perdre notre temps mais peut etre aussi prendre le temps de se détendre sur Candy Crush ou préféront nous découvrir une branche de la biologie concernant la néoténie? Mes addictions primaires sont liés à mes besoins de liberté et de découverte, à mon besoin d'amour mais également aux besoins de mes papilles et de sucre. Ce dernier est clairement un aliment aux vertus addictives. Pour revenir au caractère sociale des nouvelles technologies, elles sont clairement liés à mes addictions primaires dans mon cas. En effet, internet m'a permis de combler mon besoin d'amour quitte à m'envoyer sur le chemin addictif qu'il implique. Internet m'a également permis de mettre en synergies mes besoins de découvertes. Finalement, dans mon cas, je dirais que mes addictions sont mes besoins nourris de manière passionnée. Quant à mes non-addictions, je suis un traitement anti-douleurs qui pourrait m'y pousser, pourtant en étant stricte au niveau des prises de se médicament et en écoutant mon corps je n'ai aucun problème addictif médicamentaux. Comme quoi les addictions personnelles sont surtout une question de volonté et de sagesse. Il faut vraiment réfléchir à ce qui peut découler lors de nos agissements. En général rien n'est jamais gratuit.

qu'est-ce que l'addiction

l'addiction est une compensation de vide ou de manque de satisfaction d'un ou de plusieurs besoins attendus d'autres personnes que soi. C'est aussi l'expression que notre présent ne nous satisfait pas. C'est aussi un signe que nous sommes vivants et pouvons nous passer de besoin attendu d'autrui.

pensez-vous être concerné par une addiction?

Je pense être concerné par l'addiction. Je pense que je vis la rêverie de façon addictive. En effet je me trouve souvent en retard pour répondre à des obligations professionnelles et sociales pour avoir passer mon temps à rêver.

pensez-vous être concerné par une addiction?

C'est original et intéressant car on a plutot tendance à décrire en général la rèverie comme une ouverture ,voire un antidote de l'addiction ;son caractère délié ,à distance de l'urgence de faire ,et meme de penser,contribue à cette vision ; pourtant certaines rèveries récurrentes , et plutot stéreotypées , sont vécues comme contraignantes et dommageables;s'agit il pour autant de processus addictif ou faut il parler d'obsession ,ou encore de conduite d'évitement? en tout cas votre témoignage est stimulant de ce point de vue! jlv

addiction...no way

a mon sens, l'addiction ne peut être quelque chose de positif parce que par définition elle fait perdre le contrôle a celui qui en souffre... elle peut etre un poison si elle est poussée à l'extrême et qu'elle devient omniprésente... le remède? en parler autour de soi, s'imposer des exercices simples à réaliser petit à petit...

addiction

L'addiction est un comportement répétitif visant à procurer du plaisir et/ou à soulager un mal être. elle prend une place importante dans la vie au point de délaisser d'autres centres d'intérêt . C'est aussi une perte de contrôle ,perte de liberté. est ce un bien ou un mal? en tout cas, elle a une fonction . elle peut permettre d'atténuer des souffrances insupportables ,d'anesthésier, d'oublier .En ce sens , elle peut servir de remède . un poison? aussi ,car souvent, il y a des conséquences négatives, des pertes à différents niveaux (argent, santé, familial ...)

Bien ou mal?

Pour moi l'addicion est un poison car c'est quelque chose qu'on n'arrive pas à gérer, on n'est plus maître de soi et, quelque fois, on ne peut même plus ressentir les bienfaits que notre addiction est sensée nous apporter.

Bien ou mal?

Pour moi l'addiction est une dépendance (boisson, drogue, médicament, sport, travail, jeux). Il me semble que la personne se procure ainsi un bien être (à mon avis relatif), du plaisir.La personne a conscience ou pas de sa dépendance. Elle peut vouloir s'en passer,s'en libérer mais cela nécéssite à mon avis un suivi médical.Pour résumé, il me semble qu'il y a addiction quand il y a plusieurs facteurs: dépendance, répétition, plaisir et perte de liberté.

un poison plus ou moins accepté par la société

Pour moi l'addiction est une dépendance (boisson, drogue, médicament, sport, travail,jeux). Il me semble que la personne se procure ainsi un bien être (à mon avis relatif), du plaisir.La personne a conscience ou pas de sa dépendance. Elle peut vouloir s'en passer,s'en libérer mais cela nécessite à mon avis un suivi médical.Pour résumé, il me semble qu'il y a addiction quand il y a plusieurs facteurs: dépendance, répétition, plaisir et perte de liberté.

addiction

Une addiction est une conduite qui se répète quotidiennement, régulièrement alors que la personne a perdu tout contrôle. On note une notion de dépendance à la fois physique et psychique qui se définit avec un phénomène de tolérance, un syndrome de sevrage, une augmentation du temps pour rechercher le produit, des tentatives infructueuses pour arrêter, un retentissement fonctionnel. Perte de liberté. Quelques chose qui était un plaisir devient une contrainte, un poids, quelques chose tout on a vraiment du mal à se libérer. Il peut être associé une pathologie psychiatrique favorisant l'addiction (cercle vicieux alcool- dépression.

réponse 1

L'addiction est une dépendance de l'être à quelque chose. Elle est par définition négative à l'homme car elle l'empêche d'être libre.

réponse 2

Oui j'ai des addictions alimentaires : le chocolat et certains biscuits

définition de l'addiction

Selon moi, l'addiction est une perte de contrôle de ses consommations ou comportements. La personne vient à consommer, non plus par plaisir comme ça pouvait l'être au départ, mais pour éviter d'être mal.

Semaine 1 / 1.2 Vos addictions

Etes vous concerné par une ou plusieurs addictions?

Je suis fumeuse depuis bientôt 30 ans avec cependant de longues périodes d'arrêt (5 ans et 6 ans plus de petites ruptures). Ceci dit, fumer est un besoin très fort et je ne peux me résoudre à abandonner totalement le tabac. Il agit sur moi comme un calmant parfois, comme un dynamiseur sinon.

non

je ne pense pas souffrir d'addiction, je suis un passionné de beaucoup de choses, mais je peux vivre sans, sans que cela génère chez moi un sentiment de manque . de ce fait je retrouve du plaisir à m'adonner à ces passions mais je ne suis pas angoissé si je ne puis le faire.

oui

J ai une addiction au tabac (très bon score établi par un tabacologue lors d une unique tentative de sevrage ). Je me demande si l atavisme est un facteur pertinent dans ce type d addiction ? Pour ce qui est du numérique le MOOC viendra répondre à la question... Le point qui semble le plus me toucher c est le besoin de reconnaissance , quelque chose qui toiche a l estime de soi et internet nourrit ce besoin. Avec quels risques ?

non

Dans la mesure où l'addiction suppose la dépendance à l'égard de substances, d'objets ou de personnes extérieures à nous, elle est une manière de nous détourner d'une réalité qui semble ne pas avoir de sens. L'âge m'a appris que la vie n'a que le sens qu'on lui donne et on ne peut lui en donner un qu'en agissant dans un domaine qui permettra une réalisation de soi-même. C'est sans doute le privilège de l'âge que d'accéder à cette réalisation, mais comprendre que s'accrocher à des choses qui ne dépendent pas de nous est illusoire, me paraît accessible à tous.

Je ne pense pas...

**Pensez-vous être concerné par une ou plusieurs addictions ?** Je ne pense pas. Ma réponse peut surprendre car c'est n'est pas un "oui" ou un "non" ferme et définitif. Je pense que l'on se rend compte d'une addiction lorsque l'on est privé de la substance à laquelle on est addict. Au cours de ces dernières années j'ai souvent entendu parlé d'addiction à des aliments "de tous les jours", comme le sucre, le café, les produits gras... Une personne qui boit un apéro tous les soirs en rentrant du boulot saura si elle est alcoolique le jour où elle se sentira mal si elle ne boit pas. Si cette personne devient alcoolique, il est également probable qu'une autre personne ayant la même habitude qu'elle ne le devienne pas. Je ne peux donc dire que pour le moment je ne pense pas être concernée par une addiction.

Peut-être

Je développe peut-être une addiction aux jeux PC. Je peux m'en passer pour partir en vacances ou un week-end mais je ressens le besoin de jouer. C'est parfois pour moi la façon de me défouler quand je suis énervée, que ma journée ne s'est pas bien passée ou de me détendre tout simplement. Je passe plusieurs heures par jour sur mon ordinateur alors je n'ose pas faire le compte de la semaine.

Possible

Le sport peut-être une addiction.

Possible

Je ne crois pas que le sport devienne maladie ou trouble....donc pas d'addiction pour moi, en tout cas passion

Possible

- Les joueurs sociaux : ce sont des personnes qui jouent soit occasionnellement, soit régulièrement, mais dans la vie desquelles le jeu garde une place limitée, celle d’un loisir. - Les joueurs professionnels. - Les joueurs pathologiques, addicts, seraient donc une catégorie à part. A la dépendance, s’ajoute dans leur cas la démesure, le fait que le jeu est devenu centre de l’existence, au détriment d’autres investissements affectifs et sociaux. Le sport de haut-niveau peut-être classé dans les addiction comportementales @Bruno_TISON

exemple adiction

l addiction donc la plus frappante est l addiction aux smartphone tablettes ces appareils creent une dependance je ne peux passer une journee sans consulter mes mails comme si c est indispensable l addiction au net est encore pire une panne internet on a l impression que c est la fin du monde on a limpression d etre vampirise par ces nouvelles technologies

Une ou plusieurs addictions ?

L'amour ? j'y suis accro ! Mon cappuccino du matin pris à la machine avant de monter au boulot ! Mon ordi, un petit peu quand-même. Pour mon époux, c'est la complicité avec son ordi. qui fait peur !

Une ou plusieurs addictions ?

C'est si mignon :) Mais c'est vrais que vous êtes la première personne à en parler. J'espère pour votre époux que vous ne seriez pas prête à le tuer si vous ressentez un manque d'affection ;)

Une ou plusieurs addictions ?

Ah-ah ! Au bout d'un moment, s'il n'y avait plus l'Amour tout court, prête à ME tuer ? peut-être ?

Une ou plusieurs addictions ?

aussi exceptionnel soit votre mari personne ne mérite qu'on se suicide pour lui

Une ou plusieurs addictions ?

Nan c'est pas ça !!! En terme d'addiction, je parle de l'Amour de chaque instant, pour moi, mais aussi pour chacun de nous je pense. Je pars dans un délire philosophique peut-être mais on ne peut pas vivre sans la chaleur d'un sourire, le souffle d'un baiser, la douceur d'un mot ou la puissance du regard, même de quelqu'un qui nous est étranger. On peut être "accro" à l'amour, "en manque, recherche ou attente" d'amour, "en délire avec" l'amour, en extase face à l'amour, s'aimer soi-même et bien d'autres choses ! Ce que je veux dire, c'est qu'on a tout simplement besoin d'amour pour vivre ! Mais c'est une addiction qui fait à la fois du bien et du mal. Peut-être la plus grande addiction de l'être humain ?

Suis-je addict ?

Non je ne pense pas car j'aime beaucoup de choses, mais de là à ne plus pouvoir m'en passer au point de faire des kilomètres ou passer des nuits blanches ... Le sucre peut-être ?, ce n'est pas indispensable mais je peux difficilement m'en passer.

Pensez-vous être concerné par une addiction ?

On est tous dépendant de quelqu'un ou de quelque chose, sans forcément être dans le pathos et L'addiction ...Sigmund Freud illustre cela par la dépendance de l'enfant à sa mère pour sa survie.. . je ne pense pas être aujourd'hui addict à quoi que ce soit, je n'ai pas de désir compulsif envers quoi que cela soit..

Moi addict ?

Peut être ne suis-je pas vraiment sincère avec moi-même mais je ne me considère pas comme addict à quelque chose. J'oublie mon portable ? Bon d'accord ça m'agace sur le coup mais je ne me mettrais pas en retard pour ça ! Je fume ? Oui, une ou deux cigarettes par jour même les jours de stress ! J'aime le chocolat ? Oui mais pas tous les jours ! J'aime...mais avec une certaine modération et sans crises de colère quand je n'ai pas (ou angoisse)... Voilà pourquoi moi je ne me considère pas addict, là tout de suite en tout cas (je me dis les histoires de vie ça pet faire changer pas mal de choses...) je ne le suis pas...

concerné par une ou plusieurs ???

il me semble que oui: une pratique + une substance numérique + drogue se nourrir + aliment

addict moi jamais ...

exagérer une pratique voir une substance ouiiiiiii en conscience donc occasionnelle ... mais le sport et Internet ... bien sur ... c'est tellement agréable ! pour éviter d'exagérer ... faire à plusieurs, partager et stopper les outils

Addict ?

Je ne me sens pas personnellement concernée par une ou des addictions. Quelques mois auparavant, j'aurais peut être dit la cigarette mais j'ai réussi à arrêter très facilement. Donc je ne suis même pas sûre qu'elle en fut vraiment une.

Vague addictive

Ancienne fumeuse, je pense pouvoir répondre "OUI, je l'ai été" et, au regard de ma représentation actuelle de l'addiction. J'ai d'ailleurs réussi à arrêter au nom de l'indépendance, c'est dire si je tiens à ma liberté. J'émets quelques réserves quant à mes comportements que je nomme 'mes boulimies'. Ce sont des vagues addictives. A ce moment là je qualifie plutôt ces comportements comme abusifs. Surtout par rapport à l'outil informatique, lequel me sert surtout pour travailler. Mais je l'avoue, j'ai quand même réussi à passer des mois (environ 6) sans trop percevoir le soleil et sans envie particulière de sortir. C'est un peu comme ma fenêtre sur le monde, j'y trouverais presque un équilibre mais je continue à penser que ce serait un faux semblant.

Suis je concerné?

Oui, je pense être concerné. Non pas que je sois addict (enfin, je pense/j'espère), mais que je pense pouvoir le devenir. Par rapport au sujet qui nous concerne ici, passer des heures connecté aux réseaux sociaux, à internet, lire les infos, lire mes mails ou mes messages, je l'ai fait. Sur l'ordinateur directement, mais aussi sur tablette et smartphone quand je ne suis pas chez moi. Avoir besoin de tout checker tout le temps, même en sortie, en famille, entre amis, devant la télé, dans les salles d'attentes, pendant les repas. Ressentir le stress de ne pas le faire, mais aussi un stress d'être dans l'attente d'un message, dans la projection future de ce que je vais lire ou pas. J'ai donc pris beaucoup de distance et je me modère moi même pour me dépolluer. Pareil pour les jeux vidéos. Addiction? Usage excessif? J'ai connu la cigarette et le sentiment de manque quand j'ai arrêté et j'ai continué à en rêver des années après. Et aussi concerné en regardant autour de moi ou je vois de l'habitude, de l'habitude excessive, peut être justement de l'addiction ou le chemin de l'addiction à l'alcool, au tabac, au sport, au travail, aux écrans

Suis je concerné?

Je fume et je suis ex-cocaïnomane. Donc en rétablissement à vie...

Suis je concerné?

Bon courage Julie, tout mon soutien.

Je ne pense pas...

Selon ma vision des choses, le concept d'addiction est notamment relié à l'apparition de conséquences néfastes sur l'individu et/ou son entourage. En ce sens, je ne pense pas entretenir un lien avec quoique ce soit au point de me faire du tort...

Je ne pense pas...

je me reconnais assez dans votre message, et ne pense pas être concernée par une ou des addictions. je suis curieuse de beaucoup de choses, j'ai des pratiques et des activités diversifiées, rien qui ne m'oblige ou me ferait du mal (ou à mon entourage).

Je ne pense pas...

avant de faire mal à son entourage on peut se faire mal à soi en terme d'addiction, d'autant plus qu'il n'en ressort pas toujours du plaisir

Sans aucun doute

Le sucre sous toutes ces formes (surtout chocolatées !) est ma principale addiction, remède chouchou contre tout mal-être. Je ne sais pas vraiment d'où vient cette addiction, le prénom peut y être pour quelque chose ! ;)

concerné?

je ne pense pas être dans l'addiction. Certes, mes séances de sport me manquent quand je ne peut pas les suivre, le regarde mon iphone un nombre incalculable de fois dans la journée, mais je n'oublie jamais de me nourrir, de me laver et je pose le téléphone lorsque je suis avec mes amis ou ma famille.

tabac addiction ?

n voyant le nombre de témoignages et l'idée générale que le tabac est une addiction, étant moi-même fumeuse, je me pose la question justement : suis-je addict ? je dirais non, dépendante, ça oui, c'est sûr et certain. Pourquoi je ne me sens pas addict : mon comportement ne change pas que je fume ou pas, cela ne me calme pas plus que cela m'excite, je ne m'isole pas, je n'oublie pas qui je suis et j'ai conscience pleinement de raccourcir mon espérance de vie. (en sortant de la chimio, mon premier geste était d'allumer une cigarette, mais là je crois que c'était ma bravade devant la maladie). Dépendante : car de vouloir faire comme la copine, vouloir ensuite faire plus femme , c'était l'époque sensible de la puberté et j'ai souscris et j'ai continué. Je pense que les produits qui sont dans les cigarettes créent cette dépendance. Autant il m'a été facile d'arrêter le café (jusqu'à trois litres par jour, cafetière toujours allumée) autant il m'est difficile d'essayer d'arrêter de fumer. D'où mon idée de produits qui sont dans la composition : si c'était du simple tabac, je devrais pouvoir arrêter aussi facilement. En comparaison, je suis étonnée que l'on puisse parler d'addiction face au numérique, je parlerais d'excès d'usage et de mauvais usage. Je ne possède pas de ipod ipad tablette et compagnie. Bon j'arrête mon bavardage avant de vous lasser (si ce n'est pas déjà fait). Murielle

tabac addiction ?

Le tabac est un psychotrope donc une substance qui agit principalement sur l'état du système nerveux central. Si le comportement change si on est fumeur ou non, tu n'en as pas conscience c'est différent. Une addiction est un excès d'usage. le tabac à l'origine est la feuille d'une plante. Regarde la composition du tabac ici][1] [1]: http://quentin-gerbeaux.jimdo.com/la-composition-d-une-cigarette/

Addict Une ou Plus

Sans doûte plusieurs, J'assume. Alcool = Peut être il faut quantifier alors le risque santé 1 verre 2 verres etc Informatique = C'est l'addiction typique qui a du en remplacer une autre à savoir le temps de lecture ou de TV avant on parlait alord de loisirs... Travail = Cela peut faire sourire mais il y a aussi de vrai addict au travail En fait il me semble qu'il y a un regard à avoir sur soi et sur les activités que l'on pratique avant de juger pour soi ou pour les autres si tel ou tel comportement, loisir est à classer dans l'addiction.

Mes addictions?

Je ne sais pas si je dois les appelés addictions. Côté Substance,je n'ai aucun addiction. dépuis que j'ai eu mon premier ordinateur en 2008, j'ai toujour été accroché à PC. quelquefois même si je n'ai pas grande chose à faire je suis toujours là en train de faire un truc. je ne sais pas si je suis addict à mon PC?

Mes addictions?

je pense plutôt que tu ne sais plus comment gérer ton temps libre en dehors du pc, le pc est chronophage et effectivement même si on n' a rien de particulier à y faire on y perd beaucoup de temps

pensez vous avoir plusieurs addictions

je pense être addict au jogging que je tente de maîtriser mais lorsque je devrais courrir et que je ne sors pas je ne me sens pas très bien moralement

pensez vous avoir plusieurs addictions

Bonjour, l'addiction peut effectivement prendre différentes formes et parfois une addiction est une substitution à un manque, voire à une autre addiction. pour ma part, je suis addicte à mon sport de la semaine et dans une certaine mesure, au web.

pensez vous avoir plusieurs addictions

Quelle diffénce faite-vous entre un manque, un besoin, une habitude ? @Bruno_TISON

pensez vous avoir plusieurs addictions

bonsoir je pense que l habitude on peut la changer le manque peut passer le besoin me fait prendre mes baskets et courrir quoique que j'aie à faire invariablement

pensez vous avoir plusieurs addictions

Les habitudes sont très difficiles à changer ou à éradiquer, et pas seulement pour les êtres humains. J'ai un chat et si je change l'endroit où je place son plat de nourriture il est un peu perdu pendant quelques jours.

Moi addict ?!

**Pensez-vous être concerné par une ou plusieurs addictions ? Si oui donnez éventuellement des exemples.** Nous avons tous des tendances "addictives" (je ne peux pas me passer de mon café du matin, je ne peux pas m'empêcher de vérifier mes mails en me levant...) Pourtant est-ce que nous ne serions pas en train de tomber dans une "mode" de l'addiction ? Tout le monde se croit addict, mais au final la plupart des gens n'ont pas de comportements pathologiques. Pour l'addiction numérique c'est difficile de l'évaluer puisque finalement il faut se baser sur une norme : nous sommes tous sur nos téléphones toute la journée, mais sommes nous donc tous addict ?

Moi addict ?!

Tous sur nos téléphones toute la journée ? C'est effrayant votre analyse :p ! Je ne crois pas qu'on le soit tous, en tout cas pas mon entourage et pas moi.

Moi addict ?!

Les petites poucettes il y en a beaucoup, une pratique majoritaire du smartphone ne fait pas de nous forcément des personnes addictes, tout dépend du contexte d'utilisation, de l'usage et du temps accordé à téléphoner ou à passer des sms.

Suis-je soumise à une addiction?

Je ne le pense-pas car je peux me passer de produits ou de conduites sans souffrir du manque. Enfin si l'attachement sentimental est assimilé à une addiction, je peux y être addicte parfois, à voir...

Je l'ai été

J'ai développé une dépendance et une accoutumance à un traitement prescrit pour des douleurs chroniques (Rivotril) : nécessité d'augmenter les doses pour trouver de moins en moins de soulagement, syndrome de sevrage majeur à l'arrêt progressif avec surtout des manifestations physique (douleurs, insomnies, tachycardie, problèmes de tension artérielle...), deux crises de panique, mais je n'ai jamais eu l'envie de reprendre le traitement malgré un flacon entamé que j'ai gardé quelques mois "au cas où" avant de le ramener à la pharmacie. Plus de deux ans après l'arrêt, j'ai encore des troubles très gênants au quotidien, j'ai dû diminuer mon activité professionnelle après des mois d'arrêt de travail et de multiples tentatives de reprise... Ma vie relationnelle a connu un grand vide... J'ai un double sentiment : de fierté, d'avoir tenu bon, et de découragement : bon sang, quand est-ce que ça va se terminer ? Alors, oui, finalement, l'addiction, je sais ce que c'est ! Et je n'en ai pas d'autres...

Je l'ai été

Certainement quand on a mal et qu'une substance permet de calmer cette douleur, c'est presque compréhensible qu'on en soit accro... Mon mari souffre de migraines terribles appelées cluster headache et dès que la moindre menace de crise apparaît, il se lance sur ses piqûres. Comment le blâmer?

Addict ou dépendant ?

Je pense être addict au tabac dans le sens où lorsque j'essaie de m'en passer, je n'arrête pas d'y penser. Alors suis-je addict ou dépendant ?

comment mesurer sa propre addiction ?

Je ne me considère pas en addiction par rapport à quelque chose; néanmoins, mon entourage me trouve très accroché à mon téléphone. serai je addicte ????

comment mesurer sa propre addiction ?

Si je bois 3 ou 4 bières par jour suis-je un alcoolique ou non ?

Addiction

Je suis concerné par l'addiction numérique : une grande quantité de pages consultées chaque jours + face,twitter,Linkd, viadéo et plusieurs comptes E-mail. Je trouve de moins en moins du temps pour faire autres choses.

Addiction

Est-ce que c'est l'infobésité qui te gêne, le temps passé à consulter tes réseaux sociaux ou bien la difficulté à trouver la bonne réponse à une ou plusieurs interrogations ? @bruno_TISON

addictions ?

j'ai un comportement addictif ; je me sors d'une addiction pour replonger dans une autre !

addictions ?

idem, j'arrive même à cumuler ;-) sport+ travail + amour passionnel ... Peut on parler de tempérament addictif ou simplement passionné. Une addiction serait elle une passion maladive? Toute passion n'est elle pas susceptible de se transformer en addiction ?

Cela dépend

Je ne pense pas être concernée par une addiction mais j'ai parfois des comportements compulsifs. Notamment avec le chocolat.

Lien entre addictions et estime de soi

Pour ma part, je suis plus sensible aux addictions (chocolat, internet, ....) quand mon estime personnelle est au plus bas, c'est à dire quand je me retrouve seul et sans projets pendant plusieurs semaines. Dès que je retrouve dans un certain niveau d'activité, ces addictions ont tendance à diminuer fortement.

Addict ou pas ?

Si je fais la liste... je m'effraie un peu.. addiction au smartphone, la plus récente, ce qu'on appelle la nomophobie, je crois, twitter en particulier... mais aussi addiction à la presse, aux infos (en ce moment, c'est particulièrement violent... #jesuischarlie ..) addiction à certains rituels, le café du matin au comptoir même si le café est meilleur chez moi... Si je remonte dans le passé, addiction au chocolat/sucre...un passage de dépenses compulsives, addiction à l'Aturgyl (décongestionnant nasal aujourd'hui interdit) je crois que c'est tout... Bonne soirée Frédérique

un petit "non"

un petit « non », mais n’avons-nous pas plaisirs à retrouver certaines habitudes ?

un petit "non"

petit non ne veut pas dire que grand oui , le problème est que est vous dépendant, comme si vous avez soif ou vous avez faim, un besoin indispensable pour vous

un petit "non"

Mais n’avons-nous pas plaisirs à retrouver certaines habitudes ?

un petit "non"

mais Est-ce que les habitudes poussées à l'excès qui deviendront les addictions au bout de plusieurs années ?

Plaisir de liberté

Je suis libre ; c'est mon sentiment le plus fort. Je suis passée par quelques dépendances que j'ai tenté d'élaborer dans ma quête de liberté. La liberté semble opposée à la dépendance. Pourtant je fume, des fois j'arrête mais là je fume. À contre courant de l'hygiènisme ambiant, je sais que l'humain a besoin de modifier sa conscience pour le plaisir ou pour la création... Je reste addicte au plaisir, c'est une porte ouverte...

Suis-je soumise à une addiction ?

Franchement, à part l'internet et la consultation de pages, les réseaux sociaux, FB, Youtube, Gmail, Wikipedia, etc., dont je peux me passer pendant les vacances, je ne pense pas être addict. Mais c'est une partie la raison pour laquelle je me suis inscrite à ce MOOC. Donc faut attendre un peu pour savoir... hi hi hi !

maitrisable ou non

bon la question est que je pourrai me maitriser? comme la cigarette si je ne fume pas je me sens bizarre ou je me sens mal. la plupart des gens que je rencontres passe beaucoup de temps avec leur portables dès qu'ils sont n attente pendant les heures creuses, ENFIN JE PENSE QUE TOUS LES ABUS SONT NUICIBLES

Question 2

Cela dépend si tel ou tel pratique peut être considérée comme une addiction ou non, donc soit je prends une réponse très personnelle, soit je prends une réponse de spécialiste mais étant donné que suivant les spécialistes, tous ne sont pas d'accord pour certaines éventuelles addictions (cf. jeux vidéo par exemple) mais c'est bien cela permet de faire le lien avec la question suivante.

café

oui c'est banal mais... si je n'ai pas un café (ou un substitut, thé, coca ...) avant 10h du matin, je ne sais plus me gérer. C'est une migraine, et l'idée fixe qu'il me FAUT un café et qui devient ma priorité unique jusqu'à ce que je trouve le doux breuvage. Il n'y a pas à ce moment là de raisonnement qui tienne, la discussion et la concentration sur autre chose deviennent impossible. ça ne prend pas beaucoup de temps, ça n'envahit pas ma vie, ce n'est pas une consommation excessive et croissante, mais j'en ai physiquement besoin.

café

Oui, c'est intéressant ce que vous décrivez: nous sommes tous différents et dans votre cas, cela ne ressemble effectivement pas à une addiction. Il y a pas mal de gens qui disent qu'avant de boire leur café du matin ils ne se sentent pas opérationnels. Je connais cependant des cas (rares) de personnes qui boivent énormément de café durant toute la journée et qui ne peuvent s'en passer: ils ont des comportements addictifs au café, mais s'ils n'en souffrent pas on ne peut pas parler d'addiction à mon avis. Certains (très rares!)en souffrent...

Non !

Suite aux précisions données dans le webinaire non, rien dont je ne puisse me passer ET qui me ferait souffrir. J'ai des habitudes fortes, comme l'usage de Twitter, mais cela ne génère pas de souffrances pour moi, bien au contraire !

Non !

D'où la différence entre usages importants, usages excessifs et addiction j'imagine...

je ne suis pas addict...

Je ne pense pas être addict, mais curieuse et intéressée par toutes les nouveautés.

Addiction ou pas?

Comme la majorité de la population actuelle, j'ai souvent le regard rivé sur l'écran de mon smartphone... toutefois lorsqu'il m'arrive d'oublier cet objet en quittant la maison, même si je ressens un certain malaise, je survis... Peut-on déjà parler d'addiction???

Oui, j'ai des addictions...comme tout le monde !

Mon confort quotidien : ma douche chaude,mon café du matin, mon émission de télé, etc. Ces habitudes génèrent du bien-être chez moi ! Mais j'ai aussi d'autres dépendances plus prononcées : la cigarette, les séries tv, mon smartphone, twitter, etc. Et là, si je n'y ai pas accès, ça devient nocif pour mon entourage et moi !

Oui, j'ai des addictions...comme tout le monde !

La douche, le café, le journal à la télé... ne sont pas des addictions, ce sont des habitudes, certaines d'entre elles nécessaires. La première par exemple est un must d'hygiène. Une addiction c'est autre chose. C'est de ne pas pouvoir éviter de réaliser un acte même sachant qu'il peut être nocif.

Addiction à internet !!

Dans mon cas, comme pour beaucoup je penses je me suis rendu compte que j'ai une consommation eccecive à internet !!! premier reflexe au reveil consulter mon portable ou ordi ( réseaux sociaux, mail ,....) Il est facile de se connecter à n'importe quel moment et n'importe où ! Dans mon cas je penses que cette utilisation s'est transformé en addiction dans ce sens où il m'est arrivé de refuser des sorties activités ou soirées ou en les abégeant préférant rester chez moi devant mon écran comme pour répondre à un besoin ! Internet est un outil formidable et vraiment très pratique et je crois qu'il serait difficile de s'en passer aujourd'hui ! Mais sur le net on ne tombe sur des sites ou des personnes qui eux ne le sont pas :-)) Donc attention à l'utilisation qu'on en fait et à ce que l'on consulte !! Je penses qu'il y a un gros travail d'education et d'information à faire sur cela ...

Addiction à internet !!

Bonjour! Consommation excessive ou addiction? :) Si le coeur vous en dit: relevez donc notre défi de la semaine 2: "une journée sans numérique?" et partagez avec nous votre ressenti! Cordialement, Stéphanie

Addict ? non...

Je ne pense pas que l'on puisse se déclarer addict de manière objective. L'enferment de l'addiction ne permet pas au dépendant de s'en apercevoir. Donc, suis-je dépendant ? Au boulot selon ma femme et à la tablette toujours selon la même source. A mes enfants et à ma famille certainement aussi !

Oui bien sûr

Comme tout le monde, je suis addict au numérique. La preuve j'oublie d'emmener ma bouteille d'eau (vitale), mais je n'oublie pas mes objets numériques (non vitale). Je dis comme tout le monde, car à un moment ou un autre de la journée instinctivement nous allons regarder un écran. A quel moment faut-il parler d'addiction? Puis-je rester un jour, une semaine sans regarder un seul écran? Réponse non, pour tant ce n'est pas vitale.

Oui bien sûr

Bonjour, Je pense qu'on parle parfois excessivement d'addiction tout de même. Vous dites ne pas pouvoir rester un jour sans regarder un écran...est-ce vraiment un besoin que vous ressentez ou plutôt une habitude ou une nécessité dans certains cadres (professionnel par exemple) ? Je pense qu'il ne faut pas trop se demander si dans notre quotidien on peut passer une semaine sans écran... car effectivement c'est un gros effort vu le nombre d'écrans que l'on croise... Mais est-ce que vous refuseriez de partir une semaine en vacances dans un endroit ou vous ne pourriez pas avoir accès à Internet ou à la télé ? Si oui, alors vous êtes peut-être un peu addict :) Je travaille 7-8h par jour sur un écran, je participe à des MOOC, suis secrétaire et responsable communication d'une association ce qui implique que je fais des réunions en ligne, gère des réseaux sociaux, je joue régulièrement sur tablette ou sur PS4... et malgré tout je suis tout à fait capable de partir une semaine en vacances sans écran ! Et, si je n'oublie pas mon téléphone en partant de chez moi parce qu'il contient mes podcasts (et dans un open space vraiment trop bruyant c'est quasi vital :'( ), il m'arrive d'oublier ma bouteille d'eau parce que, au pire, j'irais à la fontaine d'eau du boulot ! L'eau n'est vitale que quand on en manque ;) Bonne journée, Angéla R

Oui bien sûr

Je suis d'accord avec AngyRegg.

Je ne pense pas

Je ne pense pas avoir d'addiction particulière, même si je passe beaucoup de temps sur le numérique (principalement de par mon statut d'étudiant en science de l'information et de la communication). Simplement parce que j'ai un certain recul, je sais que je peux m'en passer et je le fais volontiers durant plusieurs jours (même chose pour les téléphones portables, je peux mettre 2 à 3 jours avant de répondre à mes proches par sms ou mail).

addiction quand tu me tiens

Pendant des années j'ai cru que fumer me détendait,le temps passait trop vite perdue entre deux cigarettes,.. addicte je pense l'être tout au fond de moi j'ai arrêté de fumer... mais le risque c'est de basculer ensuite vers d'autres dépendance ,alimentaires par exemple je parlerai donc là de personnalité enclin à toute addiction réponse à une souffrance enfuie de l'enfance méme lorsque celle-ci semble des plus dorée

addiction quand tu me tiens

Bonjour, Je suis d'accord avec toi, et je me retrouve dans ce que tu dis!

Deuxième question de la semaine

Je trouve la notion de personnalité à risque est importante car elle peut être enclin aux addictions.

A la limite ? Réflexe, conditionnement ou addiction ?

J'ai un besoin de consulter mes mails dès le lever. Je m'oblige ou j'essaie - car ce n'est pas toujours une réussite - de ne pas le faire systématiquement le week-end ou en vacances. Alors, quelque part, un vague sentiment de culpabilité m'envahit, mais si...

A la limite ? Réflexe, conditionnement ou addiction ?

J'ai un besoin de consulter mes mails dès le lever. Je m'oblige ou j'essaie - car ce n'est pas toujours une réussite - de ne pas le faire systématiquement le week-end ou en vacances. Alors, quelque part, un vague sentiment de culpabilité m'envahit, mais si...

A la limite ? Réflexe, conditionnement ou addiction ?

le terme de conditionnement ,qui n'a guère été mentionné encore , est inévitablement une des clés du processus addictif,au niveau des facteurs de constitution comme d'entretien du processus; conditionnement opérant (Skinner)avec renforcement par la réponse (positif à la recherche des effets agreables liés au comportent , ou négatif à la recherche de la disparition d'effets négatifs,notement de sevrage)mais aussi conditionnement répondant (Pavlov)à partir d'un stimulus associé au comportement et devenu conditionnel rendant compte de ce qu'on appelle la sensibilisation comportementale ,qui peut expliquer que la rencontre d'un tel stimulus dans l'environnement puisse dans certain cas précipiter la rechute; ceci dit un grand nombre des comportements que chacun de nous a sélectionné au fil de son parcours développemental répondent à de tels conditionnements! la encore c'est donc la réalité des dommages entrainés ,avec la souffrance qui leur est liée ,ainsi que la poursuite du comportement malgré ses conséquences négatives ,qui sont déterminants pour parler d'addiction jlv

Non concerné par une addiction

je ne suis pas concerné personnellement par une addiction, mais cette notion m'intéresse pour comprendre le processus addictif chez les sujets jeunes et adultes en fonction de leur personnalité et des interactions avec l'entourage.

Plutôt addict

Je pense que certains pourraient me considérer comme addict ou du moins l'ayant été, notamment au "numérique" et aux jeux vidéos... En effet, il m'est arrivé d'organiser certains moments de ma vie selon les impératifs d'un jeu vidéo (World of Warcraft en l’occurrence). Certains, dans mon entourage, considéraient cela comme de l'addiction. De mon point de vue, il s'agissait plus de "e-sport" , dans le sens où je ne ressentais pas forcément le besoin de jouer, c'était plus un engagement moral vis à vis d'une équipe au même titre que celui que l'on peut avoir avec une équipe de football ou de rugby (présence aux entraînements, matches etc...). Aujourd'hui je pense cependant être plutôt addict aux "informations" que je peux glaner sur Internet et notamment sur Twitter, je ne suis pas très actif à titre personnel mais je consulte ma TL énormément...

Oui !

Très certainement concernée par le sujet ...

Probablement...

Entre la musique, le numérique et un peu de jeu... Pas mal d'addictions...

Pas addict

Suis je addict? Je ne m'étais jamais posée la question. Non je ne suis pas addict mais je connais autour de moi des personnes addictes au sport, et aux jeux vidéos. Je me suis inscrite à ce mooc pour deux raisons : -Je suis très intéressée par ce sujet et comprendre comment on devient un jour addict. - pour vivre avec son temps et "palper" concrètement le MOOC

Pas addict

Bonjour, Par rapport aux personnes que vous pensez addicts autour de vous au sport ou aux jeuxvideos, quels sont les indices qui vous amènent à dire qu'ils sont effectivement addicts? Guillaume

Pas addict

Bonsoir, Il me semble qu'elles sont addictes car elles ont un besoin impérieux de jouer ou de faire du sport, qu'elles y passent beaucoup de temps,qu'elles en ont besoin pour être bien et qu'elles s isolent de la société.J'ai même pu remarquer pour la personne qui joue aux jeux vidéos qu'elle est en manque lorsqu'elle ne peut pas jouer.

Pas au sens de la CIM 10

Les séries peut être mais pas une addiction au sens strict de la définition du DSM 4 ou de la CIM 10, non. Il y a sûrement des comportements qui se rapprochent d'un comportement addictif mais les réelles conséquences et complications que l'on retrouve dans les addictions.

réponse question 2

Oui je présente une addiction au tabac. Au départ ça n'était qu'un usage simple. Je fumais de temps en temps en soirée, ça me procurait du plaisir, je pouvais m'en passer plusieurs jours sans problème. Au jour d'aujourd'hui c'est devenu quotidien. Je ne fume plus par plaisir mais parce que j'en ressent le besoin comme manger, combler un ennui, me réveiller le matin, me concentrer sur un travail... Le tabac a pris bien plus de place dans ma vie que je ne l'aurais cru au départ.

Semaine 1 / 2.1 Usage excessif et addiction

L'addiction, une maladie

L'usage excessive peut être stoppé. L'addiction nécessite un effort qui semble impossible à surmonter seul par la personne "addict".L'addiction est maladive

pathologique

l'addiction est une maladie qui nécessite une prise en charge sérieuse avec des professionnels de santé , elle nuit à la santé physique, psychologique et social de l'individu, contrairement à l'usage excessif même si la limite entre les deux est parfois très ténue. la différence est souvent liée à la notion de manque, si l'on ne peut se passer de quelque chose de non vital sans en épprouver des symptomes physiologiques ou psyhologiques alors ce n'est plus de l'usage excessif c'est de l'addiction.

pathologique

Quoi qu'il en soit, l'usage excessif également est à travailler ; selon son degré, il peut détruire beaucoup de choses. Mais comment faire prendre conscience de l'abus et de la notion de "trop" et de danger à celui qui parfois se fait mal et parfois fait mal aux autres aussi au sein de la famille ?

usage excessif vs addiction

L'expression "usage excessif" se découpe en deux parties : un nom et son adjectif. L'adjectif est un jugement. Dans ce cas, il y a donc négociation. L'usage excessif fait comprendre qu'il existe un usage normal connu de la personne. L'addiction au contraire est sans négociation, donc perte des repères.

Quelle échelle de valeur pour en juger ?

Il me semble impossible de répondre à cette question ! La notion d'excès se définit par rapport à la norme, mais qui établit la norme ? Je ne parle pas de l'addiction à des substances, pour laquelle je n'ai aucune compétence. En revanche, en ce qui concerne l'addiction comportementale, je suppose que qu'il n'y a pas de différence entre excès et addiction. La différence ne vient que de la différence des personnes portant un jugement sur l'activité en question et de la bonne foi des personnes concernées. Par exemple, l'adolescent qui a mauvaise conscience devant ses excès pourra aussi bien se dédouaner en se donnant comme victime d'une addiction ou, au contraire assumer ses excès en se reconnaissant lâche devant ses excès. Même chose pour le parent qui veut soit excuser cet adolescent en nommant addiction ses excès, soit le culpabiliser en disant qu'il exagère. Ce deuxième parti servant parfois à dédouaner le parent qui refuse de jouer son rôle de régulateur dans la vie de son enfant.

des synonymes ?

On peut se dire que l'usage excessif entraîne l'addiction. Mais qu'est ce qui décide si on est excessif ou pas. Ce qui est excessif pour moi est peut être normal pour autrui. Je pense que la grande différence est que l'usage excessif dérange autrui qui observe. L'addiction s'infiltre tellement dans nos comportements qu'elle n'est pas toujours détectée ou détectable. Toujours en gardant le // avec la drogue un usage excessif d'une drogue par rapport à notre habitude se verra de l'extérieur. Un habitué, un addict au plus profond de son être tant qu'il n'est pas en manque peut resté masqué. Le manque démasque l'addiction.

Excessif / Addiction

Difficile de situer excessif par rapport à addiction. On a un usage excessif lorsque l'on est addict mais est-on addict lorsque l'on a un usage excessif? L'usage excessif est une image que l'on se fait de nos propres usages ou ce sont les autres qui détermine si on a un usage excessif ou non? Au final au revient à la question qui fixe la norme de l'excessivité?

addiction exces

internet cest un outil qui permet de s ouvrir sur le monde entier le probleme c est l abus qui nuit en tout au debut cest un passe temps les peripeties de la vie nous poussent a etre addict perte emploi divorce rupture internet est palliatif une facon d oublier ses problemes une fuite en avant pour fuir la realite

question 3

Excès et addiction, même combat.

Usage excessif ?

Usage excessif : on peut s'en passer sans trop tirer la bouille. Addiction : il faudra nous tirer par les cheveux ou nous chatouiller pour nous décoller du shoot !

Usage excessif ?

Addiction: c'est à nos risques et périls, bien qu'en chatouillant ou en tirant par les cheveux un addict on peut se prendre une raclée en retour.

Usage excessif ?

Ah bah c'est sûr ! Mais faut bien se placer devant le monstre de l'informatique parfois pour pas se faire bouffer sa vie perso ! Et, par rapport à mon époux, il y a challenge parfois entre cette grosse machine et moi ! Elle se prend pour qui celle-là ?

Usage excessif et addiction

L'addiction a un caractère maladif et obligatoire.

usage excessif ou addiction?

la frontière est mince.....l'addict a'il conscience qu'il est addict? un usager excessif sans doute et il peut encore y remédier avant de tomber dans l'addiction.

La nuance est dans l'accoutumance ?

Plus une supposition qu'une affirmation...un usage excessif peut être temporaire et céder avec le temps, tandis qu'une addiction serait plus "rebelle" !

usage excessif et addiction

pour moi c'est l'impact social .. quand le comportement envahissant devient une contrainte, une nuisance sociale, et que la pensée est parasitée par l'objet

La question de la frontière

C'est évidemment une question complexe. Si on reste sur l'alcoologie, il me semble que l'on peut parler d'usage abusif, d'usage nocif et ensuite de dépendance. La frontière est mince. Il me semble, que sur un plan comportementale, parfois la quantité ne fait pas forcément l'addiction. Mais plutôt le rapport entretenu au produit, puis dans un second temps la quantité de ce produit et les formes de dépendance créées (physique et psychique). Je me rappelle d'un groupe de jeunes adolescents placés par l'ASE, dans un foyer, que j'ai reçu en groupe avec un éducateur formé à l'alcoologie. Sur les 10 jeunes, tous avaient beaucoup bu, beaucoup avaient vomi, beaucoup avait été excentrique dans leurs comportements. Mais un seul à pu nous dire que l'alcool était un moyen de s'apaiser, vis à vis d'angoisses terribles et que son moyen de se rassurer était d'avoir des bouteilles chez lui. Il aime boire seul quand il va mal même un seul verre. Même si nous avons repris les choses avec tous, un nous inquiète plus malgré tout...

Addiction vs usage abusif

Si on se fie à la nouvelle version du DSM, la question en elle-même ne serait pas tout à fait juste puisque cette distinction a été abolie, du moins en ce qui concerne les substances psychotropes... Sinon, l'un me semble faire référence à une certaine continuité dans le temps alors qu'on utilise l'autre pour parler d'un comportement à un moment précis.

trop c 'est trop!

Trop d internet, trop de découvertes, trop de mail, trop de facebook, trop de lecture, trop d 'écriture, trop... plus une minute pour s 'arrêter , des fois qu on louperait une info, un mail... de quoi attraper des migraines , des sciatiques (à force de rester assis). ce trop est difficile à gérer . ce trop tue la famille, les amis..

trop c 'est trop!

Bonsoir 1234regine, Trop de mal être, trop de douleur, trop de peurs, trop de fragilités, trop de non-dits, trop de mensonges, trop de mesquineries, trop de soucis, trop de charges, trop de famines... une seule vie. Murielle

usage excessif ?

quand il me coupe des autres, quand je commence à m'isoler

Une fine barrière

Je vois l'addiction comme la création d'un besoin. Si l'action (prise de substance, réalisation d'un comportement, etc.) n'est pas réalisée, cela va se ressentir au niveau de l'esprit, mais aussi du corps. L'usage excessif ne m'apparait pas fonctionner de la même manière. Je n'ai pas l'impression qu'il participe à la réalisation d'un besoin mais plutôt d'une envie, d'un désir. Pour moi, il y aurait une notion de plaisir, absente de l'addiction. De plus, il m'apparait plus facile de réduire/arrêter un usage excessif que de sortir d'une addiction.

usage excessif / addiction

Pour moi, l'usage excessif c'est je fais trop, beaucoup trop, trop souvent, mais je fais par choix, par liberté,de façon consciente, ça ne change pas fondamentalement ma perception des choses et de mon environnement extérieur, je peux continuer de fonctionner "normalement" quand je ne fais pas et je peux ne pas faire sans en ressentir d'effets négatifs physiques ou psychologiques. L'addiction, je ne fais plus seulement par choix, par plaisir, par envie, je fais parce qu'il faut que je fasse, par besoin, par obligation sinon je ressens un manque et ce manque peut avoir des conséquences physiques ou psychologiques et se répercuter sur ma vie personnelle, professionnelle, familiale. Je perds le contrôle

usage excessif / addiction

effectivement, je suis d'accord avec toi Olivier

Abus vs addiction

Pour ma part, je dirais que l'usage excessif peut amener à penser d'une part à un comportement qui va durer un certain temps. Un peu comme si l'esprit se focalisait sur une seule chose. Comportement qui pourrait à la fois se répéter et viser un objet différent à chaque fois. Au contraire de l'addiction que je définis difficilement mais comme UN grand mal établi et qui au fur et à mesure éloigne la personne de la réalité et d'elle-même. Dans les deux cas, on perd le contrôle de ses émotions

Excessif < Addiction

L'usage excessif = dérangeant pour l'usager. Addiction = dérangeant pour l'entourage.

Excessif < Addiction

Je suis assez d'accord, mais je rajouterai : Addiction = dérangeant "également" pour l'entourage.

Excessif < Addiction

L'usage excessif peut aussi être dérangeant pour l'entourage !

la frontière c'est le non

L'usage, même excessif peut être stoppé par le seul bon vouloir. L'usage excessif peut être concentré sur une période , il peut également s'arrêter pendant une période. L'addiction ne peut être stoppé par l'addict et ne souffre pas de pause.

WAOU Usage excessif

Appelons les choses par leur nom: l'usage excessif d'une chose ou une situation relative à l'existence et entrainant donc un comportement est une addiction

WAOU Usage excessif

Bonsoir Ematos, Pas tout à fait d'accord : ce n'est qu'une partie de l'addiction Murielle

usage excessif vs addiction

Je pense que l'usage excessif peut être considéré comme le stade préalable à l'addiction. Avec une prise de conscience, il est réversible et corrigeable. L'addiction est le stade pathologique, l'individu peut s'en sortir avec un soutien, un sevrage et une vigilance à vie car fragilisé, il pourrait retomber dans la même addiction, ou une autre

addiction => obsession

Pour moi on passe à l'addiction quand l'objet de l'addiction prend toute la place dans les préoccupations de la personne. Tout le temps qui n'est pas consacré à l'usage de la chose est concentré sur la pensée de la chose et du moment de l'assouvissement du désir qu'on en a. Et c'est un état permanent dont on ne peut se sortir sans événement déclencheur.

Usage excessif, c'est embêtant. Addiction, c'est une maladie installée

Faire un usage excessif de chocolat, c'est embêtant pour l'équilibre alimentaire. Faire un usage excessif des jeux vidéo, c'est embêtant pour mes devoirs... Être addict au chocolat ou aux jeux vidéo, ça me rend invivable pour mes proches quand j'en suis privé, ça me rend nerveusement incapable de me concentrer sur autre chose, ca me rend asocial, ça me coupe des autres. Je suis en danger.

Usage excessif, c'est embêtant. Addiction, c'est une maladie installée

Je suis assez d'accord avec cette piste de définition. Il y a dans l'addiction une camisole qui rend fou ...

parlons en

Suis-je naïve de croire que l'on peut contrer un usage excessif en en parlant, en montrant les côtés négatifs, les incidences sur la vie quotidienne : je suis pour le dialogue, expliquer, montrer des exemples, redonner une prise de conscience. Et j'ai le sentiment que face à une addiction, les mots ne peuvent plus livrer bataille, n'atteignent plus la personne... Murielle

Comportement envahissant

A mon avis ; L'individu ayant un comportement addictif va se définir par rapport à son addiction suivant le regard des autres et se sera plus en fonction de sa sensibilité à ce regard qu'il sera en mesure de quantifier sa propre addiction.

usage excessif ou addiction: la différence?

Le comportement avec addiction, je pense qu'il commence lorsque vous gêner les autres, que votre comportement est négatif avec et sur les autres. Il y a des seuils de tolérance et la limite se situe là, lorsque ces seuils sont dépassés et que l'on ne peut pas s'arrêter afin de reprendre une vie sociale d'échanges. Vous êtes désocialisé. L'usage excessif peut se maitriser après , bien sur, quelques hésitations, mais on revient à la réalité plus ou moins facilement suivant son degré de dépendances. Des vacances en montagne, mon smartphone est déconnecté, et en fait, après une bouffée d'angoisse à la pensée de ne pas pouvoir être jointe si jamais il arrivait "quelque chose" qu'est ce que l'on se sent bien! La terre a continué de tourner et la famille allait très bien au retour!

Usage raisonnable

Question qui fait doublon. L'addiction est un usage excessif après reste la question de la gestion de cet usage par rapport à notre quotidien, à notre vie social, le rapport aux autres et à son environnement.

usage excessif ou addiction?

je pense qu'effectivement l'usage excessif ou l'addiction ont une frontière quasi inexistante pour être souvent entre l'excessif et l'addiction -je pratique le jogging depuis quelques années , tous les jours pendant une longue période, je m'épuise ou me fait mal et puis j'arrête plusieurs mois ...pour reprendre graduellement -je pense qu'il est très difficile de distinguer la différence

addiction

L'usage excessif peut se raisonner. L'addiction non. Le sujet est conscient du caractère excessif mais ne peut l'empêcher.

Usage excessif Vs Addiction

Il y a bien sûr les définitions classiques de l'abus et de la dépendance : > L’**usage abusif** est une consommation > susceptible de provoquer des dommages physiques, psychologiques, > économiques, judiciaires ou sociaux pour le consommateur et pour son > environnement immédiat ou lointain. > > Brutale ou progressive selon les produits, la **dépendance** s’installe > quand on ne peut plus se passer de consommer une ou plusieurs > substances, sans éprouver de souffrances physiques ou psychologiques. Pour le numérique ces définitions me semble tout à fait applicables. Le plus important pour différencier l'usage excessif de la dépendance c'est de rechercher une souffrance. Dans l'usage abusif, l'usager est encore en phase de "lune de miel" avec son comportement il me semble qu'il ne se rend pas encore compte des effets nocifs de son comportement. Dans la dépendance il est conscient des effets nocifs, mais malgré ses tentatives d'arrêt il n'arrive pas a arrêter son comportement et c'est de sa que vient la souffrance, de cette perte de liberté, de cette autodestruction qu'on ne peut empêcher.

Usage excessif Vs Addiction

Je suis assez d'accord avec vous pour dire que l'addiction est un palier supplémentaire à l'abus excessif. la notion de souffrance est en effet importante et primordiale dans le cas de l'addiction. Je crois qu'il faut aussi prendre en compte les tentatives de rejet de cette addiction par le sujet.

2 usages bien distincts

La notion d'excessif contient intrinsèquement l'idée d'exception. L'addiction, elle, se réfère à un usage régulier, récurrent et qui n'est plus contrôlé ou contrôlable, à la différence des excès qu'on tolère..

usage excessif ou addiction

l addiction apparaît lorsque la vie d'une personne n'est remplie que de la recherche du produit addictif et de ses effets. La douleur du manque apparaît dès que le produit vient à manquer. L'excès excessif laisse la place à d'autres conduites et plaisirs, même si le manque est ressenti, il ne conduit pas à la recherche unique et reproductive.

usage excessif + volontariat/dépendance = addiction

Je pense que l'on parle d'addiction lorsque l'usage devient abusif voir excessif. Mais l'addiction apparaît lorsque qu'il y a un caractère volontaire même inconsciemment. Dans le numérique on peut parler d'usage excessif notamment dans des situations professionnelles. Cependant peut-on parler d'addiction dans de tel cas ? Je ne crois pas car l'addiction nécessite une démarche volontaire et personnelle relevant du caractère identitaire

Envahissant excès

Se sentir envahi par quelque chose ... Pour ma part, je me sens envahi, je fuis. Si l'on rajoute l'excès, l'addiction, je pourrai rester. Qu'est ce qui me ferai rester ? Communiquer avec l'autre, découvrir, Alors oui mon excès pourrai me rendre addicte Le temps me le permettrait également La disponibilité intellectuelle aussi. En résumé, trop souvent penser à quelque chose (comme le téléphone) me ferait prendre conscience que j'aurai une forme d'addiction à ce support. Pour le moment, je ne le pense pas.

situer l'usage excessif /addiction

BSR,Tout ce qui est excessif est en soi un problème,l'homme étant la mesure de toute chose. L'addiction est l'application (de ce point de vue moral sur l'homme) à l'investissement personnel ,focalisation de soi sur une activité trop exclusive ,qui exclut les autres ,qui isole ,enferme ,qui abrutit ,etc ... jphed

fréquence quotidienne

quand on ne peut plus s'arrêter une journée qu'il y a un comme une sorte d'énervement ou de stress qui se crée, un besoin à sastisfaire qui devient impérieux

usage excessif

usage excessif : dérange la vie quotidienne, mais n’empêche pas de faire ce qui avait été prévu, possible encore de s'arrêter quand on se fixe des bornes addiction: impossible de ne pas le faire, plus de limites, inconscience , même si cela dérange tous les plans prévus et met à cote de la vie sociale ou familiale

Abus au quotidien

Je pense que la différence entre l'usage excessif et l'addiction se situe à partir du momment où le comportement en question se répète plusieurs fois dans une même journée. A partir du seuil où ce comportement devient gênant pour le quotidien ( vie professionnelle, vie privée ) qu'il devient incontrôlable,à mon avis on atteint l'addiction. Je pense qu'un usage excesif ne dérange pas dans la vie de tous les jours.

L'USAGE EXCESSIF/L'ADDICTION

Je pense que l'usage excessif est le premier degré de l'addiction. On peut utiliser une substance(mener une activité) de façon excessive mais se passer de cette substance (activité) dans l'avenir. Alors que ce n'est pas le cas de l'Addiction qui nécessite un traitement ou soutien particulier .

L'USAGE EXCESSIF/L'ADDICTION

Cette réponse me convient bien.

usage excessif

L'usage excessif par rapport à l'addiction c'est ne plus maîtriser l'utilisation en fonction des besoins propres et en fonction de la gestion efficace du temps.

Excès ou abus

Ca me semble être de deux ordres distincts. L'excès peut être festif, occasionnel, l'abus, qu'il aille trop loin ou trop souvent, est plutôt destructif.

Usage excessif répété puis répétitif

L'addiction correspondrait à un usage jugé excessif, par l'individu et/ou tiers, non pas isolé, mais qui se répète et et devient même répétitif sans même que la conscience que l'on en a ne puisse l'empêcher ou l'interrompre. Ce qui laisse à penser que l'addiction répond à un besoin ou une attente mal identifié (e)

usage excessif

Par rapport à une addiction je pense que l'usage excessif est un usage auquel on peut arriver à se détacher. Par exemple quelqu'un qui passe beaucoup de temps sur internet ou son téléphone et qui part en vacance et qui arrive à s'en passer totalement sans ressentir de manque.

usage excessif

Effectivement, je me sens limite addict au niveau internet car j'éprouve un sentiment de manque quand je ne peux pas me connecter en vacances !!!!

Usage excessif vs addiction

L'usage excessif laisse une place (petite) au libre arbitre contrairement au comportement addictif qui induit des processus de soumission mentale/physique, totale. Mathéa CM

Usage excessif vs addiction

oui le c'est le coté irrépressible qui caractérise l'addiction. Elle n'est pas forcement liée à un excès et qui peut avoir des aspects positifs (un joueur de JV peut devenir un expert ) Elle est problématique quand elle devient le seul moteur de l'existence. Le devient elle forcement? Il y a des fumeurs qui ont de belles vie et ne meurent pas d'un cancer (ceci dit, j'ai arrêté et je me sent plus libre)

Du plaisir vers le dégoût

C'est une limite difficile à marquer. Lorsqu'un comportement provoque du plaisir et reste à cet état, nous pensons que nous ne sommes pas encore dans l'addiction. Lorsqu'un comportement provoque du dégoût (de soi par la honte par exemple), on pourrait parler d'un comportement addictif.

degré, échelle

Il s’agit d’un rapport d’échelle, de degré. L’usage excessif peut mener à l’addiction, s’il n’est pas maitrisé par l’usager.

Distinction entre consommation, abus et dépendance

Le cercle vicieux de l'addiction est très complexe. Chaque individu est différent et nous sommes tous inégaux (du point de vue génétique, environnemental ...) face à ces différents stades menant à l'addiction. Une chose est sûre, le passage du stade "liking" (on ressent du plaisir à consommer) au "wanting" (recherche absolue de la drogue en dépit de toute autre considération) puis au "craving" ( utilisation compulsive de la drogue) est sans retour. Seule solution : un sevrage accompagné d'un suivi psychologique. La personne devient "addict" dès lors où elle poursuit la consommation de la drogue en dépit de conséquences négatives. L'usage excessif de drogues ne mène pas forcément à une addiction. Ophélie JOLY, étudiante en Neurosciences

Distinction entre consommation, abus et dépendance

c' est à dire on est devenu addict dès qu' on entre dans le coté OBSCUR du consommation?

addiction ou comportement envahissant

L'addiction est différente pour chacun. Nous sommes inégaux génétiquement face à cela. Un fumeur qui fume 30 cigarettes par jour peut arrêter parfois plus facilement qu'une personne qui fume 2 cigarettes par jour. Par contre, nous sommes tous susceptibles de commettre des abus ou d'avoir des comportements envahissants. l'intensité n'est pas la même.

Usage excessif ? Addiction ?

On peut arrêter, faire une pause dans un usage excessif... S'en passer le temps de vacances, de soirées,... L'addiction ne peut pas s'arrêter, elle est comme une obsession quotidienne.

Usage excessif ? Addiction ?

mais on ne peut pas aller en vacances toute l' année? la solution doit être accessible à tous, les vacances sont trop chers, changement de comportements c' est suffit comme les cigarettes

usage excessif et addiction

Je ne pense pas que l'usage excessif relève du même domaine que l'addiction. Je peux faire un usage excessif de sel dans un plat et corriger par la suite, même si j'aime manger "salé". Mon addiction au tabac par exemple n'est pas contrôlée, difficile à mesurer, non rationnelle. Je perçois bien que ce ne sont pas les mêmes parties du cerveau qui entrent en jeu.

Question 3

C'est compliqué de répondre, surtout si on se place du point de vue d'un ado où son cerveau est en pleine maturation et où les comportements excessifs sont nombreux, d'ailleurs c'est pour cela que certains spécialistes des domaines addiction et adolescence pensent qu'il n'y aurait pas d'addiction à cette période. Si on se place d'un point de vue adulte, encore qu'il est difficile de faire la limite entre ado et adulte... perso je dis que l'adolescence se termine une fois que l'ado a compris que le frigo ne se remplit pas tout seul... Donc pour en revenir au point de vue adulte, il est fréquent d'avoir un usage excessif d'alcool par exemple en soirée ou à une fête alors qu'on n'est pas addict à l'alcool pour autant. Donc je pense qu'on peut avoir un usage excessif sans être addict, mais au fait, excessif c'est par rapport à quoi ?????? La loi pour l'alcool par exemple ??? Bref là aussi c'est difficile de se positionner sans élément de comparaison ou de point de repère

Question 3

Excessif, à mon avis, ce n'est pas par rapport à une loi. C'est toute l'ambiguïté de la loi française qui autorise certaine drogues potentiellement dangereuses, comme l'alcool ou le tabac mais en interdit d'autres. Que la loi interdise les conséquences néfastes (comme conduire au volant alcoolisé) me semble souhaitable mais qu'elle se mêle de la vie privée des gens (consommer une drogue) me semble abusif. L'excès c'est ce qui devient néfaste pour l'organisme ou pour la vie sociale ou pour la vie individuelle. Mais parfois on est dans l'excès et on ne s'en rend pas compte. Et parfois on est dans l'excès exceptionnel et choisi et cela ne regarde que soi. Etre toujours raisonnable, est-ce bien raisonnable?...

incontrolabilité

pour moi un comportement addictif est incontrolable par la personne concernée, et ce comportement finit par structurer son existence. L'abus est relatif, et la barre entre le raisonnable, l'excès, et l'abus dépend de chacun d'entre nous. Pour certains, 4h d'internet par jour sera une consommation raisonnable et maitrisée, pour d'autres, ce sera dèjà trop. Je pense que le seuil n'est pas sur la quantité, mais sur la capacité à controler la consommation. Une exemple d'actualité: tous ceux (celles) qui font les soldes sont ils des shopping addicts ? et les acheteurs compulsifs (au point de finir à découvert) sont ils addicts à quelque chose ?

incontrolabilité

mais certains bureaucrates sont obligés de travailler quatre heures sur internet sont ils ou elles accro? Alors que c' est leur travail

incontrolabilité

concernant l'achat compulsif je dirai que c'est une addiction. Si l'acte d'achat n'est pas assouvi, il y a souffrance, l'achat vient combler un besoin même irraisonnable.

entre excès et addiction

La frontière entre comportement addictif et usage excessif se situe je pense au moment où l’usage devient indispensable au cours de la vie. L’activité cesse d’être plaisir pour devenir nécessité

usage excessif/addiction

Il me semble qu'il y a une sensation de douleur, de manque si l'addiction n'est pas assouvie. L'usage excessif n'est pas dangereux et n'entraîne pas de manque.

discussion

A partir de quel comportement peut on voir l'addiction? pour moi c'est quand il n' y a plus de frontière entre le normal et l'excès. Là aussi c'est par rapport au jugement de chacun, la limite est quand on ne peut plus s' en passer ou que l'on ressent une gêne physique ou spychologique.

Usage excessif

L'usage excessif peut ne pas être indispensable à la mode de vie du concerné, il peut s'en passer de temps en temps, mais pour l'addiction je pense il lui est très difficile de s'en défaire.

A partir de certains comportements, comment situez vous l'usage excessif par rapport à l'addiction?

une sensation de manque incontrôlable, à la fois dans son corps et dans son esprit.

Besoin irrépressible

L'addiction répond à un besoin physiologique irrépressible alors que l'usage excessif est le dépassement d'une limite définie sans pour autant qu'il y ait un tel besoin. Enfin c'est ce que j'en pense...

Excès ou addiction

Pour moi, un comportement peut être considéré comme une addiction quand son excès est sciemment vu comme néfaste, mais qu'il est néanmoins maintenu.

Excès ou addiction

Vu comme néfaste par l'entourage? ou plutôt ressenti comme néfaste par la personne impliquée?

Addiction et usage excessif

Dès que la consommation ou l'usage conduit la personne à l'isolement, on peut alors vraiment parler d'addiction. Cet isolement est souvent inconscient et s'installe peu à peu jusqu'à la désocialisation de la personne.

Usage excessif vs addiction

Usage excessif : je l'utilise pour tout et n'importe quoi. Addiction : j'angoisse si je ne peux pas l'utiliser.

Excessif est addiction

Dès que l'excès est présent, l'addiction naît. Pour perdre du poids on peut par exemple rééquilibrer son alimentation ; faire un peu de sport. Mais si on commence à retirer TOUT les féculents, TOUTES les huiles.. Ce n'est plus un régime ; mais de l'excès.

Où est la limite ? Quelle est la différence ?

Je penses que la limite entre l'habitude de consommation d'une pratique ou d'une substance et l'addiction se trouve dans la prise de conscience où dans les problèmes qu'elle va engendrer !! L'addiction répond à un besoin incontrolable même si on s'est que ce n'est pas bien et peut répondre à un mal être sur le moment mais ne résout pas le problème de fond !!! Il est des addictions ou des pratiques dont on ne peut pas parler car il peut être difficile de comprendre certaine consommation et par manque d'information on ne sait pas vers qui se tourner, c'est un cercle vicieux Quand une pratique prend le dessus sur le quotidien et que l'on ne peut pas la controler cela devient une addiction !!!

Usage excessif et addiction

Pour moi l'usage excessif n'est pas encore dans l'addiction mais cela ne saurait tarder car la frontière est légére à mon avis. L'addiction est peut-être un mot reconnu médicalement tandis que le fait d'avoir un usage excessif reste un terme plus commun. L'usage excessif peut être appliqué sur une période donné tandis qu'addiction reste avec une notion de temps importante et reconnue.

2 notions distinctes

2 notions proches mais pourtant distinctes : usage excessif = usage dépassant la norme le cas échéant sur une courte durée. addiction = répétition de l'usage le rendant excessif

Toujours Bruno Bril je ne veux pas rester anonyme

L'addiction souvent nous dépasse l'excés peut être voulu. Certaines consommations excessives peuvent être recadrées à la baisse mais quand on parle d'addiction on ne parle pas de "volumes" mais plus de répétitions.

la raison de tout cela

Pourquoi vouloir se prouver quelque-chose, notamment que l'on est pas addict au numérique, en se privant, même momentanément, d'un outil qui non seulement ne nous fait pas souffrir, mais qui nous procure de nombreux plaisirs ou bénéfices (exemple la participation à ce MOOC ou d'autres échanges...), etc ? Quelqu'un a eu l'idée de se priver volontairement de sa voiture pendant 7 jours juste pour voir son niveau de dépendance? et alors ? quelles conclusions ? On peut s'en passer, oui, mais on n'en voit pas l'intérêt. On est dépendant ? oui, au même titre que vis à vis de notre voiture, de l'argent... Au-delà des définitions claires qui ont été données lors du 1er webinaire, chacun a ses propres représentations du numérique et du terme addiction. Le numérique, en tant "qu'objet philosophique" est le support de tous les fantasmes, de toutes les peurs, croyances, espoirs...

La limite

Bonsoir, une calculatrice employée pour n'importe quel calcul même les plus basique, est un emploi excessif d'une calculatrice. Le besoin de se tenir informer par exemple est une addiction à l'information, on en ressent le besoin, "il faut que je saches ce qu'il se passe" comme si cela m'était vital.

qu'est ce que cela tente de cacher?

Un comportemement qui devient envahissant, n'est pas plus perçu comme envahissant dans l'addiction il devient justifié ,valoriser ,et puissant

usage excessif ou addiction

La différence est pour moi sur la capacité de maitriser son comportement, son acte sans souffrance, sans difficulté excessive.

excès

L'usage excessif devient gênant pour autrui ou pour soi-même. Il empêche de faire quelque chose de plus urgent ou important. On prend du retard dans des aspects essentiels de la vie ou du travail. L'addiction entraîne une souffrance liée au manque ou à l'absence de possibilité de satisfaire ce qui est devenu une nécessité.

Addiction une pathologie ?

L'addiction serait une pathologie (comme les TOC ?) : les personnes qui en souffrent doivent être aidées, accompagnées pour en guérir. Quant à l'usage excessif, il peut être auto-régulé.

Addiction une pathologie ?

Bonjour, Vous avez effectivement été nombreux à souligner un écart entre addiction et usage excessif. Une des différences qui a été soulignée est que l'usage excessif peut rester un plaisir, mais il peut également mener mener vers l'addiction. Il ressort un aspect contrôlable, "auto-régulable" de l'usage excessif. Les TOC sont effectivement considérés comme des troubles. Si vous souhaitez plus de renseignements là-dessus: http://psychiatrie.free-h.fr/troubles-anxieux/criteres-diagnostiques-dsm-iv-tr-to.html Bonne journée, Cordialement, Stéphanie

Addiction une pathologie ?

la place du trouble addictif par rapport au trouble du controle des impulsions d'un coté,et au trouble obsessionnel compulsif de l'autre ,est régulièrement discutée; un élément important de distinction par rapport au TOC est que ce dernier est "égodystonique" ,c'est à dire vécu par le sujet comme plus ou moins absurde ,et parasite ,par rapport au reste de son comportement,ce qui n'est pas le cas du trouble addictif jlv

Addiction une pathologie ?

Ne pourrait-on pas dire que c'est un petit peu le cas dans certains troubles addictifs, notamment avec substance, où la personne en situation de dépendance sait que son comportement nuit à sa santé mais ne peut s'empêcher de continuer? On retrouve un coté absurde et parasite. Guillaume

usage excessif

l'usage excessif est peut-être contrôlable par rapport à l'addiction?

esclave

Excessif quand on ne se sent pas "esclave" de la chose en question. C'est-à-dire que l'on peut arr^ter plusieurs jours ou demaine sans ressentir le manque, ce besoin impérieux de jouer, consommer, faire du sport

esclave

votre rélexion donne l'opportunité de rappeler qu'éthymologiquement addict vient d'addictus qui ,en droit romain,et jusqu'au Moyen age signifie "esclave pour dette " ;autrement dit quand quelqu'un ne pouvait régler ses dettes ,il (son corps) etait donné en gage à son créancier pour un temps proportionnel au montant de cette dette ; cette notion de contrainte par corps n'est pas inintéressante pour penser l'addiction jlv

La notion de besoin

A mon sens la notion de besoin est primordiale. En effet, personne ne dira qu'un individu qu'il est addict si, par exemple, celui fait un footing par jour. La plupart des personnes vont alors d'écrire cette personne comme étant "sportive", "qui prend soin de sa santé" etc, alors qu'en fait trés souvent ces personnes ont BESOIN de faire cette activité, il s'agit donc à mon sens d'une addiction.

La notion de besoin

Bonjour, Je trouve que votre exemple sur le sport est très parlant, car s'il est socialement valorisé il peut aussi être source d'addiction. Néanmoins la notion de besoin est complexe car c'est une notion physiologique, on parle notamment de besoin vitaux (manger, dormir), mais qui renvoie aussi à d'autres éléments plus complexe (notamment décrit par Maslow avec ses travaux sur la pyramide des besoins). Peut être peut on parler de nécessité ou encore d' "Impossibilité de résister aux impulsions à réaliser ce type de comportement" comme cela est définit dans les critères de Goodman. Marine

Addiction : dommages irréversibles

J'ai l'impression que ce qui différencie l'addiction d'un usage estimé excessif, en plus de l'isolement qui a été mentionné par certains participants à cette discussion, c'est que l'addiction provoque des effets psychologiques / physiologiques irréversibles ou au moins très difficiles à "réparer". Il y a une sorte de "non retour" dans l'addiction. Certes, on peut se désintoxiquer, mais c'est difficile, on ne peut généralement pas le faire sans intervention d'un tiers et une rupture radicale", et de toutes façons quelque chose a été perdu. Alors qu'un comportement excessif ne me semble pas avoir ces effets irréversibles. Ce type de comportement risque t-il de faire basculer ceux qui l'ont dans l'addiction ? Peut-être, mais pas de manière systématique, et pas seul. Il y a probablement des facteurs de risque ailleurs. Bref, beaucoup de "peut-être" et de "probablement" dans mon message, je suis justement ici pour gagner en précision, sortir des imprécisions sur le sujet de l'addiction !

Addiction : dommages irréversibles

Bonjour, je ne pense pas qu'on puisse parler d'effet psychologiques irréversible, ni meme de non retour. Parmi les différents critères qui définissent l'addiction on trouve effectivement (entre autres choses) la mise en place de "tentatives infructueuses pour contrôler ou abandonner l'addiction" mais il existe aujourd'hui différents types d'intervention qui permettent de sortir de l'addiction sans forcément que ça implique une rupture radicale. Marine

Addiction

Quand cela empiète sur d'autres activités (typiquement > travail) ou que cela nuit à la santé.

en dépendance

Lorsque l'on ne peut plus gérer directement. On est alors mené par le bout du nez (dans la meilleur des cas)

usage excessif vs addiction

l'usage excessif est encore contrôlé. L'addiction échappe plus facilement au contrôle de l'esprit c'est un véhicule "fou".

Coercision

Lorsque qu'un comportement nous porte préjudice à un niveau de réflexion portant sur les conséquences de nos actes, et que, tout en en ayant conscience, une force intérieur nous culpabilise pour poursuivre ce comportement destructeur, alors il s'agit d'addiction. L'addiction est donc un comportement ni rationnel, ni rationalisable.

A partir de certains comportements devenant envahissant, comment situez-vous l'usage excessif par rapport à l'addiction ?

un usage excessif est un usage exagéré, dommageable même à la personne, mais cette personne peut contrôler tandis qu'une addiction est incontrôlable par la personne atteinte concernée.

usage excessif versius addiction

l'usage excessif je le définirais par un usage fort d'une technologie, de son téléphone, de son pc, tablette ou internet... mais on peut s'en passer en certaines occasions si vraiment il n'y a pas le choix. l'addiction au contraire fait en sorte que l'on ne peut pas s'en passer, qu'on ne pense qu'à ça et que l'on ressent un manque, un mal être qui en devient presque physique ; angoisse..;

usage excessif/addiction

on peut différencier peut être par la perte de contrôle . continuer un comportement malgré les conséquences négatives . perte d'intérêt pour d'autres activités .le temps passé au détriment de certaines obligations .

réponse troisième question

L'usage excessif, selon moi, n'est pas forcément synonyme d'addiction. L'addiction serait un usage qui bouleverse la vie quotidienne. La personne se livre à ce comportement en se privant de sortir avec des amis, d'avoir une hygiène de vie correcte (sommeil, alimentation...), d'aller au travail\école... La personne peut cependant passer beaucoup de temps à un comportement sans forcément que sa vie personnelle, professionnelle ou sa santé soit perturbée. Dans ce cas là, je parlerais plutôt d'usage excessif. Par ailleurs tout dépend le contexte dans lequel la personne se livre à ce comportement. Si ce comportement est pour combler un manque psychologique, se sentir mieux, soulager une souffrance... le risque d'addiction est plus présent. Si une personne se livre à un comportement même de façon excessive par plaisir, l'addiction n'est pas forcément présente même si le risque peut être là.(ex : jouer aux jeux vidéo entre amis de façon importante)

Semaine 1 / 3.1 Rôle de l'outil numérique

Vivre dans un monde virtuel est valorisé

L'addiction au numérique ne me semble pas associé à la drogue. Le besoin de resté connecté semble un besoin vital, une sorte d'oxygène.Ce besoin est plus insidieux, car être connecté est valorisé par notre société. On n'ingère pas de substance nocive. La bascule vers l'addiction numérique se révèle quand la personne n'est plus en contact avec son environnement direct, mais vit totalement dans son monde virtuel.Un exemple de film qui en fait l'apologie : Matrix.

L'outil et l'humain

L'outil numérique reste un outil au même titre que les cartes à jouer sont un outil. Ce qui plonge l'utilisateur dans l'addiction est la charge émotionnelle qui est déclenchée par l'usage de cet outil. Ainsi, l'outil numérique peut être un vecteur de ces charges émotionnelles mais aussi un vecteur d'apprentissage et donc de prise en charge de l'addiction.

L'outil comme moyen

Comme n'importe quel outil, le numérique est un médiateur entre le sujet et son objet. Sa valeur dépend donc de l'usage qu'on en fait. La réponse à la première question semble donc asse évidente. la puissance de cet outil démultiplie les possibilités offertes d'accès à l'objet. Je n'ai pas vraiment étudié la question, mais les nombreux sites proposant des jeux en ligne doivent faciliter l'addiction au jeu. Existe-t-il des sites proposant des drogues ? J'en doute un peu... En revanche comment cet outil pourrait-il permettre de se dégager d'une addiction est une question plus délicate. En ce qui me concerne, je dirai oui également. Si l'addiction est un moyen de se détourner de la réalité, le numérique m'apparaît tout autant comme un moyen d'y revenir.

L'outil comme moyen

On trouve tout sur internet, drogues, armes ... Le réseau Tor (l'oignon) permet(tait ?) l'anonymat. Voir [les sites de vente illégaux se professionnalisent][1] [1]: http://www.lemonde.fr/pixels/article/2014/09/23/drogues-armes-les-sites-de-vente-illegaux-se-professionnalisent_4492592_4408996.html

L'outil numérique un moyen pas une fin

L'erreur est je pense de penser l'outil numérique comme une fin et non comme un moyen.Tant que l'outil numérique, le téléphone, les réseaux sociaux, ... reste l'interface entre 2 humain, associé donc à une réfléxion, à un message, ... je pense qu'il peut être un support. Si l'outil numérique est utilisé comme une fin en soit (avoir xxx amis sur facebook comme objectif, xxx follower twitter, devenir populaire sur instagramm, ...) il va aloir devenir source d'addiction, ou du moins de comportements bizarres. Je ne pense pas que l'outil numérique puisse être unsupport autre que préventif (diffusion de message) pour l'addiction aux drogues. Et encore pour le préventif ce n'est meme pas sure. Car nous sommes rompues aux messages publicitaires, aux campagnes de communication. Pour moi seul l'accompagnement humain peut aider.

addiction echappatoire

l internet a multitudes de sites incitatifs a developper une dependance aux drogues images clips videos qui envoient des messages subliminaux comme pour les publicites on est subjuge nombre de personne qui nont jamais consomme qui passent a la realite en fumant. pour fuir la realite internet est refuge pour etre une autre personne

addiction echappatoire

L'anonymat est la meilleure et la pire des choses (notamment pour les addictions). Au début circulait l'adage [«sur l'Internet, personne ne sait que tu es un chien»][1]. C'était la phase 2 de l'internet qui était un espoir de partage et d'accès à la connaissance pour tous. C'était avant google, l'addict à nos données. [1]: http://fr.wikipedia.org/wiki/On_the_Internet,_nobody_knows_you%27re_a_dog

Jeu informatique et alcool

C'est quasi toujours avec la bouteille de bière que mon époux joue à son maudit jeu informatique ! Pris par le jeu, il ne se rend plus compte qu'il boit de l'alcool, et pris par l'alcool, il ne mesure pas son jeu. Les limites ont été posées maintes fois, en couple, mais elles sont tombées comme la foudre peut arracher des panneaux de signalisation !

outil numérique et addiction?

Il me semble que le numérique a favoriser certaines certaines addictions notamment celles des jeux d'argent, site de poker...., le joeur devient anonyme et peux désormais jouer sans même sortir de chez lui.

outil numérique et addiction?

Par ailleurs en plus des "addictions notamment celles des jeux d'argent, site de poker", on peut ajouter l'achat d'alcool, de drogues en lignes qui permettent aux plus dépendants de se faire directement livrer chez eux, sans avoir à se déplacer.

’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ?

non je ne pense pas .. on peut effectivement remplacer une addiction par une autre moins nuisible mais c'est un travail psy qu'il faut faire pour identifier comprendre et résoudre son problème et son rapport à l'objet

’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ?

Et un psy en ligne ? Par vidéo ? La caméra en face du divan à la maison ? Avec un paiement en ligne, évidemment !

’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ?

moi je pensais aux serious game . il doit bien exister des initiatives soit dans le cadre de la prévention soit pour le traitement d'addictions comportementales ou non. Est-ce que quelqu'un a des infos à ce sujet ?

’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ?

voici le lien du site d'une psychologue spécialisée dans les jeux vidéo, les usages numériques et leurs impacts (thérapeutiques, cognitifs et pédagogiques).http://vanessalalo.com

l'endroit et l'envers...

Bonjour à tous, Comme pour beaucoup de choses, l'apparition de nouveaux outils peut revêtir à la fois un progrès mais, dans l'envers du décor, montrer des côtés pervertis.... Il me semble que l'outil numérique, déjà en lui-même peut créer une addiction (aux écrans) mais aussi donner une facilité d'accès à certains produits, médicaments, drogues illégales... A l'inverse, certaines personnes en souffrance peuvent obtenir des informations, des soutiens, accéder à des forums pour discuter avec d'autres personnes rencontrant des problèmes similaires, avec d'autres qui s'en sont sortis... Je crois que comme beaucoup d'outils, il est important de le comprendre, de prévenir les enfants sur ses mauvais côtés, mais ne pas diaboliser... La difficulté de la génération précédente et la génération suivante, c'est que c'est cette dernière qui maîtrise le mieux l'outil, rendant parfois les parents impuissants et les enfants seuls...

facilitateur le numérique ?

ouiiiiiiiii car c'est nouveau, jamais fini, sans fin ...facile ...et souvent dans l'illusion par ailleurs: c'est une mine de renseignements, pour qui est curieux ce sont des connaissances à porter de tous mais si on a un penchant pour l'addiction est ce que le support importe ???

facilitateur le numérique ?

De mon point de vue, le support n'est pas neutre. Par exemple, sur internet, on trouvera toujours des interlocuteurs ou des compétiteurs en ligne pour les jeux. En présentiel, quand nos copains sont fatigués, ils nous laissent, et on va aussi se coucher parce que cette pause bénéfique nous a permis de prendre conscience que ouais, nous aussi on est crevé.

Etre ou ne pas être?

le numérique permet de realiser des achats sans sortit, personne ne voit, personne ne sait et de jour en jour on devient addict. le numérique permet aussi de sortit de chez soi pour découvrir d 'autres vies, d'autres mondes, personne ne voit , on devient addict. est ce que l 'addiction n 'est pas une création de la société pour augmenter la consommation sans en avoir l 'air.

Etre ou ne pas être?

Je ne pense pas que l'addiction soit une création volontaire de la société, mais plutôt le symptôme de certains de ses dysfonctionnements. L'addiction à grande échelle, ça risque de lui coûter cher en soins médicaux à la société, elle ne va pas sciemment la provoquer pour perdre le bénéfice de l'éventuelle augmentation de la consommation (et donc de la fameuse croissance tant désirée).

et le plaisir

Tout le monde parle d'addiction mais si il y a addiction il y a plaisir, j'ai commencé l'informatique à 40 ans et internet en bas débit aussitôt. Quel plaisir de maitriser ces nouveaux outils. 17 ans après je reste accroc à internet parce que je me fait plaisir, avant internet je lisais beaucoup. En tout cas sans plaisir il n'y a pas d'addiction.

et le plaisir

Dans addiction, il y a une notion de souffrance, non ? D'une recherche d'un plaisir qui n'est jamais totalement assouvi au point qu'on ne peut pas décrocher, même pour répondre à des besoins vitaux (manger pour l'alcoolique, dormir pour l'acccro d'écran,...)

oui aux deux points

Le web est décomplexé, tout le monde s'y exprime sur tous les sujets. Cachés derrière les écrans les individus peuvent "dire" tout ce qui ne serait pas possible au quotidien. On peut imaginer que quelqu'un qui serait tenté d'essayer une drogue, un produit ne pourrait peut être pas le faire ou alors en petite quantité s'il se fournit dans son environnement habituel. le net lui est un immense marché vendant de tout, ne se préoccupant pas de morale... il est alors tentant d'essayer, puis d'y retourner, d'essayer plus fort ou plus longtemps et installer alors une addiction qui n'aurait peut être pu être réalisée sans internet. Dans le cas du jeu en ligne par exemple, la mondialisation du net fait que quels que soient l'heure du jour ou de la nuit, il y a toujours quelqu'un prêt à jouer. Cela a donc une influence très forte sur le comportement, il devient facile de jouer sans arrêt alors que sans cette possibilité, le joueur devrait trouver des partenaires dans son fuseau horaire et disponibles quand lui le souhaite. Mais lorsque l'esclavage de l'addiction est perçue par l'esclave, qu'il souhaite s'en guérir, s'en extirper, s'en sauver, le net apporte aussi une aide importante (échanges avec d'autres personnes souffrant des mêmes addictions, aide médicale, comportementale, informations sur ce qu'est l'addiction, conseils pour s'en sortir..)Le souhait/besoin de s'en sortir et tout simplement la possibilité (témoignages de personnes ayant réussi à guérir) sont aussi des facteurs qui peuvent aider l'addict. Il me paraît quand même un peu osé de doter un outil numérique d'un pouvoir aussi grand que celui de pouvoir provoquer ou guérir des addictions... Ce n'est -à mon avis - pas l'outil qui a ce pouvoir mais son MESUSAGE .

oui aux deux points

Je me répète, mais je pense vraiment que l'outil n'est pas neutre, qu'il a du pouvoir en soi, et que c'est pour ça qu'on parle de "révolution numérique", car les outils créent aussi les usages et non plus uniquement l'inverse.

oui aux deux points

bjr;**-Internet n'est pas qu'un outil,c'est au moins un animal-** ,c'est vivant puisque tout de suite sur Internet il y a du monde ,beaucoup de monde ,bienveillant ou non .

Une mise en lumière du phénomène

Les addictions existaient avant les outils numériques, mais peut-être étaient-elles tout simplement moins relayées et visibles. Comme tout outil, le numérique est à double tranchant : pour certains, ça enfoncera une porte ouverte, pour d'autres, cela servira de tremplin pour décrocher. Facebook n'a pas rendu les gens addicts au "Me, Myself and I" - celui-ci existait déjà mais a trouvé une amplification grâce à ce nouveau comportement en ligne. WoW n'a pas rendu les gens addicts aux jeux, mais il a certainement contribué à assouvir un besoin chez certains, qui se sont enfermés dedans (et je parle en connaissance de cause). Certains addicts dans la vie "réelle" trouvent du soutien grâce aux différents forums et arrivent à s'extirper de leur addiction (fumeurs, etc).

Le numérique, un mal nécessaire

Le numérique avec ses nombreuses prouesses fait l'objet d'une admiration objective de nos jours.les termes développement et le numérique sont intimement liés et ne peuvent pas être dissociés.or loin d’être un outils totalement positif pour l'existence, il offre de nombreuses toutes autres possibilités qui déciment l'humanité,notamment le commerce des drogues illégales , des informations sur un apparent effet positif lié à leur consommation ect

Le numérique, un mal nécessaire

Oui, sur Internet on trouve malheureusement beaucoup d'inépties, de bêtises et de désinformation, que n'importe qui peut trouver et croire. Et quand on lit les commentaires d'actualité ou de n'importe quel autre chose, ça fait parfois peur...

facilitant

l'outil numérique est facilitant pour certaines addictions, aux jeux ou au sexe par exemple. En revanche, nous participons tous actuellement à l'inverse, c'est un moyen collaboratif de réflexion, de discussion sur ce sujet, et c'est le côté préventif de l'outil numérique .

L'activité cérébrale du cerveau

Il serait intéressant de parler un peu du corps humain, et qu'elles sont les parties les plus influençables et manipulables, je parle bien entendu du cerveau. Le cerveau est sensible à un certains types d'ondes transmisent par nos différents appareils digitaux, y compris la télé, la radio. Ces ondes facilitent et imprègent notre cerveau qui se transforme extrêmement facilement en une éponge qui absorbe, et absorbe... ce cerveau s'endort et cela diminue notre mode de réflexion et de pensée. Voir comment les médias peuvent influencer l'opinion publique. Ceci est mon avis personnel... je ne suis pas psy et pas envie de la devenir lol

A quelle fin?

le numérique n'est pas négatif en soi, c'est la façon dont il est employé (actif ou passif) et son taux d'utilisation et à quel fin?

A quelle fin?

quel que soit le moyen on peut tomber dans l'addiction tout est question d'auto modération je ne pense pas que le numérique soit plus addictif qu'un autre outil

Numérique et addiction => TV Lobotomie

http://youtu.be/NvMNf0Po1wY Je vous renvoie à la conférence de Michel Desmurget sur les effets néfastes de la télévision. On pourrait y faire un parallèle avec les écrans d'ordi... Pas tous, mais quand même...

Numérique et addiction => TV Lobotomie

Merci. Oui, il est clair que la télévision dans son usage actuel est globalement nocive, toutes les recherches scientifiques concordent. Oui on pourrait faire un parallèle avec des écrans d'ordi. Face à l'ordi on est quand même plus actif mais on est quand même bien "exploité". On peut aussi considérer que Google et Facebook (par exemples) vendent (entre autre) "du temps de cerveau à Coca Cola"... Tous les moyens sont bons et le combat pour que le numérique ne devienne pas aussi lamentable que la plus grande partie des chaines de télé n'est pas gagné, loin de là! Ce sera un des sujets de la semaine 5...

le numérique un facilitateur des addictions ?

Les réseaux sociaux permettent clairement de se procurer plus facilement de la drogue, le contact entre dealeur et consommateur est encore plus facile, plus besoin de se risquer dans des quartiers "haut les mains" pour trouver son produit. Maintenant il est même possible de se faire livrer presque légalement des drogues de synthèses directement à son domicile (merci M6). Pour les addictions comportementales, les addictions sexuels peuvent trouver toutes sortes de choses sur internet pour nourrir leur comportement (la première rechercher sur google est bien "sexe"...). Bien sûr internet permet aussi de discuter avec d'autres personnes qui ont pu se sortir d'une addiction, ou qui sont dans la même situation. Et ce soutient peut être bénéfique à l'addict... mais est-ce que la côté facilitateur ne prend pas le dessus sur cet aspect colaboratif de l'internet.

incidences du numérique sur des addictions

BSR,le numérique facilite l'accès ,l'anonymat (?),le nombre,donc amplifie une addiction .Mais aussi le retournement car on fait plus vite le tour de son désir ,donc on se lasse plus vite.

Le numérique, facilitateur ou support d'aide ?

Le numérique est surement un facilitateur de certaines addictions grâce à l'anonymat qu'il permet, à son ouverture sur le monde et sa face cachée (darknet, notamment). Cependant, je ne pense pas que le numérique ait entrainé une "révolution" dans le sens où les addictions existaient avant. Elles n'ont pas attendu. Elles étaient juste moins visibles. Est-ce que le numérique peut être un support pour se dégager de ses addictions ? Oui, surement également. Grâce à la quantité d'informations disponibles, d'une part. Et aussi grâce à l'anonymat, encore une fois. Il est plus facile d'en parler sur un forum derrière un pseudo que directement à sa famille. Ou de rentrer en contact avec d'anciens addicts, qui ont réussi à s'en sortir, sans se faire juger.

Sade s'est bien passé du WEB !

Y-a-t-il eu plus accro au sexe que Sade ? Je n'en suis pas sûr. Le WEB lui aurait-il permis d'aller encore plus loin ? J'en suis encore moins sûr.

Addiction = poison ou antidote ?

Il y a (...) un glissement intéressant du pharmakos humain au terme de pharmakon remède. En grec classique, le pharmakon signifie le poison et son antidote, le mal été son remède, et finalement toute substance capable d'exercer une action très favorable ou très défavorable selon les cas, les circonstances et les doses employées (médecine des semblables et des opposés d'Hippocrate). Le pharmakon est une drogue magique ambiguë dont les hommes ordinaires doivent laisser la manipulation à ceux qui jouissent de connaissances exceptionnelles, voire surnaturelles : prêtres, magiciens, chamans, médecins... Dans la nature on retrouve souvent le poison et son anti-dote , la ronce qui vous griffe les jambes à sang et le plantain plante des caniveaux qui mit sur la plaie la soigne, l'apaise et la cautérise. L'addiction amène : quatre types d’usage : · simple, · à risque (peut provoquer des accidents), · nocif (consommation répétée mais sans dépendance), · avec dépendance (impossible d’arrêter la consommation même en le voulant). Dans tout produit se pose la question de l'usage que j'en fait. Faut-il passer par la panne d'électricité ou le dijoncteur qui saute pour m'arrêter de compulser mon ordi ou smarphone ou bien mon seuil de fatigue me dit qu'il faut que j'appuie sur le bouton d'arrêt ou bien je le compulse en croisant les informations sur une encyclopédie ou une discussion avec un proche ou ami ? Est-ce que je peux comparer mon ou mes addictions : "jeux vidéos, apéritif, petite bière 5 à 6 fois par jour, tabac, 1 cigarette, 15 à 20 cigarette / jour , prise de cocaîne ou chanvre, course à pied de type marathon ou de type balade en forêt ? Est-ce que je suis conscient de l'état nocif que cela peut avoir sur mes organes, mon entourage (dispute, anxiété, agressivité ? Sommes-nous égaux face à l'addiction (sexe, morphologie, endurance, volonté ?) Est-ce que l'addiction créée forcément de l'isolement, une dénaturation du réel ?

Addiction = poison ou antidote ?

Vous évoquez le pharmakon, c'est une notion que Bernard Stiegler (un de nos invités du webinaire de la semaine 5) utilise souvent pour parler du numérique ! A suivre.

Addiction = poison ou antidote ?

Oui, très intéressant et moderne ce concept de pharmakon. Cela me fait penser à la citation de Paracelse "Tout est poison, rien n'est sans poison, seule la dose définit ce qui n'est pas poison".

Humain déterminant

En tant que moyen de communication, le net favorise le bon comme le mauvais. Je crois que ce qui est déterminant est plutôt la relation avec une personne en chair et en os.

L'Outil numérique un facilitateur d'addiction? L'Outil numérique support d'aide d'abandon des addictions comportementales?

L'Outil numérique un facilitateur d'addiction? Cette question est plus que d'actualité chez nous en Afrique avec le phénomène des brooteurs( hackers: des jeunes adolescents abandonnent les salles de classes pour escroquer les honnêtes citoyens a travers l'outil numérique. L'outil numérique contribue considérablement à l'apparition de nouvelles addiction et contribue au développement des anciennes addictions. L'Outil numérique support d'aide d'abandon des addictions comportementales? En quoi est ce que l'outil numérique peut amener un addict à abandonné son addiction? si j'ai bien compris la question. Vu que l'outil numérique facilite la diffusion des infos et la communication, il permet aux organes spécialises de faire leurs travaux auprès des addictions pour leur montrer le bien fondé des choses.

Outil numérique : ange ou démon ?

L’outil numérique n'est-il pas parfois facilitateur de certaines des addictions aux drogues (légales ou non) ou comportementales ? --*Dans la mesure où l'outil numérique est ouvert sur le monde, il me semble certainement facilitateur d'accès aux addictions.*-- A l’inverse, l’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ? --*Si l'addiction en question n'est pas soumise à l'utilisation de l'outil numérique, je pense que ce dernier peut tout à fait être un support aidant dans la gestion du comportement addictif*--

Outil numérique : ange ou démon ?

Bonjour, l'outil numérique peut effectivement être utilisé dans certaines thérapies, comme le font entre autres Michael Stora et Serge Tisseron, à la fois comme un support pour la parole ou en tant que médiation. Différents articles ont été écrits à ce sujet et notamment : "Ico, un conte de fée interactif" de Michael Stora ou encore "Rêve et réalité : une clinique du jeu vidéo comme médiation thérapeutique" du même auteur. Marine

Un outil

L'outil numérique est un outil. Tout outil peut être utilisé pour le meilleur ou pour le pire ! L'outil numérique favorise certainement le passage à l'acte impulsif dans certaines addictions (je pense particulièrement au jeu en ligne...) mais il est également un support pour sortir de certaines addictions. Les informations que j'ai trouvé sur internet concernant le difficile syndrome de sevrage que j'ai vécu m'ont aidée à tenir bon. Pouvoir également rencontrer sur des forums d'autres personnes ayant les mêmes difficultés peut être une aide. Tout est donc facilité ! L'addiction, la prise de conscience de l'addiction, le cheminement pour sortir de l'addiction...

Un outil

Le numérique est un outil oui, mais il est aussi un espace de "vie". En fait il est même composé de plusieurs espaces. Je ne crois pas qu'on puisse tellement considérer le numérique comme quelque chose d'unis. Par exemple, le jeu "seconde life" n'a rien à voir avec ce forum, si ce n'est qu'ils se trouvent derrière un écran. Ainsi, certains de ces espaces numériques ne peuvent-ils pas être piégeant en faisant croire aux individus qu'ils se trouvent dans un espace réel? Avec des vrais amis faisant des vraies choses? Ambre

Un outil

Je suis d'accord avec vos deux points de vue, l'outil numérique est bel et bien un outil pour se dégager ou entrer dans certaines addictions. Il faut donc l'utiliser à bon escient et ne pas négliger les discussions "physiques" avec des personnes de notre entourage mais pas forcément. Ce qui est malheureux pour les personnes issues de la génération internet (dont moi-même) est que l'on ne communique presque plus en "vrai". Beaucoup de débats, conversations passent par des réseaux sociaux ou des forums. On peut ainsi avoir les récits de gens ayant vécu la même chose que nous mais à 20 000 km. Ce n'est pas qu'une mauvaise chose mais on devrait plus se concentrer sur les personnes nous entourant avant de fuir dans notre bulle assez autistique qu'est notre cher petit ordi nous attendant le soir au chaud lorsque l'on rentre à la maison. Ophélie JOLY, étudiante en Neurosciences

Support facilitateur

**Pour moi, l'outil numérique est un support facilitateur à partir du moment où l'on ne contrôle plus sa navigation sur internet. Cela reste un support très sensible et à haut risque où chacun doit être en mesure de mesurer les risques que cela peut engendrer en fonction de l'utilisation de l'internaute.**

numérique et addiction

Le numérique peut tenir une place démesurée dans nos vies, mais de là à devenir une addiction c'est que l'usager se serait fait "déborder" par l'outil. C'est une question de mesure et d'enjeux. Toute addiction débute par le fait que le cerveau ressent du bien mais par lasuite, l'addiction est le fait d'avoir "sa dose" pour ne pas être mal. Le numérique est créateur de bien comme de mal. On ne peut pas être manichéen lorsque l'on parle de cet outil. Certaines personnes vont trouver de l'aide par le biais du net, d'autres n'y trouveront que des choses pour "se faire mal".

numérique et addiction

A la différence de la télévision, où, me semble-t-il, il n'y a pas de problématiques concernant l'addiction, le numérique, en tant qu'objet global et philosophique (car il ré-interroge complètement notre rapport aux autres et au monde dans tous les domaines), cristallise toutes les peurs, mais aussi toutes les idéologies. Le numérique, interroge toutes les sciences. C'est dans ce cadre que la psychologie, la psychanalyse, les neurosciences...forcément aussi; notamment par l'entrée "addiction".

numérique et addiction

un article sur l'addiction à la TV -http://www.quebecoislibre.org/020608-4.htm--

Et si l'outil numérique permettait d'avoir une vie complète ?

Bonjour, En ce qui me concerne je trouve beaucoup de réponses à mes questions existentielles sur Internet. De même, j'habite à l'étranger et je suis en contact avec mon environnement familial au quodidien malgré tout... Peut-être cela me sauve-t-il d'autres addictions ????

addiction ?

Le numérique a profondément intégré et modifié nos modes de vie et comportements , nous aurions des difficultés à nous en passer. A quel moment peut on parler d'addiction ?

Quatrième question

Je pense que l'outil informatique n'est ni facilitateur des autres addictions, ni support aidant à s'en dégager. Le numérique est devenu nécessaire pour pour toutes nos activités professionnelles et personnelles. Le numérique est aussi devenu, par ses nouveautés et son abondance non maîtrisable..

Quatrième question

enfin notre époque a besoin du numérique, il est trop tard pour les éviter. nos systèmes de communication est trop numérisés, l' économie en dépendent, trop tard pour faire marche en arrière, addicts ou non il faut faire avec

Outil numérique:ange ou démon?

L'outil numérique est ce que l'on en fait. Son usage peut-être une ressource prodigieuse pour trouver des informations pour par exemple se sortir d'une addiction (informations sur des lieux de soins,forums de personnes souffrant des mêmes addictions...). Mais il peut aussi faciliter une addiction par ces mêmes forums ou autres (par exemple une personnes souffrant de troubles alimentaires peut trouver des forums de pro ana* ou autre); *Pro ana=pro anorexique

Outil numérique:ange ou démon?

tous les outils quel-qu' il soient sont outils dans la mesure ou ils vous rendent services mais à la limites ou restent toujours des outils,

Outil numérique:ange ou démon?

Pour ce qui concerne les forums pro-ana, vous pouvez jeter un oeil à une étude d'Antonio Casilli, qui montre que cela peut à la fois faciliter l'addiction, mais aussi constituer un réseau d'entraite important. Voir par exemple http://www.anamia.fr/conference-anamia-antonio-a-casilli-le-pro-ana-ne-signifie-pas-la-fin-de-lintermediation-medicale/ : *Dans cette intervention, tenue lors de la journée d’étude Comprendre le phénomène pro-ana : corps, réseaux, alimentation qui a eu lieu, dans le cadre du projet ANR ANAMIA, au Petit Auditorium de la BNF (Bibliothèque Nationale de France, Paris) le 14 décembre 2012, Antonio Casilli analyse, en passant par des exemples récentes, les pratiques en ligne et les usages des internautes atteints de TCA. Trop souvent stigmatisés dans la presse comme des « anorexiques radicaux », les auteurs et lecteurs des sites Web ana et mia s’inscrivent en fait dans un « continuum d’usages », où des forum de discussion sur l’alimentation et des blogs personnels côtoient des communautés de patients, des plateformes de jeux vidéos, de portails de conseils de beauté et des médias généralistes. Donc, la sociabilité en ligne des internautes anamia n’est pas détachée des usages « non pathologiques ». Ce qui explique aussi comment les anorexiques et boulimiques soient capable de prendre en compte la présence des sites Web et des professionnels de santé, dans un effort de co-construction de l’intermédiation médicale.*

l'outil numérique, facilitateur d'addiction

L'outil numérique est, je pense, un facilitateur des addictions à des produits puisqu'il va permettre de s'en procurer voire de les découvrir. Les technologies d'information et de communication sont utilisées en permanence. Aussi il est aussi intéressant de se poser la question d'une addiction comportementale facilitée dans ce cadre.

Cadre

L'usage problématique d'Internet et des nouvelles technologies (communément appelé cyberdépendance dans la plupart de la documentation) se traduit donc par une utilisation des technologies ou des moyens de communications offerts par Internet qui engendrent des difficultés chez l'individu: le mode d'utilisation inadapté persistant d'Internet conduit à une souffrance ou une altération du fonctionnement. Le contact avec les adolescents présentant un usage problématique des jeux vidéo ou d’Internet nous révèle que tous ne présentent pas ces caractéristiques. Il semble que dans certaines situations, l'usage problématique d'Internet et des jeux vidéos soit plutôt à comprendre comme un symptôme parmi d’autres dans un contexte de troubles de l’adaptation (une adaptation difficile à un nouveau contexte de vie, par exemple des difficultés d’émancipation du nid familial à l’adolescence ou au début de l’âge adulte), ou en présence d’autres difficultés émotionnelles plus ou moins sévères (anxiété, dépression). Il importe donc d'utiliser une approche systémique en intervention auprès des adolescents représentant un problème d'usage problématique des jeux vidéos et d'Internet.

Cadre

un facilitateur, oui pour le progrès oui , il faut avancer dans notre recherche de la perfection, mais en arrivant sommes nous coupable d'usage abusifs de nos moyens, faut donc créer un autre moyen que le numérique pour pouvoir connaitre tout ce qu' on apprends par internet ce moyen la c' est une chose ou l'on ne pourra jamais addict? mais quoi?

Question 4

L'outil numérique est facilitateur pour les addictions aux drogues étant donné qu'il est tellement facile de se procurer les nouvelles drogues nommés RC. De même pour les addictions comportementales enfin celle en lien avec les jeux de hasard et d'argent via les casinos en ligne. Effectivement il peut être un support pour se dégager ou trouver des aides il suffit de voir que certains CSAPA mettent en place des web conférences pour aider soit le patient soit son entourage.

Question 4

Mais mieux vaut être accro à l'internet qu' alcool, au moins cela nous permet de se dégager de l' autre

Question 4

*L'outil numérique est facilitateur pour les addictions aux drogues étant donné qu'il est tellement facile de se procurer les nouvelles drogues nommés RC. De même pour les addictions comportementales enfin celle en lien avec les jeux de hasard et d'argent via les casinos en ligne.* Oui, tout à fait d'accord avec vous: on peut se procurer de nombreuses drogues facilement par internet. Par contre je ne sais pas ce que signifie RC... Pour les jeux de hasard et d'argent en ligne, il est prouvé scientifiquement que jouer en ligne est plus addictif que jouer au casino. *Effectivement il peut être un support pour se dégager ou trouver des aides il suffit de voir que certains CSAPA mettent en place des web conférences pour aider soit le patient soit son entourage.* Oui, là aussi je suis d'accord avec vous. Il y a aussi des associations d'entraide entre utilisateurs, par exemple pour les troubles du comportement alimentaire (anorexie ou boulimie)ou en matière de toxicomanie les forums des consommateurs qui ont essayé telle ou telle molécule vendue sur internet et qui donnent leur avis (dosage, danger, etc.) Ces associations orientent souvent les personnes en difficulté vers des centres spécialisés. Peut être aussi pour ceux qui ne connaissent pas préciser que CSAPA signifie Centre de Soin d'Accompagnement et de Prévention en Addictologie, ce sont les centres où l'on peut consulter si on est en grande difficulté avec une addiction, il y en a au moins un par département en France et c'est gratuit.

Question 4

"Research Chemicals", ""design drugs mais l'appellation la plus correcte et française est de parler de "NDS" (Nouvelles Drogues de Synthèse), des drogues qui lorsqu'elles sont identifiées sont immédiatement classées stupéfiant. Internet est aussi le vecteur du mode d'emploi, voire de l'apologie de la plus part des produits. Les stups, leurs effets y sont sublimés. Liberté d'expression, censure , que doit on faire sachant que les pays, au delà d'une définition commune (OMS) autour des drogues, ont cela dit une réglementation (voire une culture) différente tant vis à vis des produits que du web. Les CSAPA sont bien présents mais ont ils tous les moyens d'accomplir la très lourde tâche qu'on leur attribue? Au delà des nombreuses politiques de réduction des conduites à risques, des orientations, des aides, combien font le pas de s'y présenter et de se faire aider?? Lutter contre la dépendance, quelle qu'elle soit, c'est d'abord avoir conscience d'un besoin d'aide. Pas si simple, car il est plus facile de penser qu'il n'y a pas de problème ou qu'il est simple de s'en sortir. Vaste sujet...

le numérique pour le meilleur comme pour le pire!

Le numérique est sans doute facilitateur de l’addiction aux écrans (vidéo, jeux, réseaux sociaux,etc.). C’est bien pour cela que les experts comme Serge Tisseron recommande la règle des 3-6-9 incitant les parents à contrôler la durée d’accès aux écrans en fonction de l’âge des enfants. C’est sans aucun doute une question de bon sens : le bien-être réside dans l’équilibre des activités.

le numérique pour le meilleur comme pour le pire!

Mais que signifie au juste la règle « 3-6-9-12 » ? Rappelons la brièvement 1. Pas d’écran avant 3 ans, ou tout au moins les éviter le plus possible Parce que de nombreux travaux montrent que l’enfant de moins de trois ans ne gagne rien à la fréquentation des écrans [1]. 2. Pas de console de jeu portable avant 6 ans Aussitôt que les jeux numériques sont introduits dans la vie de l’enfant, ils accaparent toute son attention, et cela se fait évidemment aux dépens de ses autres activités. En outre, avant que l’enfant ne sache lire, les seuls jeux possibles sont sensori moteurs et basés sur la stéréotypie motrice [2]. 3. Pas d’Internet avant 9 ans, et Internet accompagné jusqu’à l’entrée en collège L’accompagnement des parents sur Internet n’est pas seulement destiné à éviter que l’enfant y soit confronté à des images difficilement supportables. Il doit lui permettre d’intégrer trois règles essentielles : tout ce que l’on y met peut tomber dans le domaine public, tout ce que l’on y met y restera éternellement, et tout ce que l’on y trouve est sujet à caution parce qu’il est impossible de savoir si c’est vrai ou si c’est faux. 4. Internet seul à partir de 12 ans, avec prudence Là encore, un accompagnement des parents est nécessaire. Il faut définir avec l’enfant des règles d’usage, convenir d’horaires prédéfinis de navigation, mettre en place un contrôle parental... 5. Une règle nécessaire, mais pas suffisante Enfin, si la règle « 3-6-9-12 » est nécessaire, elle n’est pas suffisante à elle seule. Cadrer le temps d’écran, et cela à tout âge, est essentiel. Entre 3 et 5 ans notamment, les enfants n’ont rien à gagner à passer plus d’une heure par jour devant un écran. Par ailleurs, ils doivent bénéficier d’une éducation qui leur permette de comprendre les conditions de production des divers médias et leurs modèles économiques. C’est le rôle de l’institution scolaire de les leur donner. Les écrans doivent être encadrés dès l’enfance et l’enfant éduqué aux médias. La règle « 3-6-9-12 » est une pièce majeure de ce dispositif, mais une pièce seulement.

enfonce ou aide ?

l’outil numérique peut être un support aidant pour se dégager des addictions : remplacer une addiction par une autre !

enfonce ou aide ?

le renvoi d'un site vers un autre,la quête qui fixe devant l'écran

facilitateurs

L'outils numérique est partout, même les panneaux publicitaires deviennent numériques. Les livres deviennent numériques. L'école est numérique (ils offrent des ordinateurs aux élèves de 4ème, cours sur ordinateur...). Pour finir, même mon travail est devenu numérique par la "pointeuse" application de mon smartphone. C'est le modernisme mais ça peut vite entraîner des dépendances comportementales, émotionnelles et pourquoi pas tomber dans les drogues (tabacs, alcool et autres drogues). Le point positif est que nous avons une formidable qualité d'adaptation et qu'en seulement une dixaine d'années nous avons parfaitement intégré l'outils numérique à nos vies.C'est une des causes de nos addictions mais aussi une des solutions qui peut nous permettre de sortir de nos addictions.

Numérique et addictions aux drogues

Oui le numérique peut être un facilitateur : vente en ligne, échange sur les forums, liste des stupéfiants... Mais tous ces outils du numérique peut être aussi utilisé à bon escient .

outil numérique facilitateur de certaines addictions?

Pour l'alcool par exemple, l'outil numérique n'est pas forcément facilitateur. La personne a besoin de boire, a besoin du produit et c'est matériellement qu'elle consommera. Si elle souhaite une prise en charge de cette addiction, elle pourra trouver sur internet une aide pour se soigner, des témoignages via des forums qui la guideront dans sa recherche de soins. Tout dépend du type d'addictions

L'outil et ses contenus

Le numérique en tant qu'outil facilite l'accès aux marchés des différentes drogues sans avoir à se déplacer et à s'impliquer physiquement, et sans ressentir une prise de risques aussi élevés que dans la vie réelle ou même une certaine culpabilité. C'est un leurre. L'outil numérique permet une diffusion plus massive de l'information, et des échanges, positifs ou négatifs, avec des personnes concernées ou intéressées par les addictions. L'information et les échanges peuvent contribuer à se dégager d'une addiction mais ne sont pas suffisants car des interactions réelles sont nécessaires, dans le cadre par exemple d'une thérapie, afin de traiter les causes de l'addiction avec un feedback corporel et non corporel en temps réel.

Outil numérique facilitateur d'addiction

L'outil numérique crée de nouveaux types d'addictions (comportementale) du fait de son interactivité, qui pousse à aller "toujours plus loin". Du fait que son contenu peut changer en permanence, il peut pousser à beaucoup plus d'attention.

Outil...ou médium

Le numérique est devenu le socle commun de tant d'activités qu'il est presque logique qu'il occupe un place centrale dans les questions d'addiction. Envisager le numérique sous son aspect 'outil' est trop réducteur, c'est un médium en soi. Un médium a cela de particulier qu'il requalifie nos pratiques, quelles qu'elles soient. Par conséquent, le numérique comme outil peut occuper plusieurs fonctions face à l'addiction, la renforcer comme aider à la déjouer.

Drogue

Bonjour, Et bien sur Internet on peut tout trouver.. Comment faire, cultiver, trouver acheter. En revanche énormément de prévention, de site internet existe pour palier à ça. Je dirais "kif kif".

Internet ; Créateur d'addictions et de solutions ?

Pour ma part je penses quInternet peut developper une vrai addiction sans prise de produit donc comportementale !!! ( jeux vidéos, jeux d'argent, pornographie,....)pouvant détruire des vies dans le pire des cas ! Comme pour toute addiction, la seule solution reste la prise de conscience et l'envie d'en sortir ! Je penses aussi qu'internet reste un outil formidable à condition de savoir l'utiliser, et peut proposer des solutions pour se sortir de certaine situation compliquée et décrocher !!!!

Et les drogues !

Vous ne parlez pas des préoccupations liées aux drogues dans l'analyse de la semaine 1, je crois ?

Et les drogues !

L'addiction avec substance est évoquée dans la semaine 1, ainsi que dans le webinaire, mais le focus est sur les addictions dites comportementales.

fermetures et ouvertures

L'outil numérique n'est pas qu'un outil de consommation mais aussi un outil de diffusion, j'ai entendu lors d'un reportage sur ARTE que sur ytube arrivaient chaque minute 300 heures de vidéo! Pour les apologistes des drogues, des jeux et autres, il semble qu'effectivement cet outil -outre son volume-, s'il le veut, peut-être un facilitateur d'addictions comportementales et/ou autres. Il a été proposé dans les diverses réponses de ce début de MOOC de ne pas perdre à l'esprit, la faiblesse, la souffrance mais aussi la solitude: pour les apologistes/prédicateurs c'est l'idéal, c'est facilitateur! Il n'y a qu'a proposer, orienter guider et finalement "fermer" la personne (la face dans l'écran), c'est la "fermeture" Toutefois, le numérique est également outil merveilleux: c'est la science et la connaissance à portée de mains (même s'il faut faire un tri) mais aussi la communauté civile! Cette communauté civile, peut être d'un grand secours lorsque l'on cherche à se dégager de ses addictions, d'autant qu'elle est anonyme, on peut donc "s'exposer" et recevoir de l'aide, sans ressentir de gène, de mépris, de honte ou autres sentiments qui peuvent parfois laisser les personnes dans l'ombre, en cela le numérique est "ouverture".

à double tranchant

L'outil numerique sert autant en véhiculant des images idées comportement qui vont alimenter des recherche de nouvelles addictions ou produits addictifs et en même temps par tous les forums de témoignage injecte un antidote sauvage

le rôle de l'outil numérique dans l'addiction

Le numérique est un outil d'information et de communication et donc en tant que tel dépend de ce que nous en faisons, il est donc soit vecteur de renforcement d'addiction soit solution.

La notion d' "outil"

Outil = moyen permettant d'arriver à ses fins. L'outil numérique est donc un moyen pour atteindre ses objectifs, qu'ils soient "bons" ou "mauvais", "légaux" ou non, "sains" ou non... C'est également un outil facilitateur : les notions de lieu et de temps n'existent quasiment plus, on est facilement dans l'action. (La règle des 3 unités du théâtre classique qui avait pour objectif de ne pas éparpiller l'attention du spectateur vole en éclats : le temps et le lieu sont anéantis, tandis que l'action peut être démultipliée.)

numérique: facilitateur ou pas

facilitateur de certaines addictions aux drogues ou comportementales avec l'ouverture sur le monde grâce aux réseaux sociaux... support aidant vu la diversité des propositions de traitements ou de témoignages sur le sujet...

Certains savent en jouer...

Je constate que certaines sociétés, dans le numérique, savent jouer avec les addictions, certes légères mais présentes tout de même, je veux parler des apps (notamment des jeux) sur smartphones et tablettes sur le modèle économique dit "Freemium" qui explose en ce moment. Il s'agit d'offrir gratuitement un jeu dans lequel la progression est volontairement bridée, de façon à frustrer le joueur et le pousser à payer pour continuer sa progression ou à inciter ces amis à jouer à leur tour ( on peut nommer Candy Crush, PVZ2 etc). L'explosion de ce modèle économique est pour moi non seulement facilitateur mais aussi incitatif aux addictions.

Certains savent en jouer...

Voilà une réflexion toute indiquée pour la prochaine semaine "Fabriquer l'addiction ?" où on pourra analyser un produit numérique de ce point de vue.

L'objet et l'acteur

Encore une fois, dire que l'outil numérique ait un caractère addictif revient à mettre l'outil à la place de l'acteur. Or l'acteur c'est nous, personne ne nous conduit à avoir des comportements addictifs (mis à part pour les cas manipulatoires). En effet ce qui **nous** faisons de l'outil numérique peut nous conduire à une ou des addictions. Il est donc clair, net et précis que l'outil numérique peut être bénéfique ou non selon l'usage que **nous** lui attribuons.

L’outil numérique n'est-il pas parfois facilitateur de certaines des addictions aux drogues (légales ou non) ou comportementales ?

Je pense que l'outil numérique est un facilitateur de dépendance. Le manque d'exercice de "la volonté" d'agir, de la "volonté" d'aller vers les autres peut entraîner une "atonie de cette volonté" face à l'engagement. Cette "atonie de la volonté" va s'avérer fatal quand on doit renoncer à des plaisirs retirés d'un acte addictif.

cercle vertueux / cercle vicieux

comme tout, le digital, l'internet est à la fois une bonne et une mauvaise chose, tout dépend des mains dans lesquelles il se trouve... ainsi internet/le digital peut être un facteur facilitateur pour sortir d'une addiction : partage d'expérience, rencontre d'autres internautes, accès facilité à l'information... mais il peut aussi être synonyme de mauvaises rencontres, renfermement sur soi même... je pense que tout dépend de l'état d'esprit dans lequel on se trouve... le numérique peut lui même faire naître des addictions (jeux en ligne notamment)

Semaine 1 / Défi

web

un site très bien fait qui aborde les addictions comportementales: http://www.ifac-addictions.fr/les-addictions-comportementales.html

les principales addictions comportementales

1) Le jeu pathologique 2) Les achats et les débits compulsifs 3) Le sport extrême ou intensif 4) Les troubles des comportements alimentaires (ou TCA) 5) La dépendance et la codépendance affective 6) La dépendance et la codépendance sexuelle 7) Le travail pathologique (ou workaholism) 8) La cyberdépendance expliquées ici [http://www.prevenir-ou-guerir.org/addictions/principales_addictions_comportementales.htm][1] ![saisir une description de l’image ici][2] Une belle histoire d'un homme qui a vaincu l'addiction aux jeux vidéos https://www.youtube.com/watch?v=EHmC2D0_Hdg [1]: http://www.prevenir-ou-guerir.org/addictions/principales_addictions_comportementales.htm [2]: http://www.defimedia.info/media/k2/items/cache/6d40cbbdeb0d8284c5d7a8fc19b8dd72_XL.jpg?t=-62169984000

Cigarette ?

Pour moi la cigarette a été une addiction comportementale avant d'être une addiction à la nicotine : - gestuelle (la main et la bouche) - sociale (imitation des parents et phénomène de groupe à l'adolescence) Avec l'alcool les comportements étaient les mêmes mais l'addiction n'est pas apparue. Ce qui fait qu'aujourd'hui j'ai arrêté de fumer mais que je prend plaisir à boire. Y a-t-il des prédispositions ?

addiction précoce?

http://www.franceinter.fr/emission-grand-angle-les-tablettes-ne-sont-pas-nocives-pour-la-sante-cerebrale-des-enfants

L'addiction au jeux d'argents en ligne

À complêter

L'addiction au jeux d'argents en ligne

Bonjour, Je répond à votre invitation de compléter le sujet avec 2 liens : http://archive.francesoir.fr/actualite/sante/addiction-aux-jeux-d-argent-l-analyse-d-un-medecin-139998.html http://www.acte-now.com/index.php?option=com_content&view=article&id=50:addiction-aux-jeux-en-ligne-comment-y-remedier-&catid=36:temoignages&Itemid=53 En espèrant que d'autres trouvent mieux que moi :).

L'addiction au jeux d'argents en ligne

Je rajoute un témoignage, je ne sais pas s'il est véridique (internet) mais ça me semble intéressant. http://www.same-story.com/addictions-dependances/jeux-d-argent/addiction-aux-jeux-on-peut-s-en-sortir-216190

Les addictions sans drogues

Voici un article sur les addictions sans drogues. A vous lire ! http://www.hopital-marmottan.fr/publications/VALLEUR%20-%20VELEA%20-%20addictionssansdrogue,%202002.pdf

En finir avec l'addiction. Par Vaughan Bell

Blog http://nouvelles-psychanalytiques.blogspot.fr/2009/12/en-finir-avec-l-par-vaughan-bell.html

Essai

Voici le lien vers deux articles qui traitent du sujet. J'espère avoir bien saisi la question... http://www.lematin.ma/journal/2014/nouvelles-technologies-_comment-eviter-la-cyberdependance-chez-les-enfants--/210259.html http://www.usherbrooke.ca/medecine/accueil/babillard-interne/babillard-details/article/25308/

Ressources diverses addictions comportementales

Vidéo France Info [Dans le cerveau d'un joueur pathologique][1] A noter : Guillaume Sescousse présentera, en compagnie de Romain Ligneul également neuroscientifique, une conférence intitulée **Dans le cerveau d'un joueur**, mardi 28 janvier à la Cité des sciences et de l'industrie à Paris, à 19h. L'accès est gratuit. [Mieux comprendre les addictions][2] Le site de la **Fédération pour la recherche sur le cerveau** propose son compte rendu 2013 sur le thème des addictions dont une partie sur les addictions comportementales. ( téléchargeable en version pdf) [1]: http://www.franceinfo.fr/emission/info-sciences/2013-2014/dans-le-cerveau-d-un-joueur-pathologique-01-24-2014-12-55 [2]: http://www.frc.asso.fr/Le-cerveau-et-la-recherche/Dossiers-thematiques/addictions/mieux-comprendre-les-addictions

Ressources diverses addictions comportementales

Bonjour natag. intéressante cette expérience (Dans le cerveau d'un joueur pathol.) En écho, voici une citation de Freud (qui remonte à quelques années...) qui va dans le même sens. En 1898, il écrit : « (...)les autres cures d’abstinence, (…) ne réussiront qu’en apparence, tant que le médecin se contentera de retirer au malade son agent narcotique sans se soucier de la source d’où jaillit le besoin impérieux de celui-ci. « Accoutumance » n’est qu’une simple façon de parler sans valeur explicative ; tous ceux qui ont l’occasion de prendre pendant un certain temps de la morphine, du chloral et autres, n’acquièrent pas de ce fait «l’appétence» pour ces choses. -Une investigation plus précise démontre en général que ces narcotiques sont destinés à jouer le rôle de substitut –directement ou par voie détournée – de la jouissance sexuelle manquante,- et là où ne peut plus s’instaurer une vie sexuelle normale, on peut s’attendre avec certitude à la rechute du désintoxiqué ». (Cf. supra, p. 88). Par certains côtés ces citations ont bien sur vieilli, en particulier sur la notion de "vie sexuelle normale", n'empêche, la question demeure: est-ce que la dépendance pathologique ne vient pas tenter de se substituer à une souffrance qui s'originerait dans la sphère psycho-affective? L'expérience relatée dans l'animation laisse penser que oui...

Un film...

http://youtu.be/4FPf7_hKq8g Ceci est le lien vers la Bande Annonce du film "Shame" (la honte) de Steve McQueen qui traite de façon magistrale le problème de l'addiction au sexe. Troublant et impressionnant. L'impossibilité d'accepter de l'aide de la part de ses proches, l'impasse, le cauchemar.

Un film...

Épatant en effet. Masculin / féminin Dans le registre provocateur de Lars Von Trier https://www.youtube.com/watch?v=s9uI13pMSLM Qui propose une réalité dérangeante, sur fond de perversions. Je ne suis pas allée voir ce film car connais bien ce sujet pour avoir été amie avec des personnes qui souffrent (à mon avis encore maintenant) de cette addiction : la bande annonce me suffit.

Addiction sans drogue

Marie est une jeune fille de 15 ans, elle possède un ordinateur dans sa chambre et un smartphone. Elle passe la plupart de son temps libre sur les réseaux sociaux, elle commence à ne plus dormir la nuit pour rester connectée avec ses nombreux "amis" dans le monde entier. Elle commence à ne plus manger et ne plus aller au lycée pour ne plus être séparée de ses connections.

Addiction amoureuse ?

Est-ce que les passions amoureuses, parfois destructrices, peuvent être rangées dans les addictions ? Seulement quand elles ne sont pas partagées ? Je ne parle pas ici des addictions sexuelles, qui semblent mieux documentées. Après tout, on retrouve dans la passion amoureuse certains traits identiques à ceux décrits sur la page Wikipedia Addictions : manque, craving (!), aliénation, désintérêt pour les autres...

Addiction amoureuse ?

Une passion passion amoureuse oui. L'addiction c'est la dépendance régulière. Il existe aussi la dépendance affective. C'est le fait d'avoir un besoin permanent et irrationnel d'une relation affective (avec ou sans sexe) et donc des relations/passions amoureuses régulières sans avoir la capacité de prendre du recul. L'addiction au sentiment amoureux qui est souvent éphémère ...

Addiction amoureuse ?

Bonjour Sylvie, Effectivement, dans le Webinaire, Marc Valleur nous explique que la passion amoureuse a longtemps été considérée comme une addiction parce qu'elle en présente beaucoup de symptômes. Aujourd'hui ce n'est plus tellement le cas. La question qui demeure est pourquoi. Guillaume

Un remède contre la nomophobie: NoPhone

Ici à Abidjan certaines personnes peuvent avoir 2 voire 3 Smartphones sur elles pour leur communication. Souvent certaines ne sont même pas lettrées.La solution que je propose pour ces personnes: [http://www.lebabi.net/actualite-abidjan/nophone-un-faux-smartphone-contre-l-addiction-au-smartphone-32831.html][1] [1]: http://www.lebabi.net/actualite-abidjan/nophone-un-faux-smartphone-contre-l-addiction-au-smartphone-32831.html

Dépendances en cascade

Je pars d'un croisement de dépendance. Enfoncée dans des poudres blanches ou brunes, je passais mon bac tranquillement. L'année suivante, l'équilibriste que j'étais devenue se démantibula. C'est grâce à un entourage familial protecteur et une envie de connaître d'autres personnes que celles qui m'entouraient à l'époque que j'arrêtais tout, pari gagné ! C'est à l'occasion d'une tarte aux fraises que l'on me dit que vomir ne faisait pas grossir. Au lieu d'être libre, je me suis jetée à corps perdu dans l'achat de nourritures pour les manger mais surtout pour les vomir. Je passais d'autres diplômes en me triturant l'intérieur de la gorge pour en expulser ce qui venait d'y pénétrer. Puisse qu'une addiction procure une satisfaction, je ne sais toujours pas quel plaisir sadique m'a agit compulsivement. Mon médecin m'a dit "des troubles alimentaires pour sortir de la drogue, c'est pas cher payer". Mais les effets secondaires, les dégâts collatéraux n'en sont pas moins difficile à supporter quand on les subit. Vomir, même pour se soulager, emplit d'angoisse. L'idée n'étais pas nouvelle pour moi, passer d'une dépendance à une autre, comme un troc, j'en ai connu certains qui pensaient ainsi surfer et éviter les chocs... Je suis blessée, marquée par cette dépendance aux drogues qui, comme un signe infime, me fait reconnaître mes semblables, certains. Je ne sais pas pourquoi ? Pour l'alimentation, il ne se passe rien de ce type. Si l'excès, le détournement, dégoûtent, c'est moins tabou, moins interdit. En tout cas je n'ai aucun signe de reliance avec ces semblables là. La dépendance, c'est la vie à condition d'en sortir ! La liberté est une quête infinie qui passe par des ruptures quelque fois violentes mais qui semblent indispensables. La liberté semble s'opposer à l'idée de dépendance. Pourtant, à contre courant du fleuve hygièniste, je sais que l'humain a besoin de modifier sa conscience pour le plaisir ou la création...

Dépendances en cascade

Bonsoir, Je vous remercie pour ce témoignage honnête et émouvant, qui nous permet de voir les douleurs, les difficultés et les réflexions que l'addiction peut entraîner. J'espère que ce MOOC pourra vous apporter quelques réponses aux interrogations qui vous animent. Cordialement, Guillaume

Dépendances en cascade

Je rejoins Guillaume pour vous remercier également de ce partage, jolie initiative! Stéphanie

Dépendances en cascade

lorsque l'on est addicte on souffre, mais cette souffrance ne peut pas être dévoilée comme cela au grand jour (parfois pour rechercher un peu d'aide) car il y a des addictions que l'on préfère cacher. La conscience ne nous aide pas forcement voire pire car si l'on intellectualise trop sa reflexion sur soi-même on en croit pas nos yeux: on est moche et ca on ne cherche pas trop a le montrer

Dépendances en cascade

Un très beau récit, de quelqu'un qui est à fleur de peau... Merci pour ce témoignage, pourquoi ne passeriez-vous pas à une autre addiction, l'écriture par exemple ? Bien cordialement.

Le jeu + suis-je une acheteuse compulsive ?

--Première partie - Le jeu pathologique selon le DSM.-- L'apparition officielle du jeu pathologique comme entité individualisée dans la littérature à visée médicale et scientifique, remonte seulement à 1980, avec son introduction dans le DSM-III. Selon le DSM-IV (1994), le jeu pathologique est défini comme : pratique inadaptée, persistante et répétée du jeu, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes : 1.Préoccupation par le jeu (par exemple par la remémoration d'expériences de jeu passées ou par la prévision de tentatives prochaines, ou par les moyens de se procurer de l'argent pour jouer). 2.Besoin de jouer avec des sommes d'argent croissantes pour atteindre l'état d'excitation désiré... 3.Efforts répétés mais infructueux pour contrôler, réduire ou arrêter la pratique du jeu. 4.Agitation ou irritabilité lors des tentatives de réduction ou d'arrêt de la pratique du jeu. 5.Joue pour échapper aux difficultés ou pour soulager une humeur dysphorique (par exemple des sentiments d'impuissance, de culpabilité, d'anxiété, de dépression). 6.Après avoir perdu de l'argent au jeu, retourne souvent jouer un autre jour pour recouvrer ses pertes (pour se refaire). 7.Ment à sa famille, à son thérapeute ou à d'autres pour dissimuler l'ampleur réelle de ses habitudes de jeu. 8.Commet des actes illégaux, tels que falsifications, fraudes, vols ou détournement d'argent pour financer la pratique du jeu. 9.Met en danger ou perd une relation affective importante, un emploi ou des possibilités d'étude ou de carrière à cause du jeu. 10.Compte sur les autres pour obtenir de l'argent et se sortir de situations financières désespérées dues au jeu. Ces critères reprennent en grande partie ceux qui ont été proposés pour la définition de la dépendance aux substances psychoactives. ------------------------------------------------------------------------------- --Deuxième partie - Je propose de faire le test de la Compulsive Buying Scale de Faber et 0'Guinn ; histoire de faire un point (le plus objectif possible).- Faber et O'Guinn22 ont décrit les achats compulsifs à l'aide de la Compulsive Buying Scale. Ils estiment que la prévalence des achats compulsifs touche environ 6% de la population générale (référence 2002). *Réponse par oui ou non pour chaque question* 1. Vous arrive-t-il d'être saisi(e) d'une irrésistible envie d'aller dépenser votre argent pour faire un achat quel qu'il soit ? -oui- 2. Vous arrive-t-il d'acheter des objets qui vous paraissent inutiles ensuite ? -oui- 3. Vous est-il arrivé de vous sentir énervé(e), agité(e) ou irritable quand vous n'avez pas réalisé un achat ? --non-- 4. Vous arrive-t-il d'éviter certains magasins de crainte d'acheter trop ? --non-- 5. Proposez-vous à quelqu'un de vous accompagner dans vos courses seulement pour éviter d'acheter trop ? --non-- 6. Avez-vous déjà caché des achats à votre entourage ? -oui- 7. Une irrésistible envie d'acheter peut-elle vous amener à manquer une sortie avec des amis ? --non-- 8. Vous êtes-vous déjà absenté(e) de votre travail pour faire des achats ? --non-- 9. Un ou plusieurs achats ont-ils pu provoquer des reproches de votre entourage ? -oui- 10. Un ou plusieurs achats ont-ils pu provoquer une mésentente prolongée ou une séparation ? --non-- 11. Est-il arrivé qu'un achat soit responsable de difficultés bancaires ? -oui- 12. L'un de vos achats a-t-il été responsable de poursuites judiciaires ? --non-- 13. Avez-vous continué à faire des achats malgré les difficultés (familiales ou financières) qu'ils provoquaient ? -oui- 14. Regrettez-vous régulièrement vos achats ? --non-- 15. Vos achats sont-ils précédés d'une impression de tension et de nervosité ? --non-- 16. La réalisation de vos achats apaise-t-elle la tension ou la nervosité ? --non-- 17. Existe-t-il des périodes d'achats multiples, excessifs, accompagnés d'un sentiment de générosité ? -oui- 18. Vous arrive-t-il d'acheter quelque chose sur un coup de tête, sans l'avoir prévu à l'avance, au moins une fois par mois ? -oui- 19. Les achats coup de tête ou excessifs, s'ils existent, représentent-ils au moins un quart de vos revenus ? --non-- Mathéa CM

Pas compris...

Bonsoir, Je ne comprends pas ce qu'il faut faire ? Raconter sa propre histoire, faire un exposé sur le sujet, une présentation, compiler des témoignage trouvés sur le net ? parler d'un film ? Merci pour votre aide ! Anna

Pas compris...

Je pense qu'il s'agit de mener une rechercher sur des textes et des témoignage sur l'addiction sans drogue et les partager sur le forum.

Pas compris...

Bonjour Anna, Vous pouvez faire ce que vous voulez. Si vous voulez partager votre expérience, vous y êtes invitée, si vous préférez partager vos réflexions, elles seront les bienvenues, ou si vous avez de bons liens vers des textes ou des vidéos que vous voulez nous offrir, c'est très bien aussi. Faites ce que vous vous sentez de faire, ce que vous avez envie de faire. Guillaume

Addiction comportementale

- Portrait de l'addict : La première caractéristique qui apparaît quand on cherche à déterminer si une personne est addict, c’est la souffrance. « Ca fait mal, j’en souffre, je n’en peux plus… » sont des expressions courante chez l’addict comportemental. (voir la suite sur : [http://www.prevenir-ou-guerir.org/addictions/portrait.htm][1] ) Voir aussi les critère de cyberdépendance sur le même site : [saisir une description du lien ici][2] [1]: http://www.prevenir-ou-guerir.org/addictions/portrait.htm [2]: http://www.prevenir-ou-guerir.org/addictions/etes_vous_un_addict_comportemental.htm

Addiction comportementale

ben oui la souffrance ...j'en ai parlé sur la deuxième question je crois, je pense être le seul a avoir dit que oui j'avais des adddictions et je pense avoir terminé mon propos par la souffrance...(mais ce n'est pas le sujet qui nous réuni ici: je parle de mon cas)

Témoignage d'un enfant de 11 ans

VIDEO : [saisir une description du lien ici][1] [1]: http://www.dailymotion.com/video/x18ac7g_permis-internet-le-temoignage-d-un-enfant-de-11-ans-sur-l-addiction-au-web_news

Témoignage d'un enfant de 11 ans

beau témoignage que ce p'tit gars nous donne là...le piège d'être tout le temps connecté mais où finalement on est seul

Internet,jeux vidéos tous accros?

Voici une vidéo sur une façon de soigner l'addiction aux jeux vidéos. http://education.francetv.fr/videos/addiction-aux-jeux-video-une-therapie-originale-v108293 ![][1] ![saisir une description de l’image ici][2] [1]: /media/14209331811036803.jpg [2]: http://cdn.techpp.com/wp-content/uploads/2013/02/internet-addiction1.jpg

addiction aux relations

tous les matins je me connecte sur les réseaux sociaux pour voir qui a partagé avec moi, selon le nombre de connecté je passe une bonne journée ou pas... C'est triste car ces personnes sont des parfaits inconnues pour moi,j'ai le même comportement avec mon horoscope... Cela a une influence sur ma journée

Un hardgamer taiwanais décèdait en 2012 après +40h de jeu video non stop sans boire ni manger !

Un hardgamer taiwanais est décédé en 2012 après + 40h de jeu vidéo non stop sans boire ni manger ! Un jeune homme de 18 ans est décédé à Taiwan après avoir passé 40 heures d’affilé à jouer sur Diablo III. Le défunt taïwanais a enchaîné les heures sans prendre de pause pour s’hydrater, manger, ou dormir. [Voir l'article complet][1] [1]: http://www.journaldugamer.com/2012/07/18/deces-40-heures-diablo-iii/

Un hardgamer taiwanais décèdait en 2012 après +40h de jeu video non stop sans boire ni manger !

On voit bien là que c'est de l'usage non raisonné que résulte la mise en danger...si ce n'est pas une addiction c'est quoi?

Témoignage perso addiction WOW :)

Ancien joueur passionné de WOW (célèbre MMORPG), un jeu de rôle massivement multijoueurs en ligne, je me souviens d'une prise de conscience. Je remonte à il y 6 ans environ, avant la naissance de ma fille. Graphiste indépendant travaillant à l'époque à la maison, j'ai découvert le jeu World Of Warcraft sur les conseils d'amis dits "geek" mais aussi par goût personnel pour les jeux de rôle "de table" qui se déroulent en présentiel et collectivement. J'ai commencé à jouer puis rapidement, jouais quotidiennement. Pour ce rituel, je pouvais faire l'effort de me lever plus tôt pour continuer une partie et me coucher tard pour en finir une autre. Je profitais également de ma pause déjeuner pour avaler quelques plats devant mon écran, jonglant entre mon clavier, ma souris, un joystick "de compétition" et ma 4ème main pour boire et manger :) Au fil des mois, j'ai pu réalisé une légère baisse d'activité professionnelle et j'ai donc profité de cette opportunité pour jouer un peu plus lors de ma pause déjeuner. Jouer non plus 30 mn, ni 1h mais jusqu'à 2h30, reprenant ainsi le travail en milieu d'après-midi. Puis l'heureux événement a eu lieu, ma fille est née. Adieu WOW : je ne pouvais plus tout assurer et ma priorité était évidente. Je n'ai quasiment plus joué ensuite, ni à ce jeu ni à d'autres d'ailleurs. J'ai alors réalisé une fois ma consommation quotidienne de jeux vidéos stoppée, que je me trompais. Je m'étais construit une excuse rationnelle pour justifier la possibilité de jouer plus longtemps dans la journée : j'avais moins de travail. Or, la réalité était toute autre : j'avais moins de travail CAR je jouais plus, voire trop puisque sur la fin, je jouais entre 2h30 et 4h par jour. Sans la naissance de ma petite, je pense que la situation aurait dégénérée et que mon plaisir addictif pour WOW aurait perduré et se serait clairement déployé, grignotant progressivement mes capacités professionnelles et à terme, la viabilité de mon entreprise. Avec le recul, je me souviens clairement du plaisir immense que je prenais, un plaisir inégalé depuis par autre forme de loisir. Puisqu'il fallait trouver une addiction de substitution :) je m'épanouis aujourd'hui dans la promotion et le développement des réseaux sociaux en ligne comme hors ligne ! Facebook, Viadeo, Twitter… n'auraient-il pas un lien de parenté avec les MMORPG :) ? Ces outils créent des liens sociaux, permettent de prolonger en ligne une relation amicale "IRL". La notion de quête des jeux de rôle n'est-elle pas reprise sur Viadeo et LinkedIn par ex ? : trouver un emploi, des clients, des partenaires ? A méditer...

Témoignage perso addiction WOW :)

Peut etre aussi,qui sait ,une forme de couvade;les pères manifestent souvent des comportements ou préoccupations inhabituelles pendant la grossesse de leur compagne JLV

Un film

Bonjour, je souhaiterais citer un film pour ma petite participation : L'Autre Monde C'est un film de 2010, qui est joué certes par des acteurs, mais qui est en même temps numérique. On y sent l'addiction des participants. Film intéressant.

Un film

Merci il a l'air très interessant !

plaisir ou addiction

Une de mes belles soeur est RRH (38 ans), lorsqu'elle rentre chez elle elle passe au moins deux heures sur des jeux (sans compter la fin de soirée), cela chaque soir de la semaine : addicte et épicurienne ? Car à chacun ses gouts (de vie)? Mais l'on reste ici dans une question encore une fois liée au "volume" si elle jouait moins, cela me semble presque normal (pour elle c'est une distraction). Si je parle de mon fils 14 ans, lorsqu'il qu'il agit de la même manière je pense que je peux le qualifier d'addicte !! L'addiction a des effets comportementaux, sur cette exemple ma belle souer se fait plaisir, mon fils aussi mais il subit toutefois la pression de ses parents, de plus comme par hasard il n'a jamais soif voire ni faim (trop occupé à jouer), il modifie donc ses réponses, ses arguments pour rester dans son "mouv" mais aussi pour ne pas se faire banir par "sa" communauté!!! En conséquence, il se "rale" lui-même dessus quand il n'a pas eu le temps de travailler sur une révision scolaire, alors qu'il aime l'école et que de manière générale il est plutôt bon élève ...L'addiction nous mets hors de soi littéralement, on se ments à soi-même ...

comportement addicte

LA BIGOREXIE, OU LA DÉPENDANCE AU SPORT La bigorexie est une conduite addictive liée au sport. Une personne qui en souffre affirme ne plus pouvoir se passer de sport, et se sentir mal si elle est obligée de ne pas pratiquer. En France, plusieurs centaines de milliers de personnes souffrent d'addiction au jeu. Vos témoignages aident à briser le silence des autres joueurs et de leur entourage, à les sortir de l'isolement. Des solutions existent, quelles que soient vos difficultés : "Il y a encore une vie après le jeu", nous a dit Isabelle, après avoir vécu l'enfer.. Mais le record réside sur le nombre de conjoint qui passe ses soirée en tête avec son PC

addiction comportemental traitement

[saisir une description du lien ici][1] [1]: http://www-sante.ujf-grenoble.fr/SANTE/cms/sites/medatice/home/addictologie/docs/20101207213535/Addictions_comportementales_T.BOUGEROL.pdf

fabrique d' enfants dependants

un exemple ce midi lors d'un déjeuner au restaurant. la table à côté de nous , deux couples et un enfant de 6/7 ans. L'enfant jouera tout le repas sur une tablette, ne touchant à peine à ses plats. a la fin du déjeuner l'une des femmes dit à l'autre : "il a été sage !" L'autre répond : "ben ouais , j'ai l'habitude si il n'y a plus de batterie j'ai la Nintendo dans le sac." Encore un exemple d'écrans qui jouent le rôle de baby-sitter et qui interroge le rapport éducatif à nos enfants et notre capacité à les enfermer dans un monde numérique.

fabrique d' enfants dependants

Pour le petit bémol néanmoins, J observe mon jeune sept ans et sans faire usage du numérique il "s 'enferme dans un autre monde" quand il le désire . Il a cette aptitude à s evader dans son univers (les supports sont des personnages , des cartes à jouer ,des petites voitures ) Forcément si il a un jeu numerique en main il le fera avec encore plus de facilité mais s il vous plaît ne jetez pas trop de cailloux aux mamans.....eElles peuvent aussi avoir besoin de discuter avec d autres adultes dans le cours d une journée dédiée à leurs bambins .......

fabrique d' enfants dependants

oui je suis d'accord sur la capacité qu'on nos enfants à pouvoir s'évader dans un monde virtuel sans écrans et cela me rassure que cela soir encore possible. Ce qui me désole c'est d'observer que peu d'adultes de mon entourage adopte une posture éducative qui interroge et régule ce rapport aux écrans. Non seulement il se presse d'équiper de plus en plus jeune leurs bambins(déesses,tablettes , jeux vidéos...)sans se poser la question d'un alternative possible. Mais en plus, ils n'ont de régulation que le discours! Oui du temps pour soi c'est important mais j'observe moins d'adultes qui dédient véritablement du temps à leurs enfants que d'adultes qui sont débordés par leur multiples activités où l'enfant et les l'échange avec lui a peu de place.

fabrique d' enfants dependants

Bonjour, Je trouve cet exemple très intéressant. Je pense qu'il y aurait beaucoup de choses à dire, mais je ne sais pas ce qui m'interroge le plus, les "munitions" numériques de la maman, ou le fait que l'autre femme considère que l'enfant a été sage, alors que s'il avait été adolescent, la réflexion à la fin du repas aurait peut être été plus négative. Guillaume

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Travaillant dans l'Education avec des enfants et adolescents, je veux parler d'une addiction particulière qu'internet peut developper à savoir la consommation de pornographie sur internet ! Ayant mené une enquéte auprès de ce public sur leurs pratiques sur internet, des témoignages sont ressortis et peuvent paraitre inquiétant ! En effet des jeunes nous ont fait part de leur expérience sur le net et si à leur age il est plus que classique et "normal" de consulter des sites porno pour répondre aux questions que l'on se pose, il apparait que la consommation de ce genre de contenu peut devenir une addiction ! Si avec ce public et à leur age il est difficile de parler de pornographie, nous avons réussi à ouvrir le dialogue et même s'il peut y avoir un sentiment de honte, à dire qu'on fréquente ces sites qu'ils visitent souvent seul et sans contrôle, ils ont assez bien réagit Certains nous on fait part des contenus choquant qu'ils ont pu trouver sur le net, des pièges qu'ils ont rencontrer, et il ressort que certains ont une vision fausée de la sexualité. Internet est un piège car certains sont tombés sur des contenus illégaux ( pédo pornographie) !!!! Il est apparement très facile de tomber sur ces contenu sans les rechercher ( liens qui renvoit sur ces contenus ) D'autres sont tombés sur ce qu'on appel des "prédateurs" sur des forums destinés à la base aux jeunes ( forums, tchat, ....) Difficile pour eux de savoir comment réagir, de savoir qui peut se cacher derrière un écran et de comprendre les conséquences que cela peut engendrer !! Nous leur avons expliquer ce qu'il faut faire et comment signaler ces pratiques bien sur, mais nous avons réaliser qu'il exciste un vrai problème avec internet sur ce genre de site et qu'il parait plus qu'important de faire un travail d'éducation auprès des parents comme des jeunes ! Mais pour revenir à une utilisation plus classique, il apparait que des jeunes peuvent tomber dans une addiction en fréquentant des sites X .... que cela répond à leur envie et qu'il n'ont pas toujours conscience que ce qu'ils peuvent voir, n'est pas ce qu'il se passe dans la réalité !!! En bref je voulais juste faire part de ce qui est ressorti de cette " enquete", et montrer qu'en matière de pronographie sur internet il existe une addiction de ce genre de contenu, et qui peut provoquer des dérives et une mauvaise utilisation du net. D'autre part, nous avons pu constater toujours d'après des témoignages que beaucoup de jeunes ( élève de primaire, CM1, CM2), sont déjà tombé sans le rechercher sur ce genre de contenu ...choquant à cet âge non ? C'est dans ce sens qu'il parait important que les parents surveille l'utilisation d'internet chez les plus jeunes !!!! Mais qu'il faut aussi que les campagnes d'information et de prévention et d'éducation à internet fassent parti intégrante du programme d'éducation, tout comme peut l'être le permis piéton .... Il est important de protéger les jeunes de ce genre de pratique et de dérives et en tout cas qu'ils en soient informés pour ne pas tomber dans des pièges et leur proposer des solutions avant qu'il ne soit trop tard !

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonjour à vous, Effectivement, l'addiction à la pornographie est une des addictions recensée par un certain nombre de chercheurs, et certains avancent même qu'elle ne pourrait avoir lieu sans Internet, qui rend tout de même bien plus facile, et anonyme, l'accès à ce genre de contenu. Votre témoignage est tout de même troublant. Des élèves des CM1 et CM2 qui tombent sur ce genre de contenu, d'autant plus par hasard, cela nous invite à agir, notamment comme vous le dîtes en terme de prévention. Cela a de quoi inquiéter, j'imagine, un certain nombre de parents... Guillaume

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Je confirme cette inquiétude en tant que ma maman et mon aîné fêtant ses sept ans la question que je repoussais jusque ici va se poser. Mes enfants comprennent intuitivement très vite comment utiliser les outils. je pense que déjà l accès à internet ne se fera que dans une pièce commune et avec le matériel qui ne sera pas à eux mais à la famille pour faciliter l accompagnement . J ai aussi le sentiment qu il va falloir aborder plus tôt que je ne l aurai souhaiter des questions avec eux sachant qu ils verront via des camarades des images, des sites non adaptés à leur âge. pour éviter l effet banalisation que peuvent avoir ses images. Comment peuvent ils savoir ce qui relève de l acceptable ou non dans les images qu ils capteront sans filtre. Je dois introduire ce filtre en préventif exercice compliqué . c est ce que nous vivons ces jours ci au sujet de la question de la violence . il nous faut vraiment doter nos enfants d un solide cadre éthique pour les aider à se positionner face à des messages reçus que nous ne contrôlons plus.

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Vous mettez bien le doigt sur le problème l'inquiétude vient souvent des parents, chaque génération est passée par là dans le comment informer ses enfants en terme de sexualité, à quel âge, par qui le père, la mère en regardant un film avec eux ou une revue. Le problème de l’acceptable ou non ne se pose pas. C'est le détournement de l'acte sexuel normal qui est pernicieux. Qu'est-ce que la normalité dans ce cadre-là. Les pratiques sexuelles sont nombreuses et variées et votre normalité à vous sera différente de celle de votre voisin. L'affaire de communication pour cadrer les enfants n'est pas si simple que cela. Généralement les familles parlent très peu au quotidien de ce problème de gestion de la sexualité ou de la violence. Interdire, être dirigiste, tout contrôler ou au contraire être permissif n'est pas faciliter la communication. Mettre des filtres parentaux et ils iront ailleurs voir ce qu'ils veulent découvrir. Ce qui est certain si vous les habituez à des documentaires de la 5 ou de ARTE, à écouter de la musique classique de temps en temps, si vous lisez en famille des livres de cuisine ou sur les animaux ou encore si vous lisez la bible il y a des chances que leur cerveau s'habitue au beau, au calme, la sérénité. Si votre mari joue, bricole ou fait le jardin avec vos enfants et les enfants des voisins qu'il s'instaure une communication. Plus on parle d'un problème plus on obtient l'inverse. Mettez en place des stratégies de communication positive familiale et vous verrez que les problèmes de porno et de violence auront disparues comme par enchantement.

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Je souhaitais vous répondre mais J avoue que je comprends mal votre message . je ne parle pas de normes mais d éthique ( donc pas de jugements sur les actes en eux même mais sur la question du cconsentement, de la réflexion du respect de l autre...ce qui n est pas abordé dans les oeuvres pornographiques). Pour ce qui est de l enchantement et de la bible, je passe mon tour :D

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Je me permets de m'insérer dans le débat. Le problème avec la pornographie c'est qu'elle rend les parents eux-même accros. La solution n'est pas uniquement dans les contrôles parentaux mais bien sûr dans le dialogue. Pourtant, les contrôles parentaux sont une sacré aide. Pour qu'ils soient efficaces, ils doivent être doublés d'un compte administrateur. Sur téléphone (smartphone), c'est une autre paire de manche ! Des solutions efficaces sembles être en développement : http://business.lesechos.fr/directions-numeriques/0203985608550-une-nouvelle-arme-contre-le-porno-en-entreprise-105945.php#xtor=CS1-35 Pourtant, la solution est de d'abord résoudre ses propres problèmes de sexualité compulsive. Pour ensuite pouvoir en parler avec ses enfants. Pour ceux que le problème intéresse, j'ai ouvert mon site en avril dernier : http://stopporn.fr Au plaisir de vous lire.

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonjour, Tout d'abord merci pour votre réponse rapide. Le MOOC que vous proposez est vraiment très intéressant pour mieux comprendre l'addiction au numérique et dans mon cas personnel c'est suite à ce dont je vous ai fait part que j'ai décidé de m'y inscrire ! Alors dans le cas des élèves de CM1 ou CM2, dont j'ai connaissance il s'avère que soit c'est en tapant certains mots sur google par exemple qu'ils ont étaient redirigés sans la vouloir vers des contenus porno, et ont vite quittés ou modifiés leur recherche Dans d'autre cas certains de ces jeunes sont en "avance" par rapport aux autres, parce que soit ils ont dans leur entourage des copains ou frères un peu plus vieux qu'eux et avec qui ils parlent de leur activité sur le net ce qui attise leur curiosité et c'est donc par choix qu'ils recherchent ces contenus, même si pour ces enfants cela reste a prioris une minorité heureusement ! Dans le cadre de mes activités professionnelles je suis aussi amener à cotoyer les ados et là c'est différent !!! Eux c'est bien sur par choix qu'ils fréquente des sites porno et c'est le but de leur recherches de voir ces contenus Alors même s'il peut paraitre normal de consulter ces sites, ce que j'ai pu entendre est parfois inquiétant de part la consomation très fréquente de ces sites, certains se disant accro, mais aussi parce qu'ils pensent que ce qu'ils voient c'est comme ça que ca se passe en vrai ! Je suis donc d'accord avec vous il y a un gros travail d'éducation à faire auprès des jeunes sur ce sujet précis mais comment le mettre en place ? Qu'entendez vous par "cela nous invite à agir" ? D'avance merci

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonsoir, Je me permet d'intervenir dans cette discussion, car le sujet que vous soulevez est fort intéressant. Je pense qu'avant tout il faut éduqué les parents. Une solution pour prévenir ce type de comportement, est d'avoir chez soi un poste dédié au web dans la pièce principal où il y a du passage, pas de wifi, pas de forfait internet sur les portables. J'ai plusieurs poste, un seul relié au web, donc il n'y a pas d'isolement, je n'ai pas rencontré ce type de problème. Quand un de mes enfants est sur le web je ne suis pas très loin donc ils peuvent m'appeler si il y a un souci (4 enfants dont 3 ados). La majorité des gens pensent que le web est leur ami, la baby-siter des enfants. Là où je suis la plus sidérée, est le phénomène tablette, elle est joli la tablette, mais il y a le wifi à la maison, donc elle est connectée, c'est un cadeau fare pour les enfants de 8 10 ans qui vont se coucher avec leur tablette et donc sont seul face à la toile. Le téléphone viens un peu plus tard 11 12 ans et c'est le même scénario.

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonsoir, Je trouve intéressant les solutions apportées par Katiat et Cardoso. Elles sont différentes mais peuvent être complémentaires. Mettre un ordinateur connecté dans une pièce de passage, et ne proposer que cet outil pour la connexion est fort simple et très utile pour éviter l'isolement que amener Internet, et même le rendre plus convivial, un outil qui amènerait plus de rassemblement. Ensuite je me demande si c'est applicable pour tout le monde, en particulier les adultes. Car il est ressorti plusieurs fois au cours de ce Mooc que l'utilisation que nous avons d'Internet relève de l'intime. Et par définition, l'intime est ce qu'on choisit de montrer aux autres ou pas. Je pense que je serais gêné si je ne pouvais pas accéder à Internet en privé. Je ne sais pas ce qu'en pensent les autres? Quand je disais cela nous invite à agir, je pensais entre autre à ce que nous décrit Cardoso, tout ce qui concerne la prévention et l'explication qu'on peut donner aux enfants, à propos de la violence ou de la pornographie. On l'a vu récemment, une vidéo de meurtre a été disponible en première page sur Youtube pendant près d'une semaine. C'est d'autant plus important que de nombreuses études montrent que l'exposition à la violence, notamment dans les jeux videos, mais aussi les films ou vidéos, désensibilisent le cerveau à la violence, ce que vous appelez la banalisation. Si on prend cela en compte, l'explication semble etre un premier pas indispensable, qui en appelle un autre, prendre des mesures préventives, comme celle que nous propose katiat. Expliquer aux élèves, ou aux enfants, que ce qu'ils regardent a une influence mesurable (et selon le contenu négative) sur leur cerveau me semble un bon morceau de solution. Qu'en pensez-vous? Le point que vous soulevez Katiat, sur le fait que les outils numériques deviennent la baby sitter des enfants est intéressant. D'abord ça me fait penser qu'on dit souvent qu'il est le doudou des parents, qui le transfèrent donc à leurs enfants. Mais plus globalement, je trouve que cela nous amène à réfléchir sur l'organisation de la société, dans laquelle nous créons des objets qui servent à maintenir une situation où le temps dont disposent les parents pour s'occuper de leurs enfants est mince du fait de leur activité professionnelle. Qu'en pensez-vous?

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonjour Je vous propose un lien vers une émission de Rfi qui m'a paru intéressante: "Jeune, sexe, et vidéo" concernant l'impact sur la santé et les risques d'addiction pour les jeunes et aussi les enfants http://rfi.my/1zGxbaH Quand internet est arrivé à la maison mes enfants étaient ados et l'ordinateur connecté a été placé dans le salon. J'ai dû les accompagner surtout en ce qui concerne l'échange avec des inconnus sur des forums: la question de la sécurité, définir les limites verbales, la responsabilité personnelle, la gestion des provocations, etc... La question de l'intimité s'est posée plutôt après le lycée mais à ce moment là ce n'était plus un problème d'être connecté dans la chambre ou ailleurs. C'était il y a quelques années déjà... Je crois qu'il est très difficile de prévenir la violence des images sur internet dans le sens où l'on ne peut pas toujours prévoir à l'avance ce qu'il y a réellement dans certaines pages, articles, blogs ou vidéos. On sait que ces images peuvent provoquer des traumatismes dans le cerveau des personnes et que l'impact est plus grave en ce qui concerne les enfants. Je pense qu'une campagne de prévention pour expliquer à l'ensemble de la population, enfants et adultes, l'impact que peuvent avoir les images de violence sur le cerveau serait une solution. Pour ce qui est du babby sitter, je pense que la tablette n'est qu'un baby sitter de plus après la télé. Depuis longtemps déjà les enseignants alertent sur le fait que de nombreux enfants très jeunes (GS,CP) ont la télé dans leur chambre, et quand ils partagent la chambre avec un-e grand-e soeur ou frère, ils arrivent parfois très fatigués le matin à l'école... Je pense que non seulement il faudrait revoir l'organisation de la société en se centrant sur les besoins des enfants et donc des parents (et non l'inverse) mais il faudrait aussi enseigner aux jeunes parents ce que sont les besoins fondamentaux d'un enfant pour se construire.

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Merci à vous tous pour vos réponses et avis sur ce sujet qu'est la pornographie sur le net et ses dérives, et qui peut devenir une addiction chez nos jeunes en particulier. Le fait de pouvoir trouver des images ou vidéeos avec des contenus violent est aussi un problème qui se pose et en particulier sur la façcon de filtrer ces contenus !! Alors toutes les idées sont bonnes je penses et chacun peut avoir ses solutions, je ne penses pas qu'il y en est UNE qui soit la meilleur ou celle qui marchera à chaque fois. Je suis certain que l'éducation de chaque parents reste indispensable ainsi que porter de l'interet à nos enfants et surveiller leur activités sur le net en les prévenant de certains dangers, et qu'il faut en parler s'il tombe sur des contenus choquant pour eux, sans honte. Je cropis donc que la communication reste la meilleur prévention sans rentrer dans l'intime en fonction de l'âge des enfants. On ne peut pas toujours être derière eux et que ce soit sur le net où dans la rueon ne peut pas les protéger de tout, mais il nous appartient de leur donner toute les chances de ne pas tomber dans des pièges C'est pourquoi je penses qu' au niveau des écoles, collèges, lycées, il serait interessant de developper avec l'aide descollectivités des missions de prévention d'information, d'instaurer des temps de parole, d'échange d'idée et d'expérience. Je penses que pour les primaires et dans le temps des activité périscolaire, il serait bien qu'un moment soit accorder à cela, à l'aide de support (plaquette, fichier informatique, reportage, ....)et mettre un place un permis à la navigation sur internet qui serait remise aux parents également Ces supports, ces moments pourraient être mis en place aussi au collège et lycée, en les adaptant aux tranches d'âges concernées bien sur !!! Pour ça il faudrait l'aide des mairies, pour mettre ces supports et ces moments dans les écoles et inviter des intervenants présenter et débattre de ces sujets C'est donc le projet que j'ai et qui me tient à coeur, pour éviter que d'autre tombe dans ces addictions ou rencontre des problème, alors si vous avez des idées ou envie de vous investir, des connaissances ou des contacts pour que ce projets voit le jour merci d'en faire part Cordialement

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

C'est un beau projet et l'appel est lancé. Guillaume

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonjour, je pense aussi que la communication est essentielle dans ce genre de situations. Mettre des limites (un ordinateur visible, comme certains l'ont proposé) peut être utile mais rien ne vaut le dialogue. Concernant la mise en place de projets de prévention, tout dépend de votre département, il existe généralement différents types de structures sur lesquelles vous pouvez vous appuyez et notamment l'IREPS (’Instance Régionale d’Education et de Promotion de la Santé), l'Ecole des Parents ou d'autres associations locales. Marine

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Ici par exemple il existe une association qui propose d accompagner les structures d éducation dans l usage du numérique unela prévention des risques. http://maison-tic.org/?page_id=341

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonjour, Je vous conseille un film qui s'appelle Don Jon, il parle d'addiction au porno et montre toute la complexité de la relation au sexe et à ce type de dépendance la BO : https://www.youtube.com/watch?v=VPMC7w3cCPs Sans être voyeuriste ni pornographique, il pourrait être une base de discussion sur ce thème sensible.

Un dernier article nous venant du WSJ

Le WSJ a récemment publié un article au sujet de la Chine. En effet, les chinois sont de plus en plus nombreux à décrier les réseaux sociaux et à les quitter vis-à-vis des externalités négatives qu'ont leur caractère addictif sur leurs rapports à la société: http://blogs.wsj.com/digits/2015/02/05/china-growing-less-enamored-of-social-media-study-finds/?mod=e2tw

Un dernier article nous venant du WSJ

Je ne lis parfaitement l anglais mais pour les chinois le souci des réseaux sociaux ne vient il pas aussi de la censure ? Les contenus n y sont pas libres me semble t il et du coup leur intérêt est moindre ?

addiction à facebook

http://www.takethislollipop.com/ ça fait peur..

Semaine 1 / Lancement de la discussion

addiction

Quand peut-on peut on parler d'addiction? le 1er gestes au réveil, allumer le pc, consulter ses mails plusieurs fois par jour, veuillez à toujours avoir son téléphone protable a portée de mains , je ne fume pas mais je me sent aussi dépendante qu'un fumeur au tabac. L'addiction finalemment n'est-ce pas quand soi-même on prend conscience que c'est trop..on a envie d'arréter mais on se rend compte que c'est difficile (semble voir même imposible)?

addiction

Je crois qu'on ne peut pas parler d'addiction quand on fait allusion à des habitudes. Se laver, se peigner, s'habiller ne sont pas des cas d'addiction sauf que cela devient un problème pour la santé physique ou psychique ...

addiction

effectivement Viviana. Parce que tout un chacun à des habitudes. Par exemple un musulman chaque matin au réveil doit faire sa prière de matin et ensuite faire d'autres chose. Moi je dirai de l'addiction: une situation non obligatoire(une chose non obligatoire) mais dont on ne plus s'en passer.

L'absence plutôt que l'abondance

Un certain nombre de commentaires semblent converger vers un lien ressenti entre addiction et consommation exagérée. Cette approche entraîne la seconde question : À partir de quelle quantité, fréquence, une consommation (au sens large) d'un produit 'psychotrope licite ou non, chocolat...) ou d'une situation (jeu, sexe, consultation de mails...) est-elle considérée comme une addiction ? Il pourrait être intéressant de prendre la question par l'autre bout, celui du manque. En d'autres termes, comment l'absence de la "chose" "addictive" modifie t'elle mon comportement, mes valeurs, comment puis-je m’accommoder du manque de la situation addictive, suis-je encore stable dans le contrôle de ma volonté, puis-je orienter mon comportement de manière socialement admise, ne vais-je pas faire passer au second plan ma santé, le bien-être de mes proches, mon équilibre financier ... ? Si l'on considère l'autonomie comme la capacité à se gouverner selon ses propres lois de façon harmonieuse avec le corps social environnant, l'addiction ne se manifesterait-elle pas d'abord comme un affaiblissement voire une abolition de l'autonomie ?

Responsabilité

La notion d'addiction n'est-elle pas souvent utilisée pour "libérer" le sujet de sa responsabilité ?

Responsabilité

Bonsoir, Votre question est intéressante car elle nous amène à nous demander si l'addiction est une maladie ou non. Car si elle est une maladie, il est difficile de reprocher à quelqu'un d'être malade, d'autant que très souvent, quand on a par exemple la grippe, on aimerait mieux ne pas l'avoir, et il en va parfois de même pour les personnes souffrant de dépendance. Mais si l'on pense que derrière la notion d'addiction il n'y a pas de maladie, effectivement, la responsabilité des individus est davantage mise en jeu. Vous avez peut-être des exemples où cette notion aurait été utilisée pour libérer quelqu'un de sa responsabilité? Cordialement, Guillaume

traitement

ma question est comment soigne t on une personne "cyberaddict" ou dépendante au numérique( jeux vidéos, internet etc...)? existe des formations et des thérapeutiques en france?

traitement

Bonjour, Je vous transmets la réponse de Jean-Luc Vénisse: Comme cela a été précisé lors du 1er webinaire,il faut distinguer les cas dans lesquels le numérique n'est qu'un médiateur facilitateur d'une addiction qui existe en dehors de lui (jeux de hasard et d'argent,achats pathologiques et addiction sexuelle) des cas dans lesquels un outil numérique pourrait etre lui meme objet d'addiction ( c'est discuté essentiellement pour certains jeux video) les demandes de soin sont en augmentation indiscutable dans le premier cas ; pour le deuxième cela reste peu important bien que présent les prises en charges s'inspirent toujours des fondamentaux en addictologie ,quelque soit l'objet d'addiction: travail motivationnel et recherche d'alliance initiale,définition d'objectifs contractuels,de réduction ou d'arret de la conduite,travail cognitivo comportemental sur les boucles d'auto entretien de la conduite ,plus ou moins complété par des approches psychanalytiques autour du sens possible de la conduite en lien avec l'histoire individuelle et familiale et des thérapies familiales_;le traitement des comorbidités ,notamment anxio dépréssives peut justifier la prescription d'un Tt pharmacologique les pistes de recherche sont nombreuses actuellement en addictologie ,aussi bien au niveau biologique et pharmacologique qu'en matière de psychothérapies et d'outils de prévention-"JLV Cordialement, Stéphanie

L'exemple d'Internet

Internet en vacances, je m'en passe très bien quand je ne l'ai pas sous la main. En revanche, quand j'y ai accès, j'ai beaucoup de mal à ne pas y surfer... Donc en ça, c'est peut être plus un usage abusif mais qui je crois peut être aussi isolant qu'une addiction.

L'exemple d'Internet

Je partage la même expérience concernant les vacances. A contrario, je ne partage pas l'analyse du psy qui réfute le terme d'addiction pour privilégier le mot abus, il s'agit bien en ce qui me concerne d'une addiction.

L'exemple d'Internet

Pour ma part, lorsque je suis en vacances, avoir internet ou non ne change rien. Ne pas l'avoir aide peut être à se reposer plus, se couper du monde comme on dit. Je pense que l'usage abusif et l'addiction sont deux choses bien différentes. Les motivations ne sont pas les mêmes. Est ce qu'on va aller sur internet car on ressent une envie incontrôlable d'y aller ou est ce pour la recherche d'une sensation que l'on a seulement lorsqu'on est sur la toile... Ce pourquoi on va surfer sur le net, la durée et ce que l'on ressent avant, pendant et après font la différence entre l'usage abusif et l'addiction je pense...

Plaisir ?

En regardant le nuage de mots et le micro-trottoir, je vois apparaître la notion de plaisir. Dans l'idée que je m'en fais, l'addiction se met en place petit à petit, à partir de quelque chose qui nous remplit de satisfaction, qu'on finit par consommer abondamment parce que ça fait du bien. Finalement, on franchit le pas de l'addiction lorsque le plaisir n'est plus forcément nécessaire à la consommation addictive. C'est autre chose qui motive. Peut-être l'espoir de prendre du plaisir, mais pas nécessairement le plaisir lui-même.

Plaisir ?

Votre analyse me remémore une définition de l'alcoolisme : boire sans plaisir. Sans jamais avoir été alcoolique, j'ai pu à une période plus difficile de ma vie boire plus que d'accoutumé. Je recherchai ainsi a m'évader des soucis, n'était ce pas un sentiment proche du plaisir. Pour jouer à des jeux en ligne, je considère que le qualificatif addictif s'applique pleinement à ceux ci : difficulté voire impossibilité de s'en détacher bien que j'ai pleinement conscience des perturbations qu'ils génèrent. En m’analysant, je ne crois pas que la notion de plaisir disparaisse complètement malgré l'addiction.

Plaisir ?

Oui, je le pense aussi on consomme souvent pour se faire plaisir mais lorsqu'il n'y a plus de plaisir dans une consommation qui continue on peut parler d'addiction. Mais dans ce cas si il y a consommation a outrance avec plaisir ainsi l'addiction est dénoncée par les autres mais peut-être pas vue comme telle par celui qui prend du plaisir.

Liens de dépendance

Bonjour à tous, J'enchéris en ajoutant la notion d'autonomie - qui rejoint les propos de Mildouze - entraînant la capacité à gérer ses liens de dépendance dans une situation et un contexte donnés. Cordialement Mathéa

Défi

Je ne comprends pas qu'à l'heure actuelle on parle encore d'addiction aux jeux vidéo... suffit de lire les différents rapports ou communiqués des académies de médecine ou de sciences pour dire qu'il vaut mieux parler de pratique excessive plus que d'addiction, de plus depuis des années tous ceux qui ont voulus démontrer une quelconque addiction aux jeux vidéo n'y sont pas parvenus, au bout d'un moment ça suffit faut arrêter et reconnaître qu'il n'y en a pas... Sauf si on veut continuer à percevoir des sous pour pouvoir ouvrir des consultations alors qu'il n'y a pas lieu d'être...je me pose la question parfois de savoir si certaines de ses structures ne sont pas malhonnêtes intellectuellement parlant...

Défi

Comme je travaille dans le domaine depuis un certain temps je peux vous dire que vous mettez les pieds dans le plat d'un débat qui oppose fortement des spécialistes sur la question et je pense en plus qu'ils sont tous sincères. Le rapport de l'académie de médecine, par exemple, effectivement prenait beaucoup de recul par rapport à la notion d'addiction aux jeux numériques mais il a provoqué beaucoup de réactions allant en sens inverse... Je ne crois pas que la question des sous soit le facteur qui amène certains à affirmer qu'il existe des addictions aux jeux numériques. Ce que je peux dire en tant que professionnel qui reçoit des personnes en addictologie, c'est qu'il y a bien des gens qui viennent soit parce que leur enfant joue beaucoup trop à leur avis et que du coup "ça craint à la maison", soit des gens qui viennent d'eux même parce qu'ils ne contrôlent plus leur consommation de jeu et qu'ils en souffrent, cela c'est clair pour moi: ça existe puisque j'en reçois! Maintenant faut-il parler d'addiction ou pas pour ces personnes: Est-ce si important de se prendre la tête là dessus? Elles en souffrent, on en parle et voilà! Et c'est à mon avis une petite minorité des joueurs qui en général vont bien. Mais je crains que cela ne suffise pas à clore le débat tant il est passionné!

Semaine 1 / Webinaire

Question

L'addiction se développe t'elle toujours sur un terrain particulier ? Faut-il avoir un manque à combler ou des faits à oublier pour devenir addict ? Ou c'est juste "pas de chance" ? N'est-ce pas paradoxal d'utiliser le support des MOOC pour parler des addictions numériques ? Je crois que je deviens accroc aux MOOC !

Question

C'est noté aussi! Nous allons prévoir une suite pour satisfaire les addict alors... ;)

Question

Votre question est d'autant plus pertinente que vous n'êtes pas la première personne à souligner qu'il y a un paradoxe à utiliser un support numérique pour parler d'addiction au numérique...

Question webinaire

A partir de combien d'heures d'utilisation par jour d'un téléphone portable et/ou ordinateur peut-on considérer qu'il y a une addiction?

Question webinaire

C'est noté. didier

je m'interroge

l'addiction n 'est elle pas intimement liée à la vie? SI non peut on l'éviter?

je m'interroge

C'est vrai je trouve. Si on est là devant notre ordi. à se poser des questions sur l'addiction, c'est bien qu'on y est accro. à la vie ! Complexe mais pas mal.

je m'interroge

J'ai tendance à penser qu'un besoin vital ne peut être une addiction. Et je pense que nos invités vont répondre d'eux-mêmes à cette question (sinon je la garde en réserve).

bonjour

Y a t il une version texte du Webinaire qui serait disponible ?

bonjour

Bonjour, ce n'est pas prévu de la part des organisateurs. Mais si plusieurs participants veulent s'associer pour proposer une transcription, ça sera très apprécié par tous ! En se répartissant le travail sur un outil collaboratif (exemple titanpad.org ou google doc), ça ne doit pas demander trop d'efforts à chacun ! Si cela vous va, le mieux doit être de changer le titre de votre message pour qu'il soit plus explicite, tout en appelant aux bonnes volontés et en organisant le travail.

bonjour

Merci, Je n oserai pas en faire la demande ça me semble très fastidieux "manuellement" , il me semble qu un logiciel maîtrisé pourrait permettre à un habitué de réaliser ce travail.

bonjour

Nous envisageons de faire une première passe avec un logiciel, puis de mettre à disposition le texte à corriger dans un document partagé. A suivre.

bonjour

Merci à vous. Le numerique est aussi un formidable outil d accessibilité au savoir pour tous ! Je participerai volontiers à la correction collaborative (même si je suis surtout douée pour la coquille )

Impossible de visionner le bonus du web inter 1

Bonsoir, D'autres personnes rencontrent-elles le même problème que moi ? Merci d'avance. Bonne soirée, Emilie

Impossible de visionner le bonus du web inter 1

Bonsoir. Pourriez-vous êtes plus précise sur le problème ?

question webinaire

En quoi les supports numériques ont-ils pu développer ou révolutionner l'approche de la toxicomanie au centre Marmottan ? ...souvenirs de jeunesse: je remets à ma mémoire ce livre de Claude Olievenstein "il n'y a pas de drogués heureux", le Dr C.Olievenstein est je crois à l'initiative de la création du centre Marmottant, après avoir vécu avec les drogués, il a pu et surtout su "s'en occuper"...ce livre (cet auteur), mais aussi "Moi Christiane F. 13 ans droguée, prostituée..." m'ont bien fait comprendre les méfaits de la drogue (+ dure) et je n'y ai jamais mis le nez, j'avais 13/14 ans j'en ai 48... Mais tout cela c'était avant le numérique: d'où ma question !!!

question webinaire

je ne crois pas que les outils numériques aient révolutionné l'approche de la toxicomanie,à Marmottan comme ailleurs ,mais ils contribuent à une offre de produits sans cesse renouvellés, et disponibles en ligne (produits de synthèse à raison d'un nouveau par semaine en Europe);pour plus de précisions chercher TREND sur le site de l'OFDT; jlv

Question aux spécialistes

Bonjour, voici quelques questions que j'aimerais poser aux spécialistes: -Quels types de thérapies, de prise en charge sont proposées aux personnes addictes à internet? -Est-ce qu'il y a une augmentation de ce type d’addiction? -Quelles sont les nouvelles pistes de recherches en 2015 dans le domaine des addictions?

Question aux spécialistes

Bonjour, Je vous transmets la réponse de Jean-Luc Vénisse: "Comme cela a été précisé lors du 1er webinaire,il faut distinguer les cas dans lesquels le numérique n'est qu'un médiateur facilitateur d'une addiction qui existe en dehors de lui (jeux de hasard et d'argent,achats pathologiques et addiction sexuelle) des cas dans lesquels un outil numérique pourrait etre lui meme objet d'addiction ( c'est discuté essentiellement pour certains jeux video) les demandes de soin sont en augmentation indiscutable dans le premier cas ; pour le deuxième cela reste peu important bien que présent les prises en charges s'inspirent toujours des fondamentaux en addictologie ,quelque soit l'objet d'addiction: travail motivationnel et recherche d'alliance initiale,définition d'objectifs contractuels,de réduction ou d'arret de la conduite,travail cognitivo comportemental sur les boucles d'auto entretien de la conduite ,plus ou moins complété par des approches psychanalytiques autour du sens possible de la conduite en lien avec l'histoire individuelle et familiale et des thérapies familiales_;le traitement des comorbidités ,notamment anxio dépréssives peut justifier la prescription d'un Tt pharmacologique les pistes de recherche sont nombreuses actuellement en addictologie ,aussi bien au niveau biologique et pharmacologique qu'en matière de psychothérapies et d'outils de prévention-" JLV Cordialement, Stéphanie

études

Avec une utilisation quotidienne d'internet au sein des foyers, les addictions ont-elles augmentées ou diminuées?

études

la question est trop complexe pour trouver une répone sur un mode binaire et global ,mais des éléments de réponse ont deja été apportés au fil des premiers webinaires jlv

Semaine 2 / 1.1 Glossaire sur le numérique

outils numériques

le numérique dans mon quotidien un smartphone avec principalement le sms, et le mail + tiwtter appli un ordinateur pro (PC) avec messagerie, serveur internet, sites web et leur backofficie (drupal et wordpress), réseuax sociaux, plateformes pro (argus de la presse, vocus, ...), web mail, sites d'informations, bureautique un ordinateur perso (mac) avec messagerie, site web, réseaux sociaux, photos et logiciel de traitement TV avec notamment VOD tabletes avec des appli t

outils numériques

Me voilà rassurée en lisant votre post. Je blague évidemment. Pour ma part, je possède un smartphone que j'utilise peu mais nécessaire pour le travail. Puis un pc bureau et un portable sur lesquels je passe beaucoup de temps. Pour le travail toujours et perso puisqu'il semble difficile de joindre les gens autrement que sur les réseaux sociaux

et un téléphone sans accès internet?

Est-ce qu’un téléphone portable qui n’a pas d’accès internet ni d’appareil photo est considéré comme du numérique ? Et un téléphone fixe ?

et un téléphone sans accès internet?

oui, il me semble que c'est du numérique dans la mesure où ce portable nous suit partout, contrairement à un téléphone fixe.

et un téléphone sans accès internet?

Je ne veux pas dire de bêtises, mais techniquement oui le téléphone portable est numérique puisque je crois qu'il utilise un flux numérique (binaire=0 et 1) contrairement au téléphone fixe et je dis bien fixe NON IP qui lui utilise un flux analogique. http://www.linternaute.com/science/technologie/comment/05/telephone-portable/comment-telephone-portable.shtml

et un téléphone sans accès internet?

oui numérique c'est le monde binaire ,le monde qui se réduit à un choix simple 0/1 ,par défaut /un bloc :dramatique !!!

le numérique sous toutes les formes et comme outil de travail

sous la forme de PC, tablette, et smartphone. Partout, au travail (notamment pour les mails), à la maison ,en vacances de plus en plus avec le wifi..... C'est presque comme une invasion passive... et on commence à se questionner sur l'influence des "écrans" notamment au niveau des enfants..Aussi, j'ai adhéré à un groupe de parents d'élèves dont l'objectif est de sensibiliser les familles et les enfants (challenge sans écran) sur les dégâts que mettent en évidence de nombreuses études (manque d'attention à l'école, appauvrissement du vocabulaire, violence physique et verbale...et plus grave des retards importants pour les population les plus exposées!!!

utilisation numerique

j utilise les nouvelles technologies pour m instruire rechercher des informations sur des faits d actualites pour comparer les prix trouver des recettes de cuisine l utilisation du numerique passe par les moteurs de recherche dont le plus celebre est google vous pouvez taper un mot code vous avez une multitude de pages

Mes outils numériques principaux

Google, Wikipedia, Windows, Orange. C'est surtout au travail que j'utilise le numérique: courriels dès l'arrivée, cela prends pas mal de temps de faire le tri, beaucoup d'inutiles, la direction informatique pourrait faire nettement mieux! Puis j'utilise beaucoup l'intranet pour les courriels et transferts de dossiers et documents et Microsoft Office pour écrire les documents. J'ai un ordiphone (smartphone) depuis peu, je m'en sers surtout pour téléphoner professionnellement et avec les proches et pour les SMS. J'y ai accès à Internet par Bing, cela me sert à trouver une définition, retrouver une notion ou un nom oublié, faire et envoyer des photos, mais dans un usage très limité. A la maison l'usage (de l'ordi cette fois) est aussi très raisonnable mais sans cesse grandissant (en particulier pour ce mooc!! Je me suis branché su Twitter). Sinon, je vais sur les site dont j'ai l'utilité sur le moment: Amazon pour un livre que je n'arrive pas à trouver ailleurs, Marmiton pour sortir une recette, INA pour un document ancien, ou des sites plus spécialisés si je recherche une marchandise précise. J'envisage depuis quelques temps de faire certaines courses répétitives par Internet. Youtube ou Daylymotion me permettent de visualiser des vidéos instructives ou de loisir, humour en particulier. Bon, en fait, plus j'en cherche, plus j'en trouve... C'est en augmentation et transformation constante, les outils sont nombreux et pas tous d'un abord facile pour les néophytes. J'aimerais tout basculer en logiciels libres ou alternatifs mais cela n'apparaît pas comme simple au premier abord... Le numérique c'est super pour certaines choses mais c'est quand même très chronophage, en apprentissages par exemple, en tous cas pour moi... ![livre][1] [1]: /media/14211647662085334.jpg

Mes outils numériques principaux

mon utilisation du numérique est pour moi aussi surtout professionnelle en tant que chargée de communication pour une association culturelle : mails, twitter, facebook, administration du site internet. je ne sais pas ce que je ferais si je n'avais plus accès à ces outils...je repasserais des fax, et écrirais sans doute des courriers à la machine à écrire ;-) mon utilisation personnelle (à la maison) est moins chronophage : j'utilise uniquement un ordinateur portable (qui tourne sous linux -ubuntu). je m'attache à utiliser essentiellement des logiciels ou plateformes opensource. je n'ai pas de smartphone mais "seulement" un mobile qui me sert à téléphoner à pendre des photos ou faire des enregistrements audio. mon utilisation perso est une utilisation plutôt "encyclopédique" : je me sert d'internet pour rechercher des infos sur des sujets divers (notamment culturels) regarder des vidéos, écouter des podcasts radiophoniques, échanger par mail ou skype. J'aime bien pouvoir me dire "Allez maintenant j'arrête j'ai suffisamment passer de temps sur l'ordi maintenant".

Mon numérique

J'utilise le numérique à mon travail (environ 50% de mon temps se passe avec un ordinateur=. A la maison, je me sers de tout : google, mails, voyage, informations, météo, jeux, annonces, cuisine, bricolage,... En fait, l'ordinateur remplace pour moi les livres "utilitaires", bien que je continue à lire beaucoup, la télévision, le cinéma, le facteur, le téléphone...

Le numérique, en fait, ça recouvre ....

.. quasiment tout ce qu'on touche... Nous sommes connectés de partout, et enregistrés de partout. Pas de paranoïa dans ce constat. Ca va bien au delà des seuls appareils numériques, ou des applis que l'on utilise. Au sens strict, bien sûr, on peut lister le smartphone, la tablette, l'ordi, et puis la télé qui est connectée à tout ça.. Et puis les applis, les services, bien au delà de Twitter ou Fbook, sur lesquels après tout, on ne poste que ce qu'on veut... La NSA sait quels mails j'écris, et Monoprix me propose des coupons de réduction sur mes yaourts préférés ! Je prends l'autoroute, j'ai un badge pour éviter les queues aux péages, j'achète de l'essence, ma carte bleue dit où je suis et à quelle heure... et quand il n'a pas le temps de me recevoir en rendez-vous, mon médecin scanne son ordonnance et me l'envoie par mail. C'est bien, c'est mal, on voit bien que tout est affaire de culture, de prise de recul. Expliquer aux ados les usages et les risques, mais aussi l'ouverture au monde phénoménale.. Expliquer aux enseignants qu'il ne faut pas craindre la concurrence de wikipédia mais jouer avec... La question est "qui est là pour expliquer ?" et aussi, de manière plus globale, "comment réguler sans attenter à la liberté ? ". Quand je bloque un abruti sur Twitter, ça me donne bonne conscience, mais dans la vraie vie, il continue à sévir... Vaste programme. Merci pour ce MOOC, qui se révèle encore plus utile en ces temps où la réflexion collective s'aiguise un peu et a besoin de se nourrir. Amicalement, Frédérique

Le numérique, en fait, ça recouvre ....

Merci pour cette contribution très intéressante. Elle illustre effectivement bien le fait qu'il y a le "numérique" auquel on est directement confrontés, via notre ordinateur, notre smartphone..., mais aussi beaucoup de numérique (avec donc les possibilités - néfastes ou bénéfiques - d'indexation, de recherche, de traçage...) plus ou moins caché. Une petite synthèse dans le wiki sur cet aspect serait très bien.

outils numériques

wikipédia, gooogle gmail j'utilisebeaucoup internet pour un peu tout. Culture, recherche d'infos, annuaire, encyclopédie, critiques, jeux, films, timbres, tout ce qui peut être fait en ligne plutôt que par courrier. Je n'utilise pas de smartphone. J'ai juste un téléphone pour téléphoner !

Un modèle économique engendrée par la numérisation

"... toute critique politique et économique formulée à l’encontre du secteur des technologies de l’information et de ses liens avec l’idéologie néolibérale est instantanément galvaudée en critique culturelle de la modernité." http://www.monde-diplomatique.fr/2014/08/MOROZOV/50714

culture digitale

j'utilise quotidiennement internet; je produit , je collabore je partage je m'informe, je veille, je communique, je forme,j’apprends,j’achète, je vends, je crée, je travail , je me diverti ,je prends , je donne .. j'utilise les outils du web 2.0 , hébergeur logiciel variés ressources multimédia etc ...

culture digitale

Utilisation quoptidienne d'internet sur différents supports (pc portable, tablette, smartphone) pour différentes activités : messagerie, réseaux sociaux, téléchargements, visionnage vidéo ou émissions tv en replay,podacst radios, lecture en ligne de journaux sou blog, recherche d'infos, achats, gestion compte + divers autres e-services (état civil, etc), e-ressources proposées par les médiathèques dans lesquelles je suis inscrite (revues + magazine via le kiosque, musique via MusicMe,vidéos fiction + docs via Médiathèque numérique, BD via Izneo et méthodes de langue via Toutapprendre), etc...

culture digitale

je vous rejoint utilisation quotidienne. 1pc, 1portable et un téléphone connecté. Messagerie, réseaux sociaux, information, consultation dictionnaire, je vends, j'achète, je travaille, une formation en ligne en + du mooc , je m'informe sur les dommaines qui m'intéresse, je cuisine (mon ordi a remplacer tous mes livres de cuisine)....

culture digitale

Même combat, tout ce qui peut me faciliter la vie et me faire économiser du temps est le bien venu. Pour moi il s'agit d'un outil purement et simplement! Dommage de ne pas avoir eu la possibilité de disposer à une connexion internet lors de mes études il y a plus de trente ans, je regrette seulement que mes fils passent trop de temps sur les jeux et les séries!

Notion du numérique

Salut à tous Moi niveau outils j'utilise presque tout : ordinateurs, téléphone et tablette Plate forme c'est surtout le web et tout ce qui va avec. Côté service c'est tout ce qui touche la vie courante mais aussi professionnelle.

le numérique dans nos vies

travailler en réseaux avec des collègues ;s'informer sur horaires ,types de tout (cinéma ,spectacles matches etc ....toutes les manifestations de toute nature)chercher des traductions dans n'importe quelle langue,chater sur tous les sujets avec tout un chacun,voir les sujets ou mots interdits...toute la vie peut se faire par internet

le numérique dans nos vies

plutôt se demander "qu'est ce qui ne relève pas d'internet dans nos vies ":se toucher ,se sentir ,se gouter,c'est à dire la réciprocité sensorielle hors de la vue et de l'ouie,donc la plus animale,le numérique n'est pas fait pour les animaux dommage!mais aussi le contact avec la nature ,le vent ,l'eau ,la pluie,le sec, la cuisine le cru ,le cuit .l'être humain dans le monde psssitttt ,circulez le numérique rien à faire ici!

le numérique dans nos vies

ça vient de changer pour le toucher Jean-Pierre. Grace à Durex et au Smartphone, on peut maintenant toucher son ou ses partenaires à distance. https://www.youtube.com/watch?v=qb7DN3kpl2o Je précise que ni moi ni l'équipe pédagogique n'avons de conflit d'intérêt avec Durex. En terme d'objet connecté, peut être que cet objet nous fait passer un cap. Par ailleurs, déjà que le téléphone portable dans la poche fait craindre la stérilité ou le cancer des gonades, avec ça ce sera probablement pire... Guillaume

le numérique dans nos vies

me voila rassuré! jlv

Moi et le numérique

Le numérique pour moi est un outil par excellence de la communication, de formation, d'information et d'instruction.De nos jours l'Homme ne peut pas se passer de cet outil dans sa vie de tous les jours.Je pourrait tenter de dire que sans cet outil( le numérique) le monde perdrait ses repères.

Moi et le numérique

Oui de nos jours c'est difficile de s'en passer. Mais n'est-ce pas la société elle même qui nous pousse et même nous oblige à nous en servir ? Je veux dire par là que par exemple, maintenant on nous demande de faire de plus en plus de choses en ligne, et pas seulement activer une carte de fidélité pour un magasin, mais par exemple, déclarer ses impôts. Bientôt cela sera une obligation de le faire par Internet alors que pourtant il y'a des personnes qui n'ont pas internet, ou qui ne peuvent pas avoir un accès à internet chez eux. Il y'a encore beaucoup de personnes qui n'ont qu'une connexion 56 k, et qui à mon avis de nos jours est plutôt un enfer pour ne serait-ce que surfer sur Internet.

Mes outils

Professionnellement (Viadéo) ou personnellement (Facebook), les réseaux sociaux m'ont permis de faire de belles rencontres ou de garder contacter avec des amis ou de la famille partis au loin. Skype notamment nous a permis de garder le contact avec mon beau-frère, parrain de notre fils, qui vit à Nouméa pour quelques temps. Nous avons même pu partager un moment du Noël en famille. Ensuite, les mails, les messageries instantanées permettent de garder contact, de passer des messages, avec, pour moi, le côté agréable de reprendre l'écrit. Mais parfois, on se demande à quel moment on se déconnecte ! Ensuite, la synchronisation entre le téléphone et un ordinateur pour avoir son agenda entre autre est une belle invention. MAis parfois, tout cela marche mal et là... cata,je ne sais plus comment on pouvait faire quand tout cela, toutes ses infos accessibles si facilement, n'existait pas ? Préparer un voyage, acheter un cadeau de dernière minute livré en 24h, faire un exposé, un résumé... Bref, tout est possible ! Mais j'avoue que j'adore les livres et je me refuse à me mettre aux liseuses. J'initie mes enfants au livre, rien ne peut, à mon sens, remplacer ce support alors que télécharger du MP3 ne me dérange pas ! Mon côté nostalgique !

Mes outils

Moi aussi parfois je me pose la question de comment on faisait avant, et me demande ce qu'il se passerait sans internet dans le monde entier. Et bien je pense qu'on reprendrait comme c'était avant, on se débrouillait pas si mal je crois. :)

intéressé mais largué...lol

J'utilse un PC depuis prés de 20 ans et j'ai un téléphone "simple". La technologie, la rapidité de développement et donc la nouveauté et le changement font que je ne suis pas un gros consommateur de numérique mais j'aimerais vraiment pouvoir être plus à l'aise. J'ai des collègues qui utilisent des tas d'appli. et ça à l'air de leur faciliter les choses, je n'ai jamais réussi à mettre des photos sur facebook (d'ailleurs je n'y comprend que la partie message!!). Malgrès cela, j'aimerai mettre un peu plus: deux choses m'intéresse vraiment 1 les appli. 2 les tableaux numériques... lol...

Le numérique pour moi

Bonjour, Pour moi, le numérique englobe tout ce qui est données et communications "non matérielles". Je veux dire par là ce qui se transmet par la de transmission de données, fichiers qui se mesure en Ko, Mo, Go... qui se stocke virtuellement sur un disque dur, sur Internet, un appareil mobile et qui se consulte à travers un écran. Je ne peux pas tenir l'objet numérique dans la main, je ne peux voir que sa représentation via un écran qui lui en est l'outil. Photos, musiques, vidéos, e-mails, pages Internet: sites Web, blog, documents de toutes formes (documents Office ou équivalent), réseaux sociaux: FaceBook, Twitter, Viadeo, copainsdavant et tellement d'autres, SMS, MMS, Skype mais aussi les jeux. La liste est longue et non exhaustive. Que ce soit sur ordinateur, TV, téléphone, smartphone, tablette, liseuse de livres électroniques. En résumé: l'outil c'est l'appareil avec écran, les plateformes et servicess c'est tout ce que je fais depuis cette appareil.

plateforme de jeux et réseau social

Je n'ose pas écrire dans le glossaire, mais pour moi les outils principaux du numériques sont mon ordinateur. Un tout petit peu mon smarphone (je l'utilisais pas mal au début, mais plus beaucoup maintenant) pour essentiellement le téléphone (après tout c'est son usage principal normalement XD), et le GPS quand j'en ai besoin, et aussi un peu comme agenda, mais non connecté ou synchronisé. Mon ordinateur c'est pour tout le reste, internet, jeux vidéo, édition, création, travail. Mes réseaux sociaux favoris se trouvent en fait sur des plateformes de jeux vidéo comme STEAM par exemple. J'ai connu pas mal de joueurs sur cette plateforme, j'ai lié connaissance avec quelques uns d'entres eux, certain m'ont déçu. J'utilise internet principalement pour m'informer, ou me cultiver, parfois pour le côté pratique : horaires, annuaire, formalité en ligne, se renseigner sur des produits/services, ect...

numérique

Les outils : pc et smartphone, outils adaptés pour la communication des personnes en situation de handicap ( tablettes de pictogrammes, synthèse vocale, transcription braille, etc.) ainsi que des outils numériques au service de la création artistique ( C est très multiforme ). J utilise sur internet les réseaux sociaux (multiusage : communication personnelle, veille information, ludique et communication professionnelle) Des forums de discussion des sites sur les thématiques qui m'intéresse Des outils de recherche, de créations la formation continue ( J y inclure ai les MOOCS) les services en ligne administratifs, commerciaux, Des réseaux de solidarité et d entraide et J en oublie certainement.

Définition du numérique

Le numérique est la représentation de l'information par les nombres, les caractères. Mes outils numériques sont mon ordinateur et ma tablette

Numérique

Bonjour, J'ai une vision assez proche de certains concernant le "non matériel" on parle souvent de dématérialisation. Toutefois que penser de l'argent numérique, avec la carte bancaire comme moyen de l'utiliser. Le numérique est un moyen de création, d'enregistrement, de stockage, d'échange et de restitution d'informations. Le numérique peut remplacer de nombreux supports physiques parce que leur contenu s'y prète comme dans le cas des livres, des vinyls, des photos. Mais avec les réseaux sociaux, même si nous sommes dans l'immmatériel, en créant un nouveau moyen de rapprocher les personnes ayant des goûts commun, ne matérialise-t-on pas, d'une certaine manière, des liens sociaux qui avant le numérique ne l'étaient pas ? Peux également penser que des boutiques en ligne matérialise un étalage de produits ? Concernant mon utilisation, je pourrais évoquer smartphone, tablette, ordinateur, télévision, téléphone, ma carte bancaire mais je dois en oublier. Pour les plateformes et services en ligne, la liste est longue entre messagerie, portail d'informations et pour avoir participer à de nombreux forum, jeux en ligne,... Mais c'est aussi mon métier.

numérique et toile

Bonsoir, Pour moi ce qui est numérique est liée à la toile et aux outils qui permettent d'y surfer. Les moyens d'accès sont matériels (pc, tablette, smartphone) mais le numérique est pour moi immatériel. j'avoue ne pas oser écrire dans le wiki car finalement, plus je pense à des exemples et moins je sais le définir ...

le moins possible c'est déjà trop

Mon réveil sur mon smartphone et un deuxième sur la tablette... au petit déjeuner la météo et les mails perso. Dans les transports musique et jeux, vérification agenda. Au travail toute la journée. pause déjeuner les news. Re-tansports. A la maison programme télé et travail perso. étude, administratif perso. damus

A lire - qu'est ce que le numérique ?

Voici le titre d'un ouvrage de **Milad Doueihi** : *Qu'est ce que le numérique ?* (PUF) Milad Doueihi est historien des religions et titulaire de la chaire d’humanisme numérique à l'université de Paris-Sorbonne (Paris-IV), chaire thématique du Labex OBVIL et de la ComUE Sorbonne-Universités. Milad Doueihi s'est intéressé depuis quelques années à l'évolution de la société avec le numérique. Historien des religions à l'origine, il se définit comme « un numéricien par accident, un simple utilisateur d’ordinateur qui a suivi les changements de l’environnement numérique au cours des vingt dernières années ». Il perçoit l'émergence du numérique dans la société comme une conversion au même titre qu'une religion. (wikipedia) Il a également écrit *Pour un humanisme numérique*, édition du Seuil, 2011.

A lire - qu'est ce que le numérique ?

et puis aussi un lien vers l'émission Place de la toile du 02/11/2013 au cours de laquelle Milad Doueihi est intervenu : [http://www.franceculture.fr/emission-place-de-la-toile-qu-est-ce-que-le-numerique-2013-11-02][1] [1]: http://www.franceculture.fr/emission-place-de-la-toile-qu-est-ce-que-le-numerique-2013-11-02

Outils utilisés

J'utilise quotidiennement mon téléphone portable. C'est un smartphone sur lequel se trouve les applications suivantes: FACEBOOK; whatsapp, Gmail et You tube. J'utilise aussi une application me permettant d'identifier des morceaux de musique. Je travaille avec un PC de bureau. J'utilise beaucoup ma boîte mail afin de communiquer avec différents interlocuteurs ainsi que mes collègues de bureau. Lorsque je suis chez moi je me connecte via le wi fi à internet afin d'effectuer mes recherches sur mon pc portable et mon portable. Je télécharge de la musique et je regarde des séries en streaming. J'envoi des messages écrits soit par sms soit par Whatsapp ou encore par la messagerie privée de Facebook. J'utilise également les émotincons.

Trop de numérique ?

Ayant grandi avec inernet, un ordi, un portable, c'est dur de s'imaginer comment on faisait avant et comment on pourrait faire sans !!! Gérer ses comptes, payer ses factures, faire ses courses, commander un repas, se déplacer, acheter, reserver, voir un film,parler avec ses amis, suivre des cours!!!!! se cultiver, suivre les infos, travailler et tant d'autres choses tout ça assis sur son canap sans sortir de chez soi devant un ordi sur INTERNET !!!!! Et aussi sans voir personne !!! C'est p'être un problème non et tout cas c'est comme ça qu'on devient addict non ??? Alors pour ceux d'avant je sais pas si c'était mieuix en tout cas c'était différent .... :-))

outils

le téléphone portable, l'ordinateur portable...

Numérique = la vie en 0 et en 1

Au quotidien, je lis, j'écris, je travaille, j'écoute de la musique, je regarde des films, j'achète des produits et des services, je parle avec des gens, je cherche des informations... et de plus en plus, je le fais avec des outils numériques, alors qu'avant leur généralisation je faisais à peu près les mêmes choses, mais pas à la même échelle, sans doute moins densément. Il y a encore plein de choses que je fais sans outils numériques : manger, dormir, regarder le ciel, me balader dans mon quartier, faire le ménage (!!!), prendre l'apéro avec des amis, embrasser mes enfants, lire jusqu'à pas d'heure un excellent roman... Je vous laisse poursuivre la liste. Mais sans aucun doute, le nombre d'actions qui se "numérisent", c'est à dire pour lesquelles on génère des traces à base de 0 et de 1 par le biais d'une application que l'on utilise spontanément, est en augmentation. J'ai une collection d'outils qui me permettent de choisir entre la version numérique et la version non numérique de mes activités : smartphone, tablette, ordinateur. Les outils numériques sont devenus des évidences, ils peuvent nous accompagner partout. Le vrai défi est de ne pas oublier de les éteindre et de décider de ne pas s'en servir, parfois...

Numérique = la vie en 0 et en 1

Bonjour, Je suis bien d'accord, le vrai défi est de ne pas s'en servir parfois. L'autre jour je me suis remis à lire un livre en papier, alors qu'habituellement, pour mes études, je lis sur l'écran, et la sensation m'a paru bien étrange. Le matériau aussi. Du papier... Qui n'est pas rétro-éclairé. C'est étrange. Mais on s'y fait bien quand même. Guillaume

Quels sont les outils, les plate-formes, les services que vous utilisez qui rentrent dans ce cadre ?

j'utilise une plate forme de mon réseau professionnel. J'utilise quelques jeux sur mon PC, j'ai une connexion CDMA pour accéder à Internet. J'utilise quelque trois réseaux sociaux.

Semaine 2 / 1.2 Récit parallèle

La banque

Avant, je devais prendre un transport pour aller à la banque ce qui signifié déjà me préparer pour une sortie qui pouvait me prendre toute la journée et quelquefois deux ou trois journées si je ne pouvais pas régler l'affaire dans la première. Après la banque numérique je ne dois qu'allumer la PC me connecter à la page et ça y est, c'est fait!!

La banque

Un jour c'était peu avant Noël nous eûmes l'occasion d'avoir une oie préparée (enfin, tuée et plumée!), bio et pas chère! On sauta sur l'occasion d'autant que c'est nous qui recevions la famille cette année là. Mais quand la bête arriva: horreur! elle ne rentrait pas dans le mini four qui commençait à craindre d'ailleurs! Bon l'achat d'un four était déjà envisagé, mais là: urgence! Ni une ni deux on tapa "four électrique" sur Google qui nous orienta sur plein de magasins. Waouh, ça y en avait plein de fours! Concurrence sauvage : au moins trois cent modèles! Dingue! Donc, après recherche comparative, prix pas trop cher (ouf!)! Bon une somme quand même m'enfin! Mais il ne restait que cinq jours avant Noêl: angoisse! Vite vite : article disponible: Oui, Livraison? Oui. Délai? Trois jours! OUI!! Très bonne l'oie, merci. Depuis on a un four qui marche très bien. En temps pré-numérique eûmes soit du renoncer à l'oie (perso, je ne me voyais pas la découper pas cuite!) soit galérer durant la période de Noël pour trouver un four en grande surface et, en guise de livraison, sûrement l'emmener nous même vus les délais... Moralité: commerce et numérique vont très bien ensemble! ![oie][1] [1]: /media/14211671971906871.gif

les voyages

Je suis une grande voyageuse et j'adore partir et préparer mes séjours en terre inconnue. Avant, j'étais tributaire d'une agence de voyage : pas moyen de comparer les vols (pas uniquement en tarif, en prestation et horaires également) sans un intermédiaire. Maintenant, je peux choisir ce que je veux, en modifiant les critères selon mes envies. Idem pour le choix des séjours, et des pays à visiter. La préparation du voyage fait maintenant partie de l'aventure : forums de voyages, photos , discussions. Le négatif : maintenant , il m'arrive parfois, lorsque j'arrive à destination, d'être moins surprise et dépaysée qu'auparavant. Peut être trop de préparation, et plus assez d'imprévus...

événement

Le 11 septembre 2001, j'étais au travail lorsque j'ai appris qu'il se passait quelque chose de grave à New York. L'accès au web était alors limité, un ou deux ordis dispos au travail, j'ai souvenir d'avoir vu quelques images, et une diffusion de l'info lente comparée à maintenant. Il me fallut attendre le retour au domicile pour voir des images à la télé. Le 7 janvier 2015, au retour du déjeuner m'informe du massacre à Ch. Hebdo, je consulte immédiatement le web, ma timeline Facebook s'affole, pas décroché de l'après-midi, incapable de me concentrer sur autre chose. A 14 ans d'écart, la relation à l'information à été complètement bouleversée.

événement

Le 11 septembre,j'étais moi aussi au travail, pose déjeuner, j'ai été informée par france inter. des infos rapides.

événement

je me souviens également du moment où j'ai été informée le 11 septembre. Je travaillais déjà en étant connectée sur internet mais les réseaux sociaux n'avaient pas la place qu'ils occupent aujourd'hui...

La photo

Une véritable révolution avec l'arrivée du numérique ! plus besoin d'attendre le développement, le résultat est immédiat, le budget photo allégé ... mais on se retrouve vite inondé de fichiers difficiles à gérer et personnellement je ne prends plus le temps de faire des tirages papier ou des agrandissements. Je sais certains d'entre vous me diront qu'il y a des super sites pour créer des albums, que ces photos numériques s'échangent plus facilement mais je trouve que l'on a perdu quelque chose avec la dématérialisation de nos photos.

La photo

Nostalgie, quand tu nous tiens ! Pour ma part, je ne regrette pas les tirages papier trop difficiles à ranger (et encore plus a retrouver), et qui se dégradent avec le temps. J'apprécie beaucoup plus les images numériques, qu'on peut dater et localiser (c'est un aide mémoire précieux), et qu'on peut recadrer, améliorer ... Cela me permet notamment de créer des photos d'identité pour les inclure dans mes contacts Gmail, et de les avoir sur mon smartphone (çà aide à se souvenir de ses interlocuteurs). Picture addict ?

La photo

je trouve aussi; par conséquent c'est pas un changement positif

La photo

En plus cela coûtait très cher maison devait attendre patiemment car c'était effectivement très long et souvent pas très réussi. Les photographes étaient très doués. Le matériel coûtait cher et était très encombrant.

La photo

J ai mis du temps à passer au numérique en photo. Effectivement ça a représenté un grand changement. Le volume oui , la gestion des fichiers se rajoute mais pour moi ça n à pas été un grand changement ( ranger mes négatifs et classer mes photos papiers puis ranger des fichiers numériques en ligne ou sur un disque dur externe c est juste un changement de support personnellement) Le changement le plus flagrant dans mon expérience c est le rapport au temps et la correction. Le passage dans l immédiate :la photo ne me satisfait pas , je la reprend , je peux faire plus d essai et les retoucher avec un logiciel plus tard. Et dans les gains J aime aussi l élargissement : il y a plus de photos et plus de photographes également . Et peut être aussi une exigence plus forte en qualité et en créativité pour les photographes professionnels du fait de la "concurrence " des amateurs . Voilà juste un autre point de vue sur la photo numérique

commerce

Très pratique pour trouver les pièces détachées, comme les mécaniques de ma guitare ; plutôt que d'aller en ville, éloignée, et peut-être ne pas trouver ce qu'on cherche. Mais je recommence à privilégier le libraire à Amazon, après quelques années de fourvoiement.

commerce

Effectivement Amazon ne permet pas les échanges entre le libraire et le client. Et quand on connaît les conditions de travail des employés !!

K7 audio

je me souviens des échanges à distance des années 80 que j'avais avec ma famille entre la métropole et la Nouvelle Calédonie où résidaient mes grand-parents et 2 de mes tantes encore adolescentes. Nous échangions bien sur par courrier mais étant donné que je suis issue d'une famille nombreuse, mes grand-parents et mes tantes enregistraient sur une k7 audio des discussions ou des sujets qu'ils souhaitaient nous transmettre. les K7 mettaient plusieurs semaines à arriver en France ensuite ces k7 circulaient au 4 coin de la métropole et nous enregistrions de notre côté une k7 qui partait à son tour en Nouvelle-Calédonie... Parfois des échanges se faisaient en réponse mais pas facile de suivre le fil :-) maintenant en 2015, nous échangeons par mail, facebook et skype ! quelle instantanéité !! mais en y repensant j'aimais bien l'attente de ces fameuses k7 audio et nous en reparlerons de temps en temps en famille

Liberté sans distance

C'est le maintien de mes relations personnelles malgré la distance... mes amis qui ont déménagé... aller plus loin avec ma soeur en passant par un échange en direct et selon nos disponibilités... transmettre immédiatement des informations... suivre les voyages de mes proches en direct... C'est surtout m'informer (de manière immédiate, variée et concrète) et me distraire (gratuitement, quand je veux et seule) alors qu'avant j'aurais perdu de vue des amis ou dû sortir de chez moi.

hier et aujourd'hui..

Avant le numérique ;) on connaissait le numéro de téléphone de ses proches par <3 l'adresse le code postal la date de Marignan les dates d'anniversaires les post it sur le frigo les photos jaunies sur le mur.. Aujourd'hui je suis incapable de donner le numéro de téléphone de mes fils, facebook m'apprend quand c'est l'anniversaire de certains proches et mÊme de pseudos amis jamais rencontrés..mais Google map me permet de me retrouver en 10 minutes alors que je perdais rapidement une heure avant le gps et mon téléphone me réveille chaque matin Le,téléphone me permet de dire aussi en 150messages des choses inutiles ;)

hier et aujourd'hui..

Tout à fait juste !

le numérique dans nos vies

si j'avais été étudiant sous l'ère du numérique ,je n'aurais pas souffert des jours et des jours parce que le seul livre de référence ,était pris à l'année par le prof pour faire son cours ,en prenant bien soin de nous dire que ce livre était le seul valable!!!

le numérique dans nos vies

Je viens de faire un devoir de philo, je me relance dans les études après un lonnnngue coupure. Et je me suis fait la réflexion que si à l'époque j'avais eu internet je serai sans doute allé beaucoup plus loin dans les études.

le numérique dans nos vies

et si on avait eu les MOOC à l'époque donc ! :)

le numérique dans nos vies

Il est clair que pour les apprentissages, le numérique apporte des changements et des améliorations considérables... Guillaume

le numérique dans nos vies

Le livre de classe ne changeait pas chaque année et quelques fois il faisait plusieurs générations.

le passé et le présent

Aujourd'hui nul ne peut douter des nombreuses prouesses qu'a connu le numérique, depuis son apparition jusqu'au présent.Avant pour avoir une information, il faut perdre un temps fou,mais avec le numérique, à peine 5 secondes ça y est.La recherche est très facile de nos jours.Il suffit d'avoir la volonté pour qu'on ait ce qu'on veut.

Effet positif de l'arrivée du numérique

Bonjour à tous, Voici un exemple positif et très concret de l'arrivée du numérique. J'ai comme passion l'écriture. Le numérique a un intérêt certain dans la phase de recherches d'informations afin de préparer la rédaction d'un récit. Auparavant, pour effectuer mes recherches, je devais obligatoirement me rendre dans une médiathèque ou aux archives départementales. En résumé, me déplacer physiquement à coup sûr ! Aujourd'hui, la démarche est possible dans certains cas mais pas obligatoire. Résultat : je peux accéder à l'infini à une mine d'informations (qu'il est nécessaire de trier, hiérarchiser, qualifier) sans avoir l'obligation de me déplacer. Ainsi, pour le prochain roman que je compte publier, près de 90 % de mes recherches seront issues du monde numérique ! Et je ne parle pas de la phase publication qui est grandement favorisée par cet outil !!! Vous en pensez quoi ? Cordialement

Effet positif de l'arrivée du numérique

Bonjour, J'en pense pareil, mais cela nous isole plus et nous fait perdre un peu de contact humain.

Effet positif de l'arrivée du numérique

effectivement le numérique permet des recherches d'infos sans se déplacer et je trouve ça génial. Mais après avoir lu les différents messages dans ce forum concernant cette question, je constate que plusieurs d'entre vous apprécient le fait de n'avoir pas à sortir de chez soi... pour ma part j'adore aller à la médiathèque ou en librairie même pour juste flâner. le fait de ne pas sortir de chez soi ne me parait pas être un aspect positif du numérique sauf en cas d'impossibilité physique ou de danger...

le GPS

Lorsque l'on a une activité qui s'exerce sur un département ou une région le GPS c'est quand même une révolution par rapport aux cartes et ravetanceau...Par ailleurs, je viens de terminer un Master2 et là y a pas photos le numérique a révolutionné les amphis et les méthodes de travail tant des enseignants que des étudiants.

Dénonciation sur internet ?

Le gouvernement par ce lien nous propose de signaler des propos illicites : www.internet-signalement.gouv.fr Je ne sais pas sur le fond quoi en penser, est-ce une dénonciation ou un acte citoyen ?

Dénonciation sur internet ?

je me suis posée moi aussi la même question et je n'ai pas de réponse :-( ça pourrait faire l'objet d'un débat. j'ai d'ailleurs l'impression que chacun poste son message dans son coin sur le forum sans vraiment essayer de le rattacher à un autre ou de répondre.

Dénonciation sur internet ?

La dénonciation, anonyme ou pas, existe depuis bien plus longtemps que le numérique. C'est le moyen de communiquer qui change. Le numérique, dans ce domaine, a révolutionné le monde. Les informations sont échangées presque immédiatement, là où un courrier prennait des jours voire des semaines pour arriver.

Dénonciation sur internet ?

Bonjour, Moi je ne pensais pas faire de dénonciation, mais comme sur la toile on peut trouver de tout, il y à p'être des choses à denoncer surrtout quand on voit ce qu'il se passe en ce moment où quand on lit les faits divers.... Alors dénoncer quand on peut lire des menaces, des insultes, violence, arme, enfants en danger, pour tout ça denoncer se pose pas trop j'penses !!! il aurait peut être moins de mauvaise choses à se passer Alors dénoncer s'il y a un danger ou pour l'eviter il le faut !Après tant qu'il y à pas de vie en jeu que chacun s'occupe de cequi le regarde ca serait pas mal aussi non ??

Avant / Après

Bonjour, Je vais être un peu hors sujet dans le sens où un souvenir et une réflexion me sont venus sur le avant / après mais ce n'est pas spécialement positif. Je me souviens que quand j'étais tout gamin (j'ai 37 ans aujourd'hui), quand avec mes parents on voulait voir des membres de la famille le dimanche après midi, on prenait la voiture et on sortait pour aller chez eux. Si ils n'étaient pas là, on laissait un mot et on allait tenter notre chance chez un autre membre de la famille et ainsi de suite. Bref, on voyait les personnes ou on cherchait à les voir et même si personne n'était là, ça nous faisait une sortie malgré tout. Le téléphone fixe s'est développé et avec le temps, on sortait de moins en moins voir les gens, on les appelait pour savoir si ils étaient chez eux. Si oui, on allait les voir, si non, on restait à la maison et on sortait moins. Puis les appels sont devenus de plus en plus fréquents et longs et les visites de plus en plus rares. Puis il y a eu le téléphone portable, puis les SMS, les MMS, les e-mails avec pièces joints et les réseaux sociaux. Du coup, je constate que là où on se voyait avant, on s'est appelé ensuite puis maintenant on communique par écrit sur les réseaux sociaux ou les sms. Tout le monde ne sera certes pas dans cette configuration mais ça m'amène à réfléchir sur le comment nos communications et relations avec le monde ont changé entre avant et après. D'ailleurs, pouvons nous réellement parler de communications ou seulement de transmissions d'informations? Qu'en pensez vous?

Avant / Après

Bonjour, Je suis partagé. J'ai l'impression que dans la vie concrète (par opposition à médiatisée par un écran), il y aussi certaines de nos relations qui se limitent à un échange d'information ou à de simples conventions sociales. Ce qui humainement est assez pauvre. Mais dans le même temps, cet aspect d'échange d'info me semble pire avec les sms ou Internet. Ce qui n'empêche pas qu'on puisse avoir des échanges très constructifs ou riches émotionnellement par Internet. En fait, je remarque que j'ai du mal à situer où se trouve le changement amener par Internet. Guillaume

Avant / Après

Bonsoir, Alors je n'ai pas vraiment connu d'avant/après mais, personnellement, j'ai plus l'impression qu'Internet me permet d'avoir des contacts avec des gens inaccessibles (mon frère au Canada par exemple ou même mon père à 800km pour lui parler plus souvent...) ou des gens comme ici que je ne connais pas mais avec qui je peux parler de sujets intéressants. Après, je n'aime pas vraiment parler au téléphone et encore moins par sms alors je continue de voir beaucoup de gens :) Bref, je ne suis pas convaincue que le numérique réduisent nos interactions dans la vie réelle (plutôt qu'il crée de nouvelles interactions).. par contre, la facilité et la fréquence des interactions peuvent effectivement en réduire le contenu j'imagine (on réfléchissait surement plus au contenu d'une lettre qu'à celui d'un sms...) ! Bonne soirée, Angela

Avant / Après

Bonjour, Je reviens sur la discussion après quelques jours. Effectivement, Guillaume, il y a de quoi être partagé et je pense que ma réflexion doit se poursuivre et je vous remercie de votre retour. Dans un premier temps, je voulais illustrer le changement de comportement dont je pense avoir été témoin. Peut être est-ce alors plus un changement de média plus qu'un changement de qualité. Oui il y a des échanges sociaux "directs", physiques, qui sont pauvres, d'autres riches, de même pour les échanges avec écrans interposés. Maintenant, si on creuse en termes de qualité et de facilité de communication, si on parle en matière de canaux, si on prend le système VAKOG, on voit bien que tous les canaux ne sont pas utilisés de la même façon. Si je lis un mail, un SMS, un blog, un article, je n'ai que des mots, donc j'imagine, je projette, une voix, une intonation, une émotion. Si j'entends la personne me dire tout cela, j'ai les mots, la voix, les intonations mais je vais imaginer ses expressions de visages et tout ce qui l’accompagne. Si je vois la personne, j'ai tout l'ensemble. Quand je parle de transmission d'information plutôt que de communication, c'est surtout par rapport au manque d'interaction. Il y a émetteur, récepteur mais pas de feed back, pas de sens inverse. Comment puis-je être sûr que celui qui me lit comprend (au mieux) ce que j'ai voulu exprimer? Si j'envoie un mail à quelqu'un en écrivant: Je n'ai pas dit que madame Duval avait volé un livre. Que va comprendre la personne? Si je le dis et que je mets une intonation, voilà ce que ça peut donner: **JE** n'ai pas dit que madame Duval avait volé un livre Je n'ai pas **DIT** que madame Duval avait volé un livre Je n'ai pas dit que **MADAME** Duval avait volé un livre Je n'ai pas dit que madame **DUVAL** avait volé un livre Je n'ai pas dit que madame Duval avait **VOLE** un livre Je n'ai pas dit que madame Duval avait volé **UN** livre Je n'ai pas dit que madame Duval avait volé un **LIVRE** Autant de possibilités d'intonations. On a donc des changements de comportements, des changements de canaux de communication, des changements de modes de traitement de l'information. Les interactions et les échanges ne se font plus pareil. Donc pour moi, beaucoup de choses ont vraiment changé en quelques décennies. Olivier.

Avant / Après

une infographie de l'iscpa sur le sujet avant/après internet http://piwee.net/1-difference-hier-aujourdhui-numerique-infographie-210115/

Informations et libre arbitre

De façon assez vague, le numérique m'a permis de m'émanciper des médias "mainstream". Travaillant dans une branche spécifique, je trouvais aberrant certaines informations ou reportage que l'on pouvait voir la télévision (ou dans les feuilles de choux) avec des prétendus "spécialistes". Qu'en était-il d'autres sujets que je maitrisais moins ? Grâce à l'informatique et à internet, une quantité d'information s'ouvre à nous et de façon plus moins instantanées, permettant, je pense, de se forger sa propre opinion, et non pas celle des grands médias qui nous martellent sans cesse la même chose. Avec un peu d'humour, par exemple, sur un sujet d'actualité dramatique (c'est l'image qui m'a amusé, pas le message en dessous) : https://www.facebook.com/619866151410467/photos/a.619884104742005.1073741828.619866151410467/861737270556686/?type=1&theater

Accès aux savoirs et numérique

Avant-avant le numérique, lorsque j'étais enfant vivant dans un désert campagnard, sans voisin ni moyen de locomotion, j'ai souffert de ne pas avoir de livres à disposition et si peu de réponses à mes nombreuses interrogations sur le monde. Nous avions juste quelques vieux livres sur l'étagère d'une armoire en primaire sans possibilité d'emprunt et les BT (petits livrets succincts Bibliothèque de Travail) accessible uniquement dans le cadre d'un travail. Une possibilité d'emprunter des livres à la bibliothèque du collège a transformé ma vie alors que j'étais déjà bien habituée à ne pas lire. Avant le numérique, des livres toujours insuffisants dans les bibliothèques municipales ou des lieux d'études et toujours trop chers. Avec le numérique, je peux trouver réponses et aides quasiment à toutes mes questions. C'est une mine d'or! Quand la France peine à développer le numérique dans l'enseignement, les pays du Sud développent le numérique mobile à grande vitesse afin de permettre à leur jeunesse d'accéder aux savoirs sans attendre des livres... je comprends ce que cela peut représenter...

Trouver des informations pratiques

En plus d'avoir accès à un grand savoir si on fait attention où l'on met les pieds, j'ai pu avoir accès à des médias comme la musique de jeux vidéo que je ne pouvais pas écouter avant. Mais c'est surtout de pouvoir trouver des informations pratiques comme l'annuaire en ligne, ou trouver des horaires, se renseigner en amont sur un voyage par exemple avant de passer par l'agence de voyage, les horaires des trains, ect..., la recherche de travail sur Internet. Quand on est seul et sans moyen de transport, ça aide. Jouer en ligne, faire connaissance avec des inconnus, même à l'autre bout du monde. Et aussi un peu tout ce que j'ai pu lire sur le forum.

Avant on prenait son temps

Pour prendre un train on consultait le Chaix, on allait au guichet pas de négociation puisque les prix étaient toujours les mêmes. On allait retirer des espèces au guichet de sa banque. On envoyait des courriers et on était heureux d'en recevoir sauf... les factures mais elles étaient souvent plus lisibles. Dans les transports on parlait à son voisin. On cherchait des cabines téléphoniques et il fallait mettre des pièces sans arrêt. On achetait des vinyles, on louait des K7 vidéo qu'il faillait rendre sous 24 heures ! trouver des informations prenait beaucoup de temps. On n'avait que des "vrais" amis.Les démarches administratives prenaient beaucoup de temps. On faisait les magasins et on achetait par correspondances. Le délai était long et pour échanger un article c'était la galère. Bref, on perdait du temps parce qu'on avait le temps. Damus

Bienvenue la techno

L'évolution technologique des outils du numérique ont bien changé ma vie professionnelle. Avant: on m'appelle à la maison et je me déplace à mon travail ou sur un site distant. 1997: je "promène" un téléphone "[Radiocom 2000][1]" pour assurer une astreinte technique. Je peux m'éloigner de la maison, en étant joignable. 2000: le téléphone se miniaturise avec un [Nokia 3310][2], je me déplace plus aisément. 2005: L'emploi d'un PC et d'une connexion via [VPN][3] me permet d'assurer mon travail depuis mon domicile en évitant des déplacements de nuit, par exemple. Et bientôt, un petit clic sur mon smartphone, dans mon application et j'assure mon dépannage en faisant mon jogging...je rève, pas vraiment ! 2010: La [clé 3G][4], permet de connecté mon PC sur le réseau mobile. Je peux ainsi travailler depuis n'importe quel endroit couvert par le réseau mobile, à la plage, dans le jardin de mon père, dans ma résidence secondaire. [1]: http://www.mobilophiles.com/article-31856484.html [2]: http://www.mobilophiles.com/article-31856484.html [3]: http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seau_priv%C3%A9_virtuel [4]: http://fr.wikipedia.org/wiki/Cl%C3%A9_3G

Avant je pensais courir vite....

Pratiquant régulièrement différents sports, et notamment la course à pied, la montre GPS a vraiment changé mon approche de ce sport en ayant en direct des informations sur le rythme cardiaque, l'allure au kilomètre, la distance parcourue ou restant à parcourir. Elle m'a également permis plusieurs fois de rentrer à bon port lors de randonnées pédestres improvisées grâce à l'option boussole... Cependant, avant lorsque je rentrais de ma séance de course à pied je faisais une estimation des kilomètres parcourus, alors que maintenant je connais exactement le nombre de kilomètres parcourus... Avant je pensais courir vite, maintenant je sais que c'est faux !!!

Avant je pensais courir vite....

Nous discuterons du soi quantifié la semaine prochaine, votre témoignage sera précieux !

Recherche scientifique

Avant, la recherche scientifique se faisait uniquement dans les labos. Les chercheurs ne pouvaient compter que sur eux-mêmes et leurs ressources humaines et financières. Aujourd'hui, ils peuvent associer les internautes dans leur recherches collaboratives. Le meilleur exemple est Zooniverse, un site qui fédère différents projets de recherche scientifique. Il permet à tout à chacun de prendre un peu de son temps pour traiter des images et accélérer l'identification de phénomènes particuliers (lentilles gravitationnelles, exoplanètes, faune sous-marine, etc.). Même s'ils ne sont pas scientifiques de formation, le nombre de participants contrebalance le manque de pertinence des réponses, et permet aux scientifiques d'effectuer un premier tri des résultats en quelques semaines, là où il faudrait des années à une équipe dédiée.

le temps passe vite

j' ai l'impression que le temps passe vite je dirai même l' année, et je ne suis pas le seul, ma femme disait qu'il n' a pas vu passé la semaine, donc à cause de ces technologieS ? mais j' ai remarqué aussi que je n' aime plus lire les livres, alors qu' avant je suis un bon lecteur, j' ai passé des heures à lire, je ne sais pas s'il y a une relation entre l' addiction et le gout de lecture,

le temps passe vite

c'est une question intéressante:la lecture suppose une pensée linéaire qui s'accomode mal de la discontinuité et la distractivité inhérentes au fonctionnement des outils numériques;faut il pour autant parler d'addiction? Alain Giffard qui sera un des intervenants du webinaire de cette semaine a travaillé cette question jlv

un avant et un après

avant: lettres et cartes postales, conversations face à face, déplacements administratifs... après: mails, messages, consultations de sites...

Grandir et vivre à l'ère du numérique

Il m'est assez difficile de répondre à cette question étant donné que j'ai eu la chance de posséder mon premier ordinateur à 6 ans et d'en apprendre les bases lors de mes classes de primaire. Je peux donc dire que j'ai grandi au sein du numérique. Pour ma part, je trouve que le numérique est un formidable outil afin de gagner du temps et de faire davantage de choses (et de les faire mieux) en un minimum de temps.

Semaine 2 / 1.3 Récit malheureux

Grr!

Le pire du pire je crois que cela a été pour changer de plate forme pour accéder à Internet, qui était assez récent, et passer sur Orange. C'était à l'époque où il y avait plein de concurrences entre des marques aux dents longues qui ont pour la plupart disparu. La plate forme (télé 2 je crois) dysfonctionnait régulièrement mais là: panne totale de la box depuis une bonne semaine alors nous nous enquîmes d'un dépannage par téléphone: Ah! l'angoisse: Tapez le 5, puis le 3, etc: un classique. Avec un portable bien sur puisque le fixe était aussi en panne. Bon, je n'avais pas de tel portable à l'époque, du coup j'en ai pris un... Attentes interminables "vous en avez environ pour une heure d'attente"! Et de nombreuses fois, au bout d'un long temps d'attente: tout d'un coup: communication interrompue! Finalement, une personne pas aimable du tout et moi comment dire, assez speed vu le contexte. Alors je demandai d'arrêter le contrat: Que Nenni! J'avais signé des hiéroglyphes illisibles et je n'aurais pas du! impossible d'arrêter le contrat avant un an de paiements en envoyant un recommandé accusé réception au moins cinq semaines avant. Grrr! "Mais puisque votre box ne marche plus!" Ah oui mais là il faut que vous appeliez notre service "réparation à distance", nous on est juste "renseignements". Bon, on appelle "réparation à distance" (taper 9, puis 5, puis 7) qui commence par poser des questions incompréhensibles pour un humain normal de l'époque. Alors je m'énerve direct et du coup il joue le gentil "je vous comprends monsieur, moi je suis qu'un employé, on va essayer d'arranger cela d'ici trois à cinq jours". Six jours après, après avoir rappelé et attendu comme de bien entendu: "Désolé! On vous fait cela en urgence! Mais on se demande si ce n'est pas votre quartier qui a une panne de secteur!". Deux jours après cela a fonctionné... Pendant trois jours!! Bon je m'arrête là, rien que d'y penser cela m'énerve à nouveau, non je blague!. Trois mois après, après avoir déchiffré une partie des hyéroglyphes à l'aide de loupes surpuissantes et envoyé trois recommandés accusé réception menaçants je me faisais quand même rembourser royalement une quarantaine d'euros pour service payé non rendu! Heureusement, c'était il y a très longtemps en années numériques! ![seb][1] [1]: /media/14211706334883981.jpg

Grr!

ah ! oui ! Mais la semaine dernière pour passer d'orange à bouygues, 8 jours d'interruption Internet. En plein dans la semaine 1 du Mooc @ddict. Une bonne façon, à la hauteur de l'énervement, de mesurer et d'interroger l'addiction numérique : ))

carte bancaire

En vérifiant mon relevé de compte bancaire, il y a 6 ou 7 ans, je constate que des achats ont été effectués avec ma carte, notamment un sac Gucci...

perte de données pour soutenance d'examen

bonjour, Voici l'exemple d'un jeune de mon entourage qui lors de sa préparation de mémoire pour soutenir son BTS a oublié ou négligé de sauvegarder son travail sur un support externe à son ordinateur. Cet ordinateur a rendu l'âme juste quelques jours avant la soutenance... il n'a pas pu présenter son travail et n'a donc pas obtenu son BTS. Il a changé de voie depuis. Mais cela me fait penser à l'idée que se fait beaucoup de monde sur la "fiabilité" des outils numériques.

Merci patron

Le fils de mon patron a laissé une remarque désobligeante sur mon blog après mon élection comme délégué du personnel.

Merci patron

Aie. internet est l'aire de la communication, pour le meilleur et le moins agréable... Guillaume

expérience malheureuse

le plus bébéte ,se tromper de clic et ne pas savoir/ pouvoir rattraper le coup ,se retrouver sur une plate forme avec des messages numériques et ne pas savoir dans quelle rubrique aller et enfin "un conseiller va vous répondre",qui n'a pas la réponse et renvoie à la plateforme ou vous recevez entre temps une lettre passe partout pour répondre sur la qualité du service!!!!

les limites du numérique

Nous reconnaissons les grandes mutations qu'a connu le numérique, certes mais l'autre revers de la médaille est qu' on ne doit pas lui accorder trop de crédit, parce que justement j ai été victime de piratage de compte . ce qui m'a rassuré que cet outil ne nous offre pas totalement une sécurité.D'importantes criminalités s'y trouve

piratage expérience malheureuse

Bonjour à tous, Voici un exemple malheureux arrivé à une proche. Lors d'un tchat, la personne s'est entichée d'un chéri virtuel basé dans un autre pays. Celui-ci a établi une relation totalement artificielle et en a profité pour lui soutirer de l'argent. Ce n'est que lorsque la femme s'était complètement ruinée pour cet inconnu qu'elle a compris qu'elle s'était fait avoir ! Le net est en effet un formidable outil pour les escrocs : plus d'impact, moins de risques, abolition des distances...création d'une relation totalement virtuelle pour toucher la personne au coeur et lui prendre son argent !

burn out

Comme je l'ai dit précedemment, j'ai terminé cette année un Master2. Curieux, pationné, j'ai beaucoup lu et consulté de documents ces deux dernières années (M1 et M2). Durant le M2 je me suis retrouvé avec deux écrans et plus de 40 pages d'ouvertes sur chaque, mis à part un souci organisationnel, la profusion d'informations disponibles toujours intéressantes mais aussi complémentaires a fait que je ne déccrochais plus de mes écrans: j'étais accro à la bonne information et comme je ne voulais rien rater (il faut du temps) j'ai passer parfois plus de 50 heures devant mon écran! Peut-être certe, avais-je mal organisé les choses au départ mais je suis tombé dans le "vice" : un document me renvoyer à un autre puis encore à un autre etc. Mes idées se mélangeaient, mon cerveau était déconnecté de ma vie familiale: lorsque j'ai préparé une licence et une maitrise il y a près de 20 ans c'était le cours et les livres ...mais pas tous ces supports!!

burn out

bonjour ce que vous décrivez me fait penser à ce terme que je ne connaissais pas mais qui me parle aussi particulièrement et que j'ai indiqué dans le wiki : Cyberamassage, ou « cyberhoarding » une addiction qui concerne le comportement d’amassage des contenus et des informations sur le réseau. ( http://cyberdependance.fr/definitionscyberddependancenayebi.htm) depuis le début du mooc, j'ai fait plein de recherche sur internet sur les addictions, le numérique etc. j'ai donc du m'organiser et utiliser le service Diigo qui permet L'indexation des ressources en ligne au moyen de mots-clés personnels (les tags). et puis maintenant je me dis que vais-je en faire de tous ces liens et fichiers que j'ai trouvé ? aurais je le temps d'y revenir, de les lire et d'en tirer quelque chose ?

burn out

L'amassage lui-même est une activité positive et active qui vous a déjà permis de construire des connaissances. Le niveau suivant consiste sans doute à partager cette masse de références, ce que permet Diigo. Si vous en êtes d'accord et rendez cette bibliographie publique, nous pourrions mettre une lien dessus depuis le wiki ? Le niveau d'encore après consiste à profiter du mooc et des autres participants pour essayer d'organiser collaborativement la masse de références !

"Data Gueule"

Malheureusement, j'ai plein de vidéo pour illustrer cela. Tirée d'une chaine YouTube : Data Gueule : - https://www.youtube.com/watch?v=5otaBKsz7k4 - https://www.youtube.com/watch?v=xhY5UuBvIo8 - https://www.youtube.com/watch?v=xhY5UuBvIo8

Mail étrange...

J'ai reçu récemment un message d'une amie m'expliquant qu'elle était partie en Grèce d'urgence pour une affaire et qu'on lui avait volé ses papiers, son argent et son téléphone, elle demandait donc si je pouvais lui envoyer un peu d'argent. Le vocabulaire utilisé dans le mail m'a surpris d'emblée, les tournures de phrases ne lui ressemblaient pas, et comme je l'avais vu la veille au soir c'était évident qu'il y avait un problème, je l'ai donc appelé pour en savoir plus: sa boîte mail avait été piratée et le même message avait été envoyé à tous ses contacts...

Mail étrange...

C'est malheureusement un classique.

Mail étrange...

A voir et à faire [Soyez acteur de la sécurité de l'information][1] [1]: https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/unormandie/68001/Trimestre_4_2014/about

Mail étrange...

^^ exactement, c'est ce que je conseille aussi dans un autre message !

Mail étrange...

Merci, j'ai déjà fait... ;)

Mail étrange...

:)

cyber mythomanie ?

J ai été frappé par des cas très troublants de personnes qui utilisent internet dans des circonstances de pathologies relevant de la psychiatrie. Cela existe hors du net mais c est amplifié lorsque ces personnes utilisent internet (blogs, forums de discussions ...) Pour attirer l attention , pour queter de la sollicitude,pour ...? Création d un personnage qui sera malade, victime de ceci ou cela l engrenage du mensonge semble facilement s installer. la presse à relater quelques cas sévères , J ai eu l occasion également d observer sur un forum de discussion. Les mensonges débordent ensuite très vite dans la vie effective (envois de dons de personnes compatissante aux malheurs inventés , aides matériels etc...) Les effets en cascade de cette pathologie amplifiée par le numerique sont nombreux (la personne concernée , ses interlocuteurs qui peuvent être des milliers, les personnes également réellement victimes de ces maladies "en vrai " sont affectés.. Je voulais soumettre ce sujet (qui doit être à la limite du theme), je pourrais trouver des articles à ce sujet si c est pertinent .

cyber mythomanie ?

quand ce n'est pas une escroquerie pour des raisons utilitaires financières ,ce qui arrive,cela doit sans doute correspondre à ce que vous décrivez , mais que je n'ai personnellement pas rencontré en clinique;internet offre alors une caisse de résonnance extraordinaire à de tels besoins narcissiques;si vous avez de la doc spécifique cela peut etre intéressant car recoupe des questions de la semaine 3 concernant les enjeux du numérique en terme d'identité; jlv

cyber mythomanie ?

Je commence ici une collecte d articles presse et de témoignages sur des forums à ce sujet. http://www.pearltrees.com/nathcardoso/cyber-mythomanie/id13365931

piratage de compte

J'ai connu une histoire de piratage de compte avec mon mari. Il faut être très vigilent avec les mots de passe. D'ailleurs pour ceux que ça intéresse, un mooc vient de se terminer sur le sujet : soyez acteur de la sécurité de l'information. Un excellent mooc. Ensuite ça m'est arrivé lors d'un achat en ligne de valider 2 fois une commande à cause d'une erreur, et donc débité 2 fois et reçu 2 colis à la maison que je n'ai même pas signé puisque le facteur me les a laissé dans la boîte... Du coup j'ai tout gardé lol, j'ai donné le double à ma soeur et à mon père. Et sinon après avoir fait connaissance avec certaines personnes en lignes (amicalement), j'ai été déçu par ces personnes. Je m'y étais attaché, et pour l'un d'entre eux, c'est à cause d'une addiction que j'ai fini par couper les ponts à cause de son comportement. Une addiction au canabis, et bien je peux vous dire que son comportement avait bien changé. Mémoire de poisson rouge, jamais s'investir et finir quelque chose (exemple code de la route que ses parents ont payé et qu'il a tout laissé tombé...), influençable, naïveté, bêtise. J'en ai eu marre de sa bêtise et qu'il ne m'écoute jamais. J'ai essayé de le raisonner, de lui dire qu'il fallait qu'il arrête, qu'il voit un médecin, ect, mais non... Quand je lui disais "t'as fumé ?" il me répondait "ouais un peu, mais hier et avant hier non" alors que un mois auparavant il me disait qu'il voulait arrêter. Bref voilà quelqu'un que j'appréciais comme un ami, même si ne l'avais jamais rencontré m'a déçu à cause de ça, et pourtant je voulais l'aider, mais c'est lui qui ne voulait pas s'aider visiblement.

Cheval de troie

Mon expérience la plus désagréable avec le numérique remonte à quelques années alors que j'ai reçu un courriel d'une amie avec un fichier attaché que j'ai malheureusement ouvert. Ordinateur bousillé.

Cheval de troie

Bonjour Pascal, Les virus peuvent effectivement ruiner un ordinateur et donc couter cher. Il existe cependant une solution assez simple, elle s'appelle Linux. La plupart des virus ont été conçu pour Windows, et n'ont donc strictement aucune prise sur les systèmes d'exploitation Linux. En plus c'est gratuit, ça fait deux bonnes raisons de franchir le pas. Guillaume

Des dommages physiques

Envoyer un mail au mauvais destinataire peut causer des problèmes...

Et les étudiants eurent des smartphones...

En guise d'expérience malheureuse je voudrais m'appuyer sur mon activité d'enseignant à l'université et l'utilisation massive des smartphones par les étudiants durant les cours. Même s'ils me savent intransigeant sur ce sujet, certains de mes étudiants ne peuvent pas s’empêcher de consulter leurs smartphones pendant les cours, ce qui a forcément un impact sur leurs concentrations avec parfois ce que j'appelle du "zapping opportuniste" car il est souvent plus facile de se laisser happer par un SMS ou une alerte quelconque que de rester concentrer. Certains sont ils enclins à une certaines forme d'addiction numérique ? c'est fort possible...

Et les étudiants eurent des smartphones...

De nombreuses études ont montré que la durée d'attention des étudiants en amphi (ou des enseignants en conférence) était inférieure à 10 minutes, ce qui signifie qu'ils risquent rapidement de rêver, ou bien de se détourner vers leur téléphone (ou leur voisin, ou tout autre distraction) ! Un certain nombre d'enseignants pensent qu'il faut accepter que les étudiants soient connectés en permanence, et construire l'enseignement en utilisant ces connexions pour enrichir le cours, notamment en faisant de la classe enrichie, ou bien en rendant les étudiants plus actifs avec de la classe inversée. Plus facile à dire qu'à faire bien entendu...

Emotions analogiques

Pas vraiment une expérience précise, mais plutôt une constatation générale. La communication numérique se fait principalement par le texte (forum, courriels, réseaux sociaux). Il est souvent très difficile de transmettre son ton à ses interlocuteurs. Ces derniers liront le message selon leur humeur du moment et leurs sensibilités, et donc interpréter le sens du message de manière différente de son auteur. Ce qui donne lieu à des incompréhensions, des prises de position et des "flamewars" qui n'auraient pas lieu si les lecteurs pensaient à relativiser leur compréhension du texte qu'ils lisent. En gros, laisser le bénéfice du doute au posteur, et ne pas assumer qu'il est blessant ou mauvais "pour de vrai". Ex : le "Gamergate", qui dégénère rapidement en guerre des sexes et en noms d'oiseau, dès que quelqu'un fait une remarque qui peut être comprise comme aggressive ou humoristique selon l'état d'esprit de chacun.

danger du numérique

possibilité de virus, de piratage avec utilisation de données personnelles et/ou professionnelles...

Des hauts et des bas

Comme pour tout outils, le numérique a aussi ses revers. Mes revers essuyés vis-à-vis du numérique concernent davantage l'atteinte de l'égo, la jalousie sur facebook en est un exemple. Par ailleurs, en guise d'illustration, un article de recherche à été publié l'année dernière et avait trouvé une corrélation entre le temps passé sur facebook et le mal-être éprouvé par la personne: http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0069841#s3

Semaine 2 / 2.1 Perception de mes usages

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Ce test a déjà 10 ans apparemment. Selon lui je présente un score de 51/100 et un "usage problématique d'internet". C'est vrai qu'il y a 10 ans, il n'y avait pas encore un usage aussi massif des réseaux sociaux, et j'ai aussi l'impression que beaucoup moins de gens utilisaient internet qu'aujourd'hui. Quelque chose qui était un comportement problématique il y a 10 ans est peut-être devenu une norme aujourd'hui. Ou alors nous sommes presque tous devenus addict? Ou bien je suis bien plus dépendante que ce que je croyais! Ambre

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Si on remplace "internet" ou en "en ligne" par "communication" ou "échange" par exemple sur la question 3 quand on est séparés (déplacement professionnel par exemple) la question perd son sens.

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Oui Ambre, je trouve que ce test date un peu quand même et ne tient pas assez compte de l'évolution des choses qui vont très vite en ce domaine. Mais je pense par ailleurs que la norme ne fait pas référence. Pour moi la majorité est encore assez accro à la télévision (sans parler d'addiction) et ce n'est pas une référence. ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/142123539140884.jpg

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Il manque dans le questionnaire une référence à l'usage de la TV en ligne. J'étais accro à la TV. Cela fait donc des années que je n'ai plus de tv. Mais ayant "découvert" la TV en ligne je regarde la TV via internet. Certes c'est parfois un peu mieux choisi, émission en streaming et e,n différé, du coup au moins je regarde moins de conneries et je choisi mieux mes émissions. pas toujours. Il faudrait dont ajouter la TV en ligne dans le numérique.

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

J'ai commencé un formulaire pour faire un questionnaire-jouet du mooc qui correspondrait à ce qu'on pourrait considérer en 2015. Ca se trouve là, il n'y a qu'une seule question pour l'instant, n'hésitez pas à compléter avec la TV par internet ou d'autres points ! Le lien du questionnaire (éditable par tous normalement) https://docs.google.com/forms/d/1zH19_OJB1RraPTs4iJjXJrbJjY244xqiyHxU64msQN8/edit?usp=sharing

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Oui, je suis d'accord avec RenaudA. Et merci à yprie, c'est une bonne idée pour un mooc collaboratif!

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

la première question est de l'ordre du savoir vivre, de la politesse, des valeurs que les parents vous inculquent. Cela ne me viendrai pas à l'idée de quitter une discussion entre amis pour me jeter sur mon smarphone, c'est peut-être l'âge qui y fait j'ai 58 ans. Quelque chose qui était un comportement problématique il y a 10 ans est peut-être devenu une norme aujourd'hui. ===> les usages ont évolués si on regarde la population digitale native elle regarde moins la tv et 2014 qu'il y a 10 ans. Le smarphone devient le couteau suisse il permet de s'informer, de voir des films, d'écouter de la musique voir à jouer en ligne. Ce n'est pas parcequ'on a plus de choix de chaines tv qu'on choisit mieux ces films au contraire les familles se disputent pour choisir leur film tant il y a de choix et de navets.

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Moi je me pose la valeur intrinsèque d'un test. Un test en fonction des items, de l'orientation des pré-supposés, on oriente la personne vers tel ou tel profil. L'homme est complexe et il ne se détermine pas que par des tests. La théorie de milgram a bien déterminé comment l'homme se soumet à l'autorité. Les questions ouvertes, positives, celles qui permettent de savoir les sentiments et ressentis font plus parler l'humain sans pour autant le juger.

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

En reprenant l'article de 2004 de Widyanto, je me suis aperçu que ce questionnaire de Kimberly Young date de 1998 !!!

75/100 wahoo !

J'ai 67 ans, beaucoup de choses m'intéressent, et je ne suis pas extrêmement sociable, mais de là à être complètement addict, non, je ne pense pas, je ne twitte pas, j'utilise peu mon téléphone, mais même si je travaille encore un peu, j'ai du temps... j'estime être beaucoup plus addict aux 3/4 verres de vin que je bois tous les soirs. Mais je me demande souvent ce que faisaient les retraités qui n'avaient pas Internet (je lis aussi beaucoup sur divers "tablettes).

75/100 wahoo !

Bonjour, Il est important de savoir que ce test ne pose pas un diagnostique, mais qu'il donne une photo à un moment donné sur les usages que nous avons du numérique. Vous avez donc tous les droits de ne pas être d'accord avec les résultats. Guillaume

39/100... sondage un peu daté...

Intéressant, ce sondage, mais ses formulations sont parfois un peu datées... Et mon score très modéré me paraît lié à la formulation de certaines questions.. "en ligne" : c'est différent s'il s'agit de chatter ou de jouer en réseau ou de travailler avec Internet ou de répondre à ses mails... Donc certaines réponses sont biaisées... Mais ça reste marrant !

Méthodo

Bonsoir, je ne comprends pas la Q11. Je ne peux pas répondre Jamais or pour moi, c'est presque toujours ma réponse.

Méthodo

Je partage tout à fait le point de vue de LVEB8: Souvent j'aurais voulu répondre "jamais" et ai donc forcément biaisé en répondant "rarement". cela me paraît problématique quand d'un autre côté il y a une réponse "toujours"! Par ailleurs il y a une question qui ne me concerne pas (travail scolaire ou universitaire) et je suis obligé d'inventer une réponse pour avoir la réponse du questionnaire... Gênant! ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14212348261702083.gif

Méthodo

Ça fait partie des (nombreuses) limites de ce questionnaire, qui est loin d'être parfait. Il n'est pas là pour fournir des réponses, mais plutôt pour servir de base à une réflexion, qui s'est d'ailleurs déjà un peu engagée sur le forum : quels sont les critères adéquats, quel est le biais introduit par l'âge de ce questionnaire, etc. Un exercice intéressant pourrait être d'essayer de co-construire notre questionnaire "idéal", à partir des questions qui se dégagent des contributions qu'on a eues jusqu'ici. Si ça tente quelqu'un de lancer un premier jet...

Méthodo

Je vous suis en tous points. Mathéa

Méthodo

Un questionnaire idéal pourrait être construit ici : [Un questionnaire en construction sur l'addiction au numérique][1] [1]: https://docs.google.com/forms/d/1zH19_OJB1RraPTs4iJjXJrbJjY244xqiyHxU64msQN8/edit?usp=sharing

Méthodo

La réponse Jamais devrait être dans le questionnaire, je l'aurais aussi utilisé quelquefois...

Numérique: ma définition, sa place dans ma vie

1- Ma définition du numérique : tout ce qui a à voir avec l’ordinateur et ses matériels dérivés, pour un usage hors ligne et sur Internet. Ca a pris une place énorme en termes de temps passé devant l’écran ces quinze dernières années chez moi. Il y a des tâches que j’effectuais à la main avant et qui prenaient également beaucoup de temps. L’outil a changé et nous propose plus de liberté, même si cet éventail de choix infini est particulièrement chronophage. 2- à titre privé : mes usages du numérique se font à 90% sur l’ordinateur, le reste entre l’appareil photo et la tablette. Pour quoi faire ? Garder le contact : messageries, partage de photos, blogs, liens vers des articles, des vidéos, des chansons…pas de participation à des réseaux sociaux pour communiquer ; Gérer les photos familiales : chargement à partir d’appareils photo numériques, scann de photos anciennes, les renommer et les classer, utiliser des logiciels de retouche, de partage (type dropbox, déposer, envoyer des liens par mail), de sauvegarde (disque dur externe, cloud). S’informer : consulter l’actualité, faire des recherches d’informations générales (pages jaunes, horaires d’ouvertures, préparer un voyage, réserver ses places de voyage, de spectacle, d’hébergement) Gérer les courriers familiaux : messagerie, traitement de texte, téléchargements d’outils informatiques (polices, programmes), consultation de sites et de forums, recherche de réponses techniques par tutos, enregistrement, classement, sauvegarde. Utiliser l’imprimante et le scann. Gérer les comptes familiaux via un logiciel « gestion du budget ». Entrée des écritures, pointage, équilibrage des comptes. Effectuer des virements en ligne. Correspondre avec son conseiller bancaire. Se former : lire des revues de presse professionnelle, des newsletters, suivre un MOOC… Enrichir la pratique de mes hobbies : cuisine, arts plastiques, généalogie, bricolage, travaux d’aiguilles via Pinterest, consultation des archives départementales en ligne, blogs… Faire des achats en ligne (rare) A titre professionnel : usage du Tableau blanc Interactif sur 95% du temps de classe. Préparation des cours par traitement de texte, scann de documents pour la classe, capture de sons, téléchargements, consultation de sites enseignants, enregistrement des notes des élèves, rédaction des bulletins trimestriels sur logiciel spécifique, nommer, classer, sauvegarder. Consultation de la messagerie sur l’ENT (espace numérique de travail) de la classe, organisation des informations à destination des élèves et des familles sur l’ENT. 3-Je ne me sens pas concernée par le terme « addiction » pour le numérique. J’utilise beaucoup l’ordinateur comme d’autres utilisent beaucoup la voiture : comme un outil pour effectuer des tâches qu’on ne conçoit plus de faire autrement. Je pense plus à ce terme d’addiction quand il est associé à un usage ludique, improductif, comme des jeux par exemple, qui coupent l’utilisateur de la « vraie vie », ce qui ressemble à une fuite. Mais dans ce cas, le terme « numérique » est trop vaste.

je m'évalue

Le numérique a pris une bonne partie de mon temps.C'est vrai que l'excès est aussi nuisible, mais je le préfère

des questions bizarres

j'ai trouvé certaines questions inappropriées: Q2 "2 - À quelle fréquence négligez-vous vos travaux domestiques pour passer plus de temps en ligne ? " au sens où si on me supprime internet, les travaux que je ne souhaite pas faire trouveront une autre excuse pour ne pas être faits... qu'est ce qui compte ici : l'évitement de certaines taches ou rencontres, ou le moyen que l'on utilise pour y parvenir ? Q17 "17 - À quelle fréquence avez-vous tenté sans succès de diminuer votre temps d'utilisation de l'Internet ? " ma préférée, de loin ! je n'ai jamais essayé de diminuer mon temps de connexion... je vis bien dans mon abus :)

des questions bizarres

Je suis d'accord, c'est un questionnaire directif, alors les questions sont quelquefois inappropriées!

41/100 ouf ???

Bon je suis pas encore addict mais attention...

Ce que j'en pense

Il y a des questions auxquelles je ne peux pas répondre mais comme il faut une réponse j'ai inventé. J'avais plutôt l'impression de faire un usage excessif au niveau du temps mais il est vrai que je n'hésite pas à avoir d'autres activités quand j'y trouve un intérêt et que mon usage ne prend pas une place démesurée au point de provoquer des troubles important dans le quotidien ou l'humeur.

Questionnaire

Bonjour, Dans ce questionnaire semi-directif, il m'a manqué l'option jamais, que j'aurais choisi pour la majorité des questions. Cela était-il délibéré de votre part ? Merci Mathéa

Questionnaire

Ce questionnaire est critiquable en de nombreux égards, et nous ne l'avons pas transformé par rapport à ce que son auteur original (voir la référence en bas du test) a proposé. Il peut donc être daté (comme cela a été mentionné sur le forum), utiliser des termes inappropriés ou des réponses inadéquates... Porter un regard critique sur le test lui-même et la manière dont il présente ses conclusions fait partie de l'exercice. Vous pouvez par exemple trouver un autre test, plus récent : http://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/5966/?sequence=16 qui pourra apporter un autre éclairage sur votre perception.

Trop de sous-entendus dans les questions ?

Bonjour Pour moi aussi il manquait l'option "jamais" pour une grande partie des réponses. Par ailleurs, être en ligne est à la base de mon activité professionnelle quotidienne ; internet est mon outil de travail ; c'est aussi le vecteur d'une partie de mes activités associatives ; internet contribue aussi à mon information comme à mes relations personnelles et interactions quotidiennes avec bon nombre de personnes. C'était déjà le cas il y a 10 ans... Cela ne s'oppose pas à une activité dans la vie réelle ; c'est un tout dans mon expérience. Seules les 10 dernières questions traitent de l'addiction, non ?

Trop de sous-entendus dans les questions ?

Bonjour, A priori l'ensemble du questionnaire traite de l'addiction. Qu'est-ce qui vous donnait l'impression que seules les premières questions en faisait partie? Guillaume

usage du numérique en fonction de l'activité

Dans le cadre de l'activité professionnelle on utilise beaucoup le numérique, c'est un outil comme un autre. Par contre à la retraite ou à titre privé, on est plus tenté de l'utiliser pour des jeux et la tentation est grande d'un usage addictif. Léonie

INADMISSIBLE

![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14214188542642792.png Je trouve inadmissible et non éthique de mettre ce message à la fin du quizz, pour moi ma participation à ce MOOC s'arrête ici ! Vous imaginez l'impact d'un tel message sur quelqu'un de fragile ?! Cela ressemble à de la "retape" pour trouver des patients, je suis outrée ! En ce qui me concerne ma participation à ce MOOC s'arrête donc ici...

INADMISSIBLE

Bonjour, je pense qu'il faut relativiser les résultats de ce test: il a vieilli et plusieurs en ont pointé certaines inadéquations... Mais oui, renvoyer vers un médecin traitant me semble anormalement pathologisant et choquant dans un espace où l'on est juste là pour parler de nos usages. Cela pose à mon avis la question de la véracité de ce que prétendent évaluer ces tests... Et d'ailleurs qu'est-ce qu'un médecin généraliste lambda connaît de plus que vous ou moi sur le numérique? Y a-t-il été formé? Mais bon je trouve que c'est dommage de quitter les discussions pour cela, profitons en plutôt pour questionner cette "évaluationnite aigüe!" (souvent souhaitée par les usagers eux-mêmes) et ses dangers potentiels. Reste que la question demeure: comment évaluer si quelqu'un est en difficulté ou non sachant que dans les addictions en général le déni par l'usager est un facteur courant... Ce test seulement quantitatif me paraît inadéquat pour évaluer la souffrance éventuelle liée à l'usage qui pourrait révéler ou non le fait d'être addict.

INADMISSIBLE

Surprise voire choquée à la lecture du résultat, je m'en suis avec le recul amusée car je pense connaître mon rapport avec le numérique. par ailleurs, je suis connectée au moins 8 heures par jour dans le cadre du travail donc le résultat ne pouvait être autre. A ce rythme la société entière est addicte.

INADMISSIBLE

C 'est un message type que vous trouverez sur tout questionnaire relatif à des questions pouvant être en lien avec une pathologie. Je trouve au contraire que cela signifie que cela ne représente pas un diagnostic et "faire un point avec son médecin traitant " est une démarche normale.

INADMISSIBLE

L'idée était justement de susciter ce genre de réaction, mais pas forcément de cette ampleur :~] Si vous lisez bien la question ("que pensez-vous de ces résultats ? et également que pensez-vous de ce test d'auto-évaluation ?"), l'intention derrière était de pousser à réfléchir à la validité de ce genre de tests, que chacun peut trouver en ligne ou dans des magazines. Les questions sont déjà à prendre avec un grain de sel (question de contexte, d'âge du questionnaire, etc), donc les "réponses" le sont encore plus, surtout quand elles sont générées automatiquement. La présentation du test ne mettait effectivement pas assez en avant cette intention, ce qui est une erreur que l'on va corriger, en ajoutant sans doute quelques éléments culturels à propos de ce questionnaire en particulier. On pourrait également proposer un autre questionnaire, plus récent, pour permettre des comparaisons, voir les évolutions, les différences de point de vue...

INADMISSIBLE

Oui c'est une erreur plus que regrettable et au lieu de perdre du temps à me répondre à moi qui vais bien et suis juste en colère... occupez-vous plutôt de tous ceux que vous avez inquiétés, angoissés pour rien ! Quelques-uns se sont exprimés sur le forum et n'ont aucune réponse et d'autres n'ont rien dit et s'inquiètent en silence. Pour eux vous comptez faire quelque chose, j'espère !

INADMISSIBLE

N'exagérons rien. Personnellement j'ai apprécié l' échange que cela a permis et j'ai quand même du mal a croire que quelqu'un soit traumatisé, d'autant que les différentes critiques du tests en ont bien relativisé la portée et qu'elles sont accessibles à tous...

INADMISSIBLE

Il est vrai, à mon sens, que le message de fin du quizz n'est pas très enrobée si je peux le dire ainsi et peut effectivement provoquer ou réveiller une émotion inattendue en lien avec l'histoire personnelle. Un avertissement préventif sur la teneur quelque peu brutale et "froide" de l'analyse serait le bienvenu en début de quizz.

INADMISSIBLE

Ce questionnaire a été développé aux Etats-Unis par K Young en 1998 avec un échantillon de population et une norme culturelle différente, mais il pose néanmoins certaines questions intéressantes. Il est publié, il est "vieux", mais permet de réfléchir sur son usage. Je suis allé reprendre l'article en anglais qui est cité, et je propose une traduction différente de celle utilisée (voir page 3 de l'article): Le score minimal est 20 et le maximum 100; plus haut est le résultat et plus Internet pose des problèmes. Young suggère qu'un score entre 20 et 39 est un résultat habituel d'un utilisateur qui contrôle son usage; un score de 40 à 69 indique des problèmes fréquents à cause de l'usage d'internet et un résultat de 70 à 100 indique des problèmes significatifs [traduction libre]. *The minimum score is 20, and the maximum is 100; the higher the score, the greater the problems Internet use causes. Young suggests that a score of 20–39 points is an average online user who has complete control over his/her usage; a score of 40–69 signifies frequent problems due to Internet usage; and a score of 70–100 means that the Internet is causing significant problems.*

51/100

Je suis addict! Et je dois consulter mon médecin! J'ai l'impression que je vais lui faire perdre son temps... J'imagine qu'en 2015, une majeure partie des français répondant à ce test est addict. Comme nous serons amenés à l'avenir à utliser encore plus les technologies numériques, on peut imaginer que les scores vont augmenter. Les médecins vont être débordés! Personnellement, je ne me sens pas malade. Au contraire, le numérique contribue à mon épanouissement personnel. Ce test est peu pertinent pour aborder la question de l'usage problématique du Net. Il manque des questions sur l'usage que l'on en fait et tous les apports positifs qu'on peut y trouver. C'est seulement un test quantitatif...

51/100

Bonjour, Votre impression prévaut bien évidemment sur le résultat obtenu au test. Si vous sentez que le numérique contribue à votre épanouissement personnel, je n'ai qu'une chose à vous dire, vive le numérique! Guillaume

addict ! j'arrête le travail :)

Questionnaire amusant mais peu représentatif. Quand le travail demande une présence importante sur le net... est on pour cela addict ? Le questionnaire devrait être revu me semble t'il car pour ma part, les questions ne convenant pas je n'ai sans doute pas répondu correctement à certaines ...

addict ! j'arrête le travail :)

Idem. Je tape à 79/100, mais je suis informaticien et la plupart de mes loisirs tournent autour du numérique. Je me ménage aussi du temps pour la lecture (hors ordi) et les médias (tv, films, musique, le tout hors ordi). Je me sens soulagé lorsque je peux accéder à Internet après plusieurs jours sans. Mais c'est plus une question de vérifier mes courriels (et les informations importantes que j'aurais pu manquer), qu'une véritable addiction.

perception de mes usages

le résultat du test semble assez juste pour cette période il m'est arrivé de tout mettre en place pour passer plus de temps sur le net

Le test

J'adore les tests et le fait qu'on mette l'homme dans des cases sans prendre en compte sa complexité et la complexité de son environnement. En plus 10 ans sur les usages du numériques c'est un siècle... Alors j'espère aller au-delà dans ce Mooc avec vous tous.

mon avis

Je pense que le numérique nous apporte certains avantage, mais je n'aime pas passer du temps derrière un ordinateur ou un portable. Il n'y a plus de lien sociable,ces machines nous connecte virtuellement mais nous éloigne au quotidien. J'aime passer du temps avec mes amis et ma famille lorsque nous sommes ensemble.

activité 1

J'adore les tests, il est vrai que ce test IAT peut donner une première approche, mais il ouvre en soi des questionnements. Par contre, le résultat indiqué est: Résultat : Vous n'avez pas encore répondu à toutes les questions (21/20), je n'ai pas bien compris.

test

tout a fait d'accord

Une conception déjà dépassée d'Internet dans ce test

J'ai fait le test avec amusement, car il comprend à mon avis des biais très significatifs qui reflètent une conception déjà dépassée d'Internet ou, en tout cas, qui ne peut s'appliquer à tous ceux qui suivent ce MOOC et encore moins à l'ensemble de la population. Le test sous-entend que c'est le temps de connexion qui est problématique, ou plutôt l'absence de contrôle du temps de connexion, sans jamais poser la question de ce que l'on fait en ligne. Dans la logique de ce test, choisir un billet de train, le réserver et l'acheter en ligne est plus "problématique" que de se rendre à la gare, faire la queue pendant une heure et acheter son billet après un bref échange avec le guichetier, avant de rentrer chez soi. Les activités en ligne se sont substituées à nombre d'activités IRL, avec tous les encouragements et les incitations des compagnies qui fournissent les deux types de services (la SNCF, dans l'exemple plus haut), l'action en ligne présentant souvent plus d'avantages que l'action IRL. "Traîner" sur Internet sans but ou en réalisant des activités non productives pendant des heures est peut-être problématique, mais lorsqu'on travaille avec Internet, lorsqu'on allège certaines activités habituelles avec Internet, etc. je ne vois pas pourquoi "réduire son temps de connexion" par exemple peut constituer un objectif allant dans le sens d'une meilleure hygiène de vie...

Une conception déjà dépassée d'Internet dans ce test

En effet et nous avons insisté lors du Webinaire 1 sur le fait que l'abord quantitatif n'était jamais le plus pertinent pour évaluer la dimension addictive d'une conduite jlv

Mes inquiétudes

Selon le test je suis dejà addict à l'internet. je n'arrive vraiment pas comprendre

Mes inquiétudes

C'est critiquable et critiqué. Il n'y a pas de raison de s'inquiéter je pense. De mon point point de vue de non spécialiste de l'addiction, je pense que les questions sont assez mal posées, et ne sont plus en phase avec le numérique actuel. Peut-être que les animateurs de la semaine devraient donner l'ensemble des infos du tests (= les différentes réponses en fonction des scores, histoire de voir si les curseurs, peut-être bien placés il y a 10 ans le sont encore. Je laisse les collègues spécialistes donner plus d'infos sur le test :-)

Mes inquiétudes

dans ce domaine il n'y a pas de critères validés d'addiction et l'école amèricaine de psychiatrie qui est responsable de l'édition du manuel regrouppant ces critères (eux memes fort contestés) a décidé dans sa toute récente 5ème édition que pour l'instant ce ne pouvait etre qu'un sujet de recherche ,faute de données consensuelles et scientifiquement validées; par ailleurs notre ambition lors de cette 2ème semaine,et plus largement durant ce MOOC,est que chacun des participants puisse s'intérroger à propos de ses usages ,d'une façon à la fois personnelle et partagée avec les autres ;il n'y pas en la matière de vérité qui puisse s'imposer à travers la réponse à un auto questionnaire,à la portée de quelques clics!jlv

Mes inquiétudes

Pour ma part, je suis encore à la préhistoire... Me connecter reste une torture !!! J'écrivais des lettres et je recevais des réponses... Je n'écris plus qu'occasionnellement parce que plus personne ne me répond et je ne prends aucun plaisir à lire sur écran... Suivre ce MOOc me montre à quel point je suis : DECONNECTEE

Mes inquiétudes

Bonjour, Vous posez me semble t-il un constat qui interroge sur le MOOC. Vous dites "déconnectée" vous ne dites pas "hors du numérique" et, en cela vous avez, me semble t-il bien raison. Le MOOC s'intéresse t'il seulement aux usages connectés ou aux usages, plus larges, du numérique : industriels, médicaux, informationnels, transmissionnels, dans les biens de consommation, ... Le numérique c'est la codification binaire et ses traitements de l'ensemble des composants et des activités de nos mondes. Nous sommes déjà en partie en transhumanie puisque l'ensemble des biens et des services, l'ensemble des éléments de la nature, l'ensemble des idées, pensées, idéologies ... ont une existence "numérique". Même si nous ne sommes pas connectés nous sommes traduits en codes binaires. Alors 'to bit or not to bit ?" Bien chaleureusement en 64 bits, Georges

Semaine 2 / 2.2 Mesure de mes usages

L'addiction aux outils 2.0 quand on est pédagogue

Bonjour à tous, je suis prof documentaliste et j'enseigne comment trouver l'info et la mettre en forme auprès de lycéens et d'étudiants. Pendant 2 ans, j'ai présenté des tutoriels d'outils de création tels que Canva, madmagz, et autres Prezi. Les élèves les testaient, bidouillaient et certains en sont devenus raide dingues comme moi. Cette année, j'ai enfin ouvert les yeux au risque de m'adresser à mes élèves de façon plus directe. Désormais je présente les outils en les surnommant ainsi : "c'est du H&M technologique, du prêt à porter design. Chers étudiants, nous allons les tester, les évaluer ensemble, afin d'en découvrir les avantages et les limites. Devenez exigeants, devenez critiques, c'est la clé pour ne pas endormir votre créativité". Et vous, quelle expérience en avez-vous ?

L'addiction aux outils 2.0 quand on est pédagogue

Bonjour, je ne comprends pas bien ce "risque de m'adresser à mes élèves de façon plus directe", pourriez-vous préciser ?

l'usage de l'application whatsapp

Un an de cela mes amis utilisait une application sur leur téléphone qu'on appelle le whatsapp.Je vous assure en ce moment j ai été quelque peu mis en quarantaine puisqu'il me considère ringard. depuis que j ai mon smartphone et je me suis fait installer cette application, j'en devient esclave, et j en suis conscient

Utilisation outils proposés

Je me représente les outils que vous proposez comme des réducteurs de libre arbitre plus que comme des objecteurs de conscience. Pouvez-vous m'éclairer à ce sujet ? Merci de votre attention. Mathéa

Utilisation outils proposés

Pourriez-vous expliquer en quoi ces outils réduisent-ils le libre arbitre ? Si ces outils vous permettent de vous rendre compte d'un certain usage, que vous estimez négatif, à vous ensuite de décider si vous changez votre comportement. Il existe d'autre outils plus limitants, tels que les filtres parentaux, ou ceux que vous réglez pour qu'ils vous coupent d'une application pendant un certain temps par exemple. On rediscutera des "technologies réflexives" dans la semaine 3.

Utilisation outils proposés

Les outils proposés ne font qu'offrir des informations "factuelles" sur notre utilisation des outils/plate-formes numériques. Libre à chacun/e de les utiliser ou non, et surtout de prendre leurs résultats en compte de la manière qui lui convient. J'ai du mal à voir dans quelle mesure ça pourrait limiter notre capacité à exercer notre libre-arbitre ? L'idée de cet exercice est surtout de voir dans quelle mesure on peut avoir une perception faussée de sa propre utilisation du numérique (outil, service...). Par exemple, l'extension Moluti (pour le navigateur Chrome) propose une vision de l'historique de navigation (déjà présent dans le navigateur), permettant de mieux apprécier ses habitudes de navigation. Ainsi, l'histogramme en bas à droite permet de voir à quels horaires on a utilisé chrome. De mon côté, j'ai pu constater que je ne l'utilisais jamais entre 1h du matin et 8h du matin, ce qui peut me conforter dans ma perception d'une utilisation "raisonnée" du numérique (ou du moins de Chrome). Je l'ai utilisé durant les vacances: en regardant les mots-clés liés à cette période (en cliquant sur les jours concernés dans l'histogramme du haut), j'ai pu constater que les termes liés au MOOC étaient fréquents, ce qui traduit bien effectivement ce qui s'est passé. Par contre, j'ai été surpris de constater que je ne l'utilisais quasi-pas les lundis matin: si je sélectionne le lundi dans l'histogramme présentant la semaine, je vois s'afficher l'histogramme heure-par-heure correspondant, qui est surtout concentré sur la fin de journée: effectivement, le lundi matin, je traite mes mails et effectue diverses tâches qui monopolisent mon activité et font que je n'utilise pas chrome. Un tel outil offre donc déjà des pistes intéressantes de réflexion sur ses pratiques. Notez bien qu'il ne fait qu'afficher des informations d'historique de navigation déjà stockées par le navigateur. Les informations restent confidentielles (stockées sur l'ordinateur) et ne nécessitent pas de phase d'observation avant de présenter les graphiques.

Utilisation outils proposés

J'ai testé Moluti, c'est assez impressionnant de voir comme tout ce que l'on fait est ainsi mémorisé et décorticable... Et si l'on sait que certains s'en servent à des fins commerciales, c'est intéressant de savoir que soi-même on peut l'utiliser à d'autres fins personnelles plus intéressantes. Merci donc. Mais bon, en l'état actuel de mon temps passé sur le numérique j'arrive encore assez bien me repérer et je ne ressens pas le besoin d'introduire un critère objectif extérieur. J'imagine cependant que cela peut être utile à des personnes beaucoup plus immergées, par exemple dans des jeux, car il est vrai que l'on ne voit pas le temps passer quand on est sur quelque chose de passionnant... Cela pourrait aussi servir à certains parents pour objectiver la surconsommation de leur enfant si problème à leur avis...

http://www.moluti.com/

J'ai testé. Intéressant. Merci

et pour firefox ?

les outils de mesure de temps passé sur le net que vous proposez ne semblent pas compatibles avec Firefox, dommage ... je n'utilise que ce navigateur et aucun smartphone ou tablette. j'ai trouvé une extension firefox "RescueTime for Firefox" est-ce équivalent ? je l'ai installée et vais voir au fur et à mesure de mes navigations ce que ça donne et ferai un retour.

et pour firefox ?

Bonne idée de nous faire un retour. J'utilise moi aussi Firefox et ce type d'extension me rend curieux. Guillaume

et pour firefox ?

L'équivalent pour firefox s'appelait about:me (voir http://blog.websourcing.fr/firefox-aboutme-un-plugin-pour-analyser-son-usage-du-net-3-6-like/ et https://addons.mozilla.org/en-US/firefox/addon/aboutme/ ) mais il n'a pas été mis à jour pour les versions récentes de firefox malheureusement. Il est possible d'installer des outils comme http://www.manictime.com/ mais ils sont plus intrusifs.

Découverte

Je ne connaissais pas ces outils et je n'ai pas l'intention de les utiliser. le résultat au test est catastrophique, j'ai du répondre à l'envers car je dois m'occuper d'une maison, d'un ado, j'ai 4 petits enfants, je lis beaucoup de livres et je me fixe des limites de temps de connexions. J'ai encore la volonté de gérer seule.

outils

outils intéressants pour connaître ses limites

Semaine 2 / 2.3 S'auto-limiter ?

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

Aujourd'hui internet notamment est une part intégrante de ma vie. Je travaille sur le web, je "loisire" sur le web, je fais mes courses sur le web, je converse sur le web, ... mais le numérique est ce uniquement le web. Me limiter bien sur, dans le cadre perso pour retrouver des valeurs centrées autour de la famille, de la réalité, ... c'est un besoin que je ressens et que j'essaye de m'appliquer. Mais le numérique ce n'est pas que cela. Mon fils de 4 ans maitrise l'ipad mieux que moi, le père noel lui a apporter une DS (usage à discretion) et mon conjoint est un TV-phil compulsif. Plutot que de diaboliser le numérique comme une addiction, ne devrions juste pas accepter que c'est maintenant dans nos moeurs et apprendre à vivre avec. Eduquer à l'usage du numérique comme on a éduqué par exemple à l'usage de l'alcool. J'ai toujours vu mes parents boire du vin à table, en soirée, j'ai été éduquée à ne pas aller dans dans l'excès. Car c'était un moeurs.

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

C'est bien là toute la question et on comprend que ça fasse peur car nous n'avons pas le recul nécessaire pour y répondre. Il faut vivre l'expérience pour vérifier !!! Dans ma famille, 4 générations se retrouvent sur skype et la distance n'est plus un problème pour permettre à la grand-mamie de voir sa petite petite fille. A 2 ans à peine vous lui montrez un pc portable, et elle vous montre l'objet en disant 'papi' 'mamie'. C'est génial mais en même temps ça fait froid dans le dos. Quant à la grand mamie, elle l'aime bien son pc jusqu'à le démonter pour lui ajouter de la rame. Au travail, les jeunes en formation sont en permanence connectés sur leur téléphone. Il leur est vraiment difficile de le poser. Dès qu'il y a un travail à faire sur pc, certains vont devoir, je dis bien devoir se connecter à You tube pour mettre en fond de la musique. Ce que je tolère, à tort ou à raison. D'autres iront directement se connecter à fb pour ne rien faire d'autre. Moi ce qui me saute aux yeux c'est surtout le fait qu'ils ont beaucoup de mal à traiter l'information puisque leurs activités se limitent aux jeux et aux réseaux sociaux. Quant à moi, je me sens plutôt bien derrière mon écran mais je n'oublie pas les activités extérieures

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

Merci à Julie 1503 d'avoir si bien posé la problématique. Personnellement je ne me sens pas envahi par mes usages du numérique mais je constate qu'ils ne cessent d'augmenter donc la question de la limitation existe pour moi quand même ou se posera bientôt... Dans tous les domaines de la consommation me semble-t-il nous sommes amenés à poser nos propres limites et quand il y a des domaines où nous ne savons pas le faire, il y a un risque d'usage excessif et dans les cas les plus importants d'addiction, c'est à dire d'envahissement au détriment d'autres éléments participant à notre équilibre. Natag, merci aussi pour votre témoignage clair sur cette question, tant dans votre sphère privée que professionnelle. Pour alimenter la discussion, je voudrais vous interpeller sur cette dernière partie: je suis bien conscient que c'est très difficile de "gérer" certains jeunes en apprentissage, surtout sur ces questions là mais bon, j'ai quand même un peu de mal à comprendre comment on peut être en apprentissage et écouter la musique sur youtube ou échanger sur facebook en même temps que l'on est censé faire un devoir. Bon, en même temps je ne pense pas qu'un enseignant seul puisse régler cette question, c'est l'institution où il travaille qui doit permettre un positionnement collectif ou au moins prendre des décisions qui permettent de remplir la mission... Et puis si ces jeunes se permettent cela à l'école, c'est que surement chez eux c'est permis aussi en des circonstances où cela ne devrait pas... Et puis on a tous des doutes : est-ce que le "trop" d'aujourd'hui ne sera pas la norme de demain? est-ce que la norme est une référence d'ailleurs? etc. Nous en sommes donc actuellement réduits à nos doutes évolutifs et à notre intime conviction... Je terminerai par un exemple qui m'a marqué à l'époque: En première année de collège de mon fils, j'avais été fort étonné de voir que les enfants qui avaient un smartphone avaient le droit de l'amener à l'école et de s'en servir pendant les récréations. C'était embêtant pour moi car je trouvais que concernant mon fils, c'était encore trop tôt pour avoir un tel. Lors d'une réunion, j'ai demandé s'il ne serait pas mieux d'en interdire l'usage dans cet espace. Le représentant de la direction a dit que c'était impossible car c'est un instrument de communication et que les parents ne seraient pas d'accord. L'année suivante, après que des élèves se soient fait régulièrement "choper" à regarder des images ou des petites vidéos pornos et que plusieurs enseignant se soient retrouvés sur Internet après avoir été filmés à leur insu et parfois relookés, j'ai constaté que l'impossible avait pu se réaliser: la possession de smartphones demeurait certes autorisée mais l'usage interdit dans l'enceinte de l'école. Depuis les choses se sont apaisées et la question ne fait plus polémique même si bien sur parfois certains utilisent leur téléphone quand même discrètement durant les récrés... Je ne prétendrai pas non plus que c'est une solution à généraliser mais c'était la bonne réponse à cet endroit là et à ce moment là. Il est quand même très interpellant de savoir que nombre des dirigeants de Google mettent leurs enfants dans des écoles où il n'y a pas d'accès au numérique... La question de la place souhaitable pour le numérique à l'école demeure à mon avis à ce jour non suffisamment résolue et c'est pourquoi je pense important d'échanger à ce sujet comme nous le faisons.

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

Bonjour Julie, Je suis d'accord avec vous, le numérique n'est pas qu'un problème, son succès à lui seul nous montre qu'il a de nombreux aspects positifs. Il ne me semble pas que ce MOOC essaie de diaboliser l'usage du numérique avec l'addiction, mais plutôt de porter un regard sur nos usages et l'addiction qui existe dans de rares cas, mais qui est très présente dans l'esprit de beaucoup d'usagers, comme en témoigne la facilité avec laquelle on utilise le terme addict aujourd'hui. Effectivement, par rapport à cela, l'idée d'une éducation au numérique me semble bonne, et elle revient souvent. Mais qui doit s'occuper de cette éducation? Les parents, les profs, les experts du numérique? Guillaume

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

Tous ceux que vous citez ! Pour cette génération il me semble difficile de confier uniquement aux parents la tâche de l éducation numérique du fait du décalage technologique qui peut exister . Le savoir est en construction et les experts sont nécessaires. Ce sera (C est ?) dans les programmes scolaires nécessairement en lien avec les autres apprentissages (dont l éthique , le droit ...oui je suis addict à l utopie aussi ). C est tout le village qui doit se ciller à cette tâche .

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

Oui, tout à fait d'accord avec vous Cardoso, il incombe au plus grand nombre de s'y mettre et les avis des experts, c'est à dire ceux qui ont simplement un peu plus réfléchi sur la question, (pour moi un geek a une expertise) méritent toute notre attention. Parlant d'éducation, je trouve, pour ce que j'en sais, que l'éducation nationale a quand même mal négocié le virage informatique qui aurait du mobiliser beaucoup plus vite et plus fort, tant dans la réflexion face à ce phénomène nouveau que sur la formation des enseignants pour une meilleure mise en oeuvre auprès des élèves. Mais il y a des enseignants qui ont lancé des initiatives individuelles remarquables.

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

oui il faut vivre avec son temps et avec son époque, mais je pense que tout excès est nuisible quand même, vous parlez de vin de table tout à l'heure, vous avez conclu que boire avec modération est la solution, par contre il nous est difficile de nous surfer avec modération avec les numériquesz

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

Il est aussi parfois difficile à un bon nombre de boire avec modération... Pour moi le problème est comparable.

Le mariage :-)

Il parait évident que la vie en couple ou toute autre forme de communauté est un facteur de limitation. En gros, la vie d'une façon générale est un bon facteur d'auto-limitation. Et pour un vieux grognon solitaire comme moi la vie c'est tout simplement internet. Beau paradoxe.

Le mariage :-)

ce n' est pas la même chose la vie en couple avec une femme ce que les femmes réagissent dès qu' il y a un abus, par contre la numérique est un partenaire qui pourra rester avec vous pendant des heures, donc l' auto limitation vient de vous mais pas de votre outils, ,

Le mariage :-)

Quand on est seul et sans activité, pas facile de s'auto limiter, et puis d'ailleurs pourquoi ? Si on a plein de temps et qu'Internet nous permet de nous évader et nous distraire, tant qu'on arrive à s'en détacher et à faire autre chose comme le ménage ou autre. C'est mieux que la TV toute la journée, à mon sens.

Auto limitation

Nous au Togo un pays en Afrique occidentale ou la connexion internet est très chèrement payée.Donc dès fois si on a plus les moyens on se limite naturellement

Auto limitation

ah voilà une idée pour limitée la connexion, payer plus chère, ou peut être essayer les bas débit dans mon pays l'internet est encore au bas débit, mais cela constitue un frein au progrès ? Alors il faire attention que la limitation de notre consommation n' est pas nécessaire sur l' aspect positif de la numérique

Auto limitation

cela me rappelle lorsque j'ai eu internet à mon domicile au tout début, je n'avais qu'un forfait 50 heures. et je trouvais ça génial parce que ça me paraissait énorme de pouvoir passer autant de temps par mois sur l'ordi à la maison. je devais donc vérifier régulièrement où j'en étais de ma consommation. maintenant je me restreint par moi-même. j'arrive à me dire stop arrête l'ordi (je l'éteins) et fais autre chose.

Auto limitation

plus que l'auto-limitation, ce qui m'intéresse d'évaluer c'est le type d'usages que je fais. ça m'agace de voir que j'ai pu passer 1 heure sur facebook par exemple à lire les notifications et autres messages alors que je ne voulais au départ resté que 15 minutes et consulter autre chose.

Auto limitation

j'utilise mon pc portable pour tout ce que je cherche ,veux ,désire et dont je sais qu'internet sera très effice.Mais etre dérangé par les sonneries ,pub,applis, et tout intrusion intempestive et chronophages non non et non

Pas de raison

Je ne trouve pas de raison objective (en toute subjectivité) à une auto-limitation, compte tenu de l'utilisation que je fais des outils numériques. Ils me servent et j'arrive bien à m'en défaire, m'en éloigner. Je vis sans/avec, selon. Mathéa

Quand j'ai senti le besoin de m'auto limiter

Bonjour, J'ai eu régulièrement senti le besoin de m'auto limiter. En effet, avoir des notifications pour les e-mails, pour FaceBook, pour Twitter. Regarder les sites d'informations mais surtout lire certains commentaires d'internautes sur l'actualité. Vérifier ses messages sur un site de correspondance... Tout cela, à un moment, a génèré pour moi un grand stress. Le stress par les sollicitations multiples, par être interrompu à chaque notification et donc être tenté de regarder tout de suite en lâchant ce que je suis en train de faire, le stress de savoir si j'ai été et commenté sur les sites d'actualités, sur FaceBook, retwitté ou mentionné sur Twitter... Etre dans l'attente de cette notification sur le sujet me semble important. (Il y a d'ailleurs trop de sujets pouvant sembler importants). Il y a une forme d'attente de reconnaissance de ce que l'on dit et fait sur les réseaux. Il y a aussi le stress et l'agacement de ce que l'on voit et lit qui nous touche, de certaines remarques, réflexions, commentaires. Donc dans ces moments là, je me modère en lâchant mon téléphone, ma tablette. Je ferme la boite e-mails, je ne me connecte plus sur les réseaux sociaux ni sur les sites d'informations et je me concentre uniquement sur ce que je veux faire, apprendre, travailler. Puis je m'accorde 2 à 3 connexions par jour sur chaque et je n'y reviens pas. J'arrive à m'auto gérer,ça fonctionne bien. Maintenant, je connais mes limites, je sais lâcher les écrans pour me recentrer sur ce que je fais et vis au moment présent, à l'instant T.

Quand j'ai senti le besoin de m'auto limiter

Bonjour Olivier, Merci pour ce témoignage. La question du stress généré par Internet, avec ses sollicitations constantes et plus généralement le fait que sur internet, rien n'est jamais fini, il y en a toujours à faire, est déjà revenu précédemment, sous une forme un peu différente. https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/univnantes/31002/Trimestre_4_2014/discussion/forum/78d9fee556184817b0ed7d7f0b0f273b/threads/54b510c1bf989a3629000024 Guillaume

internet /ordi :oui ,les bidules qui sonnent non

j'utilise mon pc portable pour tout ce que je cherche ,veux ,désire et dont je sais qu'internet sera très effice.Mais etre dérangé par les sonneries ,pub,applis, et tout intrusion intempestive etchronophages non non et non

Choisir les outils qui me conviennent

Depuis que le numérique est entré dans ma vie, je prends le temps de choisir les supports et les pratiques qui me conviennent. Par exemple : - un téléphone portable, oui. un smartphone non. - Internet oui, Facebook non... Du coup ma "consommation numérique" est davantage faite d'actions vers l'extérieur (je vais vers : je cherche une information, je cherche une distraction, je vais à la banque sur mon ordi, je consulte des critiques de films, je fais des achats...) plutôt de sollicitations permanentes, qui viendraient de l'extérieur vers moi(avec éventuellement des sonneries intempestives...) qui me paraissent chronophages et finalement inintéressantes, anxiogènes... Je n'ai pas besoin d'être au courant de tout et même, je le refuse ! Je n'ai pas besoin non plus de savoir tout avant tout le monde. J'ai besoin de temps pour ressentir, réfléchir, désirer, digérer les informations reçues, les lectures que j'ai faites, les images que j'ai vues... Ce temps-là, indispensable pour moi, ne se fait pas devant un écran. L'écran pousse à la consommation, à la rapidité et parfois à la superficialité.

Est-on addict ou juste trop facilement tentés par des loisirs continuellement accessibles ?

Bonsoir, En lisant quelques messages (j'espère d'ailleurs ne pas écrire quelque chose de déjà dit mais ça semble difficile de tout lire :)), une question a pris forme dans mon esprit... La plupart de nos activités (travail, loisirs...etc) sont règlementées par des contraintes (de temps, d'horaires, de coûts...etc). Et, pour moi, les gens qui ont des addictions comportementales (au sport, au travail, voir à la nourriture...etc) franchissent à un moment ces contraintes pour basculer dans des usages excessifs qui ont souvent des conséquences (fatigue, arrêt d'autres activités...etc). Du coup, est-ce que ce sentiment d'angoisse face au numérique ne viendrait-il pas du fait qu il y a très peu de contraintes à son usage et que du coup il est le client idéal pour nos comportements (naturellement ?) abusifs ? J'ai remarqué que beaucoup de gens expriment l'idée qu'ils arrivent facilement à se passer du numérique quand ils sont dans un lieu sans matériel ou sans réseau... Or, un vrai addict, si je ne me trompe pas, fait tout pour se procurer ce qui lui manque (quitte à tomber dans le dangereux, l'illégal... etc). Donc, peut-être que ces gens (dans lesquels je m'inclut d'ailleurs) ne sont pas addict à proprement parler mais ressentent juste une difficulté à avoir devant eux un outil qui leur permet, n'importe quand et en quelques clics, de se connecter, de lire, partager, jouer.. sans sauter dessus :) Du coup, peut-être que l'on doit effectivement s'auto-limiter, se créer des sortes d'horaires d'ouvertures (pour faire un parallèle avec la bibliothèque)... afin de ne pas être débordé par la tentation :) Pour finir, je pense que la multiplication des sollicitations, pas seulement à cause du numérique, mais aussi dans les domaines de l'achat par exemple avec les crédits...etc nous obligent à faire des choix et à s'imposer des règles. Pour info, en ce moment, je m'impose 1/2h de lecture chaque soir et un coucher avant 23h et, non seulement ce n'est pas si difficile que ça à faire, mais en plus ça fait du bien je trouve d'avoir ce genre de règles :) Voilà, je vous laisse commenter !! Bonne soirée, Angéla

Est-on addict ou juste trop facilement tentés par des loisirs continuellement accessibles ?

Bonjour, il y a plein de choses aussi dans mon frigo que je peux manger à volonté, je peux prendre n'importe quel livre dans ma bibliothèque, mon lit est toujours prêt à m'accueillir, ma télé (que je n'ai pas :-) me propose plein de programmes 24h/24, etc. Les contraintes de temps, d'argent, jouent également là-dessus. La différence avec le numérique ne me semble pas si évidente directement.

Est-on addict ou juste trop facilement tentés par des loisirs continuellement accessibles ?

Bonjour, Ce que je voulais dire c'est que le numérique a tendance à diminuer les contraintes je trouve, ce qui peut être anxiogène ou augmenter les comportements excessifs. Par exemple, j’entends souvent des gens se plaindre que les adolescents passent beaucoup de temps à discuter sur leur smartphone... Or, sur le fond, ce n'est pas nouveau, un adolescent préfère toujours parler à ces copains qu'à ces parents. Mais avant le numérique, les parents savaient poser simplement la limite en virant le copain de la maison par exemple. Alors qu'avec le numérique, le copain il est toujours là, à porté de main alors forcément c'est tentant. Surtout à l'heure des forfaits illimités et du wifi généralisé... Et les parents ne savent pas toujours comment le virer :) (même s'il existe des solutions souvent). Si on en revient à la lecture, lire des livres à la bibliothèque ou en acheter ça présente de nombreuses contraintes. Alors que là, je vois ma tablette et mon wifi et je me dis tiens je vais aller lire deux trois articles, quelques forums, voir un livre...etc et ça peut durer longtemps sans forcément de contraintes pour m’arrêter :) Et ma conclusion c'est juste que mon comportement parfois excessif (ou celui de l'ado devant son jeux par exemple) ne vient pas forcément d'une addiction réelle mais aussi du fait qu'on n'étais habitué je pense à avoir des contraintes naturelles (physiques, techniques..etc) et pas forcément à se les créer soit-même. Voilà, c'est une réflexion personnelle bien entendu et pas absolue... Mais je trouve intéressant de réfléchir à l'idée que le numérique ne nous rend pas forcément addict mais que par contre il nous oblige à réfléchir et à organiser son usage pour éviter les comportements excessifs. Bonne journée, Angéla

Est-on addict ou juste trop facilement tentés par des loisirs continuellement accessibles ?

Sur l'exemple des adolescents et des téléphones : je me souviens bien que pendant mon adolescence je pouvais passer des heures en communication locale (pas chère) avec les copains ! Mais il n'y avait pas les SMS qui pouvaient partir à toute heure du jour et de la nuit, je vous le concède. Je pense que le début des activités de la semaine prochaine permettra de discuter de celà en étudiant notamment ce qui change avant/après sur un certain nombre de points tels que rapport au temps ou identité.

Est-on addict ou juste trop facilement tentés par des loisirs continuellement accessibles ?

Bonjour Angela, je trouve vos remarques très pertinentes, ainsi que les commentaires de yprie, merci à vous deux. Angela, je vous approuve: l'accessibilité ultra-facile au numérique, fortement augmentée encore avec la multiplication des smartphones, lui confère de fait une propriété invasive si l'on n'y prend garde. Le numérique, pas besoin d'aller le chercher pour le trouver, c'est lui qui nous trouve! Effectivement je pense que le plus grand nombre est face à un usage excessif plutôt qu'à une addiction à proprement parler et que la mise en place de règles personnelles choisies est le meilleur outil pour une autorégulation satisfaisante. Dans ce domaine c'est à chacun de trouver les limites qui lui conviennent. Il me semble qu'une bonne part de l'éducation consiste en l'intériorisation de limites d'abord imposées de l'extérieur mais comme pour le numérique il n'y a pas de modèle pré-établi, puisque c'est nouveau, nous devons en inventer sur le tas. Ce fut pareil pour la télévision lors de son apparition et beaucoup se sont quand même bien laissé envahir et bon nombre y est encore clairement aliéné....

s'auto-limiter

La question me paraît intéressante si l'on met en parallèle le monde professionnel et la sphère personnelle. Dans l'un, on pourrait schématiquement imaginer une personne soumise à des obligations. Celles du résultat justifiant son poste de travail. A cela s'ajoute un potentiel besoin de satisfaire un client, une équipe, une direction. Il n'est pas rare de voir des salariés de certaines boîtes effectuer 11 voire 12 heures de travail d'affilée sans compter les mails consultés le weekend. Dans ce cadre comment s'auto-limiter? Dans l'autre c'est une personne qui se connecte sans compter ses heures mais sans les mêmes impératifs, le même stress. Notion de plaisir personnel et/ou du faire plaisir ? Conséquences néfastes sur la santé et la vie sociale dans l'un et/ou l'autre? Limites de l'entourage qui s'inquiète. Encouragement du directeur qui note les bons résultats? Bref, beaucoup de questionnements...!

s'auto-limiter

Le problème au travail c'est que plus on en fait, plus le chef nous en redemande... Personnellement, je ne travaillerai pas plus pour faire plaisir au chef, être bien vu, ou je ne sais quoi. Parce qu'on finira par trouver ça normal, et après on augmentera encore la masse de travail. Hors de question que j'emmène mon travail à la maison. Dans ce cas là, c'est les chefs qui nous rendent accros, mais accros sans vraiment le vouloir.

s'auto-limiter

La question est aussi d'avoir des collègues qui se comportent un peu comme des "addicts" au travail (où l'on revient encore à l'addiction !)

s'auto-limiter

Oui c'est vrai. Si un collègue travaille comme un malade, après on se sent obligé de suivre malgré nous.

limitation

Je n'éprouve pas le besoin de m'auto-limiter étant donné l'utilisation que je fais tant de mon smartphone que de mon PC. Le questionnaire précédent ne m'a pas paru totalement pertinent, dans la mesure où la possibilité de répondre aux questions ne fournissait pas la rubrique "Jamais" ! Sinon, nul doute que je l'aurai cocher souvent !

s'auto limiter du mooc ^^

Il faudrait que je m'auto limite pour ce mooc qui je trouve prend beaucoup de temps ! Beaucoup plus que je ne le pensais, si on lit, qu'on essaye de répondre aux forums et au questions. Au secours ! lol ^^ Ce n'est pas un reproche. J'ai raté le wébinaire tout à l'heure, mais j'ai regardé le 1er, et ça prend du temps :D. En plus je voulais le revisionner pour prendre des notes, argh dur dur. Je voulais m'inscrire à d'autres moocs, mais ça me prend trop de temps lol, donc voilà mon auto limitation aux moocs.

Faire des break

J'aime bien partir quelques jours en vacances sans accès. Ni connexion, ni portable.. Une petite cure qui remet les choses en place..

s'autolimiter?

Je ne sens pas le besoin de m'autolimiter.j'utilise par exemple l'internet pour des besoins spécifiques.Mon seul problème, c'est avec mon téléphone portable qui est toujours à coté de moi. Mais là encore je me bat pour m'en débarrasser peu à peu en prenant conscience sur l’inconvénient des ondes sur notre santé. c'est un effort mental et aussi une programmation de mon cerveau sur une telle décision( m'écarter de mon téléphone portable un temps soit peu)

Peut-être sortir...

S'auto-limiter en pratiquant des activités physiques à l'extérieur, peut-être en emportant son portable au début si nécessaire. Le corps est actif, l'esprit peut être aussi par l’environnement de cette pratique. Cette pratique peut engendrer des rencontres, susciter des intérêts nouveaux. Bref, sortir de notre routine ! Serait-ce un bon début ?

Remplacer une obsession par une autre

Un moyen de s'auto-limiter est de choisir une nouvelle obsession. Et/ou de consommer l'obsession actuelle suffisamment longtemps pour s'en lasser, et donc d'en diminuer son emprise. Exemple personnel : je peux passer des dizaines d'heures sur un même jeu vidéo, puis ne plus toucher un titre pendant plusieurs jours. Je passe alors à autre chose (un livre, un série TV, une création numérique), jusqu'à ce que je m'en lasse. Il s'agit plus globalement de rediriger son attention sur un nouveau sujet, plutôt que de s'enfermer dans l'habitude. L'attrait du nouveau et le plaisir de la maitrise, contre la sécurité du connu et l'aisance de la répétition.

Remplacer une obsession par une autre

là ou les choses peuvent se compliquer c'est quand la recherche de sensations et de nouveauté fait partie des dimensions de personnalité qui participent à la vulnérabilité addictive ,avec une boulimie d'objets successifs vis à vis desquels la relation reste plus ou moins aliénante jlv

S'auto limiter ?

De mon côté je pense ne pas avoir terminé de découvrir toutes les possibilités d'internet. J'en apprends encore tous les jours. Grâce à ce Mooc d'ailleurs! Donc pour moi je ne ressens pas le besoin de limiter mon usage. Merci pour les deux "webinaire" passés, très intéressants sylvie

s'auto-limiter

tant qu'on y est pas addict... les nouvelles générations plutôt à surveiller afin d'éviter cette addiction???

Paradoxalement...

Je ressens moins le besoin de m'auto limiter depuis, et cela est paradoxal, que l'accès à Internet est devenu plus simple. Je m'explique : adepte d'Internet depuis le début de sa percée en France, je passais beaucoup plus de temps en ligne car s'y connecter était contraignant (attendre que l'ordinateur démarre, attendre que la connexion soit établie, attendre que la page se charge...), il arrivait très souvent que j'oublie ce que je cherchais initialement et que je me laisse aller à flâner de sites en sites. Alors qu'aujourd'hui il me suffit d'allumer ma tablette ou mon smartphone, taper ma recherche dans Google et voilà j'ai l'info que je voulais, et cela en quelques secondes, dès lors je me laisse moins aller à me balader de sites en sites...

Paradoxalement...

Je suis d'accord avec toi Pierre-marieConte. L’accès à l'information est devenue beaucoup plus rapide et le devient de plus en plus au fil des années ! (4G, 4G+) Alors pour obtenir une information il suffit seulement de faire la recherche et c'est finit mais attention toutefois à ne pas chercher un complément d’information. En effet, puisque la recherche est rapide il est aussi simple de rechercher plus en détail la réponse à la question posée au moteur de recherche. On peut tomber dans un cercle vicieux !

Limites

Au vu de ce que m'apporte internet, je dirais qu'il serait nécessaire de s'auto-limiter vis-à-vis des lectures non intéressantes sur internet et des activités chronophages de chat.

Semaine 2 / 3.1 - Définir l'addiction au numérique

J'opte pour l'addiction à internet

J'opte pour l'addiction à internet parce que l'unternet est une composante du numerique

addiction au numérique

Je choisis l'addiction au numérique car cela englobe l'addiction à l'internet (consultation des contenus, de la boîte mail..) mais aussi l'addiction aux jeux qui ne sont pas forcément en ligne.

L'addiction est propice à quel terme?

Le terme addiction est très globalisé donc est propice au numérique donc j' opte pour ADDICTION AU NUMÉRIQUE. Notons que ces termes se différencient à des nuances prêt.Pourquoi? l'addiction à l'internet, le cyberaddiction et le cyberdépendance désignent la même chose et sont tous inclus dans le numérique qui constitue un champ beaucoup plus vaste

Incompréhension

Bonjour, Je comprends la question mais je ne vois pas les mots à ajouter dans le nuage. A mon sens ces termes bien que proche peuvent avoir des nuances particulières. Cyber est aussi proche de la robotique que d'internet mais peut-on y être addict ? Est-ce que le fait de collectionner les objets connectés, du contenu numérique ou passer du temps en ligne est une addiction ou une passion ? Je pense que tout dépends des conséquences sociales, physiques, et psychologique pour les individus. Si le numérique ou internet révèle une addiction celle-ci n'est peut-être que le reflet d'un malaise plus profond. Dans la vidéo du site cyberdépendance.fr donné dans votre wiki, on voit un jeune se couper de ces liens familiaux mais pour entretenir des liens avec d'autres personnes via internet. Ce type de comportement est plus en lien avec la rupture familiale que la consommation d'internet. Avant Internet, certains jeunes se réfugiaient dans des groupes d'amis pour échapper à un cadre familial mal vécu. Dans le cas des jeux en ligne mmorpg, c'est encore plus vrai car les jeunes peuvent alors établir des relations d'égal à égal avec d'autres adultes. Ce qui n'est pas possible avec ces propres parents. Il se sent alors valoriser. Mais c'est un peu le cas de l'exemple donné dans votre vidéo. Le jeune se sent plus valorisé dans son échange numérique avec sa copine que dans le fait de descendre dire simplement bonjour à une parente. Le problème est peut être aussi un manque d'autorité que montre son parent qu'une addiction. Je ne juge pas.

Incompréhension

Comme adolescent/jeune adulte, nous attendions qu'un petit groupe se forme pour sortir, tard, quelquefois très tard, de manière régulière, mais avec des week-end où ce n'était pas le cas car les uns et les autres n'étaient pas disponibles. Avec les MMO ou les MMORPG, on rejoint des amis numériques, qui sont tout le temps ou presque présent, pour des raids. C'est distrayant, mais je n'ai pas l'impression que les liens qui se créent soient aussi humains que dans des sorties...

terme le plus représentatif

Pour moi c'est surtout l'addiction a internet car addiction au numérique est plus large et je pense que nous sommes plus sensible a l'accessibilité qu'offre internet pour être tout le temps connecté. Ce qui n'est pas forcément le cas du numérique en général.

activité 1

L'addiction à internet est le terme inventé à l'origine de cette addiction à voir dans le dsm v.

Semaine 2 / 3.2 - Addiction au numérique

Addiction ou mode de vie ?

Je ne suis pas sure que l'on puisse parler d'addiction au numérique encore. De surconsommation peut être mais je pense que l'on doit surtout apprendre à "gérer" ce que notamment Internet mais aussi les tablettes et smartphones ont apportée dans nos vies à savoir : la surabondance d'information, le "tout tout de suite instantanément" où que l'on soit, le mail qui impose une disponibilité constante avec nos smartphones, .... je pense que l'on est addicte à ce mode de vie à 100 à l'heure et que le numérique est un outil pour répondre à notre addiction. pour prendre la comparaison des drogues je dirais que le numérique est davantage la pipe, le bang, le joint, outil qui permet de combler l'addiction au cannabis.

Addiction ou mode de vie ?

en effet, je pense qu'il s'agit plus de **surconsommation, d'usages excessifs du numérique et des outils** qui nous sont proposés: smartphones, tablettes, ordi, etc. et aussi des développements exponentielles d'applis, logiciels ou plateformes de partage. Pour la santé de chacun cela a une conséquence moindre par rapport à une addiction à un produit mais pour ce qui concerne les relations entre les personnes il me semble que ça a des conséquences très importantes et parfois dramatiques (isolement, irritabilité, rupture)

Le numérique rythme ma vie au quotidien

Le numérique a modifié mes modes de vie: Avant pour une recette de cuisine je regardais dans un livre de cuisine maintenant je fais une recherche internet Avant j'allais faire mes courses en supermarché maintenant je commande sur internet dans des drives J'utilise de plus en plus Skype pour communiquer avec mes amis J'utilise Doodle pour planifier mes réunions pro ou personnelles Google drive pour partager des documents et les travailler en équipe Etc ... Pour toutes questions, je fais une recherche sur le Net ...

Le numérique rythme ma vie au quotidien

j'utilise mon pc portable pour tout ce que je cherche ,veux ,désire et dont je sais qu'internet sera très effice.Mais etre dérangé par les sonneries ,pub,applis, et tout **intrusion intempestive et chronophages** non non et non

Le numérique rythme ma vie au quotidien

Je crois que l'on est vraiment addict lorsque l'on ne se rend même plus compte de ces intrusions.

Tout se transforme

"Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme". Je ne pense pas que l'ère numérique fasse gagner énormément de temps. Par exemple, au lieu d'aller en agence de voyage pour préparer son séjour, le réflexe actuel est de regarder sur internet. Mais on en a tous fait l'expérience cette démarche est très chronophage. On passe beaucoup plus de temps qu'on ne le pensait à chercher les meilleurs prix, vérifier les conseils, ... Ainsi, je pense que le temps que l'on passe sur les différents écrans, réseaux, etc on ne le consacre plus à d'autre : la cuisine, le bricolage, les relations humaines, ... même si le mouvement "do it yourself" a tendance à me faire mentir.

Tout se transforme

Oui, c'est vrai que plus d'une fois je me suis dit qu'en fait de gagner du temps, l'informatique nous en faisait perdre, par exemple le tri que je dois faire tous les matins au travail entre les courriels utiles et ceux que je dois jeter, ceci après avoir pris le temps de démarrer ma session, des tâches répétitives et assez stériles, mais tous comptes faits il me semble quand même que l'on peut faire beaucoup plus de choses plus rapidement avec le numérique que sans. Et surtout on peut faire avec le numérique des choses que l'on ne pouvait pas faire sans. Le temps gagné ou non n'est pas à mon avis un argument fondamental, enfin c'est intéressant de se dire qu'il vaut mieux passer par une agence de voyage pour des vacances pour gagner du temps et parce que c'est leur métier, mais ce sont les choses nouvelles que l'on peut faire qui sont intéressantes, comme visiter un musées virtuellement par exemple.

addiction virtuelle

Avec l'addiction au numérique, on est dans le virtuel, donc moins nocif pour la santé physique que drogue, alcool, tabac...mais peut-être pas anodin pour la santé psychique, mais j'ai tendance à penser que les addictions "irrépréssibles" tiennent à l'individu plus qu'au produit auquel il est "addict". C'est toujours une fuite de quelque chose (corvée, culpabilité, malaise, ennui, etc...), et le plaisir de se retrouver absorbé par autre chose.

le numérique c'est anti- ringard!

le numérique c'est anonyme ,illimité,rapide ,dynamique ,ça remplace la cigarette dans l'image de soi ( branché,émancipé),dans le bus une personne de 60 ans qui écoute de la musik relié à ses oreilles par un smartphone wwwwwwwwwwwwooooooooouuuuuuuuaaaaaaaaaaaapppppp!!!

addictions nouvelles

Le numérique a créé des addictions nouvelles : - jeux en ligne (candy crusch et autres par exemple) - Tchat qui n'existaient pas auparavant - Post de photos/vidéos/messages ayant des répercussions bonnes ou mauvaises sur la vie réelle Il y en a d'autres encore...à vous de me les dire !

addictions nouvelles

l'internet est source d' curiosité, donc la curiosité est elle un addict? c' est cela qui retient pendant des heures, nos curiosités sont alimentées par les flux d' informations qui arrivent sur nous sans limites, prenons par exemple ce dessin, si ce dessin est au format devinette on est obligé de cliquer, et même au grand format les gens clique encore c' est automatique!![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14212796728393274.jpg

Evolution de nos modes de vie

Je pense que l'évolution de nos modes de vie participent immanquablement, aux changements d'attitudes, d'habitudes. L'évolution des conditions de travail également avec sa réduction du temps, sa "numérisation", nous tentant de continuer dans nos loisirs plus nombreux car possibles. A nous de trier, faire des choix. Je vous accorde le droit de trouver mon rapprochement hors du sujet que vous proposez, pour autant, je suis convaincue que tout est lié. *Même planifiée avec le plus grand soin, la plus sage réflexion, la meilleure des volontés, une fois impulsée, l'action est à la merci des imprévus. Prendre en compte cette part d'incertitude,* c'est ce qu'Edgar MORIN appelle "l'écologie de l'action". Voici la source sur ce sujet auquel je souscris, de mon point de vue dimension souvent niée, inconsciente. http://duborddemafenetre.blogspot.fr/2009/03/les-jeudis-dedgar-19-ecologie-de.html Mathéa

un usage intensif du net est-il addictif ?

Par rapport à une addiction à une substance (que j'ai connu), un usage même très intensif du net ne me semble pas avoir le même pouvoir. J'ai passé 3 jours sans internet à noël sans que cela me manque. Et portant je passe plus de 4 ou 5 heures par jour sur internet ou mon ordi pour gérer mes associations, rédiger, m'informer. Il est vrai néanmoins que j'ai eu durant quelques mois, il y a plus de 10 ans une addiction de quelques mois sur Age of Empire. Ou Tetris. Mais j'ai fini par m'en lassé. Et j'ai donc supprimé ces jeux car cela me prenait trop de temps. Mais à la différence d'une substance, l'abstinence fut facile.

Plaisir de nourrir sa curiosité

J'ai toujours aimé apprendre de nouvelles choses, comprendre le monde dans lequel je vis, découvrir de nouvelles disciplines... Internet me permet de nourrir favorablement cette curiosité et j'éprouve de grandes joies à visiter un musée américain depuis mon bureau, découvrir la physique quantique ou la géologie, voir des photos d'astronomie... Il me semble que les addictions n'ont rien à voir avec cette démarche. L'addiction s'accompagne d'impulsivité, de répétitions, de consommation de plus en plus grande. Je consomme certainement sur internet, mais je cherche plus que des informations, je cherche des connaissances. Cela est opposé à l'addiction car transformer des informations en connaissance me demande un travail personnel. Ma vie a changé avec internet sans que je me sente addict pour autant. Car je vis un épanouissement et ce terme parait en contradiction totale avec addiction !

Plaisir de nourrir sa curiosité

Bonsoir, Merci pour ce message positif et enthousiaste 😊 Je ressent la même chose mais je me sens parfois débordée par le nombre de choses à découvrir et à faire... Est-ce que vous utilisez des méthodes ou des outils pour organiser vos découvertes /apprentissages sur le net ? Bonne soirée, Angéla

Plaisir de nourrir sa curiosité

Bonsoir Sylvie, Je suis totalement d'accord avec vous "l'épanouissement" est en totale contradiction avec "l'addiction"! Et je pense que votre avis sera partagé par beaucoup d'entre nous! Stéphanie

numérique : large éventail des possibles

Les pratiques du numérique offrent de plus en plus de possibilités en matière d'outils, par ailleurs étant seul devant un écran l'espace de liberté est infini dans lequel il est facile de s'engouffrer.

Pour et contre

Peut-on parler d'addiction dès lors que "l'état" nous pousse à pratiquer certain comportement ? Si je compare le numérique à la télévision, toute les études montrent que l'on passe de plus en plus de temps devant la télévision et autre support servant à regarder des vidéos, avec les conséquences que cela occasionnent. Hors, TOUS (grands médias et politiques) prétendent avec leurs pseudos spécialistes que ce n'est pas le télévision et consort le problème. Je renvois pour les détails de ce paragraphe au livre de Michel Desmurget : TV Lobotomie. Que dire du numérique dans son ensemble dans ce cas, puisqu'il est le reflet de nos comportement sociaux ! Quelle est la causalité ? Par exemple : sommes nous devenus individualiste à cause du numérique ou le numérique à causé notre individualisme ? Néanmoins, il est clair que les comportements liés au numérique posent un certain nombre de question et de problème.

Pour et contre

A mon avis, je dirais que nous ne sommes pas devenu individualistes à cause du numérique, mais qu'on l'était déjà un peu, et que le numérique peut l'avoir empiré.

Addiction au numérique??? Discutons!

Il y a la questions des termes à employer et il y a à mon avis avant cela la question: est-ce qu'il existe des addictions au numérique? Je souhaite ici apporter quelque élément de réponse personnelle afin j'espère de lancer une discussion sur le sujet: Comme cela a été vu la semaine précédente (webinaire 1), il y a clairement des addictions qui existaient avant le numérique, comme par exemple la toxicomanie ou le jeu pathologique ou la sexualité envahissante, qui se sont trouvées renforcées ou fortement facilitées par le numérique. Il me semble de la même manière, qu'-il y a des addictions nouvelles qui sont apparues avec les possibilités inédites offertes par le numérique-. Par exemple l'addiction aux jeux multijoueurs en ligne ou l'addiction à la surinformation aussi nommée infobésité. Des jeux sont même spécialement étudiés pour rendre addict, comme candycrush. Mais les jeux en ligne multijoueurs comme World of Warcraft ou League of Legende (LOL) ou Dofus ou les jeux de tir multijoueurs comme Call of Duty sont aussi addictogènes car ils sont très bien faits, permanents et illimités d'une manière ou d'une autre.Il y a bien d'autres jeux addictogènes, comme GTA, qui joue sur l'autorisation de pulsions normalement réprimées en société civilisée, ou minecraft, qui permet de construire des univers seul ou à plusieurs, etc. Addictogènes cela ne veut pas dire qu'on devient forcément addict en y allant. C'est comme l'alcool: c'est pas parce qu'on y goûte que l'on devient alcoolique! Mais il y a là une attractivité indéniable avec des risques d'envahissement de la vie au détriment des autres éléments importants de celle-ci. Pour faire un pas de plus je pense que, comme pour l'alcool, -il y a actuellement beaucoup plus de gens dans un usage excessif, avec des effets plus ou moins nocifs, que de gens addicts, centrés à l'extrême sur leur usage numérique personnel au grave détriment du reste de leur vie.- Et il y a une infinité de combinaisons des multiples formes possibles de nos usages, et donc une infinité de marches possibles entre le bon usage et la pire dépendance. Reste que pour définir ce que serait le bon usage de cet univers numérique récent et en mutation permanente, ce n'est pas aisé!... ![gotobed][1] [1]: /media/14214036337839844.jpg

un large panorama

Bonjour le numérique (les écrans) prennent de plus en plus de place dans nos vies pour un certain nombre de raisons: * c'est un média qui en remplace d'autres: on lit le journal sur son écran, on regarder un film en VOD sur son ordinateur, on lit un roman sur tablette, on reçoit par mail ce que l'on recevait avant par courrier postal. L'action est identique, le support a changé. * il y a ensuite le volet du e-commerce, qui permet de faire via un écran des choses pour lesquelles il fallait avant aller dans un commerce. On peut commander ses courses sur internet, y acheter ses livres, choisir sa voiture, son billet d'avion ou de train, et même y suivre une formation comme ici. On peut déplorer le manque de contact humain, mais là encore, internet n'est qu'un facilitateur de la transaction. Jusque là, je crois qu'il s'agit d'une évolution de nos modes de vie. De la même façon que la voiture a remplacé le cheval pour les déplacements en son temps. * il y a ensuite les choses qu'internet permet, et qui n'existaient pas avant, ou pas avec le même niveau de facilité d'utilisation: c'est les réseaux sociaux, les forums, qui sont bien plus évolués en terme de fonctionnalité qu'une pile de cartes de visite du siècle dernier. Et qui génèrent ensuite leurs propres besoins d'entretien. Je met dans la même sphère les notions d'infobésité, de boulimie de l'information "juste" parce qu'elle est disponible. Je pense qu'ici on peut se "noyer" dans l'internet, y passer beaucoup de temps, y trouver un monde moins 'piquant', plus satisfaisant à un moment donné que le monde extérieur. Et là, de la consommation responsable à l'abus puis à l'addiction je crains qu'il n'y ait qu'un pas qui puisse parfois être franchi. Je mets au même niveau les jeux en ligne, avec un accent plus fort sur les jeux 'construits' qui demandent une connexion régulière pour entretenir un personnage dans un monde virtuel. Certes, on peut entretenir un personnage à 5 minutes par jour. Et puis on peut s'intéresser à ce monde virtuel, chercher à faire monter son personnage en grade, échanger avec d'autres joueurs, et sans s'en rendre trop compte y passer plus de 5h par jour. Je ne sais pas si pour les spécialistes ceci n'est qu'une variante du 'jeu pathologique', mais c'est quelque chose qu'internet rend plus accessible. En conclusion, je ne sais pas s'il y a une dépendance aux écrans, mais à ce qu'il y a derrière l'écran, via internet.

Mon avis

Si nous nous referons à la définition du mot addiction, nous comprenons claire qu'il y a un phénomène de dépendance qui s'y affecte.or les nouvelles pratique au numérique s’exhibe à l'homme vu l’intérêt qu'elle offre. pour moi quelqu'un qui s'adonne à cette vie tombe inexorablement dans l'addiction. Néanmoins cette forme d'addiction présente une spécificité: Elle ne détruit la santé des hommes comme le cas des stupéfiants. Notons qu'en même que le numérique a véritablement contribuer à l'évolution du mode de vie des hommes par sa simplicité de résoudre des problèmes existentiels des Hommes exemple: Achat des articles en ligne,communications plus facile sur l’opérateur skype, whatsapp viber et autre

Un juste équilibre

Il y a des personnes addictes aux jeux vidéo ou â Internet. Mais c'est un pourcentage très faible par rapport aux nombreuses personnes qui passent du temps sur les écrans. Nous sommes nombreux, je pense, à passer beaucoup de temps à surfer sur Internet pour toutes sortes d'usages. L'important à mon avis est la mesure comme pour beaucoup de ce que nous faisons dans notre vie. L'utilisation du numérique dépend aussi de notre façon d'aborder la vie : est-ce que je considère que c'est important de rencontrer les gens et de leur parler ou bien, je préfère interposer une machine dans mes relations avec les autres...

nécessité

Aujourd'hui être connecté est quasiment obligatoire et cela peut poser problèmes aux personnes qui ne disposent pas d'internet. Au niveau professionnel beaucoup de transactions, de documents dématérialisés, d'échanges immédiats, gain de temps. Accès à beaucoup d'outils dont nous ne pouvons plus nous passer. Un retard annoncé depuis son smartphone, le rappel automatique des rendez-vous, plus de calcul de décalage horaire. Notre temps est numérique et c'est un luxe que de pouvoir s'en passer.

a t on peur ?

![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14216141435433996.jpg est ce que le fait que 70% des français soient distants ou réfractaires au numérique ne leur fait pas paraitre les 30 autres % comme des mutants, et que la crainte de l'addiction est une crainte de ce que l'on ne connait pas, et que l'on ne sait pas maitriser ?

a t on peur ?

Fort possible en effet; Il existe cependant à mon avis des cas d'addiction véritables, certes assez rares.

a t on peur ?

je ne nie pas l'existence d'addiction au numérique, je pense que le terme est employé un peu trop largement, comme dans l'enquête Pelleas, dès que la consommation dépasse la 'norme' admise par l'entourage. ceci dit, je viens de tomber sur un article qui parle du décès d'un joueur de jeux vidéos lors d'un marathon après 3 jours ininterompus (....) http://www.generation-nt.com/joueur-taiwan-mort-epuisement-jeu-video-cyber-cafe-gaming-actualite-1910985.html j'imagine bien l'angoisse que cela peut susciter chez des parents qui voient leur enfant passer plusieurs heures d'affilée à jouer, mais de quel % parle t -on ? fait on des extrèmes une généralité ?

a t on peur ?

il ne faut vraiment pas diaboliser le numérique et il y a effectivement ce risque que ces cas extrèmes soient pris pour une généralité; ceci dit réfléchir aux risques pour aller vers des usages plus sécures s'inscrit sans doute d'abord dans une démarche de prévention jlv

Tout est toxique, rien n’est toxique, tout est question de dose…

Si on se base sur la définition d’addiction comportementale donnée par Goodman : « un processus par lequel un comportement, qui peut fonctionner à la foi pour produire du plaisir et pour soulager un malaise intérieur, est utilisé sous un mode caractérisé par l'échec répété dans le contrôle de ce comportement et la persistance de ce comportement en dépit des conséquences négatives significatives » ; on pourrait caractériser l’addiction au numérique par une utilisation excessive, un échec lors des tentatives de diminution ou d’arrêt de l’utilisation des outils numériques et une persistance dans l’utilisation en dépit des conséquences négatives avérées. La spécificité de ces addictions peut éventuellement venir des caractéristiques propres de la technologie utilisée (internet est par exemple un facilitateur d’accès à l’information ou à la mise en réseau virtuelle). L’utilisation croissante de l’ensemble des outils numériques est forcément liée à la place grandissante que la technologie prend dans notre quotidien, il parait donc important de faire la distinction entre ce qui tient du changement de mode de vie et ce qui s’apparente à un usage excessif. Ainsi donc pour le numérique comme pour le reste « Tout est toxique, rien n’est toxique, tout est question de dose… »

addiction aux médias numériques

pour certaines personnes, il s'agit vraiment d'addiction: ne pas pouvoir passer une minute sans facebook... ou les jeux vidéos! faire des classements de cette cyberdépendance.

Diabolisation de la nouveauté

Il est incontestable que l'être humain présente un biais de considération pour tout ce qui à trait au changement. Ainsi toute nouveauté est peut être décriée voire diaboliser. Pourquoi se passer de GPS alors qu'il est mille fois plus rapide, pratique et sûr d'utilisation qu'une carte et une boussole ? Pourquoi se passer d'internet afin de trouver des bons plans pour nos prochaines vacances ? Ainsi internet (et le numérique) peut se révéler un immense facilitateur pour nos vies. L'addiction n'étant ici pas plus représentée que de dire que l'on est addict à l'utilisation d'une paire de chaussure pour marcher.

Diabolisation de la nouveauté

Nos deux intervenants de la semaine 4 ont proposé de parler d' " addiction à l'innovation " plutot qu'au numérique ,ce qui va bien dans le sens de ce que vous évoquez! jlv

Dans quelle mesure s'agit-il d'une évolution de nos modes de vie ?

le numérique est un facteur d’aggravation de certaines addiction: par exemple l'addiction sexuelle peut être nourrie par la facilité qu'offre le numérique d'avoir des images et scènes coquines.

Semaine 2 / 3.3 - Enquête PELLEAS

Statistique

Je choisis de porter mon regard sur les outils ayant servis au sujet des comportements en lien avec l'addiction au numérique, plutôt que sur le sujet. De mon point de vue, pour qu'une étude soit la plus pertinente possible, il convient : - de bien connaitre l'objet de l'étude ; - avoir un échantillon suffisamment représentatif de la population ; - de définir des objectifs précis, atteignables ; - d'identifier des critères mesurables ; - d'utiliser des indicateurs pertinents (le quantitatif n'a de valeur que si il est précédé du qualitatif) ; - de vérifier et nommer ses sources. Après lecture du doc sur les limites de l'étude, je dirais que ces 2 documents sont intéressants de part leur complémentarité. Mathéa

Statistique

Je n'ai lu que l'étude et parcouru vite fait l'article sur les limites, et d'emblée ce qui m'a interpelé dans l'étude c'est le faible nombre de l'échantillon et surtout la localisation : seulement en région parisienne ? Dommage, je pense qu'il aurait été plus représentatif un échantillon sur l'ensemble de la France. Un Parisien n'a pas la même vie, ni la même façon de pensée qu'un provincial surtout en campagne, il n'a pas non plus accès aux même choses. A la campagne on est souvent isolé, alors qu'en ville on a tout à porté de main. De plus je trouve que les conclusions n'apportent pas grand chose de plus par rapport à d'autres études, on en revient toujours aux mêmes choses, sauf qu'on nous donne des chiffres, mais du coup des chiffres discutables. En le lisant, je me suis dis, "tout ça pour ça", lol.

Statistique

Oui, je vous suis.

absence de définition de l'addiction

le fait même que Les auteurs ne définissent pas l’addiction aux jeux vidéo me parait problématique. *L’enquête PELLEAS ne donne aucune définition de l’objet qu’elle étudie. Les termes “addiction ”, “usage problématique ”, “dépendants ” ou “abus” se retrouvent dans le texte sans être différenciés. Or, l’excès n’est pas l’addiction. De même, les auteurs écrivent “addiction” entre guillemets ce qui jette un trouble car le lecteur ne comprend plus si l’on parle de l’addiction comme métaphore ou de l’addiction comme trouble* http://www.psyetgeek.com/lenquete-pelleas-sur-laddiction-aux-jeux-video-pose-11-problemes-de-trop

que revèle le doc

La génération " Y" , d'année en année accélère la consommation des dérivés du numérique à savoir les jeux vidéo.on assiste là déjà un comportement addicte.Ils sont devenu accro. les chiffres dans le doc est très révelateur

des ados ordinaires ?

certaines des questions qui sont utilisées pour qualifier l'excès de numérique me choquent dans un questionnaire pour des adolescents. notamment 'négliger d'autres activités pour jouer' et 'se disputer avec l'entourage à propos du temps passé à jouer'. j'ai la très forte impression que les 'autres activités' sont le travail scolaire et les taches domestiques, et que le questionnaire ne trie pas les manifestations classiques de la crise d'adolescence (dont un peu d'opposition parentale quand même) de la façon dont elle s'exprime. on peut pour moi remplacer 'jouer' par 'sortir avec des copains'. le conflit familial sera encore là ;) autre point qui me choque, la référence au DSM-V, qui pathologise énormément de choses, y compris ce qui était auparavant considéré comme une difficulté à surmonter(les troubles dys entre autre), ou des comportements jusque là considérés comme non problématiques (la consommation de café au delà d'un certain seuil est un trouble du DSM-V).

des ados ordinaires ?

je partage vos réactions concernant cette étude qui souligne les limites de travaux utilisant des outils d'évaluation insuffisement validés et adaptés(mais dans ce domaine ils sont difficile à construire tant les pratiques et contextes évoluent vite,comme cela a deja été pointé); quant au café il faut savoir qu'il figurait deja dans la classification de Lewin de 1928 ,dans laquelle l'alcool n'était pas présent! jlv

Réception médiatique

Ce qui m'a frappé est que le jour de la sortie de cette étude les médias se sont jetés dessus, à coup de titres tous plus dramatisants les uns que les autres, et sans cohérence entre eux (1/10, 1/8, 1/6 !) "Jeux vidéos: un ado sur dix a un usage problématique, les garçons plus touchés" http://www.appy-geek.com/Web/ArticleWeb.aspx?regionid=2&articleid=33407072 "Un ado sur huit a un usage problématique des jeux vidéo" http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/12/17/un-ado-sur-huit-a-un-usage-problematique-des-jeux-video_4542052_3224.html "Selon une étude, un adolescent sur six abuse des jeux vidéo en France." http://www.europe1.fr/mediacenter/emissions/le-journal-de-la-sante/videos/jeux-video-attention-a-l-addiction-2321779

Réception médiatique

J'appellerais cela la récupération, sans précaution, sans rigueur, qui pose la question de l'éthique générale.

GameCube en 2014 ?

La liste des supports concernés est intéressante. La GameCube (oui, LA, pas le) est une console de Nintendo d'avant la Wii, qui date elle-même de 2006. Je doute que des ados/enfants jouent à une console plus vieille qu'eux. Plus globalement, on retrouve le reproche biaisé classique de ce genre d'études : on reproche aux gamins de passer trop de temps à la manette, alors que si ces mêmes gamins passaient le même temps à lire ou à jouer au foot, ils seraient portés aux nues. On confond trop facilement passion et addiction. Et comme chaque génération a son bouc émissaire (théâtre, cinéma, rock'n roll, jeux de roles, jeux vidéo, etc. ) ... les raccourcis sont légions. Quand aux vrais addicts, ce n'est pas tant les jeux vidéo qui les provoquent, qu'un terrain favorable (génétique et/ou environnemental). Ces addicts du numérique auraient été addicts d'autre chose s'ils étaient nés un siècle plus tôt. Reste le cas des jeux en ligne, dont la logique mercantile (basée sur des théories psychologiques fondées) exploitent notre besoin de récompense. Il y aurait un travail à faire à ce niveau, pour limiter leurs mécanismes d'addiction. Ou mieux armer leurs pratiquants face à leurs atours.

GameCube en 2014 ?

Pour information, les jeux en ligne ne sont pas les seuls à utiliser les théories dont vous parlez. Les jeux les plus viraux sur les périphériques mobiles exploitent bien plus les comportements des joueurs pour en soutirer le maximum d'argent (ne serait ce qu'en minimisant et banalisant le fait de payer, avec de l'argent virtuel d'abord et réel ensuite, en cours de partie). C'est aussi le cas pour la politique mercantile derrière les DLC (DownLoadable Content) qui sont des contenus additionnels payant pour un jeu de base. Ces contenus sont parfois complètement facultatifs, mais certains studios n'hésitent pas à vendre dès la sortie du jeu des éléments scénaristiques importants (les chapitres 2 et 3 de l'histoire du jeu par exemple) qui devraient être intégrés dans le jeu de base. Donc oui, les jeux vidéos ont des mécaniques de **rétention**, le problème est de réussir à mettre en place ces mécaniques (parce qu'elle sont nécessaires à la rentabilité du produit après tout) sans générer des addictions chez les joueurs.

GameCube en 2014 ?

Vos remarques sont pile dans le thème de la semaine 4 qui commence mardi prochain !

test

des comportements de plus en plus addict...

test

je ne comprends pas ce que tu veux dire? c' est positif ou négatif? Des bons ou mauvais comportements, je vois souvent que les jeux vidéos éducatifs permettent nos enfants de comprendre ce qu' ils n' arrivent pas à comprendre à l' école,

Limites

Pour plus de profondeur, l'enquête devrait être étalée sur plusieurs années (antérieures et postérieures) afin de se rendre compte de l'évolution des "addictions" des collégiens et lycéens. En outre, pour continuer sur la même piste de reflexion de manière plus horizontale, il serait bienvenu de connaître les emplois du temps des élèves n'étant pas reconnus comme addict aux jeux vidéos dans le but de trouver si, dans la population mesurée, il existe d'autres substituts que les jeux vidéos, occupants tout le temps des adolescents interrogés.

Limites

Effectivement ! Samuel Coavoux ,sociologue intervenant dans le wébinaire de la semaine 4,a beaucoup insisté aussi sur cette question des alternatives à la conduite ,qui s'articule pour lui avec la légitimité sociale de l'objet ( les jeux videos etant de ce point de vue jugés moins légitimes que d'autres activités ,ce qui pose question); jlv

Semaine 2 / Discussion générale

Les guides numériques

Clique [ici][1] [1]: http://www.lenumeriquefacile.com/ 1. M'amuser avec la photo numérique 2. Maîtriser l'Internet 3. Booster sa télévision 4. Dompter mon ordinateur 5. Profiter de ma musique et du son 6. Tout savoir sur la mobilité et la téléphonie

ressources pour les sciences du numérique

une définition du numérique très technologique sur Pixees où numérique = informatique [https://pixees.fr/?p=3929][1] [1]: https://pixees.fr/?p=3929

ressources pour les sciences du numérique

Merci pour votre piste, qui me fait rebondir sur celles-ci ! Le numérique au service de l'humain : http://www.liberation.fr/debats/2014/12/04/le-mythe-de-l-humain-augmente_1152902 http://photo.capital.fr/les-coulisses-de-la-nouvelle-usine-bmw-3782

ressources pour les sciences du numérique

Voici une vidéo sur **les nouveaux devices et nouveaux usages médiatiques** proposée dans le cadre du Mooc Transmedia storytelling . je trouve que les propos de Arnaud Hacquin sont interéssants pour la réflexion sur les nouveaux usages : http://usp-05.dmcloud.net/528c9b8006361d1b6ac8a192/52e59d5394739914ebb156e5/mp4_h264_aac-1390780001.mp4?e=1422637295&st=H7YWhqKZZDaDQY42xgPGIw

une journée sans numérique?

Communiquer c'est échanger, partager, suggérer, transmettre et recevoir bref c'est donner un sens à la vie.Le numérique étant un outil par excellence de la communication, pourrait on passer une journée lui? Je dis tout suite non car cet outil vu l'importance de la communication dans le monde , sa disparition ne serait ce qu'une journée bascule l'univers .

Le numérique et mon ressenti quotidien

Sur un plan professionnel : Un super moyen de communiquer plus simple, plus rapide, plus sûr aussi. Pour ne parler que du courrier électronique c'est un formidable outil de mémorisation. Une banque à données. On peut remonter très facilement le temps et on ne perd rien. On a également l'impression d'être plus acteur de ses messages il y aurait parfois un aspect plus intéressant pour la forme qui devient de plus en plus soignée et lisible il me semble. Pour mon utilisation privée : J'utilise Tweeter pour l'information et je lis (regarde) les journaux en ligne. J'utilise les moteurs de recherche et fais de la veille. Le tout sur un mode ludique mais m’imprègne de l'information (un peu trop) dans les domaines qui m’intéresse. La ressource est inépuisable c'est ce qui fait que l'on arrive jamais à satiété. C'est l'aspect dévoreur de temps.

Num-oi-érique ?

Bonjour, Inclusion du numérique dans nos quotidiens ? Numérisation du moi ? Cela me fait penser - en filigrane bien entendu - au cyberfilm Matrix, sorti en 1999, qui avait fortement marqué mon esprit. Voici un extrait du lien que je vous propose de consulter à ce sujet. *Nous vous l’avions bien dit, ça devait arriver : à force de produire des machines pour vous servir, vous êtes devenus vous-mêmes les esclaves de vos instruments.* Patrice Maniglier, Mécanopolis, Cité de l’avenir. Source : http://archive.today/5zFpR Je garde à l'esprit que la technologie - souvent très utile, dont sont issus les outils numériques - doit rester à mon service et fais en sorte que cela demeure ainsi en y remédiant le cas échéant avec conviction, naviguant dans l'incertitude du quotidien. Mathéa

Mes usages du numérique : FACEBOOK

Bonjour, Je voulais partager avec vous mon expérience de l'usage du numérique et plus particulièrement du réseau social Facebook... Il y a 2 mois j'ai décidé de clôturer mon compte Facebook, pour voir comment ma vie changerait... Les appels téléphoniques se sont faits plus intensifs pour contacter les amis que j'avais sur Facebook. Mes rencontres en réel se sont intensifiées puisqu'au lieu de rester devant mon ordinateur à attendre que quelqu'un daigne m'envoyer un message, je me suis déplacé pour aller chez les personnes. Il faut dire que j'utilisais massivement Facebook mais à vrai dire je n'optimisais pas le temps passé dessus : le nombre d'activités différentes qu'on peut faire incite à rester des heures devant le PC ! J'utilisais également l'application Smartphone avec la Messagerie Facebook... Quelques mois donc après ma déconnexion, je me suis réabonné à Facebook !! Je n'ai pas réinstallé l'application Smartphone pour être "libre" à l'extérieur de chez moi et profiter agréablement des gens que je rencontre. Je me limite à consulter les notifications et à poster un ou deux messages sans être constamment connecté au site. Après la découverte de tout ce qu'on peut faire avec ce réseau social et suite à mon désabonnement et mon réabonnement, je sais maintenant ce que je souhaite faire de cet espace ouvert sur les autres et sur le monde... Parfois il faut se recentrer sur soi-même pour découvrir le monde autrement. Bonne journée !

Moi et le numérique

Un super outil qui me permet de faire du télétravail, de la classe inversée, de l'interaction et de la formation modulable, etc...Par compte je pense que nous avons un problème d'usage du numérique dans notre société et particulièrement au niveau professionnel ou nous sommes dans le toujours plus: le numérique le permet mais pas notre être. Nous ne pouvons nous adapter au rythme de la machine et la machine doit rester un outil adaptable a nous...

Semaine 2 / Défi - sevrage numérique

challenge sans ecran 10 jours

le groupe de travail auquel je participe envisage de faire ce challenge comme d'autres l'ont fait afin d'observer les résultats même si nous sommes conscients que toutes les famille de l'école ne participeront pas par manque de disponibilité,(pour occuper les enfants autrement)par facilité (car cela nécessitera de refuser les demandes d'utilisation "juste pour quelques minutes!!!"

challenge sans ecran 10 jours

sans téléphone..ça voudrais dire qu'il faudrait que je retrouve une montre, un agenda.....impossible!!!

pas de numérique pendant 7 jours(et nuits)

une semaine de numérique remplacée par une semaine de tourisme sans écran,le portable retrouvant sa fonction premiere messagerie sans courriel;trés bonne semaine!

pas de numérique pendant 7 jours(et nuits)

Je suis en vacances maintenant et je n'ai que mon portable. Tous les deux ou trois jours je me connecte deux ou trois heures avec la PC de l'hotel. Extra!! Pas de stress

pas de numérique pendant 7 jours(et nuits)

Est-ce que les vrais vacances, aujourd'hui, ce n'est pas ça? Ne plus utiliser Internet? Guillaume

pas de numérique pendant 7 jours(et nuits)

Bonjour, Entièrement d'accord. Pour moi les vacances sont incompatibles avec un excès de numériques. Le plus souvent mon utilisation du numérique en vacance se limite à l'utilisation de l'appareil photo numérique et aux photos rapatriées sur un disque dur externe pour faire de la place pour les photos du lendemain... Avec un minimum d'organisation, j'arrive très bien à vivre sans téléphone portable et sans internet.

pas de numérique pendant 7 jours(et nuits)

Je me passe très bien de l'ordinateur/internet pendant une semaine de vacances. Je préfère passer mes journées de vacances (le numérique étant déjà présent au travail) à voir de vraies choses que de passer mon temps les yeux sur un écran. Vie réelle/vie virtuelle?

Déjà fait mais pas tout à fait

Je me suis plusieurs fois centrer entièrement sur mon activité durant quelques heures ou une semaine, lors de stages d'expression ou de yoga, pendant des voyages plus longs pendant lesquels je n'ai pas de téléphone ni d'accès au net. Ce que je n'ai pas expérimenté en revanche c'est interrompre toutes activités à distance une journée quelconque, sans raison apparente extérieure d'être couper du monde, car c'est de cela dont il est question ?

Déjà fait mais pas tout à fait

Bonjour, Oui, c'est ça dont il est question. arrêter sans autre raison que voir ce que ça fait d’arrêter. Mais si vous avez réussi a vous en passer plusieurs semaines sans problème, a priori ce ne sera pas un souci pour vous. Guillaume

le dimanche

Travaillant quotidiennement avec des outils numériques, je vais faire ça un dimanche ou un samedi...

Mission accomplie ?

2 derniers jours sans ordinateur (facile) mais pas sans téléphone (impossible). - pour le premier point visite de la famille oblige (la vie remplace la machine) - pour le deuxième point utilisation de sms, gps et recherche d'horaires (indispensable smartphone)

difficile mais possible

Bonjour, Pour tenter, il faut choisir un jour sans travail car impératif en semaine ! Donc je vais essayer dimanche ! Et vous ?

difficile mais possible

pour ma part , je peux couper plusieurs jours ce que j'appel de l'écran. mais seulement le récréatif. souvent , je profite de mon weekend pour répondre à mes proches, à dessiner, à écouter de la musique, faire avancé mon site internet de mon club de sport , MOOC et moult choses qui ne peuvent pas trop attendre. bref du travail. mais pas de réseau social, surf, jeux et autres futilité je fait la part des choses entre le loisir et le travail

Oui, possible et souhaitable

Oui j'ai déjà fait. 1 semaine. Et c'est souhaitable à faire. C'est comme de faire une semaine sans voiture. On découvre des choses. Du coup je n'ai plus de voiture du tout. Est-ce que un jour je me passerai d'internet ?

Ok

Dans la mesure où je n'utilise pas les outils numériques au quotidien, je peux répondre à ce défi. Mathéa

Ok

cela m'arrive régulièrement de ne pas utiliser l'ordinateur (donc internet) pendant plusieurs jours. mon mobile n'étant pas un smartphone je ne fais qu'envoyer des sms et encore. je trouve cela tout à fait bénéfique pour moi-même et l'entourage. Cependant j'ai remarqué que si l'on ne répond pas à un mail personnel rapidement, les gens ont tendance à vous appeler pour savoir pourquoi on a pas répondu.(panne d'internet, maladie ou vacances ?)

Ok

Bonjour Mathéa, Je ne pourrais pas faire ce défi avec vous, pour des raisons étudiantes et professionnelles. Mais je vous souhaite bon courage. Guillaume

demain

J arrête !

demain

Je promets, c'est mon dernier message.

journée sans numérique possible

oui, c'est possible. En vacances en France ou à l'étranger pas de problème, seuls quelques sms aux proches. Faisable également lors de sorties.

journée sans numérique possible

Oui je suis d'accord, pour moi en dehors de chez moi, très facilement faisable, par contre en restant chez moi toute la journée, dur dur. Y'a forcément un moment ou je vais m'ennuyer à mort (même si j'ai des tas de trucs à faire) et je vais finir par craquer, même si c'est pour aller voir un mail ou par exemple, consulter le mooc :p !

défi 10 jours sans écrans

Ce défi existe depuis 2003 au Quebec à l'initiative de jacques Brodeur. Des écoles d'Alsace et de Bretagne l'ont relevé en 2013 et 2014 [educapax][1] [descriptif][2] [1]: http://www.edupax.org/ [2]: http://www.wixxmag.ca/articles/defi-10-jours-sans-ecrans-prets-a-fermer-le-televiseur-1

défi 10 jours sans écrans

On demande à nos jeunes de passer 10 jours sans écrans, mais je ne suis pas sur que je pourrais moi-même le faire!

défi 10 jours sans écrans

j'ai voulu signaler cette initiative qui témoigne d'une inquiétude face à l'augmentation croissante du temps passé par les enfants devant les écrans A voir aussi la retransmission de ce colloque. https://www.youtube.com/playlist?list=PLRqu-h5SEHd-A3NjkfHfj4wAd2cNxb7rB

Est-ce que se poser cette question fait sens dans la société actuelle ?

Poser la question sur un Mooc qui de plus nommé Mooc @DDICT est quelque peut cocasse voir utopique. Ma réponse je la collerai volontiers sur mon carnet à spiral mais comme je suis en sevrage technique vous n'en aurai pas la primeur.

faisable

Plus évident hors de chez moi, car je n'ai pas de smartphone ou autre. Je peux recevoir quand même des coups de fil, et des sms... En vacances, j'essaie quand même de trouver un ordi, surtout au début ! après, c'est comme le tabac, l'envie s'estompe.

un jour en montagne

Impossible de laisser totalement de côté tous les outils car en montagne un smarphone ça aide à savoir où on est mais mis à part la vérification de ma position, une journée en pleine nature, sans pc, tablette, sans sollicitation (mails auxquels il faut répondre), sans jeux, c'est possible... jusqu'au retour...:)

un jour en montagne

Une carte ça peut aider aussi, même s'il n'y a pas le GPS, et puis sa batterie ne se vide pas.

Quel défit?

Parler d'une journée sans le numérique pour moi est illusoire pour le monde dans lequel on vit. mais individuellement, ce défit est possible surtout en ce qui concerne la réduction du numérique.Mais le monde ne peut pas se passer du numérique

Outils

Passer une journée sans toucher à internet ou allumer un écran est simple pour moi. Lorsque je me déplace je ne predns jamais d'ordinateur. Juste mon smartphone pour rester joignable et il ne me sert qu'à communiquer ou envoyer des SMS. N'étant pas un fanatique de télévision cela ne me prive pas. Il m'arrive de passer des jours sans regarder un écran ou me connecter et cela ne me pose aucun problème et j'en suis même ravi.

intérêt ?

Pour moi la question ne fait pas plus sens que de passer une journée sans électricité, ou sans eau courante, ou sans voiture, ou sans sel. Quand je pars en vacances je limite mes connexions d'une part par la disponibilité des réseaux wifi, et d'autre part par la médiocre performance de mon ordinateur de voyage qui est tellement lent que la connexion est une torture. Le seul intérêt du défi serait de révéler toutes les informations que l'on est maintenant habitué à trouver par internet, et les complications qui sont créées artificiellement par son absence (par exemple aller jusqu'à la gare pour réserver un billet de train... )

intérêt ?

tu as raison

les applis de déconnexion

http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2014/10/31/surconnexion-est-question-sociale-serait-temps-sen-preoccuper-255769 un article qui pointe les paradoxes des applis d'aide à la déconnexion

les applis de déconnexion

très intéressant cet article, la problèmatique se pose chez les salariés Google aux états unis les salariés vivent au sein de l'entreprise où ils ont accès à tous les services possibles mais sont quasi asservis à leur employeurs en revanche en France le droit du travail étant ce qu'il est Google n'autorise personne à envoyer des mails pro après la sortie du travail sous peine de risque d'accusation de travail dissimulé

Comme une journée sans vêtement ...

Si je peux limiter ma consommation numérique, je me vois mal la supprimer totalement, même pour une journée. Une journée de vacances, à la limite pourquoi pas. Je la considérerai comme une journée gâchée, mais bon ... En revanche, une journée "normale" me semble hors du domaine du possible.

une journée sans numérique

Oui c'est possible a titre individuel comme quand vous décidez de partir sur une île déserte. Ensuite, il faut une prise de conscience collective du bon usage du numérique. Par exemple, certaines entreprises ont délibérément choisi le zéro mail et ça fonctionne. Effectivement il faut éduquer a ce nouveau mode de vie afin qu'il nous garantisse notre liberté. Et la c'est pas gagne.

une journée sans numérique

Zéro mail, peut-être, mais les entreprises qui font ça proposent d'autres modes de communication numériques, via une GED ou un RSE par exemple. Enfin, je suppose qu'elles ne proposent pas de revenir aux notes papier photocopiées en n exemplaires et envoyées aux n destinataires via le courrier interne.

une journée sans numérique

Bonjour! Afin de nourrir ma curiosité, qu'est-ce qu'une GED et un RSE? Cordialement, Stéphanie

une journée sans numérique

GED : Gestion Electronique des Documents RSE : Réseau Social d'Entreprise

une journée sans numérique

Merci!

le sens?

Le numérique fait partie de notre quotidien au travail c'est un outil de rapidité ..à la maison recherche du coté pratique peux t on parler d'addiction quand l'utilisation du numérisation est purement de notre temps c'est peut être plus sur des jeux en ligne ,des forums et pourquoi pas une addiction aux MOCC tout peut être addictif au Niveau du contenu

le sens?

pour ceux qui travail la dessus parfois pour eux ce n' est pas l' addict mais une corvée,

Débranchez!

http://www.courrierinternational.com/article/2014/12/31/en-2015-debranchez

Peut-on encore aimer Internet?

Entretien d'Antonio Casilli avec le rédacteur en chef de Rue 89 : peut-on encore aimer Internet ? - http://bit.ly/1D7c9s2

dependance internet

je pense q u il est impossible de se passer du net une journee c est comme si c est devenu vital meme si on n y pense pas la journee il suffit de voir un ordi on replonge

dependance internet

Moi je peux le faire, mais pas possible quand je vais travailler, mon employeur ne comprendrait pas. Je le fais en vacances, là où il n'y a pas de réseaux corrects, où c'est trop énervant d'attendre que ça charge. Et j'aime bien. Ca permet de penser à autre chose, de prendre le temps et de trier ce qui est vraiment important pour voir si ça vaut le coup d'y passer du temps, temps que j'économise avec internet.

dependance internet

Aucun problème de ce côté là, je suis tellement déconnectée qu'il m'arrive de passer quinze jours sans allumer l'ordinateur lorsque je suis en vacances... Mais effectivement, si sur mon lieu de travail j'annoncais : "Je ne touche pas à l'ordinateur", je deviens rapidement chomeuse !!!

dependance internet

c' est facile va jouer au foot, puis au KFC et puis au cinema

Semaine 2 / Webinaire

Evènement majeur

Bonjour, Ma question est globale. Que deviendront les millions d'utilisateurs du numérique par exemple en cas de - coupure d'électricité géante et prolongée - tempête solaire qui va perturber les communications ??? Tous les addicts seront privés de leur "doudou" numérique et devront intégrer totalement leur "identité réelle" !!!

Qjese

Bonjour, voici quelques questions que j'aimerais poser aux spécialistes: -Quels types de thérapies, de prise en charge sont proposées aux personnes addictes à internet? -Est-ce qu'il y a une augmentation de ce type d’addiction? -Quelles sont les nouvelles pistes de recherches en 2015 dans le domaine des addictions?

Qjese

A mon sens, les psychothérapies qui sont actuellement utilisées dans le cadre des addictions fonctionnent tout aussi bien pour une addiction aux jeux vidéo. Il y a quelques tentatives pour développer des programmes spécifiques, mais l'aspect de répétition à l'usage de l'écran n'est souvent qu'une des facettes du motif de consultation. Pour la 2e question, je ne pense pas qu'on soit en présence d'une augmentation importante, mais plutôt que plus les JV se développent, plus il est possible de rencontrer ce type d'usage d'excessif, et rarement d'addiction. Pour la 3e, nous y travaillons en ce moment !!!

pathologisation ?

j'ai été surprise du discours de la sociologue, que j'ai trouvé en fait très pathologisant par rapport au numérique. Quand elle dit que les personnes qu'elle rencontre pour parler du numérique "vont bien" car "ils ont peur de tomber malade et donc contrôlent leur consommation", je suis doublement choquée. D'une part, le mot 'tomber malade' me choque. Il y a pour moi une différence entre addiction (besoin irrépressible) et maladie (le corps 'tombe en panne'). Je sais qu'on peut attraper de jolies tendinites en cliquant trop sur la souris, je pense que la crainte ici est plus proche du mental. D'autre part, une consommation de quelque substance que ce soit (internet, nourriture, alcool etc) où le contrôle devient prépondérant, si elle peut limiter les dommages physiques et le temps passer à l'activité ne me semble pas très positive pour la personne concernée. Cela me fait penser à quelqu'un qui ne serait pas en surpoids, mais aurait peur de grossir, et gèrerait tous ses repas en fonction de cela, sans plus s'octroyer de plaisir dans la nourriture. Les propos tenus me font penser à un tel contrôle qu'il en deviendrait lui même une souffrance.

pathologisation ?

L'addiction est une maladie qui ne se limite pas à des besoins irrésistibles elle est plus complexe je pense

pathologisation ?

Bonjour, Oui la maladie est sûrement complexe mais je ne pense pas que ce soit la question ici. Ce que je comprend du message initial c'est qu'on se retrouve peut-être avec des gens non-addict mais qui ont tellement peur de le devenir (à cause d'un environnement anxiogène par exemple) qu'ils finissent pas avoir un comportement négatif pour eux-même en se contrôlant trop (je trouve le parallèle avec le surpoids très explicite :)). Du coup, est-ce qu'il ne faut pas faire attention aux messages que l'on fait passer pour ne pas trop augmenter l'anxiété des gens face au numérique ? Bonne journée, Angéla

pathologisation ?

Le parallèle avec la nourriture me semble très juste . Une perception anxieuse des messages de prévention en lien avec une alimentation saine peuvent conduire à une orthorexie alimentaire, un besoin de contrôle compulsif. je crois que ce n est pas encore qualifié de pathologique . Ce type de comportement peut sûrement s appliquer à l usage du numérique . En terme de responsabilité : le message ? Le récepteur du message ? L emmeteur ? Je ne vois pas une réponse simple à cette question.

pathologisation ?

Angéla, vous avez tout à fait bien transcrit ma pensée

Semaine 3 / 1.1 Attention, perception corps, temps, identité sociale

phase 1

J'ai été "victime" d'un burn out il y a 5 ans et ai été agressée au travail. Je suis donc sous traitement, mes réponses vont donc en dépendre : 1. Mon attention est médiocre et je souffre d'aphasie. Décalage entre la pensée et l'expression. Quand la locomotive va trop vite tout déraille alors je fixe un objectif visuel, une parole d'ancrage. Lorsque je dois travailler dans l'urgence en étant trop sollicitée ailleurs, je visualise un panneau "stop" ce qui me permet de me reconcentre sur l'important. J'ai des alarmes pour tout sur le smartphone. 2. Je me permets des moments de flâneries en sortant du travail. j'ai la chance d'habiter près du campus universitaire. En été je marche au lieu de prendre les transports (jamais de voiture). En hiver je passe un peu de temps dans des endroits qui me permettent de déconnecter. De la musique, de la lecture (livre papier). Peu de télé, plutôt le cinéma et les expos. j'ai eu l'habitude de passer trop de temps au travail et je le pair encore aujourd'hui. En fin de journée j'ai programmé une alarme "range tes affaires et casse-toi". Quelques fois, je ne l'écoute pas. 3. Mon corps a beaucoup souffert alors aujourd'hui je gère plutôt dans la prévention. Alimentation très saine, pas d'alcool, pas de tabac. Je prends plaisir à faire le marché, pour le reste commande sur le net. Le sommeil est médiocre et doit être aidée. Couchée dans un créneau horaire défini pendant la semaine de travail. Pas d'activité intellectuelle avant le coucher. Un bon livre . Je pratique la méditation en pleine conscience depuis plusieurs années. Mes douleurs physiques sont induites par mes journées passées devant l'ordinateur : problèmes de dos, de cervicales, fatigue oculaire, etc. 4. J'affronte avec difficultés me regard de l'autre, ma place dans la société, dans ma famille car je me sens souvent en décalage. Alors je pratique l'auto-compassion et je retrouve une certaine assurance.

phase 1

Merci pour ce témoignage tres personnel qui sème pour tous ceux qui pourraient se retrouver dans la situation qui était la votre des petits cailloux sur le chemin de la reconstruction jlv

phase 1

Le docteur Picard , celui qui s'envole en stratosphère, utilise l'auto hypnose pour se reposer et se déconnecter complétement.

Vos réponses aux questions de la phase 1

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir vos réponses aux questions posées tout au long de la phase 1. Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Vos réponses aux questions de la phase 1

1. Je pense avoir de bonnes capacités d'attention, tout en pouvant parfois me disperser si je suis fatigué, et je m'en rends généralement compte. J'apprécie le "temps vide", en écoutant de la musique, par exemple, mais j'ai tendance à le remplir, surtout le soir, en regardant des films et des séries. Concernant le sommeil, je m'endors facilement mais j'ai tendance à me coucher trop tard (et à le payer le lendemain). 2. Je trouve mon corps plutôt en forme, sans doute parce que j'essaie de pratiquer une activité physique régulière (je me déplace beaucoup à pied et à vélo, je fais un peu de sport). Mais je ne respecte pas mon sommeil comme je le voudrais, j'ai tendance à accumuler beaucoup de fatigue avant de changer de comportement. 3. J'ai l'impression que mon temps est en grande partie occupé par des activités planifiées avec par conséquent de faibles risques de perte de contrôle du temps qui passe (merci Google Agenda). Par contre le soir, bien que je me fixe une limite, je ne la respecte pas souvent. 4. Dans mon rapport à moi-même, j'essaie de voir une cohérence dans mes différents actes pour trouver de la satisfaction dans ce que je suis. Dans mon rapport aux autres, j'essaie d'être à l'écoute, de pratiquer l'humour en toutes circonstances, de favoriser des ambiances détendues, de prendre du recul pour comprendre mon comportement et celui des autres. Malgré moi, je ne montre pas beaucoup de moi-même, j'exprime peu mes sentiments, et c'est forcément en réaction au regard des autres que je peux influer sur cet aspect de mon caractère.

Vos réponses aux questions de la phase 1

Concernant 1,2,3 je pense être le bon élève car je pratique plusieurs disciplines psychosomatiques, faites pour aller dans ce sens ; ceci de façon quotidienne, et depuis ... longtemps. En revanche, pour 4, je me sens complètement dans le cirage (malgré une recherche volontaristes d'expériences particulières).

Vos réponses aux questions de la phase 1

1 mes capacités d’attention sont liées à l’intérêt que je porte à un sujet, et à mon état émotionnel. Par exemple, si je suis énervée, j’ai du mal à me concentrer. Si je dois travailler ou assister à une réunion sur un sujet qui ne m’intéresse pas, alors j’ai rapidement du mal à me concentrer, et j’en profite pour lire mes mails sur mon smartphone (bouh….). Sinon, toutes les alarmes liées aux arrivées de mail sont désactivées. Je me ménage des moments pour penser (le week end en allant marcher). 2 je perçois mon corps avec mes 5 sens _ ou tout au moins sans appareil de mesure connecté ou pas. Je fais attention aux messages sur le sommeil et les tensions dorsales qui pour moi viennent signaler un problème d’équilibre général. 3 au travail j’utilise un agenda électronique qui signale l’heure de la réunion suivante, et je bloque des plages horaires de disponibilité dès que j’atteints 4h de réunion par jour. Je n’ai pas de montre. J’utilise en priorité les horloges murales, puis le smartphone. Hors du travail, je ne suis pas particulièrement le cours du temps qui passe, sauf pour aller à un rdv, sortie, ou attraper un train. 4 j’ai une présence sur les réseaux sociaux (de 5 à 30 items par semaine). J’apprécie quand certaines publications sont likées ou commentées, mais ce n’est pas vital pour moi.

Vos réponses aux questions de la phase 1

L attention Ma faculte d attention ne s altere pas avec le numerique au contraire le monde des images force l attention et le niveau des details le temps vide est mieux exploite, on rempli le temps d inactivite en se connectant au cas où un mail ou une nouvelle info soit disponible. Evidemment la relation aux autres en direct s en trouve affectee . Perception du corps Les yeux se fatiguent et le temps d activite se rallonge par le biais d une connectivite aux objets permanente hormis le temps de sommeil. LE TEMPS il y a une non perception du temps passe pendant les connections, mais heureusement il y a le temps des interractions exterieures qui interferent PERCEPTION DE L IDENTITE Il y a une meilleure perception de l identite puisqu elle est nommee (identifiant, mail,ou avatar) même si elle est noyée dans la masse on a l impression d une unicitė et singularité de son expression

Vos réponses aux questions de la phase 1

1. Capacités d'attention : aucun problème pour ça, ma capacité de concentration a contribué à la réussite de mes études et me permet de travailler imperturbablement quand des gens discutent ou chahutent (ça arrive) dans mon bureau. Elle me fait défaut dans les monologues (colloques, exposés)quand les gens ne sont pas bons à l'oral. 2. Attention au corps : normale. Je me couche quand je suis fatiguée, quand je peux si je suis malade. Je fais des activités sportives en fonction de mes capacités. Par contre je ne mange quand c'est l'heure car j'ai constaté que j'avais besoin de manger à des heures régulières pour être en forme. 3. J'ai conscience du temps écoulé en général, sauf en cas de concentration intense sur un travail important, ou de captivation par un roman (ma perception du temps se concentre ou de distend, ça dépend). Il m'arrive de jouer à deviner l'heure avant de regarder. Je me trompe rarement de beaucoup. 4. Je n'aime pas me montrer sur internet. Quand je le fais c'est à des cercles contrôlés (enfin, j'ai l'illusion que c'est le cas). Par contre, il m'est arrivé de publier des articles dans le cadre professionnel et d'aller consulter les stat. de lecture plusieurs fois par jour. C'était important pour moi que les articles soient lus, pas seulement pour comprendre mon lectorat et ses attentes, mais aussi pour avoir le sentiment d'avoir son approbation. C'était excitant et limite compulsif. A part ça, je fais une psychanalyse depuis 4 ans, donc je travaille sur mon identité et je n'ai pas besoin d'internet pour travailler mon égo.

Vos réponses aux questions de la phase 1

1. Attention J'imagine que mes capacités d'attention sont correctes. Tant que le sujet m'intéresse, je peux me concentrer dessus. Dans le cas contraire, je dois lutter pour rester éveillé. Heureusement, mon imagination est là pour m'occuper l'esprit le temps que ça passe. Je pense pouvoir m'aménager des temps de pensées libres, le soir ou le matin, dans le lit, ou quand je marche dans la rue. La musique aide à stimuler tout ça. Je ne supporte pas le temps vide, car je pense avoir toujours mieux à faire (lire un bouquin, avancer dans un travail, un jeu à finir ou un nouveau à essayer, etc.). Bien entendu, je dors peu ... même si j'apprécie la grasse mat' . 2. Perception de son corps Pas trop compris de quoi il est question. J'imagine que cela indique que je perçois mal mon corps. Disons que se sentir vieillir n'est jamais agréable. Alors autant penser à autre chose. 3. Perception du temps L'horloge sert à ça, je suppose. Mais il doit y avoir un sens caché ... Globalement, j'essaie de prendre le temps dont j'ai besoin, que ce soit 10 secondes ou 10 ans. 4. Perception de son identité Je sais que je n'existe que sous forme d'image pour les autres. Une image qui n'existe que dans leur esprit, et très certainement très différente de ce que je suis. Et comme je ne pourrai rien y changer, autant ne pas y accorder trop d'importance. J'imagine donc que ma perception est mauvaise ... ça ne m'empêchera pas de dormir.

Vos réponses aux questions de la phase 1

1 Mes capacités d’attention sont variables selon les circonstances. Elles me semblent les plus mobilisées lors de moments de concentration. Cela est le résultat d’une volonté. L’attention est un travail psychique centré sur la conscience. Il me semble qu’il y a aussi au moins une autre forme d’attention, celle qui consiste à réaliser des tâches simples ou répétitives, comme repasser du linge ou éplucher des légumes et faire la cuisine ou jardiner : là l’attention a fréquemment une fonction d’occupation qui participe à « vider la tête ». Mes capacités d’attention peuvent être distraites par de nombreux éléments, par exemple les bruits ou les sons ou interrompues parce que ma pensée suit un autre cours, sur un mode d’association plus libre. En règle générale, je n’ai pas le sentiment de me disperser. Bien sûr que je me ménage des moments pour penser plus librement, pour rêver et laisser vagabonder mon esprit. J’aime le temps dit « vide » que je considère comme un temps d’éclosion de créativité. En général je dors bien, moins bien en avançant en âge cependant. Parfois je me réveille la nuit et certaines fois j’ai du mal à me rendormir.Dans ces cas là il m'arrive (heureusement rarement) d'être envahi par des sujets importants de la journée ou même par des sujets anodins. Oui je me rends compte régulièrement que j’ai perdu mon attention. 2 Je perçois mon corps quand j’y prête une certaine attention, en me mettant à l’écoute de tel ou tel élément de celui-ci. Je peux aussi percevoir mon corps en tant qu’image, par exemple dans un miroir. Je perçois aussi mon corps de manière plus évidente lorsque je fais un effort, par exemple si je cours je sens plus les battements de mon cœur et la circulation accélérée du sang dans mes veines. Ou lorsque je ressens des émotions fortes. Il y a de multiples manières de ressentir son corps. Il me semble souhaitable de prendre en compte les messages et limites du corps tels que douleur, satiété, fatigue, etc. J’en tiens compte, étant entendu qu’il y a une grande marge permise par notre corps, par exemple face à la faim ou à la fatigue. Parfois on ignore, consciemment ou non les messages de notre corps et quand c’est trop, c’est évidemment nocif. 3 Trop vaste question ! Concernant le temps passé à une activité, soit je regarde l’heure soit je sens que « j’ai ma dose ». 4 Là aussi très vaste question ! Une part non négligeable de notre identité s’établit sur des identifications et introjections. Je me perçois, je me ressens et je m’apprécie plus ou moins selon les moments ; il est clair que le regard ou l’avis des autres peuvent contribuer à influencer cette perception et ces ressentis. Oui, je suis dans une certaine mesure dépendant du regard des autres mais j’ai aussi heureusement acquis une certaine indépendance étayée sur une certaine estime de moi. Tout cela est variable selon les circonstances et les époques de ma vie.

Vos réponses aux questions de la phase 1

Bonjour, il est malheureusement impossible d'écrire en anonyme en répondant à un message, ou bien je n'ai pas trouvé ou compris comment ça marchait. Mais tant pis, je poste quand même. Mais je trouve ça un peu bête car si on poste un message anonyme, et bien après on ne peut plus répondre anonymement à la personne qui nous aurait répondu, sinon notre identité est dévoilée... 1) attention Mes capacités d'attention sont plutôt limitées je trouve. Je me distrais assez facilement, je suis une grande rêveuse, j'ai malheureusement bien le sentiment de me disperser parfois. Le temps vide que j'ai de moins en moins, je le supporte plutôt bien étant donné ma propension à rêvasser que ce soit positif ou malheureusement négatif. De manière générale la qualité de mon sommeil est plutôt bonne et oui parfois j'ai l'impression que j'ai perdu de mon attention au fil du temps, même si depuis toujours je suis plutôt distraite, mon esprit à toujours eu tendance à vouloir vagabonder. Il suffit qu'on parle d'une chose qui me fasse penser à quelque chose pour que je perde le fil de mon écoute, malheureusement. 2) perception de son corps Comment je perçois mon corps ? Je ne suis pas très souple en tout cas. Je sais pas trop à vrai dire mais, je suis très à l'écoute de mes émotions et de mes ressentis, un peu trop peut-être, parfois je me laisse un peu trop envahir. En général je prend en compte les messages d'alerte de mon corps. 3) perception du temps Je perçois le temps qui passe comme une fusée. Je trouve que le temps passe extrêmement vite, même si l'on ne fait pas grand chose de sa journée. Le temps que je passe à une activité, en générale trop de temps. 4) perception de son identité Par rapport à moi même je me perçois comme quelqu'un de passionnée mais qui n'ose pas. Par quel moyen je sais pas, mais je sais que je m'intéresse à énormément de choses, mais qu'il y'a très peu de choses que j'ose faire (comme par exemple certains arts martiaux), à cause notamment d'un manque de confiance en soi. Je suis timide et réservée et j'ai parfois du mal à m'exprimer ou exprimer mes idées et mes pensées, ce qui fait que je ne parle pas trop en général. De ce fait je pense que les gens me perçoivent comme quelqu'un certes de timide mais également taciturne, froide et sans personnalité. Parfois j'ai l'impression qu'ils me prennent pour une naïve ou pire quelqu'un de bête. Je parle ici des personnes qui me connaissent à peine ou mal.

Vos réponses aux questions de la phase 1

1°) L’idée d’une vie sans temps vide, sans possibilité de rêver, de vagabonder en esprit, de ressentir ce qui se passe en moi, m’est insupportable. Pour moi, ce n’est pas une vie ! Aujourd’hui, la multiplicité de l’offre de culture, de loisirs, d’achats, augmente les possibilités de dispersion. Il faut un temps de digestion de toutes les nourritures que l’on avale (ressentis physiques, émotionnels). L’offre dépassant considérablement mes capacités de digestion et d’assimilation : je me retrouve parfois dans une sensation de « trop », d’étouffement. Mais je sais décrocher et ne pas trop participer à l’accélération du monde. 2°) Atteinte depuis plus de 20 ans d’une maladie qui me donne des douleurs, je n’ai pas vraiment de difficultés à percevoir mon corps. Heureusement, les pratiques du Wutao, de l’Eutonie, de la respiration pleine conscience me rappellent que mon corps n’est pas que de la douleur ! Mon corps me limite et le plus souvent j’obéis… Je trouve qu'oublier mon corps est plus facile en surfant sur internet (qu'en lisant ou en regardant un film) et béni soit internet pour cela ! 3°) Je sais toujours l’heure qu’il est à quelques minutes près. C’est très rare que je perde le sens du temps, et c’est d’ailleurs souvent une expérience agréable. Je ne sais pas comment je le sais. Sans doute qu’il y a toutes les fois où je jette un coup d’œil à une montre, un téléphone portable, une pendule et que j’enregistre l’heure, sans vraiment m’en apercevoir mais j’ai également l’impression que c’est dans mon corps : mon corps sait l’heure qu’il est. 4°) J'ai besoin de me retrouver avec moi-même : moi, mon cahier et une théière pleine le matin, dans mon fauteuil. C’est là que mon rapport à moi-même s’établit, se reconstruit, se renouvelle, évolue. Je ne peux pas vivre sans ce moment. Si je ne prenais pas ce temps le matin, je finirais peut-être par ne plus savoir qui je suis ? Par n’être définie que par les autres ? Par n'être définie que par ce que je fais, et plus du tout par ce que je ressens ou que je pense ? Je n'ai pas l'impression d'avoir tellement besoin d'être définie par le regard des autres sur moi. Par contre, je cache ce qui m'apparait comme de la faiblesse (avoir mal, être shootée par les antalgiques, être fatiguée...) même si cela n’en est pas pour les autres, mais juste inhérent au fait que je suis malade. Je fais la différence entre moi et ce que je montre de moi, sans être tout à fait dupe : je sais que je montre également des choses malgré moi, à mon insu ! Internet n'a que peu d'influence sur cette image de moi, car je fréquente peu les forums, je ne suis pas sur les réseaux sociaux...

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1 Au niveau de l'attention, il m'arrive parfois d'écouter les gens en réunion de travail sans les entendre. Parfois quand les réunions s'enchaînent il est difficile de rester concentré. J'ai besoin de faire souvent des coupures entre 2 réunions, des pauses de quelques minutes pour me recentrer ensuite. Conneccté au travail même le soir chez moi, il m'arrive aussi parfois de m'endormir devant mon ordianteur ! 2 Les effets au niveau du corps chez moi se sont manifestés à partir du moment où ma charge de travail a augmenté et donc faisant moins d'exercices physiques, j'ai pris en 2 ans 20kg... qu'il m'est difficile de perdre aujourd'hui. Cette prise de poids rapide car souvent assis (dje travaille de 7h30 à 18/ 19h du lundi au vendredi et 1 fois sur 2 jusqu'au samedi)provoque des douleurs aux épaules, des blocaes au niveau du poignet, un voile devant les yeux lorsque je travaille tard chez moi devant l'ecran 3 L'investissement au travail me permet de bien mesurer le temps car le résultat de mon travail doit être rendu dans des délais fixés. Par contre cet investissement me fait depuis peu aussi prendre conscience que je néglige moi, mes proches, mon intérieur et que je fuis les responsabilités domestiques. 4 Le rapport aux autres est fonction de mon état. Souvent négligé (pas rasé, même chemise ou pantalon pendant 3 jours car je n'ai pas de chemise repassée car je neglige le repassage)il y a une crédibilité face aux autres qui est en jeu. Souvent quand j'anime des réunions ou lors de rendez-vous où une décision doit être prise, les personnes sont surprises parfois l'image que j'affiche et l'autorité que je représente. Je suis conscient de l'image que je peux véhiculer mais en même temps c'est aussi volontairement que je casse les codes sociaux (exple s'habiller en costume cravate). J'ai aussi souvent besoin de me retrouver "avec moi-même", en déjeûnant seul mais pas au restaurant d'entreprise pour ne pas croiser des collègues, en fermant mon bureau ce qui signifie ne pas déranger...

Vos réponses aux questions de la phase 1

Bien que très présent en ligne et sur les réseaux sociaux notamment, je n'y suis pas très actif cela a donc peu d'impact sur l'image que je peux avoir de moi.. Par contre, cette présence modifie ma vision des autres dans le sens où je suis peut être plus enclin à juger les autres selon ce qu'ils exposent d'eux mêmes (retweet ou partage d'intox ou de hoax sans vérifications, orthographe approximatif, messages inintéressants etc.). Cela a plutôt tendance à restreindre mon cercle "d'amis" que de me pousser vers les autres...

Vos réponses aux questions de la phase 1

Mon attention est facilement distraite notamment par le smartphone Effectivement je me disperse et perd du temps je me « rassemble » régulièrement pour faire le point parmis mes moments de dispersion il m’arrive de rêver effectivement afin de m’isoler complètement et me retrouver j’apprécie de me retrouver avec du temps libre cependant j’ai souvent beaucoup de mal à le gérer je fais du sport, je lis je vais voir une amie, je range , je comble la qualité de mon sommeil est souvent mauvaise pas suffisante souvent et il m’arrive de faire une pause de 10 min et de « décrocher » éveillée ou non oui souvent je me rends compte que je dois me reconcentrer je perçois mon corps comme une « machine » , une enveloppe dont l’image subjective ne change presque jamais je ne m’écoute pas souvent et priorise d’autres données avant mon corps mes ressentis je pousse souvent mon corps à ses limites il m’arrive malgré la douleur de sortir courrir pour garder mon rythme de sorties , j’ai un objectif et je m’oblige à sortir néanmoins si une fois sortie je constate que mon corps ne suit pas je ralentis la cadence et marche pour quand même bouger mais en prenant soin de ne pas « casser » la « machine » j’écoute peu mes signaux internes notamment de fatigue si bien que de temps en temps la « machine » me rappelle à l’ordre avec des migraines ou autres douleurs qui m’obligent à me « replier » et me reposer je dois regarder et contrôler le temps passé à une activité car j’ai peu de notion du temps qui passe pour ce faire j’utilise mon tel en permanence quand je pars courrir ,partout en fait il est toujours avec moi je me perçois en regard aux réaction des autres je pense être une personne discrète voire froide pour certains car j’attends avant de parler et parle peu je ne suis pas très visible d’ailleurs souvent on ne sait plus si j’étais là à telle ou telle soirée ou on m’oublie manifestement ! je le vis très bien j’aime observer et me faire une idée de ce/ceux qui m’entourent sur les réseaux sociaux je mets très peu d’infos sur moi et je vérifie régulièrement ce qui ressort lors d’une recherche avec mon nom cependant je me soucie peu ds commentaires ou de ce qu’on peu penser de moi je veux seulement ne pas être trop visible

Vos réponses aux questions de la phase 1

Je traite les points demandés en articulation avec mon activité numérique uniquement. Capacité d'attention : très variable. Quand je travaille sur un document compliqué, je ferme volontiers mon navigateur web et je coupe le son des appareils mobiles pour ne pas me laisser distraire. Quand je dois être sur le web pour le travail, je ferme les onglets qui n'ont pas de relation directe avec la tâche en cours. Je peux me concentrer très longtemps sur un sujet qui me plaît ou dont j'ai intégré l'urgence. En revanche, je papillonne partout quand ça me pèse ou que ce n'est pas urgent. Perception du corps : j'ai abusé de la station assise voici quelques temps, je m'oblige désormais à bouger, à lâcher mon ordi au moins deux heures / journée de travail. Je souffre les jours où l'urgence du travail à accomplir me tient vissée au fauteuil. Perception du temps : le temps passe vite sur Internet, qui incite à la procrastination et remplit avec du pas grand chose souvent les plages de désoeuvrement. D'un autre côté, j'ai la nette impression de pouvoir travailler plus longtemps d'une traite sur un document présent sur mon ordinateur que sur une feuille de papier. Identité : j'ai une identité publique, je l'assume et essaie de ne pas m'emmêler les pinceaux ! J'ai horreur de la notion d'e-réputation, j'ai du mal à me considérer comme un paquet de lessive ou une "marque". Je privilégie l'interaction en ligne sur mes productions et celles de ma société, ainsi que la diffusion d'informations pertinentes (je lis par exemple toujours les articles avant de retwitter les liens sur Twitter) plutôt que le "branding" creux.

Semaine 3 / 2.1 Ce qui change avec le numérique : témoignages

le numérique me change le cerveau

....il permet plus de temps pour préparer ce dont nous avons besoin ,quelle info me manque pour répondre à la sécu ,où habite maintenant cet ami dont j'ai perdu la trace ,1000 questions comme cela qui nécessite une stratégie de recherche ,mais je peux aussi clique slt le nom ou le mot et je vois ce qui se passe,ce que cela donne ,c'est aussi se perdre dans le dédale des questions et des réponses ,l'anarchie s'organise alors toute seule ,le temps ne compte plus ,je m'étonne moi même ,je suis distrait et concentré à la fois ,le corpset scotché ou en mouvement ....

le numérique me change le cerveau

Je suis incapable de répondre à une telle question. Cela fait 30 ans que le numérique est entré dans ma vie (avec un Mac SE) Sur une telle durée, je ne peux pas faire la part de ce qui est dû au numérique, à l'évolution de la société, et à mon propre vieillissement.

le numérique me change le cerveau

Vous pouvez réfléchir par rapport à une technologie numérique particulière : par exemple l'arrivée d'internet à la maison, l'arrivée du haut-débit à la maison, le téléphone portable, facebook, etc. : qu'est-ce qui a changé pour vous sur l'attention, ou bien le rapport au temps, etc.

le numérique me change le cerveau

Le numerique permet d affiner et d echanger sur des sujets varies il peut aussi permettre a une opinion de se definir ou se renforcer voire d etendre le champ de connaissance des sujets et permettre d ecouter la contradiction.

le numérique me change le cerveau

En tout cas, l'utilisation du smartphone a supprimé les accents et les apostrophes...et c'est regrettable ! En dehors de ça, je trouve que l'attention est plus fluctuante avec le numérique, je mémorise moins bien (ou alors serait-ce l'âge...) une lecture sur écran que sur papier. De même, l'utilisation d'un GPS fait qu'on se laisse conduire et qu'on est souvent incapable de refaire un trajet sans cette aide voire de situer sur une carte le lieu atteint (on a une vision très en détail) ... Dans la relation aux autres, on se parle sans doute moins, on s'écrit plus (sms, mails), du coup le contenu n'est plus tout à fait le même, on "pense" plus à ce qu'on dit/écrit.

perception numerique

1 er paragraphe avant le numerique on avait les livres les journaux lorsque on lit un livre on absorbe par l attention on rentre dansle livre . l internet est apparu notre perception a change maintenant nos yeux sont rives sur les ecrans ordi tablettes parfois c est difficile de lire un ebooks est epuisant par rapport a la luminosite de ces appareils 2 paragraphe la perception de notre corps est transforme avant on se deplacait beaucoup on allait dans des magasins se promener . l ere numerique est apparu plus besoin de deplacer de son salon on acces au monde entier on devient dependant 3 paragraphe avant javais du temps on nest pas accapare par la vie moderne maintenant j utilise l ordi toute la journee on oublie sa vie pendant un moment4 paragraphe avant j utilisais le telephone cest bien d entendre la voix des proches maintenant je passe par le celebre reseau social avec les amis virtuels plus besoin de telephoner on se parle en ligne en direct on perd l habitude de se parler

perception numerique

tout à fait d'accord ces perceptions. cela a changé nos habitudes, nos comportements et nos relations avec les autres. Tout de même, si on aime lire, on garde la préférence pour les lectures sur papier. De plus, même si on n'a plus besoin de se déplacer aussi souvent qu'avant, parfois il devient nécessaire. la relation face à face est plus intéressante. Tout dépend aussi de son éducation...

Vos témoignages

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre réponse à la première question de la semaine : *qu’est-ce qui change avec le numérique concernant les capacités d’attention, la perception du corps, du temps, de l’identité et de la relations aux autres ?* Cordialement. Damien Aubert, membre de l'équipe technique

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Attention : Internet nourrit ma distraction : je ne pense pas être plus distrait, mais il est plus facile de sauter d'une distraction à l'autre désormais. Par rapport à un travail de bureau à l'ancienne l'ordinateur peut aussi faciliter ma concentration en aidant à la focalisation sur un écran, et en minimisant l'effort physique. Le téléphone portable offre un moyen quasi-immédiat pour occuper les temps vides (mais que s'y passait-il avant ?). Perception du temps : pas sûr que grand chose ne change par rapport à une montre.

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Capacité d'attention : on capte + de choses mais - en profondeur. On ne prend pas le temps de se poser pour analyser vraiment. La perception du corps : celui-ci se "customise" à volonté, on rajoute des options... Le temps s'accélère : un événement dramatique qui a suscité un flot incessant de réactions sur Internet, cela nous paraît déjà loin alors que cela est encore très récent (mais tellement de choses ont été dites...) L'identité : à la fois on a peur de révéler son identité (voire son intimité) et à la fois son identité devient plurielle, au fils des différents usages. La relation aux autres : Comme pour l'attention on a plus "d'amis" mais on peut s'en séparer plus facilement.

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Je souscris au commentaire précédent. Néanmoins, je n'ai pas l'impression qu'en ce qui me concerne il y ait un changement notable sur ces 4 critères, peut-être parce que j'étais déjà adulte quand on a adopté des usage numériques aussi étendus. Tout ça pour dire que peut-être il se peut que rien ne change pour certains. La question appelle en fait une typologisation de changements et des groupes de sujets formés selon la fréquence et l'intensité des changements constatés chez eux, et l'étude de ce qui les rassemble en dehors de faire partie de ce groupe.

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Je suis probablement un contre-exemple, mais bon ... ça a peut-être un intérêt sociologique, qui sait. J'ai pratiquement toujours vécu avec un objet électronique (ou interactif) à portée de main. Je n'ai jamais ressenti le besoin de rejoindre les autres, et mon cercle d'amis a toujours été restreint. Ce comportement s'est prolongé dans ma vie numérique. Je ne ressens donc pas de changements importants par rapport à avant, en dehors d'une plus grande multiplicité des activités potentiellement intéressantes à mes yeux. Avant j'avais le choix entre les bouquins, la console ou la télé. Maintenant, c'est à peu près pareil, avec Internet en plus. Mes occupations sont devenues "en ligne", mais sont restées "hors ligne" dans l'utilisation que j'en ai. En dehors de mes participations dans quelques forums, je ne fais rien de fondamentalement différent d'avant. Question de caractère, j'imagine. Il y a 1000 ans, je serai surement devenu moine ou lettré, pour continuer à lire et à gribouiller aussi souvent que possible.

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Je pense que je « butine » plus avec le numérique. par exemple quand je suis sur mon ordinateur, je peux utiliser internet, écouter la radio, lancer un ou plusieurs logiciels en même temps. J’ai parfois une sensation de zapping. Je crois que mon attention est mise plus à l’épreuve qu’auparavant. J’ai aussi remarqué que si je dois faire un travail ou une tâche un peu fastidieuse, j’ai besoin d’écouter de la musique en même temps. Ça m’aide à me concentrer. Alors que quand je lis un bouquin, je ne fais que lire (pas de musique, ni de radio) . peut être ai-je besoin de plus de concentration ? Comme je l’ai déjà évoqué dans d’autres posts, je pense que la notion du temps passé sur internet est très différente de la réalité. Souvent je prévois de rester seulement ½ heure et en fait au bout de 1 ou 2 heures j’y suis encore…. Parce qu’il y a toujours quelque chose à faire ou à voir. Encore plus si je suis connectée sur les Réseaux sociaux tels que Facebook ou pire Twitter. Puis que ça bouge réellement tout le temps.

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Chacun de nous possède son identité réelle et virtuelle. nous nous créons nous-même notre identité virtuelle au fur et à mesure de notre utilisation d'internet, de nos usages et de notre implication. par exemple dans ce mooc je suppose que certains sont très présents sur le forum, d'autre un peu moins et d'autre encore ne font que lire les posts ... on pourrait donc établir une typologie des usagers du mooc @ddict en fonction de l'implication de chacun (sans que cela soi un jugement) . Si on recueille les posts de chacun à la suite on peut établir une certaine identité virtuelle ou plutôt numérique liée à ce mooc.

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Mon attention est plus sollicitée depuis l'arrivée d'internet à la maison. Je surfe beaucoup, et en definitive, je survole beaucoup. RAS pour la perception du corps.Sommeil, fatigue et douleur ne sont pas assez pris en compte, mais rien à voir avec internet. Le temps : de même, depuis toujours, le temps me semble élastique. Trop court quand on est passionné, trop long quand on a mal par exemple. Le gros changement pour moi est la sociabilisation : depuis internet, il est beaucoup plus facile de rester chez soi pour avoir des nouvelles d'amis. Pour voir un film, acheter quelque chose...plus besoin de se déplacer. Mais les vraies relations manquent.

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Pour moi le numérique a diminué mes capacités d'attention. Tout s'automatise, plus besoin de prêter attention. Par exemple, quand j'utilise un GPS, je ne dois plus être attentif au panneau de signalisation contrairement à avant. Ma capacité d'analyse diminue. Je suis la route sans avoir besoin de réfléchir à quel chemin prendre. Par contre, cela peut aider à se concentrer sur la route. Bien que je reste plutôt sceptique à ce niveau là.

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1) Attention Je ne sais pas vraiment si Internet a changé ma capacité d'attention. Depuis 15 ans que je surfe, c'était bien différent avant et après, mais ma vie a changé aussi entre avant et après, avant internet j'allais à l'école, après je rentrais dans ma vie d'adulte, donc difficile de répondre à cette question. Au lycée je faisais mes recherches dans les bouquins que je trouvais, maintenant je fais mes recherches sur Internet, mais ce ne sont pas les mêmes recherches. En ce qui concerne les jeux vidéo auxquels je joue depuis plus longtemps encore, et bien là aussi difficile de répondre à la question. Je dirais que ça a développé une façon de se concentrer, une capacité à se concentrer sur une chose spécifique, mais pourtant comme je l'ai mentionné à la question précédente, mon esprit vagabonde facilement, mais je me concentre bien sur une tâche, parfois trop peut-être XD, exemple quand je me concentre pour apprendre la guitare (sur un morceau en particulier) je crois que j'oublie de respirer parfois ! 2) perception du corps Et bien là je dirais que par rapport au pc, depuis que j'en ai un et ce même avant internet, je me dépense moins physiquement, c'est sûr. Je peux le ressentir parfois dans mes jambes, quand je reste assise trop longtemps, mais aussi fatigue visuelle. Je pense que mes yeux ont un peu trop morflés. Avec les jeux vidéo, du moins avant, je n'avais pas trop ces problèmes, étant enfant, je sortais souvent, et après mes études me prenaient pas mal de temps. Aujourd'hui je rajoute le temps passé devant l'ordinateur, et du coup, moins d'activité physiques. 3) Perception du temps A vrai dire je crois qu'avant je trouvais que le temps passait beaucoup moins vite, et je ne saispas vraiment si c'est à cause du temps que je passe sur Internet, mais je trouve que le temps passe énormément vite. Ceci dit quand je suis en vacances sans internet, je trouve que le temps passe également très vite, mais peut-être d'une manière plus "calme". 4) Identité et relation aux autres Je ne pense pas que ça ait changé grand chose, étant donné que je ne suis pas une accro aux smartphones,quand je suis avec des gens, c'est la même chose qu'avant. En revanche, être derrière mon écran me rend moins timide, j'ai fais connaissance avec plusieurs personnes en ligne.

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Pour ma part, le numérique m'a surtout apporté la possibilité d'assouvir plus facilement mes envies. Il y a un temps ,pas si lointain , il fallait aller dans une bibliothèque ou même sur paris en librairie spécialisée pour trouver un livre pour apprendre et aller dans un autre magasin , tout aussi spécialisé, pour acheter du matériel à prix fort.Maintenant, il y a des forum très professionnel et du matériel d'occasion .Grâce à cela , j'ai pu m'instruire dans plusieurs domaines , sauf le français correct désolé .Mais on s’épanouit plus facilement

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Juste quelques pistes tant les sujets sont vastes: 1 Pour l'attention, c'est clair avec le numérique, j'ai l'impression d'une sollicitation à la distraction, à une dispersion, à une dilution de mon attention. On ne lit pas sur le numérique comme on lit un livre. Un livre a un début et une fin, sur Internet on peut aller dans de multiples directions et même se laisser guider au gré de nos ressentis et des sollicitations avec une sorte d’attention flottante. On est plus durablement attentif plongé dans la lecture d'un livre mais les multiples directions possibles avec le numérique offrent par ailleurs des possibilités insoupçonnables auparavant. De même on n'écrit pas pareil sur un ordiphone ou sur une copie ou sur un traitement de texte, ce sont trois options différentes que l’on pourrait développer. La multiplication de ces possibilités me semble une très bonne chose. Là où il y a à mon avis peut-être problème, c'est quand on privilégie une approche au détriment des autres, par exemple quand on est tellement sur la lecture sur le numérique qu'on ne prend pas (ou plus) le temps de lire des livres: on perd quelque chose d'une attention particulièrement remarquable me semble-t-il. Concernant l'attention je souhaite pointer que c'est une erreur de penser que l'on fait de plus en plus plusieurs choses en même temps. Oui, on peut avoir la télé allumée et utiliser son ordiphone et écouter de la musique d'une oreille parallèlement, mais si l'on y regarde bien, notre attention se porte la plupart du temps tour à tour sur l'un puis sur l'autre de ces pôles d'attraction de l'attention, donc on disperse son attention. C'est évident que si l'on écoute de la musique tout en faisant un travail on disperse son attention, même si cela allège la contrainte de faire ce travail, on le fait probablement moins bien... La qualité nouvelle développée par certains individus grâce à la multiplication des objets technologiques et particulièrement numérique, c’est peut être la capacité de passer très rapidement d’une activité à une autre, une plus grande capacité d’adaptation en quelque sorte. 2 La perception du corps : il y a à mon avis de multiples façons de percevoir son corps, par exemple dans la totalité de son image, comme dans le reflet du miroir, mais aussi dans la complexité de ses composants internes : organes par exemples s’ils sont douloureux. Des représentations de notre corps circulent beaucoup plus par le numérique, même si cette multiplication de nos reflets, des manières de nous représenter, a une origine beaucoup plus ancienne. Pour ce qui concerne le fonctionnement des composants internes de notre corps, fonctionnement silencieux et la plupart du temps disjoint de notre conscience, il est indéniable que les techniques de quantification de soi sont très fortement augmentées et de plus en plus fréquemment proposées par l’intermédiaire du numérique. Ce peut-être des outils d’apprentissage mais on peut craindre aussi une sorte de formatage. 3 La perception du temps : Il faut dire que le numérique change notre relation à l’espace/temps : pouvoir discuter en vidéo et en direct avec un ami à l’autre bout de la planète cela change forcément notre rapport au temps et à l’espace. Pour ce qui est de la perception du temps qui passe il est vrai que l’on peut passer beaucoup de temps sur du numérique sans s’en apercevoir, mais c’est aussi le cas d’une lecture ou d’une activité qui nous intéresse beaucoup. Les jeux vidéo en ligne semblent cependant spécialement chronophages de par leur permanence (on ne peut pas lâcher les autres s’il y a par exemple un combat) et leur illimitation (ce n’est jamais fini). Ils proposent une sorte d’engagement sans fin, c’est peut être une spécificité de cette partie du numérique. 4 La perception de l’identité : La possibilité de se créer des avatars de manière simple et rapide, c'est-à-dire de représenter par projection l’image que l’on se fait de soi, ou une image de qui l’on aimerait être semble être une des nouveautés intéressantes permises par le numérique. Ce peut être ludique mais ce peut aussi être un outil thérapeutique pour les personnes en souffrance psycho-affective. 5 La relation aux autres : Le numérique change pas mal de choses à mon avis même si les fondamentaux de l’humain semblent reste les mêmes. La relation directe en présentiel met en œuvre de multiples facteurs et une infinité de nuances plus ou moins conscientes (les attitudes par exemple trahissent nos états d’âme) ; avec le numérique on peut communiquer intensément avec juste une petite partie de cet arsenal, juste l’écriture ou la parole ou l’image par exemples. Cela permet de décomposer la communication de personne à personne, comme les lettres le permettaient déjà autrefois mais bien plus lentement. La représentation de son image mise en scène semble renforcée dans la représentation de l’identité. En plus comme on peut multiplier ses identités numériques sous une infinité de pseudos, les gammes deviennent infinies. Des liens intenses peuvent se mettre en œuvre par cet intermédiaire et déboucher sur du lien présentiel ou pas.

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qu’est-ce qui change avec le numérique concernant les capacités d’attention, la perception du corps, du temps, de l’identité et de la relations aux autres ? Ça me paraît difficile le passage au numérique s est fait pour moi avec le passage à la vie d adulte autonome. comment déterminer les effets dans ce changement ? pour la capacité d attention le numerique correspond à ma façon de penser, J ai toujours "deux ou cinq fenêtres ouvertes" en même temps dans ma tête et je passe d un sujet à l autre sans cesse en ayant ma propre façon de mettre les éléments en lien. Je "pense " réseau sans cesse . Du coup ma capacité d attention est renforcée je pense par le net, ce n apporte pas de changement pour moi. ( et cela peut générer de la fatigue et une baisse d attention bien entendu mais je peu le fatiguer toute seule sans où ils de la même manière ) Ma perception du corps ...même constat, je l esquive , je ne M y interresse pas et le numerique ne s interresse pas à mon corps. Si il y a des applications qui veulent s y penser je ne m'y arrête pas. Le temps : J aime le contrôler , J ai des routines dans ma pratique du net qui me permette ça. Il y a un ordre pour moi (mails, officiel (banque, administration...) puis Facebook (amis, actus) puis éventuellement jeu ou lecture ou apprentissage. Je mets de côté ce vers quoi je souhaite revenir sur un créneau temps choisi. Pour ce qui est de l identité et de la relation au autres, je ne souhaite pas répondre ici.(pas le temps peut être ? :D )

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Capacité d'attention : je ne peux pas lire sur un écran. Enfin, je peux, mais j'ai l'impression de survoler. Si je veux ou dois lire quelque chose vraiment, je l'imprime et je le lis ailleurs... L'attention sur internet est volatile... Tout pousse à la distraction : c'est bien cela surfer ! C'est naviguer sans réellement de direction. Comme toutes les mamans du monde j'ai fait plusieurs choses en même temps : préparer le dîner en écoutant la récitation, ranger le linge en discutant... Mais je ne crois pas qu'on puisse faire plusieurs choses "intellectuelles" en même temps. On ne peut pas écouter de la musique en lisant. Pas réellement, on est soit à la musique, soit à la lecture. J'aime écouter la radio en cuisinant mais pas en lisant ou en écrivant ! Perception du corps : je n'ai pas l'impression que l'utilisation du numérique ait changé quoi que ce soit pour moi dans ce domaine. Perception du temps : idem. Sauf à considérer le temps comme une dimension de l'espace : pouvoir skyper avec des amis géographiquement éloignés, ça change les choses. Perception de l'identité : je ne suis pas sur les réseaux sociaux, j'ai participé à peu de forum, je n'ai pas l'impression que le numérique ait changé quoi que ce soit. Relation aux autres : côté pratique des sms et des mails pour des informations pratiques, pour le partage des tâches au sein d'une association, pour des échanges ayant un support concret. Mais pour le reste, ça n'a rien changé pour moi... J'écrivais des lettres et des cartes postales, j'écris des mails et des cartes postales !

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J'ai perdu mon message en cours d'écriture alors pardonnez-moi si apparaissent deux réponses. D'ailleurs ces 2 réponses seront différentes puisque je n'ai pas préparé un brouillon. Tiens c'est un peu comme le numérique : selon son humeur on peut être blanc ou noir. Cela pourrait très bien rentrer dans la catégorie "identité"... J'ai vécu 40 ans de ma vie sans et 20 ans avec le numérique. J'imagine que le numérique est un deuxième cerveau qui phagocyte le premier si je ne m'impose pas une discipline. Il m'est difficile de répondre point par point sur cette question tant les effets de l'un entraîne des effets sur les autres et vis versa. Intellectuellement, les apprentissages sont différents : autrefois je lisais sur papier, j'écrivais, c'était plus long mais physiquement moins dangereux. Quoique mes aînés me disaient que j'allais "m'abîmer les yeux". je dis la même chose à mon cadet ! Cependant j'imprimais dans ma mémoire tout ce que j'écrivais, je me souvenais des dates, des anniversaires, des numéros de téléphones, des horaires d'avions. Aujourd'hui je fais confiance à mes agendas, les infos sur mes contacts. Un problème de sauvegarde et je me rends compte que je ne peux plus faire appel à ma mémoire. je suis même en quasi panique lorsque je n'ai plus d'accès à un internet. Au travail une panne d'électricité ou de réseau et Bon cela c'est dit, la lecture sur écran entraîne une fatigue oculaire et une déficience visuelle c'est dans mon cas évident. L'écriture sur clavier a déjà coûté deux opérations du poignet à une collègue. J'ai des hernies cervicales et discales : mauvaises positions et ergonomie pas vraiment au top. Dans certains lieux de travail tout est pensé pour le confort des employés mais pas chez tous les employeurs, loin s'en faut. Je n'ai jamais voulu d'ordinateur portable pour des raisons d’inconfort justement. Il m'est difficile de me concentrer sur internet. La lecture sur écran fatigue et, habituée à lire en diagonale sur le support papier, je ne peux le faire sur écran. les mots se brouillent et j'oublie au dernier paragraphe ce que j'ai lu au début. je ne développerai pas tous les points mais dans un premier temps je retiens ces deux particularités qui pour moi sont dérangeantes : la perte de mémoire et la concentration rendue difficile par une mauvaise qualité de lecture.

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***Rouen 47*** Je réponds, pour la première fois, aux questions posées. Je ne l'ai pas fait jusqu'à présent, or ce MOOC est censé être "participatif" *Capacité d'attention* : je pense que le numérique AUGMENTE, d'une part, les capacités d'attention mais, je constate que cette attention à "l'objet numérique" risque de DIMINUER la *capacité d'attention aux* *autres!* J'en donnerai un exemple : je suis en fauteuil roulant,et je dois souvent me protéger de toutes ces personnes qui ne regardent que leur portable en avançant sur le trottoir et qui se précipitent sur moi en ne me voyant qu'au dernier moment..... Elles sont tellement obnubilées par ce qu'elles font qu'elles ne voient même plus leur environnement! *Perception du corps et du temps* : je réunis les deux car bien souvent je réalise que le temps a passé sans que je m'en rende compte. Parfois, mon CORPS (douleurs, tensions, mal aux yeux ou à la main) me rappelle ce temps Malgré tout, j'ai l'impression que mon cerveau joue le rôle de "régulateur" car, souvent, j'ai le réflexe de regarder l'horloge en bas de mon écran, et cela m'incite à m'arrêter ou à décider d'un délai avant d'arrêter, alors mon attention est plus régulée et consciente Enfin sur *la Relation aux autres,* je trouve qu'il y a du bon et du moins bon. Les SMS, par exemple, permettent une relation PLUS FREQUENTE mais moins PROFONDE que le téléphone classique par exemple qui permet un réel DIALOGUE.

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Dans une étude, C. Shawn Green et D. Bavelier, du département neurosciences de l’université de Rochester, observent que la pratique des jeux vidéo d’action modifie chez les joueurs les capacités visuelles attentionnelles. Les auteurs ont comparé les performances de « joueurs » réguliers face à des « non-joueurs » dans différentes tâches. Leurs recherches ont mis en évidence que l’attention visuelle des joueurs fatigue moins vite que celle des non-joueurs lorsqu’ils doivent rechercher une cible, malgré l’augmentation constante de la difficulté de la tâche. Les joueurs arrivent également à appréhender un plus grand nombre d’objets d’un seul coup d’œil. Par ailleurs, la mobilisation de leurs ressources attentionnelles visuelles est plus opérante, en vision centrale comme en vision périphérique : ils repèrent mieux une cible quelle que soit sa distance par rapport au point qu’ils fixaient initialement. Enfin, ils parviennent plus rapidement à remobiliser leur attention à la recherche d’une nouvelle cible, après qu’une première ait été détectée. Il semblerait donc que la pratique régulière de jeux vidéo d’action améliore globalement l’attention visuelle sélective. (GREEN C.S. et BAVELIER D., « Action vidéo game modifies visual selective attention », Nature, 2003, n° 423,pp 534-537) Je ne connais pas d'étude similaire sur l'utilisation d'internet mais si certains en ont connaissance, il peut être intéressant de les partager. Cordialement, Marine

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d'une attention ouverte à une géographie proche et entourante (les autres, les choses, les pensées exprimées) mais de proximité l'attention se réduit à un objet unique mais protéiforme (son, image, écrit...) dont la distance peut être infinie mais la perception proche. Le corps perçu se réduit alors en un outil au service du cerveau qui, tout puissant, tout assoiffé recherche le maximum de simulation (connaissance, loisir, envie de tout appréhender de ne rien laisser échapper). Un corps en un lieu unique, un esprit présent partout. le corps ne se rappelant alors à nous que par les douleurs musculo-squelettique induites. Le temps qui rythme la vie, heures, jour/nuit, saisons, ne donnent plus le tempo: c'est le besoin d'aller toujours plus en avant de satisfaire ces besoins (loisirs) ou ses obligations (travail) qui domine. quant à la relation aux autres le besoin de vérifier si la connexion existe, si le fil à la patte n'est pas rompu (au risque de tomber dans le vide) est intimement lié au besoin de vérifier son attachement à sa nouvelle "grégarité": son entourage numérique personnalisé et créé de toute pièce.

Vos témoignages

Je ne sais pas si c'est vraiment le sujet, mais je voudrais parler du téléphone portable. Pourquoi est-il si fascinant ? Pourquoi éprouve t-on le besoin de le consulter sans cesse ? regardez les gens à l'arrêt de bus, dans le métro : ils sont tous en train de consulter leur téléphone, et moi la première. Sommes-nous moins attentifs à ce qui nous entoure pour autant ? L'était-on davantage avant que nous possédions tous cet objet ? Je n'en suis pas sûre. Ce que je constate, c'est que je lisais davantage de magazines et de livres sur des temps courts (parce que sur des temps longs, plus de 30 mn, je lis toujours beaucoup sur papier). Le format de ce que nous voyons / lisons sur le téléphone me semble mieux adapté à la fragmentation de notre temps que celui des documents longs. Une chose est certaine : depuis que j'ai ces appareils mobiles, je ne m'ennuie plus ! J'ai vécu un ennui profond, abyssal à l'école... Je l'ai retrouvé parfois dans mon activité professionnelle et dans ma vie quotidienne, par exemple lorsque j'attends chez le médecin ou le dentiste. Maintenant, je prends ma tablette connectée en 4G et je lis les articles que j'ai stockés dans une application "à lire plus tard", je n'ai pas l'impression de perdre mon temps... Récemment, j'ai attendu plus de 3 heures dans un commissariat pour faire une déclaration de vol. Si je n'avais pas eu ma tablette, qui remplaçait avantageusement les revues déchirées et périmées mises à disposition dans la salle d'attente, j'aurais pété un câble !

Vos témoignages

Avant le numérique, j'écoutais certaines émissions radio, j'étais très fidèle aux horaires, car c'était mes seules sources de cultures et d'informations. En effet je suis du Bénin et de famille pauvre. Je n'avais pas accès aux journaux et livres facilement. Après mon accessibilité au numérique, je peux passer un mois sans mettre en marche un post radio ou une chaine de TV. Par contre, je n'arrive pas à me passer d'Internet. Quand une émission m'intéresse,je vais sur le net pour télécharger les numéros passés. Aujourd'hui, j'ai des difficultés visuelles mais j'ai du mal à donner un repos suffisant à mes yeux. Surtout que depuis 2006, j'ai considérablement réduit mon recours aux documents imprimés pour préparer et animer les formations que je donne.

Semaine 3 / 2.2 Ce qui change avec le numérique : synthèses

Votre synthèse

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre synthèse des réponses à la première question de la semaine : *qu’est-ce qui change avec le numérique concernant les capacités d’attention, la perception du corps, du temps, de l’identité et de la relations aux autres ?* Cordialement. Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Votre synthèse

J'ai constaté, au fil des interrogations sur mon utilisation du numérique, tout d'abord que je n'étais pas addicte ! mais plutôt "attaché" tout simplement parce que : - j'ai une pleine et entière conscience de mon corps (par une pratique d'activités physiques régulières), de mon environnement (j'ai plaisir à rencontrer les gens, converser, s'intéresser à eux), et de mes flâneries et pensées diverses. - par contre je remarque, sur les outils numériques, que ma capacité de concentration augmente sur une courte durée et que ma capacité d'attention diminue sur une longue durée. Adieu donc la lecture de longs articles bien étayés voire même de bouquins. Perte d'attention donc en complément du fait d'être rapidement démobilisé par un événement extérieur. Pour information, je ne possède pas de compte Facebook ou Twitter, pour des raisons de vie privée (pas certain de la protection de celle-ci), pour le temps que cela pourrait prendre

Votre synthèse

j'aime bien cette notion d'attachement qui me correspond aussi assez bien. je suis en effet attachée au fait de travailler et d'utiliser quotidiennement le numérique mais j'apprécie également beaucoup de faire des choses "déconnectées" comme me balader, faire du sport, peindre, lire....

Votre synthèse

Je suis d'accord avec cette sensation d'attachement au numérique, qui s'est implanté dans nos vies envers et contre tout, qui nous suit et peut donner l'impression d'une addiction, mais qui est plutot un attachement.

Votre synthèse

Nous sommes tous un peu attachés au numérique par la force des choses de la vie courante. Notre gamme intérêt c'est élargi avec le numérique (visuel ,digital et l'écoute). Tout (le numérique ) est prétexte pour nous rappeler nos faiblesse, fatigue, oublie, lenteur et erreur. Ce n'est pas une addition , c'est parfois une soumission

Votre synthèse

Savoir distinguer la notion d'addiction et d'attachement au numérique. Le numérique fait aujourd'hui partie de notre quotidien et a donc changé notre mode de fonctionnement. Nous nous adaptons et nous suivons tout simplement l'évolution...

Votre synthèse

Je suis d'accord pour tout ce qui est partagé jusqu'ici. Pour ce qui me concerne, j'ai été aussi par la force des choses attaché. Je dirai, je me suis attaché, car j'ai consciemment pris la résolution d'évoluer vers zéro papier dans ma profession. Cela me permet de masquer, mes désordres, ma mauvaise écriture, mon caractère brouillon...La conséquence est que j'ai les yeux fatigués et je n'arrive pas à me donner le repos nécessaire.

Semaine 3 / 3.1 Technologies réflexives et soi quantifié

vous jouez la recherche sur le cerveau progresse

http://m.sciencesetavenir.fr/article/20150119.OBS0260/video-vous-jouez-la-recherche-sur-le-cerveau-progresse.html#http://lm.facebook.com/lsr.php?u=http%3A%2F%2Fwww.sciencesetavenir.fr%2Fsante%2F20150119.OBS0260%2Fvideo-vous-jouez-la-recherche-sur-le-cerveau-progresse.html%3Fxtor%3DRSS-21&ext=1421827871&hash=Acn3K-cXZiR_RR_gGI7lztCc8nXpOWE6xoI31Vnq8SudfQ&_r J espère que le lien passe .

vous jouez la recherche sur le cerveau progresse

je suis inscrite dans cette expérience, il est intéressant et encourageant de voir qu'il semble relativement facile de mobiliser des cohortes d'internautes prêts à s'inscrire bénévolement dans des programmes d’intérêt général qui s'appuient sur la mesure de leur comportements (voir aussi l'étude [nutrinet][1] sur l'alimentation). Ces programmes sont toutefois à distinguer de la mesure du soi dans la mesure ou ils les données sont traitées à titre statistique [1]: https://www.etude-nutrinet-sante.fr

vous jouez la recherche sur le cerveau progresse

je pense que s'est une méthode pour mieux comprendre notre cerveau et pour mieux l'exploiter plus tard. OK pour connecter quelques paramètres, mais ma tête pas trop

vous jouez la recherche sur le cerveau progresse

Il faudrait pouvoir analyser les motivations. Il me semble que la connaissance de ses propres données est un facteur mobilisateur fort dans ce type de propositions. (Plus la facilité , le côté ludique et certainement l intérêt général aussi )

vous jouez la recherche sur le cerveau progresse

J'ai beaucoup travaillé sur ce sujet voici quelques mois, par exemple pour écrire cet article : http://cursus.edu/dossiers-articles/dossiers/171/prendre-soin-soi/articles/24150/religion-chiffre-souci-soi/#.VNCdmWSG-uE En synthèse : - Le quantified self laisse croire que l'on peut toujours "faire" quelque chose pour améliorer une situation estimée insatisfaisante, ce qui n'est ni vrai, ni efficace; - Le quantified self focalise notre attention sur ce que nous "avons" et ce qui se compte, plutôt que sur ce que nous "sommes" et ce qui ce ressent et se comprend. En cela, le mouvement illustre bien la propriété fondamentale du numérique, qui compte mais ne comprend rien !

Objets connectés

Un des multiples sites qui font de la veille sur les objets connectés : http://www.objetconnecte.net/

Objets connectés

je n'ai pour ma part jamais (encore) utilisé ce type d'objet. je ne connaissais d'ailleurs pas cet appellation de "soi connecté" ou Quantified Self. Je trouve le sujet très intéressant surtout quand on lit que cela concerne surtout les domaines de la santé, du bien-être et du sport... merci pour le lien vers la page de la CNIL qui alerte sur les risques liés au partage des ces données personelles. On se rend compte aussi que certains usages collectifs sont en réflexion (http://www.creationduquartier.com/fr/webzine/conf%C3%A9rence-am%C3%A9liorer-nos-vies-avec-les-technologies-r%C3%A9flexives) cela peut partir d'un bon sentiment mais je crois qu'il faut être prudent quant aux développements de ces usages. je suis particulièrement vigilante dans mon utilisation d'internet et d'éventuelles applis. il me semble qu'une éducation à des usages devrait être proposée aux jeunes générations qui seront (sont) encore plus impactées que nous.

Objets connectés

ce sont des objets intéressants surtout dans le domaine de la santé ou de la sécurité. encore une raison pour rester connecté... je n'ai jamais utilisé ce type d'objets, à essayer!

Objets connectés

Je pense que tout ces objets peuvent être utiles quand on a un problème d'obésité, de diabète, d'hypertension, pour se surveiller (sans avoir besoin d'être connecté à internet et partager ses données). Mais pour le reste ce ne sont que des gadgets juste histoire de se rassurer ou de se lancer des défis, voire de s'amuser. J'espère que ça restera une mode et qu'on en viendra pas à l'histoire de Léa racontée dans le défi de la semaine. Le pire c'est que je crois que les histoires d'assurance ça existe déjà plus ou moins. :o Personnellement j'ai essayé le petit fit meter de nintendo, c'est un podomètre qui calcule aussi le nombre de calories. Je m'en suis servi par curiosité et pour me pousser à marcher un peu plus. Je trouve que pour perdre du poids ça peut aider, et ça peut motiver pour faire un peu plus d'exercice, mais ça ne va pas plus loin. Les données ne sont pas partagées sur un serveur ou avec d'autres utilisateurs, elles sont transmises à la console dans le jeu wii fit, c'est tout. A nous d'en faire bon usage.

se comparer

toujours la question de se mesurer par rapport à qui, à quoi.Un référent ,un référentiel ,avec le WEB quantité de personnes se présente comme la référence ,le point nodal des préférences et ceci se suit (évolue )le temps où dure l'affichage des semaines et des mois!

se comparer

cette technologie est fantastique afin de s'améliorer de mesurer et d'aller plus loin cependant le partage des données l'est beaucoup moins néanmoins cela correspond et répond à une partie de notre société qui affiche annonce partage et diffuse, attention aux plus fragiles qui peuvent développer des troubles du comportements dangereux avec l'aide de ces technologies

Semaine 3 / 3.2 Usages à risque et addictions possibles du soi quantifié

Hypochondrie

Il est évident que les hypochondriaques seront concernés en premier. Mais aussi, les personnes atteintes d'une maladie grave, qui pourront ainsi mesurer en permanence l'évolution d'une tumeur cancéreuse, par exemple. Il n'est pas du tout sûr que ceci les aide psychologiquement.

Hypochondrie

L’hypocondrie c'est certain. Mais aussi la volonté de dépassement de soi et des addictions nouvelles liées au sport (les technologies pouvant guider notre pratique du sport comme des professionnels !) la volonté de tout montrer de soi même la plus insignifiante modification. la volonté de vouloir tout contrôler; son temps, son énergie, le temps passé avec les autres, de tout chronométrer, analyser.

Hypochondrie

je partage les points de vue précédents * l'hypocondrie, le soi connecté étant un 'outil' de plus pour alimenter la surveillance de ses propres 'symptomes', d'autant que contrairement à un suivi médical prescrit et suivi par un médecin, on va voir fleurir des applis plus ou moins 'vérifiées' avec des conseils plus ou moins pertinents, bref, de l'automédication électronique... * la volonté de tout contrôler, tabuler, enregistrer, avec des indicateurs partout * l'exhibitionnisme jusque dans les data (comme déjà les posts de runstatic sur facebook)...

Hypochondrie

Je ne pense pas que cela créera de "nouvelles" addictions, par rapport à celles qui existent déjà. On retrouvera les obsédés de la perte de poids, du contrôle d'autrui (surveiller un proche h24) et de la reconnaissance sociale (meilleur score possible ET pire fail imaginable). Ce Quantified Self ne fera que faire ressortir ce qui existe déjà à l'état naturel. En revanche, en tant que nouveaux usages, on peut imaginer un suivi médical permanent, dont les données seraient immédiatement accessibles non seulement au médecin, mais aussi à l'urgentiste qui répond à un malaise. Avec une base de donnée et une IA qui donnerait un pré-diagnostic, voir alerterait à l'avance les secours grâce des algorithmes prédictifs, à partir de tendances et d'incidents mineurs. On peut aussi imaginer des cours à l'école, pour apprendre à lire et à donner du sens à des quantités qui ne sont à la base que des chiffres. Enfin, ce soi quantifié se rapproche de la vision jeu de rôle d'un individu. Dans un jeu de rôle, le personnage est défini selon des caractéristiques numériques, permettant au joueur de connaitre ses forces et ses faiblesses, et de déterminer à l'avance quelle sera la meilleure stratégie face à une situation donnée. Appliquée à la vie réelle, et en poussant la logique à l'extrême, on arrivait à la connaissance parfaite de ses capacités et de son état. Il serait ainsi plus simple de prendre la meilleure décision au lieu de se mettre dans une situation où on ne peut qu'échouer. Évidemment, on arrive également à la vision orwellienne, avec une société uniquement composée d'individus chiffrés, dont un algorithme prédictif pourrait déterminer dès la naissance quelle sera leur vie et comment chacun devra la mener pour en maximiser les bénéfices. Peut-être pour après-demain ?..

Hypochondrie

ce qui m'inquiète plus, c'est la volonté de toujours plus contrôler soi-même et les autres.

Hypochondrie

il y a certainement d'autres risques non liés à la santé mais pour le moment je ne vois pas lesquels si ce n'est sur la liberté. par exemple les objets qui servent à surveiller les enfants ou ados dans leurs moindres faits et gestes...

Hypochondrie

bsr c'est la quantification de l'humain ,réduit à des chiffres ,des tableaux ,des classements,des évaluations ,des barèmes ,des cases ,des étoiles ,tout cela ne servant qu'à faire des seuils,des catégories ,peut on clamer encore très fort on s'en fout de tout cela ,Galiléo et Descartes au poteau!!!

Hypochondrie

C'est clair et tout ça pourquoi ? Pour la société de consommation, pour nous étudier et nous vendre toujours plus de choses.

Hypochondrie

On peut craindre une tendance au formatage de nos manières d'être. L'exemple de Léa dans le "défi de la semaine" en est une belle évocation, comme l'a dit Jean Luc Vénisse lors du webinaire du 22/1. La quantification de l'humain, que certains sont tentés de nommer aussi objectivation de l'humain, risque de déplacer les frontières de la subjectivité et de limiter encore plus nos libertés d'action. Le prix à payer à la civilisation augmente avec le numérique. Mais il y a une manière plus positive de voir le choses:comme proposé par Bea Arruaberana lors du webinaire, ces outils "reflexifs" peuvent aussi être des supports d'apprentissage que l'on utilise un temps pour instaurer des changements que l'on souhaite, par exemple pour des raisons de santé. En définitive c'est donc l'usage qui est fait de ces technologies de quantification qui s'avère déterminant. Cela nous rapproche des questions liées à l'addiction ou à l'usage excessif ou au "bon" usage.

Hypochondrie

C'est un peu comme "science sans conscience, n'est que ruine de l'âme" !

Hypochondrie

La principale dérive de ces "objets" ne viendront pas des utilisateurs je pense mais plutôt de l'exploitation de ces chiffres qui pourrait être faite. Je vous invite à lire cela : http://www.news-assurances.com/actualites/assurance-auto-baisses-tarif-linstallation-dun-boitier-bonne-conduite/016783108 Et ensuite d'imaginer ce que cela pourrait entraîner avec des capteurs biométriques...

Hypochondrie

tout à fait d'accord avec les commentaires. Il y a des limites dans toutes conceptions! Même s'il n'y a pas de nouvelles addictions, il peut y avoir plus d'addicts: consultations "régulières" pour le sport, la santé...

Hypochondrie

De toute façon, plus il y aura d’innovations sur ces technologies, plus il y aura une notion d'habitude de tolérance. ce qui de facto fera reculer notre tolérance et permettre de nouvel intrusion dans notre être

Hypochondrie

Les objets connectés... Pour moi je vois unseul intérêt aujourd'hui c'est le "contrôle" médical pour les malades. Personnellement, je ne suis pas favorable à cela. Je n'ai pas envie de voir mon corps et mon esprit comme objets de mesure. Je suis bien portante ou alors une malade qui s' ignore (et sans doute préfère cela !) et le sport m'intéresse uniquement sociologiquement car je préfère dire que je fais de l'exercice et je n'ai rien à faire à le quantifier. Comme on dit dans la sagesse populaire : il faut de tout pour faire un monde des gens qui vont aimer avoir des capteurs de toute sorte pour tout mesurer et quantifier et d'autres, les benêts ou insouciants pour qui, il y a d'autres priorités comment dire... plus terre à terre

Hypochondrie

**Noah ou l'homme connecté.** Je vous invite à lire l'article suivant http://nt2.uqam.ca/fr/delineaires/noah-ou-lhomme-connecte

Semaine 3 / 3.3 Transhumanisme

illustration du transhumanisme

bonjour pour mieux cerner le concept en terme d'implication d'inégalité sociale s'il était mis en oeuvre, je vous conseille de lire la bande dessinée AAMA qui en apporte une illustration certes avec le decorum exagérée par le caractère science fiction: un homme non "augmenté" vit au milieu d'un monde ou chacun est "corrigé" par des implants. Il décide de faire naitre un enfant non équipé d'implant qui va se retrouver en marge de la société avant qu'un intelligence artificielle auto génératrice non controlée ne viennent bouleverser les équilibres de la société. Par ailleurs, un article du monde récent du cahier "science et medecine" du 14 janvier titré "l'intelligence artificielle va tuer l'argent" explore le paradoxe/l'utopie de la fin des inégalités d'intelligence par l'avènement d'un communisme 2.O! Une vision bisounours à l'opposée de celle d'AAMA...

illustration du transhumanisme

Le jeu vidéo Deus Ex: Human Revolution a très pertinemment mis en relief les avantages et les inconvénients liés au transhumanisme, et laisse même le choix au joueur de déterminer vers quelle type de société il désire aller à la fin du jeu (retour en arrière, législation renforcée ou libéralisme technologique). Vouloir lutter contre le transhumanisme est illusoire à mes yeux. Déjà parce que la technologie ne peut être stoppée (tôt ou tard, on aura les moyens techniques de le faire). Ensuite, parce que la société actuelle est déjà transhumaniste : la médecine, les transports, le numérique ... Même les vêtements que nous portons sembleraient transhumanistes à nos ancêtres de la savane africaine. Nous augmentons artificiellement nos capacités depuis des millions d'années. Il n'y a aucune raison pour que ça s'arrête maintenant. Les inégalités perdureront entre ceux qui auront une prothèse cyber et ceux qui n'en auront pas. Tout comme aujourd'hui ceux qui ont un ordinateur et ceux qui n'en ont pas. L'important est à mon sens une législation adaptée et un modèle de société qui ne laissera pas une majorité de personne sur le bord de la route.

illustration du transhumanisme

Je rajouterai "I've nerver ask for this" :D Dans le 1er Deus ex le transhumanisme va encore plus loin avec un surhomme augmenté avec des nanosmachines. Il va également plus loin dans le choix des fins. Même si il n'y a qu'une fin qui traite du transhumanisme.

illustration du transhumanisme

Voici une vidéo promotionnelle du jeu deus ex human revolution qui traite des méfaits du transhumanisme dans le jeu. Elle est très bien faite car elle ne reprend pas bêtement des images du jeu. [deus ex human revolution transhumanisme][1] [1]: https://www.youtube.com/watch?v=uGzpzlvf0Gs

illustration du transhumanisme

Et Darwin là-dedans, il est où

illustration du transhumanisme

Une interview de la brillante Antoinette Rouvroy autour de la gouvernementalité algorithmique http://www.article11.info/?Big-Data-is-algorithming-you extrait : **Il y a un risque de confondre le réel avec le réel numérisé ?** « Oui, parce que ce processus présente des aspects extrêmement performatifs. Ce qui n’est pas numérisé ou numérisable, que ce soit la détresse humaine ou des circonstances particulières, ce qui ne rentre pas dans les cases, n’a plus voix au chapitre. Cette évolution, qui paraît très objective, est en fait profondément injuste : on sait très bien que la totalité du réel n’est pas mise en nombres. Cette impression de repli de la réalité à l’intérieur de la réalité numérisée, cette totalisation – c’est presque un régime totalitaire numérique –, risque de faire disparaître la distinction entre le monde et sa représentation, et donc la possibilité même de la critique. On peut critiquer la représentation, comme on critiquait les anciens objets statistiques, qui n’étaient pas assez représentatifs ou mal construits. Tandis que le réel numérisé va à rebours de l’idée que le savoir est toujours construit, et donc critiquable en fonction des conditions de sa construction. Si ce n’est plus construit, ce n’est plus critiquable. C’est un enjeu fondamental. »

illustration du transhumanisme

En lien, une peu de propagande transhumaniste... L'utopie a toujours fait partie de l'humanité. Les religions en sont des illustrations. Le transhumanisme en est une... http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=gRYclpiYgNs

illustration du transhumanisme

quelques articles sur le sujet: [saisir une description du lien ici][1] - [1]: http://www.01net.com/operations/transhumanisme/ - http://www.futura-sciences.com/magazines/high-tech/infos/actu/d/technologie-transhumanisme-homme-futur-sera-t-il-ameliore-36525/

illustration du transhumanisme

Bonsoir à tous, Pour ma part, je pense à un film paru en 2014 : [Transcendance][1] avec Johnny Depp dans le rôle principal d'un génie scientifique qui transcende la mort grâce à ses recherches sur l'Intelligence Artificielle. A voir :) ! [1]: https://www.youtube.com/watch?v=HXNdqJF_igo

illustration du transhumanisme

Oui et il transcende même plus que la mort. Ce film m'a beaucoup fait penser à un des aspects du jeu Deus Ex (le 1er) qui traite de l'homme augmenté avec des nanosmachines et surtout la fin ou le surhomme peut être encore transcender. Attention je vais spoiler une des fins du jeu : A la fin notre personnage a la possibilité de fusionner son corps et son esprit à une intelligence artificielle universelle, c'est à dire qui a accès à tout le réseau mondiale. Et donc faire de cette entité l'égal d'un dieu. Le choix de cette fin se termine par une citation de Voltaire : "si dieu n'existait pas il faudrait l'inventer". Dans le 2 ème épisode, cette entité se traduit par une conscience collective et un esprit collectif. Tout être humain connecté à cette entité rentre dans ce collectif et perd tout libre arbitre. Là aussi cela rappelle le film transcendance. D'ailleurs cela rappelle aussi les borgs dans la saga star trek.

Semaine 3 / Discussion générale de la semaine

Réalité du virtuel

Il est amusant de parler personnalité virtuelle, quand on désigne une personne qui se comporte différemment sur le net de ce qu'elle est dans la vie réelle. N'est-ce pas plutôt sa personnalité virtuelle qui est sa personnalité réelle ? Et son comportement réel, une façade que cette personne présente par commodité ? :3

Réalité du virtuel

Pluralité plutôt. je n ai pas le même comportement dans mes lieux de travail , à des fêtes entre amis ou dans le bus... je ne M exprime pas de la même façon sur un mooc ou sur Facebook (et même sur Facebook selon mes paramètres de confidentialité je n ai pas le même degré d humour par exemple ) Il n y a en pas une qui soit plus réelle ou de façade que l autre à mon sens .

Etre connecté...à qui profite le crime ?

Bonjour à tous, Ma réflexion rejoint celle d'un intervenant dans le reportage. Tout nouvelle technologie, toute invention produit des effets positifs ou négatifs selon leurs usages. Actuellement, c'est gentillet. Jusqu'alors, seules les entreprises privées tiraient profit de nos données. A présent les Etats veulent s'imposer "pour notre bien" et diminuer les libertés de chacun pour défendre La Liberté ! Nous pouvons nous poser clairement la question suivante : si une dictature (quelle qu'elle soit) venait à prendre le pouvoir, que ferait-elle des quantités infinies d'informations sur ses citoyens ? Trop facile pour elle de détecter ses opposants, de les traquer pour les éliminer. Non ? De nos jours, on peut pas vivre comme Robinson Crusoé mais, à mon avis, il est vital d'avoir en tête cette problématique pour sauvegarder la liberté de penser, d'agir et de contredire...

Bulletin de liaison de la semaine

Ce fil de discussion est destiné à discuter de la semaine, de son fonctionnement, à accueillir les remarques des animateurs, etc.

Bulletin de liaison de la semaine

Par rapport à la phase 2, pour ceux qui baignent dans le numérique depuis très longtemps et ont du mal à se souvenir d'avant le numérique, vous pouvez également vous concentrer sur l'arrivée de technologies numériques particulières : par exemple l'arrivée d'internet à la maison, l'arrivée du haut-débit à la maison, le téléphone portable, facebook, etc. : qu'est-ce qui a changé pour vous sur l'attention, le rapport au temps, le rapport au corps, l'identité et la relation aux autres, etc. Dans la phase 3 nous tentons d'anticiper ce qu'il pourrait se passer dans un futur pas si lointain pour nous en tant qu'humains, avec le soi quantifié, les objets connectés, etc. qui sont des évolutions technologiques.

Semaine 3 / Défi : journée totalement connectée

Lien mort

Bonjour,

Lien mort

Désolée, fausse manip. Je voulais signaler à l'équipe technique que le lien donné pour l'article de la CNIL ne fonctionne pas ; il renvoie à une page de FUN qui demande une authentification. D'autre part, la page "prolonger la discussion" donnait hier deux références accessibles sur internet qui ont disparu aujourd'hui, sans explication. Erreur technique ? Je n'ai pas accès à une bibliothèque universitaire pour me procurer les autres ouvrages.

Lien mort

Corrigé pour le lien CNIL. Pour le 2ème lien, je pense que c'était vers les vidéos de la journée "Technologies réflexives" du 24 juin dernier, mais qui ne sont plus disponibles malheureusement. Si on les retrouve on remettra le lien.

contrôle du cerveau?

Difficile de faire aussi bien que la description de Léa... Ci dessous un lien sur les hypothèses de contrôle du cerveau avec l'informatique, en particulier pour les armées... En déroulant, parmi les belles images, on trouve deux vidéos "science-fictionnesques" (mind control 1 et 2) qui posent quand même quelques questions sérieuses. Brrr... http://www.mindcontrol.se/?page_id=6715 ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14220930061837527.jpg

Vendredi 24 janvier 2020 - 7:00

"Heu ... Excusez-moi ... Je suis navrée de vous interrompre dans votre sommeil ... Mais je crois qu'il est l'heure de se lever ... Enfin ... dans une ou deux minutes ..." La voix de mon PIA (Personnalité Intelligente Artificielle, dérivé des vieux PDA) me tire lentement de mon sommeil. Je l'ai réglé sur "Aléatoire", et ce matin, c'est la version Fluttershy qui m'accueille. Alors que je me rends dans la salle de bain, je jette un oeil distrait sur mes autres robots. Aspirateur, frigo, arroseur, ventilation, serveur central. Tous les voyants sont au vert. Je ne devrai donc pas avoir de mauvaises surprises en rentrant ce soir. Une fois lavé et habillé, je me dirige vers ma cuisine, et je me prépare mon petit déjeuner tout en regardant d'un oeil les infos du moment. Mon PIA se réveille, me signalant grâce à leur RFID quels aliments prendre pour un apport équilibré. Je la feinte discrètement en y ajoutant une barre de chocolat que j'avais "dépucé" à la main. Le frigo un peu vide, mon PIA me demande si elle doit passer commande de la liste classique de courses pour ce soir. Je revérifie son contenu sur mon écran, modifie quelques éléments, comme le surgelé de riz cantonnais dont la marque précédente ne m'a pas donné satisfaction. Mon PIA me signale un changement dans les apports journaliers. Je confirme malgré ses virtuelles remontrances, puis j'emporte mon déjeuner préparé la veille. Je pars au travail, toujours avec mon PIA à ma ceinture. A pied, car cela satisfait à la fois mes besoins d'activité physique et mon écoute de livres audios, de musiques ou de podcasts téléchargés la veille. 30 minutes plus tard, me voici à mon bureau à vaquer à mes occupations professionnelles. Visio, email, rapport, téléphone, prise à distance, impression 3D, etc. J'en profite pour consulter mes mails persos et mes sites préférés, entre deux textes à taper. La pause de midi a lieu à ce même bureau. Mon PIA me félicite du contenu de mon "bento", à la fois équilibré et varié. A ceci près que j'ai remplacé la poire par une bonne compote de pommes bien sucrée. Je lui avoue pour le plaisir de l'entendre raler. Tiens, je ne l'avais pas entendu avant, cette réplique. Elle a dû être mise à jour cette nuit. Surement un modeur qui a ajouté sa pierre à l'édifice du web 3.0. Je passe sur fullflix, mon agregateur de contenu VOD. Ce midi ce sera ... un trip retro ! Un épisode de Star Trek des années 60. "Retour" au travail, avec une réunion entre services. Sans rien à faire d'autre que de regarder des holo 3D qui ne m'intéressent pas, je dois lutter contre le sommeil. Je pourrai activer mes lunettes à réalité augmentée, profiter de ce "creux" pour regarder une vidéo de youtubers, ou consulter l'évolution du dernier RPG que j'ai financé sur Kickstarter. Mais ce serai mal vu, surtout que ce serait visible de loin. Je prends donc mon mal en patience. Trois vibrations. Mon PIA me fait savoir discrètement que sa batterie est à moitié vide. Fin de la journée. Je retourne chez moi comme je suis venu. Mon PIA me signale un appel en absence. Ce sont mes parents, qui ont un problème avec leur PIA. Je les rappelle en marchant, et essaie de les dépanner à distance. Grâce à mes lunettes RA, je peux voir à travers leur webcam et leur parler avec mon PIA, tout en continuant de marcher dans la rue. Je le redonne rendez-vous tout à l'heure, pour une vraie prise en main à travers mon PC. Arrivé chez moi, je constate que tout est en ordre. Avec l'arrivée de la domotique de masse, une nouvelle génération de cambrioleur a vu le jour, utilisant des virus dédiés pour pirater un réseau domotique, et ainsi entrer dans le domicile sans la moindre effraction. Malgré les sécurités déjà en place, j'en ai rajouté une imparable : mon réseau domotique est en circuit fermé. Inaccessible depuis l'extérieur, je perds en possibilité ce que je gagne en tranquillité. L'ErE (Energies renouvelables Européennes) m'achète moins cher mon électricité pour mon manque de "connectivité", mais cela ne me dérange pas plus que ça. Ma maison est de toute façon auto-suffisante la plupart du temps, et donner le surplus gratuitement est un acte citoyen avant d'être une perte pécuniaire. Mon PIA me fait savoir qu'il y a quelqu'un à la porte, surement le livreur de courses. Je vérifie par le système de surveillance externe, des faux livreurs se présentant pour faire du repérage ou forcer le passage chez leurs victimes. Un seul gars, avec un sac transparent contenant tous les produits commandés ce matin. C'est mon livreur habituel. Je lui ouvre, le remercie, et le laisse repartir pour ses autres livraisons. J'en profite pour préparer le repas, avec mon PIA toujours prête à me féliciter de ma rigueur nutritionnelle. Je termine le repas en regardant quelques autres épisodes de Star Trek, conseillés par d'autres spectateurs de ce midi. Je m'installe à mon PC, vérifie rapidement mon serveur central (pas d'intrusion, mises à jour, statut du système), puis contacte mes parents pour mieux configurer leur PIA. Je termine la soirée sur quelques travaux professionnels, des échanges sur les forums, et une séance de jeu vidéo. Mon PIA me signale que j'ai largement dépassé mon temps de veille, et qu'elle aurait aussi besoin d'une recharge. Je décide de suivre ses deux recommandations. "Bonne nuit. Je vous souhaite de très beaux rêves ... "

Vendredi 24 janvier 2020 - 7:00

Bonjour, Je ne savais que nous avions un descendant d'Asimov inscrit au MOOC. Blague à part, je trouve que c'est une très bonne initiative et j'ai beaucoup apprécié la lecture de ce récit. Merci beaucoup. Guillaume

Vendredi 24 janvier 2020 - 7:00

Oh mince, j'avais imaginé ou m'étais inspiré d'objets dans un futur plus lointain que 5 ou 10 ans. Du coup je serai peut-être un peu hors sujet. Et après le super récit de mon prédécesseur, le miens paraîtra brouillon ! Bon je tente malgré tout, j'ai envie de raconter une petite histoire. ---------- **Une journée banale en 2150** 7h00 du matin. L'ordinateur central de la maison me réveille avec une douce voix et une petite musique d'ambiance agréable. Pour mon petit déjeuner ce sera un thé. D'une voix un peu enrouée je commande à l'ordinateur centrale : "thé, earl grey, chaud". L'ordinateur me fait savoir d'un petit bip qu'il a pris en compte mon ordre. 2 minutes plus tard, je vais récupérer mon thé dans l'alcôve du synthétiseur. Quelle merveilleuse invention ce synthétiseur, recréer à peu près tout les objets et même de la nourriture. Cela a complètement bouleversé l'équilibre (déséquilibre ?) mondial. Ceci dit la nourriture synthétique est bien moins bonne que la "vraie nourriture". Après ces rêveries matinales, il est l'heure de se laver et s'habiller. Ma brosse à dent électrique m'indique que mon taux de tartre est un peu trop élevé et qu'il serait temps d'aller chez le dentiste. A peine eu le temps d'y réfléchir que cette brosse à dent a communiqué à l'ordinateur l'état de mes dents. L'ordinateur me prend automatiquement un rendez-vous chez le dentiste pour la semaine prochaine. "Chouette" Bon il est temps de partir travailler. Je reconnecte ma puce ordinateur greffée dans mon cerveau. Je la désactive la nuit pour éviter d'être dérangé, et puis je trouve que ça me donne des cauchemars. Cet ordinateur est relié en permanence à Internet. J'entends une petite sonnerie qui résonne dans mon cerveau et mon oreille : le téléphone, c'est mon patron qui me contacte pour me dire de me dépêcher, une réunion importante va commencer. A voir sa tête par l'intermédiaire de l'image de réalité augmentée greffée dans la pupille et le nerf optique, je me dis que j'ai pas intérêt à traîner. Et voilà qu'il m'annonce en plus que le lieu de réunion a été déplacé je ne sais où. J'active mon GPS lui aussi intégré dans ma puce ordinateur de mon cerveau. Le parcours s'affiche devant mes yeux directement grâce à la réalité augmentée. Dans la rue je croise un gars visiblement en mauvaise santé. En effet son dispositif d'état de santé greffé dans sa colonne vertébrale indique un niveau bas et dans le rouge. Ce dispositif est relié en permanence aux serveurs health world ce qui leur permet de surveiller notre état de santé à tout moment. Je vérifie le miens, tout va bien, juste une légère fatigue. J'arrive au travail à l'heure sans encombre, malgré ce changement de trajet à la dernière minute. Après une rude journée de travail, il est temps de rentrer. Je me détend avec un jeu vidéo holographique des plus immersifs. Un bon dîner préparé par le synthétiseur, et oui, la flemme de préparer moi même un repas. Avant d'aller dormir, plutôt que regarder un film dans le canapé devant mon super holoécran, je vais m'allonger dans mon lit, fermer les yeux et regarder un film sauvegardé dans ma puce ordinateur. Décidément nous avons des écrans partout, même dans les paupières. 22h30 l'ordinateur centrale me signale qu'il faudrait que je me couche en baissant l'intensité de la lumière. Je m'exécute, je suis bien fatiguée. ---------- Les amateurs de science fiction auront reconnu quelques inspirations.

Vendredi 24 janvier 2020 - 7:00

Tous ces récits sont impressionnants, mais je suis rassurée : les rêves ne sont pas encore "sous contrôle" - un endroit de liberté préservé (merci) !

Vendredi 24 janvier 2020 - 7:00

"- Mon arrière- arrière-arrière grand mère vient de me raconter un truc complètement farfelu. Elle m'explique que dans sa jeunesse, elle devait choisir elle-même sa musique, ses films ? - ben comment ça ? - Le Programme n'existait pas, du coup il n'y avait rien pour lui dire ce qu'elle devait voir, écouter ou sentir. Elle devait faire des choix.Il y avait des magazines, des Emissions, des critiques tout ça ...ça prenait beaucoup de temps d'écouter les avis des autres, d interroger sa sensibilité pour déterminer ses goûts. - Oh dis donc ! Heureusement qu'on a le Programme , ça parait tellement évident. Hop dès la naissance en fonction de nos réactions et des algorithmes tout est calculé, prébranché fin facile quoi !!! Si il fallait réfléchir à ce qu'on aime quel perte de temps !! - En même temps tu sais, ils devaient même choisir leur alimentation tout seul, les Programmateurs n'avaient que la publicité pour leur suggérer leurs achats mais c'était le grand n'importe quoi. - Ben comment faisaient ils pour connaitre leurs besoins physiologiques sans connexion ? - Oui? ben ils faisaient n'importe quoi et mourraient jeunes en fait. C'est quand même tellement évident de suivre le Programme et d'ingérer l'alimentation connectée. - Ne me dis quand même qu'ils choisissaient eux même leurs partenaires reproductifs , je ne te croirais pas ça aurait été tellement risqué !!!!!!!! ( Il y a dans ce récit un énorme archaïsme, j'aperçois des coquilles et des fautes d'orthographe. Le Programme m'aurait bien entendu permis que ma pensée soit directement transcrite sans avoir à faire usage d'un clavier et de mes doigts... )

Une journée comme les autres

Il est 4h42 mon extrayeur de sommeil viens de sortir de sa veille. Je ne me réveille plus avec un rêve en tête. Mais , il faut que je me lève. J'ai le souffle court .Je prends mon inhalateur d'éléments vitaux. Je me sens maintenant mieux réveillé pour me préparer . Une musique avec de douces harmoniques me met de bonne humeur. C’est presque toujours la même, à quelques petites choses prêt. C'est vrai que mon décrontracteur musical est branché sur mes ondes alpha. Je me sens bien, j'en profite pour prendre une bouffé d'air frais avant de me lancer dans les navettes de transports. Tiens, ils ont changé l'habillage des tunnels. Moi je préférais la vue de la montage. La musique diffusée dans la navette me berce un peu et comme d'habitude je ne vois pas le temps passer. Terminus, je descends de la navette et le speed-tapis m'emmène vers mon taf. Je reçois mes chiffes de la journée sur l'écran lenticulaire. Merde, ils ont encore augmenté la production par rapport à hier. Jusqu’où vont-il aller Me voilà arrivé, une douce voie me dit que je n'ai que 4 minutes pour être à mon poste. Juste le temps de mettre ma combinaison assistée. Toute la journée, je fais les mêmes gestes avec la même musique rythmée et surtout avec mes biosenseurs qui me stimulent. Lorsque je ne peux plus suivre, on m'accorde ma pause de 30 minutes, afin que je mange un repas que l'entreprise m'offre, car il est bien conçu. Il est 14h00. Mon cotas est atteint. A 5 minutes prêt, je n'avais pas ma prime. Une douche parfumée tonifiante et un petit goûté, encore offert par l'entreprise, car il est bien conçu. Déjà 15h, je rentre. Je reprends la navette. Cette fois sur les murs du tunnel, on peut y voir des familles heureuses. Je passe au speed shop pour y prendre ma commande de courses que j'ai faite dans la navette. De retour à la maison, les capteurs détectent que mes ondes bêta ne sont pas dans la bonne phase. La télévision s'allume et me passe un film comique avec Louis de Boon, c'est le temps qu'il faudra pour synchroniser mes ondes et que mon repas commence à ce préparer. Une bonne odeur de risotto envahi la maison et me donne envie de manger. 20 minutes de plaisir et c'est débarrassé. Je me sens bien. Sûrement grâce à mes ondes alpha/bêta. Je m'offre une cigarette pour le fun. Un message vocal me dit que je ne devrais pas ......je coupe de suite le son de la veille corporelle, non mais. Je m'accorde quelque instant de lecture sur un livre en papier, avant que la lumière ne baisse et l'éteigne, car je dors

Semaine 3 / Webinaire

le trading automatique

BSR personne ressource d'un club d'investissement boursier ,j'estime que le livre sur le capitalisme de l'attention est fondamental .Le trading automatique entraîne les investisseurs particuliers à une gymnastique impossible Leurs décisions absurdes suivent la volatilité qui augmente.Les automates amplifiant les signeaux ,le pile ou face se révélant aussi efficace (souvent plus ) que l'approche rationnelle.Question :qui en profite ?réponse =ceux qui ont un accès direct aux algos,c.a.dles grandes banques internationales,qui bien sur luttent aussi entre elles parfois et parfois s'allient aussi . quel progrès ?

Semaine 4 / 1.1 Relation à un produit

Les moments d'accès

(repost, je me rends compte que je me suis trompé de forum) Avec les flux d'information permanents (twitter, FB), il y a toujours quelque chose à voir sur mon téléphone portable. Avant : j'observe que j'anticipe les micro-moments où je pourrais avoir cette connexion de façon socialement acceptable (donc être seul dans une pièce par exemple), ceux pendant lesquels j'aurais au moins 30s pour un coup d'oeil rapide. Il y a donc clairement une sorte de recherche permanente et inconsciente de la connexion. A comparer avec par exemple une recherche de la météo, ou d'une information précise, beaucoup plus justifiable, qui autorise à sortir le téléphone en public. Pendant : rien de bien spécifique, mais le rangement de l'appareil intervient quand l'isolation cesse, éventuellement en évitant de montrer qu'il y a eu connexion. Après : oubli et sans doute recherche de la prochaine connexion.

Une envis pour un soft

Depuis quelques années j'avais envie de travailler la prise de sons avec une console numérique et un ordinateur. Pendant longtemps je me suis tâté pour savoir si se n'était pas un coup de tête. Mais l'idée est finalement restée et j'ai investi un peu en faisant attention au budget. Maintenant que j'ai mes outils, il m'arrive de penser à la prise de son ou de mixage pendant mes voyages en voiture. Vous savez, là où on écoute de la musique. Moi , je décortique se que j’entends en me demandant comment est fait tel ou tel effet ou en me disant que tel chanteur(euse) chante mal , puisque j’entends un détune (La voie de Cher dans un titre célèbre). Tous c'est truc là , je le revois sur mon ordi pendant plusieurs jours s'il le faut. Une fois terminé , je ressent une satisfaction car je m'y suis impliqué fortement

Une envis pour un soft

Depuis quelques années j'avais envie de travailler la prise de sons avec une console numérique et un ordinateur. Pendant longtemps je me suis tâté pour savoir si se n'était pas un coup de tête. Mais l'idée est finalement restée et j'ai investi un peu en faisant attention au budget. Maintenant que j'ai mes outils, il m'arrive de penser à la prise de son ou de mixage pendant mes voyages en voiture. Vous savez, là où on écoute de la musique. Moi , je décortique se que j’entends en me demandant comment est fait tel ou tel effet ou en me disant que tel chanteur(euse) chante mal , puisque j’entends un détune (La voie de Cher dans un titre célèbre). Tous c'est truc là , je le revois sur mon ordi pendant plusieurs jours s'il le faut. Une fois terminé , je ressent une satisfaction car je m'y suis impliqué fortement

ma relation au trading par internet

BJR Je suis membre d'un club d'investissement boursier ,donc j'utilise deux plate forme de brokers ,et je me suis constitué une banque de liens ( la plupart gratuits)avec des sites experts ,qui eux mêmes contiennent des liens avec des analystes ,des sites d'informations générales ou spécialisées ,et je suis aussi connectés à des blogs d'échanges gérés en public ou en privé.Chaque jours sur ma barre permanente, j'en ai 9 entrées ,avec entre 5 et 10 sous /entrées /jour qui génèrent de 5 à 50 contacts chacune.Ceci est censé aider à la bonne décision d'investissement.en fait cela ne réduit pas du tout l'incertitude,mais ce sot des expériences stressantes ,qui stimulent l'attention,la vigilance ,la patience (si non c'est fou!)et un engrammage dans le cerveau mais aussi dans les centres émotionnels du corps qui donnent une méthode de travail plus efficace au bout de 2 an minimum pour ceux qui ne craignent pas l'apprentissage par essais/erreurs . C'est long ,beaucoup perdent d'argent avant et se découragent avant de craquer. Bien sur la Bourse c'est complexe mais Internet a compliqué la chose en piégeant la reflexion par sur-information ,ultra rapidité et forums délirants squatés par des vicieux. J'aimerais partager avec d'autres utilisateurs de ces outils merci jphed

relation addictive

j utilise mon ipod tous les jours je suis addict mon premier reflexe c est de consulter mes mails de consulter des applis je n ecoute plus de musique premier utilisation de ce que j ai achete cet appareil finalement ces appareils sont eloignes du but premier avant d utiliser cet appareil il est important q ui l soit charge je depends d une batterie cest presque un vide s il est decharge apres son utilisation je n eteint jamais l appareil il faut q uil soit toujours allume finalement ces appareil creent une dependance invisible

relation addictive

Bonjour, C'est vrai qu'on a beaucoup dit, pour l'addiction au tabac notamment, que le fait de fumer en sortant du lit était un signe important dans le sens de l'addiction. Mais je ne sais pas si cela s'applique à Internet. C'est sur que la concentration des possibilités dans un seul objet augmente la sensation de dépendance à l'objet, car on se dit que sans l'objet on ne pourrait plus rien faire. Par dépendance invisible, vous voulez dire que l'on bascule dans la dépendance sans s'en rendre compte? Guillaume

relation addictive

effectivement, regarder son portable au réveil pour savoir quels sont les nouveaux messages et mails; si il est éteint, récupérer le chargeur pour la batterie. portable branché, allumer pour pouvoir connaître les nouveau messages...

généalogie

J'avais commencé mes recherches généalogiques avant l'arrivée d'internet. J'ai donc été l'une des premières utilisatrices des logiciels de recherche. Au commencement, j'étais ravie de trouver des informations sur mes ancêtres et je pensais que les enfants s'en amuseraient et que ce serait un moment de partage avec eux et l'histoire de leur famille. Trop naïve ! Ils n'en avaient rien à faire. J'ai donc continué seule en me faisant mes premiers cousins virtuels. FACEBOOK n'existait pas encore mais on arrivait à organiser des cousinades. Cela correspondait à la période où je souffrais de solitude. Je partageais avec des inconnus mais nous avions un tronc commun : la famille. Les possibilités d'échange par internet étaient assez réduits et nous nous écrivions en nous envoyant des textes d'archives, des photos, etc. Pour faire des recherches généalogiques il fallait se déplacer de mairie en mairie, de paroisse en paroisse, puisqu'il fallait consulter des actes originaux. On se les partageait sur le net, un système de pear 2 pear légal à l'époque puisque le mot n'existait même pas. j'accumulais des piles de documents, que j'imprimais car j'imprimais tout... l'encre était moins chère et les cartouches duraient plus longtemps ! Puis est venu le temps du "tout payant". Je me suis retrouvée envahie de papier jusqu'à l’écœurement. Aujourd'hui tout est dans des cartons avec une étiquette "important ne pas détruire".

Logiciels informatique

Dans les entreprises l'ERP guide la gestion au quotidien. L'on pourrait devenir accros à ces logiciels car sans eux, plus moyen de connaître l'état des commandes, encours de production, états des stocks, des commandes, des individus, des finances. Imaginez si un seul jour ce logiciel venait à faire défaut. J'amène le sujet dessus, car dans les mois à venir les ERP vont fonctionner Via Internet. Jusqu'à présent ils avaient des logiciels indépendants, mais les professionnels proposent la version Internet. Voilà une nouvelle addiction à internet. J'ai depuis peu une petite addiction à internet pour visualiser les cours Moocs en ligne et pour approfondir mes connaissances sur le numérique (je viens de finir un Mooc d'Orange sur les métiers du Web conseiller et Décoder le code. Aventure passionnante et enrichissante, utilisation d'un logiciel de programme SCRATCH, et depuis j'aimer échanger avec les marques et des internautes pour partager divers sujets, notamment défendre les animaux et le recyclage. J'utilise l'internet à juste dose pour rechercher plein d'infos sur différents sujets.

Décrivez votre relation vécue à un produit

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre essai. Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Décrivez votre relation vécue à un produit

N’étant pas adepte de jeux numériques et ayant à peine débuté avec Twitter, j’ai hésité pour choisir entre l’objet ordiphone (smartphone) que je possède depuis environ un an et le moteur de recherche Google. J’opte pour le second : Google durant un long premier temps, j’ai trouvé cela vraiment bien et même très épatant : de loin et depuis le début le plus efficace des moteurs de recherche que j’ai eu l’occasion d’essayer, toujours une longueur d’avance ! Et ils faisaient une très bonne impression ces deux jeunes très doués qui avaient mis cela en place grâce à des algorithmes top secrets émanation de leur intelligence brillante. C’était très étonnant de voir les améliorations au fur at à mesure : correction d’orthographe, autres suggestions, traitement par images, introduction de la vidéo, etc. Je crois que c’est autour de l’apparition de Google Earth que j’ai commencé à me poser des questions : d’un côté c’était incroyable de pouvoir voir ainsi la planète en détails, même ma maison avec ma voiture garée devant ! Mais cette ambition à cartographier et pouvoir observer chaque endroit habité de la planète, donc éventuellement de me suivre pas à pas, a commencé à m’inquiéter. Il a semblé d’ailleurs que cette cartographie, comme beaucoup d’autres inventions technologiques avait d’abord été mise au service de l’armée américaine qui avait une précision bien plus grande encore que ce que nous pouvions voir : encore plus inquiétant. D’ailleurs les allemands se sont défendus face cette tendance intrusive : ce n’était pas que « mon délire ». A partir de là ma relation à Google, le moteur de recherche qui s’améliorait encore et toujours, est devenue beaucoup plus ambivalente mais j’ai continué à m’en servir. J’ai bien tenté d’aller voir du côté des logiciels libres et des moteurs de recherche alternatifs, mais pour le béotien du numérique que j’étais cela a rapidement été décourageant : Google était tellement plus simple, plus efficace et plus pratique ! Peu à peu l’ambivalence s’est muée en défiance (et cette défiance s’est d’ailleurs étendue à d’autres entreprises importantes du numérique) : la précision des algorithmes associée à d’importants progrès technologiques permis par des investissements massifs m’ont peu à peu donné l’impression d’une sorte d’ogre affamé de cultures mondiales et de vies privées : il y a eu l’ambition de photographier tous les livres anciens du monde, il y a eu la connaissance de l’utilisation de toutes les traces que nous laissons à des fins commerciales, il y a eu le projet Google glass qui aurait permis à n’importe qui de me filmer ou de savoir des tas de choses sur moi en direct et à mon insu, il y a les ambitions de Google sur la santé ou sur le spatial: toujours plus! Pourtant à ce jour je continue d’utiliser Google parce que cela demeure le plus efficace que je connaisse, j’ai même pris depuis quelques temps un compte gmail et me suis initié à d’autres nouvelles fonctionnalités… Voilà, sans être addict à Google, j’ai quand même le sentiment d’en être devenu excessivement dépendant grâce à leur efficacité et, malgré mes réticences marquées, je continue à m’en servir. C'est quand même incroyable de penser que ce truc qui a juste une quinzaine d'année a pris tant d'importance. Je le vis aussi un peu comme une sorte de colonisation technologique. Mais je serais preneur d’un substitut alternatif concurrentiel.

Décrivez votre relation vécue à un produit

Je ne possède que deux "objets numériques" : mon ordinateur et mon téléphone portable qui n'est même pas un smartphone. Je ne suis pas sur les réseaux sociaux. Je ne joue pas à des jeux nécessitant un support numérique. Je ne suis donc pas addict... Sauf que je suis devenue terriblement dépendante ! C'est sans doute de **ma** connexion internet dont je suis le plus dépendante, c'est à dire à la connexion à partir de mon ordinateur. Consulter les horaires de trains, consulter mon compte bancaire, commander des livres (même si je les commande à mon libraire, je le fais par internet...), faire les soldes, consulter ma messagerie, faire des recherches sur des sujets variés, professionnels ou non, suivre un mooc, skyper avec des amis qui sont loin... et encore plein d'autres choses... Tout cela se fait à l'aide de cette connexion. La première chose que je fais le matin est de consulter mes mails, la première chose que je fais en rentrant chez moi également, quand bien même j'ai consulté ma messagerie 15 minutes avant depuis mon travail ! Et c'est également la dernière chose que je fais avant de me coucher : c'est pour cela que je parle de **ma** connexion internet. C'est un attachement fort ! Le sentiment de désarroi qui est le mien quand mon ordinateur a un problème, ou quand je n'ai plus de connexion, en témoigne ! Et pourtant je pars en vacances sans connexion sans problème...

Décrivez votre relation vécue à un produit

J'ai eu deux phases de liens avec un objet ou jeu : tout d'abord dans les années 90, ce fut "Syndicate". Jeune étudiant à l'université, j'ai découvert ce jeu par un ami. De mémoire, j'ai eu toute une période de découverte du jeu. Puis vint l'apprentissage de ce jeu avec la curiosité et le besoin d'y retourner. Enfin, ce fut une réelle dépendance au jeu avec la volonté farouche de vouloir passer les étapes, réussir, gagner, s'énerver, repartir excité au boulot (j'avais un boulot étudiant à l'époque). Cette phase s'est terminée après avoir surconsommé ce jeu; une sorte d'overdose de ce jeu qui ne m'a pas incité à aller sur un autre. Deuxième phase, actuelle celle là avec le besoin indispensable d'avoir le téléphone portable à coté de moi, avec moi. C'est un côté presque irrationnel du besoin d'échange et de communication et pourtant je ne suis pas inscrit sur Facebook.

Décrivez votre relation vécue à un produit

Mon ordinateur représente probablement mon objet "liant", étant donné la place quasi-exclusive qu'il occupe dans mon quotidien. Je ne regarde plus la télé sur la télé, mais sur mon moniteur. Idem pour les films, de plus en plus en VOD. Mes lectures se font à travers lui (soit en lecture directe, soit par kindle). Mon compte bancaire, mes loisirs, mon travail, mes relations, tout passe par lui. S'il tombe en panne, où que j'ai le moindre soupçon à ce sujet, je dépense immédiatement les sommes nécessaires ... via des achats en ligne par ce même ordinateur. Je ne pense pas y être attaché en tant qu'objet unique. Il s'agit plutôt d'un outil, un "hub" qui me sert de point d'accès à mon existence numérique. L'ordinateur est donc interchangeable, pourvu que son remplaçant ait la puissance suffisante pour prendre la suite. Difficile de dire si je suis fébrile avant sa possession, ou si je suis repu après sa "consommation". Il est tellement devenu ordinaire dans mon quotidien, qu'il me semble aussi naturel de tripoter la souris que de respirer. Un peu comme si on me demandait si j'étais addict à mes lunettes de vue ...

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Peut-être pourriez-vous choisir une application spécifique disponible sur votre ordinateur, à laquelle vous êtes attachée, et chercher à déterminer quels sont les vécus liés à l'utilisation de cette application (ou à la préparation à son utilisation) ?

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Moi, c'est à mon ordinateur même que je suis attaché. Cela a commencé il y a 30 ans, avec un Mac SE (le cube). Ensuite, dans mon job, j'ai eu des PC : ils m'ont toujours paru merdiques. Je suis revenu au Mac, et je me sens *materné* ; c'est-à-dire, en sécurité. Je sais que cela marchera, je sais que si j'ai besoin d'en faire plus, j'en aurai la possibilité, je sais que je saurai m'en servir. Pour un peu, je ferais brûler un cierge à Steve Job !

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Je ne dois pas être "numérico-dépendant" pourtant je cherche l'objet qui me relie ... pas mon téléphone: j'en ai 2, un personnel, un professionnel, que je mets tous deux en mode avion le soir avant de dormir et qui me servent de réveil matinal... il m'arrive parfois de m'apercevoir que j'ai laissé ce mode en milieu ou fin de journée! pas mon ordinateur fixe ou portable ou ultra portable (oui les 3): - le fixe c'est pour mes loisirs, mes recherches ma comptabilité, mes achats en ligne, regler les factures et mettre mes photos sur le cloud soit environ une utilisation de 15 minutes en semaine et maximum 2 h en WE, - mon portable c'est pour le travail donc près de 6 à 8h par jour en semaine et plus souvent zero que 1h le week-end et pas du tout en vacances. - Mon ultraportable, besoin qui me semblait impératif, lors de l'achat et qui n'a pas plus actuellement d'une heure de fonctionnement par semaine. reste les PS et XBox des enfants: A oui j'ai testé leurs jeux à l'achat mais il y a bien plusieurs mois (années?) que je n'y ai pas touché décidément je n'ai rien à apporter sur le plaisir ou la relation forte avec un outil numérique et pourtant je reste toutefois à l'affut des dernières nouveautés pour les acquérir des leurs sorties (iphone6, bracelets connectés pour des cadeaux, etc.). Reste donc l'addiction à ce mooc et ses deux heures hedomadaires.

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Si tout va bien pour vous et que vous n'avez pas de relation forte à un produit numérique, je vous invite à analyser une application que vous n'utilisez pas du point de ses caractéristiques. Et si vous essayiez Candy Crush ?

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Vous pratiquez là une expérience de fabrication d addiction? :D:D ?

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Pas vraiment. Mais pour comprendre la mécanique de Candy Crush par exemple, je pense qu'il faut y jouer quelques minutes au moins. Si ensuite vous y restez malgré le côté expérimental de la chose, il y aura beaucoup à étudier au niveau expérience vécue !

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Je vais finir le niveau 42 d hay day et je vous réponds ensuite ;)

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Je ne comprenais pas pourquoi autour de moi, quelque soit son âge, jouait à Candy Crush. Alors j'ai essayé et autant j'ai pu jouer à ce genre de jeux "3 in a row" autant là, non, j'ai l'impression que l'on veut induire une addiction au sucre. Je ne rigole pas. Je vous autour de moi une génération 26/35 ans qui a toujours des bonbons sur le bureau et en mangent compulsivement comme ils jouent compulsivement. Je pense que ce jeu n'est pas anodin.

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Pour ma relation à mon smartphone, assez récente finalement c'est vraiment devenu un multiple outil mais qui finalement remplace d autres, (les services divers, le réveil, les appels, (si si parfois J utilise mon smartphone pour téléphoner) Un indice assez fort c est la surveillance de la jauge de charge que je gère comme mon stock de tabac : toujours dans l anticipation je ne dois pas manquer.) Les petits jeux qu comblent les temps vides . J aime l idée du contrôle et du coup je joue avec mes limites. Je les dépasse (temps excessif et priorités inversée : quand je fais une partie avant de commencer à manger par exemple.....) et ensuite quand je suis bien engluée dans le jeu :sevrage sec et net .. Ça crée un vide ça me "bouscule" . et je recommence après quelques jours, je vais sur playstore et je charge un nouveau produit. Candycrush, hay day, l âge de glace, les si ms, J ai même réussi à tomber en phase excessive avec le défi géographique des villes.. Je pense qu un bon mooc peut également remplir cette fonction.. mais est ce spécifique au numérique ? Je pourrais "jouer" à ça avec la chocolat ou le tricot, les mots croisés ou les commérages avec des voisines. C est juste plus accessible et facile avec le numérique .

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bonjour, après lecture des messages précédents, je me suis souvenue d'un jeu auquel j'ai joué il y a quelques années. Le Boggle en ligne c'est un jeu de mots qui existe aussi en réel mais tout seul c'est pas très rigolo. alors je suis allée sur un site de jeux de mots gratuits et j'ai commencé à jouer. Une première partie et comme je n'avais pas joué depuis mon enfance, j'ai eu envie de recommencé pour voir si mon score était meilleur. puis une autre partie et encore une autre et encore une autre... je me disais bon, juste une dernière et j'arrête ! et puis non je continuais et au finale j'ai joué comme ça pendant 2 heures sans m'arrêter. le lendemain je suis retournée sur ce site et j'ai recommencé (un peu moins longtemps) et les jours suivants. et puis la semaine suivante, au boulot j'ai eu envie de faire une pause et je suis allée aussi sur ce site et j'ai joué.... plusieurs parties. j'ai décidé ensuite de ne plus retourner sur site car je trouvais idiot de passer son temps à ça alors que j'appréciais cela au moment où je jouais. en même temps ça m'énervait ça m'excitait. j'avais pendant la journée plusieurs fois envie d'y aller pour passer le temps en peu mais je savais que si je me connectais, je resterais accrochée à ce jeu. et je n'avais pas envie de cet attachement.

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mon expérience professionnelle de twitter ne m'incite pas à créer un compte perso. en effet je suis chargée de communication pour une association et de ce fait je gère les comptes de l'association dans les différents réseaux sociaux. je trouve que twitter peut être très intéressant pour réaliser une veille sur un ou des sujets précis. Mais aussi qu'un grand nombre de tweet un sans interêt notamment quand les gens tweet tout ce qui dit lors de conférences par exemple il vaudrait mieux à mon avis prendre des notes et twitter ensuite le résultat de la prise de note. les infos à chaud et en grand nombre sont souvent source d'infobésité. je trouve en même temps que ce service est terriblement chronophage. par exemple lors d'évenements de faits divers, les infos arrivent tout le temps, on ne peut rien faire d'autre que de lire chacun des tweets....ou alors se déconnecter. J'ai vu que que la plupart des mooc créaient des comptes twitter je me suis demandée si j'allais être obligée de me créer un compte perso et pour l'instant j'ai décidé de m'en passer mais je me dis que je passe peut être à côté d'une information importante.

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En fait il me semble que chaque (presque) addiction c'est suivi d'une claque qui m'a remis dans le réel. Il y a très longtemps avec mon premier modem 14k les factures de téléphone sont montées à des niveaux tels qu'il a fallu arrêter les connexions. Ensuite je me suis fait pirater mon compte BBS, ça m'a bien refroidi. Idem après le hackage de mon blog. Et récemment l'agression publicitaire a provoqué une nausée soudaine qui m'a débranché de facebook et des applis "gratuites" sur l'iphone.

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Je travaille tous les jours avec le numérique, mes loisirs tournent autour du numérique. Je croyais avoir du mal à me passer d'un ordi connecté... pendant 8 jours durant les vacances d'été je l'ai fait, sans problème. Je croyais avoir du mal à me passer de mon tel portable... j'ai résilié mon abonnement, cela fait 15 jours en attendant un nouveau smartphone et forfait... aucun soucis. Je pense que ce qui est difficile c'est de ne pas utiliser un ordi ou Internet alors qu'on a les outils actifs et sous la main. Je pense que les fabricants de technologies addictives réussiront lorsque cette technologie sera "intégrée" à nous, indissociable, voire transplantée [bouh, quelle horreur !]

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J'ai une relation majoritairement utilitaire avec tous les objets numériques. Qui peut virer à l'agacement voire à l'exaspération quand ça marche pas ou que le temps de réponse est trop long. Auquel cas, je pose l'appareil et je fais autre chose. Je n'aime pas acheter les terminaux numériques et surtout pas le dernier cri. C'est trop cher. Pour moi le plaisir que j'en retire ne vaut pas la dépense. Du coup, c'est mon mari achète : c'est lui qui m'a offert une tablette, un téléphone mobile perso et un PC. Si j'étais seule je me procurerais des appareils de 2de main et je m'abonnerais à internet. Les jeux très simples que j'aime y seraient tout à fait accessibles. Il m'arrive en effet d'avoir des périodes de pratique intensive avec des jeux : démineur, tétris et autres jeux du même style, Farm Frenzy, Township. Ils servent à combler des périodes d'ennui ou à occuper des temps de loisir (=> jamais au travail, jamais à la place de m'occuper des enfants, jamais quand je reçois des invités etc.) Et puis ça passe au bout de quelques semaines ou quelques mois. Quand le jeu me plaît vraiment, il tend à remplir la majorité de mes temps de loisirs mais jamais tous. Et je profite de chaque instant libre pour faire une ou deux parties, entre deux autres choses. Du coup, ça occupe quand même pas mal mon esprit et je développe des tactiques pour créer ces temps de battements. Au final, ça finit souvent par m'écœurer un peu et je ralentis. Exactement comme pour une cigarette, il suffit de chasser la pensée que je pourrais en fumer une pour que l'envie s'envole. Apprendre à connaître un nouveau jeu est de toute façon un effort que je n'ai jamais envie de faire. A chaque fois c'est mes amis ou ma famille qui m'initient. J'ai rêvé de Tétris au début où j'ai commencé à jouer, expérience partagée par d'autres personnes avec qui j'en ai parlé. Sinon, j'adore recevoir des mails, ceux du boulot surtout. Je vérifie très souvent ma messagerie. De façon générale, je me sens très réfractaire à l'addiction. Quel que soit l'excès, dès que je m'en approche, je me sens mal, physiquement (mal au cœur avec le café, la cigarette, le chocolat, l'alcool) ou moralement (je me sens merdique si je chèque mes mails 2 fois par heure quand je suis en RTT, si j'ai un peu bu tous les jours pendant une semaine d'affilé, si je n'ai pensé qu'à jouer à un jeu pendant une journée etc.), et j'arrête.

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Comme plusieurs personnes qui ont déjà répondu à la question, c'est de l'accès à Internet dont je me sens la plus dépendante. A travers elle, je cherche à rester en contact avec "les gens". Je travaille seule la plus grande partie du temps, seule dans la pièce mais en relation suivie avec de très nombreuses personnes en ligne. Quand je ne peux pas leur parler, savoir ce qu'elles font, ce qu'elles ont posté, ça me manque terriblement. Quand je suis avec d'autres personnes, dans la même pièce, j'ai plus tendance qu'auparavant (avant les outils portables) à m'impatienter dans des conversations stupides, en pensant qu'il y a sans doute des gens supers qui publient des trucs formidables en ligne et avec lesquels je pourrais interagir. Et en plus, quand on rencontre en ligne des gens avec lesquels on n'a pas d'affinités, il est tellement facile de les éviter, bien plus que dans la vie physique ! Internet a intensifié chez moi la perception aiguë de me construire et de m'épanouir avec les autres. J'ai appris à communiquer en ligne de manière personnelle, à entretenir les relations, à l'égal de ce que l'on fait avec ses proches IRL. Quand je suis privée de cette compagnie, ça me manque.

Semaine 4 / 1.2 Développement de la relation à un produit

"Ma" connexion internet

En y réfléchissant, il y a eu deux étapes qui ont marqué la construction de cette relation à **ma** connexion internet. a=Avant ces deux étapes, je n'ai pas le souvenir d'être attachée à ce point là à me connecter à partir de mon ordinateur : - tout d'abord, le passage à la fibre optique, qui a considérablement augmenté la vitesse de consultation. - et surtout, quelques mois plus tard, le changement d'ordinateur avec le passage à Windows 8, une expérience beaucoup plus rapide et beaucoup plus fluide sur internet.

"Ma" connexion internet

Bonjour Sylvie, Ce que vous dîtes sur Windows 8 est intriguant car généralement j'entends plutôt du mal de windows 8, et l'on dit que Windows 7 était plus agréable et facile de prise en main. Qu'est-ce que vous préférez sur windows 8? Guillaume

"Ma" connexion internet

Bonjour Sylvie,, Mais que vas tu voir en premier sur internet. Les mails, facebook,twitter ... Tu ressens quoi sur internet, un oubli d'un environnement, un plaisir de retrouver des personnes de ton cercle. Pour ma part, internet , ce n'est qu'un outil bien pratique

"Ma" connexion internet

J'ai choisi de parler de l'utilisation de la tablette, qui ressemble finalement à celle que j'ai construite avec d'autres objets et applications numériques. Dans un premier temps, je ne vois vraiment pas à quoi ça sert, il n'y a pas de besoin, j'ai déjà tout ce qu'il me faut. En plus, comme je soupçonne *toujours* les entreprises de vouloir me fourguer un truc inutile, j'attends. Ensuite, je vois les utilisations chez les autres. Là, mon attention s'éveille. je me dis qu'il y a quand même des avantages, mais ce n'est pas pour moi, je n'en ai pas besoin. Vient ensuite le temps des limites : je vois les limites de ce que j'utilise déjà, et je repense à ce que j'avais noté de bien en observant ceux qui utilisent ce que je n'ai pas. L'envie arrive. Je passe à la caisse : j'achète. J'affronte les remarques narquoises de tous ceux qui m'ont vu hésiter pendant si longtemps, et qui me disent que j'ai "craqué". Je commence à explorer, un peu. Je me dis que j'ai peut-être fait une bêtise. J'explore, encore. Je charge des applications que je teste, j'en jette beaucoup, j'en conserve certaines. J'emporte ma tablette à la place de mon ordinateur dans mes déplacements et là, illumination : j'ai vraiment bien fait ! Moins lourd, moins encombrant, facilement connectable : je me sens prête à défendre mon choix ! J'élargis les usages : consultation des recettes Marmiton dans la cuisine, photos dans les salles de cours, super appli Twitter, bien meilleure que celle du poste fixe... Quand je commence à consulter ma tablette les nuits d'insomnie, je me dis que j'ai dépassé une limite et je prends désormais soin de la laisser dans mon bureau le soir. Tout va bien, l'outil a trouvé sa place.

Semaine 4 / 1.3 Q1 : Relation personnelle

Rève

Pour compléter ce que j'ai peu écrire. c'est que cette passion était un rêve d'enfant qui devient concret .Il a juste fallu que je côtoie des personnes du spectacle et que je touche les potards

Rève

Pour compléter ce que j'ai peu écrire. c'est que cette passion était un rêve d'enfant qui devient concret .Il a juste fallu que je côtoie des personnes du spectacle et que je touche les potards

Répondez à la première question de la semaine

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir vos réflexions et réponse à la première question de la semaine : *Comment décrire l’expérience vécue d'une relation personnelle à un produit numérique ?* Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Répondez à la première question de la semaine

Comment décrire l’expérience vécue d'une relation personnelle à un produit numérique ? Une relation personnelle à un produit numérique, c’est bien sur une relation particulière, à sens unique, le produit numérique n’ayant pas de sentiment ni d’émotion même si certains croient en l’avènement prochain de robots affectivement sensibles. Mais le produit numérique est aussi une construction stratégique d’un groupe d’humain qui le destine à l’usage… Loin d’être neutre donc. Une relation asymétrique en tous cas, un peu comme celle qui lie un lecteur à l’auteur d’un livre. Par exemple l’attention minutieuse de l’équipe Apple pour le design de ses objets joue un rôle important dans l’attachement que certains y portent. Concernant Apple il y a eu aussi l’idée de se distinguer de la masse et aussi une supposée bien meilleure facilité d’usage des outils, logiciels inclus. L’expérience vécue d’une relation personnelle à un produit numérique c’est donc l’expérience d’un sujet face à une stratégie organisée d’usages possibles. Le lancement de tels produits fait fréquemment l’objet de toute une démarche médiatique de publicité du produit. Le sujet expérimentateur y vit toujours, plus ou moins consciemment, une expérience mêlée d’affects et de raison : sensations, émotions, sentiments, conception intellectuelle, élaboration mentale, etc. Pour revenir à l’exemple que j’ai pris précédemment, quand on nous a proposé de « décrire une relation vécue à un produit », j’ai exprimé d’abord de la sympathie à l’égard de Google, puis une ambivalence grandissante puis une défiance claire et malgré tout une continuité de l’usage compte tenu de sa simplicité, son efficacité et sa rapidité. On voit bien toute la subjectivité mise en jeu face à une stratégie organisée par d’autres sujets. De même pour Apple, on voit bien tous les sentiments positifs (précités) mais certains ont aussi exprimé l’enfermement organisé par la firme afin de rendre ses utilisateurs toujours plus captifs de ses produits, ce qui est nettement moins sympathique…

Répondez à la première question de la semaine

Je crois que c'est en terme de qualité de la réponse donnée que le besoin de présence du produit se fera ou pas. Un produit qui ne donne pas satisfaction est rejeté. Concernant mon rapport au téléphone portable, j'ai constaté que ce qui m'attache à cet objet peut être le degré de frustration qu'il m'apporte : j'ai voulu le jeter plusieurs fois car pas assez rapide, performant. Je veux qu'il soit parfait. le taux de satisfaction à mes besoins : recherche d'une appli, autonomie de la batterie. Sa capacité à me mettre en interrelation avec une autre application ou d'autres personnes

Répondez à la première question de la semaine

La question est subjective puisque je ne sais pas qu est ce qui est excessif (selon ma perception, celle des autres, celle du DSM?) et de plus la définition d un produit numérique couvre une infinité de pratiques sociales comme le démontrent les expériences. L accès continu et gratuit ainsi que le flux incessant facilitent le besoin et l envie de connexions multiples aux réseaux sociaux surtout, puisque leur logique commerciale est basée sur l attention, le clic et la présence en ligne suscitée notamment par le brillant succès des jeux sociaux tels que Farmville ... Mais je ne suis pas capable de décrire mon expérience avant et d après connexion à un rèseau social ou à Internet qu'à ma boite aux lettres ou qu'au journal papier que je recevais le matin. Maintenant ils sont tous accessibles sur mon téléphone et mon ordinateur, certes. La relation est médiée par ordinateur mais il me semble que l'activité (comme la conception sonore, le montage vidéo, ou la lecture sur tablette) procure du plaisir et non que ce soit seulement la connexion ou le rapport à une machine qui remplisse cette fonction. Puisque la question est posée dans une société développée et connectée, elle revient à demander de décrire l expérience vécue lors de n importe quelle activité sociale plaisante ou obligatoire. Dans une société connectée nous sommes tous dépendants ... à la connexion. Mais est-ce pathologique, est-ce surtout physique et biologique ? Le cercle de la dépendance - envie, besoin, plaisir durant la réalisation de l acte puis honte et culpabilité - peut etre pertinent dans certains cas très limités mais je ne pense pas que le qualificatif d addict s applique à l utilisation de logiciels comme Gmail, Word, Excel, Final Cut ou Reaper meme si l on travaille 10 heures quotidiennes avec. Les activités reliées au travail sont d ailleurs généralement exclues des catégorisations sans raisons autres que l absence de sentiment de culpabilité puisque ce sont des activités normalement acceptées. Elles entrent alors dans le champs d expertise du stress.

Répondez à la première question de la semaine

Il me semble que la notion d addiction au travail est définie et étudiée . Ça va bien plus loin que la question du stress en terme de pathologie.

Semaine 4 / 2.1 Caractéristiques produit et vécus

Caractérisque Téléphone portable

L'une des caractéristiques principales du téléphone portable et qui m'intéresse c'est d'avoir tout en un sur un petit format. Nous pouvons même d'ailleurs choisir notre format. Nous oublions totalement le coût écologique du produit pour se focaliser sur ce qu'il peut apporter (achat en ligne, appli, connexion plus immédiate à la famille, aux amis, voire même à des inconnu(e)s). Notre dépendance économique tend à s’accroître (je réalise de plus en plus d'achats en ligne). Le modèle ou format ou marque m'intéresse guère pourvu qu'il soit intuitif, pratique, suffisamment d'autonomie.

Caractérisque Téléphone portable

Ce qui m'interesse, c'est de pouvoir allier prix et fonctionnalités. Un petit format également où je peux être connecté quand je le souhaite (réseaux sociaux, internet...); quelque soit la forme et la marque

Effet immédiat

Pour reprendre mon développement sur la musique , c'est que lorsque je travail sur mon ordi avec un soft de mixage et bien l'effet est immédiat. Je peux expérimenter en temps réel, un peu comme les effets d'une cigarette (surtout ne fumez pas, c'est pas bon)

Effet immédiat

Pour reprendre mon développement sur la musique , c'est que lorsque je travail sur mon ordi avec un soft de mixage et bien l'effet est immédiat. Je peux expérimenter en temps réel, un peu comme les effets d'une cigarette (surtout ne fumez pas, c'est pas bon)

Caractéristiques pertinentes pour décrire l'ordinateur

A mon sens, le plus déterminant dans un ordinateur est sa capacité de séparation entre le réel (moi dans le monde réel) et virtuel (moi dans le monde virtuel). Je suis de nature introvertie. Je ne ressens pas le besoin de m'ouvrir aux autres et encore moins d'afficher mes appartenances. L'ordinateur me permet de séparer mon moi social classique, de mon moi "réel" (ce que j'aime, aspire, pense et désire) dans un espace des plus restreints. Je n'ai ainsi pas besoin d'une grande maison, d'un lieu particulier ou d'un endroit spécifique. Ni même de personnes particulières ou d'une ambiance donnée. Un bureau avec un ordi me suffit pour être ce que je suis (ou ce que je pense vouloir être, psychologie, tout ça ... ). L'essentiel se résume donc à cette porte d'entrée vers une identité numérique que je peux afficher/assumer sans craindre des conséquences aussi directes (et potentiellement néfastes) que si j'interagissais avec des personnes "en vrai". Je ne serais donc pas "drogué" de l'ordinateur, mais plutôt addict à ses usages sociaux et d'auto-réalisation, libérés de la plupart des contraintes de leurs équivalents réels.

généalogie

Je vais essayer de suivre les consignes mais espère ne pas être hors-sujet ! Moi et le produit : Un logiciel, ça s'installe, ça s'apprend, ça s'apprivoise, ça demande un grand investissement en réflexion et en temps. Donc soit cela devient un compagnon et on s'apprécie, on passe du temps ensemble, des bons moments et des mauvais ou bien on s'énerve, on veut maîtriser et on s'acharne. Bref c'est comme une relation à une personne physique en moins risqué. Design du produit très étudié à l'époque : documentation fournie, bonus, ouvertures à l'infini. Adaptable à ses besoins. Socialement : Comme déjà dit, à partir d'un échange virtuel, on pouvait organiser une "cousinade" donc réunion de personnes physiques. Risques : les informations n'étaient pas toujours vérifiées ou vérifiables. elles circulent encore sur le net 20 ans plus tard ! Caractéristiques économiques le produit (logiciel) était onéreux à l'achat et sans aucune visibilité sur l'utilisation dans son avenir (compatibilité avec les versions WINDOWS, etc) ni sur la conservation (utilisation du CD ROM), stockage dans le disque dur, transfert des données vers un autre matériel. Aujourd'hui ce produit a été remplacé par un site web avec abonnement bien sûr !

Tablette : mobilité, personnalisation

Les caractéristiques de la tablette qui ont conditionné ma relation à cet objet : c'est un objet "mobile", mais pas "petit". Le confort d'utilisation est réel, bien supérieur à celui que l'on a avec un smartphone par exemple. On peut le mettre dans un sac normal, pas nécessaire d'avoir un contenant spécifique. Il n'est pas lourd. Toutes caractéristiques qui ont joué un rôle essentiel dans mon adoption de ce produit. L'objet est extrêmement personnalisable car il n'existe qu'en fonction de ce que l'on charge dessus, les applications. Ca devient donc rapidement "mon" objet, je m'y attache et j'ai moins l'impression d'avoir adopté un comportement moutonnier...

Semaine 4 / 2.2 Analyser un nouveau produit

produits addictifs

D après les expériences décrites, les produits les plus addictifs sont ceux gratuits en apparence et basés sur le réseau social, sur une communauté que l on retrouve en ligne pour jouer, chatter (Facebook, Candy Crush et en suivant). Addict désigne, dans la plupart des cas des consommateurs soumis à la logique présentielle des sites de réseautage ou de jeux sociaux qui occupent les temps sociaux intersticels comme le trajet en métro, l attente du bus ou un temps 'mort' pour utiliser les informations en ligne et générer des profits en les vendant.

produits addictifs

je complète mon retour d'expériences d'utilisateur de l'internet boursier en relation avec d'autres jeux d'argent ou même tous les jeux gagnants /perdants . Par exemple sur la nécessité de passer du temps à s'imprégner calmement des règles du jeu ,internet brouille ce temps d'apprentissage :j'apprends et je suis incité et appliquer tout de suite=grosse dualité pour le cerveau . Autre exemple ,une multitude d'investisseurs ,mais aussi de parasites perturbent mes propositions de décisions :je réfléchis pour moi et je réfléchis aux positions des autres = grosse dualité pour les centres émotionnels. Autre exemple je me batis une stratégie ,mais le très CT et le Moyen ou long terme sont en contradiction radicale = idem perturbation cérébrale Une autre perturbation le difficulté du partage d'expérience avec d'autres vu la puissance individualiste de la solitude derrière son écran . Je pense que tout cela est travaillé par les concepteurs des sites boursiers en ligne

les sites de bourse en ligne

Les produits de bourse en ligne sur internet ressemblent fort aux autres jeux en ligne de ces 10 dernières années. PMU, Casino, Poker, ce sont des appats pour des joueurs invétérés qui se sont rués sur les plateformes de trading permettant de trader avec des sommes inférieures à 500€ et des leviers allant jusqu’à 1000,ils se lancent fleur au fusil sur la plateforme, double parfois leur compte puis finissent à 99 % à 0. La bonne méthode est de lire des analyses, écouter quelques vidéos, approfondir des livres spécialisés mais, toutes les images dans la conception et la méthode de l'Internet/boursier conduisent immanquablement à se lancer toujours trop tôt, sans technique, ni plan et finir en majorité par perdre Les plus patients se forment, prennent du temps, ne trouvent pas forcément la bonne formation, le bon style de trading, n’ont pas forcément la patience d’aller au bout du processus d’apprentissage et rejoignent les autres . Tout dans l'Internet boursier est fait pour croire que l'on sait ,alors qu'on ne sait qu'à 50% donc rien j'aimerais partager cette expérience avec des particuliers qui utilisent Internet àc bon escient sur la Bourse.

les sites de bourse en ligne

Je trouve votre présentation de ce sujet que je ne connaissais pas très intéressante, merci à vous. Oui, on comprend que ce soit un piège pour joueurs invétérés à des jeux d'argent: c'est exactement comme un jeu où on peut avoir l'illusion de maitrise. Pour ce qui est de partager avec des particuliers qui utilisent Internet à bon escient sur la bourse, pas sur qu'il en ait beaucoup sur ce forum, peut-être existe-t-il des forums d'échange à ce sujet. Mais je me demande quand même ce que c'est "utiliser Internet à bon escient sur la bourse". Investir en bourse, c'est jouer de l'argent, sauf en cas de "délit d'initié" où le jeu se passe alors ailleurs...

les sites de bourse en ligne

BSR merci ,la Bourse n'est pas un casino,c'est un espace de décisions d'investissements risqués.Donc où l'on peut se tromper et perdre`,mais aussi l'inverse.Dans un espace d'informations maitrisées la décision reste une émotion ,mais préparée le plus rationnellement possible.Mes propos sur ce blog sont de souligner le fait qu'Internet multiplie les biais perturbants à l'extrème comme dans les jeux ,sauf que la Bourse n'est pas un jeu.Et un des intervenants de vendredi de reconnaitre qu'internet et le numérique gamifiaient tout....mais que ceux qui se faisaient pièger par la gamification "illégitime" .....c'était parce qu'ils étaient déjà des joueurs invétérés.ce qui mérite discussion !!!

Minecraft - le drogué est aussi le dealer

Minecraft est un jeu de type sandbox (un monde "réaliste" sans règle préétablie, où le joueur est laissé libre de ses actions). Le but du jeu est, à la base, de construire ce qui nous plait, en exploitant les ressources du monde virtuel et malgré les challenges qu'il présente (monstres, pièges, rareté de certaines ressources, gestion santé/sommeil/usure, etc.). Au fil de ses parties, le joueur s'approprie son monde virtuel, le modelant à sa guise. Plus il passe de temps à l'intérieur, plus il doit continuer à s'y investir, pour ne pas rendre son investissement précédent inutile. D'où un phénomène d'addiction dans sa mécanique de base. Ses caractéristiques techniques modestes, et son piratage systématique, l'ont rendu très apprécié des joueurs, et surtout des ados. Une communauté très active s'est développée autour du titre, avec quantité de vidéo explicatives, parodiques et de présentation. Cette communauté, avec la bénédiction de l'auteur du jeu, s'est à son tour appropriée le jeu au travers de "mods", des modifications du jeu d'origine permettant d'aller encore plus loin dans les interactions et les possibilités. Les anciens consommateurs se sont ainsi mués en producteurs de contenu, fournissant toujours davantage de nouvelles choses à faire, de lieux à explorer et d'usages à découvrir. Chaque drogué est ainsi devenu un dealer, nourrissant sa propre addiction avec les addictions des autres, encouragé dans son investissement personnel par l'investissement personnel des autres. Minecraft est un exemple intéressant de création addictive non-commerciale. En effet, le jeu n'a jamais été réalisé dans une optique économique telle qu'on la pense dans Facebook ou sur mobile. L'auteur a eu une idée, et a été assez expert pour la mettre en oeuvre. Le concept, le bouche-à-oreille, puis la communauté ont fait le reste. Une illustration du web 2.0, où les consommateurs se font producteurs, par émulation réciproque, autour d'un contenu fédérateur et accessible.

Minecraft - le drogué est aussi le dealer

Votre utilisation du terme addiction semble plutôt positive, peut-être pourrait-on parler d'usage fort tout simplement ? Y-a-t'il des cas de joueurs de Minecraft en consultation ? (c'est une question pour les praticiens !)

Minecraft - le drogué est aussi le dealer

Minecraft est un exemple intéressant. il n'y a pas de "dealer" puisqu'il n'y a pas de "business", mais j'en connais plusieurs qui sont "accros" même s'ils ne consultent pas.Je connais aussi un collégien, fils d'amis, qui a littéralement plongé dans le jeu quand il l'a découvert. Il a d'abord construit seul un petit monde souterrain. Puis il s'est associé avec plusieurs autres plus âgés que lui pour construire un village entier. Il m'a fait visiter: beau et impressionnant! tellement qu'ils ont été repérés et invités à une grande réunion parisienne autour du jeu, ce dont il n'était pas peu fier. Pour lui cette immersion régulière n'était pas vécue comme une fuite de la réalité mais comme une sécurité passionnante où les rencontres étaient finalement plus intéressantes que les échanges pas toujours cordiaux avec les autres collégiens. Il a développé avec ce jeu un niveau de compétence en construction et architecture assez étonnant et dont il parlait volontiers.

Candycrush

Je ne connaissais pas mais j'en ai beaucoup entendu parler. Alors pour tous @ddict, j'ai été jouer à Candycrush. J'ai du mal à comprendre l'engouement démesuré même si je perçois comment ça peut nous attraper : le score (qu'on a envie d'améliorer), les moments où tout s'enchaîne et qu'on gagne plein de points... (Certainement les moments les plus jouissifs : on ne fait plus rien et ça fait tout seul), l'aspect très coloré, le bruitage, la vitesse à laquelle il faut aller... Mais c'est assez répétitif et pas très intéressant... Alors, passé l'heure des devoirs pour tous @ddicts, je n'y pense plus. J'ai fait 3 sessions (une demi-heure environ à chaque fois) et ça me suffit. J'aurais eu l'impression d'une perte de temps si ce n'était pas pour un travail particulier.

Candycrush

Merci de ce témoignage. Je rajouterais volontiers à ces caractéristiques l'univers sucré, censé sans doute nous ramener en enfance. Peut-être que ce type de jeu est-il passé de mode. Alain Auneau le soulignait dans le webinaire 4, la qualité de ce type de jeux semble devoir toujours augmenter. D'autres participants peuvent-ils raconter leur expérience avec Candy Crush (et éventuellement le niveau auquel ils sont arrivés à l'époque :-)

Candycrush

Même avis concernant ce jeu, pourquoi cet engouement?cette envie d'y jouer tous les jours? certains jouent sur leur portable ou tablette la journée, et dans la soirée sur le portable...effectivement on retrouve cet univers de notre enfance, les couleurs, les formes, l'accès à tous, l'envie de progresser au niveau de notre score... facilement captivant si on n'y fait pas attention! @ddict

Semaine 4 / 3.1 Experience Utilisateur (UX)

Définissez la notion d'UX et déterminer ce qui est pris en compte de l'utilisateur par les designers

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour poster les résultats de votre recherche à propos de la notion d'UX. Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Définissez la notion d'UX et déterminer ce qui est pris en compte de l'utilisateur par les designers

Je ne sais si j'ai bien compris la question , je me lance tout de même, non dans une définition mais dans ce qui me semble intéresser le designer : coté produit : Le tactile, le toucher, la prise en main et dans la main du produit, sa couleur, son toucher (grain lisse ou pas), sa résistance/ coté utilisation : l'appropriation du produit, sa facile compréhension, son intuitivité, sa capacité à donner des réponses à des questions que l'on ne s'était pas posé (ex le face time)/ coté identité : sa cherté, sa rareté, son coté mode, son coté exclusivité,

Définissez la notion d'UX et déterminer ce qui est pris en compte de l'utilisateur par les designers

la notion d’expérience utilisateur c'est pour moi être un cobaye . le degré de réactivité , le temps d'attention, la réflexion, capacité à propager aux autres son attrait ,la capacité stratégique. je pense que ce sont des valeurs mesurables pour quantifier les dimensions d'études

Définissez la notion d'UX et déterminer ce qui est pris en compte de l'utilisateur par les designers

Expérience utilisateur : Ensemble des ressentis et des émotions de l'utilisateur au cours d'une activité. Cet ensemble permet d'évaluer la qualité de l'activité en question et prévoir dans quelle mesure l'utilisateur va persévérer ou abandonner. Dimensions possibles : - Prise en main - Répétitivité des actions - Nouveauté - Challenge - Courbe de progression - Sociabilité (tisser des liens, pression du groupe, etc. ) - Externalité (gagner de l'argent, recevoir un prix)

Définissez la notion d'UX et déterminer ce qui est pris en compte de l'utilisateur par les designers

Bonjour, UX d'après http://glossaire.infowebmaster.fr/ux/ : Le terme UX viens de l'anglais User experience (traduction : expérience utilisateur) et représente le ressenti émotionnel d'un utilisateur face à une interface, un objet ou un service. L'expérience utilisateur est différent de l'utilisabilité ou de l'ergonomie. Ces derniers s'appuient sur des concepts strictement pragmatiques. Or, le UX s'appuie sur l'utilisabilité mais associe également l'impact émotionnel. Cette expérience est affectée par plusieurs points : La facilité d'utilisation L'efficience (bonne performance pour effectuer une tâche) L'utilité des fonctionnalités disponibles La renommé de la marque, car ça peut impliquer le désir de vouloir utiliser le service Les aspects émotionnels d'une interface tel que l'aperçu visuel, le ressenti, la texture... La crédibilité L'accessibilité autres ressources liées au UX : **Campus Européen d'Ete 2013 (Poitiers) : UX design : l'expérience utilisateur au service des apprentissages ?** "UX Design", "User Experience Design", "design d'expérience utilisateur" : l'expression, encore peu répandue en France, désigne une démarche attentive à la qualité du lien créé entre une interface numérique et son public. L'ambition est vaste : entre esthétisme et fonctionnalité, il s'agit d'anticiper l'usage de l'utilisateur et de créer une relation de confiance avec lui. Objet d'un véritable engouement chez les jeunes professionnels du numérique, l'UX Design représente-t-il pour autant une opportunité de renouveler les réflexions scientifiques et les démarches professionnelles ? Ses préoccupations, à mi-chemin entre l'ergonomie et le design, ne sont pas en effet pas nouvelles et font écho à des théories et pratiques déjà établies. Le campus européen d'été C2E 2013 propose d'aborder la question sous l'angle original des technologies éducatives : il interroge l'UX Design, selon une approche critique, dans ses rapports à l'apprentissage. - See more at: http://uptv.univ-poitiers.fr/program/campus-europeen-d-ete-2013etnbsp-ux-designetnbsp-l-experience-utilisateur-au-service-des-apprentissagesetnbsp/video/3880/le-design-d-experience-utilisateur/index.html#sthash.Z7XR2yC9.dpuf **Sylvie Daumal,** fondatrice du groupe UX Paris publie « Design d’expérience utilisateur » http://www.nealite.fr/blog/expertise/design-experience-utilisateur-sylvie-daumal-6348.htm

Définissez la notion d'UX et déterminer ce qui est pris en compte de l'utilisateur par les designers

voici quelques liens: - http://www.growthhacking-france.com/ux-experience-utilisateur-essentielle-growth-hacking/ - http://www.camillejourdain.fr/experience-utilisateur-cle-succes/ cela permet au produit d'être un succès auprès des utilisateurs, ce qui est intéressant pour le concepteur (économie, popularité...)

Semaine 4 / 3.2 Absorption dans l'activité

réalité virtuelle

pour définir et quantifier le degré d'attraction. l'hypnose est un bon comparatif, puisque l'on fait croire à notre cerveau un nouvel environnement totalement déconnecté de la réalité. Plus ce monde est riche de réalité , plus cette isolement est prenante. Il y a le facteur vitesse d’attractivité, quantité d'info riches, vitesse de l'histoire ou du sons. tout ce qui permet de donner des info à tous nos sens. Une fois intégré dans cette nouvel réalité, il faut mettre en jeux se qui permettra d'y rester

réalité virtuelle

Je suis d'accord, sachant que l'hypnose est induite par un élément manipulateur et implique un sujet susceptible d'entrer en acceptation. Donc plusieurs possibilités du producteur et du consommateur. Dans ce nouvel environnement, comme vous dites, j'ai appris que l'appât du gain était beaucoup plus fort que le partage gratuit d'il y a 20 ans, sachant que ce sont ces apporteurs de rêve qui nous ont numériquement (voire plus) façonnés. Les uns jouent sur le côté élitiste, apportent un produit qui se veut d'exception et apporte l'illusion à son utilisateur ou propriétaire d'être supérieur aux autres, d'avoir mieux réussi dans la vie (oui c'est souvent assez violent au niveau de l'égo) . Sinon il joue le côté rebelle ou geek et reste sur un produit plus bas de gamme parce que c'est son choix. Le concepteur vise son client et module son produit pour lui faire plaisir et en faire un utilisateur docile, consommant de plus en plus, en réclamant de plus en plus.

Semaine 4 / 3.3 Concevoir une UX ?

tout est possible, c'est le jeu de la ...

Je pense que l'imagination des créateurs est sans limite (car celles ci recule sans cesse). Il y aura toujours une idée géniale pour créer un produit où toute personne avide d'expérience sera prêt à franchir le pas

tout est possible, c'est le jeu de la ...

effectivement, les concepteurs vont de plus en plus loin, des innovations plus ou moins surprenantes avec des adhérents séduits

Expérience utilisateur induite : exemple du livre

Le livre est un bon exemple d'expérience utilisateur induite, puisque l'auteur parvient à faire ressentir les émotions qu'il désire à ses lecteurs. Ce n'est donc pas un problème de support ou de stimuli, mais de "cercle magique", ce contrat tacite entre le créateur et le consommateur, où ce dernier accepte les contraintes du premier pour profiter d'une expérience "unique". Une expérience utilisateur induite doit donc se reposer sur l'établissement de ce contrat de confiance, à travers une interface utilisateur adaptée, et une maîtrise du "flow" du produit, afin de maintenir et accroître progressivement l'immersion de l'utilisateur au cours de son activité.

Clarté de l'interface utilisateur

Une interface utilisateur claire induit les usages souhaités. Clair ne veut pas dire simple : si elle est trop simple, l'application sera sans doute considérée comme inutile par de nombreux participants. La clarté tient à la place des principales commandes sur l'écran, à l'absence d'ambiguité dans les opérations demandées, à la logique de navigation, à la faible distance entre l'activation de la première commande et le résultat attendu (faible nombre de clics)... Les sites web par exemple se sont considérablement simplifiés ces dernières années, le flat design repose l'oeil et on perd bcp moins de temps à chercher sur la page le bouton sur lequel on doit cliquer ! Ceux pour lesquels cet effort n'a pas été accompli sont désormais perçus comme dépassés, car on s'habitue à la qualité, de nouveaux standards se mettent en place.

Semaine 4 / 3.4 Q2 : Fabriquer l'addiction ?

oui

pour moi, c'est oui. autrement on ne serait pas là. De toute façon, les vieilles technologies disparaissent

oui

Bonjour, Cette idée de la disparition des technologies "anciennes" me fait penser à l'obsolescence programmée des technologies actuelles. De ce point de vue là, il y aurait peut être une fabrique de l'addiction aussi, puisqu'on oblige le consommateur à renouveler en permanence ses outils numériques. C'est une idée/question que je viens d'avoir, m'enfin ce n'est qu'un bourgeon d'idée. Guillaume

oui

Il y a un point qui me fait tiquer sur les nouveaux outils c est le traitement médiatique de la sortie d un nouveau smartphone. Les premières "infos" qui filtrent les reportages les images des premiers acquéreur. .alors c est certainement comme pour la sortie d un "objet culturel" comme le dernier opus d une grande saga cinéma mais n arrive pas à ressentir cet engouement et avoir cette vision culturelle de l appareil.. Du coup J ai une impression etrange comme si la sortie d une nouvelle machine à laver pouvait devenir l information la plus importante à dévoiler pendant un mois .

oui

Juste une idée. Pour guérir d'une addiction. il suffit que l'objet du désir soit complétement dépassé A creuser

oui

Oui mais pour l'obsolescence programmée, elle n'est pas forcément le fait des industriels, mais des utilisateurs qui en demandent et en redemandent toujours plus. Et si il y'a de la demande et bien on la fourni. Pourquoi changer son téléphone tout les 2 ans voir tous les ans ? Pour avoir une fonctionnalité supplémentaire ? Avoir le dernier gadget à la mode ? Si les gens changent en si peu de temps c'est qu'ils en ont envie, donc les industriels continuent de leur en fournir.

oui

Pour répondre il faudrait en savoir plus sur le pourquoi - décérébrer la jeunesse, qui voudrait ça ? - faire du profit, est-ce que ça marche ? - fabriquer des zombis, quel intérêt ? - gaspiller le temps, politiquement utile ?

oui

C'est une bonne question, je pense que la semaine 5 permettra d'en discuter, notamment en réfléchissant en terme d'"économie de l'attention" (et peut-être également en allant voir du côté de l'"utopie numérique").

oui

Oui et d'ailleurs la Chine à l'époque de l'opium avait fini par interdire les opiumeries parce que cela asservissait son peuple et qu'à force il ne serait plus bon à rien. Faire du profit pourrait marcher à condition de trouver un équilibre je pense.

oui

également oui! les concepteurs étudient et s'appuient sur les comportements et besoins possibles des utilisateurs, la conception du produit ira dans ce sens donc tous les caractéristiques toucheront les personnes sensibles à l'addiction; qui n'est pas au numérique aujourd'hui? que ce soit au niveau personnel ou/et professionnel...

Encourager plutot que fabriquer

Je ne pense pas que l'on puisse fabriquer une addiction de toute pièce. Il faut déjà un terrain favorable à cette addiction, sur laquelle se concentreront les stratégies de captation (principalement favoriser le sentiment de récompense, d'appartenance et de sécurité). Je pense aussi qu'il faut séparer l'addiction pathologique, l'addiction aux jeux d'argent par exemple, de l'addiction "ordinaire", sa dépendance au smartphone. Dans le cas d'une addiction au numérique, pour favoriser cette addiction, les concepteurs d'un produit s'appuieront sur les travaux de psychologie et de neurologie bien connus. Tel que la pyramide de Maslow et le système de récompense de Staats. En récompensant l'utilisateur de ses actions, on incite celui-ci à continuer. De même, en construisant un sentiment d'appartenance et de réalisation personnelle, on l'incite à rester dans la situation voulue. Bien sûr, dans le lot d'utilisateurs, certains seront plus sensibles à ces stimulis que d'autres, et seront vraiment addict au sens "drogué". Mais la majorité ne mordra à l'hameçon que le temps que le cerveau se lasse, et/ou qu'il trouve mieux ailleurs. Le numérique étant ce qu'il est, le "mieux ailleurs" arrive très vite, et les usages incontournables d'aujourd'hui deviennent rapidement le has-been de demain. Même en s'appuyant sur des éléments sociaux forts, l'esprit est tel qu'il finira toujours par aller à contre-courant. La pression sociale a elle aussi ses limites. On peut donc favoriser une forme d'addiction numérique temporaire, mais pas en créer une de toute pièce. Et encore moins à grande échelle.

Encourager plutot que fabriquer

Oui, les addictions subissent des modes selon le contexte socio-culturel et selon l'histoire de chacun. Par exemple, dans les années 70-80 on a évalué jusqu'à entre 300 et 500 mille le nombre d'usagers d'héroïne en intraveineuse et ce chiffre a énormément baissé en trente ans pour un ensemble de raisons assez bien cernées, mais comme on le sait l'usage de cocaïne a par contre beaucoup augmenté depuis. Pour le numérique, on peut imaginer qu'il en sera de même et que ce qui est fortement addictogène pour un grand nombre aujourd'hui le sera peut-être moins demain au profit de nouvelles inventions. Addictogène ne veut pas dire qui crée des addictions, mais qui pousse à la répétition de l'usage, comme c'est actuellement encore le cas des jeux en ligne qui sont construits dans ce but par leurs concepteurs. Le tabac est un produit très addictogène. Difficile pour moi actuellement de trancher sur la question de savoir si l'on peut créer une addiction de toutes pièces numériques. Cela piège indéniablement une petite minorité de gens fragilisés par ailleurs mais cela peut devenir un phénomène de masse, comme il semble que cela soit (ou ait été) le cas pour une grande partie de la jeunesse en Corée du sud.

non

Non, je ne pense pas. Chacun garde sa liberté et une appli chasse l'autre, dans une course sans fin. La seule façon de fabriquer à coup sûr de l'addiction au numérique serait de créer un produit qui permette de réaliser une opération indispensable, sans aucune alternative. Par exemple, s'il fallait obligatoirement taper sur telle touche dans telle appli pour déclencher le mécanisme physique du sommeil. Ca ferait d'ailleurs un beau récit de science-fiction :-)

non

Bonjour, Effectivement, c'est une idée qui fonctionnerait bien pour de la science fiction. Mais si on ne peut pas la fabriquer à coup sur, vous ne pensez pas que certaines entreprises de jeu ou autre essaie de maximiser leur chance de rendre les utilisateurs "addicts"? Guillaume

Semaine 4 / Discussion générale

Des états conscients?

- vision effrayante: pour l'utilisateur une proximité de ce qui est décrit de la définition de l’obnubilation, tout en restant à la limite du pathologique.... pour le "on" de "on vous rends addict" créer un deus ex machina pour une captation recherchée ou induite à visées multiples (et pas seulement mauvaises) - vision neutre: pour l'utilisateur l'habitude de "son" outil utilisé par une communauté, "sa" communauté pour un effet de mode qui passera .... une aubaine économique pour une entreprise... - vision optimiste: permettre en utilisant des méthodes éprouvées (commerciales créant l'envie etc. )d'attirer l'attention pour servir la cause du progrès(comme la légende de parmentier et la pomme de terre????) Patrick

Des états conscients?

comment créer une notion de bonheur. le bonheur c'est se sentir libre parce que l'on ne sens plus se qui ne aliène. l'addiction c'est un peu cela

Des états conscients?

Dans le micro trottoir, un jeune associe l'addiction au fait de "consommer des substances illicites" et ne croit donc pas à l'addiction aux écrans, au numérique, aux jeux ... Moi je pense qu'il ne s'en rend pas compte comme une majorité de jeunes qui ne pourrait plus se passer de téléphone portable par exemple. Et tout le monde est tombé dans le panneau : jeunes comme adultes. C'est le fil à la patte; comment faire désormais pour s'en passer? et peut-on vivre sans?

Des états conscients?

Ne dit-on pas plus ou moins la même chose à chaque rupture technologique ? (la voiture, le journal quotidien, le téléphone, etc.). Comme cela a été rappelé dans le webinaire de la semaine 3, l'arrivée de l'écriture posait question dans la Grèce antique, notamment car elle nuit à la mémoire et à l'exercice de la pensée (voir Phèdre de Platon).

La fabrique de l'addiction par Matt Stone et Trey Parker

Dans la saison 18 de leur série South Park, Matt Stone et Trey Parker ont fait un épisode (l'épisode 6) spécialement sur le sujet de la fabrique de l'addiction aux jeux « Freemium », ces jeux gratuits que l'on trouve sur tablette ou smartphone. L'épisode porte sur l'addiction, en expliquant aussi le point de vue des personnes en situation d'addiction, mais je ne parlerais que du modèle de fabrique de l'addiction qu'ils développent. Juste pour noter que travaillant dans l'industrie du divertissement, y compris du jeu video depuis presque 20 ans, leur point de vue mérite à mon avis d'être écouté. Voilà ce que je retire de l'épisode et que je transcris en mots à partir des images. Les jeux gratuits en ligne sont en rupture avec les jeux video traditionnels car pour ces derniers, il fallait payer avant de s'amuser alors que là un contenu gratuit est accessible directement. Mais les jeux freemium reposent sur le principe de jeu des RPG, et consistent ainsi en l'exploration d'un univers, la collecte de ressources ou monnaie dans cet univers, la dépense des items collectés qui permet l'amélioration du personnage, du matériel ou des capacités. Le succès de ces jeux reposent sur 5 principes. Le jeu doit être simple dans son fonctionnement. Il doit offrir beaucoup de compliments au joueur, pour que celui-ci se sente valoriser dans son expérience de jeu. Le jeu doit entraîner le joueur à dépenser de la fausse monnaie, la monnaie du jeu. Il doit donner la possibilité d'échanger de la fausse monnaie contre du vrai argent, comme ça le joueur oublie que ce qu'il dépense en dépensant la fausse monnaie, c'est du vrai argent. Et ainsi de suite dans une boucle presque infinie. Les créateurs du jeu doivent en faire un jeu d'attente, mais le joueur a la possibilité de ne pas attendre en payant. En somme, le jeu doit être à peine amusant, car s'il était vraiment amusant, le joueur n'aurait pas de raisons de payer. Voilà ce qui est décrit dans la première phase de l'épisode. Dans la seconde phase, Matt Stone et Trey Parker vont plus loin. En réalité, le pourcentage de personnes qui téléchargent le jeu (ce qui est gratuit) et qui vont ensuite dépenser de l'argent, est très très faible. L'enjeu pour faire de l'argent est donc de trouver les joueurs avec l'usage le plus intensif (donc les personnes en situation d'addiction) et d'en extraire le maximum d'argent. Ce qui amène des joueurs à dépenser 200 euros pour un jeu qui vaut à peine 50 centimes. Ainsi, tous les profits viennent des gens qui ont un usage problématique. Pour comparaison, 80 % des ventes d'alcool sont payées par des personnes présentant une dépendance à l'alcool, mais dans les « freemium game », le pourcentage de consommateur qui contribue au profit est encore plus restreint. Au fond, les créateurs de ces jeux en ligne soi disant gratuits, tout comme les compagnies qui vendent de l'alcool, ne s'inquiètent pas du fait que 10 % des consommateurs vont tomber dans une certaine forme de dépendance, au contraire, ils espèrent et comptent sur le fait que des personnes vont tomber dans la consommation jusqu'à l'excès et l'addiction, car leurs bénéfices viennent de ces consommateurs. Ils utilisent ainsi certains mécanismes rappelant le conditionnement Skinnerien, en envoyant des rappels aux joueurs afin de redéclencher le comportement de jeu, ou encore le ffait de donner les premières doses de jeu gratuitement, ce qui nous renvoei cette fois au comportement des dealers de drogues dites « dures ». La différence entre les vendeurs d'alcool et les vendeurs de jeu en ligne tient à la technologie elle même qui permet de suivre le mode de jeu et de dépense du joueur, ses comportements, afin de s'en servir pour l'inciter à dépenser plus. Voilà en gros les idées avancées dans cet épisode, que je vous invite à aller voir car il parle d'autres choses en rapport avec l'addiction (vous pouvez par contre arrêter deux minutes avant la fin, qui n'a plus d'intérêt par rapport à notre sujet). Je vous invite à partager vos avis par rapport à ce modèle d'explication, que vous soyez d'accord ou pas d'accord du tout, notamment si vous jouez à ces jeux et que vous ne retrouvez pas votre expérience du jeu dans cette explication. Guillaume

La fabrique de l'addiction par Matt Stone et Trey Parker

Un problème dans ces jeux (et services) est le modèle économique. La gratuité a un revers, l'omniprésence de la publicité (ciblée ou non). Pour ce qui me concerne j'avais installé un jeu de cartes - gratuit version démo - sur mon iphone, je l'ai désinstallé quand la pub est devenue trop prenante - hors de question de payer pour un jeu de carte. Idem j'ai arrêté facebook à cause de la pub - ras le bol des propositions de rencontre en ligne et hors de question que ce genre de "commerce" finance le service. Ca devient de la prostitution légale ? Remarques de vieux...

Semaine 4 / Défi : application addictogène

soyons fou

Je me lance. Si je ne me trompe pas, il a été expérimenté une visualisation d'une image mentale.Si ce système devenait plus performant et lucratif , il pourrait exister un soft payant avec abonnement (hors de prix) qui permettrais de connaitre les sentiments d'une autre personne qui serait aussi connecté . On pourrait connaitre en temps réel , l'influence de ces faits et gestes sont sur d'autres personnes. ça serait du style " tiens je viens de faire un nouveau process, je vois que l'estime de mon patron viens de monté de 3 % et que mon voisin de bureau viens de baisser de 10%" Ce concept serait bien pour du virtuel total

soyons fou

Si je comprends bien, il s'agirait d'avoir en permanence une mesure de l'influence de ses actions sur les autres. La réflexion que ça m'évoque est que quelque chose qui s'en rapproche pourrait être le lien des politiques aux sondages. Ne parle-t-on pas d'addiction aux sondages ?

soyons fou

Et oui, mais en temps réel. comme un navigateur qui tiens la barre

soyons fou

Je suis d'accord avec Yannick, c'est quelque chose que l'on entend souvent en politique, quand on dit que les hommes politiques calent souvent leurs discours sur le retour qu'ils ont des sondages ou ce que les sondages rapportent des attentes de la population. Cela étant, appliqué à des relations interpersonnelles, ce concept me semble tout à fait effrayant, puisque la technologie deviendrait un outil d'enfermement, car il ne s'agirait plus d'être soi même dans les relations avec les autres, mais ce qu'ils attendent de nous. Le voyez vous comme cela aussi? Guillaume

soyons fou

Bien sur On se sens libre libre seulement si l'on croit ne pas avoir de lien d’entrave

soyons fou

C'est sous-estimer l'esprit retord de l'être humain. Pour une appli "télépathique", il y aurait des dizaines d'applis "anti-télépathique", qui brouilleraient le signal reçu par l'appli émettrice. Soit en empêchant la lecture des émotions, soit en remplaçant une émotion par une autre simulée, si possible celle attendue par l'émetteur (un patron verrait la satisfaction et le respect de ses employés, alors qu'ils le détestent tous copieusement). Au final, on reviendrait au bon vieux cadeau physique pour prouver son affection.

soyons fou

L'ensemble devient plus séduisant comme cela, et ça me fait penser à de la science fiction. Guillaume

soyons fou

dac, il y aura toujours des rebelles dans ce monde. et il aura toujours des moutons

soyons fou

En accord avec plambin. Une appli sur smartphone qui indique le taux d'avis positif qu'ont les autres sur son look, ce qu'on dit ou qu'on fait... avec un système de capteur biofeedback (type EEG via conductivité électrique de la peau par exemple ou accessoire BCI) qui envoi ces infos en bluetooth ou wifi-direct "ouvert"à ceux qui se trouvent à portée de signal... Public : tout le monde mais surtout les jeunes. [je sais pas si j'ai été clair]

soyons fou

même sans capteur. il y a sur facebook la mention "j'aime" qui est déjà un indicateur

soyons fou

Cela rappelle la notion d' "attention whore", i.e. les gens qui cherchent en permanence à attirer l'attention, et trouvent dans le comptage des lectures / likes une mesure adaptée. On se rapproche des politiques et des sondages.

soyons fou

Cela amène tout de suite à une appli dite de confort psychique ou psychiatrique : un capteur de sensibilité à l'autre qui fait que je deviens hypermaniaque, parano, dépressif et l'appli m'indique quelle orientation suivre : stage de méditation, cours de self défense voire d'attaque ou carrément HP ...

L'addiction positive

On envisage souvent l'addiction dans son sens négatif, où l'individu est contrôlé par ses pulsions et entrainé dans une spirale auto-destructrice. On peut pourtant imaginer une addiction positive, basée sur le même principe de récompense et de plaisir, mais dans un but de réalisation personnelle et sociale. Voici un exemple d'une application logicielle. Epic-Cure : travailler en s'amusant Chaque jour, je me connecte à mon compte en ligne Epic-Cure, une application en ligne gérée par les pouvoirs publics. Je choisis parmi des "quêtes" de difficultés et d'objectifs divers ce que je vais accomplir dans la journée. Cela va de la recherche collaborative (identifier la faune marine sur 50 photos) à des services de proximité (proposer un co-voiturage, faire des courses pour une personne à mobilité réduite), en passant par des réalisations ponctuelles (un photo-montage, une traduction, un conseil technique). Chaque quête réussie me donne des points d'expérience, que je peux ensuite échanger avec de l'argent réel, selon le taux de change du moment. Je peux également utiliser ces points d'expérience pour poster mes propres quêtes, et donc me faire payer des services par d'autres "joueurs", sans passer par la case bancaire. Des quêtes épiques, où le travail à effectuer est plus long et difficile, sont également proposées. Ce sont des missions telles qu'on les entend dans le monde professionnel. Chaque quête réussie est mentionnée sur mon profil, qui fait alors office de CV. Je développe ainsi mon panel de compétences et cela me permet d'être choisi pour des quêtes conditionnées, plus lucratives. Le nombre de points d'expérience se calcule en fonction de la difficulté de la quête, mais aussi de sa rareté et si elle fait partie d'un évènement particulier. Il y a bien entendu un classement en ligne permanent, avec les meilleurs joueurs en tête d'affiche, selon divers critères. Des tirages au sort, des récompenses, des succès sont également en place, afin d'encourager les joueurs à continuer à jouer et à s'impliquer davantage dans le "jeu". A terme, toute une partie de la population (parent au foyer, retraité, demandeur d'emploi, personne fragilisée, salarié en manque de revenu) devient productive et capable à la fois de se sentir utile et d'assurer sa subsistance. Sans se sentir contraint de travailler.

L'addiction positive

Bravo mtarzaim, c'est vraiment une bonne idée! Bon, du coup je la fais à la façon Dr Jekill et Mr Hyde: Alors pour le produit numérique le plus addictogène possible, je choisis la rubrique jeu. Le produit est lancé en simultané sur le plus de supports possibles : Windows, Dreamcast,PlayStation,PlayStation 2,PlayStation Portable,PlayStation 3,PlayStation 4, Xbox,Xbox 360, Xbox One,GameBoy Color,GameBoy Advance/Game Boy Advance SP, Nintendo DS, iPhone/iPod Touch,iPad/Macintosh,Android, Windows Phone. Evidemment on est sur du gros budget. La version en ligne peut aller jusqu’à 30 joueurs en simultané. L’idée première est de flatter les pulsions que la société impose habituellement de réprimer, toutes les pulsions ! Faire sauter le vernis de la civilisation, mais en jeu ! Le nom du jeu a fait l’objet de nombreux échanges entre spécialistes du trash mais a abouti à quelque chose d’assez soft pour ratisser le plus large possible : « No limit !». Mais pour le design on n’a pas fait dans le trash : on a embauché les meilleurs, la qualité des images est époustouflante, tous les pros le reconnaissent, et le son est top : un des meilleurs groupes du moment a été très bien payé pour enregistrer spécialement plusieurs morceaux, en sortie exclusive. A chaque version, un nouveau groupe, un nouveau style. Nos campagnes de lancement visent tous les médias, tous les affichages possibles. Bien sûr c’est interdit aux moins de 18 ans mais notre marché vise tout le monde, en fait il n’y a pas d’âge. L’adolescence est l’âge où l’on teste ses limites : en vérité ce jeu se vend aussi beaucoup aux moins de 18 ans. Sur la première version on a même délibérément laissé faire des piratages faciles, question que les plus jeunes y prennent goût : c’est un bon investissement pour l’avenir ! En fait, plus on commence jeune, mieux c’est ! D'après un calcul basé sur une heure de jeu à « no limit ! », la somme des peines encourues pour les infractions réalisées s'élèverait à deux peines de prison à perpétuité assortie de 55 années de prison, cinq années de suspension de permis et 8 millions d'euros d'amende. Le pied pour les jeunes révoltés comme pour les vieux désabusés : vivre sans temps mort, jouir sans entrave ! La jouabilité est très variée, c’est une de nos forces : le jeu mélange, action, aventure, conduite auto et jeu de rôle. Les thèmes sont délibérément tabous, comme la violence, le vol, le crime, le viol, le deal, le proxénétisme. Chaque jeu permet en effet d'incarner un criminel que l’on se construit, un avatar maléfique en quelque sorte, évoluant dans une métropole, ou même parfois un état. Il doit remplir des missions de tous types pour toutes sortes de personnes, pour se faire un nom dans la ville ou pour toute autre raison, telle que la vengeance ou l'ambition du pouvoir ou le proxénétisme ou la mission démoniaque. Dans les versions les plus récentes, le jeu s’adapte en temps réel aux fantasmes du joueur, avec cela on a explosé les scores ! Les missions, variées et multiples, sont données par des commanditaires que le joueur doit aller rejoindre dans toute la ville. Assassinats, vols de voitures, viols, déstabilisation d'un gang adverse, et autres crimes plus importants sont de la partie. Le joueur est souvent amené à conduire des véhicules, évidemment dans l’irrespect des règles, à provoquer une fusillade, ou à faire des courses de rue. Il arrive également que le joueur fasse des missions nécessitant un transport aérien, comme un avion ou un hélicoptère. Il existe également des missions secondaires, non essentielles au scénario (éparpillées dans toute la ville) que le joueur peut réaliser, comme des courses de motos, des cambriolages, des viols ou des livraisons plus ou moins illégales. Le joueur est impliqué dans un scénario, et au gré des événements qui se déroulent en ville, les missions du joueur font avancer le scénario. Ces missions lui apportent également des récompenses, comme le déblocage de zones de la ville, des nouvelles armes données par les commanditaires ou de l'argent, qui permet de multiples possibilités, comme acheter de nouvelles propriétés. Le joueur peut intervenir dans l'histoire de la manière qu'il souhaite. Il est aussi possible de vagabonder dans l'univers du jeu sans se soucier de l'histoire, et d'interagir avec ce qui vient : obtenir des véhicules comme des voitures, des vélos, et parfois même des trains. Il peut aussi, par exemple, tuer une petite vieille dans la rue ou écraser des passants s’il est énervé ou autre… Si le joueur commet un meurtre, les forces de police le rechercheront plus ou moins activement, en fonction de son niveau de criminalité. Le joueur est cependant régulièrement confronté aux autorités : étant donné que la majorité de ses actes sont illégaux, il est très souvent en délit de fuite et plusieurs moyens astucieux (discrétion, camouflage de la voiture, « acheter » la police) permettent d'échapper aux forces de l'ordre ou aux unités d'intervention. Le système de port d'armes est un système de roue qui permet de passer d'une arme à l'autre facilement. Cela permet aussi au joueur de porter plusieurs armes du même type à la fois. De plus de nombreuses armes non conventionnelles sont aussi disponibles (comme le taser ou le bidon d'essence) et les armes conventionnelles sont pour la plupart, avec rajout de torche ou de silencieux, augmentation de la capacité du chargeur, etc. Les tirs sont précis et les objectifs faciles à cibler. Les adversaires se blessent exactement là où on a voulu les atteindre. Le personnage principal triomphera souvent à la fin de l'aventure, une fois toutes les épreuves passées. On peut aussi simplement se promener et détruire pour le plaisir. Les actions se déroulent dans différents lieux, villes, campagnes ou autres inspirées de manières très réalistes de lieux existant. Les cinématiques sont en 3D et en HD. La violence est décrite avec glamour et les agressions sexuelles sont le plus sexy possible. Mais c’est un univers machiste où les femmes sont au service de l’homme : nos joueurs sont en forte majorité des hommes, mais nous sommes en train de mettre au point une version pour la délinquance et la perversion féminine. Après cela nous mettrons au point une guerre où tout sera possible comme dans une vraie guerre, le joueur sera invité à construire lui-même son scénario, le plus réaliste possible. On pourra bien sur tuer avec des drones et torturer dans des prisons spéciales. Notre jeu est le meilleur au niveau qualité reconnue par les professionnels à 97%° et nous avons pour l’instant vendu plus de 150 millions d’exemplaires à travers le monde. Nous avons fermement l’intention de doubler ce chiffre rapidement. *Bon, pour ceux qui n’ont pas pigé, ce jeu existe vraiment, j’ai juste forcé le trait par-ci par-là en rajoutant quelques trucs sexuels et quelques considérations supplémentaires. Quoique le machisme et le mauvais traitement des femmes y existe clairement aussi. Ce jeu c’est GTA (Grand thief auto). Les lignes qui précèdent sont en grande part des extraits de la définition de GTA (probablement écrite par les concepteurs) sur Wikipedia… Il s’est effectivement vendu à plus de 150 millions d’exemplaires. Cela pose quelques questions morales : par exemple, le précédent maire de New York a tenté d’éviter que sa ville soit dans le scénario car il estimait que cela en donnerait une mauvaise image, mais… New York est bien dans le jeu… Est-ce le jeu le plus addictogène ? Je ne crois pas. Le circuit de la récompense, me semble-t-il n’est pas assez utilisé, on pourrait faire mieux. Et puis le jeu le plus addictogène devrait séduire toutes les tranches d’âge et les deux sexes : pas facile… Mais flatter les pulsions primaires et l’illusion de toute puissance, c’est sûr, c’est un bon « spot »…*

L'addiction positive

Grand Theft Auto (pas Grand Thief Auto). GTA3 était il me semble le 1er jeu en monde ouvert, soit une révolution à l'époque. Est-ce ça ou bien la violence qui a fait le succès phénoménal du jeu ?

L'addiction positive

Bonjour Matarzaim, J'ai été voir sur Epic-Cure, en tapant sur Google, mais j'ai l'impression de ne pas être tombé sur le bon site. Ce que j'ai trouvé n'a pas l'air vraiment géré par les pouvoirs publics. Comme le concept m'intéresse, pourriez-vous me donner un lien vers le site dont vous parlez? Guillaume

Semaine 5 / 1.1 Q1 : Attention et marketing

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre contribution. Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

Par rapport à la publicité "traditionnelle", la publicité sur internet est totalement dérégulée et chaotique. C'est une captation que je dirais invasive et massive. Notre espace privé est souillé, gâché par les techniques commerciales de captation de notre attention (pourriels dans les boites mail). L'attention n'est pas seulement captée dans les temps morts, les temps de "disponibilité" (par exemple comme sur un quai de métro ou entre deux émissions de télé), elle est captée **par détournement** de la tâche que je suis en train de réaliser : lecture d'un article sur un journal en ligne, acte d'achat sur un site, recherche dans un moteur etc… Elle oblige à une réelle résistance, entraîne une charge cognitive supplémentaire et elle est, de ce fait, épuisante. **Invasive, massive, "souillante", épuisante** … Ces caractères sont si négatifs qu'on ne peut pas la subir, on cherche absolument à la fuir (lecture zen, abandon de la boite mail pour le compte Facbook ou le SMS etc…). Je crois que presque tous les internautes adoptent des stratégies défensives et de techniques de fuite devant ces pratiques publicitaires massives- invasives. Du coup, les publicitaires adoptent des nouvelles stratégies, non plus de captation, mais de rétention de l'attention. La captation se fait **séductrice et intrusive** : capter l'attention par le scandale ou par une vidéo "créative" qui va faire du buzz (on revient vers un certain Design). Identifier les produits que l'internaute recherche pour lui présenter des publicités ciblées (et bientôt même anticiper son désir). Si on se laisse prendre, on peut passer beaucoup de temps à surfer sur ces publicités ciblées qui deviennent **chronophages** et font de nous des mono maniaques de la comparaison de produits... du retweet et du commentaire des trucs sans intérêt… L'économie de l'attention finit par produire une société de la dispersion.

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

Mouais, souvenons-nous que la marque Citroën fut affichée sur la Tour Eifel. Souvenons-nous des couloirs de métro tapissés d'une même affiche. C'est au moment de passer à l'acte d'achat qu'il convient de prendre un peu de recul, ce qui n'est pas insurmontable.

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

on est bien dans une société de consommation! on capte notre attention par tous les moyens dans le but d'acheter! les publicités quelque soit le type de public visé, on reste tout de même attentif...

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

Suis-je insensible à la publicité ? Je ne connais pas la pub sur Facebook ou twitter mais celle à laquelle je suis exposée (surtout quand je vais consulter mes mails...ou alors les recommandations "les clients ayant acheté cet article ont également ... ) reste discrète. Bien sûr, ce sont des publicités ciblées, mais j'ai rarement l'envie d'aller cliquer dessus pour en savoir plus. Uniquement quand je suis sur internet pour trainer comme je trainerais devant la télé... si j'avais la télé ! La publicité que je vois quand je conduis ma voiture m'est souvent plus pénible... Je m'expose sans doute moins que d'autres en ayant un usage mesuré du numérique... Je pense également qu'il est impossible de faire réellement deux choses intellectuelles en même temps : je ne peux pas écouter de la musique en écrivant, discuter en écoutant la radio... Cela se fait forcément au détriment de l'une ou l'autre des activités. Forte de cette conviction, si je suis en train de faire quelque chose sur internet, je fais cette chose, pas autre chose ! Je ne me sens pas passive par rapport à cette publicité : j'ai ma part à faire. Peut-être pourrait-on dire que je l'ignore activement ?

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

Je pense que notre attention est captée par le prisme du registre affectif. Si le monde numérique a tant de succès c'est parce qu'il sait surfer sur les émotions des gens. Non seulement les personnes se sentent exister(ex:face-book et les like...),mais en plus elles permettent à leur narcissisme de se déployer( cf toutes les photos que les gens mettent sur eux ou leur enfants), ou de se sentir un super héros et de jouer avec la peur , le stress sans véritables dangers(les jeux),comme de se sentir indispensable (connexion permanente avec le tel), mais aussi "dans le coup" avec les derniers gadgets ou objets high-tech Cette série d'exemples pourrait s'étoffer encore et encore mais l'idée est de pointer du doigt que l'attention est captée car le numérique donne à la personne le sentiment d'être quelqu'un , de bien, qui plus est! Elle donne aussi l'illusion du bonheur et que c'est à l'extérieur de nous que la réponse du bien être va se trouver. De ce fait, le monde numérique fait perdre de vue à tout à chacun que la vraie sérénité ne peut venir que de soi. Le numérique externalise le sentiment de bonheur et trompe notre société. Mais cette illusion est vendeuse car rapide et économique. Cela m'amène à un autre argument notre attention est aussi captée car une illusion de gratuité subsiste souvent.

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

Personnellement, je me suis abonné au journal Le Monde, et j'ai cessé de consulter Google News. J'ai appris à me méfier de la gratuité.

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

Je rejoins le premier message (catherine125) à propos de la publicité invasive, qui s'invite à tout moment, et surtout au moment où on la désire le moins (le site maxisciences avec ses pubs popups à foison est un bon exemple de contenu gaché par la pub intrusive). En revanche, la résistance s'opère en permanence du coté de l'utilisateur. Des bloqueurs de pop-ups aux blackslisters, des vpn aux sites de téléchargement direct, chacun tente d'échapper à ces invasions avec des outils toujours nouveaux et pas toujours légaux (l'essor du piratage vient en partie de la fuite face aux plages de pubs imposés dans les médias traditionnels). Le succès du logiciel capTVty est une illustration de cette résistance active du spectateur envers le publicitaire. Je pense que, tout comme avec la télévision, notre cerveau s'habitue aux sollicitations publicitaires, et fini soit par concevoir des stratégies de contournement, soit par les ignorer purement et simplement. Faites le test : après une page de pub à la télé, essayez de vous souvenir de ce que vous avez vu ... et du produit dont il était question. Vous aurez bien du mal à citer un produit ! Ce mécanisme de sélection d'attention est aussi à l'oeuvre sur Internet.

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

Je trouve que la publicité envahit de façon massive tout d'abord notre messagerie. J'ai essayé d'en supprimer une en cliquant sur le lien adapté, et résultat cela a planté ma messagerie. En téléchargeant adblock sur mes moteurs de recherches j'en ai eu beaucoup moins. Pourtant l'on nous conseille de ne pas les enlever car elles protègent nos identifiants... C'est un nouveau marketing. Ainsi moins de papier utilisé, (il est vrai que le web répond à l'écologie moins de papier = moins d'arbres coupés), moins de courrier dans les boîtes aux lettres. Du coup, moins de volume à distribuer pour la poste. Mais trop de publicité sur nos écrans peut être considéré comme du harcèlement publicitaire. Essayer de proscrire un message publicitaire sur votre messagerie. Vous avez encore plus de messages qu'avant. Et certains n'hésitent pas à nous faire gagner des lots à des jeux auxquels l'on a jamais participé.

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

Je me permets de renvoyer à nouveau à un article qui me semble important et encore d'une grande actualité et qui explique qu'au delà d'une économie de l'attention, google a mis en place une autre économie, une économie du langage et que cela va très loin... http://www.monde-diplomatique.fr/2011/11/KAPLAN/46925

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

Bonsoir, Merci pour cet article fort intéressant! Cordialement, Stéphanie

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

Passionnant !

Décrivez la manière dont l'attention est captée dans le monde numérique.

l attention du monde numerique fonctionne sur le buzz celebre exemples youtube facebook avant on lisait des journaux on l information en decale maintenant avec ses outils on a l information en live plus c est trash plus ils ont de vues la publicite fonctionne comme le mode de la tele ils font occuper les esprits a consommer certains sites les publicite sert payer l entretien du serveur derriere ces publicite se cachent des fameux virus cheval de troie malwares et surtout les coookies veritables espions pour connaitre nos gouts

Semaine 5 / 1.2 Q2 : Quelle est la marchandise ?

Quelles sont les stratégies économiques des acteurs majeurs du web ?

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre contribution. Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Quelles sont les stratégies économiques des acteurs majeurs du web ?

On commence à savoir que les groupes tels que Facebook ou Google s'enrichissent grâce à la commercialisation des données personnelles de leurs "clients". Ces données personnelles sont revendues en masse à des entreprises qui les exploitent à des fins publicitaires. Pour rendre ces données exploitables, les géants du net utilisent ce que l'on appelle des technologies de Big Data. Généralement, nous contrôlons mal les données que nous livrons. Nous ne savons ni quelles données sont collectées, ni comment elles le sont, ni à quelles fins elles le sont, ni comment ces groupes en tirent parti.

Quelles sont les stratégies économiques des acteurs majeurs du web ?

Une nébuleuse inquiétante... C'est d'autant plus inquiétant que nous ne connaissons pas le dessous des cartes, que les dangers du numérique se dévoilent au fur et à mesure que nous l'utilisons et que cela fait finalement peu de temps que le commun des mortels a accès à toutes ces technologies. Nous n'avons pas bénéficié d'un apprentissage structuré d'utilisation de ces technologies. On ne nous a pas expliqué les règles : elles sont en train d'émerger... ce MOOC en est la preuve : c'est à construire ! C'est un outil tellement révolutionnaire qu'on ne peut sans doute pas le penser avant de l'avoir expérimenté... Le MOOC auquel j'ai participé sur la plateforme FUN précédent celui-ci, est intitulé "***soyez acteur de la sécurité de l'information*".** Très bien fait, un ton très pédagogue : j'ai beaucoup appris sur "ma vie numérique" et les traces qu'elle pouvait laisser à mon insu... Malgré les précautions que je prenais... Je ne peux qu'encourager tout le monde à participer à la prochaine session... C'est un début de "permis de surfer sur internet" pour notre propre sécurité. On nourrit Big Data certes... mais en sachant comment et de quoi ! Google, Apple, Facebook, Amazon.com font partie d'une nébuleuse inquiétante, du fait de la situation de monopole qu'elles ont ou veulent avoir... Et c'est effectivement porté par l'apparente gratuité d'internet. C'est d'autant plus confus qu'il y a, à mon sens, une vraie gratuité : celle de la communauté d'internautes partageant des contenus divers sur la toile, allant d'articles sur le TARDIS à des photos d'éclipses solaires... Mais le soubassement matériel (il y en a quand même besoin !) appartient à qui ? je recommande la lecture du livre suivant : ***Les nouvelles superpuissances : Google, Yahoo, Facebook, Wikipedia, Apple, Twitter, Microsoft.** de Daniel Ichbiah, paru aux éditions First en 2013.* Excellente introduction à ces questions complexes

Quelles sont les stratégies économiques des acteurs majeurs du web ?

Oui, il devient indispensable que le plus grand nombre sache ce qui se passe et ce qui est fait ou peut être fait de nos données. D'après ce qu'il me semble avoir compris par recoupements, toute trace déposée chez Google ou Facebook ou d'autres Amazon et Apple et d'autres encore est enregistrée et peut être conservée indéfiniment et être recoupée avec les autres informations nous concernant ou concernant ceux avec lesquels on correspond. Bon, c'était pareil avec le téléphone, mais on avait mis des lois pour encadrer cela justement. Un intervenant à Nantes (désolé, j'ai oublié son nom) disait récemment qu'en moyenne il y aurait actuellement l'équivalent d'une douzaine de pages sur chacun d'entre nous inscrit chez Google. Ces traces, que l'on aurait accepté de donner avec notre consentement en signant un contrat délibérément illisible basé sur un raisonnement du droit américain, sont clairement utilisées commercialement et revendues à des boites pour faire de la pub selon un système très élaboré. 90 (ou 95 % ) des bénéfices de Facebook viendraient de la pub faite avec nos données "gratuites". Gratuites pour nous, lucratives pour eux, c'est clair! Il faut bien qu'ils vivent diront certains, oui mais là l'enrichissement est tel qu'il rachètent tout ce qui traîne, tout ce qui se fait d'inventif dès qu'ils le trouvent! Et puis comme disait une participante auparavant: on découvre cela petit à petit, le manque de transparence est délibéré... Nous leur sommes transparents, ils nous sont opaques! Bizarre non?

Quelles sont les stratégies économiques des acteurs majeurs du web ?

Les données recueillies servent principalement au profilage du client, et la revente de ce profilage à des organismes divers et variés (majoritairement publicitaires) afin de cibler plus finement le message publicitaire à délivrer. Ceci étant, ces données n'ont de valeur que si elles sont à jour ... et justes. Or, un utilisateur aura tendance à donner de fausses informations, ou de ne pas mettre à jour certaines données, volontairement ou non. Rendant tout le processus nettement moins fiable que ce que ses vendeurs prétendent. Pour ma part, je considère ce problème comme une bulle spéculative : on donne trop d'importance à sa valeur supposée, oubliant que sa valeur réelle repose avant tout sur du vent. Quand les entreprises se rendront compte qu'elles payent cher un Big data qui ne tient pas ses promesses, le système s'écroulera de lui-même.

Quelles sont les stratégies économiques des acteurs majeurs du web ?

Voici un exemple avec les logiciels libres: http://www.cairn.info/revue-francaise-de-socio-economie-2008-1-p-47.htm

Semaine 5 / 2.1 Q3 : Nos traces

Quelle protection de la vie privée face aux attaques contre nos libertés numériques ?

[Texte de l'intervention du sociologue Antonio Casili][1] lors du colloque La France dans la transformation numérique : quelle protection des droits fondamentaux ?, Conseil d’État, Paris, 6 février. [1]: http://www.bodyspacesociety.eu/2015/02/07/7013/

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre contribution. Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

Les traces restent dans un système de données durant un certain nombres d'années, je suppose que le système a une certaine capacité de stockage, qui ne permet pas de stocker indéfiniment des données. Mais comme tout évolue je suppose qu'on tend vers une maximisation des capacité gestion

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

Et qu'en pensez-vous? Personnellement, cela me fait un peu peur de savoir que chaque recherche que je fais (personnelle, professionnelle...) laisse une trace dont on ne sait qui en a l'accès, durant combien de temps... Cordialement, Stéphanie

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

Faire mémoire des traces numériques Par Louise Merzeau, maître de conférences à l’université Paris Ouest Nanterre, membre du lab article (un long) à lire http://www.ina-expert.com/e-dossier-de-l-audiovisuel-sciences-humaines-et-sociales-et-patrimoine-numerique/faire-memoire-des-traces-numeriques.html

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

1)Les procès d'intention,les rumeurs ,les "on-dit",les interprétations sauvages de comportements ,les verbatims ,les propos plus ou moins déformés etc ....ne sont pas nés avec le numérique! 2)comme mentionné suite aux difficultés des services de renseignements d'analyser les données ,il y a une grosse limite finançière ,humaine ,pratique à leur exploitation 3)si vous vous appeléz DSK et potentiellement futur Président de la République vous avez intérêt à être muet ,caché ,et à ....effacer tout votre passé ???

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

---**Quelles traces ?**--- Nous laissons des traces de deux sortes : volontaires et involontaires. Volontaires lorsque nous partageons activement du contenu sur le Web (blogs, photos, liste d'amis …) et involontaires lorsque nous utilisons Internet (recherche, achats en ligne, consommation de services). --**Prostitution informationnelle ?**-- A mon avis, il est illusoire de penser qu'en ne partageant "pas trop", nous ne laissons "pas trop" de traces : même une utilisation "passive" laisse beaucoup de traces. Nous savons que nous laissons des traces, donc nous sommes des victimes consentantes. Certains vont jusqu'à dire que nous faisons de la "prostitution informationnelle" : nous acceptons de vendre nos données intimes contre un service ([cf Dominique Maniez sur le site Mes débats][1]). Prostitution, dealers : le trafic des données ne paraît pas très net… --**Identité numérique…**-- Personnellement, je n'aime pas beaucoup partager sur Internet, sans doute parce que je suis un dinosaure né avant les réseaux sociaux. J'aime partager telle chose avec telle personne dans un chouette café — et non tout et rien avec tout le monde et personne, nulle part dans le cloud. La frontière avec les "digital natives" n'est pas technique mais culturelle. C'est une culture de la vie privée contre une culture du réseau, une culture de l'ombre contre une culture de l'exposition. Autant je suis fascinée par l'archive qui est *une mémoire de soi structurée*, autant je suis mal à l'aise avec l'idée de traces numériques qui évoquent *une mémoire de soi atomisée*. D'ailleurs, chacun essaie de structurer ses traces sur internet pour en faire une *identité numérique* et résister à l'éparpillement. Mais ce faisant, nous donnons encore plus d'informations aux "dealers". Les réseaux sont-ils le lieu d'une citoyenneté plus épanouie ? Je crois que la culture des réseaux peut dynamiser la vie politique, comme elle peut aussi la noyer dans l'excès de commentaires ou les effets consensuels des "like". --**Snapchat réinvente la fugacité !**-- Le succès de snapchat montre aussi que les gens - et notamment les jeunes gens - sont très friands et demandeurs d'une application qui ne laisse pas de traces (les images partagées ne sont visibles que quelques secondes et disparaissent des serveurs). C'est une application qui fonctionne sur le même régime que la parole : ça s'efface en se disant (voyant), c'est transformé, interprété par le récepteur, ça s'intersubjective. Alors que la trace nous objective, elle est figée dans le réel de la toile. (Voir l'article [Snapchat. Le présent absolu][2], par André Rouillé, spécialiste de la photographie) --**Bio-pouvoir ?**-- Nous sommes pris dans le jeu de structures informationnelles qui sont au coeur d'une nouvelle forme de capitalisme. Nous sommes dépendants et captifs d'internet, de nos réseaux, de nos objets… mais est-ce pire qu'avant où nous étions dépendants et captifs d'autres structures, d'autres médias, d'autres formes de pouvoir ? Il est vrai qu'avec les objets connectés, la puissance d'un bio-pouvoir, thématisé par Foucault bien avant l'émergence de l'ère numérique, va être encore accrue : tendance à normaliser nos corps et nos comportements par des injonctions médicales permanentes ayant pour but de nous rendre plus performants, plus productifs et conformes aux visées du capitalisme — comme l'héroïne et ses objets connectés dans la nouvelle (semaine précédente de ce MOOC). --**Big Holes**-- … Et alors ? Nous inventerons de nouvelles formes de résistance ! Je ne me sens pas inquiète. D'autant plus qu'il ne faut pas surestimer ces structures informationnelles : 90% de la population mondiale est encore exclue du "numérique"… Cela fait des "big holes" dans les "big data". [1]: http://www.mesdebats.com/medias-tech/403-donnees-personnelles-doit-on-accepter-detre-trace-par-google-et-facebook/5735-google-fait-de-la-prostitution-informationnelle-on-vend-nos-donnees-personnelles-contre-un-service [2]: http://www.paris-art.com/art-culture-France/snapchat-le-present-absolu/rouille-andre/440.html#haut

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

Avouons que nous sommes des victimes consentantes. Si nous voulions être protégés, il se développerait des applis allant dans ce sens. Il existe déjà "JustDelete.me" qui efface "presque tout".

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

Les avantages sont de pouvoir surveiller les hackers du numérique, par exemple. Les inconvénients, c'est l'utilisation des données personnelles à des fins commerciaux ou illégaux. De plus en plus, les citoyens sont informés et avertis dès leur jeune âge sur leurs droits et devoirs au numérique, et également savoir au maximum se protéger des dangers du numérique.

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

Victime avertie ? http://jeanlucraymond.fr/2014/11/22/ce-que-google-les-reseaux-sociaux-et-les-services-en-ligne-savent-de-vous/ Un petit exercice auquel je me suis livrée en suivant les points proposés dans ce blogs.

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

Lien indispensable

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

J ai installé ghostery sur mon navigateur et les résultats sont vertigineux. sur une page internet je peux avoir plus de vingt "observateurs" en même temps...

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

l internet est un avantage on a le monde a porte de click la face cachee du net est un outil d espionnage le danger c est que certains etats veulent regir le net exemple le streaming illegal sous pretexte que l industrie du cinema est en crise les etats unis ont imposer des lois repressives une serie de lois ont ete votes pour que les etats controlent le net alors qu on debut internet etait un espace de liberte.nous sommes dependant du net exemple l administration en ligne maintenant nous serons obliges de declarer les impots en ligne

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

C est déjà le cas pour les entreprises en effet . mais cela représente un gain de temps et des economies afin que des agents ne fassent pas la saisie manuelle ? bien entendu il faut laisser une autre alternative de paiement.. pour moi ce n est qu un changement de support entre la déclaration en ligne ou la déclaration papier ,ça ne touche pas à ma liberté.. A l administration de permettre à chacun d accéder au numérique par contre et de continuer un accès physique direct indispensable parfois

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

http://mobile.courrierinternational.com/revue-de-presse/2015/02/06/pour-les-internautes-chinois-fini-l-anonymat Les traces ont l air d interresse le gouvernement chinois...avec les vrais noms...... (SSuite à la question de l usage du numérique par des régimes totalitaires abordée dans le Webinaire )

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

http://www.mediapart.fr/journal/france/060215/le-blocage-administratif-des-sites-entre-en-vigueur-en-france Si quelqu'un un à un abonnement média part ou un autre article au sujet du décret autorisant la censure sans le juge ? Merci

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

Un article en anglais sur un livre qui vient de sortir sur la société et les algorithmes : The Black Box society http://www.newrepublic.com/article/120987/pasquales-black-box-challenges-digital-sphere-run-algorithms

Que savez-vous et que pensez-vous du devenir de nos traces numériques ?

Que deviennent nos données confiées à Internet ? voici quelques liens pour répondre à vos interrogations : WWW.cnil.fr/linstitution/actualité/article/article/mort-numérique-peut-on-demander-leffacement-des-informations-dune-personne-decedee www.lenetexpert.fr La protection de nos données confiées à internet est la grande préoccupation en 2015. Il convient effectivement de s'en préoccuper. J'ai lu un message hier informant que Facebook permettrait à un proche de continuer à faire vivre notre fan page après notre décès. Il faut être raisonnable, ne confier à internet des informations qu'après réflexion (comment peuvent être exploitées les renseignements que je laisse sur internet? par qui, pourquoi ? ) Aujourd'hui les objets connectés se développant à grande vitesse et se multipliant, nos données personnelles n'auront de cesse d'être exploitées à des fins commerciales, statistiques, ou autres. Tout nous incite à laisser des renseignements (photothèques, réseaux sociaux, sites marchands, jeux). Avec l'apparition des fablabs, les incubateurs se diversifiant (Créodis, Orange, et bien d'autres) les start-up ont le vent en poupe pour développer applications diverses, dont celles de la protection de nos données.

Semaine 5 / 2.2 Q4 : Cadre légal

Réfléchissez au rapport qu’entretiennent les grandes entreprises du numérique avec la loi des états.

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre contribution. Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Réfléchissez au rapport qu’entretiennent les grandes entreprises du numérique avec la loi des états.

Pour moi il est clair que les grandes entreprises supranationales du numérique, comme la plupart des multi-nationnales, font fi au maximum des lois des états, sauf peut être ce celles des Etats Unis où la plupart sont implantées. Le respect de la vie privvée est ainsi bafoué et les règles économiques détournées. Voici en complément une citation extraite de l'ouvrage récemment paru de Fred Turner intitulé "Aux sources de l'utopie numérique." : "Chez Google, la différence entre les revenus des chefs et ceux des employés – dans les cuisines par exemple – est proprement inhumaine. Or, il y a beaucoup de gens dans les cuisines de Google. Aux dernières nouvelles, ils gagnaient 12 dollars de l’heure. Ce qui signifie qu’ils ne peuvent pas avoir d’assurance maladie, les compagnies d’assurance la leur refusent avec un salaire pareil. Or, ils travaillent dans l’entreprise la plus riche d’Amérique. L’Etat fédéral n’agit pas. Car Google a œuvré très finement et a convaincu les politiques qu’il est une entreprise à part, l’avenir de l’économie. Google passe son temps à dire aux politiques : “ Vous ne comprenez rien à ce que nous faisons. Nous, on est en train de changer le monde. Laissez-nous tranquilles. ” Et puis la Californie, c’est à 3 000 km de Washington. C’est très loin. Presque en dehors du pays. Et Google utilise ça avec beaucoup d’habileté. C’est comme une nouvelle frontière. -Si vous arrivez à apparaître comme le héros du rêve américain le plus profond, qui va oser vous défier ? Qui va oser vous imposer des règles ?- » (c'est moi qui souligne)

Réfléchissez au rapport qu’entretiennent les grandes entreprises du numérique avec la loi des états.

La différence entre une entreprise qui réussit et une entreprise qui échoue tient à la capacité de la première à exploiter à son avantage son environnement. Dans le cas de la législation, une "bonne" entreprise contournera un maximum de lois afin de gagner des avantages déterminants sur ses concurrents. Dès lors, seules les entreprises les moins respectueuses de la loi (ou celles qui savent le mieux en exploiter les failles) perdureront. C'est un principe de sélection naturelle : le plus adapté survit, les autres disparaissent. D'où la quasi-domination de sociétés sans scrupule sur le marché mondial. Toutes les entreprises moins agressives se sont faites "mangées". Cela signifie également qu'on ne peut reprocher à une entreprise de contourner la loi à son avantage, car elle y joue son existence. Soit elle gruge, soit elle disparait. On ne peut donc pas imposer aux entreprises des carcans législatifs toujours plus restrictifs, tout en les laissant dans un environnement économique qui favorisent les coups les plus tordus. Il faut repenser un système économique qui soutient les entreprises respectueuses des lois, au lieu d'un système qui favorisent celles qui savent contourner les-dites lois. Pour en revenir au sujet de base, les lois des pays ne sont pas toujours positives. On le voit avec la relation "compliquée" qu'entretient Microsoft (ou Google) avec la Chine. Ou les déboires de Netflix en France avec sa chronologie des médias ubuesque (taillée sur mesure pour les majors de l'audiovisuel français, un autre exemple de lobbying economico-législatif). Youtube ne respecte pas toujours la loi de certains pays totalitaires, de même que Facebook, notamment en période révolutionnaire (cf les révolutions arabes). Il faut relever enfin que si les multinationales délocalisent leur siège social dans les paradis fiscaux, c'est que ces paradis fiscaux en profitent eux-aussi. Ce qui est un inconvénient pour un pays devient un avantage pour un autre. En conclusion, je considère qu'il est trop manichéen de penser "entreprise qui viole la loi = mauvaise entreprise". La réalité est beaucoup plus contrastée, car on demande à une entreprise mondialisée d'être à la fois la plus performante et la moins agressive ... en fonction de l'appréciation de chacun et des opinions du moment.

Réfléchissez au rapport qu’entretiennent les grandes entreprises du numérique avec la loi des états.

Bonjour, Je trouve votre analyse intéressante mais la comparaison avec la selection naturelle me gène beaucoup, dans la mesure où le "darwinisme social ou économique" est une véritable entorse à la théorie de Darwin, comme l'explique dans ses livres Franz de Waal, car cela tend à naturaliser (biologiser) des choses qui ne le sont pas, puisque tout ce qui touche à l'économie est culturel. Guillaume

Réfléchissez au rapport qu’entretiennent les grandes entreprises du numérique avec la loi des états.

Philosophie Magazine a publié en octobre 2014 un numéro sur la Silicon Valley. On y trouve notamment un article sur --Patri Friedman--, ancien ingénieur chez Google et petit fils du libertarien Milton Friedman. Anarchiste, cet ingénieur promeut la création de plateformes marines émancipées de la tutelle des Etats où l'on pourrait expérimenter de nouvelles formes de société et de rapports d'échanges. Ce type d'ambition montre assez bien l'horizon utopiste et libertaire - voire libertarien - dans lequel s'inscrit le développement de ces nouvelles technologies et la logique économique qui les accompagne. …. --«Il y a tellement de choses importantes et enthousiasmantes que nous pourrions faire, mais nous en sommes empêchés parce qu’elles sont illégales»--, déplorait Larry Page, fondateur de Google …. [lire la suite sur les îles flottantes ultra libérales][1] [1]: http://www.humanite.fr/patri-friedman-petit-fils-de-flotte-en-eau-ultraliberale-550733

Réfléchissez au rapport qu’entretiennent les grandes entreprises du numérique avec la loi des états.

Elles se doivent d'être dans une communication permanente pour avoir des rapports efficaces, communicationnels pour échanger sur ce qu'elles ont le droit de faire, et comment le faire, et surtout des organismes sont là aussi pour vérifier qu'il ne suffit pas de le dire et de faire semblant de le faire, pour défendre les intérêts des internautes. L'assemblée nationale travaille sur le sujet. Le CNNUM (conseil national du numérique) Le CIGREF.fr (réseau pour les entreprises) publie un rapport.voir également le site : www.forum-modernites.org Pour plus d'informations

Semaine 5 / 3.1 Q5 : Quelle philosophie pour les acteurs du numérique ?

sur-investissement numérique

BSR,Au fil de ce Mooc ,m'apparait de plus en plus clair que son thème l'addiction n'est qu'un aspect de la problématique plus vaste du sur-investissement numérique,aux conséquences de plus en plus visibles: 1)pour les organisations :investissements inutiles ,ruineux ,improductifs,extravagants 2)pour le travail:re-taylorisation à outrance ,isolement ,atteintes à la santé, 3)pour la nation :protection cyber-attaque,controle (impossibles,sauf comme alibi)des données 4)pour les familles :dislocation des liens "naturels",symbole de l'excès de photos au détriment de la vérité de l'instant vécu 5)pour la culture:rabaissement à des scénarios débiles ,formatés,ré-itérés en permanences numérisés 6)pour les services de santé,débauche d'examen numériques inutiles 7)pour l'économie :low-cost partout pour compenser les sur-couts du numérique 8)pour l'individu :low-cost sur ses vrais besoins pour compenser les sur -couts du numérique ETC.... donc pour moi le mal ce sont les surinvestissements,au détriment d'autres besoins fondamentaux ,alimentation saine ,loisirs conviviaux ,créations,innovations sociales politiques ,liens sociaux ,relaxation psychologique ....ETC

sur-investissement numérique

Bonsoir Jean Pierre, Je suis d'accord avec vous, le numérique présente une problématique plus vaste que l'addiction, bien qu'elle soit tout à fait sérieuse. Ce sur-investissement m'apparait comme un problème politique, au sens où il concerne l'ensemble des citoyens, et au sens où des lois doivent venir pour entourer le développement des technologies numériques. Cela me semble aussi important qu'urgent quand on voit la vitesse d'expansion de ces technologies et les desseins qu'ont les grandes compagnies qui les développent (cf. post Nos données sont vendues). La question est donc: mais qu'attendent les hommes politiques pour légiférer? Guillaume

sur-investissement numérique

Légiférer dans quel sens ? :3 Car pondre des lois revient à faire un "choix éditorial" : décider à priori de ce qui doit être obtenu et de ce qui doit être interdit. Il faut donc que nos politiques puissent déterminer le meilleur chemin possible, en sachant à l'avance quelles découvertes doivent être découverte. Or, nous savons comment ce chemin est décidé 99% du temps : sous la houlette des lobbys qui financent leur campagne. L'intérêt d'une non-législation, c'est que toutes les directions deviennent possibles, et qu'il est donc difficile de contrôler le résultat final selon son propre agenda. C'est un peu la vision libérale nord-américaine : laissons les esprits créer ce qu'ils veulent, les meilleurs émergeront d'eux-mêmes. Dans l'idéal, nous aurions une situation à mi-chemin de ces deux extrêmes. Hélas le monde réel n'est pas un équilibre parfait, mais un yo-yo permanent.

sur-investissement numérique

la réponse est plutot à rechecher du coté de l'économique ,la productivité et la rentabilité du numérique est dûe plus à la réduction des effectifs qui lui est automatiquement associée ,qu'au numérique lui -même.Donc espérons une multiplication des recheches pour le prouver....sans parler des coûts sociaux externalisés des addictifs d'entreprise

sur-investissement numérique

Je suis d'accord avec jphed! Le numérique prend une place de plus en plus importante au quotidien. Retourner en arrière serait bien trop compliqué à réaliser. Il y a de plus en plus de gadgets liés au numérique et nos enfants savent s'en servir dès leur plus jeune âge! Aujourd'hui, nous leur offrons des tablettes à deux ans. "nous" parce que nous sommes tous intéressés par le sujet. des lois, il y en a! Il faudrait d'autres mesures sur le numérique qui est devenu un phénomène en puissance! La politique pourra t-elle y faire face?

suite sur investissement

Pour compléter mon propos précédent ,l'addiction est une des conséquences du sur investissement généralisé du numérique ,qui est la cause première de bien des manifestations plus ou moins pathologiques ,l'addiction étant la plus médiatisé,mais la perte de confiance en soi (à cause de la marginalisation de part des fans du numérique),la marginalisation (dû au cout du numérique )etc ....sont au moins aussi graves

Quelle philosophie anime les acteurs majeurs du numérique ?

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre contribution. Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Quelle philosophie anime les acteurs majeurs du numérique ?

http://degooglisons-internet.org/ Un site militant,une éthique .....iils ne rentrent pas dans la case "acteurs majeurs" un contrepoids nécessaire peut être ?

Quelle philosophie anime les acteurs majeurs du numérique ?

l'initiative de framasoft est très intéressante. J'utilise très régulièrement les différents outils cités dans et les fait connaître autour de moi tant au niveau personnel que professionnel.

Quelle philosophie anime les acteurs majeurs du numérique ?

Avec leur argent, les grosses sociétés supranationales rachètent et à n'importe quel prix tout ce qui se crée d'inventif et/ou pouvant servir leurs ambitions hégémoniques (Youtube pour Google, Instagram, etc.) Actuellement, les grandes manœuvres ont commencer pour ce que l'on appelle "le numérique spatial" : c'est à qui investira le plus pour tenter de couvrir tout le territoire terrestre via le ciel et les sommes mises en jeu sont si importantes que certains états ne pourraient pas suivre comme en attestent le lien ci-dessous: http://siliconvalley.blog.lemonde.fr/2015/01/19/comme-google-et-facebook-elon-musk-veut-batir-un-internet-spatial L'idée est de permettre que tout le monde, même dans les contrées lointaines, puisse utiliser le numérique... Pour ce qui est de leur philosophie, pour ceux qui n'ont pas froid aux yeux , je propose un lien avec une interview de Laurent Alexandre, meilleur écho actuel de la philosophie des dirigeants de Google, en particulier de Ray Kurtzweil, il s'agit ni plus ni moins de tuer la mort! Mais au passage beaucoup de remarques sur le pouvoir actuel de Google qui fait réfléchir. On pourrait faire de même pour Facebook ou les autres... https://www.youtube.com/watch?v=kKwZmwmz_Zc

Quelle philosophie anime les acteurs majeurs du numérique ?

Les sociétés numériques sont animées par deux visions : - la vision économique (conseil d'administration), assurer leur propre survie en éliminant un maximum de concurrence tout en maximisant leurs profits - la vision humaniste (fondateurs et think-tank), mettre leurs ressources au service de grand projets pour faire avancer l'Humanité dans le sens qu'ils considèrent nécessaire. Cette schizophrénie explique la contradiction des signaux envoyés au grand public. D'un coté, Google finance des recherches sur la santé et l'IA qu'aucun état ne peut/veut financer. De l'autre, il exploite toujours davantage les données de ses utilisateurs, obligeant ces derniers à passer par ses solutions (Google+ obligatoire pour commenter sur Youtube par exemple), quitte à nous rendre davantage captifs de son système économique. Je pense que nous assistons à une mutation profonde de nos sociétés. Le pays s'efface au profit de l'entreprise. Demain, nous ne serons plus français ou russes, mais Google ou Facebook. Notre appartenance professionnelle sera notre nationalité devenue mondialité. Pour le meilleur ou pour le pire, ces super-entreprises sont en passe de réaliser ce que les plus grands conquérants ont échoué à réaliser : unifier le monde sous une même bannière. Ce n'est pas une probabilité, mais une nécessité. En effet, les grands défis de ce 3eme millénaire (exo-colonisation, nouvelles pandémies, changements climatiques, IA, cybernétique, etc. ) ne pourront être relevés que si l'ensemble de l'Humanité y travaille de concert. Un système basé sur des états, même fédérés, n'y suffirait pas : les ressources à mobiliser sont trop nombreuses pour un seul peuple.

Quelle philosophie anime les acteurs majeurs du numérique ?

les principales entreprises numeriques sont americaines hasard ou coincidence exemple les trois plus celebres facebook google apple ces trois entreprise ont le monde entier dans leur mains ils imposent des conditions generales de ventes force exemple apple vous ne pouvez ecouter de la musique achete que sur des appareils apple le pire c est aucune de ces societes ne payent d impots en france comme par hasard tour leurs sieges sociaux sont au luxembourg.la philsophie de ces societes est dimposer une sorte de culture pour eux le monde doit etre uniforme ecouter la meme musique regarder les memes films.

Quelle philosophie anime les acteurs majeurs du numérique ?

Tout à fait d'accord avec cette vision d'entreprises multinationales à 2 visages : évolution et économie. Il n'empêche, même la fondation "philantropique" de Microsoft, qui parcoure l'Afrique refuse de commenter dans ces mêmes contrées les conditions effroyables d'exploitations humaines pour extraire les minéraux rares nécessaires à la fabrication des smartphones. L'économie est déclarée vainqueur... Quand à l'autre aspect (évolution) la vigilance liée à la technologie (choisir entre évolutionnisme et transhumanisme) demeure. L'un est une béquille, l'autre une dépendance.

Quelle philosophie anime les acteurs majeurs du numérique ?

https://culturenum.info.unicaen.fr/blogpost/i0pvvyxklzz/view http://www.numerama.com/magazine/24595-google-en-quete-d-influence-en-france-pour-echapper-au-pire.html http://www.google.com/intl/fr_fr/about/company/philosophy/ La philosophie de google est de tirer le meilleur parti d'internet en garantissant les référencements, les données et leur pertinence, satisfaire les utilisateurs. Google dépense beaucoup dans des investissements http://www.ledroitdereussir.com/philosophie-google-adwords/ http://www.ledroitdereussir.com/philosophie-google-adwords/ http://www.ledroitdereussir.com/philosophie-google-adwords/

Semaine 5 / Discussion générale

Nos données sont vendues!

-Extraits d'un des articles (de 2012) d'intro avec commentaires cordiaux:- "...Facebook est ... un service... qui deviendra aussi important que le sont l'eau, l'électricité, les transports et les télécommunications."-C'est osé d'affirmer cela, mais les auteurs sont des spécialistes...- ..."Les systèmes informatiques subissent une révolution majeure... Il n'y a presque plus de secteurs d'activité qui ne soient pas contrôlés, ou en passe de l'être, par des systèmes informatiques. Ces systèmes doivent ... garantir la sécurité requise par une société devenue dépendante" -Tiens, voilà la dépendance et le contrôle de presque tous les secteurs d'acivité! Chaud!- ... "Les systèmes informatiques ...permettent le stockage d'une quantité de données considérable propre à chaque utilisateur, personne ou entreprise, sur une durée indéterminée." -une mémoire sans fin, c'est inhumain!- "Ils permettent l'utilisation de ces données par un nombre extensible d'applications, qui y accèdent avec l'accord de leurs utilisateurs."-Avec l'accord... souvent forcé par des contrats illisibles- "Nos ordinateurs sont en train de disparaître au profit d'outils ... désormais accessibles n'importe où et n'importe quand..."-C'est bien, à condition de savoir aussi se débrancher!- "Dans sa version initiale, Facebook est un système d'enregistrement et de rediffusion ciblée d'informations et d'opinions personnelles, accessible de n'importe où, n'importe quand et sur n'importe quel équipement informatique équipé d'un navigateur Internet." ... "Facebook propose un système d'accès permettant à un acteur économique tiers d'héberger des pages représentant la marque, mais surtout d'accéder aux informations des utilisateurs avec leur consentement" -Voilà comment on se fait avoir!-... "Connaissant à la fois un utilisateur et les données personnelles qu'il accepte de fournir, une application tierce fournit un service de qualité sans avoir à gérer ni les identifications, ni une grande partie des données déjà connues de Facebook... Une dernière amélioration technologique permet à ces acteurs économiques de produire des informations authentiques au coeur du journal de l'utilisateur." "Celui-ci peut alors en fonction de son humeur ou de ses besoins choisir d'afficher ou non ces informations, à un cercle plus ou moins restreint d'amis, sur une durée plus ou moins limitée." ... "Le service Facebook a muté d'un outil de stockage et de diffusion de données personnelles à un système d'exploitation complet de ces mêmes données. Une exploitation qui profite à Facebook, aux utilisateurs et aux acteurs tiers." -"aux utilisateurs", cela reste à prouver!- Facebook a démarré avant les autres et va maintenir son avance en termes de services offerts. Sans alternative, cela conduit au milliard d'utilisateurs constaté.-Quid de Google qui semble pas mal non plus!?- Stéphane Grumbach, directeur de recherche à l'Institut national en recherches informatiques avancées et ancien conseiller scientifique en Chine. Il travaille sur les nouveaux équilibres induits par la société de l'information Stéphane Frénot, professeur des universités au laboratoire CITI de l'Institut national des sciences appliquées de Lyon. Ses recherches portent sur les systèmes informatiques communicants au coeur du Web et de ses applications Stéphane Grumbach et Stéphane Frénot

Nos données sont vendues!

-Extraits du deuxième article d'intro avec commentaires cordiaux:- "L'un des patrons de la recherche de Google, Amit Singhal, estime que le moteur de recherche du futur sera "un parfait assistant personnel", sachant ce que vous voulez quand vous voulez" --A priori cela ne me plaît pas trop! Saura-t-il aussi ce que je pense?? -- Amit Singhal, responsable du développement du moteur de recherche de Google, le 3 novembre 2014 à New Delhi - -- ... "S'il est déjà possible d'explorer la surface de la Lune sans quitter son fauteuil, les évolutions des moteurs de recherche n'en sont qu'à leurs "balbutiements" par rapport au "Graal de la recherche"-Waow, le"Graal de la recherche"! Cela sent le gourou!- ... "(Google) anticipe désormais l'essor du "savoir à la demande", l'information parvenant aux gens avant même qu'ils ne la recherchent, grâce à la combinaison de la reconnaissance vocale, de la compréhension des langues et des technologies tactiles." -Aurement dit Google sait ce que l'on veut avant qu'on l'exprime, là ça craint carrément! Moi je ne veux pas que l'on sache ce que je n'exprime pas!- "Le moteur de recherche du futur sera "le parfait assistant personnel qui vous fera bénéficier de tous les savoirs techniques, améliorant votre processus de pensée" -"Améliorant" mon processus de pensée:non merci, je préférerais gérer cela tout seul!- "Le gourou de la recherche de Google balaie les critiques de certains scientifiques" -Ah je vous le disais, ils aiment les gourous chez Google!- "qui craignent qu'en mettant à disposition toute l'information, l'esprit ne devienne paresseux, la durée d'attention plus courte et la capacité de garder en mémoire des informations plus faible."... "Il existe toujours des inquiétudes à propos du changement", dit Singhal. -Bon, là c'est pas faux!- ... "Internet a rendu les gens plus productifs, supprimant des barrières d'accès à l'information" "Le moteur de recherche est au cœur de la stratégie de Google, accessible dans plus de 110 langues." "Des périodes passionnantes s'annoncent" avec des technologies de recherche "qui vont connaître une période exponentielle" de changement, estime le responsable. "Je pense que cela va rendre l'humanité plus saine, la vie plus heureuse, pas uniquement grâce aux technologies portables mais grâce aux informations qui seront à notre portée pour améliorer nos vies", ----Bon, là c'est moins cordial mais il me semble que les nazis avaient aussi le projet de rendre l'humanité plus saine, mais je sais, ils ne veulent tuer personne chez Google... mais attention: "don't be evil" quand même...---- "Singhal est responsable au sein de Google de l'algorithme de recherche, qui traite l'information pour apporter les réponses les plus pertinentes possibles." -Respect!- A plus long terme, ce passionné de Star Trek rêve de construire le fameux ordinateur de Star Trek "qui serait capable de répondre à toute question que je pourrais lui poser instantanément". -Tiens, lui il aura le droit de poser les questions avant d'avoir les réponses, veinard!- AFP

Nos données sont vendues!

ces deux articles me terrifient car ils actent sans débattre et sans critique que nos faits, gestes et pensées sont anticipées , troquées , vendues. Il y a quelques années en arrière des manifestations explosaient dans toutes les grandes villes françaises pour nous insurger contre les caméras de vidéos surveillance, aujourd'hui on doit dire merci aux grandes entreprises du numérique d'organiser nos vies! Que l'un de ces articles soit écrit par deux journalistes "du monde" et que le sujet soit si peu traité d'un point de vue critique achève ma soirée.

Nos données sont vendues!

Non, l'un des articles n'est pas écrit par des journalistes du monde mais par deux scientifiques cités en fin d'article dont je ne doute pas de la compétence et de la sincérité. Et les parties en jaune plus polémiques et provocatrices ont été rajoutées par moi pour inciter au débat. Je pense que nous devons tous faire un effort de compréhension de ce qui se passe sans sombrer dans le pessimisme. C'est effectivement une certaine passivité des gens, un manque de réaction, comme par exemple lors de l'affaire Snowden, qui personnellement me gêne et m'inquiète.

Discussion sur les dealers du numérique

Google, Microsoft, les Réseaux Sociaux, etc... sont des outils modernes qu'utilisent de plus en plus les jeunes mais aussi les seniors qui s'y forment. Cela permet à des personnes éloignées de rester en contact avec leurs proches, rompre un isolement. Il y a beaucoup d'applications pour PC, Tablettes, smartphones qui se développent pour répondre à des demandes spécifiques. Les dealers qu'ils représentent font vivre des sociétés, des start-up comme illustré dans la vidéo. Je pense qu'il faut être prudent et choisir le contenu que l'on veut publier sur les réseaux sociaux, bien s'assurer que nos coordonnées bancaires sont protégées. Ma fille est en 4eme, en mathématiques en sujet d'interrogation on leur a demandé combien de codes à 6lettres et 2 chiffres pouvaient exister et en combien de temps l'on pouvait trouver un code. La réponse fait plus que réfléchir pour laisser ses coordonnées bancaires. Le nombre de codes découverts en moins d'une seconde est beaucoup plus important que l'on puisse l'imaginer. C'est là qu'interviennent c'est vrai de nouvelles applications pour contrer la découverte des codes personnels ou bien protéger les codes bancaires. Le code source utilisé par les banques pour protéger les données est ancien. Des start-up recherchent des simplifications du code source voir un nouveau code source dédié aux banques. Aujourd'hui si nous listons les applications tout repose sur le numérique, Google a ouvert la porte aux idées multiples et aide à les développer. Orange en France devient depuis peu un incubateur pour tout projet porteur. Les objets connectés se multiplient et d'ici 5 ans vont encore plus se développer. Tout cela est rendu possible par des plateformes telles que Google, Orange et d'autres. Je pense qu'il manque un réel enseignement des bons usages des réseaux sociaux, des moteurs de recherches,des applications, des smartphones, tablettes, pc. Il faut voir un côté positif en terme d'emplois car dans l'avenir certains métiers vont disparaître pour donner vie à d'autres et tout ça passe par l'évolution du numérique. Il faut s'adapter aux changements et ces divers moocs que vous proposez sur le numérique permettent de s'informer, s'orienter et comprendre les enjeux et les utilisations correctes.

Semaine 5 / Défi - Algorithmes

Que savez-vous des algorithmes PageRank et EdgeRank ?

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre réponse. Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Que savez-vous des algorithmes PageRank et EdgeRank ?

--Le PageRank de Google-- est déterminé par le nombre de page populaires qui pointent vers une page. Autrement dit, une page est populaire s'il y a beaucoup de pages populaires qui font des liens vers elle. D'autres facteurs (sémantiques notamment) entrent en jeu dans le positionnement des pages. --Le EdgeRank de Facebook-- est d'autant plus élevé que l'engagement des internautes est important (nombre de Like). D'autres facteurs comme l'actualité et le nombre de visuels présents sur la page sont importants.

Que savez-vous des algorithmes PageRank et EdgeRank ?

http://www.commentcamarche.net/faq/35092-edgerank-facebook-accroitre-la-visibilite-des-publications-d-une-page http://blog.kinoa.com/2011/08/30/edgerank-le-guide-complet-sur-lalgorithme-facebook/ http://fr.wikipedia.org/wiki/PageRank

Que savez-vous des algorithmes PageRank et EdgeRank ?

Les réseaux sociaux accros aux algorithmes Extrait d'un article du Monde en ligne, 25/11/14 "Zeynep Tufekci, chercheuse associée au Centre pour l’étude des politiques technologiques de Princeton. Au moment des émeutes à Ferguson, après le meurtre d’un jeune Noir par un policier, cette sociologue s’est étonnée que les informations partagées instantanément sur Twitter n’émergent que le lendemain sur Facebook, en raison des paramètres de son algorithme. L’occasion pour la chercheuse de s’interroger sur la manipulation potentielle et l’absence de transparence quant au fonctionnement de cet algorithme. « Décision éditoriale » Appelé EdgeRank, l’algorithme de Facebook se fonde sur près de 100 000 paramètres différents pour déterminer ce qui est montré ou non à ses utilisateurs dans leur fil d’actualité. Ce qui fait dire à Emily Bell que « l’homme de médias le plus puissant en ce moment est Greg Marra, le responsable produit du Newsfeed de Facebook. » Les critiques envers ce « newsfeed » se sont multipliées ces dernières semaines, par exemple à l’occasion d’une étude réalisée en modifiant les messages montrés à certains utilisateurs pour mesurer l’influence de ces messages sur leur humeur. Ou encore après une autre étude estimant que Facebook pouvait jouer un rôle – marginal – sur l’abstention. Cet affichage calculé des contenus n’est pas l’apanage de Facebook. Récemment, Twitter a annoncé pouvoir ajouter dans les flux de ses utilisateurs des messages de personnes qu’ils ne suivent pas. « A chaque fois qu’un algorithme est modifié, une décision éditoriale est prise », juge Mme Bell. Parmi les solutions qu’elle préconise : avoir des journalistes capables de faire de la rétro-ingéniérie sur les algorithmes, de demander plus de transparence à ces entreprises – alors que leurs algorithmes sont parmi les secrets industriels les mieux gardés – et de créer de nouvelles plateformes."

Que savez-vous des algorithmes PageRank et EdgeRank ?

edgerank: http://www.commentcamarche.net/faq/35092-edgerank-facebook-accroitre-la-visibilite-des-publications-d-une-page Pagerank: http://fr.wikipedia.org/wiki/PageRank A approfondir pour ceux qui ont le temps!

Que savez-vous des algorithmes PageRank et EdgeRank ?

Concernant l'intelligence artificielle : "L'inquiétude, ce n'est pas Terminator mais plutôt un algorithme très intelligent" (Nate Soares, (ex-Google), chercheur au Machine Intelligence Research Institute à Berkeley, source: "l'Obs", 18/12/2014 P.37)

Que savez-vous des algorithmes PageRank et EdgeRank ?

quelques liens: http://www.rankspirit.com/pagerank.php -https://interstices.info/jcms/ni_79095/lalgorithme-edge-rank-ou-le-filtrage-selon-facebook- http://www.webmarketing-conseil.fr/edgerank-facebook/ http://www.augmenter-son-pagerank.com/

Semaine 5 / Webinaire

Merci Sophie

Je pense que Sophie a enfin mentionné, dans le Webinaire, quelle était notre véritable addiction : nous sommes addicts au Bon Dieu. C'est-à-dire à une entité supérieure, à-priori bienveillante, et qui sait tout de nous ; comme nous-mêmes souhaitons le savoir de nos jeunes enfants ; et comme eux-mêmes s'y attendent et l'apprécient. Cette dépendance affective n'a donc pas de raison de disparaître, mais on peut faire confiance aux mécanismes du marché pour lui apporter de nouvelles solutions. Google passera un jour au second plan, comme ce fut le cas d'IBM puis de Microsoft.

GAFA et nos vices

Au fond GAFA ne nous fait pas payer très cher( par une exploitation limitée de nos données)la satisfaction de nos vices à savoir: -l'agoraphilie ,ce gout bizarre d'aller là où tout le monde se trouve -la paresse de chercher par soi même ,en se laissant servir des infos mêmes inutiles - la servitude volontaire ,c'est plus simple de se laisser gouverner que de se gouverner soi même! -l'exhibitionnisme ou aimer que l'on me voit partout...dans toutes les positions! -l'utilitarisme,cette disposition a trouver que ce qui est pratique est bien. Ceci serait une autre façon de reposer la question de l'addiction .

GAFA et nos vices

GAFA c'est bien le parangon de ce néo-libéralisme qui offre à chacun la possibilité de satisfaire des petits vices si simples (agoraphilie,paresse,servitude volontaire,exhibitionnisme,utilitarisme) .Le prix a payé est faible,"l'exploitation de vos données est tout de même moins douloureux que l'exploitation de votre force de travail".Pour moi les séminaires 4 & 5 nous ont aidé à comprendre la logique psycho-sociologique de ces nouveaux champions du néo-libéralisme

Semaine 6 / 1.1 Outils de modération

L'information

Le principal outil de régulation est l'information. - Une recherche : google ? non, préférer https://startpage.com/do/search - Une nouvelle bizarre : contrôle sur http://www.hoaxbuster.com/ - ... Il faut apprendre à aller au-devant de l'information, éviter le push, changer ses outils et habitudes

L'information

je suis d'accord, le principe est essentiel. j'irai plus loin la formation est essentielle pour tous. et surtout se maintenir à un niveau d'information c'est un monde sans cesse en renouvellement. Les régulateurs sont néanmoins un moyen efficace pour mettre en exergue des pratiques non ethiques ou pour se rendre compte d'un comportement "anormal" d'utilisation. Si c'est "remettre dans les rails", faire de la prévention oui. l'interdiction, l'arret d'un jeu ... peut inciter l'utilisateur a contourné le problème. A un détail près ce qui concerne les enfants mineurs dans ce domaine la seule regulation est celle des parents qui peuvent mettre en place des régulateurs internes (controle parental, modérateur ..).là encore faut ils qu'ils prennent conscience des enjeux et en prennent conscience = information et formation. Comment communiquer en ce sens de façon pédagogique et adaptée, qui , quels moyens humains et budgetaires ? régulation n'est pas censure et le terme regulation n'a pas le même sens en Inde, en Chine, aux Etats unis ... les plateformes sont multiples, reparties à l'echelle mondiale, Le meilleur régulateur c'est soi même...encore faut il en avoir conscience.

L'information

Cela dépend comment l'administrateur gère son site. Il faut rester sur des sujets importants à traiter sur les emails pour ne pas se laisser submerger. Informer oui mais bien. Choisir la pertinence de nos publications, se rappeler que tout le monde peut intervenir sur un post facebook. Orange par exemple a un modérateur qui lui permet d'intervenir à tout moment sur les discussions des forums de son site. voici un lien sur facebook http://affinitiz.com/fr/portal/le-mag-facebook/animation/les-outils-disponibles-sur-facebook-pour-la-moderation-part2/

Phase 1: Activité 1: Les outils de modération sont-ils efficaces? Pensez-vous que l'on puisse étendre le principe de ces outils à d'autres applications numériques?

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre contribution. Stéphanie

Phase 1: Activité 1: Les outils de modération sont-ils efficaces? Pensez-vous que l'on puisse étendre le principe de ces outils à d'autres applications numériques?

La régulation négative n'est pas très efficace. Que ce soit par compte (on impose x temps de jeu à un compte précis) ou par session (principe de "fatigue" dans les MMO, où le joueur ne progresse plus après un certain nombre d'heures de jeu, et son personnage doit se reposer x heures), le joueur peut très bien jongler entre plusieurs comptes pour prolonger son temps d'utilisation sans que le prestataire ne puisse l'en empêcher. On peut lier un utilisateur à son adresse IP. Mais cela bloquerait les cybercafé (ou les familles nombreuses), et cela peut être contourné par des VPN, ou par le reboot de la box internet (renouvellement de l'adresse IP). Idem par l'adresse MAC, qui peut être contournée par flashage du bios ou l'installation de cartes réseaux supplémentaires. Au pire, le joueur peut faire jouer la "concurrence", en ouvrant un compte sur plusieurs sites de jeu, et passer d'un compte à l'autre quand son compte actuel est bloqué pour x raison. Même si le prestataire bloque l'utilisation sur son site, le joueur peut poursuivre son addiction chez un autre prestataire. Tout comme dans la vraie vie, plus on rend difficile l'accès à un usage, plus ses usagers développent des stratégies pour le faciliter. Une régulation positive, inciter les joueurs à s'auto-modérer par des récompenses plutôt que par des sanctions, devrait être envisagée.

Phase 1: Activité 1: Les outils de modération sont-ils efficaces? Pensez-vous que l'on puisse étendre le principe de ces outils à d'autres applications numériques?

Je suis d'accord avec vous, la meilleure modération est sans doute l'auto-modération, avec des outils réflexifs qui aident à la prise de conscience. La question que je me pose porte sur l'éventuelle nécessité à un moment d'imposer des choses pour aider/forcer quelqu'un à arriver au moment où prendre conscience. Mais là on doit être dans la relation thérapeutique, et elle ne peut sans doute passer par un contrôle sur un outil pour quelqu'un chez lui (une fois qu'il est majeur en tout cas). Peut-être que les praticiens du MOOC pourraient nous dire quelques mots sur les méthodes utilisées pour un "sevrage", en général et sur une éventuelle addiction liée au numérique.

Phase 1: Activité 1: Les outils de modération sont-ils efficaces? Pensez-vous que l'on puisse étendre le principe de ces outils à d'autres applications numériques?

BSR Dans le domaine du trading,il y a des formesde modération ou d'accompagnement très différentes. Les ++:les sites des traders ou investisseurs qui ont ouvert un compte sur leur site ,établissent le profil de cet investisseur (de novice a expérimenté).Lorque celui-ci souhaite investir sur un produit dépassant ses compétences il recoit un message d'alerte,parfois même il peut etre bloqué.ce principe d'alerte existe sur d'autres applications. Il existe aussi des analyses multi critères qui permettent de faire évoluer sa décision en fonction des points de vue différents Les -- :Différents systèmes de classement sur les "bonnes affaires" existent aussi ,ils ne doivent pas être suivis par les investisseurs car on ne sait ni comment ni par qui ils ont été établis.Les commentaires sur l'évolution d'un cours sont a posteriori ,par exemple si le CAC baisse le journaliste économique titre "inquiétude sur la grèce";dans le cas contraire il aurait titré,"la grèce ne fait plus peur". A ce stade ce n'est même plus de l'incurie des modes de modération,mais de la désinformation.

Phase 1: Activité 1: Les outils de modération sont-ils efficaces? Pensez-vous que l'on puisse étendre le principe de ces outils à d'autres applications numériques?

La question de la modération renvoie souvent d'abord à celle d'une prise de conscience de la réalité de l'usage ;on ne peut rien imposer mais on peut susciter une prise de conscience qui permet petit à petit à l'usager de modifier ses positions et croyances sur ses usages de façon à réduire ceux ci ,voire y mettre un terme ,au moins pour un temps.C'est l'esprit de ce qu'on appelle le travail motivationnel qui a pris une place importante dans l'abord thérapeutique initial des problèmes d'addiction jlv

Phase 1: Activité 1: Les outils de modération sont-ils efficaces? Pensez-vous que l'on puisse étendre le principe de ces outils à d'autres applications numériques?

Voic les quelques liens que j'ai pu trouver: https://help.habbo.fr/entries/22589238-Les-nouveaux-outils-de-mod%C3%A9ration- https://support.ankama.com/hc/fr/articles/201991158-Qu-est-ce-qu-un-mod%C3%A9rateur- les outils de modération sont utilisés pour donner une meilleure ambiance au jeu ou à la page concernée; et donc d'y rester plus longtemps.

La réponse est...

Non, on ne veut pas de régulation. Oui, on veut rester anonymes. On sait bien que le net va être pourri pas la publicité, la malveillance, et toutes les mafias. Non, on n'accepte pas ce dévoiement. Oui, on veut se battre.

Semaine 6 / 2.1 Education aux usages du numérique

réflexion

C'est ma sœur qui m'a inscrite sur facebook. Elle m' a montré comment réaliser les principales actions :écrire un statut, insérer une photo et chercher des "amis". Elle a convoqué le maximum d'"amis" possibles. Au départ je ne me suis absolument pas posée la question de la confidentialité puis en discutant avec d'autres personnes j'ai peu à peu exploré la politique de confidentialité de facebook et autres. J'ai recherché comment faire pour verrouiller un maximum mes données. Mais c'est un sujet qui m'intéresse, qui me questionne. J'aurais aimé être "éduquée" à facebook. Du coup j'essaie d'éduquer mes enfants... sauf qu'ils sont passés à d'autres réseaux sociaux que je ne connais pas. La difficulté est que tout va très vite, et à peine connaît-on un outil qu'il est dépassé par un autre qu'on ne maitrise pas. Il faut donc **éduquer à être curieux des outils dont on se sert** en ayant toujours en tête quelques grands principes : - je fais quoi de ma vie privée en utilisant cet outil - quelle est l'utilité réelle de cet outil ? en ai-je vraiment besoin ? pourquoi ? - ... Je vous laisse compléter.

Phase 2: Activité 1: Vous souvenez-vous des moments où vous avez découvert de nouveaux outils numériques? Aviez-vous conscience des risques éventuels qui pouvaient en découler? Vous a-t'on formé? Accompagné?

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre contribution. Stéphanie

Phase 2: Activité 1: Vous souvenez-vous des moments où vous avez découvert de nouveaux outils numériques? Aviez-vous conscience des risques éventuels qui pouvaient en découler? Vous a-t'on formé? Accompagné?

Cela date de plus de 15 ans!Les premiers portables que l'on peut qualifier d'"énormes" aujourd'hui; le bruit qu'il y avait lors de la connexion internet; ou encore le passage de la disquette à la clé usb! Les risques liés au numérique, on n'y avait pas conscience. L'utilisation d'un ordinateur s'est déroulée en premier lieu avec le système éducatif. Pour Internet, il y avait eu un animateur pour présenter le "surf" sur le web. Ces indications ont permis par la suite de répéter chez soi. Pour les autres outils numériques, pas de formation ou d'accompagnement! Pour les nouveaux usagers, il existe le B2i de l'école primaire au lycée. Il permet aux enfants d'en connaitre les aspects techniques et juridiques. Pour les adultes, d'autres sont accessibles par le système éducatif ou par les entreprises privées.

Phase 2: Activité 1: Vous souvenez-vous des moments où vous avez découvert de nouveaux outils numériques? Aviez-vous conscience des risques éventuels qui pouvaient en découler? Vous a-t'on formé? Accompagné?

J'ai appris le routage, la netiquette, l'open source tout seul sur papier, à l'époque ou "l'état français" nous imposait le minitel et nous verrouillait l'avenir. J'en ai retiré l'idée qu'aucun état ni organisme ne devrait interférer avec mes envies. Je ne fais confiance qu'à quelques individus comme Vint Cerf ou Tim Berners-Lee. Mais pas du tout à Bill Gates et autres Steve Jobs. Personne n'ouvre mon courrier, pourquoi mes mails seraient publics ? J'ai avant tout besoin de confiance.

Phase 2: Activité 1: Vous souvenez-vous des moments où vous avez découvert de nouveaux outils numériques? Aviez-vous conscience des risques éventuels qui pouvaient en découler? Vous a-t'on formé? Accompagné?

Vint Cerf commence à être un peu chahuté : http://techcrunch.com/2013/11/20/googles-cerf-says-privacy-may-be-an-anomaly-historically-hes-right/

Phase 2: Activité 1: Vous souvenez-vous des moments où vous avez découvert de nouveaux outils numériques? Aviez-vous conscience des risques éventuels qui pouvaient en découler? Vous a-t'on formé? Accompagné?

Je me souviens avoir découvert l'informatique dans les années 80 sous Ms-Dos et CP/M. Windows n'existait pas encore. Nous utilisions des disquettes toute souple de moyen format, puis des disquettes plus petites rigides mais souples à l'intérieur. Il fallait écrire des lignes de code pour faire quelque chose. C'était dans un cours d'initiation à l'informatique. A l'époque nous étions incapable d'envisager le numérique tel qu'il est actuellement. Les inquiétudes générales concernaient surtout les pertes d'emploi, le remplacement des êtres humains par des ordinateurs, le fait que les ordinateurs n'étaient pas imposés. La Cnil existait déjà et lorsque j'ai appris la programmation nous avons eu des cours sur la protection des données personnelles, la législation concernant la constitution des fichiers de données. J'ai ensuite préparé et obtenu un BTS d'informatique de gestion qui date tout de même d'avant Windows. Lorsque j'ai découvert internet très longtemps après, je n'étais plus dans le monde de l'informatique, ce sont plutôt mes enfants qui m'ont guidée pour les premiers pas, ensuite j'ai utilisé des livres, des forums et des tutoriels. Ma formation antérieure en informatique même sans windows m'a bien aidé. J'essaie de comprendre les risques éventuels par moi-même en cherchant, en discutant, en lisant etc.

Phase 2: Activité 1: Vous souvenez-vous des moments où vous avez découvert de nouveaux outils numériques? Aviez-vous conscience des risques éventuels qui pouvaient en découler? Vous a-t'on formé? Accompagné?

J ai vraiment le souvenir de passages clefs très différents. à l école primaire l informatique semblait très ésotérique. Nous tapions "print""run" et un message s affichait sur l écran . Pour moi c était mystérieux et magique. Il y avait le "mythe du passage à l an deux mille" pour l avenir , le progres était plutôt lié à la robotique qu a l informatique. En se rapprochant de l an deux mille l importance du numérique était plus flagrante (tout allait buggué le 01/001/2000 !!!). J ai découvert avec fascination les chats en 98/99 ordi et téléphone et cette impression forte était la fascination et en même temps inquiétude "mais avec qui suis je en train de parler ?? Qu est ce qui peut arriver ensuite ??? (Une sorte d intuition :D ?)" Le numerique ne semblait pas dangereux je n ai pas souvenir de prévention c était plutôt l idée de progrès ,, de permettre l accès à tous .. Le métier d animateur numérique à été créé c était perçu comme un outil d avenir (créé son cvCV,, trouver du travail,, les candidatures par mail.,, s informer apprendre) .. il y avait la possibilité de se former dans les bibbibliothèques, les points jeunesse...mais pas dans l optique d une prévention d un quelconque danger. Les cours de "NTIC" ont été introduits dans les formations pro. je pense que la notion de risque est survenu plus tard avec l expansion des réseaux sociaux et l accès facilité aux jeux (baisse des coûts , meilleurs débits plus d équipements pour plus de monde...) Maintenant J ai parfois l impression que l idée de prévention des risques en parallèle de l accès aux potentiels numériques pour chacun s équilibre même si parfois les discours de certaines structures ou parends balancent du coup trop dans le mode "attention danger !!!!!" discours qui sera mal perçu par les adolescents qui eux perçoivent bien les avantages du numérique et ont une intuition de l outil très forte qui crée un décalage avec des adultes pas assez formés.

Phase 2: Activité 1: Vous souvenez-vous des moments où vous avez découvert de nouveaux outils numériques? Aviez-vous conscience des risques éventuels qui pouvaient en découler? Vous a-t'on formé? Accompagné?

Bonjour Quand je suis entrée sur le net c'était par l'intermédiaire des messages : j'ai commencé par avoir une adresse mail qui me permettait de communiquer avec ma famille un peu éparpillée. Très vite nous avons cependant cessé de nous envoyer de vraies lettres en papier, ce qui est dommage car beaucoup de ces messages virtuels ont disparu dans les ordinateurs au fur et à mesure de leur remplacement. Je m'étais formée toute seule au traitement de texte à la fin des années 80 ; ce sont mes enfants qui m'ont entraînée sur les réseaux sociaux, c'est à cause d'eux que j'ai testé des jeux (très peu et très peu de temps) pour voir ce que c'était, ou pour les aider à les comprendre. Les traitements de texte, les traitement d'image (photoshop, illustrator, etc) se sont imposés très vite comme des outils indispensables. Le vrai risque de dépendance, surtout en communication, survient quand le métier nécessite de recourir à des renseignements disponibles en ligne et sur les media sociaux. Il est alors vraiment difficile à mon goût de faire la distinction entre le travail et la navigation addictive. Restent les énormes possibilités qu'offrent ces outils quand on réussit à les dompter. En commençant par l'accès à tous les MOOCS et à tous les gens de par le monde qui ont une adresse mail ou une vitrine virtuelle - ce qui facilite les mises en contact avec des personnes qu'on n'aurait jamais rencontrées ou croisées autrement. Pour le travail c'est un outil inestimable dans ma branche.

Phase 2: Activité 1: Vous souvenez-vous des moments où vous avez découvert de nouveaux outils numériques? Aviez-vous conscience des risques éventuels qui pouvaient en découler? Vous a-t'on formé? Accompagné?

J'ai découvert le numérique par...l'audiovisuel en 1992. Internet n'existait pas. J'ai donc suivi toute cette révolution sans accompagnement, en me formant tout seul, la curiosité étant le meilleur des guides. Les risques éventuels ? J'écoutais les témoignages, lisais des articles, et... ai également expérimenté quelques déboires : récupération de virus par l'utilisation d'un P2P, piratage carte bancaire, par exemple. Des expériences utiles pour améliorer mes pratiques et faire des choix. Parce que, souvent, lorsqu'on n'a pas expérimenté soi-même, on tente sa chance au mépris de certains risques. ça c'est humain...

Semaine 6 / 3.1 Impact positif

Phase 3: Activité 1: PArlez-nous des impacts positifs du numérique

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre contribution. Stéphanie

Phase 3: Activité 1: PArlez-nous des impacts positifs du numérique

http://www.rslnmag.fr/post/2012/01/19/Innovation-educative-depasser-les-handicaps-grace-aux-outils-numeriques.aspx L article traite d outils numériques pour la scolarisation des enfants en situation de handicap.. Il y a de nombreux aspects positifs grâce au numérique .. Un exemple très sympathique d une application de coopération entre non voyant et voyant :be my eyes. Un dernier exemple d aujourd hui : la mobilisation citoyenne en faveur de l application de la loi sur l accessibilité prend une toute autre ampleur grâce au numérique :: information, réseau sociaux,pétitions "manif en ligne"" sur le site de l APF pour ceux qui ne peuvent pas s y rendre etc......

Phase 3: Activité 1: PArlez-nous des impacts positifs du numérique

Quelques côtés positifs : - dans ma campagne l'accès à l'information et à la connaissance - la gratuité d'un grand nombre de services et d'outils (open source...) - la communication avec la famille et amis dispersés - le fait de devenir acteur planétaire (blogs...)

Phase 3: Activité 1: PArlez-nous des impacts positifs du numérique

Le numérique nous permet de nous informer. Aujourd'hui dans les écoles les infos sur l'orientation scolaire, les stages accessibles ne sont que très peu données. L'apogée de l'informatique et du numérique est positive pour les entreprises (gain de temps, meilleure communication, marketing) pour tous dans les domaines médicaux pour les handicapés, personnes âgées, suivi médicaux par internet pour ceux n'ayant pas accès direct à un médecin car village trop éloigné d'un cabinet médical, géolocalisation, la communication mondiale entre les pays, les objets connectés de notre quotidien, l'utilisation et le développement des cours en ligne, meilleure diffusion des documents, (je ne parle pas aussi du domaine bancaire) écouter de la musique, voir des vidéos, films, faire des avancées technologiques et médicales. Il en existe bien d'autres applications numériques qui sont positives pour notre quotidien : le développement écologique, suivi médical,l'industrie, la maison connectée, la domotique l'aviation, la traçabilité, etc... tout cela à partir de codes sources variés. Aujourd'hui comment ne pas être connecté ? Mais imaginez un jour qu'il y ait une coupure de courant ? Que ferons-nous? Voilà la réponse apportée : il y aura des générateurs plus puissants et davantage répandus sur le territoire car tout cela nécessite une grosse quantité d'électricité.

Phase 3: Activité 1: PArlez-nous des impacts positifs du numérique

Les aspects positifs du numérique sont d'abord la facilité de partage, l'extension presque infinie de la possibilité d'exposition à travers les vitrines numériques que constituent les sites, la possibilité de partage dans toutes les langues, la possibilité de tous les échanges à distance et à domicile la possibilité presque infinie d'apprendre et de se former sous condition d'une liaison internet, l'immédiateté de contact avec un nombre très important de gens à travers les réseaux sociaux et par voie de conséquence, la possibilité de partager un message très vite et très largement.

Semaine 6 / Discussion générale

Le numérique peut être une arme

Pour bien vivre il faut à ce moment s'en extraire pour fuir : - harcèlement - hoax - désinformation La solution n'est pas la régulation institutionnelle, il n'y a pas de solution à court terme.

Le numérique peut être une arme

Il existe tout de même des outils qui peuvent limiter le monopole de certains (je pense à Google; nous pouvons utiliser d'autres moteurs de recherche). Il existe aussi je pense, un travail pédagogique à faire auprès de la population en général (cnil), notamment des plus jeunes (c'est un outil qu'il faut connaître et savoir utiliser). Je ne sais pas s'il existe des cours de sensibilisation au numérique dans les écoles ? Enfin et c'est très d'actualité, il faut casser les monopoles existant (en payant ses impôts par exemple, en renforçant le droit des populations où sont fabriqués les produits, ...) et pour se faire, seuls les États peuvent agir. Comme pour tout, un libéralisme à outrance implique des distorsions et des inégalités.

Le numérique peut être une arme

Ces trois phénomènes existent dans la vie courante : dans les cours de recré, dans la rue, au PMU,dans les espaces publics...on véas en extraire et fuir le monde faute de solutions de régulation ?

une charte de bonne conduite ?

Ce qui est sur c'est que nous ne pouvons plus vivre sans. Pour tous, quelque soit l'ecran, internet represente : rester en relation, se voir même de très loin, rester en contact, se montrer, echanger des données, travailler, corespondre, communiquer trouver des infos, se soigner, evaluer, s'evaluer, eviter de se deplacer, eviter les bouchons, échanger, s'informer, se diriger, ... tout est possible et tout peut encore être imaginé. Le tout est de ne pas se perdre et d'utiliser cet outil merveilleux avec modération et en fonction de ses besoins. Le tout est de pas être rivé à cet écran et de vivre autant physiquement qu'à travers un écran. Certes nous ne sommes pas dupes nos données, nos besoins, nos envies sont enregistrées, analysées, repertoriés, nous sommes soumis à d'enormes groupes internationaux avec lesquels les discussions sont vaines même en chat. Et ce vaste monde n'est pas forcément frequenté par des bisounours ca se saurait. Nos identités peuvent aussi etre clonés. OUi bien vivre avec internet c'est possible et c'est comme dans la vrai vie il faut etre optimiste, positif et essayer de se proteger un petit peu sachant que protection 100% n'existe pas ! En même temps de plus en plus fainéants, nous aimons recevoir directement ce qui concerne nos centres d'interêt ...comme dans la vie, internet c'est un monde de règles à connaitre, de codes à décoder, de vocabulaires à apprivoiser. et c'est à chacun de nous de choisir. moi je sais je ne pourrais pas vivre sans et pourtant je n'en suis pas addict juste j'essaye d'etre raisonnable.

Nécessaire régulation

Le libéralisme économique qui consiste à s'en remettre au "marché" pour réguler "naturellement" les échanges entre humains est une duperie maintenant clairement démasquée pour quiconque réfléchit un peu. C'est un des visages du capitalisme sauvage qui plonge ses racines dans la loi du plus fort et du moins respectueux, dans le mépris de l'humain et du vivant. L'avènement du numérique redistribue les cartes car la valeur marchande est en partie dématérialisée et se situe donc dans un autre espace/temps dont les spécificités sont maintenant à peu près cernées mais loin d'être connues par la majorité. Un très gros travail pédagogique d'éclairage du plus grand nombre sur ces nouvelles données serait salutaire. Les pays qui le feraient, en particulier par le biais de l'école, prendraient un avance considérable. Par ailleurs, seules de nouvelles régulations tenant compte de ces nouvelles donnes spatio-temporelles générées par le numérique, fruits de décisions politiques éclairées et collectives, pourraient empêcher une dérive, déjà bien entamée, du numérique vers le capitalisme tel qu'on le connaît actuellement où "les richesses dans le monde se concentrent de plus en plus aux mains d'une petite élite fortunée" (www.oxfam.org).

Nécessaire régulation

Intéressant, pourriez-vous donner quelques éléments supplémentaires sur ces "autres espace/temps dont les spécificités sont maintenant à peu près cernées" ?

Semaine 6 / Défi : campagne de prévention

De qui se MOOC-t-on ?

C'est dit, aujourd'hui j'arrête.

De qui se MOOC-t-on ?

Bonjour, pouvez vous préciser les raison de cet arret? Merci. Marine

De qui se MOOC-t-on ?

C'est un slogan, comme demandé :-)

Défi de la semaine: créer une campagne de prévention

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre contribution. Stéphanie

Défi de la semaine: créer une campagne de prévention

"TROP DE MOOC TUENT LE LOOK !" S'instruire c'est très bien mais attention de ne pas négliger son corps au profit seul de son esprit !

Défi de la semaine: créer une campagne de prévention

"nous sommes tous concernés par les dangers du numérique"

Défi de la semaine: créer une campagne de prévention

Bien utilisés les moocs sont des ressources pédagogiques novatrices et à la pointe de l'actualité. Je pense que les apprenants doivent utiliser ces plateformes de manière intelligente. C'est à dire : respecter les engagements qu'ils ont avec la plateforme en corrigeant les épreuves demandées, en cas de soucis utiliser les forums, faire remonter aux animateurs les problèmes rencontrés pour plus d'efficacité dans les données fournies. Mon slogan pour sensibiliser les internautes en général (cela ne s'applique pas au mooc) NE LAISSE PAS TON IMAGE T'ECHAPPER Conseiller de bien réfléchir avant de publier sur les réseaux sociaux, s'interroger de l'intérêt, utiliser des blogs aussi pour diffuser certaines informations. Il faut soigner son e-réputation comme le font les entreprises. Je pense que bien utilisées les nouvelles technologies et les objets connectés vont agrémenter notre quotidien et non pas le polluer. Ne pas hésiter à faire des formations en ligne, en présentiel en cas de difficultés à s'approprier une manipulation correcte.

d" réapprendre à résister pour bien penser"

http://m.sciencesetavenir.fr/article/20150212.OBS2324/generation-z-le-cerveau-des-enfants-du-numerique.html#http://www.scoop.it/t/revolution-in-education/p/4037158463/2015/02/12/generation-z-le-cerveau-des-enfants-du-numerique?hash=2c0cbecf-709f-4015-9b35-a01bc9f916b0 Un article interressant sur l impact du numérique dans les processus d apprentissage et l utilisation du cerveau..... y a du boulot en pédagogie sur ce thème en tout cas !

d" réapprendre à résister pour bien penser"

Bonjour, Effectivement, un article très intéressant! Merci de ce partage! Cordialement, Stéphanie

d" réapprendre à résister pour bien penser"

Il me semble qu'en parallèle des usages, le problème, numérique ou pas, ce sont les contenus... une partie des applis proposées aux enfants est une simple transcription de bouquins ou de jeux, sans mise en perspective de l'apport du numérique. Donc, si l'objet originel est de bonne qualité, et que le passage au numérique a été bien pensé, on aura un bel outil numérique, de loisir et:ou d'apprentissage... sinon, on a de la daube... Et là, il y a du boulot ! Merci pour le partage ! Frédérique

Semaine 6 / Webinaire

auto-régulation dans le trading numérique

BSR,les sociétés de trading numérique offrent un terrain d'analyse (de par leur étendue) aux questions soulevées dans ce webinaire n°6 sur l'auto-régulation.Trois constats.1)sur chaque chaque titre ,indice ,parité de devises etc ....est ouvert un forum libre.A première vue il en existe de 2 types; des valeurs investies par des forumeurs sérieux et des valeurs investies par des forumeurs fantaisistes.Il est possible de corréler les forum sérieux à ceux qui portent sur des titres non spéculatfs et les fantaisistes aux titres spéculatifs.Comme si un titre qui est travaillé (de l'extérieur)par les professionnels de la finance (entreprises ,analystes ,investisseurs institutionnels )de manière spéculative,irrationnelle ,dénué de fondements réels,irresponsables entrainaient le même comportement chez les participants à un forum.Autrement dit la qualité d'une autorégulation vigilante dans un sous système interne (un forum)dépend de la qualité (fiabilité/preuves ) de son environnement de référence .Pour les partisans d'un régulateur public il est à noter que l'Autorité des Marchés Financiers n'a pas les moyens de surveiller les forums,et plus mystérieusement le professionnalisme des experts! 2)dès que sur un forum le nombre de manipulateurs dépassent le 1/3,les dérives et délires commencent à l 'emporter sur les arguments, les analyses objectives et les engagements responsables.C.a.d que le nombres de messages interpersonnels à la limite de l'insulte ou du dénigrement devient majoritaire.Le fait qu'un même forumeur puisse changer de pseudo autant de fois qu'il le veut rend difficile le repérage des faussaires,pourtant l'obligation de garder le même pseudo et encore mieux associé à un vrai nom rendrait de la visibilité à la majorité sérieuse et l'exclusion par repérage aux incompétents.Les réseaux qui l'imposent sont de ce fait d'excellentes qualité.Ceci répond directement à la question sur la fin de la régulation par l'identité réelle.3)quelques réseaux veillent à ce que les analystes ne soient pas que des conseillers mais aussi des investisseurs réels,(que les conseilleurs soient donc aussi des payeurs selon la célèbre formule).Les espaces numériques pourraient ils ainsi etre plus vertueux que les banquiers qui risquent l'argent de leurs clients ,mais pas le leur ;que les chefs d'entreprise qui sont pénalement peu responsables de la vie de leurs employés ;que les journalistes qui ne vérifient pas leurs sources ou qui se prennent pour des juges etc ....la déontologie du faire ce que l'on dit ,si elle existe formellement dans certaines professions à ordre reste sans doute une référence d'autorégulation applicable aux réseaux numériques.