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Semaine 2 / 2.1 Perception de mes usages

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Ce test a déjà 10 ans apparemment. Selon lui je présente un score de 51/100 et un "usage problématique d'internet". C'est vrai qu'il y a 10 ans, il n'y avait pas encore un usage aussi massif des réseaux sociaux, et j'ai aussi l'impression que beaucoup moins de gens utilisaient internet qu'aujourd'hui. Quelque chose qui était un comportement problématique il y a 10 ans est peut-être devenu une norme aujourd'hui. Ou alors nous sommes presque tous devenus addict? Ou bien je suis bien plus dépendante que ce que je croyais! Ambre

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Si on remplace "internet" ou en "en ligne" par "communication" ou "échange" par exemple sur la question 3 quand on est séparés (déplacement professionnel par exemple) la question perd son sens.

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Oui Ambre, je trouve que ce test date un peu quand même et ne tient pas assez compte de l'évolution des choses qui vont très vite en ce domaine. Mais je pense par ailleurs que la norme ne fait pas référence. Pour moi la majorité est encore assez accro à la télévision (sans parler d'addiction) et ce n'est pas une référence. ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/142123539140884.jpg

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Il manque dans le questionnaire une référence à l'usage de la TV en ligne. J'étais accro à la TV. Cela fait donc des années que je n'ai plus de tv. Mais ayant "découvert" la TV en ligne je regarde la TV via internet. Certes c'est parfois un peu mieux choisi, émission en streaming et e,n différé, du coup au moins je regarde moins de conneries et je choisi mieux mes émissions. pas toujours. Il faudrait dont ajouter la TV en ligne dans le numérique.

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

J'ai commencé un formulaire pour faire un questionnaire-jouet du mooc qui correspondrait à ce qu'on pourrait considérer en 2015. Ca se trouve là, il n'y a qu'une seule question pour l'instant, n'hésitez pas à compléter avec la TV par internet ou d'autres points ! Le lien du questionnaire (éditable par tous normalement) https://docs.google.com/forms/d/1zH19_OJB1RraPTs4iJjXJrbJjY244xqiyHxU64msQN8/edit?usp=sharing

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Oui, je suis d'accord avec RenaudA. Et merci à yprie, c'est une bonne idée pour un mooc collaboratif!

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

la première question est de l'ordre du savoir vivre, de la politesse, des valeurs que les parents vous inculquent. Cela ne me viendrai pas à l'idée de quitter une discussion entre amis pour me jeter sur mon smarphone, c'est peut-être l'âge qui y fait j'ai 58 ans. Quelque chose qui était un comportement problématique il y a 10 ans est peut-être devenu une norme aujourd'hui. ===> les usages ont évolués si on regarde la population digitale native elle regarde moins la tv et 2014 qu'il y a 10 ans. Le smarphone devient le couteau suisse il permet de s'informer, de voir des films, d'écouter de la musique voir à jouer en ligne. Ce n'est pas parcequ'on a plus de choix de chaines tv qu'on choisit mieux ces films au contraire les familles se disputent pour choisir leur film tant il y a de choix et de navets.

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Moi je me pose la valeur intrinsèque d'un test. Un test en fonction des items, de l'orientation des pré-supposés, on oriente la personne vers tel ou tel profil. L'homme est complexe et il ne se détermine pas que par des tests. La théorie de milgram a bien déterminé comment l'homme se soumet à l'autorité. Les questions ouvertes, positives, celles qui permettent de savoir les sentiments et ressentis font plus parler l'humain sans pour autant le juger.

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

En reprenant l'article de 2004 de Widyanto, je me suis aperçu que ce questionnaire de Kimberly Young date de 1998 !!!

75/100 wahoo !

J'ai 67 ans, beaucoup de choses m'intéressent, et je ne suis pas extrêmement sociable, mais de là à être complètement addict, non, je ne pense pas, je ne twitte pas, j'utilise peu mon téléphone, mais même si je travaille encore un peu, j'ai du temps... j'estime être beaucoup plus addict aux 3/4 verres de vin que je bois tous les soirs. Mais je me demande souvent ce que faisaient les retraités qui n'avaient pas Internet (je lis aussi beaucoup sur divers "tablettes).

75/100 wahoo !

Bonjour, Il est important de savoir que ce test ne pose pas un diagnostique, mais qu'il donne une photo à un moment donné sur les usages que nous avons du numérique. Vous avez donc tous les droits de ne pas être d'accord avec les résultats. Guillaume

39/100... sondage un peu daté...

Intéressant, ce sondage, mais ses formulations sont parfois un peu datées... Et mon score très modéré me paraît lié à la formulation de certaines questions.. "en ligne" : c'est différent s'il s'agit de chatter ou de jouer en réseau ou de travailler avec Internet ou de répondre à ses mails... Donc certaines réponses sont biaisées... Mais ça reste marrant !

Méthodo

Bonsoir, je ne comprends pas la Q11. Je ne peux pas répondre Jamais or pour moi, c'est presque toujours ma réponse.

Méthodo

Je partage tout à fait le point de vue de LVEB8: Souvent j'aurais voulu répondre "jamais" et ai donc forcément biaisé en répondant "rarement". cela me paraît problématique quand d'un autre côté il y a une réponse "toujours"! Par ailleurs il y a une question qui ne me concerne pas (travail scolaire ou universitaire) et je suis obligé d'inventer une réponse pour avoir la réponse du questionnaire... Gênant! ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14212348261702083.gif

Méthodo

Ça fait partie des (nombreuses) limites de ce questionnaire, qui est loin d'être parfait. Il n'est pas là pour fournir des réponses, mais plutôt pour servir de base à une réflexion, qui s'est d'ailleurs déjà un peu engagée sur le forum : quels sont les critères adéquats, quel est le biais introduit par l'âge de ce questionnaire, etc. Un exercice intéressant pourrait être d'essayer de co-construire notre questionnaire "idéal", à partir des questions qui se dégagent des contributions qu'on a eues jusqu'ici. Si ça tente quelqu'un de lancer un premier jet...

Méthodo

Je vous suis en tous points. Mathéa

Méthodo

Un questionnaire idéal pourrait être construit ici : [Un questionnaire en construction sur l'addiction au numérique][1] [1]: https://docs.google.com/forms/d/1zH19_OJB1RraPTs4iJjXJrbJjY244xqiyHxU64msQN8/edit?usp=sharing

Méthodo

La réponse Jamais devrait être dans le questionnaire, je l'aurais aussi utilisé quelquefois...

Numérique: ma définition, sa place dans ma vie

1- Ma définition du numérique : tout ce qui a à voir avec l’ordinateur et ses matériels dérivés, pour un usage hors ligne et sur Internet. Ca a pris une place énorme en termes de temps passé devant l’écran ces quinze dernières années chez moi. Il y a des tâches que j’effectuais à la main avant et qui prenaient également beaucoup de temps. L’outil a changé et nous propose plus de liberté, même si cet éventail de choix infini est particulièrement chronophage. 2- à titre privé : mes usages du numérique se font à 90% sur l’ordinateur, le reste entre l’appareil photo et la tablette. Pour quoi faire ? Garder le contact : messageries, partage de photos, blogs, liens vers des articles, des vidéos, des chansons…pas de participation à des réseaux sociaux pour communiquer ; Gérer les photos familiales : chargement à partir d’appareils photo numériques, scann de photos anciennes, les renommer et les classer, utiliser des logiciels de retouche, de partage (type dropbox, déposer, envoyer des liens par mail), de sauvegarde (disque dur externe, cloud). S’informer : consulter l’actualité, faire des recherches d’informations générales (pages jaunes, horaires d’ouvertures, préparer un voyage, réserver ses places de voyage, de spectacle, d’hébergement) Gérer les courriers familiaux : messagerie, traitement de texte, téléchargements d’outils informatiques (polices, programmes), consultation de sites et de forums, recherche de réponses techniques par tutos, enregistrement, classement, sauvegarde. Utiliser l’imprimante et le scann. Gérer les comptes familiaux via un logiciel « gestion du budget ». Entrée des écritures, pointage, équilibrage des comptes. Effectuer des virements en ligne. Correspondre avec son conseiller bancaire. Se former : lire des revues de presse professionnelle, des newsletters, suivre un MOOC… Enrichir la pratique de mes hobbies : cuisine, arts plastiques, généalogie, bricolage, travaux d’aiguilles via Pinterest, consultation des archives départementales en ligne, blogs… Faire des achats en ligne (rare) A titre professionnel : usage du Tableau blanc Interactif sur 95% du temps de classe. Préparation des cours par traitement de texte, scann de documents pour la classe, capture de sons, téléchargements, consultation de sites enseignants, enregistrement des notes des élèves, rédaction des bulletins trimestriels sur logiciel spécifique, nommer, classer, sauvegarder. Consultation de la messagerie sur l’ENT (espace numérique de travail) de la classe, organisation des informations à destination des élèves et des familles sur l’ENT. 3-Je ne me sens pas concernée par le terme « addiction » pour le numérique. J’utilise beaucoup l’ordinateur comme d’autres utilisent beaucoup la voiture : comme un outil pour effectuer des tâches qu’on ne conçoit plus de faire autrement. Je pense plus à ce terme d’addiction quand il est associé à un usage ludique, improductif, comme des jeux par exemple, qui coupent l’utilisateur de la « vraie vie », ce qui ressemble à une fuite. Mais dans ce cas, le terme « numérique » est trop vaste.

je m'évalue

Le numérique a pris une bonne partie de mon temps.C'est vrai que l'excès est aussi nuisible, mais je le préfère

des questions bizarres

j'ai trouvé certaines questions inappropriées: Q2 "2 - À quelle fréquence négligez-vous vos travaux domestiques pour passer plus de temps en ligne ? " au sens où si on me supprime internet, les travaux que je ne souhaite pas faire trouveront une autre excuse pour ne pas être faits... qu'est ce qui compte ici : l'évitement de certaines taches ou rencontres, ou le moyen que l'on utilise pour y parvenir ? Q17 "17 - À quelle fréquence avez-vous tenté sans succès de diminuer votre temps d'utilisation de l'Internet ? " ma préférée, de loin ! je n'ai jamais essayé de diminuer mon temps de connexion... je vis bien dans mon abus :)

des questions bizarres

Je suis d'accord, c'est un questionnaire directif, alors les questions sont quelquefois inappropriées!

41/100 ouf ???

Bon je suis pas encore addict mais attention...

Ce que j'en pense

Il y a des questions auxquelles je ne peux pas répondre mais comme il faut une réponse j'ai inventé. J'avais plutôt l'impression de faire un usage excessif au niveau du temps mais il est vrai que je n'hésite pas à avoir d'autres activités quand j'y trouve un intérêt et que mon usage ne prend pas une place démesurée au point de provoquer des troubles important dans le quotidien ou l'humeur.

Questionnaire

Bonjour, Dans ce questionnaire semi-directif, il m'a manqué l'option jamais, que j'aurais choisi pour la majorité des questions. Cela était-il délibéré de votre part ? Merci Mathéa

Questionnaire

Ce questionnaire est critiquable en de nombreux égards, et nous ne l'avons pas transformé par rapport à ce que son auteur original (voir la référence en bas du test) a proposé. Il peut donc être daté (comme cela a été mentionné sur le forum), utiliser des termes inappropriés ou des réponses inadéquates... Porter un regard critique sur le test lui-même et la manière dont il présente ses conclusions fait partie de l'exercice. Vous pouvez par exemple trouver un autre test, plus récent : http://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/5966/?sequence=16 qui pourra apporter un autre éclairage sur votre perception.

Trop de sous-entendus dans les questions ?

Bonjour Pour moi aussi il manquait l'option "jamais" pour une grande partie des réponses. Par ailleurs, être en ligne est à la base de mon activité professionnelle quotidienne ; internet est mon outil de travail ; c'est aussi le vecteur d'une partie de mes activités associatives ; internet contribue aussi à mon information comme à mes relations personnelles et interactions quotidiennes avec bon nombre de personnes. C'était déjà le cas il y a 10 ans... Cela ne s'oppose pas à une activité dans la vie réelle ; c'est un tout dans mon expérience. Seules les 10 dernières questions traitent de l'addiction, non ?

Trop de sous-entendus dans les questions ?

Bonjour, A priori l'ensemble du questionnaire traite de l'addiction. Qu'est-ce qui vous donnait l'impression que seules les premières questions en faisait partie? Guillaume

usage du numérique en fonction de l'activité

Dans le cadre de l'activité professionnelle on utilise beaucoup le numérique, c'est un outil comme un autre. Par contre à la retraite ou à titre privé, on est plus tenté de l'utiliser pour des jeux et la tentation est grande d'un usage addictif. Léonie

INADMISSIBLE

![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14214188542642792.png Je trouve inadmissible et non éthique de mettre ce message à la fin du quizz, pour moi ma participation à ce MOOC s'arrête ici ! Vous imaginez l'impact d'un tel message sur quelqu'un de fragile ?! Cela ressemble à de la "retape" pour trouver des patients, je suis outrée ! En ce qui me concerne ma participation à ce MOOC s'arrête donc ici...

INADMISSIBLE

Bonjour, je pense qu'il faut relativiser les résultats de ce test: il a vieilli et plusieurs en ont pointé certaines inadéquations... Mais oui, renvoyer vers un médecin traitant me semble anormalement pathologisant et choquant dans un espace où l'on est juste là pour parler de nos usages. Cela pose à mon avis la question de la véracité de ce que prétendent évaluer ces tests... Et d'ailleurs qu'est-ce qu'un médecin généraliste lambda connaît de plus que vous ou moi sur le numérique? Y a-t-il été formé? Mais bon je trouve que c'est dommage de quitter les discussions pour cela, profitons en plutôt pour questionner cette "évaluationnite aigüe!" (souvent souhaitée par les usagers eux-mêmes) et ses dangers potentiels. Reste que la question demeure: comment évaluer si quelqu'un est en difficulté ou non sachant que dans les addictions en général le déni par l'usager est un facteur courant... Ce test seulement quantitatif me paraît inadéquat pour évaluer la souffrance éventuelle liée à l'usage qui pourrait révéler ou non le fait d'être addict.

INADMISSIBLE

Surprise voire choquée à la lecture du résultat, je m'en suis avec le recul amusée car je pense connaître mon rapport avec le numérique. par ailleurs, je suis connectée au moins 8 heures par jour dans le cadre du travail donc le résultat ne pouvait être autre. A ce rythme la société entière est addicte.

INADMISSIBLE

C 'est un message type que vous trouverez sur tout questionnaire relatif à des questions pouvant être en lien avec une pathologie. Je trouve au contraire que cela signifie que cela ne représente pas un diagnostic et "faire un point avec son médecin traitant " est une démarche normale.

INADMISSIBLE

L'idée était justement de susciter ce genre de réaction, mais pas forcément de cette ampleur :~] Si vous lisez bien la question ("que pensez-vous de ces résultats ? et également que pensez-vous de ce test d'auto-évaluation ?"), l'intention derrière était de pousser à réfléchir à la validité de ce genre de tests, que chacun peut trouver en ligne ou dans des magazines. Les questions sont déjà à prendre avec un grain de sel (question de contexte, d'âge du questionnaire, etc), donc les "réponses" le sont encore plus, surtout quand elles sont générées automatiquement. La présentation du test ne mettait effectivement pas assez en avant cette intention, ce qui est une erreur que l'on va corriger, en ajoutant sans doute quelques éléments culturels à propos de ce questionnaire en particulier. On pourrait également proposer un autre questionnaire, plus récent, pour permettre des comparaisons, voir les évolutions, les différences de point de vue...

INADMISSIBLE

Oui c'est une erreur plus que regrettable et au lieu de perdre du temps à me répondre à moi qui vais bien et suis juste en colère... occupez-vous plutôt de tous ceux que vous avez inquiétés, angoissés pour rien ! Quelques-uns se sont exprimés sur le forum et n'ont aucune réponse et d'autres n'ont rien dit et s'inquiètent en silence. Pour eux vous comptez faire quelque chose, j'espère !

INADMISSIBLE

N'exagérons rien. Personnellement j'ai apprécié l' échange que cela a permis et j'ai quand même du mal a croire que quelqu'un soit traumatisé, d'autant que les différentes critiques du tests en ont bien relativisé la portée et qu'elles sont accessibles à tous...

INADMISSIBLE

Il est vrai, à mon sens, que le message de fin du quizz n'est pas très enrobée si je peux le dire ainsi et peut effectivement provoquer ou réveiller une émotion inattendue en lien avec l'histoire personnelle. Un avertissement préventif sur la teneur quelque peu brutale et "froide" de l'analyse serait le bienvenu en début de quizz.

INADMISSIBLE

Ce questionnaire a été développé aux Etats-Unis par K Young en 1998 avec un échantillon de population et une norme culturelle différente, mais il pose néanmoins certaines questions intéressantes. Il est publié, il est "vieux", mais permet de réfléchir sur son usage. Je suis allé reprendre l'article en anglais qui est cité, et je propose une traduction différente de celle utilisée (voir page 3 de l'article): Le score minimal est 20 et le maximum 100; plus haut est le résultat et plus Internet pose des problèmes. Young suggère qu'un score entre 20 et 39 est un résultat habituel d'un utilisateur qui contrôle son usage; un score de 40 à 69 indique des problèmes fréquents à cause de l'usage d'internet et un résultat de 70 à 100 indique des problèmes significatifs [traduction libre]. *The minimum score is 20, and the maximum is 100; the higher the score, the greater the problems Internet use causes. Young suggests that a score of 20–39 points is an average online user who has complete control over his/her usage; a score of 40–69 signifies frequent problems due to Internet usage; and a score of 70–100 means that the Internet is causing significant problems.*

51/100

Je suis addict! Et je dois consulter mon médecin! J'ai l'impression que je vais lui faire perdre son temps... J'imagine qu'en 2015, une majeure partie des français répondant à ce test est addict. Comme nous serons amenés à l'avenir à utliser encore plus les technologies numériques, on peut imaginer que les scores vont augmenter. Les médecins vont être débordés! Personnellement, je ne me sens pas malade. Au contraire, le numérique contribue à mon épanouissement personnel. Ce test est peu pertinent pour aborder la question de l'usage problématique du Net. Il manque des questions sur l'usage que l'on en fait et tous les apports positifs qu'on peut y trouver. C'est seulement un test quantitatif...

51/100

Bonjour, Votre impression prévaut bien évidemment sur le résultat obtenu au test. Si vous sentez que le numérique contribue à votre épanouissement personnel, je n'ai qu'une chose à vous dire, vive le numérique! Guillaume

addict ! j'arrête le travail :)

Questionnaire amusant mais peu représentatif. Quand le travail demande une présence importante sur le net... est on pour cela addict ? Le questionnaire devrait être revu me semble t'il car pour ma part, les questions ne convenant pas je n'ai sans doute pas répondu correctement à certaines ...

addict ! j'arrête le travail :)

Idem. Je tape à 79/100, mais je suis informaticien et la plupart de mes loisirs tournent autour du numérique. Je me ménage aussi du temps pour la lecture (hors ordi) et les médias (tv, films, musique, le tout hors ordi). Je me sens soulagé lorsque je peux accéder à Internet après plusieurs jours sans. Mais c'est plus une question de vérifier mes courriels (et les informations importantes que j'aurais pu manquer), qu'une véritable addiction.

perception de mes usages

le résultat du test semble assez juste pour cette période il m'est arrivé de tout mettre en place pour passer plus de temps sur le net

Le test

J'adore les tests et le fait qu'on mette l'homme dans des cases sans prendre en compte sa complexité et la complexité de son environnement. En plus 10 ans sur les usages du numériques c'est un siècle... Alors j'espère aller au-delà dans ce Mooc avec vous tous.

mon avis

Je pense que le numérique nous apporte certains avantage, mais je n'aime pas passer du temps derrière un ordinateur ou un portable. Il n'y a plus de lien sociable,ces machines nous connecte virtuellement mais nous éloigne au quotidien. J'aime passer du temps avec mes amis et ma famille lorsque nous sommes ensemble.

activité 1

J'adore les tests, il est vrai que ce test IAT peut donner une première approche, mais il ouvre en soi des questionnements. Par contre, le résultat indiqué est: Résultat : Vous n'avez pas encore répondu à toutes les questions (21/20), je n'ai pas bien compris.

test

tout a fait d'accord

Une conception déjà dépassée d'Internet dans ce test

J'ai fait le test avec amusement, car il comprend à mon avis des biais très significatifs qui reflètent une conception déjà dépassée d'Internet ou, en tout cas, qui ne peut s'appliquer à tous ceux qui suivent ce MOOC et encore moins à l'ensemble de la population. Le test sous-entend que c'est le temps de connexion qui est problématique, ou plutôt l'absence de contrôle du temps de connexion, sans jamais poser la question de ce que l'on fait en ligne. Dans la logique de ce test, choisir un billet de train, le réserver et l'acheter en ligne est plus "problématique" que de se rendre à la gare, faire la queue pendant une heure et acheter son billet après un bref échange avec le guichetier, avant de rentrer chez soi. Les activités en ligne se sont substituées à nombre d'activités IRL, avec tous les encouragements et les incitations des compagnies qui fournissent les deux types de services (la SNCF, dans l'exemple plus haut), l'action en ligne présentant souvent plus d'avantages que l'action IRL. "Traîner" sur Internet sans but ou en réalisant des activités non productives pendant des heures est peut-être problématique, mais lorsqu'on travaille avec Internet, lorsqu'on allège certaines activités habituelles avec Internet, etc. je ne vois pas pourquoi "réduire son temps de connexion" par exemple peut constituer un objectif allant dans le sens d'une meilleure hygiène de vie...

Une conception déjà dépassée d'Internet dans ce test

En effet et nous avons insisté lors du Webinaire 1 sur le fait que l'abord quantitatif n'était jamais le plus pertinent pour évaluer la dimension addictive d'une conduite jlv

Mes inquiétudes

Selon le test je suis dejà addict à l'internet. je n'arrive vraiment pas comprendre

Mes inquiétudes

C'est critiquable et critiqué. Il n'y a pas de raison de s'inquiéter je pense. De mon point point de vue de non spécialiste de l'addiction, je pense que les questions sont assez mal posées, et ne sont plus en phase avec le numérique actuel. Peut-être que les animateurs de la semaine devraient donner l'ensemble des infos du tests (= les différentes réponses en fonction des scores, histoire de voir si les curseurs, peut-être bien placés il y a 10 ans le sont encore. Je laisse les collègues spécialistes donner plus d'infos sur le test :-)

Mes inquiétudes

dans ce domaine il n'y a pas de critères validés d'addiction et l'école amèricaine de psychiatrie qui est responsable de l'édition du manuel regrouppant ces critères (eux memes fort contestés) a décidé dans sa toute récente 5ème édition que pour l'instant ce ne pouvait etre qu'un sujet de recherche ,faute de données consensuelles et scientifiquement validées; par ailleurs notre ambition lors de cette 2ème semaine,et plus largement durant ce MOOC,est que chacun des participants puisse s'intérroger à propos de ses usages ,d'une façon à la fois personnelle et partagée avec les autres ;il n'y pas en la matière de vérité qui puisse s'imposer à travers la réponse à un auto questionnaire,à la portée de quelques clics!jlv

Mes inquiétudes

Pour ma part, je suis encore à la préhistoire... Me connecter reste une torture !!! J'écrivais des lettres et je recevais des réponses... Je n'écris plus qu'occasionnellement parce que plus personne ne me répond et je ne prends aucun plaisir à lire sur écran... Suivre ce MOOc me montre à quel point je suis : DECONNECTEE

Mes inquiétudes

Bonjour, Vous posez me semble t-il un constat qui interroge sur le MOOC. Vous dites "déconnectée" vous ne dites pas "hors du numérique" et, en cela vous avez, me semble t-il bien raison. Le MOOC s'intéresse t'il seulement aux usages connectés ou aux usages, plus larges, du numérique : industriels, médicaux, informationnels, transmissionnels, dans les biens de consommation, ... Le numérique c'est la codification binaire et ses traitements de l'ensemble des composants et des activités de nos mondes. Nous sommes déjà en partie en transhumanie puisque l'ensemble des biens et des services, l'ensemble des éléments de la nature, l'ensemble des idées, pensées, idéologies ... ont une existence "numérique". Même si nous ne sommes pas connectés nous sommes traduits en codes binaires. Alors 'to bit or not to bit ?" Bien chaleureusement en 64 bits, Georges