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Semaine 3 / 1.1 Attention, perception corps, temps, identité sociale

phase 1

J'ai été "victime" d'un burn out il y a 5 ans et ai été agressée au travail. Je suis donc sous traitement, mes réponses vont donc en dépendre : 1. Mon attention est médiocre et je souffre d'aphasie. Décalage entre la pensée et l'expression. Quand la locomotive va trop vite tout déraille alors je fixe un objectif visuel, une parole d'ancrage. Lorsque je dois travailler dans l'urgence en étant trop sollicitée ailleurs, je visualise un panneau "stop" ce qui me permet de me reconcentre sur l'important. J'ai des alarmes pour tout sur le smartphone. 2. Je me permets des moments de flâneries en sortant du travail. j'ai la chance d'habiter près du campus universitaire. En été je marche au lieu de prendre les transports (jamais de voiture). En hiver je passe un peu de temps dans des endroits qui me permettent de déconnecter. De la musique, de la lecture (livre papier). Peu de télé, plutôt le cinéma et les expos. j'ai eu l'habitude de passer trop de temps au travail et je le pair encore aujourd'hui. En fin de journée j'ai programmé une alarme "range tes affaires et casse-toi". Quelques fois, je ne l'écoute pas. 3. Mon corps a beaucoup souffert alors aujourd'hui je gère plutôt dans la prévention. Alimentation très saine, pas d'alcool, pas de tabac. Je prends plaisir à faire le marché, pour le reste commande sur le net. Le sommeil est médiocre et doit être aidée. Couchée dans un créneau horaire défini pendant la semaine de travail. Pas d'activité intellectuelle avant le coucher. Un bon livre . Je pratique la méditation en pleine conscience depuis plusieurs années. Mes douleurs physiques sont induites par mes journées passées devant l'ordinateur : problèmes de dos, de cervicales, fatigue oculaire, etc. 4. J'affronte avec difficultés me regard de l'autre, ma place dans la société, dans ma famille car je me sens souvent en décalage. Alors je pratique l'auto-compassion et je retrouve une certaine assurance.

phase 1

Merci pour ce témoignage tres personnel qui sème pour tous ceux qui pourraient se retrouver dans la situation qui était la votre des petits cailloux sur le chemin de la reconstruction jlv

phase 1

Le docteur Picard , celui qui s'envole en stratosphère, utilise l'auto hypnose pour se reposer et se déconnecter complétement.

Vos réponses aux questions de la phase 1

Bonjour, Merci de répondre à ce message pour saisir vos réponses aux questions posées tout au long de la phase 1. Damien Aubert, membre de l'équipe technique.

Vos réponses aux questions de la phase 1

1. Je pense avoir de bonnes capacités d'attention, tout en pouvant parfois me disperser si je suis fatigué, et je m'en rends généralement compte. J'apprécie le "temps vide", en écoutant de la musique, par exemple, mais j'ai tendance à le remplir, surtout le soir, en regardant des films et des séries. Concernant le sommeil, je m'endors facilement mais j'ai tendance à me coucher trop tard (et à le payer le lendemain). 2. Je trouve mon corps plutôt en forme, sans doute parce que j'essaie de pratiquer une activité physique régulière (je me déplace beaucoup à pied et à vélo, je fais un peu de sport). Mais je ne respecte pas mon sommeil comme je le voudrais, j'ai tendance à accumuler beaucoup de fatigue avant de changer de comportement. 3. J'ai l'impression que mon temps est en grande partie occupé par des activités planifiées avec par conséquent de faibles risques de perte de contrôle du temps qui passe (merci Google Agenda). Par contre le soir, bien que je me fixe une limite, je ne la respecte pas souvent. 4. Dans mon rapport à moi-même, j'essaie de voir une cohérence dans mes différents actes pour trouver de la satisfaction dans ce que je suis. Dans mon rapport aux autres, j'essaie d'être à l'écoute, de pratiquer l'humour en toutes circonstances, de favoriser des ambiances détendues, de prendre du recul pour comprendre mon comportement et celui des autres. Malgré moi, je ne montre pas beaucoup de moi-même, j'exprime peu mes sentiments, et c'est forcément en réaction au regard des autres que je peux influer sur cet aspect de mon caractère.

Vos réponses aux questions de la phase 1

Concernant 1,2,3 je pense être le bon élève car je pratique plusieurs disciplines psychosomatiques, faites pour aller dans ce sens ; ceci de façon quotidienne, et depuis ... longtemps. En revanche, pour 4, je me sens complètement dans le cirage (malgré une recherche volontaristes d'expériences particulières).

Vos réponses aux questions de la phase 1

1 mes capacités d’attention sont liées à l’intérêt que je porte à un sujet, et à mon état émotionnel. Par exemple, si je suis énervée, j’ai du mal à me concentrer. Si je dois travailler ou assister à une réunion sur un sujet qui ne m’intéresse pas, alors j’ai rapidement du mal à me concentrer, et j’en profite pour lire mes mails sur mon smartphone (bouh….). Sinon, toutes les alarmes liées aux arrivées de mail sont désactivées. Je me ménage des moments pour penser (le week end en allant marcher). 2 je perçois mon corps avec mes 5 sens _ ou tout au moins sans appareil de mesure connecté ou pas. Je fais attention aux messages sur le sommeil et les tensions dorsales qui pour moi viennent signaler un problème d’équilibre général. 3 au travail j’utilise un agenda électronique qui signale l’heure de la réunion suivante, et je bloque des plages horaires de disponibilité dès que j’atteints 4h de réunion par jour. Je n’ai pas de montre. J’utilise en priorité les horloges murales, puis le smartphone. Hors du travail, je ne suis pas particulièrement le cours du temps qui passe, sauf pour aller à un rdv, sortie, ou attraper un train. 4 j’ai une présence sur les réseaux sociaux (de 5 à 30 items par semaine). J’apprécie quand certaines publications sont likées ou commentées, mais ce n’est pas vital pour moi.

Vos réponses aux questions de la phase 1

L attention Ma faculte d attention ne s altere pas avec le numerique au contraire le monde des images force l attention et le niveau des details le temps vide est mieux exploite, on rempli le temps d inactivite en se connectant au cas où un mail ou une nouvelle info soit disponible. Evidemment la relation aux autres en direct s en trouve affectee . Perception du corps Les yeux se fatiguent et le temps d activite se rallonge par le biais d une connectivite aux objets permanente hormis le temps de sommeil. LE TEMPS il y a une non perception du temps passe pendant les connections, mais heureusement il y a le temps des interractions exterieures qui interferent PERCEPTION DE L IDENTITE Il y a une meilleure perception de l identite puisqu elle est nommee (identifiant, mail,ou avatar) même si elle est noyée dans la masse on a l impression d une unicitė et singularité de son expression

Vos réponses aux questions de la phase 1

1. Capacités d'attention : aucun problème pour ça, ma capacité de concentration a contribué à la réussite de mes études et me permet de travailler imperturbablement quand des gens discutent ou chahutent (ça arrive) dans mon bureau. Elle me fait défaut dans les monologues (colloques, exposés)quand les gens ne sont pas bons à l'oral. 2. Attention au corps : normale. Je me couche quand je suis fatiguée, quand je peux si je suis malade. Je fais des activités sportives en fonction de mes capacités. Par contre je ne mange quand c'est l'heure car j'ai constaté que j'avais besoin de manger à des heures régulières pour être en forme. 3. J'ai conscience du temps écoulé en général, sauf en cas de concentration intense sur un travail important, ou de captivation par un roman (ma perception du temps se concentre ou de distend, ça dépend). Il m'arrive de jouer à deviner l'heure avant de regarder. Je me trompe rarement de beaucoup. 4. Je n'aime pas me montrer sur internet. Quand je le fais c'est à des cercles contrôlés (enfin, j'ai l'illusion que c'est le cas). Par contre, il m'est arrivé de publier des articles dans le cadre professionnel et d'aller consulter les stat. de lecture plusieurs fois par jour. C'était important pour moi que les articles soient lus, pas seulement pour comprendre mon lectorat et ses attentes, mais aussi pour avoir le sentiment d'avoir son approbation. C'était excitant et limite compulsif. A part ça, je fais une psychanalyse depuis 4 ans, donc je travaille sur mon identité et je n'ai pas besoin d'internet pour travailler mon égo.

Vos réponses aux questions de la phase 1

1. Attention J'imagine que mes capacités d'attention sont correctes. Tant que le sujet m'intéresse, je peux me concentrer dessus. Dans le cas contraire, je dois lutter pour rester éveillé. Heureusement, mon imagination est là pour m'occuper l'esprit le temps que ça passe. Je pense pouvoir m'aménager des temps de pensées libres, le soir ou le matin, dans le lit, ou quand je marche dans la rue. La musique aide à stimuler tout ça. Je ne supporte pas le temps vide, car je pense avoir toujours mieux à faire (lire un bouquin, avancer dans un travail, un jeu à finir ou un nouveau à essayer, etc.). Bien entendu, je dors peu ... même si j'apprécie la grasse mat' . 2. Perception de son corps Pas trop compris de quoi il est question. J'imagine que cela indique que je perçois mal mon corps. Disons que se sentir vieillir n'est jamais agréable. Alors autant penser à autre chose. 3. Perception du temps L'horloge sert à ça, je suppose. Mais il doit y avoir un sens caché ... Globalement, j'essaie de prendre le temps dont j'ai besoin, que ce soit 10 secondes ou 10 ans. 4. Perception de son identité Je sais que je n'existe que sous forme d'image pour les autres. Une image qui n'existe que dans leur esprit, et très certainement très différente de ce que je suis. Et comme je ne pourrai rien y changer, autant ne pas y accorder trop d'importance. J'imagine donc que ma perception est mauvaise ... ça ne m'empêchera pas de dormir.

Vos réponses aux questions de la phase 1

1 Mes capacités d’attention sont variables selon les circonstances. Elles me semblent les plus mobilisées lors de moments de concentration. Cela est le résultat d’une volonté. L’attention est un travail psychique centré sur la conscience. Il me semble qu’il y a aussi au moins une autre forme d’attention, celle qui consiste à réaliser des tâches simples ou répétitives, comme repasser du linge ou éplucher des légumes et faire la cuisine ou jardiner : là l’attention a fréquemment une fonction d’occupation qui participe à « vider la tête ». Mes capacités d’attention peuvent être distraites par de nombreux éléments, par exemple les bruits ou les sons ou interrompues parce que ma pensée suit un autre cours, sur un mode d’association plus libre. En règle générale, je n’ai pas le sentiment de me disperser. Bien sûr que je me ménage des moments pour penser plus librement, pour rêver et laisser vagabonder mon esprit. J’aime le temps dit « vide » que je considère comme un temps d’éclosion de créativité. En général je dors bien, moins bien en avançant en âge cependant. Parfois je me réveille la nuit et certaines fois j’ai du mal à me rendormir.Dans ces cas là il m'arrive (heureusement rarement) d'être envahi par des sujets importants de la journée ou même par des sujets anodins. Oui je me rends compte régulièrement que j’ai perdu mon attention. 2 Je perçois mon corps quand j’y prête une certaine attention, en me mettant à l’écoute de tel ou tel élément de celui-ci. Je peux aussi percevoir mon corps en tant qu’image, par exemple dans un miroir. Je perçois aussi mon corps de manière plus évidente lorsque je fais un effort, par exemple si je cours je sens plus les battements de mon cœur et la circulation accélérée du sang dans mes veines. Ou lorsque je ressens des émotions fortes. Il y a de multiples manières de ressentir son corps. Il me semble souhaitable de prendre en compte les messages et limites du corps tels que douleur, satiété, fatigue, etc. J’en tiens compte, étant entendu qu’il y a une grande marge permise par notre corps, par exemple face à la faim ou à la fatigue. Parfois on ignore, consciemment ou non les messages de notre corps et quand c’est trop, c’est évidemment nocif. 3 Trop vaste question ! Concernant le temps passé à une activité, soit je regarde l’heure soit je sens que « j’ai ma dose ». 4 Là aussi très vaste question ! Une part non négligeable de notre identité s’établit sur des identifications et introjections. Je me perçois, je me ressens et je m’apprécie plus ou moins selon les moments ; il est clair que le regard ou l’avis des autres peuvent contribuer à influencer cette perception et ces ressentis. Oui, je suis dans une certaine mesure dépendant du regard des autres mais j’ai aussi heureusement acquis une certaine indépendance étayée sur une certaine estime de moi. Tout cela est variable selon les circonstances et les époques de ma vie.

Vos réponses aux questions de la phase 1

Bonjour, il est malheureusement impossible d'écrire en anonyme en répondant à un message, ou bien je n'ai pas trouvé ou compris comment ça marchait. Mais tant pis, je poste quand même. Mais je trouve ça un peu bête car si on poste un message anonyme, et bien après on ne peut plus répondre anonymement à la personne qui nous aurait répondu, sinon notre identité est dévoilée... 1) attention Mes capacités d'attention sont plutôt limitées je trouve. Je me distrais assez facilement, je suis une grande rêveuse, j'ai malheureusement bien le sentiment de me disperser parfois. Le temps vide que j'ai de moins en moins, je le supporte plutôt bien étant donné ma propension à rêvasser que ce soit positif ou malheureusement négatif. De manière générale la qualité de mon sommeil est plutôt bonne et oui parfois j'ai l'impression que j'ai perdu de mon attention au fil du temps, même si depuis toujours je suis plutôt distraite, mon esprit à toujours eu tendance à vouloir vagabonder. Il suffit qu'on parle d'une chose qui me fasse penser à quelque chose pour que je perde le fil de mon écoute, malheureusement. 2) perception de son corps Comment je perçois mon corps ? Je ne suis pas très souple en tout cas. Je sais pas trop à vrai dire mais, je suis très à l'écoute de mes émotions et de mes ressentis, un peu trop peut-être, parfois je me laisse un peu trop envahir. En général je prend en compte les messages d'alerte de mon corps. 3) perception du temps Je perçois le temps qui passe comme une fusée. Je trouve que le temps passe extrêmement vite, même si l'on ne fait pas grand chose de sa journée. Le temps que je passe à une activité, en générale trop de temps. 4) perception de son identité Par rapport à moi même je me perçois comme quelqu'un de passionnée mais qui n'ose pas. Par quel moyen je sais pas, mais je sais que je m'intéresse à énormément de choses, mais qu'il y'a très peu de choses que j'ose faire (comme par exemple certains arts martiaux), à cause notamment d'un manque de confiance en soi. Je suis timide et réservée et j'ai parfois du mal à m'exprimer ou exprimer mes idées et mes pensées, ce qui fait que je ne parle pas trop en général. De ce fait je pense que les gens me perçoivent comme quelqu'un certes de timide mais également taciturne, froide et sans personnalité. Parfois j'ai l'impression qu'ils me prennent pour une naïve ou pire quelqu'un de bête. Je parle ici des personnes qui me connaissent à peine ou mal.

Vos réponses aux questions de la phase 1

1°) L’idée d’une vie sans temps vide, sans possibilité de rêver, de vagabonder en esprit, de ressentir ce qui se passe en moi, m’est insupportable. Pour moi, ce n’est pas une vie ! Aujourd’hui, la multiplicité de l’offre de culture, de loisirs, d’achats, augmente les possibilités de dispersion. Il faut un temps de digestion de toutes les nourritures que l’on avale (ressentis physiques, émotionnels). L’offre dépassant considérablement mes capacités de digestion et d’assimilation : je me retrouve parfois dans une sensation de « trop », d’étouffement. Mais je sais décrocher et ne pas trop participer à l’accélération du monde. 2°) Atteinte depuis plus de 20 ans d’une maladie qui me donne des douleurs, je n’ai pas vraiment de difficultés à percevoir mon corps. Heureusement, les pratiques du Wutao, de l’Eutonie, de la respiration pleine conscience me rappellent que mon corps n’est pas que de la douleur ! Mon corps me limite et le plus souvent j’obéis… Je trouve qu'oublier mon corps est plus facile en surfant sur internet (qu'en lisant ou en regardant un film) et béni soit internet pour cela ! 3°) Je sais toujours l’heure qu’il est à quelques minutes près. C’est très rare que je perde le sens du temps, et c’est d’ailleurs souvent une expérience agréable. Je ne sais pas comment je le sais. Sans doute qu’il y a toutes les fois où je jette un coup d’œil à une montre, un téléphone portable, une pendule et que j’enregistre l’heure, sans vraiment m’en apercevoir mais j’ai également l’impression que c’est dans mon corps : mon corps sait l’heure qu’il est. 4°) J'ai besoin de me retrouver avec moi-même : moi, mon cahier et une théière pleine le matin, dans mon fauteuil. C’est là que mon rapport à moi-même s’établit, se reconstruit, se renouvelle, évolue. Je ne peux pas vivre sans ce moment. Si je ne prenais pas ce temps le matin, je finirais peut-être par ne plus savoir qui je suis ? Par n’être définie que par les autres ? Par n'être définie que par ce que je fais, et plus du tout par ce que je ressens ou que je pense ? Je n'ai pas l'impression d'avoir tellement besoin d'être définie par le regard des autres sur moi. Par contre, je cache ce qui m'apparait comme de la faiblesse (avoir mal, être shootée par les antalgiques, être fatiguée...) même si cela n’en est pas pour les autres, mais juste inhérent au fait que je suis malade. Je fais la différence entre moi et ce que je montre de moi, sans être tout à fait dupe : je sais que je montre également des choses malgré moi, à mon insu ! Internet n'a que peu d'influence sur cette image de moi, car je fréquente peu les forums, je ne suis pas sur les réseaux sociaux...

Vos réponses aux questions de la phase 1

1 Au niveau de l'attention, il m'arrive parfois d'écouter les gens en réunion de travail sans les entendre. Parfois quand les réunions s'enchaînent il est difficile de rester concentré. J'ai besoin de faire souvent des coupures entre 2 réunions, des pauses de quelques minutes pour me recentrer ensuite. Conneccté au travail même le soir chez moi, il m'arrive aussi parfois de m'endormir devant mon ordianteur ! 2 Les effets au niveau du corps chez moi se sont manifestés à partir du moment où ma charge de travail a augmenté et donc faisant moins d'exercices physiques, j'ai pris en 2 ans 20kg... qu'il m'est difficile de perdre aujourd'hui. Cette prise de poids rapide car souvent assis (dje travaille de 7h30 à 18/ 19h du lundi au vendredi et 1 fois sur 2 jusqu'au samedi)provoque des douleurs aux épaules, des blocaes au niveau du poignet, un voile devant les yeux lorsque je travaille tard chez moi devant l'ecran 3 L'investissement au travail me permet de bien mesurer le temps car le résultat de mon travail doit être rendu dans des délais fixés. Par contre cet investissement me fait depuis peu aussi prendre conscience que je néglige moi, mes proches, mon intérieur et que je fuis les responsabilités domestiques. 4 Le rapport aux autres est fonction de mon état. Souvent négligé (pas rasé, même chemise ou pantalon pendant 3 jours car je n'ai pas de chemise repassée car je neglige le repassage)il y a une crédibilité face aux autres qui est en jeu. Souvent quand j'anime des réunions ou lors de rendez-vous où une décision doit être prise, les personnes sont surprises parfois l'image que j'affiche et l'autorité que je représente. Je suis conscient de l'image que je peux véhiculer mais en même temps c'est aussi volontairement que je casse les codes sociaux (exple s'habiller en costume cravate). J'ai aussi souvent besoin de me retrouver "avec moi-même", en déjeûnant seul mais pas au restaurant d'entreprise pour ne pas croiser des collègues, en fermant mon bureau ce qui signifie ne pas déranger...

Vos réponses aux questions de la phase 1

Bien que très présent en ligne et sur les réseaux sociaux notamment, je n'y suis pas très actif cela a donc peu d'impact sur l'image que je peux avoir de moi.. Par contre, cette présence modifie ma vision des autres dans le sens où je suis peut être plus enclin à juger les autres selon ce qu'ils exposent d'eux mêmes (retweet ou partage d'intox ou de hoax sans vérifications, orthographe approximatif, messages inintéressants etc.). Cela a plutôt tendance à restreindre mon cercle "d'amis" que de me pousser vers les autres...

Vos réponses aux questions de la phase 1

Mon attention est facilement distraite notamment par le smartphone Effectivement je me disperse et perd du temps je me « rassemble » régulièrement pour faire le point parmis mes moments de dispersion il m’arrive de rêver effectivement afin de m’isoler complètement et me retrouver j’apprécie de me retrouver avec du temps libre cependant j’ai souvent beaucoup de mal à le gérer je fais du sport, je lis je vais voir une amie, je range , je comble la qualité de mon sommeil est souvent mauvaise pas suffisante souvent et il m’arrive de faire une pause de 10 min et de « décrocher » éveillée ou non oui souvent je me rends compte que je dois me reconcentrer je perçois mon corps comme une « machine » , une enveloppe dont l’image subjective ne change presque jamais je ne m’écoute pas souvent et priorise d’autres données avant mon corps mes ressentis je pousse souvent mon corps à ses limites il m’arrive malgré la douleur de sortir courrir pour garder mon rythme de sorties , j’ai un objectif et je m’oblige à sortir néanmoins si une fois sortie je constate que mon corps ne suit pas je ralentis la cadence et marche pour quand même bouger mais en prenant soin de ne pas « casser » la « machine » j’écoute peu mes signaux internes notamment de fatigue si bien que de temps en temps la « machine » me rappelle à l’ordre avec des migraines ou autres douleurs qui m’obligent à me « replier » et me reposer je dois regarder et contrôler le temps passé à une activité car j’ai peu de notion du temps qui passe pour ce faire j’utilise mon tel en permanence quand je pars courrir ,partout en fait il est toujours avec moi je me perçois en regard aux réaction des autres je pense être une personne discrète voire froide pour certains car j’attends avant de parler et parle peu je ne suis pas très visible d’ailleurs souvent on ne sait plus si j’étais là à telle ou telle soirée ou on m’oublie manifestement ! je le vis très bien j’aime observer et me faire une idée de ce/ceux qui m’entourent sur les réseaux sociaux je mets très peu d’infos sur moi et je vérifie régulièrement ce qui ressort lors d’une recherche avec mon nom cependant je me soucie peu ds commentaires ou de ce qu’on peu penser de moi je veux seulement ne pas être trop visible

Vos réponses aux questions de la phase 1

Je traite les points demandés en articulation avec mon activité numérique uniquement. Capacité d'attention : très variable. Quand je travaille sur un document compliqué, je ferme volontiers mon navigateur web et je coupe le son des appareils mobiles pour ne pas me laisser distraire. Quand je dois être sur le web pour le travail, je ferme les onglets qui n'ont pas de relation directe avec la tâche en cours. Je peux me concentrer très longtemps sur un sujet qui me plaît ou dont j'ai intégré l'urgence. En revanche, je papillonne partout quand ça me pèse ou que ce n'est pas urgent. Perception du corps : j'ai abusé de la station assise voici quelques temps, je m'oblige désormais à bouger, à lâcher mon ordi au moins deux heures / journée de travail. Je souffre les jours où l'urgence du travail à accomplir me tient vissée au fauteuil. Perception du temps : le temps passe vite sur Internet, qui incite à la procrastination et remplit avec du pas grand chose souvent les plages de désoeuvrement. D'un autre côté, j'ai la nette impression de pouvoir travailler plus longtemps d'une traite sur un document présent sur mon ordinateur que sur une feuille de papier. Identité : j'ai une identité publique, je l'assume et essaie de ne pas m'emmêler les pinceaux ! J'ai horreur de la notion d'e-réputation, j'ai du mal à me considérer comme un paquet de lessive ou une "marque". Je privilégie l'interaction en ligne sur mes productions et celles de ma société, ainsi que la diffusion d'informations pertinentes (je lis par exemple toujours les articles avant de retwitter les liens sur Twitter) plutôt que le "branding" creux.