Merci Sophie
Je pense que Sophie a enfin mentionné, dans le Webinaire, quelle était notre véritable addiction : nous sommes addicts au Bon Dieu. C'est-à-dire à une entité supérieure, à-priori bienveillante, et qui sait tout de nous ; comme nous-mêmes souhaitons le savoir de nos jeunes enfants ; et comme eux-mêmes s'y attendent et l'apprécient. Cette dépendance affective n'a donc pas de raison de disparaître, mais on peut faire confiance aux mécanismes du marché pour lui apporter de nouvelles solutions. Google passera un jour au second plan, comme ce fut le cas d'IBM puis de Microsoft.