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Semaine 1 / 2.1 Usage excessif et addiction

L'addiction, une maladie

L'usage excessive peut être stoppé. L'addiction nécessite un effort qui semble impossible à surmonter seul par la personne "addict".L'addiction est maladive

pathologique

l'addiction est une maladie qui nécessite une prise en charge sérieuse avec des professionnels de santé , elle nuit à la santé physique, psychologique et social de l'individu, contrairement à l'usage excessif même si la limite entre les deux est parfois très ténue. la différence est souvent liée à la notion de manque, si l'on ne peut se passer de quelque chose de non vital sans en épprouver des symptomes physiologiques ou psyhologiques alors ce n'est plus de l'usage excessif c'est de l'addiction.

pathologique

Quoi qu'il en soit, l'usage excessif également est à travailler ; selon son degré, il peut détruire beaucoup de choses. Mais comment faire prendre conscience de l'abus et de la notion de "trop" et de danger à celui qui parfois se fait mal et parfois fait mal aux autres aussi au sein de la famille ?

usage excessif vs addiction

L'expression "usage excessif" se découpe en deux parties : un nom et son adjectif. L'adjectif est un jugement. Dans ce cas, il y a donc négociation. L'usage excessif fait comprendre qu'il existe un usage normal connu de la personne. L'addiction au contraire est sans négociation, donc perte des repères.

Quelle échelle de valeur pour en juger ?

Il me semble impossible de répondre à cette question ! La notion d'excès se définit par rapport à la norme, mais qui établit la norme ? Je ne parle pas de l'addiction à des substances, pour laquelle je n'ai aucune compétence. En revanche, en ce qui concerne l'addiction comportementale, je suppose que qu'il n'y a pas de différence entre excès et addiction. La différence ne vient que de la différence des personnes portant un jugement sur l'activité en question et de la bonne foi des personnes concernées. Par exemple, l'adolescent qui a mauvaise conscience devant ses excès pourra aussi bien se dédouaner en se donnant comme victime d'une addiction ou, au contraire assumer ses excès en se reconnaissant lâche devant ses excès. Même chose pour le parent qui veut soit excuser cet adolescent en nommant addiction ses excès, soit le culpabiliser en disant qu'il exagère. Ce deuxième parti servant parfois à dédouaner le parent qui refuse de jouer son rôle de régulateur dans la vie de son enfant.

des synonymes ?

On peut se dire que l'usage excessif entraîne l'addiction. Mais qu'est ce qui décide si on est excessif ou pas. Ce qui est excessif pour moi est peut être normal pour autrui. Je pense que la grande différence est que l'usage excessif dérange autrui qui observe. L'addiction s'infiltre tellement dans nos comportements qu'elle n'est pas toujours détectée ou détectable. Toujours en gardant le // avec la drogue un usage excessif d'une drogue par rapport à notre habitude se verra de l'extérieur. Un habitué, un addict au plus profond de son être tant qu'il n'est pas en manque peut resté masqué. Le manque démasque l'addiction.

Excessif / Addiction

Difficile de situer excessif par rapport à addiction. On a un usage excessif lorsque l'on est addict mais est-on addict lorsque l'on a un usage excessif? L'usage excessif est une image que l'on se fait de nos propres usages ou ce sont les autres qui détermine si on a un usage excessif ou non? Au final au revient à la question qui fixe la norme de l'excessivité?

addiction exces

internet cest un outil qui permet de s ouvrir sur le monde entier le probleme c est l abus qui nuit en tout au debut cest un passe temps les peripeties de la vie nous poussent a etre addict perte emploi divorce rupture internet est palliatif une facon d oublier ses problemes une fuite en avant pour fuir la realite

question 3

Excès et addiction, même combat.

Usage excessif ?

Usage excessif : on peut s'en passer sans trop tirer la bouille. Addiction : il faudra nous tirer par les cheveux ou nous chatouiller pour nous décoller du shoot !

Usage excessif ?

Addiction: c'est à nos risques et périls, bien qu'en chatouillant ou en tirant par les cheveux un addict on peut se prendre une raclée en retour.

Usage excessif ?

Ah bah c'est sûr ! Mais faut bien se placer devant le monstre de l'informatique parfois pour pas se faire bouffer sa vie perso ! Et, par rapport à mon époux, il y a challenge parfois entre cette grosse machine et moi ! Elle se prend pour qui celle-là ?

Usage excessif et addiction

L'addiction a un caractère maladif et obligatoire.

usage excessif ou addiction?

la frontière est mince.....l'addict a'il conscience qu'il est addict? un usager excessif sans doute et il peut encore y remédier avant de tomber dans l'addiction.

La nuance est dans l'accoutumance ?

Plus une supposition qu'une affirmation...un usage excessif peut être temporaire et céder avec le temps, tandis qu'une addiction serait plus "rebelle" !

usage excessif et addiction

pour moi c'est l'impact social .. quand le comportement envahissant devient une contrainte, une nuisance sociale, et que la pensée est parasitée par l'objet

La question de la frontière

C'est évidemment une question complexe. Si on reste sur l'alcoologie, il me semble que l'on peut parler d'usage abusif, d'usage nocif et ensuite de dépendance. La frontière est mince. Il me semble, que sur un plan comportementale, parfois la quantité ne fait pas forcément l'addiction. Mais plutôt le rapport entretenu au produit, puis dans un second temps la quantité de ce produit et les formes de dépendance créées (physique et psychique). Je me rappelle d'un groupe de jeunes adolescents placés par l'ASE, dans un foyer, que j'ai reçu en groupe avec un éducateur formé à l'alcoologie. Sur les 10 jeunes, tous avaient beaucoup bu, beaucoup avaient vomi, beaucoup avait été excentrique dans leurs comportements. Mais un seul à pu nous dire que l'alcool était un moyen de s'apaiser, vis à vis d'angoisses terribles et que son moyen de se rassurer était d'avoir des bouteilles chez lui. Il aime boire seul quand il va mal même un seul verre. Même si nous avons repris les choses avec tous, un nous inquiète plus malgré tout...

Addiction vs usage abusif

Si on se fie à la nouvelle version du DSM, la question en elle-même ne serait pas tout à fait juste puisque cette distinction a été abolie, du moins en ce qui concerne les substances psychotropes... Sinon, l'un me semble faire référence à une certaine continuité dans le temps alors qu'on utilise l'autre pour parler d'un comportement à un moment précis.

trop c 'est trop!

Trop d internet, trop de découvertes, trop de mail, trop de facebook, trop de lecture, trop d 'écriture, trop... plus une minute pour s 'arrêter , des fois qu on louperait une info, un mail... de quoi attraper des migraines , des sciatiques (à force de rester assis). ce trop est difficile à gérer . ce trop tue la famille, les amis..

trop c 'est trop!

Bonsoir 1234regine, Trop de mal être, trop de douleur, trop de peurs, trop de fragilités, trop de non-dits, trop de mensonges, trop de mesquineries, trop de soucis, trop de charges, trop de famines... une seule vie. Murielle

usage excessif ?

quand il me coupe des autres, quand je commence à m'isoler

Une fine barrière

Je vois l'addiction comme la création d'un besoin. Si l'action (prise de substance, réalisation d'un comportement, etc.) n'est pas réalisée, cela va se ressentir au niveau de l'esprit, mais aussi du corps. L'usage excessif ne m'apparait pas fonctionner de la même manière. Je n'ai pas l'impression qu'il participe à la réalisation d'un besoin mais plutôt d'une envie, d'un désir. Pour moi, il y aurait une notion de plaisir, absente de l'addiction. De plus, il m'apparait plus facile de réduire/arrêter un usage excessif que de sortir d'une addiction.

usage excessif / addiction

Pour moi, l'usage excessif c'est je fais trop, beaucoup trop, trop souvent, mais je fais par choix, par liberté,de façon consciente, ça ne change pas fondamentalement ma perception des choses et de mon environnement extérieur, je peux continuer de fonctionner "normalement" quand je ne fais pas et je peux ne pas faire sans en ressentir d'effets négatifs physiques ou psychologiques. L'addiction, je ne fais plus seulement par choix, par plaisir, par envie, je fais parce qu'il faut que je fasse, par besoin, par obligation sinon je ressens un manque et ce manque peut avoir des conséquences physiques ou psychologiques et se répercuter sur ma vie personnelle, professionnelle, familiale. Je perds le contrôle

usage excessif / addiction

effectivement, je suis d'accord avec toi Olivier

Abus vs addiction

Pour ma part, je dirais que l'usage excessif peut amener à penser d'une part à un comportement qui va durer un certain temps. Un peu comme si l'esprit se focalisait sur une seule chose. Comportement qui pourrait à la fois se répéter et viser un objet différent à chaque fois. Au contraire de l'addiction que je définis difficilement mais comme UN grand mal établi et qui au fur et à mesure éloigne la personne de la réalité et d'elle-même. Dans les deux cas, on perd le contrôle de ses émotions

Excessif < Addiction

L'usage excessif = dérangeant pour l'usager. Addiction = dérangeant pour l'entourage.

Excessif < Addiction

Je suis assez d'accord, mais je rajouterai : Addiction = dérangeant "également" pour l'entourage.

Excessif < Addiction

L'usage excessif peut aussi être dérangeant pour l'entourage !

la frontière c'est le non

L'usage, même excessif peut être stoppé par le seul bon vouloir. L'usage excessif peut être concentré sur une période , il peut également s'arrêter pendant une période. L'addiction ne peut être stoppé par l'addict et ne souffre pas de pause.

WAOU Usage excessif

Appelons les choses par leur nom: l'usage excessif d'une chose ou une situation relative à l'existence et entrainant donc un comportement est une addiction

WAOU Usage excessif

Bonsoir Ematos, Pas tout à fait d'accord : ce n'est qu'une partie de l'addiction Murielle

usage excessif vs addiction

Je pense que l'usage excessif peut être considéré comme le stade préalable à l'addiction. Avec une prise de conscience, il est réversible et corrigeable. L'addiction est le stade pathologique, l'individu peut s'en sortir avec un soutien, un sevrage et une vigilance à vie car fragilisé, il pourrait retomber dans la même addiction, ou une autre

addiction => obsession

Pour moi on passe à l'addiction quand l'objet de l'addiction prend toute la place dans les préoccupations de la personne. Tout le temps qui n'est pas consacré à l'usage de la chose est concentré sur la pensée de la chose et du moment de l'assouvissement du désir qu'on en a. Et c'est un état permanent dont on ne peut se sortir sans événement déclencheur.

Usage excessif, c'est embêtant. Addiction, c'est une maladie installée

Faire un usage excessif de chocolat, c'est embêtant pour l'équilibre alimentaire. Faire un usage excessif des jeux vidéo, c'est embêtant pour mes devoirs... Être addict au chocolat ou aux jeux vidéo, ça me rend invivable pour mes proches quand j'en suis privé, ça me rend nerveusement incapable de me concentrer sur autre chose, ca me rend asocial, ça me coupe des autres. Je suis en danger.

Usage excessif, c'est embêtant. Addiction, c'est une maladie installée

Je suis assez d'accord avec cette piste de définition. Il y a dans l'addiction une camisole qui rend fou ...

parlons en

Suis-je naïve de croire que l'on peut contrer un usage excessif en en parlant, en montrant les côtés négatifs, les incidences sur la vie quotidienne : je suis pour le dialogue, expliquer, montrer des exemples, redonner une prise de conscience. Et j'ai le sentiment que face à une addiction, les mots ne peuvent plus livrer bataille, n'atteignent plus la personne... Murielle

Comportement envahissant

A mon avis ; L'individu ayant un comportement addictif va se définir par rapport à son addiction suivant le regard des autres et se sera plus en fonction de sa sensibilité à ce regard qu'il sera en mesure de quantifier sa propre addiction.

usage excessif ou addiction: la différence?

Le comportement avec addiction, je pense qu'il commence lorsque vous gêner les autres, que votre comportement est négatif avec et sur les autres. Il y a des seuils de tolérance et la limite se situe là, lorsque ces seuils sont dépassés et que l'on ne peut pas s'arrêter afin de reprendre une vie sociale d'échanges. Vous êtes désocialisé. L'usage excessif peut se maitriser après , bien sur, quelques hésitations, mais on revient à la réalité plus ou moins facilement suivant son degré de dépendances. Des vacances en montagne, mon smartphone est déconnecté, et en fait, après une bouffée d'angoisse à la pensée de ne pas pouvoir être jointe si jamais il arrivait "quelque chose" qu'est ce que l'on se sent bien! La terre a continué de tourner et la famille allait très bien au retour!

Usage raisonnable

Question qui fait doublon. L'addiction est un usage excessif après reste la question de la gestion de cet usage par rapport à notre quotidien, à notre vie social, le rapport aux autres et à son environnement.

usage excessif ou addiction?

je pense qu'effectivement l'usage excessif ou l'addiction ont une frontière quasi inexistante pour être souvent entre l'excessif et l'addiction -je pratique le jogging depuis quelques années , tous les jours pendant une longue période, je m'épuise ou me fait mal et puis j'arrête plusieurs mois ...pour reprendre graduellement -je pense qu'il est très difficile de distinguer la différence

addiction

L'usage excessif peut se raisonner. L'addiction non. Le sujet est conscient du caractère excessif mais ne peut l'empêcher.

Usage excessif Vs Addiction

Il y a bien sûr les définitions classiques de l'abus et de la dépendance : > L’**usage abusif** est une consommation > susceptible de provoquer des dommages physiques, psychologiques, > économiques, judiciaires ou sociaux pour le consommateur et pour son > environnement immédiat ou lointain. > > Brutale ou progressive selon les produits, la **dépendance** s’installe > quand on ne peut plus se passer de consommer une ou plusieurs > substances, sans éprouver de souffrances physiques ou psychologiques. Pour le numérique ces définitions me semble tout à fait applicables. Le plus important pour différencier l'usage excessif de la dépendance c'est de rechercher une souffrance. Dans l'usage abusif, l'usager est encore en phase de "lune de miel" avec son comportement il me semble qu'il ne se rend pas encore compte des effets nocifs de son comportement. Dans la dépendance il est conscient des effets nocifs, mais malgré ses tentatives d'arrêt il n'arrive pas a arrêter son comportement et c'est de sa que vient la souffrance, de cette perte de liberté, de cette autodestruction qu'on ne peut empêcher.

Usage excessif Vs Addiction

Je suis assez d'accord avec vous pour dire que l'addiction est un palier supplémentaire à l'abus excessif. la notion de souffrance est en effet importante et primordiale dans le cas de l'addiction. Je crois qu'il faut aussi prendre en compte les tentatives de rejet de cette addiction par le sujet.

2 usages bien distincts

La notion d'excessif contient intrinsèquement l'idée d'exception. L'addiction, elle, se réfère à un usage régulier, récurrent et qui n'est plus contrôlé ou contrôlable, à la différence des excès qu'on tolère..

usage excessif ou addiction

l addiction apparaît lorsque la vie d'une personne n'est remplie que de la recherche du produit addictif et de ses effets. La douleur du manque apparaît dès que le produit vient à manquer. L'excès excessif laisse la place à d'autres conduites et plaisirs, même si le manque est ressenti, il ne conduit pas à la recherche unique et reproductive.

usage excessif + volontariat/dépendance = addiction

Je pense que l'on parle d'addiction lorsque l'usage devient abusif voir excessif. Mais l'addiction apparaît lorsque qu'il y a un caractère volontaire même inconsciemment. Dans le numérique on peut parler d'usage excessif notamment dans des situations professionnelles. Cependant peut-on parler d'addiction dans de tel cas ? Je ne crois pas car l'addiction nécessite une démarche volontaire et personnelle relevant du caractère identitaire

Envahissant excès

Se sentir envahi par quelque chose ... Pour ma part, je me sens envahi, je fuis. Si l'on rajoute l'excès, l'addiction, je pourrai rester. Qu'est ce qui me ferai rester ? Communiquer avec l'autre, découvrir, Alors oui mon excès pourrai me rendre addicte Le temps me le permettrait également La disponibilité intellectuelle aussi. En résumé, trop souvent penser à quelque chose (comme le téléphone) me ferait prendre conscience que j'aurai une forme d'addiction à ce support. Pour le moment, je ne le pense pas.

situer l'usage excessif /addiction

BSR,Tout ce qui est excessif est en soi un problème,l'homme étant la mesure de toute chose. L'addiction est l'application (de ce point de vue moral sur l'homme) à l'investissement personnel ,focalisation de soi sur une activité trop exclusive ,qui exclut les autres ,qui isole ,enferme ,qui abrutit ,etc ... jphed

fréquence quotidienne

quand on ne peut plus s'arrêter une journée qu'il y a un comme une sorte d'énervement ou de stress qui se crée, un besoin à sastisfaire qui devient impérieux

usage excessif

usage excessif : dérange la vie quotidienne, mais n’empêche pas de faire ce qui avait été prévu, possible encore de s'arrêter quand on se fixe des bornes addiction: impossible de ne pas le faire, plus de limites, inconscience , même si cela dérange tous les plans prévus et met à cote de la vie sociale ou familiale

Abus au quotidien

Je pense que la différence entre l'usage excessif et l'addiction se situe à partir du momment où le comportement en question se répète plusieurs fois dans une même journée. A partir du seuil où ce comportement devient gênant pour le quotidien ( vie professionnelle, vie privée ) qu'il devient incontrôlable,à mon avis on atteint l'addiction. Je pense qu'un usage excesif ne dérange pas dans la vie de tous les jours.

L'USAGE EXCESSIF/L'ADDICTION

Je pense que l'usage excessif est le premier degré de l'addiction. On peut utiliser une substance(mener une activité) de façon excessive mais se passer de cette substance (activité) dans l'avenir. Alors que ce n'est pas le cas de l'Addiction qui nécessite un traitement ou soutien particulier .

L'USAGE EXCESSIF/L'ADDICTION

Cette réponse me convient bien.

usage excessif

L'usage excessif par rapport à l'addiction c'est ne plus maîtriser l'utilisation en fonction des besoins propres et en fonction de la gestion efficace du temps.

Excès ou abus

Ca me semble être de deux ordres distincts. L'excès peut être festif, occasionnel, l'abus, qu'il aille trop loin ou trop souvent, est plutôt destructif.

Usage excessif répété puis répétitif

L'addiction correspondrait à un usage jugé excessif, par l'individu et/ou tiers, non pas isolé, mais qui se répète et et devient même répétitif sans même que la conscience que l'on en a ne puisse l'empêcher ou l'interrompre. Ce qui laisse à penser que l'addiction répond à un besoin ou une attente mal identifié (e)

usage excessif

Par rapport à une addiction je pense que l'usage excessif est un usage auquel on peut arriver à se détacher. Par exemple quelqu'un qui passe beaucoup de temps sur internet ou son téléphone et qui part en vacance et qui arrive à s'en passer totalement sans ressentir de manque.

usage excessif

Effectivement, je me sens limite addict au niveau internet car j'éprouve un sentiment de manque quand je ne peux pas me connecter en vacances !!!!

Usage excessif vs addiction

L'usage excessif laisse une place (petite) au libre arbitre contrairement au comportement addictif qui induit des processus de soumission mentale/physique, totale. Mathéa CM

Usage excessif vs addiction

oui le c'est le coté irrépressible qui caractérise l'addiction. Elle n'est pas forcement liée à un excès et qui peut avoir des aspects positifs (un joueur de JV peut devenir un expert ) Elle est problématique quand elle devient le seul moteur de l'existence. Le devient elle forcement? Il y a des fumeurs qui ont de belles vie et ne meurent pas d'un cancer (ceci dit, j'ai arrêté et je me sent plus libre)

Du plaisir vers le dégoût

C'est une limite difficile à marquer. Lorsqu'un comportement provoque du plaisir et reste à cet état, nous pensons que nous ne sommes pas encore dans l'addiction. Lorsqu'un comportement provoque du dégoût (de soi par la honte par exemple), on pourrait parler d'un comportement addictif.

degré, échelle

Il s’agit d’un rapport d’échelle, de degré. L’usage excessif peut mener à l’addiction, s’il n’est pas maitrisé par l’usager.

Distinction entre consommation, abus et dépendance

Le cercle vicieux de l'addiction est très complexe. Chaque individu est différent et nous sommes tous inégaux (du point de vue génétique, environnemental ...) face à ces différents stades menant à l'addiction. Une chose est sûre, le passage du stade "liking" (on ressent du plaisir à consommer) au "wanting" (recherche absolue de la drogue en dépit de toute autre considération) puis au "craving" ( utilisation compulsive de la drogue) est sans retour. Seule solution : un sevrage accompagné d'un suivi psychologique. La personne devient "addict" dès lors où elle poursuit la consommation de la drogue en dépit de conséquences négatives. L'usage excessif de drogues ne mène pas forcément à une addiction. Ophélie JOLY, étudiante en Neurosciences

Distinction entre consommation, abus et dépendance

c' est à dire on est devenu addict dès qu' on entre dans le coté OBSCUR du consommation?

addiction ou comportement envahissant

L'addiction est différente pour chacun. Nous sommes inégaux génétiquement face à cela. Un fumeur qui fume 30 cigarettes par jour peut arrêter parfois plus facilement qu'une personne qui fume 2 cigarettes par jour. Par contre, nous sommes tous susceptibles de commettre des abus ou d'avoir des comportements envahissants. l'intensité n'est pas la même.

Usage excessif ? Addiction ?

On peut arrêter, faire une pause dans un usage excessif... S'en passer le temps de vacances, de soirées,... L'addiction ne peut pas s'arrêter, elle est comme une obsession quotidienne.

Usage excessif ? Addiction ?

mais on ne peut pas aller en vacances toute l' année? la solution doit être accessible à tous, les vacances sont trop chers, changement de comportements c' est suffit comme les cigarettes

usage excessif et addiction

Je ne pense pas que l'usage excessif relève du même domaine que l'addiction. Je peux faire un usage excessif de sel dans un plat et corriger par la suite, même si j'aime manger "salé". Mon addiction au tabac par exemple n'est pas contrôlée, difficile à mesurer, non rationnelle. Je perçois bien que ce ne sont pas les mêmes parties du cerveau qui entrent en jeu.

Question 3

C'est compliqué de répondre, surtout si on se place du point de vue d'un ado où son cerveau est en pleine maturation et où les comportements excessifs sont nombreux, d'ailleurs c'est pour cela que certains spécialistes des domaines addiction et adolescence pensent qu'il n'y aurait pas d'addiction à cette période. Si on se place d'un point de vue adulte, encore qu'il est difficile de faire la limite entre ado et adulte... perso je dis que l'adolescence se termine une fois que l'ado a compris que le frigo ne se remplit pas tout seul... Donc pour en revenir au point de vue adulte, il est fréquent d'avoir un usage excessif d'alcool par exemple en soirée ou à une fête alors qu'on n'est pas addict à l'alcool pour autant. Donc je pense qu'on peut avoir un usage excessif sans être addict, mais au fait, excessif c'est par rapport à quoi ?????? La loi pour l'alcool par exemple ??? Bref là aussi c'est difficile de se positionner sans élément de comparaison ou de point de repère

Question 3

Excessif, à mon avis, ce n'est pas par rapport à une loi. C'est toute l'ambiguïté de la loi française qui autorise certaine drogues potentiellement dangereuses, comme l'alcool ou le tabac mais en interdit d'autres. Que la loi interdise les conséquences néfastes (comme conduire au volant alcoolisé) me semble souhaitable mais qu'elle se mêle de la vie privée des gens (consommer une drogue) me semble abusif. L'excès c'est ce qui devient néfaste pour l'organisme ou pour la vie sociale ou pour la vie individuelle. Mais parfois on est dans l'excès et on ne s'en rend pas compte. Et parfois on est dans l'excès exceptionnel et choisi et cela ne regarde que soi. Etre toujours raisonnable, est-ce bien raisonnable?...

incontrolabilité

pour moi un comportement addictif est incontrolable par la personne concernée, et ce comportement finit par structurer son existence. L'abus est relatif, et la barre entre le raisonnable, l'excès, et l'abus dépend de chacun d'entre nous. Pour certains, 4h d'internet par jour sera une consommation raisonnable et maitrisée, pour d'autres, ce sera dèjà trop. Je pense que le seuil n'est pas sur la quantité, mais sur la capacité à controler la consommation. Une exemple d'actualité: tous ceux (celles) qui font les soldes sont ils des shopping addicts ? et les acheteurs compulsifs (au point de finir à découvert) sont ils addicts à quelque chose ?

incontrolabilité

mais certains bureaucrates sont obligés de travailler quatre heures sur internet sont ils ou elles accro? Alors que c' est leur travail

incontrolabilité

concernant l'achat compulsif je dirai que c'est une addiction. Si l'acte d'achat n'est pas assouvi, il y a souffrance, l'achat vient combler un besoin même irraisonnable.

entre excès et addiction

La frontière entre comportement addictif et usage excessif se situe je pense au moment où l’usage devient indispensable au cours de la vie. L’activité cesse d’être plaisir pour devenir nécessité

usage excessif/addiction

Il me semble qu'il y a une sensation de douleur, de manque si l'addiction n'est pas assouvie. L'usage excessif n'est pas dangereux et n'entraîne pas de manque.

discussion

A partir de quel comportement peut on voir l'addiction? pour moi c'est quand il n' y a plus de frontière entre le normal et l'excès. Là aussi c'est par rapport au jugement de chacun, la limite est quand on ne peut plus s' en passer ou que l'on ressent une gêne physique ou spychologique.

Usage excessif

L'usage excessif peut ne pas être indispensable à la mode de vie du concerné, il peut s'en passer de temps en temps, mais pour l'addiction je pense il lui est très difficile de s'en défaire.

A partir de certains comportements, comment situez vous l'usage excessif par rapport à l'addiction?

une sensation de manque incontrôlable, à la fois dans son corps et dans son esprit.

Besoin irrépressible

L'addiction répond à un besoin physiologique irrépressible alors que l'usage excessif est le dépassement d'une limite définie sans pour autant qu'il y ait un tel besoin. Enfin c'est ce que j'en pense...

Excès ou addiction

Pour moi, un comportement peut être considéré comme une addiction quand son excès est sciemment vu comme néfaste, mais qu'il est néanmoins maintenu.

Excès ou addiction

Vu comme néfaste par l'entourage? ou plutôt ressenti comme néfaste par la personne impliquée?

Addiction et usage excessif

Dès que la consommation ou l'usage conduit la personne à l'isolement, on peut alors vraiment parler d'addiction. Cet isolement est souvent inconscient et s'installe peu à peu jusqu'à la désocialisation de la personne.

Usage excessif vs addiction

Usage excessif : je l'utilise pour tout et n'importe quoi. Addiction : j'angoisse si je ne peux pas l'utiliser.

Excessif est addiction

Dès que l'excès est présent, l'addiction naît. Pour perdre du poids on peut par exemple rééquilibrer son alimentation ; faire un peu de sport. Mais si on commence à retirer TOUT les féculents, TOUTES les huiles.. Ce n'est plus un régime ; mais de l'excès.

Où est la limite ? Quelle est la différence ?

Je penses que la limite entre l'habitude de consommation d'une pratique ou d'une substance et l'addiction se trouve dans la prise de conscience où dans les problèmes qu'elle va engendrer !! L'addiction répond à un besoin incontrolable même si on s'est que ce n'est pas bien et peut répondre à un mal être sur le moment mais ne résout pas le problème de fond !!! Il est des addictions ou des pratiques dont on ne peut pas parler car il peut être difficile de comprendre certaine consommation et par manque d'information on ne sait pas vers qui se tourner, c'est un cercle vicieux Quand une pratique prend le dessus sur le quotidien et que l'on ne peut pas la controler cela devient une addiction !!!

Usage excessif et addiction

Pour moi l'usage excessif n'est pas encore dans l'addiction mais cela ne saurait tarder car la frontière est légére à mon avis. L'addiction est peut-être un mot reconnu médicalement tandis que le fait d'avoir un usage excessif reste un terme plus commun. L'usage excessif peut être appliqué sur une période donné tandis qu'addiction reste avec une notion de temps importante et reconnue.

2 notions distinctes

2 notions proches mais pourtant distinctes : usage excessif = usage dépassant la norme le cas échéant sur une courte durée. addiction = répétition de l'usage le rendant excessif

Toujours Bruno Bril je ne veux pas rester anonyme

L'addiction souvent nous dépasse l'excés peut être voulu. Certaines consommations excessives peuvent être recadrées à la baisse mais quand on parle d'addiction on ne parle pas de "volumes" mais plus de répétitions.

la raison de tout cela

Pourquoi vouloir se prouver quelque-chose, notamment que l'on est pas addict au numérique, en se privant, même momentanément, d'un outil qui non seulement ne nous fait pas souffrir, mais qui nous procure de nombreux plaisirs ou bénéfices (exemple la participation à ce MOOC ou d'autres échanges...), etc ? Quelqu'un a eu l'idée de se priver volontairement de sa voiture pendant 7 jours juste pour voir son niveau de dépendance? et alors ? quelles conclusions ? On peut s'en passer, oui, mais on n'en voit pas l'intérêt. On est dépendant ? oui, au même titre que vis à vis de notre voiture, de l'argent... Au-delà des définitions claires qui ont été données lors du 1er webinaire, chacun a ses propres représentations du numérique et du terme addiction. Le numérique, en tant "qu'objet philosophique" est le support de tous les fantasmes, de toutes les peurs, croyances, espoirs...

La limite

Bonsoir, une calculatrice employée pour n'importe quel calcul même les plus basique, est un emploi excessif d'une calculatrice. Le besoin de se tenir informer par exemple est une addiction à l'information, on en ressent le besoin, "il faut que je saches ce qu'il se passe" comme si cela m'était vital.

qu'est ce que cela tente de cacher?

Un comportemement qui devient envahissant, n'est pas plus perçu comme envahissant dans l'addiction il devient justifié ,valoriser ,et puissant

usage excessif ou addiction

La différence est pour moi sur la capacité de maitriser son comportement, son acte sans souffrance, sans difficulté excessive.

excès

L'usage excessif devient gênant pour autrui ou pour soi-même. Il empêche de faire quelque chose de plus urgent ou important. On prend du retard dans des aspects essentiels de la vie ou du travail. L'addiction entraîne une souffrance liée au manque ou à l'absence de possibilité de satisfaire ce qui est devenu une nécessité.

Addiction une pathologie ?

L'addiction serait une pathologie (comme les TOC ?) : les personnes qui en souffrent doivent être aidées, accompagnées pour en guérir. Quant à l'usage excessif, il peut être auto-régulé.

Addiction une pathologie ?

Bonjour, Vous avez effectivement été nombreux à souligner un écart entre addiction et usage excessif. Une des différences qui a été soulignée est que l'usage excessif peut rester un plaisir, mais il peut également mener mener vers l'addiction. Il ressort un aspect contrôlable, "auto-régulable" de l'usage excessif. Les TOC sont effectivement considérés comme des troubles. Si vous souhaitez plus de renseignements là-dessus: http://psychiatrie.free-h.fr/troubles-anxieux/criteres-diagnostiques-dsm-iv-tr-to.html Bonne journée, Cordialement, Stéphanie

Addiction une pathologie ?

la place du trouble addictif par rapport au trouble du controle des impulsions d'un coté,et au trouble obsessionnel compulsif de l'autre ,est régulièrement discutée; un élément important de distinction par rapport au TOC est que ce dernier est "égodystonique" ,c'est à dire vécu par le sujet comme plus ou moins absurde ,et parasite ,par rapport au reste de son comportement,ce qui n'est pas le cas du trouble addictif jlv

Addiction une pathologie ?

Ne pourrait-on pas dire que c'est un petit peu le cas dans certains troubles addictifs, notamment avec substance, où la personne en situation de dépendance sait que son comportement nuit à sa santé mais ne peut s'empêcher de continuer? On retrouve un coté absurde et parasite. Guillaume

usage excessif

l'usage excessif est peut-être contrôlable par rapport à l'addiction?

esclave

Excessif quand on ne se sent pas "esclave" de la chose en question. C'est-à-dire que l'on peut arr^ter plusieurs jours ou demaine sans ressentir le manque, ce besoin impérieux de jouer, consommer, faire du sport

esclave

votre rélexion donne l'opportunité de rappeler qu'éthymologiquement addict vient d'addictus qui ,en droit romain,et jusqu'au Moyen age signifie "esclave pour dette " ;autrement dit quand quelqu'un ne pouvait régler ses dettes ,il (son corps) etait donné en gage à son créancier pour un temps proportionnel au montant de cette dette ; cette notion de contrainte par corps n'est pas inintéressante pour penser l'addiction jlv

La notion de besoin

A mon sens la notion de besoin est primordiale. En effet, personne ne dira qu'un individu qu'il est addict si, par exemple, celui fait un footing par jour. La plupart des personnes vont alors d'écrire cette personne comme étant "sportive", "qui prend soin de sa santé" etc, alors qu'en fait trés souvent ces personnes ont BESOIN de faire cette activité, il s'agit donc à mon sens d'une addiction.

La notion de besoin

Bonjour, Je trouve que votre exemple sur le sport est très parlant, car s'il est socialement valorisé il peut aussi être source d'addiction. Néanmoins la notion de besoin est complexe car c'est une notion physiologique, on parle notamment de besoin vitaux (manger, dormir), mais qui renvoie aussi à d'autres éléments plus complexe (notamment décrit par Maslow avec ses travaux sur la pyramide des besoins). Peut être peut on parler de nécessité ou encore d' "Impossibilité de résister aux impulsions à réaliser ce type de comportement" comme cela est définit dans les critères de Goodman. Marine

Addiction : dommages irréversibles

J'ai l'impression que ce qui différencie l'addiction d'un usage estimé excessif, en plus de l'isolement qui a été mentionné par certains participants à cette discussion, c'est que l'addiction provoque des effets psychologiques / physiologiques irréversibles ou au moins très difficiles à "réparer". Il y a une sorte de "non retour" dans l'addiction. Certes, on peut se désintoxiquer, mais c'est difficile, on ne peut généralement pas le faire sans intervention d'un tiers et une rupture radicale", et de toutes façons quelque chose a été perdu. Alors qu'un comportement excessif ne me semble pas avoir ces effets irréversibles. Ce type de comportement risque t-il de faire basculer ceux qui l'ont dans l'addiction ? Peut-être, mais pas de manière systématique, et pas seul. Il y a probablement des facteurs de risque ailleurs. Bref, beaucoup de "peut-être" et de "probablement" dans mon message, je suis justement ici pour gagner en précision, sortir des imprécisions sur le sujet de l'addiction !

Addiction : dommages irréversibles

Bonjour, je ne pense pas qu'on puisse parler d'effet psychologiques irréversible, ni meme de non retour. Parmi les différents critères qui définissent l'addiction on trouve effectivement (entre autres choses) la mise en place de "tentatives infructueuses pour contrôler ou abandonner l'addiction" mais il existe aujourd'hui différents types d'intervention qui permettent de sortir de l'addiction sans forcément que ça implique une rupture radicale. Marine

Addiction

Quand cela empiète sur d'autres activités (typiquement > travail) ou que cela nuit à la santé.

en dépendance

Lorsque l'on ne peut plus gérer directement. On est alors mené par le bout du nez (dans la meilleur des cas)

usage excessif vs addiction

l'usage excessif est encore contrôlé. L'addiction échappe plus facilement au contrôle de l'esprit c'est un véhicule "fou".

Coercision

Lorsque qu'un comportement nous porte préjudice à un niveau de réflexion portant sur les conséquences de nos actes, et que, tout en en ayant conscience, une force intérieur nous culpabilise pour poursuivre ce comportement destructeur, alors il s'agit d'addiction. L'addiction est donc un comportement ni rationnel, ni rationalisable.

A partir de certains comportements devenant envahissant, comment situez-vous l'usage excessif par rapport à l'addiction ?

un usage excessif est un usage exagéré, dommageable même à la personne, mais cette personne peut contrôler tandis qu'une addiction est incontrôlable par la personne atteinte concernée.

usage excessif versius addiction

l'usage excessif je le définirais par un usage fort d'une technologie, de son téléphone, de son pc, tablette ou internet... mais on peut s'en passer en certaines occasions si vraiment il n'y a pas le choix. l'addiction au contraire fait en sorte que l'on ne peut pas s'en passer, qu'on ne pense qu'à ça et que l'on ressent un manque, un mal être qui en devient presque physique ; angoisse..;

usage excessif/addiction

on peut différencier peut être par la perte de contrôle . continuer un comportement malgré les conséquences négatives . perte d'intérêt pour d'autres activités .le temps passé au détriment de certaines obligations .

réponse troisième question

L'usage excessif, selon moi, n'est pas forcément synonyme d'addiction. L'addiction serait un usage qui bouleverse la vie quotidienne. La personne se livre à ce comportement en se privant de sortir avec des amis, d'avoir une hygiène de vie correcte (sommeil, alimentation...), d'aller au travail\école... La personne peut cependant passer beaucoup de temps à un comportement sans forcément que sa vie personnelle, professionnelle ou sa santé soit perturbée. Dans ce cas là, je parlerais plutôt d'usage excessif. Par ailleurs tout dépend le contexte dans lequel la personne se livre à ce comportement. Si ce comportement est pour combler un manque psychologique, se sentir mieux, soulager une souffrance... le risque d'addiction est plus présent. Si une personne se livre à un comportement même de façon excessive par plaisir, l'addiction n'est pas forcément présente même si le risque peut être là.(ex : jouer aux jeux vidéo entre amis de façon importante)