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Semaine 4 / 1.1 Relation à un produit

Les moments d'accès

(repost, je me rends compte que je me suis trompé de forum) Avec les flux d'information permanents (twitter, FB), il y a toujours quelque chose à voir sur mon téléphone portable. Avant : j'observe que j'anticipe les micro-moments où je pourrais avoir cette connexion de façon socialement acceptable (donc être seul dans une pièce par exemple), ceux pendant lesquels j'aurais au moins 30s pour un coup d'oeil rapide. Il y a donc clairement une sorte de recherche permanente et inconsciente de la connexion. A comparer avec par exemple une recherche de la météo, ou d'une information précise, beaucoup plus justifiable, qui autorise à sortir le téléphone en public. Pendant : rien de bien spécifique, mais le rangement de l'appareil intervient quand l'isolation cesse, éventuellement en évitant de montrer qu'il y a eu connexion. Après : oubli et sans doute recherche de la prochaine connexion.

Une envis pour un soft

Depuis quelques années j'avais envie de travailler la prise de sons avec une console numérique et un ordinateur. Pendant longtemps je me suis tâté pour savoir si se n'était pas un coup de tête. Mais l'idée est finalement restée et j'ai investi un peu en faisant attention au budget. Maintenant que j'ai mes outils, il m'arrive de penser à la prise de son ou de mixage pendant mes voyages en voiture. Vous savez, là où on écoute de la musique. Moi , je décortique se que j’entends en me demandant comment est fait tel ou tel effet ou en me disant que tel chanteur(euse) chante mal , puisque j’entends un détune (La voie de Cher dans un titre célèbre). Tous c'est truc là , je le revois sur mon ordi pendant plusieurs jours s'il le faut. Une fois terminé , je ressent une satisfaction car je m'y suis impliqué fortement

Une envis pour un soft

Depuis quelques années j'avais envie de travailler la prise de sons avec une console numérique et un ordinateur. Pendant longtemps je me suis tâté pour savoir si se n'était pas un coup de tête. Mais l'idée est finalement restée et j'ai investi un peu en faisant attention au budget. Maintenant que j'ai mes outils, il m'arrive de penser à la prise de son ou de mixage pendant mes voyages en voiture. Vous savez, là où on écoute de la musique. Moi , je décortique se que j’entends en me demandant comment est fait tel ou tel effet ou en me disant que tel chanteur(euse) chante mal , puisque j’entends un détune (La voie de Cher dans un titre célèbre). Tous c'est truc là , je le revois sur mon ordi pendant plusieurs jours s'il le faut. Une fois terminé , je ressent une satisfaction car je m'y suis impliqué fortement

ma relation au trading par internet

BJR Je suis membre d'un club d'investissement boursier ,donc j'utilise deux plate forme de brokers ,et je me suis constitué une banque de liens ( la plupart gratuits)avec des sites experts ,qui eux mêmes contiennent des liens avec des analystes ,des sites d'informations générales ou spécialisées ,et je suis aussi connectés à des blogs d'échanges gérés en public ou en privé.Chaque jours sur ma barre permanente, j'en ai 9 entrées ,avec entre 5 et 10 sous /entrées /jour qui génèrent de 5 à 50 contacts chacune.Ceci est censé aider à la bonne décision d'investissement.en fait cela ne réduit pas du tout l'incertitude,mais ce sot des expériences stressantes ,qui stimulent l'attention,la vigilance ,la patience (si non c'est fou!)et un engrammage dans le cerveau mais aussi dans les centres émotionnels du corps qui donnent une méthode de travail plus efficace au bout de 2 an minimum pour ceux qui ne craignent pas l'apprentissage par essais/erreurs . C'est long ,beaucoup perdent d'argent avant et se découragent avant de craquer. Bien sur la Bourse c'est complexe mais Internet a compliqué la chose en piégeant la reflexion par sur-information ,ultra rapidité et forums délirants squatés par des vicieux. J'aimerais partager avec d'autres utilisateurs de ces outils merci jphed

relation addictive

j utilise mon ipod tous les jours je suis addict mon premier reflexe c est de consulter mes mails de consulter des applis je n ecoute plus de musique premier utilisation de ce que j ai achete cet appareil finalement ces appareils sont eloignes du but premier avant d utiliser cet appareil il est important q ui l soit charge je depends d une batterie cest presque un vide s il est decharge apres son utilisation je n eteint jamais l appareil il faut q uil soit toujours allume finalement ces appareil creent une dependance invisible

relation addictive

Bonjour, C'est vrai qu'on a beaucoup dit, pour l'addiction au tabac notamment, que le fait de fumer en sortant du lit était un signe important dans le sens de l'addiction. Mais je ne sais pas si cela s'applique à Internet. C'est sur que la concentration des possibilités dans un seul objet augmente la sensation de dépendance à l'objet, car on se dit que sans l'objet on ne pourrait plus rien faire. Par dépendance invisible, vous voulez dire que l'on bascule dans la dépendance sans s'en rendre compte? Guillaume

relation addictive

effectivement, regarder son portable au réveil pour savoir quels sont les nouveaux messages et mails; si il est éteint, récupérer le chargeur pour la batterie. portable branché, allumer pour pouvoir connaître les nouveau messages...

généalogie

J'avais commencé mes recherches généalogiques avant l'arrivée d'internet. J'ai donc été l'une des premières utilisatrices des logiciels de recherche. Au commencement, j'étais ravie de trouver des informations sur mes ancêtres et je pensais que les enfants s'en amuseraient et que ce serait un moment de partage avec eux et l'histoire de leur famille. Trop naïve ! Ils n'en avaient rien à faire. J'ai donc continué seule en me faisant mes premiers cousins virtuels. FACEBOOK n'existait pas encore mais on arrivait à organiser des cousinades. Cela correspondait à la période où je souffrais de solitude. Je partageais avec des inconnus mais nous avions un tronc commun : la famille. Les possibilités d'échange par internet étaient assez réduits et nous nous écrivions en nous envoyant des textes d'archives, des photos, etc. Pour faire des recherches généalogiques il fallait se déplacer de mairie en mairie, de paroisse en paroisse, puisqu'il fallait consulter des actes originaux. On se les partageait sur le net, un système de pear 2 pear légal à l'époque puisque le mot n'existait même pas. j'accumulais des piles de documents, que j'imprimais car j'imprimais tout... l'encre était moins chère et les cartouches duraient plus longtemps ! Puis est venu le temps du "tout payant". Je me suis retrouvée envahie de papier jusqu'à l’écœurement. Aujourd'hui tout est dans des cartons avec une étiquette "important ne pas détruire".

Logiciels informatique

Dans les entreprises l'ERP guide la gestion au quotidien. L'on pourrait devenir accros à ces logiciels car sans eux, plus moyen de connaître l'état des commandes, encours de production, états des stocks, des commandes, des individus, des finances. Imaginez si un seul jour ce logiciel venait à faire défaut. J'amène le sujet dessus, car dans les mois à venir les ERP vont fonctionner Via Internet. Jusqu'à présent ils avaient des logiciels indépendants, mais les professionnels proposent la version Internet. Voilà une nouvelle addiction à internet. J'ai depuis peu une petite addiction à internet pour visualiser les cours Moocs en ligne et pour approfondir mes connaissances sur le numérique (je viens de finir un Mooc d'Orange sur les métiers du Web conseiller et Décoder le code. Aventure passionnante et enrichissante, utilisation d'un logiciel de programme SCRATCH, et depuis j'aimer échanger avec les marques et des internautes pour partager divers sujets, notamment défendre les animaux et le recyclage. J'utilise l'internet à juste dose pour rechercher plein d'infos sur différents sujets.

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Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir votre essai. Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

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N’étant pas adepte de jeux numériques et ayant à peine débuté avec Twitter, j’ai hésité pour choisir entre l’objet ordiphone (smartphone) que je possède depuis environ un an et le moteur de recherche Google. J’opte pour le second : Google durant un long premier temps, j’ai trouvé cela vraiment bien et même très épatant : de loin et depuis le début le plus efficace des moteurs de recherche que j’ai eu l’occasion d’essayer, toujours une longueur d’avance ! Et ils faisaient une très bonne impression ces deux jeunes très doués qui avaient mis cela en place grâce à des algorithmes top secrets émanation de leur intelligence brillante. C’était très étonnant de voir les améliorations au fur at à mesure : correction d’orthographe, autres suggestions, traitement par images, introduction de la vidéo, etc. Je crois que c’est autour de l’apparition de Google Earth que j’ai commencé à me poser des questions : d’un côté c’était incroyable de pouvoir voir ainsi la planète en détails, même ma maison avec ma voiture garée devant ! Mais cette ambition à cartographier et pouvoir observer chaque endroit habité de la planète, donc éventuellement de me suivre pas à pas, a commencé à m’inquiéter. Il a semblé d’ailleurs que cette cartographie, comme beaucoup d’autres inventions technologiques avait d’abord été mise au service de l’armée américaine qui avait une précision bien plus grande encore que ce que nous pouvions voir : encore plus inquiétant. D’ailleurs les allemands se sont défendus face cette tendance intrusive : ce n’était pas que « mon délire ». A partir de là ma relation à Google, le moteur de recherche qui s’améliorait encore et toujours, est devenue beaucoup plus ambivalente mais j’ai continué à m’en servir. J’ai bien tenté d’aller voir du côté des logiciels libres et des moteurs de recherche alternatifs, mais pour le béotien du numérique que j’étais cela a rapidement été décourageant : Google était tellement plus simple, plus efficace et plus pratique ! Peu à peu l’ambivalence s’est muée en défiance (et cette défiance s’est d’ailleurs étendue à d’autres entreprises importantes du numérique) : la précision des algorithmes associée à d’importants progrès technologiques permis par des investissements massifs m’ont peu à peu donné l’impression d’une sorte d’ogre affamé de cultures mondiales et de vies privées : il y a eu l’ambition de photographier tous les livres anciens du monde, il y a eu la connaissance de l’utilisation de toutes les traces que nous laissons à des fins commerciales, il y a eu le projet Google glass qui aurait permis à n’importe qui de me filmer ou de savoir des tas de choses sur moi en direct et à mon insu, il y a les ambitions de Google sur la santé ou sur le spatial: toujours plus! Pourtant à ce jour je continue d’utiliser Google parce que cela demeure le plus efficace que je connaisse, j’ai même pris depuis quelques temps un compte gmail et me suis initié à d’autres nouvelles fonctionnalités… Voilà, sans être addict à Google, j’ai quand même le sentiment d’en être devenu excessivement dépendant grâce à leur efficacité et, malgré mes réticences marquées, je continue à m’en servir. C'est quand même incroyable de penser que ce truc qui a juste une quinzaine d'année a pris tant d'importance. Je le vis aussi un peu comme une sorte de colonisation technologique. Mais je serais preneur d’un substitut alternatif concurrentiel.

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Je ne possède que deux "objets numériques" : mon ordinateur et mon téléphone portable qui n'est même pas un smartphone. Je ne suis pas sur les réseaux sociaux. Je ne joue pas à des jeux nécessitant un support numérique. Je ne suis donc pas addict... Sauf que je suis devenue terriblement dépendante ! C'est sans doute de **ma** connexion internet dont je suis le plus dépendante, c'est à dire à la connexion à partir de mon ordinateur. Consulter les horaires de trains, consulter mon compte bancaire, commander des livres (même si je les commande à mon libraire, je le fais par internet...), faire les soldes, consulter ma messagerie, faire des recherches sur des sujets variés, professionnels ou non, suivre un mooc, skyper avec des amis qui sont loin... et encore plein d'autres choses... Tout cela se fait à l'aide de cette connexion. La première chose que je fais le matin est de consulter mes mails, la première chose que je fais en rentrant chez moi également, quand bien même j'ai consulté ma messagerie 15 minutes avant depuis mon travail ! Et c'est également la dernière chose que je fais avant de me coucher : c'est pour cela que je parle de **ma** connexion internet. C'est un attachement fort ! Le sentiment de désarroi qui est le mien quand mon ordinateur a un problème, ou quand je n'ai plus de connexion, en témoigne ! Et pourtant je pars en vacances sans connexion sans problème...

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J'ai eu deux phases de liens avec un objet ou jeu : tout d'abord dans les années 90, ce fut "Syndicate". Jeune étudiant à l'université, j'ai découvert ce jeu par un ami. De mémoire, j'ai eu toute une période de découverte du jeu. Puis vint l'apprentissage de ce jeu avec la curiosité et le besoin d'y retourner. Enfin, ce fut une réelle dépendance au jeu avec la volonté farouche de vouloir passer les étapes, réussir, gagner, s'énerver, repartir excité au boulot (j'avais un boulot étudiant à l'époque). Cette phase s'est terminée après avoir surconsommé ce jeu; une sorte d'overdose de ce jeu qui ne m'a pas incité à aller sur un autre. Deuxième phase, actuelle celle là avec le besoin indispensable d'avoir le téléphone portable à coté de moi, avec moi. C'est un côté presque irrationnel du besoin d'échange et de communication et pourtant je ne suis pas inscrit sur Facebook.

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Mon ordinateur représente probablement mon objet "liant", étant donné la place quasi-exclusive qu'il occupe dans mon quotidien. Je ne regarde plus la télé sur la télé, mais sur mon moniteur. Idem pour les films, de plus en plus en VOD. Mes lectures se font à travers lui (soit en lecture directe, soit par kindle). Mon compte bancaire, mes loisirs, mon travail, mes relations, tout passe par lui. S'il tombe en panne, où que j'ai le moindre soupçon à ce sujet, je dépense immédiatement les sommes nécessaires ... via des achats en ligne par ce même ordinateur. Je ne pense pas y être attaché en tant qu'objet unique. Il s'agit plutôt d'un outil, un "hub" qui me sert de point d'accès à mon existence numérique. L'ordinateur est donc interchangeable, pourvu que son remplaçant ait la puissance suffisante pour prendre la suite. Difficile de dire si je suis fébrile avant sa possession, ou si je suis repu après sa "consommation". Il est tellement devenu ordinaire dans mon quotidien, qu'il me semble aussi naturel de tripoter la souris que de respirer. Un peu comme si on me demandait si j'étais addict à mes lunettes de vue ...

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Peut-être pourriez-vous choisir une application spécifique disponible sur votre ordinateur, à laquelle vous êtes attachée, et chercher à déterminer quels sont les vécus liés à l'utilisation de cette application (ou à la préparation à son utilisation) ?

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Moi, c'est à mon ordinateur même que je suis attaché. Cela a commencé il y a 30 ans, avec un Mac SE (le cube). Ensuite, dans mon job, j'ai eu des PC : ils m'ont toujours paru merdiques. Je suis revenu au Mac, et je me sens *materné* ; c'est-à-dire, en sécurité. Je sais que cela marchera, je sais que si j'ai besoin d'en faire plus, j'en aurai la possibilité, je sais que je saurai m'en servir. Pour un peu, je ferais brûler un cierge à Steve Job !

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Je ne dois pas être "numérico-dépendant" pourtant je cherche l'objet qui me relie ... pas mon téléphone: j'en ai 2, un personnel, un professionnel, que je mets tous deux en mode avion le soir avant de dormir et qui me servent de réveil matinal... il m'arrive parfois de m'apercevoir que j'ai laissé ce mode en milieu ou fin de journée! pas mon ordinateur fixe ou portable ou ultra portable (oui les 3): - le fixe c'est pour mes loisirs, mes recherches ma comptabilité, mes achats en ligne, regler les factures et mettre mes photos sur le cloud soit environ une utilisation de 15 minutes en semaine et maximum 2 h en WE, - mon portable c'est pour le travail donc près de 6 à 8h par jour en semaine et plus souvent zero que 1h le week-end et pas du tout en vacances. - Mon ultraportable, besoin qui me semblait impératif, lors de l'achat et qui n'a pas plus actuellement d'une heure de fonctionnement par semaine. reste les PS et XBox des enfants: A oui j'ai testé leurs jeux à l'achat mais il y a bien plusieurs mois (années?) que je n'y ai pas touché décidément je n'ai rien à apporter sur le plaisir ou la relation forte avec un outil numérique et pourtant je reste toutefois à l'affut des dernières nouveautés pour les acquérir des leurs sorties (iphone6, bracelets connectés pour des cadeaux, etc.). Reste donc l'addiction à ce mooc et ses deux heures hedomadaires.

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Si tout va bien pour vous et que vous n'avez pas de relation forte à un produit numérique, je vous invite à analyser une application que vous n'utilisez pas du point de ses caractéristiques. Et si vous essayiez Candy Crush ?

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Vous pratiquez là une expérience de fabrication d addiction? :D:D ?

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Pas vraiment. Mais pour comprendre la mécanique de Candy Crush par exemple, je pense qu'il faut y jouer quelques minutes au moins. Si ensuite vous y restez malgré le côté expérimental de la chose, il y aura beaucoup à étudier au niveau expérience vécue !

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Je vais finir le niveau 42 d hay day et je vous réponds ensuite ;)

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Je ne comprenais pas pourquoi autour de moi, quelque soit son âge, jouait à Candy Crush. Alors j'ai essayé et autant j'ai pu jouer à ce genre de jeux "3 in a row" autant là, non, j'ai l'impression que l'on veut induire une addiction au sucre. Je ne rigole pas. Je vous autour de moi une génération 26/35 ans qui a toujours des bonbons sur le bureau et en mangent compulsivement comme ils jouent compulsivement. Je pense que ce jeu n'est pas anodin.

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Pour ma relation à mon smartphone, assez récente finalement c'est vraiment devenu un multiple outil mais qui finalement remplace d autres, (les services divers, le réveil, les appels, (si si parfois J utilise mon smartphone pour téléphoner) Un indice assez fort c est la surveillance de la jauge de charge que je gère comme mon stock de tabac : toujours dans l anticipation je ne dois pas manquer.) Les petits jeux qu comblent les temps vides . J aime l idée du contrôle et du coup je joue avec mes limites. Je les dépasse (temps excessif et priorités inversée : quand je fais une partie avant de commencer à manger par exemple.....) et ensuite quand je suis bien engluée dans le jeu :sevrage sec et net .. Ça crée un vide ça me "bouscule" . et je recommence après quelques jours, je vais sur playstore et je charge un nouveau produit. Candycrush, hay day, l âge de glace, les si ms, J ai même réussi à tomber en phase excessive avec le défi géographique des villes.. Je pense qu un bon mooc peut également remplir cette fonction.. mais est ce spécifique au numérique ? Je pourrais "jouer" à ça avec la chocolat ou le tricot, les mots croisés ou les commérages avec des voisines. C est juste plus accessible et facile avec le numérique .

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bonjour, après lecture des messages précédents, je me suis souvenue d'un jeu auquel j'ai joué il y a quelques années. Le Boggle en ligne c'est un jeu de mots qui existe aussi en réel mais tout seul c'est pas très rigolo. alors je suis allée sur un site de jeux de mots gratuits et j'ai commencé à jouer. Une première partie et comme je n'avais pas joué depuis mon enfance, j'ai eu envie de recommencé pour voir si mon score était meilleur. puis une autre partie et encore une autre et encore une autre... je me disais bon, juste une dernière et j'arrête ! et puis non je continuais et au finale j'ai joué comme ça pendant 2 heures sans m'arrêter. le lendemain je suis retournée sur ce site et j'ai recommencé (un peu moins longtemps) et les jours suivants. et puis la semaine suivante, au boulot j'ai eu envie de faire une pause et je suis allée aussi sur ce site et j'ai joué.... plusieurs parties. j'ai décidé ensuite de ne plus retourner sur site car je trouvais idiot de passer son temps à ça alors que j'appréciais cela au moment où je jouais. en même temps ça m'énervait ça m'excitait. j'avais pendant la journée plusieurs fois envie d'y aller pour passer le temps en peu mais je savais que si je me connectais, je resterais accrochée à ce jeu. et je n'avais pas envie de cet attachement.

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mon expérience professionnelle de twitter ne m'incite pas à créer un compte perso. en effet je suis chargée de communication pour une association et de ce fait je gère les comptes de l'association dans les différents réseaux sociaux. je trouve que twitter peut être très intéressant pour réaliser une veille sur un ou des sujets précis. Mais aussi qu'un grand nombre de tweet un sans interêt notamment quand les gens tweet tout ce qui dit lors de conférences par exemple il vaudrait mieux à mon avis prendre des notes et twitter ensuite le résultat de la prise de note. les infos à chaud et en grand nombre sont souvent source d'infobésité. je trouve en même temps que ce service est terriblement chronophage. par exemple lors d'évenements de faits divers, les infos arrivent tout le temps, on ne peut rien faire d'autre que de lire chacun des tweets....ou alors se déconnecter. J'ai vu que que la plupart des mooc créaient des comptes twitter je me suis demandée si j'allais être obligée de me créer un compte perso et pour l'instant j'ai décidé de m'en passer mais je me dis que je passe peut être à côté d'une information importante.

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En fait il me semble que chaque (presque) addiction c'est suivi d'une claque qui m'a remis dans le réel. Il y a très longtemps avec mon premier modem 14k les factures de téléphone sont montées à des niveaux tels qu'il a fallu arrêter les connexions. Ensuite je me suis fait pirater mon compte BBS, ça m'a bien refroidi. Idem après le hackage de mon blog. Et récemment l'agression publicitaire a provoqué une nausée soudaine qui m'a débranché de facebook et des applis "gratuites" sur l'iphone.

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Je travaille tous les jours avec le numérique, mes loisirs tournent autour du numérique. Je croyais avoir du mal à me passer d'un ordi connecté... pendant 8 jours durant les vacances d'été je l'ai fait, sans problème. Je croyais avoir du mal à me passer de mon tel portable... j'ai résilié mon abonnement, cela fait 15 jours en attendant un nouveau smartphone et forfait... aucun soucis. Je pense que ce qui est difficile c'est de ne pas utiliser un ordi ou Internet alors qu'on a les outils actifs et sous la main. Je pense que les fabricants de technologies addictives réussiront lorsque cette technologie sera "intégrée" à nous, indissociable, voire transplantée [bouh, quelle horreur !]

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J'ai une relation majoritairement utilitaire avec tous les objets numériques. Qui peut virer à l'agacement voire à l'exaspération quand ça marche pas ou que le temps de réponse est trop long. Auquel cas, je pose l'appareil et je fais autre chose. Je n'aime pas acheter les terminaux numériques et surtout pas le dernier cri. C'est trop cher. Pour moi le plaisir que j'en retire ne vaut pas la dépense. Du coup, c'est mon mari achète : c'est lui qui m'a offert une tablette, un téléphone mobile perso et un PC. Si j'étais seule je me procurerais des appareils de 2de main et je m'abonnerais à internet. Les jeux très simples que j'aime y seraient tout à fait accessibles. Il m'arrive en effet d'avoir des périodes de pratique intensive avec des jeux : démineur, tétris et autres jeux du même style, Farm Frenzy, Township. Ils servent à combler des périodes d'ennui ou à occuper des temps de loisir (=> jamais au travail, jamais à la place de m'occuper des enfants, jamais quand je reçois des invités etc.) Et puis ça passe au bout de quelques semaines ou quelques mois. Quand le jeu me plaît vraiment, il tend à remplir la majorité de mes temps de loisirs mais jamais tous. Et je profite de chaque instant libre pour faire une ou deux parties, entre deux autres choses. Du coup, ça occupe quand même pas mal mon esprit et je développe des tactiques pour créer ces temps de battements. Au final, ça finit souvent par m'écœurer un peu et je ralentis. Exactement comme pour une cigarette, il suffit de chasser la pensée que je pourrais en fumer une pour que l'envie s'envole. Apprendre à connaître un nouveau jeu est de toute façon un effort que je n'ai jamais envie de faire. A chaque fois c'est mes amis ou ma famille qui m'initient. J'ai rêvé de Tétris au début où j'ai commencé à jouer, expérience partagée par d'autres personnes avec qui j'en ai parlé. Sinon, j'adore recevoir des mails, ceux du boulot surtout. Je vérifie très souvent ma messagerie. De façon générale, je me sens très réfractaire à l'addiction. Quel que soit l'excès, dès que je m'en approche, je me sens mal, physiquement (mal au cœur avec le café, la cigarette, le chocolat, l'alcool) ou moralement (je me sens merdique si je chèque mes mails 2 fois par heure quand je suis en RTT, si j'ai un peu bu tous les jours pendant une semaine d'affilé, si je n'ai pensé qu'à jouer à un jeu pendant une journée etc.), et j'arrête.

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Comme plusieurs personnes qui ont déjà répondu à la question, c'est de l'accès à Internet dont je me sens la plus dépendante. A travers elle, je cherche à rester en contact avec "les gens". Je travaille seule la plus grande partie du temps, seule dans la pièce mais en relation suivie avec de très nombreuses personnes en ligne. Quand je ne peux pas leur parler, savoir ce qu'elles font, ce qu'elles ont posté, ça me manque terriblement. Quand je suis avec d'autres personnes, dans la même pièce, j'ai plus tendance qu'auparavant (avant les outils portables) à m'impatienter dans des conversations stupides, en pensant qu'il y a sans doute des gens supers qui publient des trucs formidables en ligne et avec lesquels je pourrais interagir. Et en plus, quand on rencontre en ligne des gens avec lesquels on n'a pas d'affinités, il est tellement facile de les éviter, bien plus que dans la vie physique ! Internet a intensifié chez moi la perception aiguë de me construire et de m'épanouir avec les autres. J'ai appris à communiquer en ligne de manière personnelle, à entretenir les relations, à l'égal de ce que l'on fait avec ses proches IRL. Quand je suis privée de cette compagnie, ça me manque.