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Semaine 2 / 3.2 - Addiction au numérique

Addiction ou mode de vie ?

Je ne suis pas sure que l'on puisse parler d'addiction au numérique encore. De surconsommation peut être mais je pense que l'on doit surtout apprendre à "gérer" ce que notamment Internet mais aussi les tablettes et smartphones ont apportée dans nos vies à savoir : la surabondance d'information, le "tout tout de suite instantanément" où que l'on soit, le mail qui impose une disponibilité constante avec nos smartphones, .... je pense que l'on est addicte à ce mode de vie à 100 à l'heure et que le numérique est un outil pour répondre à notre addiction. pour prendre la comparaison des drogues je dirais que le numérique est davantage la pipe, le bang, le joint, outil qui permet de combler l'addiction au cannabis.

Addiction ou mode de vie ?

en effet, je pense qu'il s'agit plus de **surconsommation, d'usages excessifs du numérique et des outils** qui nous sont proposés: smartphones, tablettes, ordi, etc. et aussi des développements exponentielles d'applis, logiciels ou plateformes de partage. Pour la santé de chacun cela a une conséquence moindre par rapport à une addiction à un produit mais pour ce qui concerne les relations entre les personnes il me semble que ça a des conséquences très importantes et parfois dramatiques (isolement, irritabilité, rupture)

Le numérique rythme ma vie au quotidien

Le numérique a modifié mes modes de vie: Avant pour une recette de cuisine je regardais dans un livre de cuisine maintenant je fais une recherche internet Avant j'allais faire mes courses en supermarché maintenant je commande sur internet dans des drives J'utilise de plus en plus Skype pour communiquer avec mes amis J'utilise Doodle pour planifier mes réunions pro ou personnelles Google drive pour partager des documents et les travailler en équipe Etc ... Pour toutes questions, je fais une recherche sur le Net ...

Le numérique rythme ma vie au quotidien

j'utilise mon pc portable pour tout ce que je cherche ,veux ,désire et dont je sais qu'internet sera très effice.Mais etre dérangé par les sonneries ,pub,applis, et tout **intrusion intempestive et chronophages** non non et non

Le numérique rythme ma vie au quotidien

Je crois que l'on est vraiment addict lorsque l'on ne se rend même plus compte de ces intrusions.

Tout se transforme

"Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme". Je ne pense pas que l'ère numérique fasse gagner énormément de temps. Par exemple, au lieu d'aller en agence de voyage pour préparer son séjour, le réflexe actuel est de regarder sur internet. Mais on en a tous fait l'expérience cette démarche est très chronophage. On passe beaucoup plus de temps qu'on ne le pensait à chercher les meilleurs prix, vérifier les conseils, ... Ainsi, je pense que le temps que l'on passe sur les différents écrans, réseaux, etc on ne le consacre plus à d'autre : la cuisine, le bricolage, les relations humaines, ... même si le mouvement "do it yourself" a tendance à me faire mentir.

Tout se transforme

Oui, c'est vrai que plus d'une fois je me suis dit qu'en fait de gagner du temps, l'informatique nous en faisait perdre, par exemple le tri que je dois faire tous les matins au travail entre les courriels utiles et ceux que je dois jeter, ceci après avoir pris le temps de démarrer ma session, des tâches répétitives et assez stériles, mais tous comptes faits il me semble quand même que l'on peut faire beaucoup plus de choses plus rapidement avec le numérique que sans. Et surtout on peut faire avec le numérique des choses que l'on ne pouvait pas faire sans. Le temps gagné ou non n'est pas à mon avis un argument fondamental, enfin c'est intéressant de se dire qu'il vaut mieux passer par une agence de voyage pour des vacances pour gagner du temps et parce que c'est leur métier, mais ce sont les choses nouvelles que l'on peut faire qui sont intéressantes, comme visiter un musées virtuellement par exemple.

addiction virtuelle

Avec l'addiction au numérique, on est dans le virtuel, donc moins nocif pour la santé physique que drogue, alcool, tabac...mais peut-être pas anodin pour la santé psychique, mais j'ai tendance à penser que les addictions "irrépréssibles" tiennent à l'individu plus qu'au produit auquel il est "addict". C'est toujours une fuite de quelque chose (corvée, culpabilité, malaise, ennui, etc...), et le plaisir de se retrouver absorbé par autre chose.

le numérique c'est anti- ringard!

le numérique c'est anonyme ,illimité,rapide ,dynamique ,ça remplace la cigarette dans l'image de soi ( branché,émancipé),dans le bus une personne de 60 ans qui écoute de la musik relié à ses oreilles par un smartphone wwwwwwwwwwwwooooooooouuuuuuuuaaaaaaaaaaaapppppp!!!

addictions nouvelles

Le numérique a créé des addictions nouvelles : - jeux en ligne (candy crusch et autres par exemple) - Tchat qui n'existaient pas auparavant - Post de photos/vidéos/messages ayant des répercussions bonnes ou mauvaises sur la vie réelle Il y en a d'autres encore...à vous de me les dire !

addictions nouvelles

l'internet est source d' curiosité, donc la curiosité est elle un addict? c' est cela qui retient pendant des heures, nos curiosités sont alimentées par les flux d' informations qui arrivent sur nous sans limites, prenons par exemple ce dessin, si ce dessin est au format devinette on est obligé de cliquer, et même au grand format les gens clique encore c' est automatique!![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14212796728393274.jpg

Evolution de nos modes de vie

Je pense que l'évolution de nos modes de vie participent immanquablement, aux changements d'attitudes, d'habitudes. L'évolution des conditions de travail également avec sa réduction du temps, sa "numérisation", nous tentant de continuer dans nos loisirs plus nombreux car possibles. A nous de trier, faire des choix. Je vous accorde le droit de trouver mon rapprochement hors du sujet que vous proposez, pour autant, je suis convaincue que tout est lié. *Même planifiée avec le plus grand soin, la plus sage réflexion, la meilleure des volontés, une fois impulsée, l'action est à la merci des imprévus. Prendre en compte cette part d'incertitude,* c'est ce qu'Edgar MORIN appelle "l'écologie de l'action". Voici la source sur ce sujet auquel je souscris, de mon point de vue dimension souvent niée, inconsciente. http://duborddemafenetre.blogspot.fr/2009/03/les-jeudis-dedgar-19-ecologie-de.html Mathéa

un usage intensif du net est-il addictif ?

Par rapport à une addiction à une substance (que j'ai connu), un usage même très intensif du net ne me semble pas avoir le même pouvoir. J'ai passé 3 jours sans internet à noël sans que cela me manque. Et portant je passe plus de 4 ou 5 heures par jour sur internet ou mon ordi pour gérer mes associations, rédiger, m'informer. Il est vrai néanmoins que j'ai eu durant quelques mois, il y a plus de 10 ans une addiction de quelques mois sur Age of Empire. Ou Tetris. Mais j'ai fini par m'en lassé. Et j'ai donc supprimé ces jeux car cela me prenait trop de temps. Mais à la différence d'une substance, l'abstinence fut facile.

Plaisir de nourrir sa curiosité

J'ai toujours aimé apprendre de nouvelles choses, comprendre le monde dans lequel je vis, découvrir de nouvelles disciplines... Internet me permet de nourrir favorablement cette curiosité et j'éprouve de grandes joies à visiter un musée américain depuis mon bureau, découvrir la physique quantique ou la géologie, voir des photos d'astronomie... Il me semble que les addictions n'ont rien à voir avec cette démarche. L'addiction s'accompagne d'impulsivité, de répétitions, de consommation de plus en plus grande. Je consomme certainement sur internet, mais je cherche plus que des informations, je cherche des connaissances. Cela est opposé à l'addiction car transformer des informations en connaissance me demande un travail personnel. Ma vie a changé avec internet sans que je me sente addict pour autant. Car je vis un épanouissement et ce terme parait en contradiction totale avec addiction !

Plaisir de nourrir sa curiosité

Bonsoir, Merci pour ce message positif et enthousiaste 😊 Je ressent la même chose mais je me sens parfois débordée par le nombre de choses à découvrir et à faire... Est-ce que vous utilisez des méthodes ou des outils pour organiser vos découvertes /apprentissages sur le net ? Bonne soirée, Angéla

Plaisir de nourrir sa curiosité

Bonsoir Sylvie, Je suis totalement d'accord avec vous "l'épanouissement" est en totale contradiction avec "l'addiction"! Et je pense que votre avis sera partagé par beaucoup d'entre nous! Stéphanie

numérique : large éventail des possibles

Les pratiques du numérique offrent de plus en plus de possibilités en matière d'outils, par ailleurs étant seul devant un écran l'espace de liberté est infini dans lequel il est facile de s'engouffrer.

Pour et contre

Peut-on parler d'addiction dès lors que "l'état" nous pousse à pratiquer certain comportement ? Si je compare le numérique à la télévision, toute les études montrent que l'on passe de plus en plus de temps devant la télévision et autre support servant à regarder des vidéos, avec les conséquences que cela occasionnent. Hors, TOUS (grands médias et politiques) prétendent avec leurs pseudos spécialistes que ce n'est pas le télévision et consort le problème. Je renvois pour les détails de ce paragraphe au livre de Michel Desmurget : TV Lobotomie. Que dire du numérique dans son ensemble dans ce cas, puisqu'il est le reflet de nos comportement sociaux ! Quelle est la causalité ? Par exemple : sommes nous devenus individualiste à cause du numérique ou le numérique à causé notre individualisme ? Néanmoins, il est clair que les comportements liés au numérique posent un certain nombre de question et de problème.

Pour et contre

A mon avis, je dirais que nous ne sommes pas devenu individualistes à cause du numérique, mais qu'on l'était déjà un peu, et que le numérique peut l'avoir empiré.

Addiction au numérique??? Discutons!

Il y a la questions des termes à employer et il y a à mon avis avant cela la question: est-ce qu'il existe des addictions au numérique? Je souhaite ici apporter quelque élément de réponse personnelle afin j'espère de lancer une discussion sur le sujet: Comme cela a été vu la semaine précédente (webinaire 1), il y a clairement des addictions qui existaient avant le numérique, comme par exemple la toxicomanie ou le jeu pathologique ou la sexualité envahissante, qui se sont trouvées renforcées ou fortement facilitées par le numérique. Il me semble de la même manière, qu'-il y a des addictions nouvelles qui sont apparues avec les possibilités inédites offertes par le numérique-. Par exemple l'addiction aux jeux multijoueurs en ligne ou l'addiction à la surinformation aussi nommée infobésité. Des jeux sont même spécialement étudiés pour rendre addict, comme candycrush. Mais les jeux en ligne multijoueurs comme World of Warcraft ou League of Legende (LOL) ou Dofus ou les jeux de tir multijoueurs comme Call of Duty sont aussi addictogènes car ils sont très bien faits, permanents et illimités d'une manière ou d'une autre.Il y a bien d'autres jeux addictogènes, comme GTA, qui joue sur l'autorisation de pulsions normalement réprimées en société civilisée, ou minecraft, qui permet de construire des univers seul ou à plusieurs, etc. Addictogènes cela ne veut pas dire qu'on devient forcément addict en y allant. C'est comme l'alcool: c'est pas parce qu'on y goûte que l'on devient alcoolique! Mais il y a là une attractivité indéniable avec des risques d'envahissement de la vie au détriment des autres éléments importants de celle-ci. Pour faire un pas de plus je pense que, comme pour l'alcool, -il y a actuellement beaucoup plus de gens dans un usage excessif, avec des effets plus ou moins nocifs, que de gens addicts, centrés à l'extrême sur leur usage numérique personnel au grave détriment du reste de leur vie.- Et il y a une infinité de combinaisons des multiples formes possibles de nos usages, et donc une infinité de marches possibles entre le bon usage et la pire dépendance. Reste que pour définir ce que serait le bon usage de cet univers numérique récent et en mutation permanente, ce n'est pas aisé!... ![gotobed][1] [1]: /media/14214036337839844.jpg

un large panorama

Bonjour le numérique (les écrans) prennent de plus en plus de place dans nos vies pour un certain nombre de raisons: * c'est un média qui en remplace d'autres: on lit le journal sur son écran, on regarder un film en VOD sur son ordinateur, on lit un roman sur tablette, on reçoit par mail ce que l'on recevait avant par courrier postal. L'action est identique, le support a changé. * il y a ensuite le volet du e-commerce, qui permet de faire via un écran des choses pour lesquelles il fallait avant aller dans un commerce. On peut commander ses courses sur internet, y acheter ses livres, choisir sa voiture, son billet d'avion ou de train, et même y suivre une formation comme ici. On peut déplorer le manque de contact humain, mais là encore, internet n'est qu'un facilitateur de la transaction. Jusque là, je crois qu'il s'agit d'une évolution de nos modes de vie. De la même façon que la voiture a remplacé le cheval pour les déplacements en son temps. * il y a ensuite les choses qu'internet permet, et qui n'existaient pas avant, ou pas avec le même niveau de facilité d'utilisation: c'est les réseaux sociaux, les forums, qui sont bien plus évolués en terme de fonctionnalité qu'une pile de cartes de visite du siècle dernier. Et qui génèrent ensuite leurs propres besoins d'entretien. Je met dans la même sphère les notions d'infobésité, de boulimie de l'information "juste" parce qu'elle est disponible. Je pense qu'ici on peut se "noyer" dans l'internet, y passer beaucoup de temps, y trouver un monde moins 'piquant', plus satisfaisant à un moment donné que le monde extérieur. Et là, de la consommation responsable à l'abus puis à l'addiction je crains qu'il n'y ait qu'un pas qui puisse parfois être franchi. Je mets au même niveau les jeux en ligne, avec un accent plus fort sur les jeux 'construits' qui demandent une connexion régulière pour entretenir un personnage dans un monde virtuel. Certes, on peut entretenir un personnage à 5 minutes par jour. Et puis on peut s'intéresser à ce monde virtuel, chercher à faire monter son personnage en grade, échanger avec d'autres joueurs, et sans s'en rendre trop compte y passer plus de 5h par jour. Je ne sais pas si pour les spécialistes ceci n'est qu'une variante du 'jeu pathologique', mais c'est quelque chose qu'internet rend plus accessible. En conclusion, je ne sais pas s'il y a une dépendance aux écrans, mais à ce qu'il y a derrière l'écran, via internet.

Mon avis

Si nous nous referons à la définition du mot addiction, nous comprenons claire qu'il y a un phénomène de dépendance qui s'y affecte.or les nouvelles pratique au numérique s’exhibe à l'homme vu l’intérêt qu'elle offre. pour moi quelqu'un qui s'adonne à cette vie tombe inexorablement dans l'addiction. Néanmoins cette forme d'addiction présente une spécificité: Elle ne détruit la santé des hommes comme le cas des stupéfiants. Notons qu'en même que le numérique a véritablement contribuer à l'évolution du mode de vie des hommes par sa simplicité de résoudre des problèmes existentiels des Hommes exemple: Achat des articles en ligne,communications plus facile sur l’opérateur skype, whatsapp viber et autre

Un juste équilibre

Il y a des personnes addictes aux jeux vidéo ou â Internet. Mais c'est un pourcentage très faible par rapport aux nombreuses personnes qui passent du temps sur les écrans. Nous sommes nombreux, je pense, à passer beaucoup de temps à surfer sur Internet pour toutes sortes d'usages. L'important à mon avis est la mesure comme pour beaucoup de ce que nous faisons dans notre vie. L'utilisation du numérique dépend aussi de notre façon d'aborder la vie : est-ce que je considère que c'est important de rencontrer les gens et de leur parler ou bien, je préfère interposer une machine dans mes relations avec les autres...

nécessité

Aujourd'hui être connecté est quasiment obligatoire et cela peut poser problèmes aux personnes qui ne disposent pas d'internet. Au niveau professionnel beaucoup de transactions, de documents dématérialisés, d'échanges immédiats, gain de temps. Accès à beaucoup d'outils dont nous ne pouvons plus nous passer. Un retard annoncé depuis son smartphone, le rappel automatique des rendez-vous, plus de calcul de décalage horaire. Notre temps est numérique et c'est un luxe que de pouvoir s'en passer.

a t on peur ?

![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14216141435433996.jpg est ce que le fait que 70% des français soient distants ou réfractaires au numérique ne leur fait pas paraitre les 30 autres % comme des mutants, et que la crainte de l'addiction est une crainte de ce que l'on ne connait pas, et que l'on ne sait pas maitriser ?

a t on peur ?

Fort possible en effet; Il existe cependant à mon avis des cas d'addiction véritables, certes assez rares.

a t on peur ?

je ne nie pas l'existence d'addiction au numérique, je pense que le terme est employé un peu trop largement, comme dans l'enquête Pelleas, dès que la consommation dépasse la 'norme' admise par l'entourage. ceci dit, je viens de tomber sur un article qui parle du décès d'un joueur de jeux vidéos lors d'un marathon après 3 jours ininterompus (....) http://www.generation-nt.com/joueur-taiwan-mort-epuisement-jeu-video-cyber-cafe-gaming-actualite-1910985.html j'imagine bien l'angoisse que cela peut susciter chez des parents qui voient leur enfant passer plusieurs heures d'affilée à jouer, mais de quel % parle t -on ? fait on des extrèmes une généralité ?

a t on peur ?

il ne faut vraiment pas diaboliser le numérique et il y a effectivement ce risque que ces cas extrèmes soient pris pour une généralité; ceci dit réfléchir aux risques pour aller vers des usages plus sécures s'inscrit sans doute d'abord dans une démarche de prévention jlv

Tout est toxique, rien n’est toxique, tout est question de dose…

Si on se base sur la définition d’addiction comportementale donnée par Goodman : « un processus par lequel un comportement, qui peut fonctionner à la foi pour produire du plaisir et pour soulager un malaise intérieur, est utilisé sous un mode caractérisé par l'échec répété dans le contrôle de ce comportement et la persistance de ce comportement en dépit des conséquences négatives significatives » ; on pourrait caractériser l’addiction au numérique par une utilisation excessive, un échec lors des tentatives de diminution ou d’arrêt de l’utilisation des outils numériques et une persistance dans l’utilisation en dépit des conséquences négatives avérées. La spécificité de ces addictions peut éventuellement venir des caractéristiques propres de la technologie utilisée (internet est par exemple un facilitateur d’accès à l’information ou à la mise en réseau virtuelle). L’utilisation croissante de l’ensemble des outils numériques est forcément liée à la place grandissante que la technologie prend dans notre quotidien, il parait donc important de faire la distinction entre ce qui tient du changement de mode de vie et ce qui s’apparente à un usage excessif. Ainsi donc pour le numérique comme pour le reste « Tout est toxique, rien n’est toxique, tout est question de dose… »

addiction aux médias numériques

pour certaines personnes, il s'agit vraiment d'addiction: ne pas pouvoir passer une minute sans facebook... ou les jeux vidéos! faire des classements de cette cyberdépendance.

Diabolisation de la nouveauté

Il est incontestable que l'être humain présente un biais de considération pour tout ce qui à trait au changement. Ainsi toute nouveauté est peut être décriée voire diaboliser. Pourquoi se passer de GPS alors qu'il est mille fois plus rapide, pratique et sûr d'utilisation qu'une carte et une boussole ? Pourquoi se passer d'internet afin de trouver des bons plans pour nos prochaines vacances ? Ainsi internet (et le numérique) peut se révéler un immense facilitateur pour nos vies. L'addiction n'étant ici pas plus représentée que de dire que l'on est addict à l'utilisation d'une paire de chaussure pour marcher.

Diabolisation de la nouveauté

Nos deux intervenants de la semaine 4 ont proposé de parler d' " addiction à l'innovation " plutot qu'au numérique ,ce qui va bien dans le sens de ce que vous évoquez! jlv

Dans quelle mesure s'agit-il d'une évolution de nos modes de vie ?

le numérique est un facteur d’aggravation de certaines addiction: par exemple l'addiction sexuelle peut être nourrie par la facilité qu'offre le numérique d'avoir des images et scènes coquines.