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Semaine 4 / 1.3 Q1 : Relation personnelle

Rève

Pour compléter ce que j'ai peu écrire. c'est que cette passion était un rêve d'enfant qui devient concret .Il a juste fallu que je côtoie des personnes du spectacle et que je touche les potards

Rève

Pour compléter ce que j'ai peu écrire. c'est que cette passion était un rêve d'enfant qui devient concret .Il a juste fallu que je côtoie des personnes du spectacle et que je touche les potards

Répondez à la première question de la semaine

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir vos réflexions et réponse à la première question de la semaine : *Comment décrire l’expérience vécue d'une relation personnelle à un produit numérique ?* Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Répondez à la première question de la semaine

Comment décrire l’expérience vécue d'une relation personnelle à un produit numérique ? Une relation personnelle à un produit numérique, c’est bien sur une relation particulière, à sens unique, le produit numérique n’ayant pas de sentiment ni d’émotion même si certains croient en l’avènement prochain de robots affectivement sensibles. Mais le produit numérique est aussi une construction stratégique d’un groupe d’humain qui le destine à l’usage… Loin d’être neutre donc. Une relation asymétrique en tous cas, un peu comme celle qui lie un lecteur à l’auteur d’un livre. Par exemple l’attention minutieuse de l’équipe Apple pour le design de ses objets joue un rôle important dans l’attachement que certains y portent. Concernant Apple il y a eu aussi l’idée de se distinguer de la masse et aussi une supposée bien meilleure facilité d’usage des outils, logiciels inclus. L’expérience vécue d’une relation personnelle à un produit numérique c’est donc l’expérience d’un sujet face à une stratégie organisée d’usages possibles. Le lancement de tels produits fait fréquemment l’objet de toute une démarche médiatique de publicité du produit. Le sujet expérimentateur y vit toujours, plus ou moins consciemment, une expérience mêlée d’affects et de raison : sensations, émotions, sentiments, conception intellectuelle, élaboration mentale, etc. Pour revenir à l’exemple que j’ai pris précédemment, quand on nous a proposé de « décrire une relation vécue à un produit », j’ai exprimé d’abord de la sympathie à l’égard de Google, puis une ambivalence grandissante puis une défiance claire et malgré tout une continuité de l’usage compte tenu de sa simplicité, son efficacité et sa rapidité. On voit bien toute la subjectivité mise en jeu face à une stratégie organisée par d’autres sujets. De même pour Apple, on voit bien tous les sentiments positifs (précités) mais certains ont aussi exprimé l’enfermement organisé par la firme afin de rendre ses utilisateurs toujours plus captifs de ses produits, ce qui est nettement moins sympathique…

Répondez à la première question de la semaine

Je crois que c'est en terme de qualité de la réponse donnée que le besoin de présence du produit se fera ou pas. Un produit qui ne donne pas satisfaction est rejeté. Concernant mon rapport au téléphone portable, j'ai constaté que ce qui m'attache à cet objet peut être le degré de frustration qu'il m'apporte : j'ai voulu le jeter plusieurs fois car pas assez rapide, performant. Je veux qu'il soit parfait. le taux de satisfaction à mes besoins : recherche d'une appli, autonomie de la batterie. Sa capacité à me mettre en interrelation avec une autre application ou d'autres personnes

Répondez à la première question de la semaine

La question est subjective puisque je ne sais pas qu est ce qui est excessif (selon ma perception, celle des autres, celle du DSM?) et de plus la définition d un produit numérique couvre une infinité de pratiques sociales comme le démontrent les expériences. L accès continu et gratuit ainsi que le flux incessant facilitent le besoin et l envie de connexions multiples aux réseaux sociaux surtout, puisque leur logique commerciale est basée sur l attention, le clic et la présence en ligne suscitée notamment par le brillant succès des jeux sociaux tels que Farmville ... Mais je ne suis pas capable de décrire mon expérience avant et d après connexion à un rèseau social ou à Internet qu'à ma boite aux lettres ou qu'au journal papier que je recevais le matin. Maintenant ils sont tous accessibles sur mon téléphone et mon ordinateur, certes. La relation est médiée par ordinateur mais il me semble que l'activité (comme la conception sonore, le montage vidéo, ou la lecture sur tablette) procure du plaisir et non que ce soit seulement la connexion ou le rapport à une machine qui remplisse cette fonction. Puisque la question est posée dans une société développée et connectée, elle revient à demander de décrire l expérience vécue lors de n importe quelle activité sociale plaisante ou obligatoire. Dans une société connectée nous sommes tous dépendants ... à la connexion. Mais est-ce pathologique, est-ce surtout physique et biologique ? Le cercle de la dépendance - envie, besoin, plaisir durant la réalisation de l acte puis honte et culpabilité - peut etre pertinent dans certains cas très limités mais je ne pense pas que le qualificatif d addict s applique à l utilisation de logiciels comme Gmail, Word, Excel, Final Cut ou Reaper meme si l on travaille 10 heures quotidiennes avec. Les activités reliées au travail sont d ailleurs généralement exclues des catégorisations sans raisons autres que l absence de sentiment de culpabilité puisque ce sont des activités normalement acceptées. Elles entrent alors dans le champs d expertise du stress.

Répondez à la première question de la semaine

Il me semble que la notion d addiction au travail est définie et étudiée . Ça va bien plus loin que la question du stress en terme de pathologie.