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Semaine 2 / 1.1 Glossaire sur le numérique

outils numériques

le numérique dans mon quotidien un smartphone avec principalement le sms, et le mail + tiwtter appli un ordinateur pro (PC) avec messagerie, serveur internet, sites web et leur backofficie (drupal et wordpress), réseuax sociaux, plateformes pro (argus de la presse, vocus, ...), web mail, sites d'informations, bureautique un ordinateur perso (mac) avec messagerie, site web, réseaux sociaux, photos et logiciel de traitement TV avec notamment VOD tabletes avec des appli t

outils numériques

Me voilà rassurée en lisant votre post. Je blague évidemment. Pour ma part, je possède un smartphone que j'utilise peu mais nécessaire pour le travail. Puis un pc bureau et un portable sur lesquels je passe beaucoup de temps. Pour le travail toujours et perso puisqu'il semble difficile de joindre les gens autrement que sur les réseaux sociaux

et un téléphone sans accès internet?

Est-ce qu’un téléphone portable qui n’a pas d’accès internet ni d’appareil photo est considéré comme du numérique ? Et un téléphone fixe ?

et un téléphone sans accès internet?

oui, il me semble que c'est du numérique dans la mesure où ce portable nous suit partout, contrairement à un téléphone fixe.

et un téléphone sans accès internet?

Je ne veux pas dire de bêtises, mais techniquement oui le téléphone portable est numérique puisque je crois qu'il utilise un flux numérique (binaire=0 et 1) contrairement au téléphone fixe et je dis bien fixe NON IP qui lui utilise un flux analogique. http://www.linternaute.com/science/technologie/comment/05/telephone-portable/comment-telephone-portable.shtml

et un téléphone sans accès internet?

oui numérique c'est le monde binaire ,le monde qui se réduit à un choix simple 0/1 ,par défaut /un bloc :dramatique !!!

le numérique sous toutes les formes et comme outil de travail

sous la forme de PC, tablette, et smartphone. Partout, au travail (notamment pour les mails), à la maison ,en vacances de plus en plus avec le wifi..... C'est presque comme une invasion passive... et on commence à se questionner sur l'influence des "écrans" notamment au niveau des enfants..Aussi, j'ai adhéré à un groupe de parents d'élèves dont l'objectif est de sensibiliser les familles et les enfants (challenge sans écran) sur les dégâts que mettent en évidence de nombreuses études (manque d'attention à l'école, appauvrissement du vocabulaire, violence physique et verbale...et plus grave des retards importants pour les population les plus exposées!!!

utilisation numerique

j utilise les nouvelles technologies pour m instruire rechercher des informations sur des faits d actualites pour comparer les prix trouver des recettes de cuisine l utilisation du numerique passe par les moteurs de recherche dont le plus celebre est google vous pouvez taper un mot code vous avez une multitude de pages

Mes outils numériques principaux

Google, Wikipedia, Windows, Orange. C'est surtout au travail que j'utilise le numérique: courriels dès l'arrivée, cela prends pas mal de temps de faire le tri, beaucoup d'inutiles, la direction informatique pourrait faire nettement mieux! Puis j'utilise beaucoup l'intranet pour les courriels et transferts de dossiers et documents et Microsoft Office pour écrire les documents. J'ai un ordiphone (smartphone) depuis peu, je m'en sers surtout pour téléphoner professionnellement et avec les proches et pour les SMS. J'y ai accès à Internet par Bing, cela me sert à trouver une définition, retrouver une notion ou un nom oublié, faire et envoyer des photos, mais dans un usage très limité. A la maison l'usage (de l'ordi cette fois) est aussi très raisonnable mais sans cesse grandissant (en particulier pour ce mooc!! Je me suis branché su Twitter). Sinon, je vais sur les site dont j'ai l'utilité sur le moment: Amazon pour un livre que je n'arrive pas à trouver ailleurs, Marmiton pour sortir une recette, INA pour un document ancien, ou des sites plus spécialisés si je recherche une marchandise précise. J'envisage depuis quelques temps de faire certaines courses répétitives par Internet. Youtube ou Daylymotion me permettent de visualiser des vidéos instructives ou de loisir, humour en particulier. Bon, en fait, plus j'en cherche, plus j'en trouve... C'est en augmentation et transformation constante, les outils sont nombreux et pas tous d'un abord facile pour les néophytes. J'aimerais tout basculer en logiciels libres ou alternatifs mais cela n'apparaît pas comme simple au premier abord... Le numérique c'est super pour certaines choses mais c'est quand même très chronophage, en apprentissages par exemple, en tous cas pour moi... ![livre][1] [1]: /media/14211647662085334.jpg

Mes outils numériques principaux

mon utilisation du numérique est pour moi aussi surtout professionnelle en tant que chargée de communication pour une association culturelle : mails, twitter, facebook, administration du site internet. je ne sais pas ce que je ferais si je n'avais plus accès à ces outils...je repasserais des fax, et écrirais sans doute des courriers à la machine à écrire ;-) mon utilisation personnelle (à la maison) est moins chronophage : j'utilise uniquement un ordinateur portable (qui tourne sous linux -ubuntu). je m'attache à utiliser essentiellement des logiciels ou plateformes opensource. je n'ai pas de smartphone mais "seulement" un mobile qui me sert à téléphoner à pendre des photos ou faire des enregistrements audio. mon utilisation perso est une utilisation plutôt "encyclopédique" : je me sert d'internet pour rechercher des infos sur des sujets divers (notamment culturels) regarder des vidéos, écouter des podcasts radiophoniques, échanger par mail ou skype. J'aime bien pouvoir me dire "Allez maintenant j'arrête j'ai suffisamment passer de temps sur l'ordi maintenant".

Mon numérique

J'utilise le numérique à mon travail (environ 50% de mon temps se passe avec un ordinateur=. A la maison, je me sers de tout : google, mails, voyage, informations, météo, jeux, annonces, cuisine, bricolage,... En fait, l'ordinateur remplace pour moi les livres "utilitaires", bien que je continue à lire beaucoup, la télévision, le cinéma, le facteur, le téléphone...

Le numérique, en fait, ça recouvre ....

.. quasiment tout ce qu'on touche... Nous sommes connectés de partout, et enregistrés de partout. Pas de paranoïa dans ce constat. Ca va bien au delà des seuls appareils numériques, ou des applis que l'on utilise. Au sens strict, bien sûr, on peut lister le smartphone, la tablette, l'ordi, et puis la télé qui est connectée à tout ça.. Et puis les applis, les services, bien au delà de Twitter ou Fbook, sur lesquels après tout, on ne poste que ce qu'on veut... La NSA sait quels mails j'écris, et Monoprix me propose des coupons de réduction sur mes yaourts préférés ! Je prends l'autoroute, j'ai un badge pour éviter les queues aux péages, j'achète de l'essence, ma carte bleue dit où je suis et à quelle heure... et quand il n'a pas le temps de me recevoir en rendez-vous, mon médecin scanne son ordonnance et me l'envoie par mail. C'est bien, c'est mal, on voit bien que tout est affaire de culture, de prise de recul. Expliquer aux ados les usages et les risques, mais aussi l'ouverture au monde phénoménale.. Expliquer aux enseignants qu'il ne faut pas craindre la concurrence de wikipédia mais jouer avec... La question est "qui est là pour expliquer ?" et aussi, de manière plus globale, "comment réguler sans attenter à la liberté ? ". Quand je bloque un abruti sur Twitter, ça me donne bonne conscience, mais dans la vraie vie, il continue à sévir... Vaste programme. Merci pour ce MOOC, qui se révèle encore plus utile en ces temps où la réflexion collective s'aiguise un peu et a besoin de se nourrir. Amicalement, Frédérique

Le numérique, en fait, ça recouvre ....

Merci pour cette contribution très intéressante. Elle illustre effectivement bien le fait qu'il y a le "numérique" auquel on est directement confrontés, via notre ordinateur, notre smartphone..., mais aussi beaucoup de numérique (avec donc les possibilités - néfastes ou bénéfiques - d'indexation, de recherche, de traçage...) plus ou moins caché. Une petite synthèse dans le wiki sur cet aspect serait très bien.

outils numériques

wikipédia, gooogle gmail j'utilisebeaucoup internet pour un peu tout. Culture, recherche d'infos, annuaire, encyclopédie, critiques, jeux, films, timbres, tout ce qui peut être fait en ligne plutôt que par courrier. Je n'utilise pas de smartphone. J'ai juste un téléphone pour téléphoner !

Un modèle économique engendrée par la numérisation

"... toute critique politique et économique formulée à l’encontre du secteur des technologies de l’information et de ses liens avec l’idéologie néolibérale est instantanément galvaudée en critique culturelle de la modernité." http://www.monde-diplomatique.fr/2014/08/MOROZOV/50714

culture digitale

j'utilise quotidiennement internet; je produit , je collabore je partage je m'informe, je veille, je communique, je forme,j’apprends,j’achète, je vends, je crée, je travail , je me diverti ,je prends , je donne .. j'utilise les outils du web 2.0 , hébergeur logiciel variés ressources multimédia etc ...

culture digitale

Utilisation quoptidienne d'internet sur différents supports (pc portable, tablette, smartphone) pour différentes activités : messagerie, réseaux sociaux, téléchargements, visionnage vidéo ou émissions tv en replay,podacst radios, lecture en ligne de journaux sou blog, recherche d'infos, achats, gestion compte + divers autres e-services (état civil, etc), e-ressources proposées par les médiathèques dans lesquelles je suis inscrite (revues + magazine via le kiosque, musique via MusicMe,vidéos fiction + docs via Médiathèque numérique, BD via Izneo et méthodes de langue via Toutapprendre), etc...

culture digitale

je vous rejoint utilisation quotidienne. 1pc, 1portable et un téléphone connecté. Messagerie, réseaux sociaux, information, consultation dictionnaire, je vends, j'achète, je travaille, une formation en ligne en + du mooc , je m'informe sur les dommaines qui m'intéresse, je cuisine (mon ordi a remplacer tous mes livres de cuisine)....

culture digitale

Même combat, tout ce qui peut me faciliter la vie et me faire économiser du temps est le bien venu. Pour moi il s'agit d'un outil purement et simplement! Dommage de ne pas avoir eu la possibilité de disposer à une connexion internet lors de mes études il y a plus de trente ans, je regrette seulement que mes fils passent trop de temps sur les jeux et les séries!

Notion du numérique

Salut à tous Moi niveau outils j'utilise presque tout : ordinateurs, téléphone et tablette Plate forme c'est surtout le web et tout ce qui va avec. Côté service c'est tout ce qui touche la vie courante mais aussi professionnelle.

le numérique dans nos vies

travailler en réseaux avec des collègues ;s'informer sur horaires ,types de tout (cinéma ,spectacles matches etc ....toutes les manifestations de toute nature)chercher des traductions dans n'importe quelle langue,chater sur tous les sujets avec tout un chacun,voir les sujets ou mots interdits...toute la vie peut se faire par internet

le numérique dans nos vies

plutôt se demander "qu'est ce qui ne relève pas d'internet dans nos vies ":se toucher ,se sentir ,se gouter,c'est à dire la réciprocité sensorielle hors de la vue et de l'ouie,donc la plus animale,le numérique n'est pas fait pour les animaux dommage!mais aussi le contact avec la nature ,le vent ,l'eau ,la pluie,le sec, la cuisine le cru ,le cuit .l'être humain dans le monde psssitttt ,circulez le numérique rien à faire ici!

le numérique dans nos vies

ça vient de changer pour le toucher Jean-Pierre. Grace à Durex et au Smartphone, on peut maintenant toucher son ou ses partenaires à distance. https://www.youtube.com/watch?v=qb7DN3kpl2o Je précise que ni moi ni l'équipe pédagogique n'avons de conflit d'intérêt avec Durex. En terme d'objet connecté, peut être que cet objet nous fait passer un cap. Par ailleurs, déjà que le téléphone portable dans la poche fait craindre la stérilité ou le cancer des gonades, avec ça ce sera probablement pire... Guillaume

le numérique dans nos vies

me voila rassuré! jlv

Moi et le numérique

Le numérique pour moi est un outil par excellence de la communication, de formation, d'information et d'instruction.De nos jours l'Homme ne peut pas se passer de cet outil dans sa vie de tous les jours.Je pourrait tenter de dire que sans cet outil( le numérique) le monde perdrait ses repères.

Moi et le numérique

Oui de nos jours c'est difficile de s'en passer. Mais n'est-ce pas la société elle même qui nous pousse et même nous oblige à nous en servir ? Je veux dire par là que par exemple, maintenant on nous demande de faire de plus en plus de choses en ligne, et pas seulement activer une carte de fidélité pour un magasin, mais par exemple, déclarer ses impôts. Bientôt cela sera une obligation de le faire par Internet alors que pourtant il y'a des personnes qui n'ont pas internet, ou qui ne peuvent pas avoir un accès à internet chez eux. Il y'a encore beaucoup de personnes qui n'ont qu'une connexion 56 k, et qui à mon avis de nos jours est plutôt un enfer pour ne serait-ce que surfer sur Internet.

Mes outils

Professionnellement (Viadéo) ou personnellement (Facebook), les réseaux sociaux m'ont permis de faire de belles rencontres ou de garder contacter avec des amis ou de la famille partis au loin. Skype notamment nous a permis de garder le contact avec mon beau-frère, parrain de notre fils, qui vit à Nouméa pour quelques temps. Nous avons même pu partager un moment du Noël en famille. Ensuite, les mails, les messageries instantanées permettent de garder contact, de passer des messages, avec, pour moi, le côté agréable de reprendre l'écrit. Mais parfois, on se demande à quel moment on se déconnecte ! Ensuite, la synchronisation entre le téléphone et un ordinateur pour avoir son agenda entre autre est une belle invention. MAis parfois, tout cela marche mal et là... cata,je ne sais plus comment on pouvait faire quand tout cela, toutes ses infos accessibles si facilement, n'existait pas ? Préparer un voyage, acheter un cadeau de dernière minute livré en 24h, faire un exposé, un résumé... Bref, tout est possible ! Mais j'avoue que j'adore les livres et je me refuse à me mettre aux liseuses. J'initie mes enfants au livre, rien ne peut, à mon sens, remplacer ce support alors que télécharger du MP3 ne me dérange pas ! Mon côté nostalgique !

Mes outils

Moi aussi parfois je me pose la question de comment on faisait avant, et me demande ce qu'il se passerait sans internet dans le monde entier. Et bien je pense qu'on reprendrait comme c'était avant, on se débrouillait pas si mal je crois. :)

intéressé mais largué...lol

J'utilse un PC depuis prés de 20 ans et j'ai un téléphone "simple". La technologie, la rapidité de développement et donc la nouveauté et le changement font que je ne suis pas un gros consommateur de numérique mais j'aimerais vraiment pouvoir être plus à l'aise. J'ai des collègues qui utilisent des tas d'appli. et ça à l'air de leur faciliter les choses, je n'ai jamais réussi à mettre des photos sur facebook (d'ailleurs je n'y comprend que la partie message!!). Malgrès cela, j'aimerai mettre un peu plus: deux choses m'intéresse vraiment 1 les appli. 2 les tableaux numériques... lol...

Le numérique pour moi

Bonjour, Pour moi, le numérique englobe tout ce qui est données et communications "non matérielles". Je veux dire par là ce qui se transmet par la de transmission de données, fichiers qui se mesure en Ko, Mo, Go... qui se stocke virtuellement sur un disque dur, sur Internet, un appareil mobile et qui se consulte à travers un écran. Je ne peux pas tenir l'objet numérique dans la main, je ne peux voir que sa représentation via un écran qui lui en est l'outil. Photos, musiques, vidéos, e-mails, pages Internet: sites Web, blog, documents de toutes formes (documents Office ou équivalent), réseaux sociaux: FaceBook, Twitter, Viadeo, copainsdavant et tellement d'autres, SMS, MMS, Skype mais aussi les jeux. La liste est longue et non exhaustive. Que ce soit sur ordinateur, TV, téléphone, smartphone, tablette, liseuse de livres électroniques. En résumé: l'outil c'est l'appareil avec écran, les plateformes et servicess c'est tout ce que je fais depuis cette appareil.

plateforme de jeux et réseau social

Je n'ose pas écrire dans le glossaire, mais pour moi les outils principaux du numériques sont mon ordinateur. Un tout petit peu mon smarphone (je l'utilisais pas mal au début, mais plus beaucoup maintenant) pour essentiellement le téléphone (après tout c'est son usage principal normalement XD), et le GPS quand j'en ai besoin, et aussi un peu comme agenda, mais non connecté ou synchronisé. Mon ordinateur c'est pour tout le reste, internet, jeux vidéo, édition, création, travail. Mes réseaux sociaux favoris se trouvent en fait sur des plateformes de jeux vidéo comme STEAM par exemple. J'ai connu pas mal de joueurs sur cette plateforme, j'ai lié connaissance avec quelques uns d'entres eux, certain m'ont déçu. J'utilise internet principalement pour m'informer, ou me cultiver, parfois pour le côté pratique : horaires, annuaire, formalité en ligne, se renseigner sur des produits/services, ect...

numérique

Les outils : pc et smartphone, outils adaptés pour la communication des personnes en situation de handicap ( tablettes de pictogrammes, synthèse vocale, transcription braille, etc.) ainsi que des outils numériques au service de la création artistique ( C est très multiforme ). J utilise sur internet les réseaux sociaux (multiusage : communication personnelle, veille information, ludique et communication professionnelle) Des forums de discussion des sites sur les thématiques qui m'intéresse Des outils de recherche, de créations la formation continue ( J y inclure ai les MOOCS) les services en ligne administratifs, commerciaux, Des réseaux de solidarité et d entraide et J en oublie certainement.

Définition du numérique

Le numérique est la représentation de l'information par les nombres, les caractères. Mes outils numériques sont mon ordinateur et ma tablette

Numérique

Bonjour, J'ai une vision assez proche de certains concernant le "non matériel" on parle souvent de dématérialisation. Toutefois que penser de l'argent numérique, avec la carte bancaire comme moyen de l'utiliser. Le numérique est un moyen de création, d'enregistrement, de stockage, d'échange et de restitution d'informations. Le numérique peut remplacer de nombreux supports physiques parce que leur contenu s'y prète comme dans le cas des livres, des vinyls, des photos. Mais avec les réseaux sociaux, même si nous sommes dans l'immmatériel, en créant un nouveau moyen de rapprocher les personnes ayant des goûts commun, ne matérialise-t-on pas, d'une certaine manière, des liens sociaux qui avant le numérique ne l'étaient pas ? Peux également penser que des boutiques en ligne matérialise un étalage de produits ? Concernant mon utilisation, je pourrais évoquer smartphone, tablette, ordinateur, télévision, téléphone, ma carte bancaire mais je dois en oublier. Pour les plateformes et services en ligne, la liste est longue entre messagerie, portail d'informations et pour avoir participer à de nombreux forum, jeux en ligne,... Mais c'est aussi mon métier.

numérique et toile

Bonsoir, Pour moi ce qui est numérique est liée à la toile et aux outils qui permettent d'y surfer. Les moyens d'accès sont matériels (pc, tablette, smartphone) mais le numérique est pour moi immatériel. j'avoue ne pas oser écrire dans le wiki car finalement, plus je pense à des exemples et moins je sais le définir ...

le moins possible c'est déjà trop

Mon réveil sur mon smartphone et un deuxième sur la tablette... au petit déjeuner la météo et les mails perso. Dans les transports musique et jeux, vérification agenda. Au travail toute la journée. pause déjeuner les news. Re-tansports. A la maison programme télé et travail perso. étude, administratif perso. damus

A lire - qu'est ce que le numérique ?

Voici le titre d'un ouvrage de **Milad Doueihi** : *Qu'est ce que le numérique ?* (PUF) Milad Doueihi est historien des religions et titulaire de la chaire d’humanisme numérique à l'université de Paris-Sorbonne (Paris-IV), chaire thématique du Labex OBVIL et de la ComUE Sorbonne-Universités. Milad Doueihi s'est intéressé depuis quelques années à l'évolution de la société avec le numérique. Historien des religions à l'origine, il se définit comme « un numéricien par accident, un simple utilisateur d’ordinateur qui a suivi les changements de l’environnement numérique au cours des vingt dernières années ». Il perçoit l'émergence du numérique dans la société comme une conversion au même titre qu'une religion. (wikipedia) Il a également écrit *Pour un humanisme numérique*, édition du Seuil, 2011.

A lire - qu'est ce que le numérique ?

et puis aussi un lien vers l'émission Place de la toile du 02/11/2013 au cours de laquelle Milad Doueihi est intervenu : [http://www.franceculture.fr/emission-place-de-la-toile-qu-est-ce-que-le-numerique-2013-11-02][1] [1]: http://www.franceculture.fr/emission-place-de-la-toile-qu-est-ce-que-le-numerique-2013-11-02

Outils utilisés

J'utilise quotidiennement mon téléphone portable. C'est un smartphone sur lequel se trouve les applications suivantes: FACEBOOK; whatsapp, Gmail et You tube. J'utilise aussi une application me permettant d'identifier des morceaux de musique. Je travaille avec un PC de bureau. J'utilise beaucoup ma boîte mail afin de communiquer avec différents interlocuteurs ainsi que mes collègues de bureau. Lorsque je suis chez moi je me connecte via le wi fi à internet afin d'effectuer mes recherches sur mon pc portable et mon portable. Je télécharge de la musique et je regarde des séries en streaming. J'envoi des messages écrits soit par sms soit par Whatsapp ou encore par la messagerie privée de Facebook. J'utilise également les émotincons.

Trop de numérique ?

Ayant grandi avec inernet, un ordi, un portable, c'est dur de s'imaginer comment on faisait avant et comment on pourrait faire sans !!! Gérer ses comptes, payer ses factures, faire ses courses, commander un repas, se déplacer, acheter, reserver, voir un film,parler avec ses amis, suivre des cours!!!!! se cultiver, suivre les infos, travailler et tant d'autres choses tout ça assis sur son canap sans sortir de chez soi devant un ordi sur INTERNET !!!!! Et aussi sans voir personne !!! C'est p'être un problème non et tout cas c'est comme ça qu'on devient addict non ??? Alors pour ceux d'avant je sais pas si c'était mieuix en tout cas c'était différent .... :-))

outils

le téléphone portable, l'ordinateur portable...

Numérique = la vie en 0 et en 1

Au quotidien, je lis, j'écris, je travaille, j'écoute de la musique, je regarde des films, j'achète des produits et des services, je parle avec des gens, je cherche des informations... et de plus en plus, je le fais avec des outils numériques, alors qu'avant leur généralisation je faisais à peu près les mêmes choses, mais pas à la même échelle, sans doute moins densément. Il y a encore plein de choses que je fais sans outils numériques : manger, dormir, regarder le ciel, me balader dans mon quartier, faire le ménage (!!!), prendre l'apéro avec des amis, embrasser mes enfants, lire jusqu'à pas d'heure un excellent roman... Je vous laisse poursuivre la liste. Mais sans aucun doute, le nombre d'actions qui se "numérisent", c'est à dire pour lesquelles on génère des traces à base de 0 et de 1 par le biais d'une application que l'on utilise spontanément, est en augmentation. J'ai une collection d'outils qui me permettent de choisir entre la version numérique et la version non numérique de mes activités : smartphone, tablette, ordinateur. Les outils numériques sont devenus des évidences, ils peuvent nous accompagner partout. Le vrai défi est de ne pas oublier de les éteindre et de décider de ne pas s'en servir, parfois...

Numérique = la vie en 0 et en 1

Bonjour, Je suis bien d'accord, le vrai défi est de ne pas s'en servir parfois. L'autre jour je me suis remis à lire un livre en papier, alors qu'habituellement, pour mes études, je lis sur l'écran, et la sensation m'a paru bien étrange. Le matériau aussi. Du papier... Qui n'est pas rétro-éclairé. C'est étrange. Mais on s'y fait bien quand même. Guillaume

Quels sont les outils, les plate-formes, les services que vous utilisez qui rentrent dans ce cadre ?

j'utilise une plate forme de mon réseau professionnel. J'utilise quelques jeux sur mon PC, j'ai une connexion CDMA pour accéder à Internet. J'utilise quelque trois réseaux sociaux.

Semaine 2 / 1.2 Récit parallèle

La banque

Avant, je devais prendre un transport pour aller à la banque ce qui signifié déjà me préparer pour une sortie qui pouvait me prendre toute la journée et quelquefois deux ou trois journées si je ne pouvais pas régler l'affaire dans la première. Après la banque numérique je ne dois qu'allumer la PC me connecter à la page et ça y est, c'est fait!!

La banque

Un jour c'était peu avant Noël nous eûmes l'occasion d'avoir une oie préparée (enfin, tuée et plumée!), bio et pas chère! On sauta sur l'occasion d'autant que c'est nous qui recevions la famille cette année là. Mais quand la bête arriva: horreur! elle ne rentrait pas dans le mini four qui commençait à craindre d'ailleurs! Bon l'achat d'un four était déjà envisagé, mais là: urgence! Ni une ni deux on tapa "four électrique" sur Google qui nous orienta sur plein de magasins. Waouh, ça y en avait plein de fours! Concurrence sauvage : au moins trois cent modèles! Dingue! Donc, après recherche comparative, prix pas trop cher (ouf!)! Bon une somme quand même m'enfin! Mais il ne restait que cinq jours avant Noêl: angoisse! Vite vite : article disponible: Oui, Livraison? Oui. Délai? Trois jours! OUI!! Très bonne l'oie, merci. Depuis on a un four qui marche très bien. En temps pré-numérique eûmes soit du renoncer à l'oie (perso, je ne me voyais pas la découper pas cuite!) soit galérer durant la période de Noël pour trouver un four en grande surface et, en guise de livraison, sûrement l'emmener nous même vus les délais... Moralité: commerce et numérique vont très bien ensemble! ![oie][1] [1]: /media/14211671971906871.gif

les voyages

Je suis une grande voyageuse et j'adore partir et préparer mes séjours en terre inconnue. Avant, j'étais tributaire d'une agence de voyage : pas moyen de comparer les vols (pas uniquement en tarif, en prestation et horaires également) sans un intermédiaire. Maintenant, je peux choisir ce que je veux, en modifiant les critères selon mes envies. Idem pour le choix des séjours, et des pays à visiter. La préparation du voyage fait maintenant partie de l'aventure : forums de voyages, photos , discussions. Le négatif : maintenant , il m'arrive parfois, lorsque j'arrive à destination, d'être moins surprise et dépaysée qu'auparavant. Peut être trop de préparation, et plus assez d'imprévus...

événement

Le 11 septembre 2001, j'étais au travail lorsque j'ai appris qu'il se passait quelque chose de grave à New York. L'accès au web était alors limité, un ou deux ordis dispos au travail, j'ai souvenir d'avoir vu quelques images, et une diffusion de l'info lente comparée à maintenant. Il me fallut attendre le retour au domicile pour voir des images à la télé. Le 7 janvier 2015, au retour du déjeuner m'informe du massacre à Ch. Hebdo, je consulte immédiatement le web, ma timeline Facebook s'affole, pas décroché de l'après-midi, incapable de me concentrer sur autre chose. A 14 ans d'écart, la relation à l'information à été complètement bouleversée.

événement

Le 11 septembre,j'étais moi aussi au travail, pose déjeuner, j'ai été informée par france inter. des infos rapides.

événement

je me souviens également du moment où j'ai été informée le 11 septembre. Je travaillais déjà en étant connectée sur internet mais les réseaux sociaux n'avaient pas la place qu'ils occupent aujourd'hui...

La photo

Une véritable révolution avec l'arrivée du numérique ! plus besoin d'attendre le développement, le résultat est immédiat, le budget photo allégé ... mais on se retrouve vite inondé de fichiers difficiles à gérer et personnellement je ne prends plus le temps de faire des tirages papier ou des agrandissements. Je sais certains d'entre vous me diront qu'il y a des super sites pour créer des albums, que ces photos numériques s'échangent plus facilement mais je trouve que l'on a perdu quelque chose avec la dématérialisation de nos photos.

La photo

Nostalgie, quand tu nous tiens ! Pour ma part, je ne regrette pas les tirages papier trop difficiles à ranger (et encore plus a retrouver), et qui se dégradent avec le temps. J'apprécie beaucoup plus les images numériques, qu'on peut dater et localiser (c'est un aide mémoire précieux), et qu'on peut recadrer, améliorer ... Cela me permet notamment de créer des photos d'identité pour les inclure dans mes contacts Gmail, et de les avoir sur mon smartphone (çà aide à se souvenir de ses interlocuteurs). Picture addict ?

La photo

je trouve aussi; par conséquent c'est pas un changement positif

La photo

En plus cela coûtait très cher maison devait attendre patiemment car c'était effectivement très long et souvent pas très réussi. Les photographes étaient très doués. Le matériel coûtait cher et était très encombrant.

La photo

J ai mis du temps à passer au numérique en photo. Effectivement ça a représenté un grand changement. Le volume oui , la gestion des fichiers se rajoute mais pour moi ça n à pas été un grand changement ( ranger mes négatifs et classer mes photos papiers puis ranger des fichiers numériques en ligne ou sur un disque dur externe c est juste un changement de support personnellement) Le changement le plus flagrant dans mon expérience c est le rapport au temps et la correction. Le passage dans l immédiate :la photo ne me satisfait pas , je la reprend , je peux faire plus d essai et les retoucher avec un logiciel plus tard. Et dans les gains J aime aussi l élargissement : il y a plus de photos et plus de photographes également . Et peut être aussi une exigence plus forte en qualité et en créativité pour les photographes professionnels du fait de la "concurrence " des amateurs . Voilà juste un autre point de vue sur la photo numérique

commerce

Très pratique pour trouver les pièces détachées, comme les mécaniques de ma guitare ; plutôt que d'aller en ville, éloignée, et peut-être ne pas trouver ce qu'on cherche. Mais je recommence à privilégier le libraire à Amazon, après quelques années de fourvoiement.

commerce

Effectivement Amazon ne permet pas les échanges entre le libraire et le client. Et quand on connaît les conditions de travail des employés !!

K7 audio

je me souviens des échanges à distance des années 80 que j'avais avec ma famille entre la métropole et la Nouvelle Calédonie où résidaient mes grand-parents et 2 de mes tantes encore adolescentes. Nous échangions bien sur par courrier mais étant donné que je suis issue d'une famille nombreuse, mes grand-parents et mes tantes enregistraient sur une k7 audio des discussions ou des sujets qu'ils souhaitaient nous transmettre. les K7 mettaient plusieurs semaines à arriver en France ensuite ces k7 circulaient au 4 coin de la métropole et nous enregistrions de notre côté une k7 qui partait à son tour en Nouvelle-Calédonie... Parfois des échanges se faisaient en réponse mais pas facile de suivre le fil :-) maintenant en 2015, nous échangeons par mail, facebook et skype ! quelle instantanéité !! mais en y repensant j'aimais bien l'attente de ces fameuses k7 audio et nous en reparlerons de temps en temps en famille

Liberté sans distance

C'est le maintien de mes relations personnelles malgré la distance... mes amis qui ont déménagé... aller plus loin avec ma soeur en passant par un échange en direct et selon nos disponibilités... transmettre immédiatement des informations... suivre les voyages de mes proches en direct... C'est surtout m'informer (de manière immédiate, variée et concrète) et me distraire (gratuitement, quand je veux et seule) alors qu'avant j'aurais perdu de vue des amis ou dû sortir de chez moi.

hier et aujourd'hui..

Avant le numérique ;) on connaissait le numéro de téléphone de ses proches par <3 l'adresse le code postal la date de Marignan les dates d'anniversaires les post it sur le frigo les photos jaunies sur le mur.. Aujourd'hui je suis incapable de donner le numéro de téléphone de mes fils, facebook m'apprend quand c'est l'anniversaire de certains proches et mÊme de pseudos amis jamais rencontrés..mais Google map me permet de me retrouver en 10 minutes alors que je perdais rapidement une heure avant le gps et mon téléphone me réveille chaque matin Le,téléphone me permet de dire aussi en 150messages des choses inutiles ;)

hier et aujourd'hui..

Tout à fait juste !

le numérique dans nos vies

si j'avais été étudiant sous l'ère du numérique ,je n'aurais pas souffert des jours et des jours parce que le seul livre de référence ,était pris à l'année par le prof pour faire son cours ,en prenant bien soin de nous dire que ce livre était le seul valable!!!

le numérique dans nos vies

Je viens de faire un devoir de philo, je me relance dans les études après un lonnnngue coupure. Et je me suis fait la réflexion que si à l'époque j'avais eu internet je serai sans doute allé beaucoup plus loin dans les études.

le numérique dans nos vies

et si on avait eu les MOOC à l'époque donc ! :)

le numérique dans nos vies

Il est clair que pour les apprentissages, le numérique apporte des changements et des améliorations considérables... Guillaume

le numérique dans nos vies

Le livre de classe ne changeait pas chaque année et quelques fois il faisait plusieurs générations.

le passé et le présent

Aujourd'hui nul ne peut douter des nombreuses prouesses qu'a connu le numérique, depuis son apparition jusqu'au présent.Avant pour avoir une information, il faut perdre un temps fou,mais avec le numérique, à peine 5 secondes ça y est.La recherche est très facile de nos jours.Il suffit d'avoir la volonté pour qu'on ait ce qu'on veut.

Effet positif de l'arrivée du numérique

Bonjour à tous, Voici un exemple positif et très concret de l'arrivée du numérique. J'ai comme passion l'écriture. Le numérique a un intérêt certain dans la phase de recherches d'informations afin de préparer la rédaction d'un récit. Auparavant, pour effectuer mes recherches, je devais obligatoirement me rendre dans une médiathèque ou aux archives départementales. En résumé, me déplacer physiquement à coup sûr ! Aujourd'hui, la démarche est possible dans certains cas mais pas obligatoire. Résultat : je peux accéder à l'infini à une mine d'informations (qu'il est nécessaire de trier, hiérarchiser, qualifier) sans avoir l'obligation de me déplacer. Ainsi, pour le prochain roman que je compte publier, près de 90 % de mes recherches seront issues du monde numérique ! Et je ne parle pas de la phase publication qui est grandement favorisée par cet outil !!! Vous en pensez quoi ? Cordialement

Effet positif de l'arrivée du numérique

Bonjour, J'en pense pareil, mais cela nous isole plus et nous fait perdre un peu de contact humain.

Effet positif de l'arrivée du numérique

effectivement le numérique permet des recherches d'infos sans se déplacer et je trouve ça génial. Mais après avoir lu les différents messages dans ce forum concernant cette question, je constate que plusieurs d'entre vous apprécient le fait de n'avoir pas à sortir de chez soi... pour ma part j'adore aller à la médiathèque ou en librairie même pour juste flâner. le fait de ne pas sortir de chez soi ne me parait pas être un aspect positif du numérique sauf en cas d'impossibilité physique ou de danger...

le GPS

Lorsque l'on a une activité qui s'exerce sur un département ou une région le GPS c'est quand même une révolution par rapport aux cartes et ravetanceau...Par ailleurs, je viens de terminer un Master2 et là y a pas photos le numérique a révolutionné les amphis et les méthodes de travail tant des enseignants que des étudiants.

Dénonciation sur internet ?

Le gouvernement par ce lien nous propose de signaler des propos illicites : www.internet-signalement.gouv.fr Je ne sais pas sur le fond quoi en penser, est-ce une dénonciation ou un acte citoyen ?

Dénonciation sur internet ?

je me suis posée moi aussi la même question et je n'ai pas de réponse :-( ça pourrait faire l'objet d'un débat. j'ai d'ailleurs l'impression que chacun poste son message dans son coin sur le forum sans vraiment essayer de le rattacher à un autre ou de répondre.

Dénonciation sur internet ?

La dénonciation, anonyme ou pas, existe depuis bien plus longtemps que le numérique. C'est le moyen de communiquer qui change. Le numérique, dans ce domaine, a révolutionné le monde. Les informations sont échangées presque immédiatement, là où un courrier prennait des jours voire des semaines pour arriver.

Dénonciation sur internet ?

Bonjour, Moi je ne pensais pas faire de dénonciation, mais comme sur la toile on peut trouver de tout, il y à p'être des choses à denoncer surrtout quand on voit ce qu'il se passe en ce moment où quand on lit les faits divers.... Alors dénoncer quand on peut lire des menaces, des insultes, violence, arme, enfants en danger, pour tout ça denoncer se pose pas trop j'penses !!! il aurait peut être moins de mauvaise choses à se passer Alors dénoncer s'il y a un danger ou pour l'eviter il le faut !Après tant qu'il y à pas de vie en jeu que chacun s'occupe de cequi le regarde ca serait pas mal aussi non ??

Avant / Après

Bonjour, Je vais être un peu hors sujet dans le sens où un souvenir et une réflexion me sont venus sur le avant / après mais ce n'est pas spécialement positif. Je me souviens que quand j'étais tout gamin (j'ai 37 ans aujourd'hui), quand avec mes parents on voulait voir des membres de la famille le dimanche après midi, on prenait la voiture et on sortait pour aller chez eux. Si ils n'étaient pas là, on laissait un mot et on allait tenter notre chance chez un autre membre de la famille et ainsi de suite. Bref, on voyait les personnes ou on cherchait à les voir et même si personne n'était là, ça nous faisait une sortie malgré tout. Le téléphone fixe s'est développé et avec le temps, on sortait de moins en moins voir les gens, on les appelait pour savoir si ils étaient chez eux. Si oui, on allait les voir, si non, on restait à la maison et on sortait moins. Puis les appels sont devenus de plus en plus fréquents et longs et les visites de plus en plus rares. Puis il y a eu le téléphone portable, puis les SMS, les MMS, les e-mails avec pièces joints et les réseaux sociaux. Du coup, je constate que là où on se voyait avant, on s'est appelé ensuite puis maintenant on communique par écrit sur les réseaux sociaux ou les sms. Tout le monde ne sera certes pas dans cette configuration mais ça m'amène à réfléchir sur le comment nos communications et relations avec le monde ont changé entre avant et après. D'ailleurs, pouvons nous réellement parler de communications ou seulement de transmissions d'informations? Qu'en pensez vous?

Avant / Après

Bonjour, Je suis partagé. J'ai l'impression que dans la vie concrète (par opposition à médiatisée par un écran), il y aussi certaines de nos relations qui se limitent à un échange d'information ou à de simples conventions sociales. Ce qui humainement est assez pauvre. Mais dans le même temps, cet aspect d'échange d'info me semble pire avec les sms ou Internet. Ce qui n'empêche pas qu'on puisse avoir des échanges très constructifs ou riches émotionnellement par Internet. En fait, je remarque que j'ai du mal à situer où se trouve le changement amener par Internet. Guillaume

Avant / Après

Bonsoir, Alors je n'ai pas vraiment connu d'avant/après mais, personnellement, j'ai plus l'impression qu'Internet me permet d'avoir des contacts avec des gens inaccessibles (mon frère au Canada par exemple ou même mon père à 800km pour lui parler plus souvent...) ou des gens comme ici que je ne connais pas mais avec qui je peux parler de sujets intéressants. Après, je n'aime pas vraiment parler au téléphone et encore moins par sms alors je continue de voir beaucoup de gens :) Bref, je ne suis pas convaincue que le numérique réduisent nos interactions dans la vie réelle (plutôt qu'il crée de nouvelles interactions).. par contre, la facilité et la fréquence des interactions peuvent effectivement en réduire le contenu j'imagine (on réfléchissait surement plus au contenu d'une lettre qu'à celui d'un sms...) ! Bonne soirée, Angela

Avant / Après

Bonjour, Je reviens sur la discussion après quelques jours. Effectivement, Guillaume, il y a de quoi être partagé et je pense que ma réflexion doit se poursuivre et je vous remercie de votre retour. Dans un premier temps, je voulais illustrer le changement de comportement dont je pense avoir été témoin. Peut être est-ce alors plus un changement de média plus qu'un changement de qualité. Oui il y a des échanges sociaux "directs", physiques, qui sont pauvres, d'autres riches, de même pour les échanges avec écrans interposés. Maintenant, si on creuse en termes de qualité et de facilité de communication, si on parle en matière de canaux, si on prend le système VAKOG, on voit bien que tous les canaux ne sont pas utilisés de la même façon. Si je lis un mail, un SMS, un blog, un article, je n'ai que des mots, donc j'imagine, je projette, une voix, une intonation, une émotion. Si j'entends la personne me dire tout cela, j'ai les mots, la voix, les intonations mais je vais imaginer ses expressions de visages et tout ce qui l’accompagne. Si je vois la personne, j'ai tout l'ensemble. Quand je parle de transmission d'information plutôt que de communication, c'est surtout par rapport au manque d'interaction. Il y a émetteur, récepteur mais pas de feed back, pas de sens inverse. Comment puis-je être sûr que celui qui me lit comprend (au mieux) ce que j'ai voulu exprimer? Si j'envoie un mail à quelqu'un en écrivant: Je n'ai pas dit que madame Duval avait volé un livre. Que va comprendre la personne? Si je le dis et que je mets une intonation, voilà ce que ça peut donner: **JE** n'ai pas dit que madame Duval avait volé un livre Je n'ai pas **DIT** que madame Duval avait volé un livre Je n'ai pas dit que **MADAME** Duval avait volé un livre Je n'ai pas dit que madame **DUVAL** avait volé un livre Je n'ai pas dit que madame Duval avait **VOLE** un livre Je n'ai pas dit que madame Duval avait volé **UN** livre Je n'ai pas dit que madame Duval avait volé un **LIVRE** Autant de possibilités d'intonations. On a donc des changements de comportements, des changements de canaux de communication, des changements de modes de traitement de l'information. Les interactions et les échanges ne se font plus pareil. Donc pour moi, beaucoup de choses ont vraiment changé en quelques décennies. Olivier.

Avant / Après

une infographie de l'iscpa sur le sujet avant/après internet http://piwee.net/1-difference-hier-aujourdhui-numerique-infographie-210115/

Informations et libre arbitre

De façon assez vague, le numérique m'a permis de m'émanciper des médias "mainstream". Travaillant dans une branche spécifique, je trouvais aberrant certaines informations ou reportage que l'on pouvait voir la télévision (ou dans les feuilles de choux) avec des prétendus "spécialistes". Qu'en était-il d'autres sujets que je maitrisais moins ? Grâce à l'informatique et à internet, une quantité d'information s'ouvre à nous et de façon plus moins instantanées, permettant, je pense, de se forger sa propre opinion, et non pas celle des grands médias qui nous martellent sans cesse la même chose. Avec un peu d'humour, par exemple, sur un sujet d'actualité dramatique (c'est l'image qui m'a amusé, pas le message en dessous) : https://www.facebook.com/619866151410467/photos/a.619884104742005.1073741828.619866151410467/861737270556686/?type=1&theater

Accès aux savoirs et numérique

Avant-avant le numérique, lorsque j'étais enfant vivant dans un désert campagnard, sans voisin ni moyen de locomotion, j'ai souffert de ne pas avoir de livres à disposition et si peu de réponses à mes nombreuses interrogations sur le monde. Nous avions juste quelques vieux livres sur l'étagère d'une armoire en primaire sans possibilité d'emprunt et les BT (petits livrets succincts Bibliothèque de Travail) accessible uniquement dans le cadre d'un travail. Une possibilité d'emprunter des livres à la bibliothèque du collège a transformé ma vie alors que j'étais déjà bien habituée à ne pas lire. Avant le numérique, des livres toujours insuffisants dans les bibliothèques municipales ou des lieux d'études et toujours trop chers. Avec le numérique, je peux trouver réponses et aides quasiment à toutes mes questions. C'est une mine d'or! Quand la France peine à développer le numérique dans l'enseignement, les pays du Sud développent le numérique mobile à grande vitesse afin de permettre à leur jeunesse d'accéder aux savoirs sans attendre des livres... je comprends ce que cela peut représenter...

Trouver des informations pratiques

En plus d'avoir accès à un grand savoir si on fait attention où l'on met les pieds, j'ai pu avoir accès à des médias comme la musique de jeux vidéo que je ne pouvais pas écouter avant. Mais c'est surtout de pouvoir trouver des informations pratiques comme l'annuaire en ligne, ou trouver des horaires, se renseigner en amont sur un voyage par exemple avant de passer par l'agence de voyage, les horaires des trains, ect..., la recherche de travail sur Internet. Quand on est seul et sans moyen de transport, ça aide. Jouer en ligne, faire connaissance avec des inconnus, même à l'autre bout du monde. Et aussi un peu tout ce que j'ai pu lire sur le forum.

Avant on prenait son temps

Pour prendre un train on consultait le Chaix, on allait au guichet pas de négociation puisque les prix étaient toujours les mêmes. On allait retirer des espèces au guichet de sa banque. On envoyait des courriers et on était heureux d'en recevoir sauf... les factures mais elles étaient souvent plus lisibles. Dans les transports on parlait à son voisin. On cherchait des cabines téléphoniques et il fallait mettre des pièces sans arrêt. On achetait des vinyles, on louait des K7 vidéo qu'il faillait rendre sous 24 heures ! trouver des informations prenait beaucoup de temps. On n'avait que des "vrais" amis.Les démarches administratives prenaient beaucoup de temps. On faisait les magasins et on achetait par correspondances. Le délai était long et pour échanger un article c'était la galère. Bref, on perdait du temps parce qu'on avait le temps. Damus

Bienvenue la techno

L'évolution technologique des outils du numérique ont bien changé ma vie professionnelle. Avant: on m'appelle à la maison et je me déplace à mon travail ou sur un site distant. 1997: je "promène" un téléphone "[Radiocom 2000][1]" pour assurer une astreinte technique. Je peux m'éloigner de la maison, en étant joignable. 2000: le téléphone se miniaturise avec un [Nokia 3310][2], je me déplace plus aisément. 2005: L'emploi d'un PC et d'une connexion via [VPN][3] me permet d'assurer mon travail depuis mon domicile en évitant des déplacements de nuit, par exemple. Et bientôt, un petit clic sur mon smartphone, dans mon application et j'assure mon dépannage en faisant mon jogging...je rève, pas vraiment ! 2010: La [clé 3G][4], permet de connecté mon PC sur le réseau mobile. Je peux ainsi travailler depuis n'importe quel endroit couvert par le réseau mobile, à la plage, dans le jardin de mon père, dans ma résidence secondaire. [1]: http://www.mobilophiles.com/article-31856484.html [2]: http://www.mobilophiles.com/article-31856484.html [3]: http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seau_priv%C3%A9_virtuel [4]: http://fr.wikipedia.org/wiki/Cl%C3%A9_3G

Avant je pensais courir vite....

Pratiquant régulièrement différents sports, et notamment la course à pied, la montre GPS a vraiment changé mon approche de ce sport en ayant en direct des informations sur le rythme cardiaque, l'allure au kilomètre, la distance parcourue ou restant à parcourir. Elle m'a également permis plusieurs fois de rentrer à bon port lors de randonnées pédestres improvisées grâce à l'option boussole... Cependant, avant lorsque je rentrais de ma séance de course à pied je faisais une estimation des kilomètres parcourus, alors que maintenant je connais exactement le nombre de kilomètres parcourus... Avant je pensais courir vite, maintenant je sais que c'est faux !!!

Avant je pensais courir vite....

Nous discuterons du soi quantifié la semaine prochaine, votre témoignage sera précieux !

Recherche scientifique

Avant, la recherche scientifique se faisait uniquement dans les labos. Les chercheurs ne pouvaient compter que sur eux-mêmes et leurs ressources humaines et financières. Aujourd'hui, ils peuvent associer les internautes dans leur recherches collaboratives. Le meilleur exemple est Zooniverse, un site qui fédère différents projets de recherche scientifique. Il permet à tout à chacun de prendre un peu de son temps pour traiter des images et accélérer l'identification de phénomènes particuliers (lentilles gravitationnelles, exoplanètes, faune sous-marine, etc.). Même s'ils ne sont pas scientifiques de formation, le nombre de participants contrebalance le manque de pertinence des réponses, et permet aux scientifiques d'effectuer un premier tri des résultats en quelques semaines, là où il faudrait des années à une équipe dédiée.

le temps passe vite

j' ai l'impression que le temps passe vite je dirai même l' année, et je ne suis pas le seul, ma femme disait qu'il n' a pas vu passé la semaine, donc à cause de ces technologieS ? mais j' ai remarqué aussi que je n' aime plus lire les livres, alors qu' avant je suis un bon lecteur, j' ai passé des heures à lire, je ne sais pas s'il y a une relation entre l' addiction et le gout de lecture,

le temps passe vite

c'est une question intéressante:la lecture suppose une pensée linéaire qui s'accomode mal de la discontinuité et la distractivité inhérentes au fonctionnement des outils numériques;faut il pour autant parler d'addiction? Alain Giffard qui sera un des intervenants du webinaire de cette semaine a travaillé cette question jlv

un avant et un après

avant: lettres et cartes postales, conversations face à face, déplacements administratifs... après: mails, messages, consultations de sites...

Grandir et vivre à l'ère du numérique

Il m'est assez difficile de répondre à cette question étant donné que j'ai eu la chance de posséder mon premier ordinateur à 6 ans et d'en apprendre les bases lors de mes classes de primaire. Je peux donc dire que j'ai grandi au sein du numérique. Pour ma part, je trouve que le numérique est un formidable outil afin de gagner du temps et de faire davantage de choses (et de les faire mieux) en un minimum de temps.

Semaine 2 / 1.3 Récit malheureux

Grr!

Le pire du pire je crois que cela a été pour changer de plate forme pour accéder à Internet, qui était assez récent, et passer sur Orange. C'était à l'époque où il y avait plein de concurrences entre des marques aux dents longues qui ont pour la plupart disparu. La plate forme (télé 2 je crois) dysfonctionnait régulièrement mais là: panne totale de la box depuis une bonne semaine alors nous nous enquîmes d'un dépannage par téléphone: Ah! l'angoisse: Tapez le 5, puis le 3, etc: un classique. Avec un portable bien sur puisque le fixe était aussi en panne. Bon, je n'avais pas de tel portable à l'époque, du coup j'en ai pris un... Attentes interminables "vous en avez environ pour une heure d'attente"! Et de nombreuses fois, au bout d'un long temps d'attente: tout d'un coup: communication interrompue! Finalement, une personne pas aimable du tout et moi comment dire, assez speed vu le contexte. Alors je demandai d'arrêter le contrat: Que Nenni! J'avais signé des hiéroglyphes illisibles et je n'aurais pas du! impossible d'arrêter le contrat avant un an de paiements en envoyant un recommandé accusé réception au moins cinq semaines avant. Grrr! "Mais puisque votre box ne marche plus!" Ah oui mais là il faut que vous appeliez notre service "réparation à distance", nous on est juste "renseignements". Bon, on appelle "réparation à distance" (taper 9, puis 5, puis 7) qui commence par poser des questions incompréhensibles pour un humain normal de l'époque. Alors je m'énerve direct et du coup il joue le gentil "je vous comprends monsieur, moi je suis qu'un employé, on va essayer d'arranger cela d'ici trois à cinq jours". Six jours après, après avoir rappelé et attendu comme de bien entendu: "Désolé! On vous fait cela en urgence! Mais on se demande si ce n'est pas votre quartier qui a une panne de secteur!". Deux jours après cela a fonctionné... Pendant trois jours!! Bon je m'arrête là, rien que d'y penser cela m'énerve à nouveau, non je blague!. Trois mois après, après avoir déchiffré une partie des hyéroglyphes à l'aide de loupes surpuissantes et envoyé trois recommandés accusé réception menaçants je me faisais quand même rembourser royalement une quarantaine d'euros pour service payé non rendu! Heureusement, c'était il y a très longtemps en années numériques! ![seb][1] [1]: /media/14211706334883981.jpg

Grr!

ah ! oui ! Mais la semaine dernière pour passer d'orange à bouygues, 8 jours d'interruption Internet. En plein dans la semaine 1 du Mooc @ddict. Une bonne façon, à la hauteur de l'énervement, de mesurer et d'interroger l'addiction numérique : ))

carte bancaire

En vérifiant mon relevé de compte bancaire, il y a 6 ou 7 ans, je constate que des achats ont été effectués avec ma carte, notamment un sac Gucci...

perte de données pour soutenance d'examen

bonjour, Voici l'exemple d'un jeune de mon entourage qui lors de sa préparation de mémoire pour soutenir son BTS a oublié ou négligé de sauvegarder son travail sur un support externe à son ordinateur. Cet ordinateur a rendu l'âme juste quelques jours avant la soutenance... il n'a pas pu présenter son travail et n'a donc pas obtenu son BTS. Il a changé de voie depuis. Mais cela me fait penser à l'idée que se fait beaucoup de monde sur la "fiabilité" des outils numériques.

Merci patron

Le fils de mon patron a laissé une remarque désobligeante sur mon blog après mon élection comme délégué du personnel.

Merci patron

Aie. internet est l'aire de la communication, pour le meilleur et le moins agréable... Guillaume

expérience malheureuse

le plus bébéte ,se tromper de clic et ne pas savoir/ pouvoir rattraper le coup ,se retrouver sur une plate forme avec des messages numériques et ne pas savoir dans quelle rubrique aller et enfin "un conseiller va vous répondre",qui n'a pas la réponse et renvoie à la plateforme ou vous recevez entre temps une lettre passe partout pour répondre sur la qualité du service!!!!

les limites du numérique

Nous reconnaissons les grandes mutations qu'a connu le numérique, certes mais l'autre revers de la médaille est qu' on ne doit pas lui accorder trop de crédit, parce que justement j ai été victime de piratage de compte . ce qui m'a rassuré que cet outil ne nous offre pas totalement une sécurité.D'importantes criminalités s'y trouve

piratage expérience malheureuse

Bonjour à tous, Voici un exemple malheureux arrivé à une proche. Lors d'un tchat, la personne s'est entichée d'un chéri virtuel basé dans un autre pays. Celui-ci a établi une relation totalement artificielle et en a profité pour lui soutirer de l'argent. Ce n'est que lorsque la femme s'était complètement ruinée pour cet inconnu qu'elle a compris qu'elle s'était fait avoir ! Le net est en effet un formidable outil pour les escrocs : plus d'impact, moins de risques, abolition des distances...création d'une relation totalement virtuelle pour toucher la personne au coeur et lui prendre son argent !

burn out

Comme je l'ai dit précedemment, j'ai terminé cette année un Master2. Curieux, pationné, j'ai beaucoup lu et consulté de documents ces deux dernières années (M1 et M2). Durant le M2 je me suis retrouvé avec deux écrans et plus de 40 pages d'ouvertes sur chaque, mis à part un souci organisationnel, la profusion d'informations disponibles toujours intéressantes mais aussi complémentaires a fait que je ne déccrochais plus de mes écrans: j'étais accro à la bonne information et comme je ne voulais rien rater (il faut du temps) j'ai passer parfois plus de 50 heures devant mon écran! Peut-être certe, avais-je mal organisé les choses au départ mais je suis tombé dans le "vice" : un document me renvoyer à un autre puis encore à un autre etc. Mes idées se mélangeaient, mon cerveau était déconnecté de ma vie familiale: lorsque j'ai préparé une licence et une maitrise il y a près de 20 ans c'était le cours et les livres ...mais pas tous ces supports!!

burn out

bonjour ce que vous décrivez me fait penser à ce terme que je ne connaissais pas mais qui me parle aussi particulièrement et que j'ai indiqué dans le wiki : Cyberamassage, ou « cyberhoarding » une addiction qui concerne le comportement d’amassage des contenus et des informations sur le réseau. ( http://cyberdependance.fr/definitionscyberddependancenayebi.htm) depuis le début du mooc, j'ai fait plein de recherche sur internet sur les addictions, le numérique etc. j'ai donc du m'organiser et utiliser le service Diigo qui permet L'indexation des ressources en ligne au moyen de mots-clés personnels (les tags). et puis maintenant je me dis que vais-je en faire de tous ces liens et fichiers que j'ai trouvé ? aurais je le temps d'y revenir, de les lire et d'en tirer quelque chose ?

burn out

L'amassage lui-même est une activité positive et active qui vous a déjà permis de construire des connaissances. Le niveau suivant consiste sans doute à partager cette masse de références, ce que permet Diigo. Si vous en êtes d'accord et rendez cette bibliographie publique, nous pourrions mettre une lien dessus depuis le wiki ? Le niveau d'encore après consiste à profiter du mooc et des autres participants pour essayer d'organiser collaborativement la masse de références !

"Data Gueule"

Malheureusement, j'ai plein de vidéo pour illustrer cela. Tirée d'une chaine YouTube : Data Gueule : - https://www.youtube.com/watch?v=5otaBKsz7k4 - https://www.youtube.com/watch?v=xhY5UuBvIo8 - https://www.youtube.com/watch?v=xhY5UuBvIo8

Mail étrange...

J'ai reçu récemment un message d'une amie m'expliquant qu'elle était partie en Grèce d'urgence pour une affaire et qu'on lui avait volé ses papiers, son argent et son téléphone, elle demandait donc si je pouvais lui envoyer un peu d'argent. Le vocabulaire utilisé dans le mail m'a surpris d'emblée, les tournures de phrases ne lui ressemblaient pas, et comme je l'avais vu la veille au soir c'était évident qu'il y avait un problème, je l'ai donc appelé pour en savoir plus: sa boîte mail avait été piratée et le même message avait été envoyé à tous ses contacts...

Mail étrange...

C'est malheureusement un classique.

Mail étrange...

A voir et à faire [Soyez acteur de la sécurité de l'information][1] [1]: https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/unormandie/68001/Trimestre_4_2014/about

Mail étrange...

^^ exactement, c'est ce que je conseille aussi dans un autre message !

Mail étrange...

Merci, j'ai déjà fait... ;)

Mail étrange...

:)

cyber mythomanie ?

J ai été frappé par des cas très troublants de personnes qui utilisent internet dans des circonstances de pathologies relevant de la psychiatrie. Cela existe hors du net mais c est amplifié lorsque ces personnes utilisent internet (blogs, forums de discussions ...) Pour attirer l attention , pour queter de la sollicitude,pour ...? Création d un personnage qui sera malade, victime de ceci ou cela l engrenage du mensonge semble facilement s installer. la presse à relater quelques cas sévères , J ai eu l occasion également d observer sur un forum de discussion. Les mensonges débordent ensuite très vite dans la vie effective (envois de dons de personnes compatissante aux malheurs inventés , aides matériels etc...) Les effets en cascade de cette pathologie amplifiée par le numerique sont nombreux (la personne concernée , ses interlocuteurs qui peuvent être des milliers, les personnes également réellement victimes de ces maladies "en vrai " sont affectés.. Je voulais soumettre ce sujet (qui doit être à la limite du theme), je pourrais trouver des articles à ce sujet si c est pertinent .

cyber mythomanie ?

quand ce n'est pas une escroquerie pour des raisons utilitaires financières ,ce qui arrive,cela doit sans doute correspondre à ce que vous décrivez , mais que je n'ai personnellement pas rencontré en clinique;internet offre alors une caisse de résonnance extraordinaire à de tels besoins narcissiques;si vous avez de la doc spécifique cela peut etre intéressant car recoupe des questions de la semaine 3 concernant les enjeux du numérique en terme d'identité; jlv

cyber mythomanie ?

Je commence ici une collecte d articles presse et de témoignages sur des forums à ce sujet. http://www.pearltrees.com/nathcardoso/cyber-mythomanie/id13365931

piratage de compte

J'ai connu une histoire de piratage de compte avec mon mari. Il faut être très vigilent avec les mots de passe. D'ailleurs pour ceux que ça intéresse, un mooc vient de se terminer sur le sujet : soyez acteur de la sécurité de l'information. Un excellent mooc. Ensuite ça m'est arrivé lors d'un achat en ligne de valider 2 fois une commande à cause d'une erreur, et donc débité 2 fois et reçu 2 colis à la maison que je n'ai même pas signé puisque le facteur me les a laissé dans la boîte... Du coup j'ai tout gardé lol, j'ai donné le double à ma soeur et à mon père. Et sinon après avoir fait connaissance avec certaines personnes en lignes (amicalement), j'ai été déçu par ces personnes. Je m'y étais attaché, et pour l'un d'entre eux, c'est à cause d'une addiction que j'ai fini par couper les ponts à cause de son comportement. Une addiction au canabis, et bien je peux vous dire que son comportement avait bien changé. Mémoire de poisson rouge, jamais s'investir et finir quelque chose (exemple code de la route que ses parents ont payé et qu'il a tout laissé tombé...), influençable, naïveté, bêtise. J'en ai eu marre de sa bêtise et qu'il ne m'écoute jamais. J'ai essayé de le raisonner, de lui dire qu'il fallait qu'il arrête, qu'il voit un médecin, ect, mais non... Quand je lui disais "t'as fumé ?" il me répondait "ouais un peu, mais hier et avant hier non" alors que un mois auparavant il me disait qu'il voulait arrêter. Bref voilà quelqu'un que j'appréciais comme un ami, même si ne l'avais jamais rencontré m'a déçu à cause de ça, et pourtant je voulais l'aider, mais c'est lui qui ne voulait pas s'aider visiblement.

Cheval de troie

Mon expérience la plus désagréable avec le numérique remonte à quelques années alors que j'ai reçu un courriel d'une amie avec un fichier attaché que j'ai malheureusement ouvert. Ordinateur bousillé.

Cheval de troie

Bonjour Pascal, Les virus peuvent effectivement ruiner un ordinateur et donc couter cher. Il existe cependant une solution assez simple, elle s'appelle Linux. La plupart des virus ont été conçu pour Windows, et n'ont donc strictement aucune prise sur les systèmes d'exploitation Linux. En plus c'est gratuit, ça fait deux bonnes raisons de franchir le pas. Guillaume

Des dommages physiques

Envoyer un mail au mauvais destinataire peut causer des problèmes...

Et les étudiants eurent des smartphones...

En guise d'expérience malheureuse je voudrais m'appuyer sur mon activité d'enseignant à l'université et l'utilisation massive des smartphones par les étudiants durant les cours. Même s'ils me savent intransigeant sur ce sujet, certains de mes étudiants ne peuvent pas s’empêcher de consulter leurs smartphones pendant les cours, ce qui a forcément un impact sur leurs concentrations avec parfois ce que j'appelle du "zapping opportuniste" car il est souvent plus facile de se laisser happer par un SMS ou une alerte quelconque que de rester concentrer. Certains sont ils enclins à une certaines forme d'addiction numérique ? c'est fort possible...

Et les étudiants eurent des smartphones...

De nombreuses études ont montré que la durée d'attention des étudiants en amphi (ou des enseignants en conférence) était inférieure à 10 minutes, ce qui signifie qu'ils risquent rapidement de rêver, ou bien de se détourner vers leur téléphone (ou leur voisin, ou tout autre distraction) ! Un certain nombre d'enseignants pensent qu'il faut accepter que les étudiants soient connectés en permanence, et construire l'enseignement en utilisant ces connexions pour enrichir le cours, notamment en faisant de la classe enrichie, ou bien en rendant les étudiants plus actifs avec de la classe inversée. Plus facile à dire qu'à faire bien entendu...

Emotions analogiques

Pas vraiment une expérience précise, mais plutôt une constatation générale. La communication numérique se fait principalement par le texte (forum, courriels, réseaux sociaux). Il est souvent très difficile de transmettre son ton à ses interlocuteurs. Ces derniers liront le message selon leur humeur du moment et leurs sensibilités, et donc interpréter le sens du message de manière différente de son auteur. Ce qui donne lieu à des incompréhensions, des prises de position et des "flamewars" qui n'auraient pas lieu si les lecteurs pensaient à relativiser leur compréhension du texte qu'ils lisent. En gros, laisser le bénéfice du doute au posteur, et ne pas assumer qu'il est blessant ou mauvais "pour de vrai". Ex : le "Gamergate", qui dégénère rapidement en guerre des sexes et en noms d'oiseau, dès que quelqu'un fait une remarque qui peut être comprise comme aggressive ou humoristique selon l'état d'esprit de chacun.

danger du numérique

possibilité de virus, de piratage avec utilisation de données personnelles et/ou professionnelles...

Des hauts et des bas

Comme pour tout outils, le numérique a aussi ses revers. Mes revers essuyés vis-à-vis du numérique concernent davantage l'atteinte de l'égo, la jalousie sur facebook en est un exemple. Par ailleurs, en guise d'illustration, un article de recherche à été publié l'année dernière et avait trouvé une corrélation entre le temps passé sur facebook et le mal-être éprouvé par la personne: http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0069841#s3

Semaine 2 / 2.1 Perception de mes usages

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Ce test a déjà 10 ans apparemment. Selon lui je présente un score de 51/100 et un "usage problématique d'internet". C'est vrai qu'il y a 10 ans, il n'y avait pas encore un usage aussi massif des réseaux sociaux, et j'ai aussi l'impression que beaucoup moins de gens utilisaient internet qu'aujourd'hui. Quelque chose qui était un comportement problématique il y a 10 ans est peut-être devenu une norme aujourd'hui. Ou alors nous sommes presque tous devenus addict? Ou bien je suis bien plus dépendante que ce que je croyais! Ambre

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Si on remplace "internet" ou en "en ligne" par "communication" ou "échange" par exemple sur la question 3 quand on est séparés (déplacement professionnel par exemple) la question perd son sens.

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Oui Ambre, je trouve que ce test date un peu quand même et ne tient pas assez compte de l'évolution des choses qui vont très vite en ce domaine. Mais je pense par ailleurs que la norme ne fait pas référence. Pour moi la majorité est encore assez accro à la télévision (sans parler d'addiction) et ce n'est pas une référence. ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/142123539140884.jpg

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Il manque dans le questionnaire une référence à l'usage de la TV en ligne. J'étais accro à la TV. Cela fait donc des années que je n'ai plus de tv. Mais ayant "découvert" la TV en ligne je regarde la TV via internet. Certes c'est parfois un peu mieux choisi, émission en streaming et e,n différé, du coup au moins je regarde moins de conneries et je choisi mieux mes émissions. pas toujours. Il faudrait dont ajouter la TV en ligne dans le numérique.

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

J'ai commencé un formulaire pour faire un questionnaire-jouet du mooc qui correspondrait à ce qu'on pourrait considérer en 2015. Ca se trouve là, il n'y a qu'une seule question pour l'instant, n'hésitez pas à compléter avec la TV par internet ou d'autres points ! Le lien du questionnaire (éditable par tous normalement) https://docs.google.com/forms/d/1zH19_OJB1RraPTs4iJjXJrbJjY244xqiyHxU64msQN8/edit?usp=sharing

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Oui, je suis d'accord avec RenaudA. Et merci à yprie, c'est une bonne idée pour un mooc collaboratif!

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

la première question est de l'ordre du savoir vivre, de la politesse, des valeurs que les parents vous inculquent. Cela ne me viendrai pas à l'idée de quitter une discussion entre amis pour me jeter sur mon smarphone, c'est peut-être l'âge qui y fait j'ai 58 ans. Quelque chose qui était un comportement problématique il y a 10 ans est peut-être devenu une norme aujourd'hui. ===> les usages ont évolués si on regarde la population digitale native elle regarde moins la tv et 2014 qu'il y a 10 ans. Le smarphone devient le couteau suisse il permet de s'informer, de voir des films, d'écouter de la musique voir à jouer en ligne. Ce n'est pas parcequ'on a plus de choix de chaines tv qu'on choisit mieux ces films au contraire les familles se disputent pour choisir leur film tant il y a de choix et de navets.

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

Moi je me pose la valeur intrinsèque d'un test. Un test en fonction des items, de l'orientation des pré-supposés, on oriente la personne vers tel ou tel profil. L'homme est complexe et il ne se détermine pas que par des tests. La théorie de milgram a bien déterminé comment l'homme se soumet à l'autorité. Les questions ouvertes, positives, celles qui permettent de savoir les sentiments et ressentis font plus parler l'humain sans pour autant le juger.

Le test a 10 ans, quelle différence entre 2004 et 2015?

En reprenant l'article de 2004 de Widyanto, je me suis aperçu que ce questionnaire de Kimberly Young date de 1998 !!!

75/100 wahoo !

J'ai 67 ans, beaucoup de choses m'intéressent, et je ne suis pas extrêmement sociable, mais de là à être complètement addict, non, je ne pense pas, je ne twitte pas, j'utilise peu mon téléphone, mais même si je travaille encore un peu, j'ai du temps... j'estime être beaucoup plus addict aux 3/4 verres de vin que je bois tous les soirs. Mais je me demande souvent ce que faisaient les retraités qui n'avaient pas Internet (je lis aussi beaucoup sur divers "tablettes).

75/100 wahoo !

Bonjour, Il est important de savoir que ce test ne pose pas un diagnostique, mais qu'il donne une photo à un moment donné sur les usages que nous avons du numérique. Vous avez donc tous les droits de ne pas être d'accord avec les résultats. Guillaume

39/100... sondage un peu daté...

Intéressant, ce sondage, mais ses formulations sont parfois un peu datées... Et mon score très modéré me paraît lié à la formulation de certaines questions.. "en ligne" : c'est différent s'il s'agit de chatter ou de jouer en réseau ou de travailler avec Internet ou de répondre à ses mails... Donc certaines réponses sont biaisées... Mais ça reste marrant !

Méthodo

Bonsoir, je ne comprends pas la Q11. Je ne peux pas répondre Jamais or pour moi, c'est presque toujours ma réponse.

Méthodo

Je partage tout à fait le point de vue de LVEB8: Souvent j'aurais voulu répondre "jamais" et ai donc forcément biaisé en répondant "rarement". cela me paraît problématique quand d'un autre côté il y a une réponse "toujours"! Par ailleurs il y a une question qui ne me concerne pas (travail scolaire ou universitaire) et je suis obligé d'inventer une réponse pour avoir la réponse du questionnaire... Gênant! ![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14212348261702083.gif

Méthodo

Ça fait partie des (nombreuses) limites de ce questionnaire, qui est loin d'être parfait. Il n'est pas là pour fournir des réponses, mais plutôt pour servir de base à une réflexion, qui s'est d'ailleurs déjà un peu engagée sur le forum : quels sont les critères adéquats, quel est le biais introduit par l'âge de ce questionnaire, etc. Un exercice intéressant pourrait être d'essayer de co-construire notre questionnaire "idéal", à partir des questions qui se dégagent des contributions qu'on a eues jusqu'ici. Si ça tente quelqu'un de lancer un premier jet...

Méthodo

Je vous suis en tous points. Mathéa

Méthodo

Un questionnaire idéal pourrait être construit ici : [Un questionnaire en construction sur l'addiction au numérique][1] [1]: https://docs.google.com/forms/d/1zH19_OJB1RraPTs4iJjXJrbJjY244xqiyHxU64msQN8/edit?usp=sharing

Méthodo

La réponse Jamais devrait être dans le questionnaire, je l'aurais aussi utilisé quelquefois...

Numérique: ma définition, sa place dans ma vie

1- Ma définition du numérique : tout ce qui a à voir avec l’ordinateur et ses matériels dérivés, pour un usage hors ligne et sur Internet. Ca a pris une place énorme en termes de temps passé devant l’écran ces quinze dernières années chez moi. Il y a des tâches que j’effectuais à la main avant et qui prenaient également beaucoup de temps. L’outil a changé et nous propose plus de liberté, même si cet éventail de choix infini est particulièrement chronophage. 2- à titre privé : mes usages du numérique se font à 90% sur l’ordinateur, le reste entre l’appareil photo et la tablette. Pour quoi faire ? Garder le contact : messageries, partage de photos, blogs, liens vers des articles, des vidéos, des chansons…pas de participation à des réseaux sociaux pour communiquer ; Gérer les photos familiales : chargement à partir d’appareils photo numériques, scann de photos anciennes, les renommer et les classer, utiliser des logiciels de retouche, de partage (type dropbox, déposer, envoyer des liens par mail), de sauvegarde (disque dur externe, cloud). S’informer : consulter l’actualité, faire des recherches d’informations générales (pages jaunes, horaires d’ouvertures, préparer un voyage, réserver ses places de voyage, de spectacle, d’hébergement) Gérer les courriers familiaux : messagerie, traitement de texte, téléchargements d’outils informatiques (polices, programmes), consultation de sites et de forums, recherche de réponses techniques par tutos, enregistrement, classement, sauvegarde. Utiliser l’imprimante et le scann. Gérer les comptes familiaux via un logiciel « gestion du budget ». Entrée des écritures, pointage, équilibrage des comptes. Effectuer des virements en ligne. Correspondre avec son conseiller bancaire. Se former : lire des revues de presse professionnelle, des newsletters, suivre un MOOC… Enrichir la pratique de mes hobbies : cuisine, arts plastiques, généalogie, bricolage, travaux d’aiguilles via Pinterest, consultation des archives départementales en ligne, blogs… Faire des achats en ligne (rare) A titre professionnel : usage du Tableau blanc Interactif sur 95% du temps de classe. Préparation des cours par traitement de texte, scann de documents pour la classe, capture de sons, téléchargements, consultation de sites enseignants, enregistrement des notes des élèves, rédaction des bulletins trimestriels sur logiciel spécifique, nommer, classer, sauvegarder. Consultation de la messagerie sur l’ENT (espace numérique de travail) de la classe, organisation des informations à destination des élèves et des familles sur l’ENT. 3-Je ne me sens pas concernée par le terme « addiction » pour le numérique. J’utilise beaucoup l’ordinateur comme d’autres utilisent beaucoup la voiture : comme un outil pour effectuer des tâches qu’on ne conçoit plus de faire autrement. Je pense plus à ce terme d’addiction quand il est associé à un usage ludique, improductif, comme des jeux par exemple, qui coupent l’utilisateur de la « vraie vie », ce qui ressemble à une fuite. Mais dans ce cas, le terme « numérique » est trop vaste.

je m'évalue

Le numérique a pris une bonne partie de mon temps.C'est vrai que l'excès est aussi nuisible, mais je le préfère

des questions bizarres

j'ai trouvé certaines questions inappropriées: Q2 "2 - À quelle fréquence négligez-vous vos travaux domestiques pour passer plus de temps en ligne ? " au sens où si on me supprime internet, les travaux que je ne souhaite pas faire trouveront une autre excuse pour ne pas être faits... qu'est ce qui compte ici : l'évitement de certaines taches ou rencontres, ou le moyen que l'on utilise pour y parvenir ? Q17 "17 - À quelle fréquence avez-vous tenté sans succès de diminuer votre temps d'utilisation de l'Internet ? " ma préférée, de loin ! je n'ai jamais essayé de diminuer mon temps de connexion... je vis bien dans mon abus :)

des questions bizarres

Je suis d'accord, c'est un questionnaire directif, alors les questions sont quelquefois inappropriées!

41/100 ouf ???

Bon je suis pas encore addict mais attention...

Ce que j'en pense

Il y a des questions auxquelles je ne peux pas répondre mais comme il faut une réponse j'ai inventé. J'avais plutôt l'impression de faire un usage excessif au niveau du temps mais il est vrai que je n'hésite pas à avoir d'autres activités quand j'y trouve un intérêt et que mon usage ne prend pas une place démesurée au point de provoquer des troubles important dans le quotidien ou l'humeur.

Questionnaire

Bonjour, Dans ce questionnaire semi-directif, il m'a manqué l'option jamais, que j'aurais choisi pour la majorité des questions. Cela était-il délibéré de votre part ? Merci Mathéa

Questionnaire

Ce questionnaire est critiquable en de nombreux égards, et nous ne l'avons pas transformé par rapport à ce que son auteur original (voir la référence en bas du test) a proposé. Il peut donc être daté (comme cela a été mentionné sur le forum), utiliser des termes inappropriés ou des réponses inadéquates... Porter un regard critique sur le test lui-même et la manière dont il présente ses conclusions fait partie de l'exercice. Vous pouvez par exemple trouver un autre test, plus récent : http://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/5966/?sequence=16 qui pourra apporter un autre éclairage sur votre perception.

Trop de sous-entendus dans les questions ?

Bonjour Pour moi aussi il manquait l'option "jamais" pour une grande partie des réponses. Par ailleurs, être en ligne est à la base de mon activité professionnelle quotidienne ; internet est mon outil de travail ; c'est aussi le vecteur d'une partie de mes activités associatives ; internet contribue aussi à mon information comme à mes relations personnelles et interactions quotidiennes avec bon nombre de personnes. C'était déjà le cas il y a 10 ans... Cela ne s'oppose pas à une activité dans la vie réelle ; c'est un tout dans mon expérience. Seules les 10 dernières questions traitent de l'addiction, non ?

Trop de sous-entendus dans les questions ?

Bonjour, A priori l'ensemble du questionnaire traite de l'addiction. Qu'est-ce qui vous donnait l'impression que seules les premières questions en faisait partie? Guillaume

usage du numérique en fonction de l'activité

Dans le cadre de l'activité professionnelle on utilise beaucoup le numérique, c'est un outil comme un autre. Par contre à la retraite ou à titre privé, on est plus tenté de l'utiliser pour des jeux et la tentation est grande d'un usage addictif. Léonie

INADMISSIBLE

![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14214188542642792.png Je trouve inadmissible et non éthique de mettre ce message à la fin du quizz, pour moi ma participation à ce MOOC s'arrête ici ! Vous imaginez l'impact d'un tel message sur quelqu'un de fragile ?! Cela ressemble à de la "retape" pour trouver des patients, je suis outrée ! En ce qui me concerne ma participation à ce MOOC s'arrête donc ici...

INADMISSIBLE

Bonjour, je pense qu'il faut relativiser les résultats de ce test: il a vieilli et plusieurs en ont pointé certaines inadéquations... Mais oui, renvoyer vers un médecin traitant me semble anormalement pathologisant et choquant dans un espace où l'on est juste là pour parler de nos usages. Cela pose à mon avis la question de la véracité de ce que prétendent évaluer ces tests... Et d'ailleurs qu'est-ce qu'un médecin généraliste lambda connaît de plus que vous ou moi sur le numérique? Y a-t-il été formé? Mais bon je trouve que c'est dommage de quitter les discussions pour cela, profitons en plutôt pour questionner cette "évaluationnite aigüe!" (souvent souhaitée par les usagers eux-mêmes) et ses dangers potentiels. Reste que la question demeure: comment évaluer si quelqu'un est en difficulté ou non sachant que dans les addictions en général le déni par l'usager est un facteur courant... Ce test seulement quantitatif me paraît inadéquat pour évaluer la souffrance éventuelle liée à l'usage qui pourrait révéler ou non le fait d'être addict.

INADMISSIBLE

Surprise voire choquée à la lecture du résultat, je m'en suis avec le recul amusée car je pense connaître mon rapport avec le numérique. par ailleurs, je suis connectée au moins 8 heures par jour dans le cadre du travail donc le résultat ne pouvait être autre. A ce rythme la société entière est addicte.

INADMISSIBLE

C 'est un message type que vous trouverez sur tout questionnaire relatif à des questions pouvant être en lien avec une pathologie. Je trouve au contraire que cela signifie que cela ne représente pas un diagnostic et "faire un point avec son médecin traitant " est une démarche normale.

INADMISSIBLE

L'idée était justement de susciter ce genre de réaction, mais pas forcément de cette ampleur :~] Si vous lisez bien la question ("que pensez-vous de ces résultats ? et également que pensez-vous de ce test d'auto-évaluation ?"), l'intention derrière était de pousser à réfléchir à la validité de ce genre de tests, que chacun peut trouver en ligne ou dans des magazines. Les questions sont déjà à prendre avec un grain de sel (question de contexte, d'âge du questionnaire, etc), donc les "réponses" le sont encore plus, surtout quand elles sont générées automatiquement. La présentation du test ne mettait effectivement pas assez en avant cette intention, ce qui est une erreur que l'on va corriger, en ajoutant sans doute quelques éléments culturels à propos de ce questionnaire en particulier. On pourrait également proposer un autre questionnaire, plus récent, pour permettre des comparaisons, voir les évolutions, les différences de point de vue...

INADMISSIBLE

Oui c'est une erreur plus que regrettable et au lieu de perdre du temps à me répondre à moi qui vais bien et suis juste en colère... occupez-vous plutôt de tous ceux que vous avez inquiétés, angoissés pour rien ! Quelques-uns se sont exprimés sur le forum et n'ont aucune réponse et d'autres n'ont rien dit et s'inquiètent en silence. Pour eux vous comptez faire quelque chose, j'espère !

INADMISSIBLE

N'exagérons rien. Personnellement j'ai apprécié l' échange que cela a permis et j'ai quand même du mal a croire que quelqu'un soit traumatisé, d'autant que les différentes critiques du tests en ont bien relativisé la portée et qu'elles sont accessibles à tous...

INADMISSIBLE

Il est vrai, à mon sens, que le message de fin du quizz n'est pas très enrobée si je peux le dire ainsi et peut effectivement provoquer ou réveiller une émotion inattendue en lien avec l'histoire personnelle. Un avertissement préventif sur la teneur quelque peu brutale et "froide" de l'analyse serait le bienvenu en début de quizz.

INADMISSIBLE

Ce questionnaire a été développé aux Etats-Unis par K Young en 1998 avec un échantillon de population et une norme culturelle différente, mais il pose néanmoins certaines questions intéressantes. Il est publié, il est "vieux", mais permet de réfléchir sur son usage. Je suis allé reprendre l'article en anglais qui est cité, et je propose une traduction différente de celle utilisée (voir page 3 de l'article): Le score minimal est 20 et le maximum 100; plus haut est le résultat et plus Internet pose des problèmes. Young suggère qu'un score entre 20 et 39 est un résultat habituel d'un utilisateur qui contrôle son usage; un score de 40 à 69 indique des problèmes fréquents à cause de l'usage d'internet et un résultat de 70 à 100 indique des problèmes significatifs [traduction libre]. *The minimum score is 20, and the maximum is 100; the higher the score, the greater the problems Internet use causes. Young suggests that a score of 20–39 points is an average online user who has complete control over his/her usage; a score of 40–69 signifies frequent problems due to Internet usage; and a score of 70–100 means that the Internet is causing significant problems.*

51/100

Je suis addict! Et je dois consulter mon médecin! J'ai l'impression que je vais lui faire perdre son temps... J'imagine qu'en 2015, une majeure partie des français répondant à ce test est addict. Comme nous serons amenés à l'avenir à utliser encore plus les technologies numériques, on peut imaginer que les scores vont augmenter. Les médecins vont être débordés! Personnellement, je ne me sens pas malade. Au contraire, le numérique contribue à mon épanouissement personnel. Ce test est peu pertinent pour aborder la question de l'usage problématique du Net. Il manque des questions sur l'usage que l'on en fait et tous les apports positifs qu'on peut y trouver. C'est seulement un test quantitatif...

51/100

Bonjour, Votre impression prévaut bien évidemment sur le résultat obtenu au test. Si vous sentez que le numérique contribue à votre épanouissement personnel, je n'ai qu'une chose à vous dire, vive le numérique! Guillaume

addict ! j'arrête le travail :)

Questionnaire amusant mais peu représentatif. Quand le travail demande une présence importante sur le net... est on pour cela addict ? Le questionnaire devrait être revu me semble t'il car pour ma part, les questions ne convenant pas je n'ai sans doute pas répondu correctement à certaines ...

addict ! j'arrête le travail :)

Idem. Je tape à 79/100, mais je suis informaticien et la plupart de mes loisirs tournent autour du numérique. Je me ménage aussi du temps pour la lecture (hors ordi) et les médias (tv, films, musique, le tout hors ordi). Je me sens soulagé lorsque je peux accéder à Internet après plusieurs jours sans. Mais c'est plus une question de vérifier mes courriels (et les informations importantes que j'aurais pu manquer), qu'une véritable addiction.

perception de mes usages

le résultat du test semble assez juste pour cette période il m'est arrivé de tout mettre en place pour passer plus de temps sur le net

Le test

J'adore les tests et le fait qu'on mette l'homme dans des cases sans prendre en compte sa complexité et la complexité de son environnement. En plus 10 ans sur les usages du numériques c'est un siècle... Alors j'espère aller au-delà dans ce Mooc avec vous tous.

mon avis

Je pense que le numérique nous apporte certains avantage, mais je n'aime pas passer du temps derrière un ordinateur ou un portable. Il n'y a plus de lien sociable,ces machines nous connecte virtuellement mais nous éloigne au quotidien. J'aime passer du temps avec mes amis et ma famille lorsque nous sommes ensemble.

activité 1

J'adore les tests, il est vrai que ce test IAT peut donner une première approche, mais il ouvre en soi des questionnements. Par contre, le résultat indiqué est: Résultat : Vous n'avez pas encore répondu à toutes les questions (21/20), je n'ai pas bien compris.

test

tout a fait d'accord

Une conception déjà dépassée d'Internet dans ce test

J'ai fait le test avec amusement, car il comprend à mon avis des biais très significatifs qui reflètent une conception déjà dépassée d'Internet ou, en tout cas, qui ne peut s'appliquer à tous ceux qui suivent ce MOOC et encore moins à l'ensemble de la population. Le test sous-entend que c'est le temps de connexion qui est problématique, ou plutôt l'absence de contrôle du temps de connexion, sans jamais poser la question de ce que l'on fait en ligne. Dans la logique de ce test, choisir un billet de train, le réserver et l'acheter en ligne est plus "problématique" que de se rendre à la gare, faire la queue pendant une heure et acheter son billet après un bref échange avec le guichetier, avant de rentrer chez soi. Les activités en ligne se sont substituées à nombre d'activités IRL, avec tous les encouragements et les incitations des compagnies qui fournissent les deux types de services (la SNCF, dans l'exemple plus haut), l'action en ligne présentant souvent plus d'avantages que l'action IRL. "Traîner" sur Internet sans but ou en réalisant des activités non productives pendant des heures est peut-être problématique, mais lorsqu'on travaille avec Internet, lorsqu'on allège certaines activités habituelles avec Internet, etc. je ne vois pas pourquoi "réduire son temps de connexion" par exemple peut constituer un objectif allant dans le sens d'une meilleure hygiène de vie...

Une conception déjà dépassée d'Internet dans ce test

En effet et nous avons insisté lors du Webinaire 1 sur le fait que l'abord quantitatif n'était jamais le plus pertinent pour évaluer la dimension addictive d'une conduite jlv

Mes inquiétudes

Selon le test je suis dejà addict à l'internet. je n'arrive vraiment pas comprendre

Mes inquiétudes

C'est critiquable et critiqué. Il n'y a pas de raison de s'inquiéter je pense. De mon point point de vue de non spécialiste de l'addiction, je pense que les questions sont assez mal posées, et ne sont plus en phase avec le numérique actuel. Peut-être que les animateurs de la semaine devraient donner l'ensemble des infos du tests (= les différentes réponses en fonction des scores, histoire de voir si les curseurs, peut-être bien placés il y a 10 ans le sont encore. Je laisse les collègues spécialistes donner plus d'infos sur le test :-)

Mes inquiétudes

dans ce domaine il n'y a pas de critères validés d'addiction et l'école amèricaine de psychiatrie qui est responsable de l'édition du manuel regrouppant ces critères (eux memes fort contestés) a décidé dans sa toute récente 5ème édition que pour l'instant ce ne pouvait etre qu'un sujet de recherche ,faute de données consensuelles et scientifiquement validées; par ailleurs notre ambition lors de cette 2ème semaine,et plus largement durant ce MOOC,est que chacun des participants puisse s'intérroger à propos de ses usages ,d'une façon à la fois personnelle et partagée avec les autres ;il n'y pas en la matière de vérité qui puisse s'imposer à travers la réponse à un auto questionnaire,à la portée de quelques clics!jlv

Mes inquiétudes

Pour ma part, je suis encore à la préhistoire... Me connecter reste une torture !!! J'écrivais des lettres et je recevais des réponses... Je n'écris plus qu'occasionnellement parce que plus personne ne me répond et je ne prends aucun plaisir à lire sur écran... Suivre ce MOOc me montre à quel point je suis : DECONNECTEE

Mes inquiétudes

Bonjour, Vous posez me semble t-il un constat qui interroge sur le MOOC. Vous dites "déconnectée" vous ne dites pas "hors du numérique" et, en cela vous avez, me semble t-il bien raison. Le MOOC s'intéresse t'il seulement aux usages connectés ou aux usages, plus larges, du numérique : industriels, médicaux, informationnels, transmissionnels, dans les biens de consommation, ... Le numérique c'est la codification binaire et ses traitements de l'ensemble des composants et des activités de nos mondes. Nous sommes déjà en partie en transhumanie puisque l'ensemble des biens et des services, l'ensemble des éléments de la nature, l'ensemble des idées, pensées, idéologies ... ont une existence "numérique". Même si nous ne sommes pas connectés nous sommes traduits en codes binaires. Alors 'to bit or not to bit ?" Bien chaleureusement en 64 bits, Georges

Semaine 2 / 2.2 Mesure de mes usages

L'addiction aux outils 2.0 quand on est pédagogue

Bonjour à tous, je suis prof documentaliste et j'enseigne comment trouver l'info et la mettre en forme auprès de lycéens et d'étudiants. Pendant 2 ans, j'ai présenté des tutoriels d'outils de création tels que Canva, madmagz, et autres Prezi. Les élèves les testaient, bidouillaient et certains en sont devenus raide dingues comme moi. Cette année, j'ai enfin ouvert les yeux au risque de m'adresser à mes élèves de façon plus directe. Désormais je présente les outils en les surnommant ainsi : "c'est du H&M technologique, du prêt à porter design. Chers étudiants, nous allons les tester, les évaluer ensemble, afin d'en découvrir les avantages et les limites. Devenez exigeants, devenez critiques, c'est la clé pour ne pas endormir votre créativité". Et vous, quelle expérience en avez-vous ?

L'addiction aux outils 2.0 quand on est pédagogue

Bonjour, je ne comprends pas bien ce "risque de m'adresser à mes élèves de façon plus directe", pourriez-vous préciser ?

l'usage de l'application whatsapp

Un an de cela mes amis utilisait une application sur leur téléphone qu'on appelle le whatsapp.Je vous assure en ce moment j ai été quelque peu mis en quarantaine puisqu'il me considère ringard. depuis que j ai mon smartphone et je me suis fait installer cette application, j'en devient esclave, et j en suis conscient

Utilisation outils proposés

Je me représente les outils que vous proposez comme des réducteurs de libre arbitre plus que comme des objecteurs de conscience. Pouvez-vous m'éclairer à ce sujet ? Merci de votre attention. Mathéa

Utilisation outils proposés

Pourriez-vous expliquer en quoi ces outils réduisent-ils le libre arbitre ? Si ces outils vous permettent de vous rendre compte d'un certain usage, que vous estimez négatif, à vous ensuite de décider si vous changez votre comportement. Il existe d'autre outils plus limitants, tels que les filtres parentaux, ou ceux que vous réglez pour qu'ils vous coupent d'une application pendant un certain temps par exemple. On rediscutera des "technologies réflexives" dans la semaine 3.

Utilisation outils proposés

Les outils proposés ne font qu'offrir des informations "factuelles" sur notre utilisation des outils/plate-formes numériques. Libre à chacun/e de les utiliser ou non, et surtout de prendre leurs résultats en compte de la manière qui lui convient. J'ai du mal à voir dans quelle mesure ça pourrait limiter notre capacité à exercer notre libre-arbitre ? L'idée de cet exercice est surtout de voir dans quelle mesure on peut avoir une perception faussée de sa propre utilisation du numérique (outil, service...). Par exemple, l'extension Moluti (pour le navigateur Chrome) propose une vision de l'historique de navigation (déjà présent dans le navigateur), permettant de mieux apprécier ses habitudes de navigation. Ainsi, l'histogramme en bas à droite permet de voir à quels horaires on a utilisé chrome. De mon côté, j'ai pu constater que je ne l'utilisais jamais entre 1h du matin et 8h du matin, ce qui peut me conforter dans ma perception d'une utilisation "raisonnée" du numérique (ou du moins de Chrome). Je l'ai utilisé durant les vacances: en regardant les mots-clés liés à cette période (en cliquant sur les jours concernés dans l'histogramme du haut), j'ai pu constater que les termes liés au MOOC étaient fréquents, ce qui traduit bien effectivement ce qui s'est passé. Par contre, j'ai été surpris de constater que je ne l'utilisais quasi-pas les lundis matin: si je sélectionne le lundi dans l'histogramme présentant la semaine, je vois s'afficher l'histogramme heure-par-heure correspondant, qui est surtout concentré sur la fin de journée: effectivement, le lundi matin, je traite mes mails et effectue diverses tâches qui monopolisent mon activité et font que je n'utilise pas chrome. Un tel outil offre donc déjà des pistes intéressantes de réflexion sur ses pratiques. Notez bien qu'il ne fait qu'afficher des informations d'historique de navigation déjà stockées par le navigateur. Les informations restent confidentielles (stockées sur l'ordinateur) et ne nécessitent pas de phase d'observation avant de présenter les graphiques.

Utilisation outils proposés

J'ai testé Moluti, c'est assez impressionnant de voir comme tout ce que l'on fait est ainsi mémorisé et décorticable... Et si l'on sait que certains s'en servent à des fins commerciales, c'est intéressant de savoir que soi-même on peut l'utiliser à d'autres fins personnelles plus intéressantes. Merci donc. Mais bon, en l'état actuel de mon temps passé sur le numérique j'arrive encore assez bien me repérer et je ne ressens pas le besoin d'introduire un critère objectif extérieur. J'imagine cependant que cela peut être utile à des personnes beaucoup plus immergées, par exemple dans des jeux, car il est vrai que l'on ne voit pas le temps passer quand on est sur quelque chose de passionnant... Cela pourrait aussi servir à certains parents pour objectiver la surconsommation de leur enfant si problème à leur avis...

http://www.moluti.com/

J'ai testé. Intéressant. Merci

et pour firefox ?

les outils de mesure de temps passé sur le net que vous proposez ne semblent pas compatibles avec Firefox, dommage ... je n'utilise que ce navigateur et aucun smartphone ou tablette. j'ai trouvé une extension firefox "RescueTime for Firefox" est-ce équivalent ? je l'ai installée et vais voir au fur et à mesure de mes navigations ce que ça donne et ferai un retour.

et pour firefox ?

Bonne idée de nous faire un retour. J'utilise moi aussi Firefox et ce type d'extension me rend curieux. Guillaume

et pour firefox ?

L'équivalent pour firefox s'appelait about:me (voir http://blog.websourcing.fr/firefox-aboutme-un-plugin-pour-analyser-son-usage-du-net-3-6-like/ et https://addons.mozilla.org/en-US/firefox/addon/aboutme/ ) mais il n'a pas été mis à jour pour les versions récentes de firefox malheureusement. Il est possible d'installer des outils comme http://www.manictime.com/ mais ils sont plus intrusifs.

Découverte

Je ne connaissais pas ces outils et je n'ai pas l'intention de les utiliser. le résultat au test est catastrophique, j'ai du répondre à l'envers car je dois m'occuper d'une maison, d'un ado, j'ai 4 petits enfants, je lis beaucoup de livres et je me fixe des limites de temps de connexions. J'ai encore la volonté de gérer seule.

outils

outils intéressants pour connaître ses limites

Semaine 2 / 2.3 S'auto-limiter ?

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

Aujourd'hui internet notamment est une part intégrante de ma vie. Je travaille sur le web, je "loisire" sur le web, je fais mes courses sur le web, je converse sur le web, ... mais le numérique est ce uniquement le web. Me limiter bien sur, dans le cadre perso pour retrouver des valeurs centrées autour de la famille, de la réalité, ... c'est un besoin que je ressens et que j'essaye de m'appliquer. Mais le numérique ce n'est pas que cela. Mon fils de 4 ans maitrise l'ipad mieux que moi, le père noel lui a apporter une DS (usage à discretion) et mon conjoint est un TV-phil compulsif. Plutot que de diaboliser le numérique comme une addiction, ne devrions juste pas accepter que c'est maintenant dans nos moeurs et apprendre à vivre avec. Eduquer à l'usage du numérique comme on a éduqué par exemple à l'usage de l'alcool. J'ai toujours vu mes parents boire du vin à table, en soirée, j'ai été éduquée à ne pas aller dans dans l'excès. Car c'était un moeurs.

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

C'est bien là toute la question et on comprend que ça fasse peur car nous n'avons pas le recul nécessaire pour y répondre. Il faut vivre l'expérience pour vérifier !!! Dans ma famille, 4 générations se retrouvent sur skype et la distance n'est plus un problème pour permettre à la grand-mamie de voir sa petite petite fille. A 2 ans à peine vous lui montrez un pc portable, et elle vous montre l'objet en disant 'papi' 'mamie'. C'est génial mais en même temps ça fait froid dans le dos. Quant à la grand mamie, elle l'aime bien son pc jusqu'à le démonter pour lui ajouter de la rame. Au travail, les jeunes en formation sont en permanence connectés sur leur téléphone. Il leur est vraiment difficile de le poser. Dès qu'il y a un travail à faire sur pc, certains vont devoir, je dis bien devoir se connecter à You tube pour mettre en fond de la musique. Ce que je tolère, à tort ou à raison. D'autres iront directement se connecter à fb pour ne rien faire d'autre. Moi ce qui me saute aux yeux c'est surtout le fait qu'ils ont beaucoup de mal à traiter l'information puisque leurs activités se limitent aux jeux et aux réseaux sociaux. Quant à moi, je me sens plutôt bien derrière mon écran mais je n'oublie pas les activités extérieures

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

Merci à Julie 1503 d'avoir si bien posé la problématique. Personnellement je ne me sens pas envahi par mes usages du numérique mais je constate qu'ils ne cessent d'augmenter donc la question de la limitation existe pour moi quand même ou se posera bientôt... Dans tous les domaines de la consommation me semble-t-il nous sommes amenés à poser nos propres limites et quand il y a des domaines où nous ne savons pas le faire, il y a un risque d'usage excessif et dans les cas les plus importants d'addiction, c'est à dire d'envahissement au détriment d'autres éléments participant à notre équilibre. Natag, merci aussi pour votre témoignage clair sur cette question, tant dans votre sphère privée que professionnelle. Pour alimenter la discussion, je voudrais vous interpeller sur cette dernière partie: je suis bien conscient que c'est très difficile de "gérer" certains jeunes en apprentissage, surtout sur ces questions là mais bon, j'ai quand même un peu de mal à comprendre comment on peut être en apprentissage et écouter la musique sur youtube ou échanger sur facebook en même temps que l'on est censé faire un devoir. Bon, en même temps je ne pense pas qu'un enseignant seul puisse régler cette question, c'est l'institution où il travaille qui doit permettre un positionnement collectif ou au moins prendre des décisions qui permettent de remplir la mission... Et puis si ces jeunes se permettent cela à l'école, c'est que surement chez eux c'est permis aussi en des circonstances où cela ne devrait pas... Et puis on a tous des doutes : est-ce que le "trop" d'aujourd'hui ne sera pas la norme de demain? est-ce que la norme est une référence d'ailleurs? etc. Nous en sommes donc actuellement réduits à nos doutes évolutifs et à notre intime conviction... Je terminerai par un exemple qui m'a marqué à l'époque: En première année de collège de mon fils, j'avais été fort étonné de voir que les enfants qui avaient un smartphone avaient le droit de l'amener à l'école et de s'en servir pendant les récréations. C'était embêtant pour moi car je trouvais que concernant mon fils, c'était encore trop tôt pour avoir un tel. Lors d'une réunion, j'ai demandé s'il ne serait pas mieux d'en interdire l'usage dans cet espace. Le représentant de la direction a dit que c'était impossible car c'est un instrument de communication et que les parents ne seraient pas d'accord. L'année suivante, après que des élèves se soient fait régulièrement "choper" à regarder des images ou des petites vidéos pornos et que plusieurs enseignant se soient retrouvés sur Internet après avoir été filmés à leur insu et parfois relookés, j'ai constaté que l'impossible avait pu se réaliser: la possession de smartphones demeurait certes autorisée mais l'usage interdit dans l'enceinte de l'école. Depuis les choses se sont apaisées et la question ne fait plus polémique même si bien sur parfois certains utilisent leur téléphone quand même discrètement durant les récrés... Je ne prétendrai pas non plus que c'est une solution à généraliser mais c'était la bonne réponse à cet endroit là et à ce moment là. Il est quand même très interpellant de savoir que nombre des dirigeants de Google mettent leurs enfants dans des écoles où il n'y a pas d'accès au numérique... La question de la place souhaitable pour le numérique à l'école demeure à mon avis à ce jour non suffisamment résolue et c'est pourquoi je pense important d'échanger à ce sujet comme nous le faisons.

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

Bonjour Julie, Je suis d'accord avec vous, le numérique n'est pas qu'un problème, son succès à lui seul nous montre qu'il a de nombreux aspects positifs. Il ne me semble pas que ce MOOC essaie de diaboliser l'usage du numérique avec l'addiction, mais plutôt de porter un regard sur nos usages et l'addiction qui existe dans de rares cas, mais qui est très présente dans l'esprit de beaucoup d'usagers, comme en témoigne la facilité avec laquelle on utilise le terme addict aujourd'hui. Effectivement, par rapport à cela, l'idée d'une éducation au numérique me semble bonne, et elle revient souvent. Mais qui doit s'occuper de cette éducation? Les parents, les profs, les experts du numérique? Guillaume

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

Tous ceux que vous citez ! Pour cette génération il me semble difficile de confier uniquement aux parents la tâche de l éducation numérique du fait du décalage technologique qui peut exister . Le savoir est en construction et les experts sont nécessaires. Ce sera (C est ?) dans les programmes scolaires nécessairement en lien avec les autres apprentissages (dont l éthique , le droit ...oui je suis addict à l utopie aussi ). C est tout le village qui doit se ciller à cette tâche .

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

Oui, tout à fait d'accord avec vous Cardoso, il incombe au plus grand nombre de s'y mettre et les avis des experts, c'est à dire ceux qui ont simplement un peu plus réfléchi sur la question, (pour moi un geek a une expertise) méritent toute notre attention. Parlant d'éducation, je trouve, pour ce que j'en sais, que l'éducation nationale a quand même mal négocié le virage informatique qui aurait du mobiliser beaucoup plus vite et plus fort, tant dans la réflexion face à ce phénomène nouveau que sur la formation des enseignants pour une meilleure mise en oeuvre auprès des élèves. Mais il y a des enseignants qui ont lancé des initiatives individuelles remarquables.

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

oui il faut vivre avec son temps et avec son époque, mais je pense que tout excès est nuisible quand même, vous parlez de vin de table tout à l'heure, vous avez conclu que boire avec modération est la solution, par contre il nous est difficile de nous surfer avec modération avec les numériquesz

m'autolimiter pour retrouver des valeurs ?

Il est aussi parfois difficile à un bon nombre de boire avec modération... Pour moi le problème est comparable.

Le mariage :-)

Il parait évident que la vie en couple ou toute autre forme de communauté est un facteur de limitation. En gros, la vie d'une façon générale est un bon facteur d'auto-limitation. Et pour un vieux grognon solitaire comme moi la vie c'est tout simplement internet. Beau paradoxe.

Le mariage :-)

ce n' est pas la même chose la vie en couple avec une femme ce que les femmes réagissent dès qu' il y a un abus, par contre la numérique est un partenaire qui pourra rester avec vous pendant des heures, donc l' auto limitation vient de vous mais pas de votre outils, ,

Le mariage :-)

Quand on est seul et sans activité, pas facile de s'auto limiter, et puis d'ailleurs pourquoi ? Si on a plein de temps et qu'Internet nous permet de nous évader et nous distraire, tant qu'on arrive à s'en détacher et à faire autre chose comme le ménage ou autre. C'est mieux que la TV toute la journée, à mon sens.

Auto limitation

Nous au Togo un pays en Afrique occidentale ou la connexion internet est très chèrement payée.Donc dès fois si on a plus les moyens on se limite naturellement

Auto limitation

ah voilà une idée pour limitée la connexion, payer plus chère, ou peut être essayer les bas débit dans mon pays l'internet est encore au bas débit, mais cela constitue un frein au progrès ? Alors il faire attention que la limitation de notre consommation n' est pas nécessaire sur l' aspect positif de la numérique

Auto limitation

cela me rappelle lorsque j'ai eu internet à mon domicile au tout début, je n'avais qu'un forfait 50 heures. et je trouvais ça génial parce que ça me paraissait énorme de pouvoir passer autant de temps par mois sur l'ordi à la maison. je devais donc vérifier régulièrement où j'en étais de ma consommation. maintenant je me restreint par moi-même. j'arrive à me dire stop arrête l'ordi (je l'éteins) et fais autre chose.

Auto limitation

plus que l'auto-limitation, ce qui m'intéresse d'évaluer c'est le type d'usages que je fais. ça m'agace de voir que j'ai pu passer 1 heure sur facebook par exemple à lire les notifications et autres messages alors que je ne voulais au départ resté que 15 minutes et consulter autre chose.

Auto limitation

j'utilise mon pc portable pour tout ce que je cherche ,veux ,désire et dont je sais qu'internet sera très effice.Mais etre dérangé par les sonneries ,pub,applis, et tout intrusion intempestive et chronophages non non et non

Pas de raison

Je ne trouve pas de raison objective (en toute subjectivité) à une auto-limitation, compte tenu de l'utilisation que je fais des outils numériques. Ils me servent et j'arrive bien à m'en défaire, m'en éloigner. Je vis sans/avec, selon. Mathéa

Quand j'ai senti le besoin de m'auto limiter

Bonjour, J'ai eu régulièrement senti le besoin de m'auto limiter. En effet, avoir des notifications pour les e-mails, pour FaceBook, pour Twitter. Regarder les sites d'informations mais surtout lire certains commentaires d'internautes sur l'actualité. Vérifier ses messages sur un site de correspondance... Tout cela, à un moment, a génèré pour moi un grand stress. Le stress par les sollicitations multiples, par être interrompu à chaque notification et donc être tenté de regarder tout de suite en lâchant ce que je suis en train de faire, le stress de savoir si j'ai été et commenté sur les sites d'actualités, sur FaceBook, retwitté ou mentionné sur Twitter... Etre dans l'attente de cette notification sur le sujet me semble important. (Il y a d'ailleurs trop de sujets pouvant sembler importants). Il y a une forme d'attente de reconnaissance de ce que l'on dit et fait sur les réseaux. Il y a aussi le stress et l'agacement de ce que l'on voit et lit qui nous touche, de certaines remarques, réflexions, commentaires. Donc dans ces moments là, je me modère en lâchant mon téléphone, ma tablette. Je ferme la boite e-mails, je ne me connecte plus sur les réseaux sociaux ni sur les sites d'informations et je me concentre uniquement sur ce que je veux faire, apprendre, travailler. Puis je m'accorde 2 à 3 connexions par jour sur chaque et je n'y reviens pas. J'arrive à m'auto gérer,ça fonctionne bien. Maintenant, je connais mes limites, je sais lâcher les écrans pour me recentrer sur ce que je fais et vis au moment présent, à l'instant T.

Quand j'ai senti le besoin de m'auto limiter

Bonjour Olivier, Merci pour ce témoignage. La question du stress généré par Internet, avec ses sollicitations constantes et plus généralement le fait que sur internet, rien n'est jamais fini, il y en a toujours à faire, est déjà revenu précédemment, sous une forme un peu différente. https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/univnantes/31002/Trimestre_4_2014/discussion/forum/78d9fee556184817b0ed7d7f0b0f273b/threads/54b510c1bf989a3629000024 Guillaume

internet /ordi :oui ,les bidules qui sonnent non

j'utilise mon pc portable pour tout ce que je cherche ,veux ,désire et dont je sais qu'internet sera très effice.Mais etre dérangé par les sonneries ,pub,applis, et tout intrusion intempestive etchronophages non non et non

Choisir les outils qui me conviennent

Depuis que le numérique est entré dans ma vie, je prends le temps de choisir les supports et les pratiques qui me conviennent. Par exemple : - un téléphone portable, oui. un smartphone non. - Internet oui, Facebook non... Du coup ma "consommation numérique" est davantage faite d'actions vers l'extérieur (je vais vers : je cherche une information, je cherche une distraction, je vais à la banque sur mon ordi, je consulte des critiques de films, je fais des achats...) plutôt de sollicitations permanentes, qui viendraient de l'extérieur vers moi(avec éventuellement des sonneries intempestives...) qui me paraissent chronophages et finalement inintéressantes, anxiogènes... Je n'ai pas besoin d'être au courant de tout et même, je le refuse ! Je n'ai pas besoin non plus de savoir tout avant tout le monde. J'ai besoin de temps pour ressentir, réfléchir, désirer, digérer les informations reçues, les lectures que j'ai faites, les images que j'ai vues... Ce temps-là, indispensable pour moi, ne se fait pas devant un écran. L'écran pousse à la consommation, à la rapidité et parfois à la superficialité.

Est-on addict ou juste trop facilement tentés par des loisirs continuellement accessibles ?

Bonsoir, En lisant quelques messages (j'espère d'ailleurs ne pas écrire quelque chose de déjà dit mais ça semble difficile de tout lire :)), une question a pris forme dans mon esprit... La plupart de nos activités (travail, loisirs...etc) sont règlementées par des contraintes (de temps, d'horaires, de coûts...etc). Et, pour moi, les gens qui ont des addictions comportementales (au sport, au travail, voir à la nourriture...etc) franchissent à un moment ces contraintes pour basculer dans des usages excessifs qui ont souvent des conséquences (fatigue, arrêt d'autres activités...etc). Du coup, est-ce que ce sentiment d'angoisse face au numérique ne viendrait-il pas du fait qu il y a très peu de contraintes à son usage et que du coup il est le client idéal pour nos comportements (naturellement ?) abusifs ? J'ai remarqué que beaucoup de gens expriment l'idée qu'ils arrivent facilement à se passer du numérique quand ils sont dans un lieu sans matériel ou sans réseau... Or, un vrai addict, si je ne me trompe pas, fait tout pour se procurer ce qui lui manque (quitte à tomber dans le dangereux, l'illégal... etc). Donc, peut-être que ces gens (dans lesquels je m'inclut d'ailleurs) ne sont pas addict à proprement parler mais ressentent juste une difficulté à avoir devant eux un outil qui leur permet, n'importe quand et en quelques clics, de se connecter, de lire, partager, jouer.. sans sauter dessus :) Du coup, peut-être que l'on doit effectivement s'auto-limiter, se créer des sortes d'horaires d'ouvertures (pour faire un parallèle avec la bibliothèque)... afin de ne pas être débordé par la tentation :) Pour finir, je pense que la multiplication des sollicitations, pas seulement à cause du numérique, mais aussi dans les domaines de l'achat par exemple avec les crédits...etc nous obligent à faire des choix et à s'imposer des règles. Pour info, en ce moment, je m'impose 1/2h de lecture chaque soir et un coucher avant 23h et, non seulement ce n'est pas si difficile que ça à faire, mais en plus ça fait du bien je trouve d'avoir ce genre de règles :) Voilà, je vous laisse commenter !! Bonne soirée, Angéla

Est-on addict ou juste trop facilement tentés par des loisirs continuellement accessibles ?

Bonjour, il y a plein de choses aussi dans mon frigo que je peux manger à volonté, je peux prendre n'importe quel livre dans ma bibliothèque, mon lit est toujours prêt à m'accueillir, ma télé (que je n'ai pas :-) me propose plein de programmes 24h/24, etc. Les contraintes de temps, d'argent, jouent également là-dessus. La différence avec le numérique ne me semble pas si évidente directement.

Est-on addict ou juste trop facilement tentés par des loisirs continuellement accessibles ?

Bonjour, Ce que je voulais dire c'est que le numérique a tendance à diminuer les contraintes je trouve, ce qui peut être anxiogène ou augmenter les comportements excessifs. Par exemple, j’entends souvent des gens se plaindre que les adolescents passent beaucoup de temps à discuter sur leur smartphone... Or, sur le fond, ce n'est pas nouveau, un adolescent préfère toujours parler à ces copains qu'à ces parents. Mais avant le numérique, les parents savaient poser simplement la limite en virant le copain de la maison par exemple. Alors qu'avec le numérique, le copain il est toujours là, à porté de main alors forcément c'est tentant. Surtout à l'heure des forfaits illimités et du wifi généralisé... Et les parents ne savent pas toujours comment le virer :) (même s'il existe des solutions souvent). Si on en revient à la lecture, lire des livres à la bibliothèque ou en acheter ça présente de nombreuses contraintes. Alors que là, je vois ma tablette et mon wifi et je me dis tiens je vais aller lire deux trois articles, quelques forums, voir un livre...etc et ça peut durer longtemps sans forcément de contraintes pour m’arrêter :) Et ma conclusion c'est juste que mon comportement parfois excessif (ou celui de l'ado devant son jeux par exemple) ne vient pas forcément d'une addiction réelle mais aussi du fait qu'on n'étais habitué je pense à avoir des contraintes naturelles (physiques, techniques..etc) et pas forcément à se les créer soit-même. Voilà, c'est une réflexion personnelle bien entendu et pas absolue... Mais je trouve intéressant de réfléchir à l'idée que le numérique ne nous rend pas forcément addict mais que par contre il nous oblige à réfléchir et à organiser son usage pour éviter les comportements excessifs. Bonne journée, Angéla

Est-on addict ou juste trop facilement tentés par des loisirs continuellement accessibles ?

Sur l'exemple des adolescents et des téléphones : je me souviens bien que pendant mon adolescence je pouvais passer des heures en communication locale (pas chère) avec les copains ! Mais il n'y avait pas les SMS qui pouvaient partir à toute heure du jour et de la nuit, je vous le concède. Je pense que le début des activités de la semaine prochaine permettra de discuter de celà en étudiant notamment ce qui change avant/après sur un certain nombre de points tels que rapport au temps ou identité.

Est-on addict ou juste trop facilement tentés par des loisirs continuellement accessibles ?

Bonjour Angela, je trouve vos remarques très pertinentes, ainsi que les commentaires de yprie, merci à vous deux. Angela, je vous approuve: l'accessibilité ultra-facile au numérique, fortement augmentée encore avec la multiplication des smartphones, lui confère de fait une propriété invasive si l'on n'y prend garde. Le numérique, pas besoin d'aller le chercher pour le trouver, c'est lui qui nous trouve! Effectivement je pense que le plus grand nombre est face à un usage excessif plutôt qu'à une addiction à proprement parler et que la mise en place de règles personnelles choisies est le meilleur outil pour une autorégulation satisfaisante. Dans ce domaine c'est à chacun de trouver les limites qui lui conviennent. Il me semble qu'une bonne part de l'éducation consiste en l'intériorisation de limites d'abord imposées de l'extérieur mais comme pour le numérique il n'y a pas de modèle pré-établi, puisque c'est nouveau, nous devons en inventer sur le tas. Ce fut pareil pour la télévision lors de son apparition et beaucoup se sont quand même bien laissé envahir et bon nombre y est encore clairement aliéné....

s'auto-limiter

La question me paraît intéressante si l'on met en parallèle le monde professionnel et la sphère personnelle. Dans l'un, on pourrait schématiquement imaginer une personne soumise à des obligations. Celles du résultat justifiant son poste de travail. A cela s'ajoute un potentiel besoin de satisfaire un client, une équipe, une direction. Il n'est pas rare de voir des salariés de certaines boîtes effectuer 11 voire 12 heures de travail d'affilée sans compter les mails consultés le weekend. Dans ce cadre comment s'auto-limiter? Dans l'autre c'est une personne qui se connecte sans compter ses heures mais sans les mêmes impératifs, le même stress. Notion de plaisir personnel et/ou du faire plaisir ? Conséquences néfastes sur la santé et la vie sociale dans l'un et/ou l'autre? Limites de l'entourage qui s'inquiète. Encouragement du directeur qui note les bons résultats? Bref, beaucoup de questionnements...!

s'auto-limiter

Le problème au travail c'est que plus on en fait, plus le chef nous en redemande... Personnellement, je ne travaillerai pas plus pour faire plaisir au chef, être bien vu, ou je ne sais quoi. Parce qu'on finira par trouver ça normal, et après on augmentera encore la masse de travail. Hors de question que j'emmène mon travail à la maison. Dans ce cas là, c'est les chefs qui nous rendent accros, mais accros sans vraiment le vouloir.

s'auto-limiter

La question est aussi d'avoir des collègues qui se comportent un peu comme des "addicts" au travail (où l'on revient encore à l'addiction !)

s'auto-limiter

Oui c'est vrai. Si un collègue travaille comme un malade, après on se sent obligé de suivre malgré nous.

limitation

Je n'éprouve pas le besoin de m'auto-limiter étant donné l'utilisation que je fais tant de mon smartphone que de mon PC. Le questionnaire précédent ne m'a pas paru totalement pertinent, dans la mesure où la possibilité de répondre aux questions ne fournissait pas la rubrique "Jamais" ! Sinon, nul doute que je l'aurai cocher souvent !

s'auto limiter du mooc ^^

Il faudrait que je m'auto limite pour ce mooc qui je trouve prend beaucoup de temps ! Beaucoup plus que je ne le pensais, si on lit, qu'on essaye de répondre aux forums et au questions. Au secours ! lol ^^ Ce n'est pas un reproche. J'ai raté le wébinaire tout à l'heure, mais j'ai regardé le 1er, et ça prend du temps :D. En plus je voulais le revisionner pour prendre des notes, argh dur dur. Je voulais m'inscrire à d'autres moocs, mais ça me prend trop de temps lol, donc voilà mon auto limitation aux moocs.

Faire des break

J'aime bien partir quelques jours en vacances sans accès. Ni connexion, ni portable.. Une petite cure qui remet les choses en place..

s'autolimiter?

Je ne sens pas le besoin de m'autolimiter.j'utilise par exemple l'internet pour des besoins spécifiques.Mon seul problème, c'est avec mon téléphone portable qui est toujours à coté de moi. Mais là encore je me bat pour m'en débarrasser peu à peu en prenant conscience sur l’inconvénient des ondes sur notre santé. c'est un effort mental et aussi une programmation de mon cerveau sur une telle décision( m'écarter de mon téléphone portable un temps soit peu)

Peut-être sortir...

S'auto-limiter en pratiquant des activités physiques à l'extérieur, peut-être en emportant son portable au début si nécessaire. Le corps est actif, l'esprit peut être aussi par l’environnement de cette pratique. Cette pratique peut engendrer des rencontres, susciter des intérêts nouveaux. Bref, sortir de notre routine ! Serait-ce un bon début ?

Remplacer une obsession par une autre

Un moyen de s'auto-limiter est de choisir une nouvelle obsession. Et/ou de consommer l'obsession actuelle suffisamment longtemps pour s'en lasser, et donc d'en diminuer son emprise. Exemple personnel : je peux passer des dizaines d'heures sur un même jeu vidéo, puis ne plus toucher un titre pendant plusieurs jours. Je passe alors à autre chose (un livre, un série TV, une création numérique), jusqu'à ce que je m'en lasse. Il s'agit plus globalement de rediriger son attention sur un nouveau sujet, plutôt que de s'enfermer dans l'habitude. L'attrait du nouveau et le plaisir de la maitrise, contre la sécurité du connu et l'aisance de la répétition.

Remplacer une obsession par une autre

là ou les choses peuvent se compliquer c'est quand la recherche de sensations et de nouveauté fait partie des dimensions de personnalité qui participent à la vulnérabilité addictive ,avec une boulimie d'objets successifs vis à vis desquels la relation reste plus ou moins aliénante jlv

S'auto limiter ?

De mon côté je pense ne pas avoir terminé de découvrir toutes les possibilités d'internet. J'en apprends encore tous les jours. Grâce à ce Mooc d'ailleurs! Donc pour moi je ne ressens pas le besoin de limiter mon usage. Merci pour les deux "webinaire" passés, très intéressants sylvie

s'auto-limiter

tant qu'on y est pas addict... les nouvelles générations plutôt à surveiller afin d'éviter cette addiction???

Paradoxalement...

Je ressens moins le besoin de m'auto limiter depuis, et cela est paradoxal, que l'accès à Internet est devenu plus simple. Je m'explique : adepte d'Internet depuis le début de sa percée en France, je passais beaucoup plus de temps en ligne car s'y connecter était contraignant (attendre que l'ordinateur démarre, attendre que la connexion soit établie, attendre que la page se charge...), il arrivait très souvent que j'oublie ce que je cherchais initialement et que je me laisse aller à flâner de sites en sites. Alors qu'aujourd'hui il me suffit d'allumer ma tablette ou mon smartphone, taper ma recherche dans Google et voilà j'ai l'info que je voulais, et cela en quelques secondes, dès lors je me laisse moins aller à me balader de sites en sites...

Paradoxalement...

Je suis d'accord avec toi Pierre-marieConte. L’accès à l'information est devenue beaucoup plus rapide et le devient de plus en plus au fil des années ! (4G, 4G+) Alors pour obtenir une information il suffit seulement de faire la recherche et c'est finit mais attention toutefois à ne pas chercher un complément d’information. En effet, puisque la recherche est rapide il est aussi simple de rechercher plus en détail la réponse à la question posée au moteur de recherche. On peut tomber dans un cercle vicieux !

Limites

Au vu de ce que m'apporte internet, je dirais qu'il serait nécessaire de s'auto-limiter vis-à-vis des lectures non intéressantes sur internet et des activités chronophages de chat.

Semaine 2 / 3.1 - Définir l'addiction au numérique

J'opte pour l'addiction à internet

J'opte pour l'addiction à internet parce que l'unternet est une composante du numerique

addiction au numérique

Je choisis l'addiction au numérique car cela englobe l'addiction à l'internet (consultation des contenus, de la boîte mail..) mais aussi l'addiction aux jeux qui ne sont pas forcément en ligne.

L'addiction est propice à quel terme?

Le terme addiction est très globalisé donc est propice au numérique donc j' opte pour ADDICTION AU NUMÉRIQUE. Notons que ces termes se différencient à des nuances prêt.Pourquoi? l'addiction à l'internet, le cyberaddiction et le cyberdépendance désignent la même chose et sont tous inclus dans le numérique qui constitue un champ beaucoup plus vaste

Incompréhension

Bonjour, Je comprends la question mais je ne vois pas les mots à ajouter dans le nuage. A mon sens ces termes bien que proche peuvent avoir des nuances particulières. Cyber est aussi proche de la robotique que d'internet mais peut-on y être addict ? Est-ce que le fait de collectionner les objets connectés, du contenu numérique ou passer du temps en ligne est une addiction ou une passion ? Je pense que tout dépends des conséquences sociales, physiques, et psychologique pour les individus. Si le numérique ou internet révèle une addiction celle-ci n'est peut-être que le reflet d'un malaise plus profond. Dans la vidéo du site cyberdépendance.fr donné dans votre wiki, on voit un jeune se couper de ces liens familiaux mais pour entretenir des liens avec d'autres personnes via internet. Ce type de comportement est plus en lien avec la rupture familiale que la consommation d'internet. Avant Internet, certains jeunes se réfugiaient dans des groupes d'amis pour échapper à un cadre familial mal vécu. Dans le cas des jeux en ligne mmorpg, c'est encore plus vrai car les jeunes peuvent alors établir des relations d'égal à égal avec d'autres adultes. Ce qui n'est pas possible avec ces propres parents. Il se sent alors valoriser. Mais c'est un peu le cas de l'exemple donné dans votre vidéo. Le jeune se sent plus valorisé dans son échange numérique avec sa copine que dans le fait de descendre dire simplement bonjour à une parente. Le problème est peut être aussi un manque d'autorité que montre son parent qu'une addiction. Je ne juge pas.

Incompréhension

Comme adolescent/jeune adulte, nous attendions qu'un petit groupe se forme pour sortir, tard, quelquefois très tard, de manière régulière, mais avec des week-end où ce n'était pas le cas car les uns et les autres n'étaient pas disponibles. Avec les MMO ou les MMORPG, on rejoint des amis numériques, qui sont tout le temps ou presque présent, pour des raids. C'est distrayant, mais je n'ai pas l'impression que les liens qui se créent soient aussi humains que dans des sorties...

terme le plus représentatif

Pour moi c'est surtout l'addiction a internet car addiction au numérique est plus large et je pense que nous sommes plus sensible a l'accessibilité qu'offre internet pour être tout le temps connecté. Ce qui n'est pas forcément le cas du numérique en général.

activité 1

L'addiction à internet est le terme inventé à l'origine de cette addiction à voir dans le dsm v.

Semaine 2 / 3.2 - Addiction au numérique

Addiction ou mode de vie ?

Je ne suis pas sure que l'on puisse parler d'addiction au numérique encore. De surconsommation peut être mais je pense que l'on doit surtout apprendre à "gérer" ce que notamment Internet mais aussi les tablettes et smartphones ont apportée dans nos vies à savoir : la surabondance d'information, le "tout tout de suite instantanément" où que l'on soit, le mail qui impose une disponibilité constante avec nos smartphones, .... je pense que l'on est addicte à ce mode de vie à 100 à l'heure et que le numérique est un outil pour répondre à notre addiction. pour prendre la comparaison des drogues je dirais que le numérique est davantage la pipe, le bang, le joint, outil qui permet de combler l'addiction au cannabis.

Addiction ou mode de vie ?

en effet, je pense qu'il s'agit plus de **surconsommation, d'usages excessifs du numérique et des outils** qui nous sont proposés: smartphones, tablettes, ordi, etc. et aussi des développements exponentielles d'applis, logiciels ou plateformes de partage. Pour la santé de chacun cela a une conséquence moindre par rapport à une addiction à un produit mais pour ce qui concerne les relations entre les personnes il me semble que ça a des conséquences très importantes et parfois dramatiques (isolement, irritabilité, rupture)

Le numérique rythme ma vie au quotidien

Le numérique a modifié mes modes de vie: Avant pour une recette de cuisine je regardais dans un livre de cuisine maintenant je fais une recherche internet Avant j'allais faire mes courses en supermarché maintenant je commande sur internet dans des drives J'utilise de plus en plus Skype pour communiquer avec mes amis J'utilise Doodle pour planifier mes réunions pro ou personnelles Google drive pour partager des documents et les travailler en équipe Etc ... Pour toutes questions, je fais une recherche sur le Net ...

Le numérique rythme ma vie au quotidien

j'utilise mon pc portable pour tout ce que je cherche ,veux ,désire et dont je sais qu'internet sera très effice.Mais etre dérangé par les sonneries ,pub,applis, et tout **intrusion intempestive et chronophages** non non et non

Le numérique rythme ma vie au quotidien

Je crois que l'on est vraiment addict lorsque l'on ne se rend même plus compte de ces intrusions.

Tout se transforme

"Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme". Je ne pense pas que l'ère numérique fasse gagner énormément de temps. Par exemple, au lieu d'aller en agence de voyage pour préparer son séjour, le réflexe actuel est de regarder sur internet. Mais on en a tous fait l'expérience cette démarche est très chronophage. On passe beaucoup plus de temps qu'on ne le pensait à chercher les meilleurs prix, vérifier les conseils, ... Ainsi, je pense que le temps que l'on passe sur les différents écrans, réseaux, etc on ne le consacre plus à d'autre : la cuisine, le bricolage, les relations humaines, ... même si le mouvement "do it yourself" a tendance à me faire mentir.

Tout se transforme

Oui, c'est vrai que plus d'une fois je me suis dit qu'en fait de gagner du temps, l'informatique nous en faisait perdre, par exemple le tri que je dois faire tous les matins au travail entre les courriels utiles et ceux que je dois jeter, ceci après avoir pris le temps de démarrer ma session, des tâches répétitives et assez stériles, mais tous comptes faits il me semble quand même que l'on peut faire beaucoup plus de choses plus rapidement avec le numérique que sans. Et surtout on peut faire avec le numérique des choses que l'on ne pouvait pas faire sans. Le temps gagné ou non n'est pas à mon avis un argument fondamental, enfin c'est intéressant de se dire qu'il vaut mieux passer par une agence de voyage pour des vacances pour gagner du temps et parce que c'est leur métier, mais ce sont les choses nouvelles que l'on peut faire qui sont intéressantes, comme visiter un musées virtuellement par exemple.

addiction virtuelle

Avec l'addiction au numérique, on est dans le virtuel, donc moins nocif pour la santé physique que drogue, alcool, tabac...mais peut-être pas anodin pour la santé psychique, mais j'ai tendance à penser que les addictions "irrépréssibles" tiennent à l'individu plus qu'au produit auquel il est "addict". C'est toujours une fuite de quelque chose (corvée, culpabilité, malaise, ennui, etc...), et le plaisir de se retrouver absorbé par autre chose.

le numérique c'est anti- ringard!

le numérique c'est anonyme ,illimité,rapide ,dynamique ,ça remplace la cigarette dans l'image de soi ( branché,émancipé),dans le bus une personne de 60 ans qui écoute de la musik relié à ses oreilles par un smartphone wwwwwwwwwwwwooooooooouuuuuuuuaaaaaaaaaaaapppppp!!!

addictions nouvelles

Le numérique a créé des addictions nouvelles : - jeux en ligne (candy crusch et autres par exemple) - Tchat qui n'existaient pas auparavant - Post de photos/vidéos/messages ayant des répercussions bonnes ou mauvaises sur la vie réelle Il y en a d'autres encore...à vous de me les dire !

addictions nouvelles

l'internet est source d' curiosité, donc la curiosité est elle un addict? c' est cela qui retient pendant des heures, nos curiosités sont alimentées par les flux d' informations qui arrivent sur nous sans limites, prenons par exemple ce dessin, si ce dessin est au format devinette on est obligé de cliquer, et même au grand format les gens clique encore c' est automatique!![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14212796728393274.jpg

Evolution de nos modes de vie

Je pense que l'évolution de nos modes de vie participent immanquablement, aux changements d'attitudes, d'habitudes. L'évolution des conditions de travail également avec sa réduction du temps, sa "numérisation", nous tentant de continuer dans nos loisirs plus nombreux car possibles. A nous de trier, faire des choix. Je vous accorde le droit de trouver mon rapprochement hors du sujet que vous proposez, pour autant, je suis convaincue que tout est lié. *Même planifiée avec le plus grand soin, la plus sage réflexion, la meilleure des volontés, une fois impulsée, l'action est à la merci des imprévus. Prendre en compte cette part d'incertitude,* c'est ce qu'Edgar MORIN appelle "l'écologie de l'action". Voici la source sur ce sujet auquel je souscris, de mon point de vue dimension souvent niée, inconsciente. http://duborddemafenetre.blogspot.fr/2009/03/les-jeudis-dedgar-19-ecologie-de.html Mathéa

un usage intensif du net est-il addictif ?

Par rapport à une addiction à une substance (que j'ai connu), un usage même très intensif du net ne me semble pas avoir le même pouvoir. J'ai passé 3 jours sans internet à noël sans que cela me manque. Et portant je passe plus de 4 ou 5 heures par jour sur internet ou mon ordi pour gérer mes associations, rédiger, m'informer. Il est vrai néanmoins que j'ai eu durant quelques mois, il y a plus de 10 ans une addiction de quelques mois sur Age of Empire. Ou Tetris. Mais j'ai fini par m'en lassé. Et j'ai donc supprimé ces jeux car cela me prenait trop de temps. Mais à la différence d'une substance, l'abstinence fut facile.

Plaisir de nourrir sa curiosité

J'ai toujours aimé apprendre de nouvelles choses, comprendre le monde dans lequel je vis, découvrir de nouvelles disciplines... Internet me permet de nourrir favorablement cette curiosité et j'éprouve de grandes joies à visiter un musée américain depuis mon bureau, découvrir la physique quantique ou la géologie, voir des photos d'astronomie... Il me semble que les addictions n'ont rien à voir avec cette démarche. L'addiction s'accompagne d'impulsivité, de répétitions, de consommation de plus en plus grande. Je consomme certainement sur internet, mais je cherche plus que des informations, je cherche des connaissances. Cela est opposé à l'addiction car transformer des informations en connaissance me demande un travail personnel. Ma vie a changé avec internet sans que je me sente addict pour autant. Car je vis un épanouissement et ce terme parait en contradiction totale avec addiction !

Plaisir de nourrir sa curiosité

Bonsoir, Merci pour ce message positif et enthousiaste 😊 Je ressent la même chose mais je me sens parfois débordée par le nombre de choses à découvrir et à faire... Est-ce que vous utilisez des méthodes ou des outils pour organiser vos découvertes /apprentissages sur le net ? Bonne soirée, Angéla

Plaisir de nourrir sa curiosité

Bonsoir Sylvie, Je suis totalement d'accord avec vous "l'épanouissement" est en totale contradiction avec "l'addiction"! Et je pense que votre avis sera partagé par beaucoup d'entre nous! Stéphanie

numérique : large éventail des possibles

Les pratiques du numérique offrent de plus en plus de possibilités en matière d'outils, par ailleurs étant seul devant un écran l'espace de liberté est infini dans lequel il est facile de s'engouffrer.

Pour et contre

Peut-on parler d'addiction dès lors que "l'état" nous pousse à pratiquer certain comportement ? Si je compare le numérique à la télévision, toute les études montrent que l'on passe de plus en plus de temps devant la télévision et autre support servant à regarder des vidéos, avec les conséquences que cela occasionnent. Hors, TOUS (grands médias et politiques) prétendent avec leurs pseudos spécialistes que ce n'est pas le télévision et consort le problème. Je renvois pour les détails de ce paragraphe au livre de Michel Desmurget : TV Lobotomie. Que dire du numérique dans son ensemble dans ce cas, puisqu'il est le reflet de nos comportement sociaux ! Quelle est la causalité ? Par exemple : sommes nous devenus individualiste à cause du numérique ou le numérique à causé notre individualisme ? Néanmoins, il est clair que les comportements liés au numérique posent un certain nombre de question et de problème.

Pour et contre

A mon avis, je dirais que nous ne sommes pas devenu individualistes à cause du numérique, mais qu'on l'était déjà un peu, et que le numérique peut l'avoir empiré.

Addiction au numérique??? Discutons!

Il y a la questions des termes à employer et il y a à mon avis avant cela la question: est-ce qu'il existe des addictions au numérique? Je souhaite ici apporter quelque élément de réponse personnelle afin j'espère de lancer une discussion sur le sujet: Comme cela a été vu la semaine précédente (webinaire 1), il y a clairement des addictions qui existaient avant le numérique, comme par exemple la toxicomanie ou le jeu pathologique ou la sexualité envahissante, qui se sont trouvées renforcées ou fortement facilitées par le numérique. Il me semble de la même manière, qu'-il y a des addictions nouvelles qui sont apparues avec les possibilités inédites offertes par le numérique-. Par exemple l'addiction aux jeux multijoueurs en ligne ou l'addiction à la surinformation aussi nommée infobésité. Des jeux sont même spécialement étudiés pour rendre addict, comme candycrush. Mais les jeux en ligne multijoueurs comme World of Warcraft ou League of Legende (LOL) ou Dofus ou les jeux de tir multijoueurs comme Call of Duty sont aussi addictogènes car ils sont très bien faits, permanents et illimités d'une manière ou d'une autre.Il y a bien d'autres jeux addictogènes, comme GTA, qui joue sur l'autorisation de pulsions normalement réprimées en société civilisée, ou minecraft, qui permet de construire des univers seul ou à plusieurs, etc. Addictogènes cela ne veut pas dire qu'on devient forcément addict en y allant. C'est comme l'alcool: c'est pas parce qu'on y goûte que l'on devient alcoolique! Mais il y a là une attractivité indéniable avec des risques d'envahissement de la vie au détriment des autres éléments importants de celle-ci. Pour faire un pas de plus je pense que, comme pour l'alcool, -il y a actuellement beaucoup plus de gens dans un usage excessif, avec des effets plus ou moins nocifs, que de gens addicts, centrés à l'extrême sur leur usage numérique personnel au grave détriment du reste de leur vie.- Et il y a une infinité de combinaisons des multiples formes possibles de nos usages, et donc une infinité de marches possibles entre le bon usage et la pire dépendance. Reste que pour définir ce que serait le bon usage de cet univers numérique récent et en mutation permanente, ce n'est pas aisé!... ![gotobed][1] [1]: /media/14214036337839844.jpg

un large panorama

Bonjour le numérique (les écrans) prennent de plus en plus de place dans nos vies pour un certain nombre de raisons: * c'est un média qui en remplace d'autres: on lit le journal sur son écran, on regarder un film en VOD sur son ordinateur, on lit un roman sur tablette, on reçoit par mail ce que l'on recevait avant par courrier postal. L'action est identique, le support a changé. * il y a ensuite le volet du e-commerce, qui permet de faire via un écran des choses pour lesquelles il fallait avant aller dans un commerce. On peut commander ses courses sur internet, y acheter ses livres, choisir sa voiture, son billet d'avion ou de train, et même y suivre une formation comme ici. On peut déplorer le manque de contact humain, mais là encore, internet n'est qu'un facilitateur de la transaction. Jusque là, je crois qu'il s'agit d'une évolution de nos modes de vie. De la même façon que la voiture a remplacé le cheval pour les déplacements en son temps. * il y a ensuite les choses qu'internet permet, et qui n'existaient pas avant, ou pas avec le même niveau de facilité d'utilisation: c'est les réseaux sociaux, les forums, qui sont bien plus évolués en terme de fonctionnalité qu'une pile de cartes de visite du siècle dernier. Et qui génèrent ensuite leurs propres besoins d'entretien. Je met dans la même sphère les notions d'infobésité, de boulimie de l'information "juste" parce qu'elle est disponible. Je pense qu'ici on peut se "noyer" dans l'internet, y passer beaucoup de temps, y trouver un monde moins 'piquant', plus satisfaisant à un moment donné que le monde extérieur. Et là, de la consommation responsable à l'abus puis à l'addiction je crains qu'il n'y ait qu'un pas qui puisse parfois être franchi. Je mets au même niveau les jeux en ligne, avec un accent plus fort sur les jeux 'construits' qui demandent une connexion régulière pour entretenir un personnage dans un monde virtuel. Certes, on peut entretenir un personnage à 5 minutes par jour. Et puis on peut s'intéresser à ce monde virtuel, chercher à faire monter son personnage en grade, échanger avec d'autres joueurs, et sans s'en rendre trop compte y passer plus de 5h par jour. Je ne sais pas si pour les spécialistes ceci n'est qu'une variante du 'jeu pathologique', mais c'est quelque chose qu'internet rend plus accessible. En conclusion, je ne sais pas s'il y a une dépendance aux écrans, mais à ce qu'il y a derrière l'écran, via internet.

Mon avis

Si nous nous referons à la définition du mot addiction, nous comprenons claire qu'il y a un phénomène de dépendance qui s'y affecte.or les nouvelles pratique au numérique s’exhibe à l'homme vu l’intérêt qu'elle offre. pour moi quelqu'un qui s'adonne à cette vie tombe inexorablement dans l'addiction. Néanmoins cette forme d'addiction présente une spécificité: Elle ne détruit la santé des hommes comme le cas des stupéfiants. Notons qu'en même que le numérique a véritablement contribuer à l'évolution du mode de vie des hommes par sa simplicité de résoudre des problèmes existentiels des Hommes exemple: Achat des articles en ligne,communications plus facile sur l’opérateur skype, whatsapp viber et autre

Un juste équilibre

Il y a des personnes addictes aux jeux vidéo ou â Internet. Mais c'est un pourcentage très faible par rapport aux nombreuses personnes qui passent du temps sur les écrans. Nous sommes nombreux, je pense, à passer beaucoup de temps à surfer sur Internet pour toutes sortes d'usages. L'important à mon avis est la mesure comme pour beaucoup de ce que nous faisons dans notre vie. L'utilisation du numérique dépend aussi de notre façon d'aborder la vie : est-ce que je considère que c'est important de rencontrer les gens et de leur parler ou bien, je préfère interposer une machine dans mes relations avec les autres...

nécessité

Aujourd'hui être connecté est quasiment obligatoire et cela peut poser problèmes aux personnes qui ne disposent pas d'internet. Au niveau professionnel beaucoup de transactions, de documents dématérialisés, d'échanges immédiats, gain de temps. Accès à beaucoup d'outils dont nous ne pouvons plus nous passer. Un retard annoncé depuis son smartphone, le rappel automatique des rendez-vous, plus de calcul de décalage horaire. Notre temps est numérique et c'est un luxe que de pouvoir s'en passer.

a t on peur ?

![saisir une description de l’image ici][1] [1]: /media/14216141435433996.jpg est ce que le fait que 70% des français soient distants ou réfractaires au numérique ne leur fait pas paraitre les 30 autres % comme des mutants, et que la crainte de l'addiction est une crainte de ce que l'on ne connait pas, et que l'on ne sait pas maitriser ?

a t on peur ?

Fort possible en effet; Il existe cependant à mon avis des cas d'addiction véritables, certes assez rares.

a t on peur ?

je ne nie pas l'existence d'addiction au numérique, je pense que le terme est employé un peu trop largement, comme dans l'enquête Pelleas, dès que la consommation dépasse la 'norme' admise par l'entourage. ceci dit, je viens de tomber sur un article qui parle du décès d'un joueur de jeux vidéos lors d'un marathon après 3 jours ininterompus (....) http://www.generation-nt.com/joueur-taiwan-mort-epuisement-jeu-video-cyber-cafe-gaming-actualite-1910985.html j'imagine bien l'angoisse que cela peut susciter chez des parents qui voient leur enfant passer plusieurs heures d'affilée à jouer, mais de quel % parle t -on ? fait on des extrèmes une généralité ?

a t on peur ?

il ne faut vraiment pas diaboliser le numérique et il y a effectivement ce risque que ces cas extrèmes soient pris pour une généralité; ceci dit réfléchir aux risques pour aller vers des usages plus sécures s'inscrit sans doute d'abord dans une démarche de prévention jlv

Tout est toxique, rien n’est toxique, tout est question de dose…

Si on se base sur la définition d’addiction comportementale donnée par Goodman : « un processus par lequel un comportement, qui peut fonctionner à la foi pour produire du plaisir et pour soulager un malaise intérieur, est utilisé sous un mode caractérisé par l'échec répété dans le contrôle de ce comportement et la persistance de ce comportement en dépit des conséquences négatives significatives » ; on pourrait caractériser l’addiction au numérique par une utilisation excessive, un échec lors des tentatives de diminution ou d’arrêt de l’utilisation des outils numériques et une persistance dans l’utilisation en dépit des conséquences négatives avérées. La spécificité de ces addictions peut éventuellement venir des caractéristiques propres de la technologie utilisée (internet est par exemple un facilitateur d’accès à l’information ou à la mise en réseau virtuelle). L’utilisation croissante de l’ensemble des outils numériques est forcément liée à la place grandissante que la technologie prend dans notre quotidien, il parait donc important de faire la distinction entre ce qui tient du changement de mode de vie et ce qui s’apparente à un usage excessif. Ainsi donc pour le numérique comme pour le reste « Tout est toxique, rien n’est toxique, tout est question de dose… »

addiction aux médias numériques

pour certaines personnes, il s'agit vraiment d'addiction: ne pas pouvoir passer une minute sans facebook... ou les jeux vidéos! faire des classements de cette cyberdépendance.

Diabolisation de la nouveauté

Il est incontestable que l'être humain présente un biais de considération pour tout ce qui à trait au changement. Ainsi toute nouveauté est peut être décriée voire diaboliser. Pourquoi se passer de GPS alors qu'il est mille fois plus rapide, pratique et sûr d'utilisation qu'une carte et une boussole ? Pourquoi se passer d'internet afin de trouver des bons plans pour nos prochaines vacances ? Ainsi internet (et le numérique) peut se révéler un immense facilitateur pour nos vies. L'addiction n'étant ici pas plus représentée que de dire que l'on est addict à l'utilisation d'une paire de chaussure pour marcher.

Diabolisation de la nouveauté

Nos deux intervenants de la semaine 4 ont proposé de parler d' " addiction à l'innovation " plutot qu'au numérique ,ce qui va bien dans le sens de ce que vous évoquez! jlv

Dans quelle mesure s'agit-il d'une évolution de nos modes de vie ?

le numérique est un facteur d’aggravation de certaines addiction: par exemple l'addiction sexuelle peut être nourrie par la facilité qu'offre le numérique d'avoir des images et scènes coquines.

Semaine 2 / 3.3 - Enquête PELLEAS

Statistique

Je choisis de porter mon regard sur les outils ayant servis au sujet des comportements en lien avec l'addiction au numérique, plutôt que sur le sujet. De mon point de vue, pour qu'une étude soit la plus pertinente possible, il convient : - de bien connaitre l'objet de l'étude ; - avoir un échantillon suffisamment représentatif de la population ; - de définir des objectifs précis, atteignables ; - d'identifier des critères mesurables ; - d'utiliser des indicateurs pertinents (le quantitatif n'a de valeur que si il est précédé du qualitatif) ; - de vérifier et nommer ses sources. Après lecture du doc sur les limites de l'étude, je dirais que ces 2 documents sont intéressants de part leur complémentarité. Mathéa

Statistique

Je n'ai lu que l'étude et parcouru vite fait l'article sur les limites, et d'emblée ce qui m'a interpelé dans l'étude c'est le faible nombre de l'échantillon et surtout la localisation : seulement en région parisienne ? Dommage, je pense qu'il aurait été plus représentatif un échantillon sur l'ensemble de la France. Un Parisien n'a pas la même vie, ni la même façon de pensée qu'un provincial surtout en campagne, il n'a pas non plus accès aux même choses. A la campagne on est souvent isolé, alors qu'en ville on a tout à porté de main. De plus je trouve que les conclusions n'apportent pas grand chose de plus par rapport à d'autres études, on en revient toujours aux mêmes choses, sauf qu'on nous donne des chiffres, mais du coup des chiffres discutables. En le lisant, je me suis dis, "tout ça pour ça", lol.

Statistique

Oui, je vous suis.

absence de définition de l'addiction

le fait même que Les auteurs ne définissent pas l’addiction aux jeux vidéo me parait problématique. *L’enquête PELLEAS ne donne aucune définition de l’objet qu’elle étudie. Les termes “addiction ”, “usage problématique ”, “dépendants ” ou “abus” se retrouvent dans le texte sans être différenciés. Or, l’excès n’est pas l’addiction. De même, les auteurs écrivent “addiction” entre guillemets ce qui jette un trouble car le lecteur ne comprend plus si l’on parle de l’addiction comme métaphore ou de l’addiction comme trouble* http://www.psyetgeek.com/lenquete-pelleas-sur-laddiction-aux-jeux-video-pose-11-problemes-de-trop

que revèle le doc

La génération " Y" , d'année en année accélère la consommation des dérivés du numérique à savoir les jeux vidéo.on assiste là déjà un comportement addicte.Ils sont devenu accro. les chiffres dans le doc est très révelateur

des ados ordinaires ?

certaines des questions qui sont utilisées pour qualifier l'excès de numérique me choquent dans un questionnaire pour des adolescents. notamment 'négliger d'autres activités pour jouer' et 'se disputer avec l'entourage à propos du temps passé à jouer'. j'ai la très forte impression que les 'autres activités' sont le travail scolaire et les taches domestiques, et que le questionnaire ne trie pas les manifestations classiques de la crise d'adolescence (dont un peu d'opposition parentale quand même) de la façon dont elle s'exprime. on peut pour moi remplacer 'jouer' par 'sortir avec des copains'. le conflit familial sera encore là ;) autre point qui me choque, la référence au DSM-V, qui pathologise énormément de choses, y compris ce qui était auparavant considéré comme une difficulté à surmonter(les troubles dys entre autre), ou des comportements jusque là considérés comme non problématiques (la consommation de café au delà d'un certain seuil est un trouble du DSM-V).

des ados ordinaires ?

je partage vos réactions concernant cette étude qui souligne les limites de travaux utilisant des outils d'évaluation insuffisement validés et adaptés(mais dans ce domaine ils sont difficile à construire tant les pratiques et contextes évoluent vite,comme cela a deja été pointé); quant au café il faut savoir qu'il figurait deja dans la classification de Lewin de 1928 ,dans laquelle l'alcool n'était pas présent! jlv

Réception médiatique

Ce qui m'a frappé est que le jour de la sortie de cette étude les médias se sont jetés dessus, à coup de titres tous plus dramatisants les uns que les autres, et sans cohérence entre eux (1/10, 1/8, 1/6 !) "Jeux vidéos: un ado sur dix a un usage problématique, les garçons plus touchés" http://www.appy-geek.com/Web/ArticleWeb.aspx?regionid=2&articleid=33407072 "Un ado sur huit a un usage problématique des jeux vidéo" http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/12/17/un-ado-sur-huit-a-un-usage-problematique-des-jeux-video_4542052_3224.html "Selon une étude, un adolescent sur six abuse des jeux vidéo en France." http://www.europe1.fr/mediacenter/emissions/le-journal-de-la-sante/videos/jeux-video-attention-a-l-addiction-2321779

Réception médiatique

J'appellerais cela la récupération, sans précaution, sans rigueur, qui pose la question de l'éthique générale.

GameCube en 2014 ?

La liste des supports concernés est intéressante. La GameCube (oui, LA, pas le) est une console de Nintendo d'avant la Wii, qui date elle-même de 2006. Je doute que des ados/enfants jouent à une console plus vieille qu'eux. Plus globalement, on retrouve le reproche biaisé classique de ce genre d'études : on reproche aux gamins de passer trop de temps à la manette, alors que si ces mêmes gamins passaient le même temps à lire ou à jouer au foot, ils seraient portés aux nues. On confond trop facilement passion et addiction. Et comme chaque génération a son bouc émissaire (théâtre, cinéma, rock'n roll, jeux de roles, jeux vidéo, etc. ) ... les raccourcis sont légions. Quand aux vrais addicts, ce n'est pas tant les jeux vidéo qui les provoquent, qu'un terrain favorable (génétique et/ou environnemental). Ces addicts du numérique auraient été addicts d'autre chose s'ils étaient nés un siècle plus tôt. Reste le cas des jeux en ligne, dont la logique mercantile (basée sur des théories psychologiques fondées) exploitent notre besoin de récompense. Il y aurait un travail à faire à ce niveau, pour limiter leurs mécanismes d'addiction. Ou mieux armer leurs pratiquants face à leurs atours.

GameCube en 2014 ?

Pour information, les jeux en ligne ne sont pas les seuls à utiliser les théories dont vous parlez. Les jeux les plus viraux sur les périphériques mobiles exploitent bien plus les comportements des joueurs pour en soutirer le maximum d'argent (ne serait ce qu'en minimisant et banalisant le fait de payer, avec de l'argent virtuel d'abord et réel ensuite, en cours de partie). C'est aussi le cas pour la politique mercantile derrière les DLC (DownLoadable Content) qui sont des contenus additionnels payant pour un jeu de base. Ces contenus sont parfois complètement facultatifs, mais certains studios n'hésitent pas à vendre dès la sortie du jeu des éléments scénaristiques importants (les chapitres 2 et 3 de l'histoire du jeu par exemple) qui devraient être intégrés dans le jeu de base. Donc oui, les jeux vidéos ont des mécaniques de **rétention**, le problème est de réussir à mettre en place ces mécaniques (parce qu'elle sont nécessaires à la rentabilité du produit après tout) sans générer des addictions chez les joueurs.

GameCube en 2014 ?

Vos remarques sont pile dans le thème de la semaine 4 qui commence mardi prochain !

test

des comportements de plus en plus addict...

test

je ne comprends pas ce que tu veux dire? c' est positif ou négatif? Des bons ou mauvais comportements, je vois souvent que les jeux vidéos éducatifs permettent nos enfants de comprendre ce qu' ils n' arrivent pas à comprendre à l' école,

Limites

Pour plus de profondeur, l'enquête devrait être étalée sur plusieurs années (antérieures et postérieures) afin de se rendre compte de l'évolution des "addictions" des collégiens et lycéens. En outre, pour continuer sur la même piste de reflexion de manière plus horizontale, il serait bienvenu de connaître les emplois du temps des élèves n'étant pas reconnus comme addict aux jeux vidéos dans le but de trouver si, dans la population mesurée, il existe d'autres substituts que les jeux vidéos, occupants tout le temps des adolescents interrogés.

Limites

Effectivement ! Samuel Coavoux ,sociologue intervenant dans le wébinaire de la semaine 4,a beaucoup insisté aussi sur cette question des alternatives à la conduite ,qui s'articule pour lui avec la légitimité sociale de l'objet ( les jeux videos etant de ce point de vue jugés moins légitimes que d'autres activités ,ce qui pose question); jlv

Semaine 2 / Discussion générale

Les guides numériques

Clique [ici][1] [1]: http://www.lenumeriquefacile.com/ 1. M'amuser avec la photo numérique 2. Maîtriser l'Internet 3. Booster sa télévision 4. Dompter mon ordinateur 5. Profiter de ma musique et du son 6. Tout savoir sur la mobilité et la téléphonie

ressources pour les sciences du numérique

une définition du numérique très technologique sur Pixees où numérique = informatique [https://pixees.fr/?p=3929][1] [1]: https://pixees.fr/?p=3929

ressources pour les sciences du numérique

Merci pour votre piste, qui me fait rebondir sur celles-ci ! Le numérique au service de l'humain : http://www.liberation.fr/debats/2014/12/04/le-mythe-de-l-humain-augmente_1152902 http://photo.capital.fr/les-coulisses-de-la-nouvelle-usine-bmw-3782

ressources pour les sciences du numérique

Voici une vidéo sur **les nouveaux devices et nouveaux usages médiatiques** proposée dans le cadre du Mooc Transmedia storytelling . je trouve que les propos de Arnaud Hacquin sont interéssants pour la réflexion sur les nouveaux usages : http://usp-05.dmcloud.net/528c9b8006361d1b6ac8a192/52e59d5394739914ebb156e5/mp4_h264_aac-1390780001.mp4?e=1422637295&st=H7YWhqKZZDaDQY42xgPGIw

une journée sans numérique?

Communiquer c'est échanger, partager, suggérer, transmettre et recevoir bref c'est donner un sens à la vie.Le numérique étant un outil par excellence de la communication, pourrait on passer une journée lui? Je dis tout suite non car cet outil vu l'importance de la communication dans le monde , sa disparition ne serait ce qu'une journée bascule l'univers .

Le numérique et mon ressenti quotidien

Sur un plan professionnel : Un super moyen de communiquer plus simple, plus rapide, plus sûr aussi. Pour ne parler que du courrier électronique c'est un formidable outil de mémorisation. Une banque à données. On peut remonter très facilement le temps et on ne perd rien. On a également l'impression d'être plus acteur de ses messages il y aurait parfois un aspect plus intéressant pour la forme qui devient de plus en plus soignée et lisible il me semble. Pour mon utilisation privée : J'utilise Tweeter pour l'information et je lis (regarde) les journaux en ligne. J'utilise les moteurs de recherche et fais de la veille. Le tout sur un mode ludique mais m’imprègne de l'information (un peu trop) dans les domaines qui m’intéresse. La ressource est inépuisable c'est ce qui fait que l'on arrive jamais à satiété. C'est l'aspect dévoreur de temps.

Num-oi-érique ?

Bonjour, Inclusion du numérique dans nos quotidiens ? Numérisation du moi ? Cela me fait penser - en filigrane bien entendu - au cyberfilm Matrix, sorti en 1999, qui avait fortement marqué mon esprit. Voici un extrait du lien que je vous propose de consulter à ce sujet. *Nous vous l’avions bien dit, ça devait arriver : à force de produire des machines pour vous servir, vous êtes devenus vous-mêmes les esclaves de vos instruments.* Patrice Maniglier, Mécanopolis, Cité de l’avenir. Source : http://archive.today/5zFpR Je garde à l'esprit que la technologie - souvent très utile, dont sont issus les outils numériques - doit rester à mon service et fais en sorte que cela demeure ainsi en y remédiant le cas échéant avec conviction, naviguant dans l'incertitude du quotidien. Mathéa

Mes usages du numérique : FACEBOOK

Bonjour, Je voulais partager avec vous mon expérience de l'usage du numérique et plus particulièrement du réseau social Facebook... Il y a 2 mois j'ai décidé de clôturer mon compte Facebook, pour voir comment ma vie changerait... Les appels téléphoniques se sont faits plus intensifs pour contacter les amis que j'avais sur Facebook. Mes rencontres en réel se sont intensifiées puisqu'au lieu de rester devant mon ordinateur à attendre que quelqu'un daigne m'envoyer un message, je me suis déplacé pour aller chez les personnes. Il faut dire que j'utilisais massivement Facebook mais à vrai dire je n'optimisais pas le temps passé dessus : le nombre d'activités différentes qu'on peut faire incite à rester des heures devant le PC ! J'utilisais également l'application Smartphone avec la Messagerie Facebook... Quelques mois donc après ma déconnexion, je me suis réabonné à Facebook !! Je n'ai pas réinstallé l'application Smartphone pour être "libre" à l'extérieur de chez moi et profiter agréablement des gens que je rencontre. Je me limite à consulter les notifications et à poster un ou deux messages sans être constamment connecté au site. Après la découverte de tout ce qu'on peut faire avec ce réseau social et suite à mon désabonnement et mon réabonnement, je sais maintenant ce que je souhaite faire de cet espace ouvert sur les autres et sur le monde... Parfois il faut se recentrer sur soi-même pour découvrir le monde autrement. Bonne journée !

Moi et le numérique

Un super outil qui me permet de faire du télétravail, de la classe inversée, de l'interaction et de la formation modulable, etc...Par compte je pense que nous avons un problème d'usage du numérique dans notre société et particulièrement au niveau professionnel ou nous sommes dans le toujours plus: le numérique le permet mais pas notre être. Nous ne pouvons nous adapter au rythme de la machine et la machine doit rester un outil adaptable a nous...

Semaine 2 / Défi - sevrage numérique

challenge sans ecran 10 jours

le groupe de travail auquel je participe envisage de faire ce challenge comme d'autres l'ont fait afin d'observer les résultats même si nous sommes conscients que toutes les famille de l'école ne participeront pas par manque de disponibilité,(pour occuper les enfants autrement)par facilité (car cela nécessitera de refuser les demandes d'utilisation "juste pour quelques minutes!!!"

challenge sans ecran 10 jours

sans téléphone..ça voudrais dire qu'il faudrait que je retrouve une montre, un agenda.....impossible!!!

pas de numérique pendant 7 jours(et nuits)

une semaine de numérique remplacée par une semaine de tourisme sans écran,le portable retrouvant sa fonction premiere messagerie sans courriel;trés bonne semaine!

pas de numérique pendant 7 jours(et nuits)

Je suis en vacances maintenant et je n'ai que mon portable. Tous les deux ou trois jours je me connecte deux ou trois heures avec la PC de l'hotel. Extra!! Pas de stress

pas de numérique pendant 7 jours(et nuits)

Est-ce que les vrais vacances, aujourd'hui, ce n'est pas ça? Ne plus utiliser Internet? Guillaume

pas de numérique pendant 7 jours(et nuits)

Bonjour, Entièrement d'accord. Pour moi les vacances sont incompatibles avec un excès de numériques. Le plus souvent mon utilisation du numérique en vacance se limite à l'utilisation de l'appareil photo numérique et aux photos rapatriées sur un disque dur externe pour faire de la place pour les photos du lendemain... Avec un minimum d'organisation, j'arrive très bien à vivre sans téléphone portable et sans internet.

pas de numérique pendant 7 jours(et nuits)

Je me passe très bien de l'ordinateur/internet pendant une semaine de vacances. Je préfère passer mes journées de vacances (le numérique étant déjà présent au travail) à voir de vraies choses que de passer mon temps les yeux sur un écran. Vie réelle/vie virtuelle?

Déjà fait mais pas tout à fait

Je me suis plusieurs fois centrer entièrement sur mon activité durant quelques heures ou une semaine, lors de stages d'expression ou de yoga, pendant des voyages plus longs pendant lesquels je n'ai pas de téléphone ni d'accès au net. Ce que je n'ai pas expérimenté en revanche c'est interrompre toutes activités à distance une journée quelconque, sans raison apparente extérieure d'être couper du monde, car c'est de cela dont il est question ?

Déjà fait mais pas tout à fait

Bonjour, Oui, c'est ça dont il est question. arrêter sans autre raison que voir ce que ça fait d’arrêter. Mais si vous avez réussi a vous en passer plusieurs semaines sans problème, a priori ce ne sera pas un souci pour vous. Guillaume

le dimanche

Travaillant quotidiennement avec des outils numériques, je vais faire ça un dimanche ou un samedi...

Mission accomplie ?

2 derniers jours sans ordinateur (facile) mais pas sans téléphone (impossible). - pour le premier point visite de la famille oblige (la vie remplace la machine) - pour le deuxième point utilisation de sms, gps et recherche d'horaires (indispensable smartphone)

difficile mais possible

Bonjour, Pour tenter, il faut choisir un jour sans travail car impératif en semaine ! Donc je vais essayer dimanche ! Et vous ?

difficile mais possible

pour ma part , je peux couper plusieurs jours ce que j'appel de l'écran. mais seulement le récréatif. souvent , je profite de mon weekend pour répondre à mes proches, à dessiner, à écouter de la musique, faire avancé mon site internet de mon club de sport , MOOC et moult choses qui ne peuvent pas trop attendre. bref du travail. mais pas de réseau social, surf, jeux et autres futilité je fait la part des choses entre le loisir et le travail

Oui, possible et souhaitable

Oui j'ai déjà fait. 1 semaine. Et c'est souhaitable à faire. C'est comme de faire une semaine sans voiture. On découvre des choses. Du coup je n'ai plus de voiture du tout. Est-ce que un jour je me passerai d'internet ?

Ok

Dans la mesure où je n'utilise pas les outils numériques au quotidien, je peux répondre à ce défi. Mathéa

Ok

cela m'arrive régulièrement de ne pas utiliser l'ordinateur (donc internet) pendant plusieurs jours. mon mobile n'étant pas un smartphone je ne fais qu'envoyer des sms et encore. je trouve cela tout à fait bénéfique pour moi-même et l'entourage. Cependant j'ai remarqué que si l'on ne répond pas à un mail personnel rapidement, les gens ont tendance à vous appeler pour savoir pourquoi on a pas répondu.(panne d'internet, maladie ou vacances ?)

Ok

Bonjour Mathéa, Je ne pourrais pas faire ce défi avec vous, pour des raisons étudiantes et professionnelles. Mais je vous souhaite bon courage. Guillaume

demain

J arrête !

demain

Je promets, c'est mon dernier message.

journée sans numérique possible

oui, c'est possible. En vacances en France ou à l'étranger pas de problème, seuls quelques sms aux proches. Faisable également lors de sorties.

journée sans numérique possible

Oui je suis d'accord, pour moi en dehors de chez moi, très facilement faisable, par contre en restant chez moi toute la journée, dur dur. Y'a forcément un moment ou je vais m'ennuyer à mort (même si j'ai des tas de trucs à faire) et je vais finir par craquer, même si c'est pour aller voir un mail ou par exemple, consulter le mooc :p !

défi 10 jours sans écrans

Ce défi existe depuis 2003 au Quebec à l'initiative de jacques Brodeur. Des écoles d'Alsace et de Bretagne l'ont relevé en 2013 et 2014 [educapax][1] [descriptif][2] [1]: http://www.edupax.org/ [2]: http://www.wixxmag.ca/articles/defi-10-jours-sans-ecrans-prets-a-fermer-le-televiseur-1

défi 10 jours sans écrans

On demande à nos jeunes de passer 10 jours sans écrans, mais je ne suis pas sur que je pourrais moi-même le faire!

défi 10 jours sans écrans

j'ai voulu signaler cette initiative qui témoigne d'une inquiétude face à l'augmentation croissante du temps passé par les enfants devant les écrans A voir aussi la retransmission de ce colloque. https://www.youtube.com/playlist?list=PLRqu-h5SEHd-A3NjkfHfj4wAd2cNxb7rB

Est-ce que se poser cette question fait sens dans la société actuelle ?

Poser la question sur un Mooc qui de plus nommé Mooc @DDICT est quelque peut cocasse voir utopique. Ma réponse je la collerai volontiers sur mon carnet à spiral mais comme je suis en sevrage technique vous n'en aurai pas la primeur.

faisable

Plus évident hors de chez moi, car je n'ai pas de smartphone ou autre. Je peux recevoir quand même des coups de fil, et des sms... En vacances, j'essaie quand même de trouver un ordi, surtout au début ! après, c'est comme le tabac, l'envie s'estompe.

un jour en montagne

Impossible de laisser totalement de côté tous les outils car en montagne un smarphone ça aide à savoir où on est mais mis à part la vérification de ma position, une journée en pleine nature, sans pc, tablette, sans sollicitation (mails auxquels il faut répondre), sans jeux, c'est possible... jusqu'au retour...:)

un jour en montagne

Une carte ça peut aider aussi, même s'il n'y a pas le GPS, et puis sa batterie ne se vide pas.

Quel défit?

Parler d'une journée sans le numérique pour moi est illusoire pour le monde dans lequel on vit. mais individuellement, ce défit est possible surtout en ce qui concerne la réduction du numérique.Mais le monde ne peut pas se passer du numérique

Outils

Passer une journée sans toucher à internet ou allumer un écran est simple pour moi. Lorsque je me déplace je ne predns jamais d'ordinateur. Juste mon smartphone pour rester joignable et il ne me sert qu'à communiquer ou envoyer des SMS. N'étant pas un fanatique de télévision cela ne me prive pas. Il m'arrive de passer des jours sans regarder un écran ou me connecter et cela ne me pose aucun problème et j'en suis même ravi.

intérêt ?

Pour moi la question ne fait pas plus sens que de passer une journée sans électricité, ou sans eau courante, ou sans voiture, ou sans sel. Quand je pars en vacances je limite mes connexions d'une part par la disponibilité des réseaux wifi, et d'autre part par la médiocre performance de mon ordinateur de voyage qui est tellement lent que la connexion est une torture. Le seul intérêt du défi serait de révéler toutes les informations que l'on est maintenant habitué à trouver par internet, et les complications qui sont créées artificiellement par son absence (par exemple aller jusqu'à la gare pour réserver un billet de train... )

intérêt ?

tu as raison

les applis de déconnexion

http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2014/10/31/surconnexion-est-question-sociale-serait-temps-sen-preoccuper-255769 un article qui pointe les paradoxes des applis d'aide à la déconnexion

les applis de déconnexion

très intéressant cet article, la problèmatique se pose chez les salariés Google aux états unis les salariés vivent au sein de l'entreprise où ils ont accès à tous les services possibles mais sont quasi asservis à leur employeurs en revanche en France le droit du travail étant ce qu'il est Google n'autorise personne à envoyer des mails pro après la sortie du travail sous peine de risque d'accusation de travail dissimulé

Comme une journée sans vêtement ...

Si je peux limiter ma consommation numérique, je me vois mal la supprimer totalement, même pour une journée. Une journée de vacances, à la limite pourquoi pas. Je la considérerai comme une journée gâchée, mais bon ... En revanche, une journée "normale" me semble hors du domaine du possible.

une journée sans numérique

Oui c'est possible a titre individuel comme quand vous décidez de partir sur une île déserte. Ensuite, il faut une prise de conscience collective du bon usage du numérique. Par exemple, certaines entreprises ont délibérément choisi le zéro mail et ça fonctionne. Effectivement il faut éduquer a ce nouveau mode de vie afin qu'il nous garantisse notre liberté. Et la c'est pas gagne.

une journée sans numérique

Zéro mail, peut-être, mais les entreprises qui font ça proposent d'autres modes de communication numériques, via une GED ou un RSE par exemple. Enfin, je suppose qu'elles ne proposent pas de revenir aux notes papier photocopiées en n exemplaires et envoyées aux n destinataires via le courrier interne.

une journée sans numérique

Bonjour! Afin de nourrir ma curiosité, qu'est-ce qu'une GED et un RSE? Cordialement, Stéphanie

une journée sans numérique

GED : Gestion Electronique des Documents RSE : Réseau Social d'Entreprise

une journée sans numérique

Merci!

le sens?

Le numérique fait partie de notre quotidien au travail c'est un outil de rapidité ..à la maison recherche du coté pratique peux t on parler d'addiction quand l'utilisation du numérisation est purement de notre temps c'est peut être plus sur des jeux en ligne ,des forums et pourquoi pas une addiction aux MOCC tout peut être addictif au Niveau du contenu

le sens?

pour ceux qui travail la dessus parfois pour eux ce n' est pas l' addict mais une corvée,

Débranchez!

http://www.courrierinternational.com/article/2014/12/31/en-2015-debranchez

Peut-on encore aimer Internet?

Entretien d'Antonio Casilli avec le rédacteur en chef de Rue 89 : peut-on encore aimer Internet ? - http://bit.ly/1D7c9s2

dependance internet

je pense q u il est impossible de se passer du net une journee c est comme si c est devenu vital meme si on n y pense pas la journee il suffit de voir un ordi on replonge

dependance internet

Moi je peux le faire, mais pas possible quand je vais travailler, mon employeur ne comprendrait pas. Je le fais en vacances, là où il n'y a pas de réseaux corrects, où c'est trop énervant d'attendre que ça charge. Et j'aime bien. Ca permet de penser à autre chose, de prendre le temps et de trier ce qui est vraiment important pour voir si ça vaut le coup d'y passer du temps, temps que j'économise avec internet.

dependance internet

Aucun problème de ce côté là, je suis tellement déconnectée qu'il m'arrive de passer quinze jours sans allumer l'ordinateur lorsque je suis en vacances... Mais effectivement, si sur mon lieu de travail j'annoncais : "Je ne touche pas à l'ordinateur", je deviens rapidement chomeuse !!!

dependance internet

c' est facile va jouer au foot, puis au KFC et puis au cinema

Semaine 2 / Webinaire

Evènement majeur

Bonjour, Ma question est globale. Que deviendront les millions d'utilisateurs du numérique par exemple en cas de - coupure d'électricité géante et prolongée - tempête solaire qui va perturber les communications ??? Tous les addicts seront privés de leur "doudou" numérique et devront intégrer totalement leur "identité réelle" !!!

Qjese

Bonjour, voici quelques questions que j'aimerais poser aux spécialistes: -Quels types de thérapies, de prise en charge sont proposées aux personnes addictes à internet? -Est-ce qu'il y a une augmentation de ce type d’addiction? -Quelles sont les nouvelles pistes de recherches en 2015 dans le domaine des addictions?

Qjese

A mon sens, les psychothérapies qui sont actuellement utilisées dans le cadre des addictions fonctionnent tout aussi bien pour une addiction aux jeux vidéo. Il y a quelques tentatives pour développer des programmes spécifiques, mais l'aspect de répétition à l'usage de l'écran n'est souvent qu'une des facettes du motif de consultation. Pour la 2e question, je ne pense pas qu'on soit en présence d'une augmentation importante, mais plutôt que plus les JV se développent, plus il est possible de rencontrer ce type d'usage d'excessif, et rarement d'addiction. Pour la 3e, nous y travaillons en ce moment !!!

pathologisation ?

j'ai été surprise du discours de la sociologue, que j'ai trouvé en fait très pathologisant par rapport au numérique. Quand elle dit que les personnes qu'elle rencontre pour parler du numérique "vont bien" car "ils ont peur de tomber malade et donc contrôlent leur consommation", je suis doublement choquée. D'une part, le mot 'tomber malade' me choque. Il y a pour moi une différence entre addiction (besoin irrépressible) et maladie (le corps 'tombe en panne'). Je sais qu'on peut attraper de jolies tendinites en cliquant trop sur la souris, je pense que la crainte ici est plus proche du mental. D'autre part, une consommation de quelque substance que ce soit (internet, nourriture, alcool etc) où le contrôle devient prépondérant, si elle peut limiter les dommages physiques et le temps passer à l'activité ne me semble pas très positive pour la personne concernée. Cela me fait penser à quelqu'un qui ne serait pas en surpoids, mais aurait peur de grossir, et gèrerait tous ses repas en fonction de cela, sans plus s'octroyer de plaisir dans la nourriture. Les propos tenus me font penser à un tel contrôle qu'il en deviendrait lui même une souffrance.

pathologisation ?

L'addiction est une maladie qui ne se limite pas à des besoins irrésistibles elle est plus complexe je pense

pathologisation ?

Bonjour, Oui la maladie est sûrement complexe mais je ne pense pas que ce soit la question ici. Ce que je comprend du message initial c'est qu'on se retrouve peut-être avec des gens non-addict mais qui ont tellement peur de le devenir (à cause d'un environnement anxiogène par exemple) qu'ils finissent pas avoir un comportement négatif pour eux-même en se contrôlant trop (je trouve le parallèle avec le surpoids très explicite :)). Du coup, est-ce qu'il ne faut pas faire attention aux messages que l'on fait passer pour ne pas trop augmenter l'anxiété des gens face au numérique ? Bonne journée, Angéla

pathologisation ?

Le parallèle avec la nourriture me semble très juste . Une perception anxieuse des messages de prévention en lien avec une alimentation saine peuvent conduire à une orthorexie alimentaire, un besoin de contrôle compulsif. je crois que ce n est pas encore qualifié de pathologique . Ce type de comportement peut sûrement s appliquer à l usage du numérique . En terme de responsabilité : le message ? Le récepteur du message ? L emmeteur ? Je ne vois pas une réponse simple à cette question.

pathologisation ?

Angéla, vous avez tout à fait bien transcrit ma pensée