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Semaine 1 / 3.1 Rôle de l'outil numérique

Vivre dans un monde virtuel est valorisé

L'addiction au numérique ne me semble pas associé à la drogue. Le besoin de resté connecté semble un besoin vital, une sorte d'oxygène.Ce besoin est plus insidieux, car être connecté est valorisé par notre société. On n'ingère pas de substance nocive. La bascule vers l'addiction numérique se révèle quand la personne n'est plus en contact avec son environnement direct, mais vit totalement dans son monde virtuel.Un exemple de film qui en fait l'apologie : Matrix.

L'outil et l'humain

L'outil numérique reste un outil au même titre que les cartes à jouer sont un outil. Ce qui plonge l'utilisateur dans l'addiction est la charge émotionnelle qui est déclenchée par l'usage de cet outil. Ainsi, l'outil numérique peut être un vecteur de ces charges émotionnelles mais aussi un vecteur d'apprentissage et donc de prise en charge de l'addiction.

L'outil comme moyen

Comme n'importe quel outil, le numérique est un médiateur entre le sujet et son objet. Sa valeur dépend donc de l'usage qu'on en fait. La réponse à la première question semble donc asse évidente. la puissance de cet outil démultiplie les possibilités offertes d'accès à l'objet. Je n'ai pas vraiment étudié la question, mais les nombreux sites proposant des jeux en ligne doivent faciliter l'addiction au jeu. Existe-t-il des sites proposant des drogues ? J'en doute un peu... En revanche comment cet outil pourrait-il permettre de se dégager d'une addiction est une question plus délicate. En ce qui me concerne, je dirai oui également. Si l'addiction est un moyen de se détourner de la réalité, le numérique m'apparaît tout autant comme un moyen d'y revenir.

L'outil comme moyen

On trouve tout sur internet, drogues, armes ... Le réseau Tor (l'oignon) permet(tait ?) l'anonymat. Voir [les sites de vente illégaux se professionnalisent][1] [1]: http://www.lemonde.fr/pixels/article/2014/09/23/drogues-armes-les-sites-de-vente-illegaux-se-professionnalisent_4492592_4408996.html

L'outil numérique un moyen pas une fin

L'erreur est je pense de penser l'outil numérique comme une fin et non comme un moyen.Tant que l'outil numérique, le téléphone, les réseaux sociaux, ... reste l'interface entre 2 humain, associé donc à une réfléxion, à un message, ... je pense qu'il peut être un support. Si l'outil numérique est utilisé comme une fin en soit (avoir xxx amis sur facebook comme objectif, xxx follower twitter, devenir populaire sur instagramm, ...) il va aloir devenir source d'addiction, ou du moins de comportements bizarres. Je ne pense pas que l'outil numérique puisse être unsupport autre que préventif (diffusion de message) pour l'addiction aux drogues. Et encore pour le préventif ce n'est meme pas sure. Car nous sommes rompues aux messages publicitaires, aux campagnes de communication. Pour moi seul l'accompagnement humain peut aider.

addiction echappatoire

l internet a multitudes de sites incitatifs a developper une dependance aux drogues images clips videos qui envoient des messages subliminaux comme pour les publicites on est subjuge nombre de personne qui nont jamais consomme qui passent a la realite en fumant. pour fuir la realite internet est refuge pour etre une autre personne

addiction echappatoire

L'anonymat est la meilleure et la pire des choses (notamment pour les addictions). Au début circulait l'adage [«sur l'Internet, personne ne sait que tu es un chien»][1]. C'était la phase 2 de l'internet qui était un espoir de partage et d'accès à la connaissance pour tous. C'était avant google, l'addict à nos données. [1]: http://fr.wikipedia.org/wiki/On_the_Internet,_nobody_knows_you%27re_a_dog

Jeu informatique et alcool

C'est quasi toujours avec la bouteille de bière que mon époux joue à son maudit jeu informatique ! Pris par le jeu, il ne se rend plus compte qu'il boit de l'alcool, et pris par l'alcool, il ne mesure pas son jeu. Les limites ont été posées maintes fois, en couple, mais elles sont tombées comme la foudre peut arracher des panneaux de signalisation !

outil numérique et addiction?

Il me semble que le numérique a favoriser certaines certaines addictions notamment celles des jeux d'argent, site de poker...., le joeur devient anonyme et peux désormais jouer sans même sortir de chez lui.

outil numérique et addiction?

Par ailleurs en plus des "addictions notamment celles des jeux d'argent, site de poker", on peut ajouter l'achat d'alcool, de drogues en lignes qui permettent aux plus dépendants de se faire directement livrer chez eux, sans avoir à se déplacer.

’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ?

non je ne pense pas .. on peut effectivement remplacer une addiction par une autre moins nuisible mais c'est un travail psy qu'il faut faire pour identifier comprendre et résoudre son problème et son rapport à l'objet

’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ?

Et un psy en ligne ? Par vidéo ? La caméra en face du divan à la maison ? Avec un paiement en ligne, évidemment !

’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ?

moi je pensais aux serious game . il doit bien exister des initiatives soit dans le cadre de la prévention soit pour le traitement d'addictions comportementales ou non. Est-ce que quelqu'un a des infos à ce sujet ?

’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ?

voici le lien du site d'une psychologue spécialisée dans les jeux vidéo, les usages numériques et leurs impacts (thérapeutiques, cognitifs et pédagogiques).http://vanessalalo.com

l'endroit et l'envers...

Bonjour à tous, Comme pour beaucoup de choses, l'apparition de nouveaux outils peut revêtir à la fois un progrès mais, dans l'envers du décor, montrer des côtés pervertis.... Il me semble que l'outil numérique, déjà en lui-même peut créer une addiction (aux écrans) mais aussi donner une facilité d'accès à certains produits, médicaments, drogues illégales... A l'inverse, certaines personnes en souffrance peuvent obtenir des informations, des soutiens, accéder à des forums pour discuter avec d'autres personnes rencontrant des problèmes similaires, avec d'autres qui s'en sont sortis... Je crois que comme beaucoup d'outils, il est important de le comprendre, de prévenir les enfants sur ses mauvais côtés, mais ne pas diaboliser... La difficulté de la génération précédente et la génération suivante, c'est que c'est cette dernière qui maîtrise le mieux l'outil, rendant parfois les parents impuissants et les enfants seuls...

facilitateur le numérique ?

ouiiiiiiiii car c'est nouveau, jamais fini, sans fin ...facile ...et souvent dans l'illusion par ailleurs: c'est une mine de renseignements, pour qui est curieux ce sont des connaissances à porter de tous mais si on a un penchant pour l'addiction est ce que le support importe ???

facilitateur le numérique ?

De mon point de vue, le support n'est pas neutre. Par exemple, sur internet, on trouvera toujours des interlocuteurs ou des compétiteurs en ligne pour les jeux. En présentiel, quand nos copains sont fatigués, ils nous laissent, et on va aussi se coucher parce que cette pause bénéfique nous a permis de prendre conscience que ouais, nous aussi on est crevé.

Etre ou ne pas être?

le numérique permet de realiser des achats sans sortit, personne ne voit, personne ne sait et de jour en jour on devient addict. le numérique permet aussi de sortit de chez soi pour découvrir d 'autres vies, d'autres mondes, personne ne voit , on devient addict. est ce que l 'addiction n 'est pas une création de la société pour augmenter la consommation sans en avoir l 'air.

Etre ou ne pas être?

Je ne pense pas que l'addiction soit une création volontaire de la société, mais plutôt le symptôme de certains de ses dysfonctionnements. L'addiction à grande échelle, ça risque de lui coûter cher en soins médicaux à la société, elle ne va pas sciemment la provoquer pour perdre le bénéfice de l'éventuelle augmentation de la consommation (et donc de la fameuse croissance tant désirée).

et le plaisir

Tout le monde parle d'addiction mais si il y a addiction il y a plaisir, j'ai commencé l'informatique à 40 ans et internet en bas débit aussitôt. Quel plaisir de maitriser ces nouveaux outils. 17 ans après je reste accroc à internet parce que je me fait plaisir, avant internet je lisais beaucoup. En tout cas sans plaisir il n'y a pas d'addiction.

et le plaisir

Dans addiction, il y a une notion de souffrance, non ? D'une recherche d'un plaisir qui n'est jamais totalement assouvi au point qu'on ne peut pas décrocher, même pour répondre à des besoins vitaux (manger pour l'alcoolique, dormir pour l'acccro d'écran,...)

oui aux deux points

Le web est décomplexé, tout le monde s'y exprime sur tous les sujets. Cachés derrière les écrans les individus peuvent "dire" tout ce qui ne serait pas possible au quotidien. On peut imaginer que quelqu'un qui serait tenté d'essayer une drogue, un produit ne pourrait peut être pas le faire ou alors en petite quantité s'il se fournit dans son environnement habituel. le net lui est un immense marché vendant de tout, ne se préoccupant pas de morale... il est alors tentant d'essayer, puis d'y retourner, d'essayer plus fort ou plus longtemps et installer alors une addiction qui n'aurait peut être pu être réalisée sans internet. Dans le cas du jeu en ligne par exemple, la mondialisation du net fait que quels que soient l'heure du jour ou de la nuit, il y a toujours quelqu'un prêt à jouer. Cela a donc une influence très forte sur le comportement, il devient facile de jouer sans arrêt alors que sans cette possibilité, le joueur devrait trouver des partenaires dans son fuseau horaire et disponibles quand lui le souhaite. Mais lorsque l'esclavage de l'addiction est perçue par l'esclave, qu'il souhaite s'en guérir, s'en extirper, s'en sauver, le net apporte aussi une aide importante (échanges avec d'autres personnes souffrant des mêmes addictions, aide médicale, comportementale, informations sur ce qu'est l'addiction, conseils pour s'en sortir..)Le souhait/besoin de s'en sortir et tout simplement la possibilité (témoignages de personnes ayant réussi à guérir) sont aussi des facteurs qui peuvent aider l'addict. Il me paraît quand même un peu osé de doter un outil numérique d'un pouvoir aussi grand que celui de pouvoir provoquer ou guérir des addictions... Ce n'est -à mon avis - pas l'outil qui a ce pouvoir mais son MESUSAGE .

oui aux deux points

Je me répète, mais je pense vraiment que l'outil n'est pas neutre, qu'il a du pouvoir en soi, et que c'est pour ça qu'on parle de "révolution numérique", car les outils créent aussi les usages et non plus uniquement l'inverse.

oui aux deux points

bjr;**-Internet n'est pas qu'un outil,c'est au moins un animal-** ,c'est vivant puisque tout de suite sur Internet il y a du monde ,beaucoup de monde ,bienveillant ou non .

Une mise en lumière du phénomène

Les addictions existaient avant les outils numériques, mais peut-être étaient-elles tout simplement moins relayées et visibles. Comme tout outil, le numérique est à double tranchant : pour certains, ça enfoncera une porte ouverte, pour d'autres, cela servira de tremplin pour décrocher. Facebook n'a pas rendu les gens addicts au "Me, Myself and I" - celui-ci existait déjà mais a trouvé une amplification grâce à ce nouveau comportement en ligne. WoW n'a pas rendu les gens addicts aux jeux, mais il a certainement contribué à assouvir un besoin chez certains, qui se sont enfermés dedans (et je parle en connaissance de cause). Certains addicts dans la vie "réelle" trouvent du soutien grâce aux différents forums et arrivent à s'extirper de leur addiction (fumeurs, etc).

Le numérique, un mal nécessaire

Le numérique avec ses nombreuses prouesses fait l'objet d'une admiration objective de nos jours.les termes développement et le numérique sont intimement liés et ne peuvent pas être dissociés.or loin d’être un outils totalement positif pour l'existence, il offre de nombreuses toutes autres possibilités qui déciment l'humanité,notamment le commerce des drogues illégales , des informations sur un apparent effet positif lié à leur consommation ect

Le numérique, un mal nécessaire

Oui, sur Internet on trouve malheureusement beaucoup d'inépties, de bêtises et de désinformation, que n'importe qui peut trouver et croire. Et quand on lit les commentaires d'actualité ou de n'importe quel autre chose, ça fait parfois peur...

facilitant

l'outil numérique est facilitant pour certaines addictions, aux jeux ou au sexe par exemple. En revanche, nous participons tous actuellement à l'inverse, c'est un moyen collaboratif de réflexion, de discussion sur ce sujet, et c'est le côté préventif de l'outil numérique .

L'activité cérébrale du cerveau

Il serait intéressant de parler un peu du corps humain, et qu'elles sont les parties les plus influençables et manipulables, je parle bien entendu du cerveau. Le cerveau est sensible à un certains types d'ondes transmisent par nos différents appareils digitaux, y compris la télé, la radio. Ces ondes facilitent et imprègent notre cerveau qui se transforme extrêmement facilement en une éponge qui absorbe, et absorbe... ce cerveau s'endort et cela diminue notre mode de réflexion et de pensée. Voir comment les médias peuvent influencer l'opinion publique. Ceci est mon avis personnel... je ne suis pas psy et pas envie de la devenir lol

A quelle fin?

le numérique n'est pas négatif en soi, c'est la façon dont il est employé (actif ou passif) et son taux d'utilisation et à quel fin?

A quelle fin?

quel que soit le moyen on peut tomber dans l'addiction tout est question d'auto modération je ne pense pas que le numérique soit plus addictif qu'un autre outil

Numérique et addiction => TV Lobotomie

http://youtu.be/NvMNf0Po1wY Je vous renvoie à la conférence de Michel Desmurget sur les effets néfastes de la télévision. On pourrait y faire un parallèle avec les écrans d'ordi... Pas tous, mais quand même...

Numérique et addiction => TV Lobotomie

Merci. Oui, il est clair que la télévision dans son usage actuel est globalement nocive, toutes les recherches scientifiques concordent. Oui on pourrait faire un parallèle avec des écrans d'ordi. Face à l'ordi on est quand même plus actif mais on est quand même bien "exploité". On peut aussi considérer que Google et Facebook (par exemples) vendent (entre autre) "du temps de cerveau à Coca Cola"... Tous les moyens sont bons et le combat pour que le numérique ne devienne pas aussi lamentable que la plus grande partie des chaines de télé n'est pas gagné, loin de là! Ce sera un des sujets de la semaine 5...

le numérique un facilitateur des addictions ?

Les réseaux sociaux permettent clairement de se procurer plus facilement de la drogue, le contact entre dealeur et consommateur est encore plus facile, plus besoin de se risquer dans des quartiers "haut les mains" pour trouver son produit. Maintenant il est même possible de se faire livrer presque légalement des drogues de synthèses directement à son domicile (merci M6). Pour les addictions comportementales, les addictions sexuels peuvent trouver toutes sortes de choses sur internet pour nourrir leur comportement (la première rechercher sur google est bien "sexe"...). Bien sûr internet permet aussi de discuter avec d'autres personnes qui ont pu se sortir d'une addiction, ou qui sont dans la même situation. Et ce soutient peut être bénéfique à l'addict... mais est-ce que la côté facilitateur ne prend pas le dessus sur cet aspect colaboratif de l'internet.

incidences du numérique sur des addictions

BSR,le numérique facilite l'accès ,l'anonymat (?),le nombre,donc amplifie une addiction .Mais aussi le retournement car on fait plus vite le tour de son désir ,donc on se lasse plus vite.

Le numérique, facilitateur ou support d'aide ?

Le numérique est surement un facilitateur de certaines addictions grâce à l'anonymat qu'il permet, à son ouverture sur le monde et sa face cachée (darknet, notamment). Cependant, je ne pense pas que le numérique ait entrainé une "révolution" dans le sens où les addictions existaient avant. Elles n'ont pas attendu. Elles étaient juste moins visibles. Est-ce que le numérique peut être un support pour se dégager de ses addictions ? Oui, surement également. Grâce à la quantité d'informations disponibles, d'une part. Et aussi grâce à l'anonymat, encore une fois. Il est plus facile d'en parler sur un forum derrière un pseudo que directement à sa famille. Ou de rentrer en contact avec d'anciens addicts, qui ont réussi à s'en sortir, sans se faire juger.

Sade s'est bien passé du WEB !

Y-a-t-il eu plus accro au sexe que Sade ? Je n'en suis pas sûr. Le WEB lui aurait-il permis d'aller encore plus loin ? J'en suis encore moins sûr.

Addiction = poison ou antidote ?

Il y a (...) un glissement intéressant du pharmakos humain au terme de pharmakon remède. En grec classique, le pharmakon signifie le poison et son antidote, le mal été son remède, et finalement toute substance capable d'exercer une action très favorable ou très défavorable selon les cas, les circonstances et les doses employées (médecine des semblables et des opposés d'Hippocrate). Le pharmakon est une drogue magique ambiguë dont les hommes ordinaires doivent laisser la manipulation à ceux qui jouissent de connaissances exceptionnelles, voire surnaturelles : prêtres, magiciens, chamans, médecins... Dans la nature on retrouve souvent le poison et son anti-dote , la ronce qui vous griffe les jambes à sang et le plantain plante des caniveaux qui mit sur la plaie la soigne, l'apaise et la cautérise. L'addiction amène : quatre types d’usage : · simple, · à risque (peut provoquer des accidents), · nocif (consommation répétée mais sans dépendance), · avec dépendance (impossible d’arrêter la consommation même en le voulant). Dans tout produit se pose la question de l'usage que j'en fait. Faut-il passer par la panne d'électricité ou le dijoncteur qui saute pour m'arrêter de compulser mon ordi ou smarphone ou bien mon seuil de fatigue me dit qu'il faut que j'appuie sur le bouton d'arrêt ou bien je le compulse en croisant les informations sur une encyclopédie ou une discussion avec un proche ou ami ? Est-ce que je peux comparer mon ou mes addictions : "jeux vidéos, apéritif, petite bière 5 à 6 fois par jour, tabac, 1 cigarette, 15 à 20 cigarette / jour , prise de cocaîne ou chanvre, course à pied de type marathon ou de type balade en forêt ? Est-ce que je suis conscient de l'état nocif que cela peut avoir sur mes organes, mon entourage (dispute, anxiété, agressivité ? Sommes-nous égaux face à l'addiction (sexe, morphologie, endurance, volonté ?) Est-ce que l'addiction créée forcément de l'isolement, une dénaturation du réel ?

Addiction = poison ou antidote ?

Vous évoquez le pharmakon, c'est une notion que Bernard Stiegler (un de nos invités du webinaire de la semaine 5) utilise souvent pour parler du numérique ! A suivre.

Addiction = poison ou antidote ?

Oui, très intéressant et moderne ce concept de pharmakon. Cela me fait penser à la citation de Paracelse "Tout est poison, rien n'est sans poison, seule la dose définit ce qui n'est pas poison".

Humain déterminant

En tant que moyen de communication, le net favorise le bon comme le mauvais. Je crois que ce qui est déterminant est plutôt la relation avec une personne en chair et en os.

L'Outil numérique un facilitateur d'addiction? L'Outil numérique support d'aide d'abandon des addictions comportementales?

L'Outil numérique un facilitateur d'addiction? Cette question est plus que d'actualité chez nous en Afrique avec le phénomène des brooteurs( hackers: des jeunes adolescents abandonnent les salles de classes pour escroquer les honnêtes citoyens a travers l'outil numérique. L'outil numérique contribue considérablement à l'apparition de nouvelles addiction et contribue au développement des anciennes addictions. L'Outil numérique support d'aide d'abandon des addictions comportementales? En quoi est ce que l'outil numérique peut amener un addict à abandonné son addiction? si j'ai bien compris la question. Vu que l'outil numérique facilite la diffusion des infos et la communication, il permet aux organes spécialises de faire leurs travaux auprès des addictions pour leur montrer le bien fondé des choses.

Outil numérique : ange ou démon ?

L’outil numérique n'est-il pas parfois facilitateur de certaines des addictions aux drogues (légales ou non) ou comportementales ? --*Dans la mesure où l'outil numérique est ouvert sur le monde, il me semble certainement facilitateur d'accès aux addictions.*-- A l’inverse, l’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ? --*Si l'addiction en question n'est pas soumise à l'utilisation de l'outil numérique, je pense que ce dernier peut tout à fait être un support aidant dans la gestion du comportement addictif*--

Outil numérique : ange ou démon ?

Bonjour, l'outil numérique peut effectivement être utilisé dans certaines thérapies, comme le font entre autres Michael Stora et Serge Tisseron, à la fois comme un support pour la parole ou en tant que médiation. Différents articles ont été écrits à ce sujet et notamment : "Ico, un conte de fée interactif" de Michael Stora ou encore "Rêve et réalité : une clinique du jeu vidéo comme médiation thérapeutique" du même auteur. Marine

Un outil

L'outil numérique est un outil. Tout outil peut être utilisé pour le meilleur ou pour le pire ! L'outil numérique favorise certainement le passage à l'acte impulsif dans certaines addictions (je pense particulièrement au jeu en ligne...) mais il est également un support pour sortir de certaines addictions. Les informations que j'ai trouvé sur internet concernant le difficile syndrome de sevrage que j'ai vécu m'ont aidée à tenir bon. Pouvoir également rencontrer sur des forums d'autres personnes ayant les mêmes difficultés peut être une aide. Tout est donc facilité ! L'addiction, la prise de conscience de l'addiction, le cheminement pour sortir de l'addiction...

Un outil

Le numérique est un outil oui, mais il est aussi un espace de "vie". En fait il est même composé de plusieurs espaces. Je ne crois pas qu'on puisse tellement considérer le numérique comme quelque chose d'unis. Par exemple, le jeu "seconde life" n'a rien à voir avec ce forum, si ce n'est qu'ils se trouvent derrière un écran. Ainsi, certains de ces espaces numériques ne peuvent-ils pas être piégeant en faisant croire aux individus qu'ils se trouvent dans un espace réel? Avec des vrais amis faisant des vraies choses? Ambre

Un outil

Je suis d'accord avec vos deux points de vue, l'outil numérique est bel et bien un outil pour se dégager ou entrer dans certaines addictions. Il faut donc l'utiliser à bon escient et ne pas négliger les discussions "physiques" avec des personnes de notre entourage mais pas forcément. Ce qui est malheureux pour les personnes issues de la génération internet (dont moi-même) est que l'on ne communique presque plus en "vrai". Beaucoup de débats, conversations passent par des réseaux sociaux ou des forums. On peut ainsi avoir les récits de gens ayant vécu la même chose que nous mais à 20 000 km. Ce n'est pas qu'une mauvaise chose mais on devrait plus se concentrer sur les personnes nous entourant avant de fuir dans notre bulle assez autistique qu'est notre cher petit ordi nous attendant le soir au chaud lorsque l'on rentre à la maison. Ophélie JOLY, étudiante en Neurosciences

Support facilitateur

**Pour moi, l'outil numérique est un support facilitateur à partir du moment où l'on ne contrôle plus sa navigation sur internet. Cela reste un support très sensible et à haut risque où chacun doit être en mesure de mesurer les risques que cela peut engendrer en fonction de l'utilisation de l'internaute.**

numérique et addiction

Le numérique peut tenir une place démesurée dans nos vies, mais de là à devenir une addiction c'est que l'usager se serait fait "déborder" par l'outil. C'est une question de mesure et d'enjeux. Toute addiction débute par le fait que le cerveau ressent du bien mais par lasuite, l'addiction est le fait d'avoir "sa dose" pour ne pas être mal. Le numérique est créateur de bien comme de mal. On ne peut pas être manichéen lorsque l'on parle de cet outil. Certaines personnes vont trouver de l'aide par le biais du net, d'autres n'y trouveront que des choses pour "se faire mal".

numérique et addiction

A la différence de la télévision, où, me semble-t-il, il n'y a pas de problématiques concernant l'addiction, le numérique, en tant qu'objet global et philosophique (car il ré-interroge complètement notre rapport aux autres et au monde dans tous les domaines), cristallise toutes les peurs, mais aussi toutes les idéologies. Le numérique, interroge toutes les sciences. C'est dans ce cadre que la psychologie, la psychanalyse, les neurosciences...forcément aussi; notamment par l'entrée "addiction".

numérique et addiction

un article sur l'addiction à la TV -http://www.quebecoislibre.org/020608-4.htm--

Et si l'outil numérique permettait d'avoir une vie complète ?

Bonjour, En ce qui me concerne je trouve beaucoup de réponses à mes questions existentielles sur Internet. De même, j'habite à l'étranger et je suis en contact avec mon environnement familial au quodidien malgré tout... Peut-être cela me sauve-t-il d'autres addictions ????

addiction ?

Le numérique a profondément intégré et modifié nos modes de vie et comportements , nous aurions des difficultés à nous en passer. A quel moment peut on parler d'addiction ?

Quatrième question

Je pense que l'outil informatique n'est ni facilitateur des autres addictions, ni support aidant à s'en dégager. Le numérique est devenu nécessaire pour pour toutes nos activités professionnelles et personnelles. Le numérique est aussi devenu, par ses nouveautés et son abondance non maîtrisable..

Quatrième question

enfin notre époque a besoin du numérique, il est trop tard pour les éviter. nos systèmes de communication est trop numérisés, l' économie en dépendent, trop tard pour faire marche en arrière, addicts ou non il faut faire avec

Outil numérique:ange ou démon?

L'outil numérique est ce que l'on en fait. Son usage peut-être une ressource prodigieuse pour trouver des informations pour par exemple se sortir d'une addiction (informations sur des lieux de soins,forums de personnes souffrant des mêmes addictions...). Mais il peut aussi faciliter une addiction par ces mêmes forums ou autres (par exemple une personnes souffrant de troubles alimentaires peut trouver des forums de pro ana* ou autre); *Pro ana=pro anorexique

Outil numérique:ange ou démon?

tous les outils quel-qu' il soient sont outils dans la mesure ou ils vous rendent services mais à la limites ou restent toujours des outils,

Outil numérique:ange ou démon?

Pour ce qui concerne les forums pro-ana, vous pouvez jeter un oeil à une étude d'Antonio Casilli, qui montre que cela peut à la fois faciliter l'addiction, mais aussi constituer un réseau d'entraite important. Voir par exemple http://www.anamia.fr/conference-anamia-antonio-a-casilli-le-pro-ana-ne-signifie-pas-la-fin-de-lintermediation-medicale/ : *Dans cette intervention, tenue lors de la journée d’étude Comprendre le phénomène pro-ana : corps, réseaux, alimentation qui a eu lieu, dans le cadre du projet ANR ANAMIA, au Petit Auditorium de la BNF (Bibliothèque Nationale de France, Paris) le 14 décembre 2012, Antonio Casilli analyse, en passant par des exemples récentes, les pratiques en ligne et les usages des internautes atteints de TCA. Trop souvent stigmatisés dans la presse comme des « anorexiques radicaux », les auteurs et lecteurs des sites Web ana et mia s’inscrivent en fait dans un « continuum d’usages », où des forum de discussion sur l’alimentation et des blogs personnels côtoient des communautés de patients, des plateformes de jeux vidéos, de portails de conseils de beauté et des médias généralistes. Donc, la sociabilité en ligne des internautes anamia n’est pas détachée des usages « non pathologiques ». Ce qui explique aussi comment les anorexiques et boulimiques soient capable de prendre en compte la présence des sites Web et des professionnels de santé, dans un effort de co-construction de l’intermédiation médicale.*

l'outil numérique, facilitateur d'addiction

L'outil numérique est, je pense, un facilitateur des addictions à des produits puisqu'il va permettre de s'en procurer voire de les découvrir. Les technologies d'information et de communication sont utilisées en permanence. Aussi il est aussi intéressant de se poser la question d'une addiction comportementale facilitée dans ce cadre.

Cadre

L'usage problématique d'Internet et des nouvelles technologies (communément appelé cyberdépendance dans la plupart de la documentation) se traduit donc par une utilisation des technologies ou des moyens de communications offerts par Internet qui engendrent des difficultés chez l'individu: le mode d'utilisation inadapté persistant d'Internet conduit à une souffrance ou une altération du fonctionnement. Le contact avec les adolescents présentant un usage problématique des jeux vidéo ou d’Internet nous révèle que tous ne présentent pas ces caractéristiques. Il semble que dans certaines situations, l'usage problématique d'Internet et des jeux vidéos soit plutôt à comprendre comme un symptôme parmi d’autres dans un contexte de troubles de l’adaptation (une adaptation difficile à un nouveau contexte de vie, par exemple des difficultés d’émancipation du nid familial à l’adolescence ou au début de l’âge adulte), ou en présence d’autres difficultés émotionnelles plus ou moins sévères (anxiété, dépression). Il importe donc d'utiliser une approche systémique en intervention auprès des adolescents représentant un problème d'usage problématique des jeux vidéos et d'Internet.

Cadre

un facilitateur, oui pour le progrès oui , il faut avancer dans notre recherche de la perfection, mais en arrivant sommes nous coupable d'usage abusifs de nos moyens, faut donc créer un autre moyen que le numérique pour pouvoir connaitre tout ce qu' on apprends par internet ce moyen la c' est une chose ou l'on ne pourra jamais addict? mais quoi?

Question 4

L'outil numérique est facilitateur pour les addictions aux drogues étant donné qu'il est tellement facile de se procurer les nouvelles drogues nommés RC. De même pour les addictions comportementales enfin celle en lien avec les jeux de hasard et d'argent via les casinos en ligne. Effectivement il peut être un support pour se dégager ou trouver des aides il suffit de voir que certains CSAPA mettent en place des web conférences pour aider soit le patient soit son entourage.

Question 4

Mais mieux vaut être accro à l'internet qu' alcool, au moins cela nous permet de se dégager de l' autre

Question 4

*L'outil numérique est facilitateur pour les addictions aux drogues étant donné qu'il est tellement facile de se procurer les nouvelles drogues nommés RC. De même pour les addictions comportementales enfin celle en lien avec les jeux de hasard et d'argent via les casinos en ligne.* Oui, tout à fait d'accord avec vous: on peut se procurer de nombreuses drogues facilement par internet. Par contre je ne sais pas ce que signifie RC... Pour les jeux de hasard et d'argent en ligne, il est prouvé scientifiquement que jouer en ligne est plus addictif que jouer au casino. *Effectivement il peut être un support pour se dégager ou trouver des aides il suffit de voir que certains CSAPA mettent en place des web conférences pour aider soit le patient soit son entourage.* Oui, là aussi je suis d'accord avec vous. Il y a aussi des associations d'entraide entre utilisateurs, par exemple pour les troubles du comportement alimentaire (anorexie ou boulimie)ou en matière de toxicomanie les forums des consommateurs qui ont essayé telle ou telle molécule vendue sur internet et qui donnent leur avis (dosage, danger, etc.) Ces associations orientent souvent les personnes en difficulté vers des centres spécialisés. Peut être aussi pour ceux qui ne connaissent pas préciser que CSAPA signifie Centre de Soin d'Accompagnement et de Prévention en Addictologie, ce sont les centres où l'on peut consulter si on est en grande difficulté avec une addiction, il y en a au moins un par département en France et c'est gratuit.

Question 4

"Research Chemicals", ""design drugs mais l'appellation la plus correcte et française est de parler de "NDS" (Nouvelles Drogues de Synthèse), des drogues qui lorsqu'elles sont identifiées sont immédiatement classées stupéfiant. Internet est aussi le vecteur du mode d'emploi, voire de l'apologie de la plus part des produits. Les stups, leurs effets y sont sublimés. Liberté d'expression, censure , que doit on faire sachant que les pays, au delà d'une définition commune (OMS) autour des drogues, ont cela dit une réglementation (voire une culture) différente tant vis à vis des produits que du web. Les CSAPA sont bien présents mais ont ils tous les moyens d'accomplir la très lourde tâche qu'on leur attribue? Au delà des nombreuses politiques de réduction des conduites à risques, des orientations, des aides, combien font le pas de s'y présenter et de se faire aider?? Lutter contre la dépendance, quelle qu'elle soit, c'est d'abord avoir conscience d'un besoin d'aide. Pas si simple, car il est plus facile de penser qu'il n'y a pas de problème ou qu'il est simple de s'en sortir. Vaste sujet...

le numérique pour le meilleur comme pour le pire!

Le numérique est sans doute facilitateur de l’addiction aux écrans (vidéo, jeux, réseaux sociaux,etc.). C’est bien pour cela que les experts comme Serge Tisseron recommande la règle des 3-6-9 incitant les parents à contrôler la durée d’accès aux écrans en fonction de l’âge des enfants. C’est sans aucun doute une question de bon sens : le bien-être réside dans l’équilibre des activités.

le numérique pour le meilleur comme pour le pire!

Mais que signifie au juste la règle « 3-6-9-12 » ? Rappelons la brièvement 1. Pas d’écran avant 3 ans, ou tout au moins les éviter le plus possible Parce que de nombreux travaux montrent que l’enfant de moins de trois ans ne gagne rien à la fréquentation des écrans [1]. 2. Pas de console de jeu portable avant 6 ans Aussitôt que les jeux numériques sont introduits dans la vie de l’enfant, ils accaparent toute son attention, et cela se fait évidemment aux dépens de ses autres activités. En outre, avant que l’enfant ne sache lire, les seuls jeux possibles sont sensori moteurs et basés sur la stéréotypie motrice [2]. 3. Pas d’Internet avant 9 ans, et Internet accompagné jusqu’à l’entrée en collège L’accompagnement des parents sur Internet n’est pas seulement destiné à éviter que l’enfant y soit confronté à des images difficilement supportables. Il doit lui permettre d’intégrer trois règles essentielles : tout ce que l’on y met peut tomber dans le domaine public, tout ce que l’on y met y restera éternellement, et tout ce que l’on y trouve est sujet à caution parce qu’il est impossible de savoir si c’est vrai ou si c’est faux. 4. Internet seul à partir de 12 ans, avec prudence Là encore, un accompagnement des parents est nécessaire. Il faut définir avec l’enfant des règles d’usage, convenir d’horaires prédéfinis de navigation, mettre en place un contrôle parental... 5. Une règle nécessaire, mais pas suffisante Enfin, si la règle « 3-6-9-12 » est nécessaire, elle n’est pas suffisante à elle seule. Cadrer le temps d’écran, et cela à tout âge, est essentiel. Entre 3 et 5 ans notamment, les enfants n’ont rien à gagner à passer plus d’une heure par jour devant un écran. Par ailleurs, ils doivent bénéficier d’une éducation qui leur permette de comprendre les conditions de production des divers médias et leurs modèles économiques. C’est le rôle de l’institution scolaire de les leur donner. Les écrans doivent être encadrés dès l’enfance et l’enfant éduqué aux médias. La règle « 3-6-9-12 » est une pièce majeure de ce dispositif, mais une pièce seulement.

enfonce ou aide ?

l’outil numérique peut être un support aidant pour se dégager des addictions : remplacer une addiction par une autre !

enfonce ou aide ?

le renvoi d'un site vers un autre,la quête qui fixe devant l'écran

facilitateurs

L'outils numérique est partout, même les panneaux publicitaires deviennent numériques. Les livres deviennent numériques. L'école est numérique (ils offrent des ordinateurs aux élèves de 4ème, cours sur ordinateur...). Pour finir, même mon travail est devenu numérique par la "pointeuse" application de mon smartphone. C'est le modernisme mais ça peut vite entraîner des dépendances comportementales, émotionnelles et pourquoi pas tomber dans les drogues (tabacs, alcool et autres drogues). Le point positif est que nous avons une formidable qualité d'adaptation et qu'en seulement une dixaine d'années nous avons parfaitement intégré l'outils numérique à nos vies.C'est une des causes de nos addictions mais aussi une des solutions qui peut nous permettre de sortir de nos addictions.

Numérique et addictions aux drogues

Oui le numérique peut être un facilitateur : vente en ligne, échange sur les forums, liste des stupéfiants... Mais tous ces outils du numérique peut être aussi utilisé à bon escient .

outil numérique facilitateur de certaines addictions?

Pour l'alcool par exemple, l'outil numérique n'est pas forcément facilitateur. La personne a besoin de boire, a besoin du produit et c'est matériellement qu'elle consommera. Si elle souhaite une prise en charge de cette addiction, elle pourra trouver sur internet une aide pour se soigner, des témoignages via des forums qui la guideront dans sa recherche de soins. Tout dépend du type d'addictions

L'outil et ses contenus

Le numérique en tant qu'outil facilite l'accès aux marchés des différentes drogues sans avoir à se déplacer et à s'impliquer physiquement, et sans ressentir une prise de risques aussi élevés que dans la vie réelle ou même une certaine culpabilité. C'est un leurre. L'outil numérique permet une diffusion plus massive de l'information, et des échanges, positifs ou négatifs, avec des personnes concernées ou intéressées par les addictions. L'information et les échanges peuvent contribuer à se dégager d'une addiction mais ne sont pas suffisants car des interactions réelles sont nécessaires, dans le cadre par exemple d'une thérapie, afin de traiter les causes de l'addiction avec un feedback corporel et non corporel en temps réel.

Outil numérique facilitateur d'addiction

L'outil numérique crée de nouveaux types d'addictions (comportementale) du fait de son interactivité, qui pousse à aller "toujours plus loin". Du fait que son contenu peut changer en permanence, il peut pousser à beaucoup plus d'attention.

Outil...ou médium

Le numérique est devenu le socle commun de tant d'activités qu'il est presque logique qu'il occupe un place centrale dans les questions d'addiction. Envisager le numérique sous son aspect 'outil' est trop réducteur, c'est un médium en soi. Un médium a cela de particulier qu'il requalifie nos pratiques, quelles qu'elles soient. Par conséquent, le numérique comme outil peut occuper plusieurs fonctions face à l'addiction, la renforcer comme aider à la déjouer.

Drogue

Bonjour, Et bien sur Internet on peut tout trouver.. Comment faire, cultiver, trouver acheter. En revanche énormément de prévention, de site internet existe pour palier à ça. Je dirais "kif kif".

Internet ; Créateur d'addictions et de solutions ?

Pour ma part je penses quInternet peut developper une vrai addiction sans prise de produit donc comportementale !!! ( jeux vidéos, jeux d'argent, pornographie,....)pouvant détruire des vies dans le pire des cas ! Comme pour toute addiction, la seule solution reste la prise de conscience et l'envie d'en sortir ! Je penses aussi qu'internet reste un outil formidable à condition de savoir l'utiliser, et peut proposer des solutions pour se sortir de certaine situation compliquée et décrocher !!!!

Et les drogues !

Vous ne parlez pas des préoccupations liées aux drogues dans l'analyse de la semaine 1, je crois ?

Et les drogues !

L'addiction avec substance est évoquée dans la semaine 1, ainsi que dans le webinaire, mais le focus est sur les addictions dites comportementales.

fermetures et ouvertures

L'outil numérique n'est pas qu'un outil de consommation mais aussi un outil de diffusion, j'ai entendu lors d'un reportage sur ARTE que sur ytube arrivaient chaque minute 300 heures de vidéo! Pour les apologistes des drogues, des jeux et autres, il semble qu'effectivement cet outil -outre son volume-, s'il le veut, peut-être un facilitateur d'addictions comportementales et/ou autres. Il a été proposé dans les diverses réponses de ce début de MOOC de ne pas perdre à l'esprit, la faiblesse, la souffrance mais aussi la solitude: pour les apologistes/prédicateurs c'est l'idéal, c'est facilitateur! Il n'y a qu'a proposer, orienter guider et finalement "fermer" la personne (la face dans l'écran), c'est la "fermeture" Toutefois, le numérique est également outil merveilleux: c'est la science et la connaissance à portée de mains (même s'il faut faire un tri) mais aussi la communauté civile! Cette communauté civile, peut être d'un grand secours lorsque l'on cherche à se dégager de ses addictions, d'autant qu'elle est anonyme, on peut donc "s'exposer" et recevoir de l'aide, sans ressentir de gène, de mépris, de honte ou autres sentiments qui peuvent parfois laisser les personnes dans l'ombre, en cela le numérique est "ouverture".

à double tranchant

L'outil numerique sert autant en véhiculant des images idées comportement qui vont alimenter des recherche de nouvelles addictions ou produits addictifs et en même temps par tous les forums de témoignage injecte un antidote sauvage

le rôle de l'outil numérique dans l'addiction

Le numérique est un outil d'information et de communication et donc en tant que tel dépend de ce que nous en faisons, il est donc soit vecteur de renforcement d'addiction soit solution.

La notion d' "outil"

Outil = moyen permettant d'arriver à ses fins. L'outil numérique est donc un moyen pour atteindre ses objectifs, qu'ils soient "bons" ou "mauvais", "légaux" ou non, "sains" ou non... C'est également un outil facilitateur : les notions de lieu et de temps n'existent quasiment plus, on est facilement dans l'action. (La règle des 3 unités du théâtre classique qui avait pour objectif de ne pas éparpiller l'attention du spectateur vole en éclats : le temps et le lieu sont anéantis, tandis que l'action peut être démultipliée.)

numérique: facilitateur ou pas

facilitateur de certaines addictions aux drogues ou comportementales avec l'ouverture sur le monde grâce aux réseaux sociaux... support aidant vu la diversité des propositions de traitements ou de témoignages sur le sujet...

Certains savent en jouer...

Je constate que certaines sociétés, dans le numérique, savent jouer avec les addictions, certes légères mais présentes tout de même, je veux parler des apps (notamment des jeux) sur smartphones et tablettes sur le modèle économique dit "Freemium" qui explose en ce moment. Il s'agit d'offrir gratuitement un jeu dans lequel la progression est volontairement bridée, de façon à frustrer le joueur et le pousser à payer pour continuer sa progression ou à inciter ces amis à jouer à leur tour ( on peut nommer Candy Crush, PVZ2 etc). L'explosion de ce modèle économique est pour moi non seulement facilitateur mais aussi incitatif aux addictions.

Certains savent en jouer...

Voilà une réflexion toute indiquée pour la prochaine semaine "Fabriquer l'addiction ?" où on pourra analyser un produit numérique de ce point de vue.

L'objet et l'acteur

Encore une fois, dire que l'outil numérique ait un caractère addictif revient à mettre l'outil à la place de l'acteur. Or l'acteur c'est nous, personne ne nous conduit à avoir des comportements addictifs (mis à part pour les cas manipulatoires). En effet ce qui **nous** faisons de l'outil numérique peut nous conduire à une ou des addictions. Il est donc clair, net et précis que l'outil numérique peut être bénéfique ou non selon l'usage que **nous** lui attribuons.

L’outil numérique n'est-il pas parfois facilitateur de certaines des addictions aux drogues (légales ou non) ou comportementales ?

Je pense que l'outil numérique est un facilitateur de dépendance. Le manque d'exercice de "la volonté" d'agir, de la "volonté" d'aller vers les autres peut entraîner une "atonie de cette volonté" face à l'engagement. Cette "atonie de la volonté" va s'avérer fatal quand on doit renoncer à des plaisirs retirés d'un acte addictif.

cercle vertueux / cercle vicieux

comme tout, le digital, l'internet est à la fois une bonne et une mauvaise chose, tout dépend des mains dans lesquelles il se trouve... ainsi internet/le digital peut être un facteur facilitateur pour sortir d'une addiction : partage d'expérience, rencontre d'autres internautes, accès facilité à l'information... mais il peut aussi être synonyme de mauvaises rencontres, renfermement sur soi même... je pense que tout dépend de l'état d'esprit dans lequel on se trouve... le numérique peut lui même faire naître des addictions (jeux en ligne notamment)