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Semaine 1 / 1.1 Définition de l'addiction

ma réponse

selon moi l'addiction est un comportement néfaste liée au départ à un objet(substance toxique, alcool, drogue, tabac, jeu vidéo, internet, tv, même le sport...) qui va générer du plaisir mais qui avec le temps va s'avérer destructeur pour la personne qui y investit l'essentiel de son temps au point de perdre les relations sociales qu'il avait, l'objet va focaliser complètement l'attention de la personne dépendante et n'etre plus que le seul objet de son désir. la perte de repère temporelle( oublier de manger de se laver,etc...), la perte des contact avec autrui, etc... sans parler des problèmes de santé pour les substances toxiques sont des symptomes. lorsque l'objet n'est plus source de plaisir mais une nécessité impérieuse sans laquelle la vie devient angoissante et impossible ( comportement d'aggressivité peuvent découler de la privation brutale) alors on peut parler d'addiction même si ce terme est fortement galvaudé par les médias aujourdhui qui mettent l'addiction à toutes les sauces, il ne faut pas confondre passion et addiction, la passion pour une activité génére du plaisir et amène le passionné à aller à la rencontre d'autrui pour partager celle ci, l'addiction relève de la pathologie surtout par le caractère solitaire de l'activité quelqu'elle soit et du plaisir tourné essentiellement vers soi même et non pas dans le partage. pour exemple: les passionnés de jeux vidéos ne sont que très rarement dans une conduite addictive car il partage celle ci via des clubs, amis passionnés, réseau sociaux etc.. comme un amateur de bon whisky ne sera pas obligatoirement un alcoolique. on est addict quand la simple persective de devoir se passer d'un objet de "désir-plaisir" génère de l'angoisse et de la frustration impossible à gérer.

Qu'est ce que l'addiction?

A mon avis, il y a addiction quand la personne rentre dans une phase de dépendance (à un produit par exemple), que celui-ci n'engendre plus de plaisir mais de la souffrance mais que malgré tout, on ne peut pas s'en passer

Addiction = besoin sous dépendance

Selon moi, l'addiction commence quand la personne ne maîtrise plus son usage.On parle d'addiction à des besoins non vitaux. On parle d'addiction à la cigarette ou à l'alcool, au chocolat aussi, par extension on parle d'addiction aux jeux.Le besoin créé devient plus fort que les besoins vitaux et perturbe le comportement de la personne qui peu devenir déviant (aggressif, fermé aux autres, manipulateur,....).

l'addiction = perte de contrôle

L'addiction sous entend que la personne perd le contrôle de ses actes : autrement dit, même quand elle ne veut pas, elle fait quelque chose qui peut se révéler être contre son interêt. L'addiction n'est jamais un bien car elle agite les pulsions profondes de la personne.

Passion

L'addiction comportementale est souvent perçue comme négative car elle suppose que l'individu perd le contrôle de lui-même dans le rapport à l'objet de son addiction. Pourtant comme toute réalité humaine, elle est sans doute ambivalente. Pour moi, cette "perte de contrôle" peut aussi se lire comme un engagement total dans une activité donnée, comme une passion en quelque sorte. Or c'est parfois ce type d'engagement qui donne du sens à une vie qui en semble dépourvue. Cet engagement pourrait donc mener, au bout du compte, à une forme de créativité... Oserais-je dire à une forme de liberté ?

Passion

Mais alors on ne parlerai pas d'addiction mais de passion puisqu'elle n'entraîne aucun mal....bien au contraire

Passion

Je suis d'accord car certaines formes d'addiction sont considérées comme résultant de la bipolarité. Alors on soigne la personne qui dès lors ne ressent plus aucune émotion, n'est plus en mesure de créer et se retrouve elle-aussi couper des autres. Perdre ses désirs est pour moi une perte de liberté

Créer un lien Youtube / le MOOC

Je ne sais pas comment créer un lien entre une vidéo Youtube et le MOOC

Créer un lien Youtube / le MOOC

Bonjour, vous pouvez mettre un lien (icone Terre avec une flèche verte) en recopiant l'adresse web de la vidéo youtube et en la collant.

Ces addicts qui nous gouvernent

Une vidéo sur Gaston Flosse : http://youtu.be/anEvaKVJnzQ ; comme quoi l'addiction peut être davantage préjudiciable aux autres qu'à soi-même.

non

Mais en disant *non*, je me fais l'effet du fou qui, coiffé d'un entonnoir, soutient au médecin que, non, il n'est pas fou.

L'addiction comble un vide

L'addiction est pour moi associée à un usage abusif d'une drogue, d'un service, ... Mais il y a dans l'addiction un certain pouvoir. On est addicte à une substance mais surtout à la "liberté supposée" à laquelle elle nous fait croire, au pouvoir que cela nous donne. Prenons les réseaux sociaux. Je pense que la question est "qu'est ce que les gens en retire" une idée de liberté, d'être connecté à autrui, d'avoir le controle sur sa vie.... L'addiction est pour moi un moyen de combler un vide. Il faut se poser la question du pourquoi ce vide plutot que pourquoi l'addiction. https://www.youtube.com/watch?v=66cYcSak6nE

un mal et un poison

**Selon vous, qu'est-ce que l'addiction ?** Selon moi, l'addiction est une dépendance à "quelque chose". Il est difficile de se passer de ce "quelque chose". La dépendance va conduire la personne qui la subit à enfreindre des règles pour avoir son "quelque chose". Il y a également un effet "boule de neige" : plus on consomme et plus l'addiction est grande. **L'addiction est-elle un bien ou un mal, un remède ou un poison ?** Je pense que l'addiction est un mal et un poison. En effet, une addiction conduit a une destruction plus ou moins réversible d'une personne.

L'addiction : une illusion de bien être

On peut se réfugier dans une addiction suite à un mal être et avoir l'impression que la chose à laquelle on est addict va nous faire "du bien". **Exemple** : - En ce qui concerne l'alcool on entend souvent dire "je bois pour oublier" - Pour le monde virtuel (jeux vidéo / facebook / etc.) on va se sentir plus à l'aise en communiquant à distance, on se réfugie dans ce monde Donc à partir des deux cas ci-dessus peut se développer une addiction. On peut dire que l'addiction est plus fort qu'une passion pour quelque "chose" car en plus d'affectionner énormément cette "chose" on en ressent un besoin incontrôlable. Se développe une dépendance à l'égard de cette "chose" qui nous donne le sentiment qu'elle est essentielle à l'accomplissement de notre bonheur : on a besoin d'elle pour se sentir mieux. Celle-ci est considérée comme néfaste car : La personne est enfermée dans une illusion du bien être. Prenons l'exemple de Golum (personnage du Seigneur des anneaux) qui est attiré par l'anneau. Golum représente une personne addict à une chose => l'anneau. Il ne peut s'en séparer et est "heureux" quand il l'a en sa possession. Il vit seul et reclus. Il devient agressif contre toute personne souhaitant le séparer de son bien. Une personne addict réagit de la même façon, cette "chose" pour laquelle elle est addict lui donne le sentiment qu'elle est heureuse/bien en son contact et dès que quelqu'un veut l'en séparer elle devient agressive. Cette personne se "renferme" sur elle-même et vit son addiction seule. L'addiction au téléphone portable est différente des autres. Déjà parce que le portable est ancré dans notre société aujourd'hui et que même certains de nos grand-parents en ont un. Que c'est un élément mobile, petit, un outil "d'intégration" dans la société. On le garde à la main tout en étant en contact avec les autres. Et pourtant certains ne peuvent pas s'en séparer, dorment avec, partent en vacance avec, remplace les moyens de communication orale par le simple sms, mangent avec,etc.

L'addiction : une illusion de bien être

Votre parallèle avec Gollum est très drôle et parlante, je n'aurais jamais pensé à faire ce lien. Cependant pour ma part je la trouve très pertinente et suis totalement d'accord avec vous.

Ma réponse à la 1ère question de la semaine

**L'addiction** est un **mal** mais un **remède** pour *combler* un vide

Ma réponse à la 1ère question de la semaine

Mais si l'addiction entraine une dépendance, et peut pousser quelqu'un à faire des actes extrêmement néfaste, et à se renfermer sur lui même. Est-ce toujours un remède ?

Ma réponse à la 1ère question de la semaine

Avant il y avait la sex-addiction, l'alcool, le tabac, l'abus de médicaments, la boulimie, etc. je suis convaincue qu'il s'agit d'un phénomène de société, où, à moins d'être un héros ou un génie, on est un anonyme et l'on souffre d'un manque de reconnaissance.

l addiction manque affectif

l addiction est un remede pour combler nos failles affective notre manque d atenttion a travers l achat de tablette s portables les parents comblent le manque de temps accorde du au travail il essaient d apaiser leur enfants ces objets sont des nounous hors les enfants ont besoin d amour ils trouventdans les reseaux sociaux leurs amis virtuels ce qui ils ne trouvent pas chez leurs parents ils peuvent rester des heures sur internet a jouer un moyen pour oublier leurs problemes

l addiction manque affectif

Je ne suis pas convaincu que le manque affectif soit cause de l'addiction Il y a certes une recherche de plaisir, mais c'est plus vicieux que ça je pense, exmeple le succés du jeu candy crush saga...tout est fait pour qu'il soit addictif mais pas sûre qu'il comble un manque affectif...c'est plutôt une dépendance sournoise.

l addiction manque affectif

Expérience de mère d'adulte addict : l'affection a disparu

addiction ?

Pour moi, l'addiction est la dépendance d'une personne à une substance (licite ou illicite) ou une activité, dont elle est esclave. Ce n'est certainement pas une bonne chose, quelle que soit l'addiction.

Le suis je ?

Certainement puisque je suis intéressé par le sujet ! Je ne peux me passer de chocolat, de pratiquer du sport, de consulter facebook et quelques fora... Conscient de cette dépendance, je ne suis pas moins "atteint" !

L'addiction

L'addiction est une dépendance vis à vis dun produit ou sans produit: jeux, sexe, numérique. Elle produit un état de bien être lorsque la "chose" désirée est obtenue mais c'est souvent une utilisation nocive (tabac, alcool).

Bébés addicts

L'addiction aux gouts sucrés/vanillés commence chez les bébés. Elle est fabriquée par les industriels de l'agro-alimentaire. Le but serait de guider les enfants puis les adultes vers leurs produits en recherche de ces gouts appris très tôt.

l'Addiction, un bien ou un mal, remède ou poison

Pour moi cela penche plus vers un mal car cela entraîne une dépendance, une privation de liberté, mais on le voit comme un remède, procurant un bien-être. **Tout est question de mesure**. J'aime bien lire le soir avant de m'endormir, est-ce une addiction ? Suis-je prête à tuer père et mère pour cela ? Certainement pas mais il m'arrive de lire jusque tard dans la nuit. J'aime bien faire des petits jeux sur tablette ou téléphone et je ne vois pas le temps passer ... Je ne passe pas non plus des nuits blanches à jouer ... Où s'arrête le passe-temps et où commence l'addiction ?

l'Addiction, un bien ou un mal, remède ou poison

Le passe temps comme vous le décrivez est à ce moment là un plaisir je pense. Non ?

Addiction, où es-tu ?

J'aimerais être sûre de ma vision de l'addiction à l'outil informatique. Où sont les limites du bon et du mauvais pour en faire un mal justement ? Je pense qu'une fois le comportement humain déstabilisé par l'utilisation abusive de l'objet, il y a addiction, c'est-à-dire "trop" et ça fait "parfois mal".

L'addiction est-elle une dépendance?

C'est une définition compliquée, à plusieurs niveaux, car dans un premier temps, je voyais l'addiction faisant une action destructrice sur la personne dépendante. Oui, car l'addiction me semble une dépendance à un apport extérieur. Cela peut être physique comme du chocolat, de la drogue ou de la course à pied, comme cela peut être des conduites vis à vis des nouvelles technologies. Le résultat est le même: le comportement de la personne est changé suite à sa conduite avec ce dont elle dépend, cela peut même aller jusqu'à sa destruction de la propre personne. Mais jusqu'où va la réelle dépendance? Je pense que cela va jusque lorsque l'on ne peut pas se passer de cette "chose". Je penserai que l'addiction est un poison et non un remède.

Definition obsolète?

La définition d'Olievenstein est-t-elle toujours pertinente? ==>L'addiction est "la rencontre entre un produit, un individu et un contexte socio-culturel" Car le numérique n'est pas un produit.

Un bien vaste concept

L'addiction est un vaste concept. Qu'est ce que signifie vraiment l'addiction aujourd'hui ? On peut être addict au chocolat, aux jeux vidéos, au sexe, à l'alcool, etc. Comme le dit un des intervenants (le psychiatre il me semble), aujourd'hui on peut être addict de tout et n'importe quoi, de ce fait le terme d'addiction n'est pas forcément utilisé à bonne escient. De plus est ce que l'addiction à le même "impact" sur les gens, que la dépendance. Est ce que ces deux termes peuvent être utilisés dans les mêmes cas ? Pour ma part il me semble qu'une personne est addict dans le cas où elle ne peut plus se passer de quelque chose et est prête à tout pour assouvir son manque. L'addiction peut avoir des répercussion psychologiques, comportementales, voir psychiatriques grave sur une personne. Par exemple un alcoolique, un cocaïnomane, un héroïnomane, etc. sont des personnes qui ne peuvent pas se passer de leurs drogues respective. Ils vivent leur drogues, ils vivent pour leurs droguent, et ils pensent le drogues. Ils se renferment totalement sur eux mêmes, donc ils cassent tout liens sociaux. Et ils sont prêt à tuer ou à se faire tuer pour avoir une dose.

qu'est ce que l'addiction

L'addiction me semble le fruit d'un fait ou comportement produisant par habituation un effet de dépendance. Sans aller juqu'à dire que c'est un mal je dirai que quand on commence a s'interroger sur une dépendance c'est qu'il y a interrogation sur cette dépendance, voir géne. Cette dépendance si elle n'est pas intérrogé suffisamment tôt peut devenir , notamment dans le cadre de consommation de drogue, d'usage du numérique (jeu vidéo..) un mal lorsqu'elle coupe l'addict de situations sociale.

qu'est-ce que l'addiction

Pour moi, l'addiction est un comportement qui implique une perte de maîtrise sur la chose. En effet, il me semble que ce n'est pas la quantité (en temps, en argent, ou autre) dépensée pour satisfaire son besoin qui me parait caractériser l'addiction mais plutôt le fait qu'on ne puisse se passer de la chose à laquelle on est dépendant. L'addiction me parait donc un mal, car elle est incontrôlable.

Où sont les limites ?

Personnellement, je définis une attitude ou un comportement "addict" lorsque qu'il y a une perte de contact avec la réalité, que le jugement n'est plus possible et que la personne est dans le déni de cet état. Après la dangerosité se mesure par rapport à l'objet de l'addiction.

en video c'est plus rigolo

[nuggets: un exemple d'addiction][1] [1]: https://www.youtube.com/watch?v=HUngLgGRJpo

en video c'est plus rigolo

sympa cette définition :-)

en video c'est plus rigolo

Oui c'est très très parlant ! Elle détruit. Mais ce que ça ne montre pas, c'est que ça ne nous détruit pas forcément directement. L'usage excessif du numérique ou addiction (peut m'importe son nom) peut détruire la relation de couple ou le lien social. Sans nous détruire personnellement.

en video c'est plus rigolo

A la question qu est ce qui définit l addiction votre réponse pose celle ci également : qu est ce qui définit l homme ? le lien social ne fait il pas parti de ce te définition ?

en video c'est plus rigolo

J aime cette vidéo. Ce qui me semble frappant c est la perte progressive du plaisir...quand le manque fait souffrir mais quand plus la satisfaction du "besoin " ne fait même plus "planer"... Comme ma clope machinale...et que je me vois m en préparer une alors même que la première est déjà allumée ...Oupssss....

L'addiction

Bonjour, Pour moi l'addiction représente une forme de dépendance. En tant que psychologue, il me semble que l'essentiel réside dans le "juste milieu" dans notre forme de dépendance. La question pourrait nous amener à nous demander si nous sommes tous dépendants, si notre dépendance peut avoir toutes les formes, si c'est dangereux ou non... Il est clair que dans notre société on peut être addict à beaucoup de choses.... Aux Etats-Unis les groupes "anonymes" sont très divers ! Voici un lien sur les addicts au travail. http://workanonymes.free.fr/

@ddiction

Pour moi c 'est : se perdre dans un univers passionnant ne plus avoir la notion de temps ne plus voir les autres comme ils sont prendre des médicaments pour tenir

Définition addiction

Pour ma part, je définis l’addiction comme une perte de liberté du corps comme de l’esprit. La notion de plaisir s'évanouit pour laisser place petit à petit à la notion de besoin. Une soif insatiable.

addiction ? un bien ... un mal

l'addiction c'est être accroc a une pratique ou une substance (voir les deux) ne pas pouvoir faire "sans" l'addiction au sport peut être une bonne chose si on le fait à plusieurs en respectant son corps, l'addiction au travail peut entraîner une meilleur situation si on respecte sa famille et ses amis ne pas pouvoir "se passer de" ... se sentir prisonnier, s'isoler ... exagérer le temps passer à ... , le dosage ... ne plus être lucide sur ses pratiques voilà ou l'addiction peut nous amener !

Définition addiction

Pour moi, l'addiction c'est quand il y a dépendance. Quand on ne peut plus se passer de quelque chose : que ce soit une substance, une activité, un comportement, etc. On devient quelque part une victime de cela, dans le sens où ce n'est plus nous avons le contrôle mais l'addiction. C'est elle qui va "décider" quand on va réaliser ce comportement, quand on va prendre cette substance, etc. La notion de plaisir disparait, cela devient une obligation.

Ma réponse à la première question.

Pour moi une addiction est un besoin de faire quelque chose impliquant une notion de dépendance et qui modifierait nos comportements en cas de manque. On se sent pousser à faire cette chose, l'envie, le besoin sortent du contrôle et au final la chose doit être faite plus par besoin que par choix, il y a obligation de satisfaire un besoin qui n'en est plus un mais qui est devenu un manque. Ce n'est pas forcément un excès, on peut avoir une dépendance à faire quelque chose plusieurs fois par jour, par semaine, par mois. Bien ou mal, remède ou poison, cela va dépendre de comment la personne dite addict va le vivre, quels vont être les impacts sur sa santé physique, mentale, son comportement, comment cela va impacter son mode de fonctionnement vis à vis d'elle même mais aussi au niveau de l'environnement personnel, familial ou professionnel. Qu'en pensez vous?

L’addiction est un concept à la mode

Nous sommes peut-être tous addicts, embarrassés que nous sommes tous de la jouissance. Les addictions masquent le malaise et les impasses, individuelles et sociétales, de la consommation.

qu'est ce que l'addiction

L'addiction est un lien fort entre un être vivant et/ou un autre être/et ou une abstraction et/ou un geste et/ou une réponse à un besoin physiologique et/ou psychologique . L'addiction se distingue car elle ne peut être rompue simplement . Il ne suffit pas de dire non, stop, assez, je ne veux plus pour que tout s'arrête. L'addiction a créé un lien si fort pour celui qui n'est pas l'objet de l'addiction qu'il ne peut imaginer comment le couper. L'addiction n'est ni un bien, ni un mal, ni un remède ni un poison. Elle est les 4 en même temps : elle fait du bien, elle fait du mal ; elle peut être un remède (à la solitude, à la nervosité, à la peur, à la timidité..)elle peut être un poison quand elle prend toute la place et que l'esclavage est installé et est irréversible pour celle ou celui qui est en la victime. Il/elle devra être aidé(e) accompagné(e) soutenu(e) pour s'en éloigner, s'en défaire. L'addiction qu'elle soit aggravée par un produit (alcool, drogue, nourriture..) un "comportement" (sport, mise en danger dans des situations extrêmes avec la production corporelle de substances - dopamine, adrénaline) ou plus abstraite (jeu vidéo, internet, travail ) est une souffrance alors même qu'elle s'est développée pour répondre à une autre souffrance.

Un besoin compulsif incontrôlable

A mon sens, l'addiction est un besoin compulsif qui s'est ancré dans les besoins "primaires" de la personne et s'en trouve banalisé dans son quotidien. Si elle répond à ce besoin, tout va "bien" - si elle y résiste, un mal-être se déclenche et une obsession complémentaire se crée, pouvant aller jusqu'à occulter toute autre pensée. Il est difficile de juger une addiction : un sportif obsédé par l'adrénaline sera jugé positivement, un drogué... moins bien. Pourtant, les deux souffriraient du même manque s'ils venaient à lutter contre leur addiction. Qu'en pensez-vous ?

Un besoin compulsif incontrôlable

C'est pas mal comme question ! Le besoin vers un bien-être... mais un besoin sain ou malsain dès le début ? Là est la différence peut-être entre celui qui va courir dehors tous les matins, même dans le froid le plus dingue, et celui qui est prêt à tout pour pouvoir prendre sa dose ?

Un besoin compulsif incontrôlable

Besoin sain ou malsain... ne serait-ce alors qu'une histoire de représentations ??? Pourtant ils souffrent bien tous les 2 et sont prêts à prendre des risques

je donne mon piont de vue!!!

L'addiction pour moi c'est une seconde nature dont l'homme dispose face à un besoin qui est intrinsèque à son existence

définition de l'addiction

Ce serait une dépendance, supportée par un individu, liée à un ou des « produits » ou des comportements avec l'impossibilité pour cet individu de se détacher de cette dépendance. **Définition et étymologie du concept d’addiction – Cairn.info** [http://www.cairn.info/revue-archives-de-politique-criminelle-2009-1-page-9.htm][1] *rapport pathologique qu’un sujet entretient avec une substance ou un comportement. Cette nouvelle discipline vise à appréhender dans un cadre commun les psychopathologies entraînant un rapport d’abus ou de dépendance. L’addiction se rapporte autant à l’usage de produits qu’à des conduites répétitives (comme le jeu pathologique ou l’anorexie mentale). Elle est une caractéristique comportementale qui se reconnaît à une envie constante et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour y échapper. Le sujet se livre à des conduites dites « addictives », et ceci souvent malgré la conscience aiguë des risques d’abus et de dépendance. Toujours en langue anglaise, le mot addiction est totalement intégré dans le langage populaire pour désigner toutes les passions dévorantes et les dépendances Les addictions à une substance psychoactive concernent les substances licites (tabac, alcool, médicaments psychotropes) ainsi que les substances illicites (cannabis, opiacés, cocaïne, amphétamines, etc). Les addictions comportementales désignent quant à elles certains troubles du comportement alimentaire, le jeu pathologique, les achats compulsifs, l’utilisation problématique d’Internet ou des jeux vidéo, le surentraînement sportif, les addictions sexuelles ou au travail, etc. Le terme d’addiction recouvre un continuum de comportements de consommation, du plus anodin au plus pathologique, du simple usage à la dépendance, en passant par l’usage à risque et l’abus (ou usage nocif).* **D'après la [MILDECA][2]** L’addiction est une relation de dépendance plus ou moins aliénante pour l’individu, et plus ou moins acceptée voire parfois totalement rejetée par l’environnement social de ce dernier, à l’égard : - d’un produit : drogue, tabac, alcool, médicaments… - d’une pratique : jeu, achat, sexe, Internet… Plus récemment on a mentionné la possibilité d’une addiction à tout ou presque : le travail (workaholisme), le sport etc. Le concept général d'addiction est théorisé par le **psychiatre **Aviel Goodman** en 1990** qui définit l'addiction comme « un processus par lequel un comportement, qui peut fonctionner à la fois pour produire du plaisir et pour soulager un malaise intérieur, est utilisé sous un mode caractérisé par : (1) l’échec répété dans le contrôle de ce comportement (impuissance) et (2) la persistance de ce comportement en dépit de conséquences négatives significatives (défaut de gestion) » source [Wikipedia][3] [1]: http://www.cairn.info/revue-archives-de-politique-criminelle-2009-1-page-9.htm [2]: http://www.drogues.gouv.fr/comprendre-laddiction/presentation/definitions/ [3]: http://fr.wikipedia.org/wiki/Addiction

addiction

L'addiction pour moi c'est la dépendance, à un produit, à un comportement. C'est un poison car l'objet de l'addiction pour l'individu supplante ses besoins primaires et le coupe du monde qui l'entoure.

l'addiction pour ma part

Jusqu'à aujourd'hui, le terme addiction était pour moi plutôt associé à une drogue et aux dégâts physiques et psychologiques engendrés par celle-ci. Je pense que l'on ne "tombe" pas directement dans l'addiction, mais que dans une période plus sensible de notre vie, un sentiment de mal-être nous conduit à rechercher un moyen de retrouver une joie de vivre et je crois, que si le moyen trouvé nous paraît satisfaisant, nous y reviendrons, nous ré-utiliseront ce moyen et ce quelques fois jusqu'à l'excès. J'ai l'impression que c'est dans notre corps (notre cerveau) où des stimulus sont en jeu et où se produit une sorte de chimie (de molécules ?). Quand cette chimie naturelle est adéquate chez une personne, tout va bien; mais dès qu'il y a un trouble dans cette chimie, nous sommes mal.En fait, c'est toute l'histoire de l'humanité que de chercher à être bien. Pardonnez-moi si je m'exprime pas avec des termes qui vous paraîtront simplistes. Murielle

l'addiction pour ma part

Je comprends l'addiction comme un besoin qui prends la place laissée vacante par la volonté; comme si la satisfaction d'un désir en devenant habituelle devint pour le corps ou le psychisme un besoin. Ce besoin s'il n'est pas satisfait provoque un manque, une souffrance qui cesse au moment de la satisfaction. Il me semble que le plaisir ressenti s'estompe au profit du seul besoin au grès des répétitions.

l'addiction pour ma part

Je rejoins complètement cette vision de la disparition progressive du plaisir.

l'addiction pour ma part

Ces réflexions me font penser à cette petite vidéo sur le thème de l'addiction, où on ressent bien la disparition progressive du plaisir: https://www.youtube.com/watch?v=HUngLgGRJpo

L'addiction est un anglicisme...

...pour dire dépendance. Alors faut-il définir la dépendance pour définir l'addiction ? Ou l'utilisation d'un nouveau mot a-t-elle un sens ? La seconde hypothèse semble a priori plus riche. Par exemple, certaines personnes âgées ou handicapées sont dépendantes, dans le sens où elles ont perdu leur autonomie, les bébés le sont car ils ne l'ont pas encore acquise. Les personnes en proie à l'addiction ont-elles perdu leur autonomie ? Ces dernières sont supposées disposer de leur libre arbitre, techniquement, sur le plan pratique, elles ne semblent pas en perte d'autonomie. Accro (pour accroché) me semble refléter davantage les nuances que je perçois dans *addict*. C'est le coup de pas de chance du poisson hameçonné. Ce n'est pas un choix : c'est le vers qui se tortillait au bout le la ligne qui était tentant et le gober ne devait provoquer aucune conséquence néfaste. Une métaphore n'est pas une définition, mais c'est ma contribution...

Ni bien ni mal ni remède ni poison

L'addiction est pour moi un comportement qui répond à un manque. Manque d'affection, de repère etc. Le problème c'est qu'il s'inscrit dans une société normée contrôlée sécurisé légalisée. Je vois plutôt l'addiction comme un substitut. Exemple possible là où il y a addiction aux jeux (internet) violents n'y a t il pas substitut à une violence envers la société. Etc..

Ni bien ni mal ni remède ni poison

l'addiction est du trop d'une chose au détriment de l'harmonie qui veut un peu de tout. Et par extension comme il y a désordre, il y a carence. L'addiction n'est pas un substitut mais plutôt une béquille. La violence n'est que la conséquence de cette carence.

Plaisir passé...

Selon moi (maintenant, mais j'aurai peut-être changé de vision tout à l'heure en lisant les autres réponses !), l'addiction est un phénomène qui nous pousse à une consommation de quelque chose qui nous a procuré du plaisir un jour, une consommation que l'on s'en-tête à poursuivre dans l'espoir de retrouver le plaisir passé, sans forcément y parvenir. En écrivant, je me dis que cette description s'applique sans doute davantage à une addiction comportementale... "L'addiction est-elle un bien ou un mal ?" Ça dépend du point de vue où on se place... Je dirais que du point de vue de la personne "addict", l'addiction devient un mal si elle détruit la santé ou les relations inter-personnelles. A l'inverse, l'addiction peut sans doute devenir bénéfique si elle permet d'échapper à autre chose pour aller mieux physiquement ou mentalement.

Pareil

Addiction= Dépendance Sommes nous pas tous dépendant? Un loisir , une passion nous rend dépendant (j'peux pas demain j'ai piscine!!)Ou est le mal? Pour ceux qui ont une psychodépendance aux drogues, à l'alcool, ces consommateurs sont dans la recherche de plaisir ou ont un désir de chasser une sensation de malaise.On a du mal dans ce cas à voir le bien! (pour ceux qui ne ne l'on pas vu ou lu je vous citerais le film ou un livre Requiem for a dream) Dans l'addiction, j'ose mettre à coté le coureur de marathon ,l'alcoolique,le toxicomane,la nymphomane,le nanomane,le geek,l'individu,nous..... A chacun sa cam,dirons nous!

L'Addiction? Un mal? Un bien? Un poison?

L'Addiction? La dépendance d'une personne à une substance ou une activité génératrice de plaisir, dont elle ne peut plus se passer en dépit de sa propre volonté. Un mal? Oui parce sans sa pratique ou son utilisation on est pas en l'aise.

Addiction

L’addiction va entraîner une focalisation sur le « produit » et notre vie ne va tourner qu’autour de cela, l’addiction nous prive de liberté.

Selon vous, qu'est-ce que l'addiction ? L'addiction est-elle un bien ou un mal, un remède ou un poison ?

Pour moi une addiction est une conduite qui repose sur une envie répétée et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts de mon cerveau. L'addiction se manifeste dans la répétitivité de la chose au détriment du tout un petit peu. L'addition a pour symptômes l'isolement de la personne. L'homme doit trouver dans la nature le remède au poison qui l'assaille.Je voudrai faire ceci ou cela et je me vois à faire cela. Il y a un désordre entre l'action effectuée et celle que je devrai normalement faire pour ne pas être en conflit avec mon moi intérieur. J'utilise trop mon smarphone et mon ordinateur en tout temps alors que je devrai faire du courrier professionnel ou de m'occuper de ma famille. Une petite vidéo à regarder http://youtu.be/-6fOBSrNUGg

Addict, possessivité???

Pour moi c'est de ne plus être maître de soi-même dans la gestion de son comportement (raisonnable), d'avoir un accoutumance maladive à un bien matériel ou immatériel, ou même à une personne. Est ce si éloigné de la possessivité poussée à l'extrême, ou est ce un prolongement?

Une définition de l'addiction

j'aime bien cet exposé de Jean-Pol Tassin que je trouve assez clair pour des non spécialistes http://www.universcience.tv/video-l-addiction-4937.html

Qu'est-ce que l'addiction?

Bonjour pour moi un comportement est addictif lorsqu'on organise son temps pour mettre en place ce comportement ou cette activité

1

D'après Wikipédia, l'addiction est "une conduite qui repose sur une envie répétée et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire." Il y a donc notion de répétition (engrenage), d'inexorabilité, de conscience de l'anormalité de la situation et une notion de perte de contrôle donc d'atteinte de la liberté.

Une réponse

**Selon vous, qu'est-ce que l'addiction ?** On peut bien sûr répondre à cette question en se basant sur le fameux DSM5 : [Critères diagnostiques d'addiction aux opioïdes][1] (dans ce lien il s'agit des critères pour l'addiction aux opioïdes mais ils sont proches de ceux des addictions comportementales). Mais au final ce qui compte le plus c'est de rechercher une souffrance causée par la répétition d'un comportement, une altération de la qualité de vie, etc... Pourquoi rechercher une addiction si elle n'a pas d'impact sur la vie d'une personne ? **L'addiction est-elle un bien ou un mal, un remède ou un poison ?** L'addiction c'est une perte de sa liberté, c'est une souffrance. Il n'y a pas d'histoire de bien ou de mal et encore moins de remède ou de poison... Peut être qu'au début il y a une souffrance qui sera "soignée" par l'addiction, puis se remède va se transformer en poison. C'est un peu comme un médicament miracle au début, qui fait apparaitre des années après des effets indésirables pires que la maladie d'origine. [1]: http://www.addictauvergne.fr/dsm-5-dependance-opiaces/

Addition = privation de liberté ?

Récemment, une publicité pour une campagne anti-tabac parlait de gain de liberté en arrêtant de fumer. Etre addict, c'est peut-être être pris au piège de quelque chose. Avec de grosses difficultés pour s'en sortir (efforts physiques et psychiques)

Addiction = bien ou mal ?

Jusqu'à présent, je n'ai vu ou connu que des effets nocifs. Quelqu'un a-t-il un contre-exemple ?

L'addiction, un mal ?

Addiction Dans les addictions, il faut prendre en compte la notion de plaisir que donne le produit addictif avant de ne voir que les effets nocifs, c'est bien pour cela que c'est si difficile d'en sortir.

Addiction = souffrance

Le mot addiction évoque avant tout pour moi de la souffrance, je ne peux y voir de plaisir ! Souffrance de la perte de liberté, mal-être quand la substance est manquante ou le comportement dont on est dépendant, impossible... La dépendance inhérente à l'addiction est source de souffrance... Et si l'addiction peut paraître un remède dans un premier temps, par l'apaisement qu'elle apporte, elle devient vite quelque chose qui empoisonne la vie si on ne peut pas se sentir bien en l'absence de la substance ou du comportement...

l'addiction : un plaisir excessif transformé en dépendance

Pour moi l'addiction est au départ l'un de ces petits plaisirs que l'on peut se faire (cigarette par exemple). Ce geste répété, transforme d'un plaisir exceptionnel en quelque chose d'habituelle. Puis, cette routine s'ancrée et fait partie de son identité. C'est à partir de là que l'addiction devient dangeureuse dans le sens où on ne peut plus s'en défaire. L'addiction met en péril le libre-arbitre.

Addiction et excès

A la suite du premier reportage, j'assimilerai l'addiction à un processus lié à l'excès. Chacun d'entre nous consommons à plus ou moins forte dose, nourriture, boissons, internet, sport, ... Nous pouvons en faire de manière tout à fait régulée avec plus ou moins d'assiduité. L'excès arrive lorsque cette activité (se nourrir, boire, regarder un écran, ...) change notre comportement, notre relation à l'autre. L'addiction prend alors le pas et il est, à mon avis, nécessaire que notre environnement nous le fasse constater.

qu'est ce que l'addiction?

BJR Pour moi ce n'est pas un état ,mais le constat que l'on est entré ( à son insu !?,)à un moment donné dans un processus et qu à un moment t+++ on découvre ( ou plus souvent d'autres nous le disent ) que ce processus nous mène dans le mur. jphed

habitude transformée

une habitude, pas forcement mauvaise, transformée en ... ne plus pouvoir vivre sans ... en prendre conscience ou non

social network

[Le court métrage virtuose du jeune Beomseok Yang][1] et si l'usage effréné des reseaux sociaux était une forme d'addiction collective? [1]: http://youtu.be/QBHMO7PRqs0

social network

en effet le réflexe qu on a de s'y connecter dès qu'on a 5mn à tuer relève d'une forme d'addiction en mon sens !

social network

excellente vidéo, merci. Mathéa CM

Faim de vie... TCA

Une petite vidéo des Hopitaux Universitaires de Genève : http://youtu.be/lbljnwQpFnU

Addiction, c'est quoi ?

A mon avis, l'addiction est la dépendance à un objet ou une pratique, par l'attachement, l'utilisation ou l'exercice de manière abusive.

Addiction, c'est quoi ?

Comme jouer à des jeux vidéos pendant 3 h le soir alors qu'on comptait se coucher tôt...

Addiction

C'est une dépendance psychologique voir même physique d'une chose , devenu un besoin pseudo vital selon ses nouveaux repères psychique.

l'addiction ?

Qu'est-ce que l'addiction ? Selon moi c'est lorsqu'on est dépendant à quelque chose, et je pense que ça peut-être tout aussi mental que physique. Être esclave de quelque chose, et avoir un besoin compulsif. L'addiction est-elle est un bien ou mal, un remède ou un poison ? Je ne pense pas que l'addiction soit bien même si elle peut faire se sentir mieux ou oublier. Je ne pense pas que se réfugier dans une addiction pour guérir d'un mal être ou autre est une solution. Un remède pour oublier, pour soulager, mais après ? Un poison, qu'on doit aussi soigner ? Un mal pour un bien, ou un mal pour un autre mal ? Mais peut-être qu'il y'a des addictions qui ne sont pas liées à un manque ou un mal être, peut-être juste que des fois on devient "accro" parce que l'on s'ennuie tout simplement. Mais dans ce cas est-ce une addiction ? A mon avis, c'est différent pour chaque personne et donc compliqué.

Ma définition de l'addiction

Une addiction est une dépendance à une activité ou à un produit licite ou illicite. Son absence produit un manque alors que son consommation produit un effet de soulagement et de bien-être immédiat. Une addiction a des conséquences psychologiques, physiques et comportementales notamment lorsque ce produit un manque. Les effets ressentis ne perdurent pas et demandent une consommation de plus en plus importante pour ressentir des sensations identiques (phénomène d'accoutumance). Il me semble compliqué de parler de remède tant les conséquences sur le long terme font oublier cet état de bien être immédiat. La vie sociale, affective et professionnelle se trouvent mise à mal.

A-t-on toujours conscience de son addiction?

Pour pouvoir répondre à la question, ai-je une addiction? Il serait bon de s'interroger au préalable sur la notion de conscience de son addiction. Je ne suis pas certaine que nous avons toujours conscience de ses dépendances, on est parfois dans le déni ou plutôt la dénégation. De prime abord, je dirais que je ne souffre pas d'addiction, je ne fume pas, je bois occasionnellement et je ne pratique pas de sport de manière intense. Je ne ressens pas de manque lorsque j'éteins mon ordinateur, mon téléphone et pourtant je me rends quotidiennement sur les réseaux sociaux et je regarde beaucoup trop la télé. Finalement la question est: quels critères pour définir une addiction?

A-t-on toujours conscience de son addiction?

Justement, dans le webinaire d'aujourd'hui la question du déni a été abordée. Si l'addiction se comprend forcément de manière subjective et est liée à la notion de souffrance, cette souffrance n'est pas forcément celle du sujet (qui peut-être dans le déni), mais aussi celle de son entourage. Même si on a vu qu'on ne pouvait pas s'appuyer sur une norme pour définir une addiction (nombre de verres, quantité de tabac, nombre d'heures sur un écran), est-ce que l'impact que le comportement a sur la vie normale d'un individu peut être un indice? Par exemple si quelqu'un passe 5 heures par jour devant un jeu vidéo et en oublie de nourrir son chien (ce qu'il ferait s'il ne jouait pas, car c'est normal de nourrir son chien), n'est-ce pas un indice d'une addiction au numérique?

A-t-on toujours conscience de son addiction?

Si l'on peut continuer à avoir une vie sociale normale, une activité professionnelle, un respect des autres, etc., je pense ce c'est un fait de société seulement mais si l'on ne vit plus que sa vie numérique alors là est le danger et pas seulement pour soi-même. Mon cadet a 20 ans et nous n'avons quasiment plus de dialogue sauf par SMS........... et moi j'en deviens dépressive et je culpabilise de n'avoir pas fait ce qu'il fallait à temps

Jouissance

C'est une dépendance. Elle peut être plus ou moins consciente, acceptée et entretenue. L'important c'est qu'elle soit plus jouissive que mortifère, je crois.

qu'est-ce que l'addiction ?

une envie incontrôlable de quelque chose. Si forte, l'envie, que le déroulement de la journée dépend de cette addiction, tout est planifié pour ne pas risquer d'être en manque... Un poison, donc. un mal. Une privation de liberté. On est obsédé, obnubilé par la peur du manque.

Qu'est-ce que l'addiction ?

L'addiction correspond à une dépendance d'un individu à un produit, service ou comportement, nécessitant un recours indispensable et excessif à ce produit, service et comportement. Si elle provoque un soulagement immédiat, l'addiction est par nature néfaste à long terme. Sa nature excessive entraine nécessairement des effets pervers difficiles à maitriser : dégradation physique, économique ou de la relation sociale.

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What is Addiction?

[Cette vidéo décrit bien ce qu'est une addiction.][1] [1]: https://www.youtube.com/watch?v=T5sOh4gKPIg

What is Addiction?

Merci pour cette vidéo, très éclairante de mon point de vue. Mathéa CM

What is Addiction?

Oui c'est intéressant cette partie sur "échapper à la douleur". Mais qu'est-ce qui explique que certains individus se font piéger par une addiction dans le but d'échapper à leur douleur? Est-ce que l'addiction au numérique, si elle existe, rentre dans ce cas de figure? Un échappatoire à la douleur? Comment ça marche?

What is Addiction?

Bonjour Adediez, J'ai moi aussi trouvé cette video très simple et très intéressante (je précise que je parle pour moi et non l'ensemble de l'équipe pédagogique). Pour information, je précise que Gabor Maté est un scientifique de renom, même s'il est contesté par certains, et il a beaucoup dénoncé, entre autre, l'utilisation excessive que les psychiatres et médecins américains ont de certains médicaments, surtout pour les enfants : http://www.democracynow.org/2012/12/25/dr_gabor_mat_on_the_stress Guillaume

Mon point de vue sur l'addiction

Bonjour, En choisissant de me pencher sur le mot addiction - anglicisme de dépendance - et une définition : > Selon l'équipe du docteur Pierrick HORDE : *La dépendance désigne un état psychologique et/ou physique qui se manifeste par un besoin irrépressible et répété, jamais réellement assouvi. Celui-ci peut être lié à une consommation de produits (d'alcool, de tabac, de psychotropes) ou à un comportement (addiction au jeu, au sexe, à Internet...).* De ce point de vue, l'addiction dessert les individus ; est nocive tel un poison. ![l'addiction par Geluck][1] Mathéa CM [1]: /media/14208089508138133.jpg

Mon point de vue sur l'addiction

Merci d'utiliser le terme dépendance...

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ?

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ? Je suis passionnée par tout ce que j'apprends ou découvre sur le Net et je passe beaucoup de temps devant mon écran. Le matin, la première chose que je fais est d'ouvrir mon ordinateur..... Est ce que cela devient une addiction c'est à dire un état de dépendance ?

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ?

Bonsoir! Le webinaire 1 qui sera disponible demain apportera des réponses à votre question :) Stéphanie

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ?

Tout dépend pour moi si cet usage rend créatif ou non.

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ?

Un instant SVP. Une habitude, si néfaste soit-elle, n'est pas une addiction....

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ?

Tout est affaire de dommages (ou répercussions négatives ,pour vous ou pour ceux qui vous entourent); si il n'y en a pas ,pourquoi en faire un problème? à moins que le fait de poser la question manifeste un certain degré de souffrance liée à un ressenti de contrainte interne? JLV

Qu'est ce qui fait la différence entre une passion et une addiction ?

Il y a justement une étude en ce moment sur les différences entre passion et addiction: [etude de l'U de Nantes][1] [1]: http://www.numaddict.univ-nantes.fr/92159834/0/fiche___pagelibre/&RH=1418837111364&RF=1418892142383

qu'est ce que l'addiction?

Selon moi l'addiction est un mal. A partir du moment ou l'esprit est dominé par quelque chose, il n'existe plus de libre arbitre. Nous ne sommes plus maître de nos choix et de nos actions. Il est vrai que la société actuelle nous apportent quotidiennement sont lots de nouvelles addictions. Internet, la télévision, les smartphones, l'alcool, les substances illicites, les jeux en lignes, jeux de hasards..Tout ceci nous écartent des choses simples. Pouvons nous rester une semaines sans toutes ses choses?

Un souci , j'ai tenté deux fois de répondre à Nuggets...

mais la touche "soumettre " était cachée au moment de terminer le message... Rester zen

Un souci , j'ai tenté deux fois de répondre à Nuggets...

Bonjour, ça ne devrait pas avoir lieu, mais rester zen me semble une bonne solution. Je fais remonter l'info. Guillaume

Addiction : plutôt un poison

Une addiction envahit notre vie de manière incontrôlable. Selon des normes inacceptables par la société, l'addiction peut créée des complexes qui nous forcent à satisfaire des pulsions en cachette : alimentation, sexe, jeux, ... A contrario, le numérique est vantée dans notre société (par le marketing "il faut être branché") et d'être en permanence connecté (smartphone à la main ou en voiture, écrans TV, d'ordinateur, tablette en marche, ...) , d'interrompre brutalement une discussion pour répondre à un appel ne choquent plus. Imaginons un parent qui déposerait son enfant à l'école une bouteille à la main, quel accueil il aurait !!!!

un peu de bien, beaucoup de mal

Un acte répété irrépressible, qui me « fait du bien » dans l'instant, même s’il peut me nuire ensuite. (addiction alcool, tabac, drogue et bien d’autre chose). • Une addiction est un mal et un poison, car le besoin irrépressible peut m’amener à faire des actions néfaste pour moi ou pour les autres.

Tous addicts ?

L'addiction au sens strict est un abandon à une habitude négative au détriment de toute autre considération ou préoccupation. L'addiction n'est pas seulement associée aux drogues. On trouve, à titre d'exemple, l'addiction aux jeux vidéos, au sexe, à internet ... Nous sommes tous inégaux face à l'addiction. On parle de vulnérabilité interindividuelle. L'addiction est la conséquence du circuit de la dépendance et devient une pathologie psychiatrique complexe et chronique à partir du moment où il y a eu passage de l'impulsivité à la compulsivité. Je m'explique : vous pouvez consommer de façon récréative ce qui vous plait mais dès lors que survient la compulsion de trouver cette chose plus qu'une autre (si on préfère consommer de l'héroïne au lieu de se nourrir par exemple) alors vous entrez, sans le savoir, dans la compulsivité. Cette dernière peut mener vers de la dépendance. Seule solution pour s'en sortir : le sevrage. Dans ce cas l'addiction aux drogues est vue comme un "mal" dans le sens où la motivation pour trouver de la drogue est plus importante que tout le reste (s'alimenter, boire, avoir une vie sociale ...). De plus, l'addiction est totale lorsque la personne poursuit la consommation de la drogue en dépit de conséquences négatives. Pour vous donner un exemple sur des sujets murins (souris), ces derniers continuent à s'autoadministrer des drogues malgré les chocs électriques qu'ils peuvent subir à chaque administration. De nos jours, la neurobiologie de l'addiction est connue mais pas dans les moindres détails. Les chercheurs savent pertinemment que le cortex préfrontal, le noyau accumbens, l'aire tegmentale ventrale, l'hippocampe, l'amygdale ... sont des structures impliquées dans la mise en place de l'addiction. Le fait d'avoir découvert les liens existant entre ces différentes structures cérébrales, a permis de comprendre les voies associées aux stress. Par exemple, le syndrome de stress post-traumatique (mis en évidence chez des militaires américains rentrant d'Afghanistan) est mieux compris de nos jours suite à l'étude des "réseaux liés à l'addiction". Chez un sujet normal, lorsqu'un stress survient, les fonctions de l'amygdale (gérant les émotions telles que l'anxiété et la peur) et l'hippocampe (impliquée dans la mémoire et l'apprentissage de faits) sont renforcées. Cette consolidation d’événements stressants permet de "préserver" le cortex préfrontal et ainsi d'éviter au mieux ces situations dans le futur. En revanche, chez des personnes souffrant du SPT, la transmission de neurotransmetteurs dans le cortex préfrontal est amplifiée et cela contribue aux rappels en mémoire constants, aux flash-backs intrusifs et traumatiques. A la lumière de cet exemple, on peut émettre l'hypothèse que l'addiction est un "bien" dans le sens où cela a permis aux chercheurs de mieux comprendre ce syndrôme, provoquant des milliers de suicides à travers le Monde. Non pas l'addiction en tant que telle, mais le fait de comprendre les réseaux cérébraux de l'addiction est bénéfique, et constitue est forme de remède pour des personnes souffrant de stress traumatiques. Ophélie JOLY, étudiante en Neurosciences

Tous addicts ?

Merci Ophélie pour ce développement très intéressant qui permet d'aborder une facette positive de l'addiction. Je ne voyais pour ma part que le côté négatif.

Tous addicts ?

Bonjour Ophélie, Je vous remercie de nous expliquer que les recherches sur l'addiction ont permis des avancées dans d'autres domaines et pour d'autres troubles. Auriez vous des références à nous donner quant à ces explications? Je pense qu'il faut faire attention quand vous dîtes que l'addiction est un abandon à une habitude négative. Cela sous-entend que la personne choisit de se laisser aller et qu'elle est, par conséquent, responsable de l'addiction dont elle souffre. Ensuite, pour reprendre les termes de Marc Valleur, je pense qu'il serait plus juste de dire que l'addiction se traduit neurologiquement par le circuit de la récompense, si l'on pense que le corps et l'esprit, le psychologique et le biologique, sont comme deux facettes d'une même pièce. Qu'en pensez-vous? Guillaume

Qu'est-ce que l'addiction?

Selon moi, la première utilisation du terme "addiction" correspondait à la toxicomanie. Ensuite sont apparues comme addictions des phénomènes antérieures aux prises de drogues illégales (rappelons qu'à une certaine époque dans le passé la prise d'opium, le tabac, l'alcool n'était pas considérée comme une addiction mais comme un fait de société et de culture). Aujourd'hui on parle sex-

Réponse à la question 1

L'addiction est de mon point de vue forcément un mal. Toute chose pratiquée ou consommée à l'excès est nuisible. Si l'on parle d'addiction, on est dans une idée de dépendance donc de manque en cas d'absence. S'il y un manque, il y a un mal-être. C'est donc forcément mauvais.

Mes addictions

Nous sommes tous victimes. Pour ma part, la course à pied. 3 fois par semaine et pas une fois de moins...sinon il y a un manque. Mais il y a la cigarette, que j'ai arrêté mais qui me hante et parfois je craque!! On peut être victime d'une addiction et de ses propres paradoxes!!

Mes addictions

Si la dimension addictive du comportement peut etre commune ,tout n'est pas pour autant équivalent en terme d'intoxication et de dommages JLV

Réponse à la question

Pour moi, une addiction ou une conduite addictive est un comportement qui nous asservi de quelque chose, substance ou comportement. On ne peut pas s'empêcher d'adopter ce comportement, pensant qu'il va nous apporter un bien-être, sans pour autant que nous soyons apaisé après l'avoir observé. L'addiction est un mal, car c'est un comportement impulsif, compulsif. Personnellement, je ne pense pas avoir de comportement addictif, mais j'ai souffert de boulimie quand j'ai été plus jeune et pour moi c'était une période de mal-être absolu. J'ai fumé aussi pendant 20 ans, et j'étais très addictive - au point de ne pas pouvoir m'empêcher de fumer chaque jour et dès le matin- mais cela fait 10 ans que j'ai arrêté et je n'ai pas du tout envie de recommencer.

Réponse à la question

Je suis tout à faitd'accord avec vous sur la définition de l'addiction qui best une forme d'asservissement rendant sa victime esclave et sans défense . donc c'est un mal et n'est pas un remède à tous les problèmes que l'homme doit résoudre dans sa vie .

Addiction

La consommation de substance par exemple n'est pas à l'origine un besoin vital, comme le fait de devoir dormir ou manger. Mais être Addict à quelque chose est le fait a mon avis que cette consommation devient vitale, sous peine d'avoir des troubles de comportements, physiques.... L'addiction créer un manque, une dépendance. Et l'addiction procure du plaisir et un soulagement éphémère, mais qui devient un besoin difficilement contrôlable. J'ai du mal, pour ma part, à différencier l'addiction de la nocivité.

Addiction

J'aime bien que vous compariez la dépendance à un besoin vital. Car un individu dépendant n'a besoin pour survivre que sa dose quotidienne.Même si cela le tuera éventuellement. Tout est organisé en fonction du plaisir de consommer...

Addiction positive?

je dirais qu'une addiction est un mal qui cible le ou les points faibles de chacun d'entre nous pour nous rendre dépendant. Pour ma part, je pense être accro au sport car j'ai l'impression d'avoir un manque quand je n'en fait pas pendant plusieurs jours. Je ne sais pas si on peut alors parler ici aussi d'addiction puisque je ne pense pas que cela soit mauvais pour moi.

Addiction positive?

La dépendance se définit comme un état qui empêche l'individu de fonctionner et de ressentir. Si je bois un verre de vin ou plus le lundi soir, et que je vais travailler le mardi matin, il n'y a aucune entrave à mon fonctionnement psychosocial. Si je bois un verre de vin¸, que je ne peux m'arrêter et que je ne rentre pas au travail, là ma conso est problématique, quelle qu'elle soit...

Addiction positive?

Bonjour quand vous parlez de manque si vous ne faites pas de sport, est ce que vous en êtes à la souffrance physique intense et à l'idée fixe obsessionnelle qui ne s'arrêtent qu'après avoir pratiqué , ou est ce juste la sensation que 'c'est mieux avec ' ?

Addiction positive?

La notion de souffrance est effectivement importante lorsque l'on parle d'addiction. Stéphanie

l'addiction, une affaire personnelle

L'addiction est un terme qui fait peur. Il ramène très souvent à des notions de justice, de conséquences néfastes médicosociales voire professionnelles. Pour moi, il s'agit avant tout d'une relation ou d'un comportement particulier avec ou sans substance, propre à chacun: dépendance mais aussi mésusage. Aussi il est difficile de dire si cela est bon ou mauvais. Si un usage régulier de sport devient nécessaire, quel délit y a-t-il? Aussi, ce plaisir propre à la personne doit-il être corrigé si cela ne l'empêche pas d'avoir une vie sociale et professionnelle épanouie? Cela n'est pas forcément vrai pour l'alcool ou le cannabis par exemple...

L'addiction comme mécanisme de défense

L'addiction, que je nommerai dépendance, est le résultat de facteurs de protection déficients et de facteurs de vulnérabilité très présents... La dépendance est utilisée comme moyen de défense contre les agressions exterieures parce que l'individu n'a que cela pour assurer sa survie psychologique...

addiction ou dépendance ?

Pour commencer je différencie addiction de dépendance, en effet, on peut être dépendant de sa voiture pour aller au travail par exemple ou partir en vacances, mais de là à en être addict...il y a un fossé dans lequel on ne peut décemment pas tomber... Par la suite j'estime que l'essence même de l'addiction serait une mauvaise gestion de ses émotions. Surtout si on finalement on relie les différentes définitions existantes de l'addiction. C'est pour cela que je pense qu'il est difficile de dire si c'est un bien ou un mal...Car dans un premier temps c'est une réaction de soulagement à des tensions internes donc plutôt un bien mais c'est par la suite que cela devient un mal quand il faut augmenter ses consos ou pratiques coûte que coûte pour en ressentir les effets.

addiction = souffrance

Bonjour pour moi l'addiction est un mal au sens où il s'agit d'une consommation qui n'est plus contrôlable par la personne qui en est victime, et dont le manque entraine une souffrance physique ou psychique. La consommation en elle même peut être un plaisir (et les conséquences une souffrance pour la personne concernée ou son entourage) , ou un moyen d'échapper à une souffrance. Je placerai la limite entre l'abus et l'addiction au niveau de la crise de manque.

qu'est ce que l'addiction?

Pour moi, l'addiction correspond à une dépendance, que ce soit à une substance (drogue, alcool, médicaments) ou à une activité (jeu, sexe, etc.). Il peut s’agir d’un remède à un mal-être, mais à partir du moment où il y a dépendance, où la vie ne peut pas se dérouler en toute autonomie sans cette « béquille » il s’agit d’un poison qui empêche de construire un comportement de femme ou d’homme libre.

qu'est ce que l'addiction?

ce n' est pas une poison mais plutôt un désir de résoudre notre tendance nos curiosité, nous sommes de natures curieux, la recherche des nouveautés a toujours emportée dans notre vie

discussion

qu'est-ce que l'addiction? est-elle un bien ou un mal, un remède ou un poison? Selon moi, l'addiction est une perte de contrôle ou le besoin devient un manque dès qu'il y a absence. C'est à la fois une bonne chose comme une mauvaise, cela dépend comment on l'utilise. Exemple: on peut être addict à manger sainement, c'est très bien pour la santé. On peut être addict à la télévision et là on ne vit que par procuration. Tout dépend de nous.

Addiction

Pour moi, l'addiction est un besoin ressenti par une personne, qui nous pousse à avoir un comportement qui nous éloigne d'une vie équilibrée. L'addiction est à priori un mal, mais elle peut dans certains cas être un bien: - pour oublier le poids néfaste d'une réalité - quand elle constitue une passion productive

Ma définition de l'addiction

C'est quand la raison n'a plus sa place dans la consommation d'un produit ou autre et que seul le besoin domine.

1ere question

l'addiction n'est pas bien dans le sens ou l'on perd sa liberté tant dans son comportement , sa raison, ses dépenses et autres

Définition personnelle

C'est une dépendance à un besoin (comportement, substance, objet, ...) nocif pour l'individu qui provoque chez ce dernier un déséquilibre (comportemental, social, physique,...).

Addiction

Bonjour, Je pense que l'addiction à un certain niveau est toujours mauvaise. Il ne faut jamais être addict à mon sens. Toutes addictions n'est jamais une solution. C'est un remède et un poison.

Une privation de liberté

L'addiction est une "dépendance très forte (à une substance nocive) entraînant une conduite compulsive." nous dit le Robert. Qui dit dépendance dit privation de liberté. Donc nécessairement, l'addiction est négative. L'addiction implique un enferment de la personne dans l'univers de l'addiction sans pouvoir s'en sortir seul.

Une privation de liberté

L'addiction est une "dépendance très forte (à une substance nocive) entraînant une conduite compulsive." nous dit le Robert. Qui dit dépendance dit privation de liberté. Donc nécessairement, l'addiction est négative. L'addiction implique un enferment de la personne dans l'univers de l'addiction sans pouvoir s'en sortir seul.

Une privation de liberté

Sans pouvoir s'en sortir seul ? Tout dépend de la personne, j'en connais qui s'en sont sortis seuls et d'autres qui même accompagnés n'en sont jamais sortis

Une privation de liberté

Bonjour, Effectivement, certaines personnes s'en sortent toutes seules, on parle alors de "rémission spontanée"... Cordialement, Stéphanie

L'addiction est...

une dépendance à quelque chose ! Qu'elle soit physique ou psychique, elle ne peut pas être jugée comme bonne ou mauvaise. Ce sont les effets induits que l'on peut qualifier ainsi.

L'addiction est...

Une bonne cause pourrait produire des effets néfastes ?

Réagir avant les problèmes et prendre conscience de son addiction

L'addiction est un problème !!! Pour moi une addiction peut vite devenir un problème: A différent niveau bien sur mais je pense que on devient addict à quelque chose sans même sans rendre compte ou en refusant de s'en rendre compte se disant que ce n'est pas grave et que l'on peut en sortir quand on veut ce qui est faut !!! c'est là que ca devient un problème. Pour moi peut importe l'addiction dont on souffre, il me parait difficile d'en sortir seul et il faut avant tout l'accepter pour se donner des chances d'en sortir !! Quand la vie s'organise autour d'une addiction il est déjà trop tard ( pas pour s'en sortir mais pour éviter d'une habitude devienne une addiction) Je penses que peut importe l'addiction, cela est dans tout les cas un mal qui cache quelque chose qui peut devenir un vrai problème et qui peut avoir de graves conséquences ( familiale, professionnelle, judiciaire, ....)Alors si l'addiction peut être un remede dans le sens ou elle va répondre à un besoin qu'on ne peut pas controler et va apporter un bien être sur le coup, l'addiction reste dans tout les cas un poison qui nous couper du monde de la réalité de la famille et de l'entourage qui ne pourra pas toujours comprendre et surtout qui ne s'est jamais douté qu'une personne à un problème. Il faut donc reéussir à surmonter cette addiction se donner tout les moyens de s'en sortir pour que ce problème soit utile pour d'autre et reprendre le controle de sa vie avant de tout perdre dans les cas d'addiction les plus grave !!!

addictions

Quelques addictions : il y a longtemps pendant quelques mois difficiles : addiction à l'alcool le soir après le repas. en ce moment : addiction aux jeux sur mobiles et auparavant sur ordinateur et souvent addiction au chocolat. point commun : dépendance forte malgré le sentiment que cela n'est pas rationnellement souhaitable.

addictions

On peut dire alors qu'il y a un lien entre addiction et émotion? "mois difficiles"

Addiction

Aux regard du monde extérieur ou à ses propres yeux ? Remède ou poison ? Les 2, cela dépend à mon sens si on plonge seul ou si on entraîne quelqu'un ?

Addiction

Je crois que la différence c'est plutôt le résultat de l'addiction: est-ce que Van Gogh était adicte à la peinture? Thomas de Quincey?

âge et addiction

Il y a quelques personnes pour ce MOOC, mais quel âge avons-nous en moyenne (pour ma part 48 ans), peut-on donc se poser la question à nouveau de la définition même de l'addiction. L'alcool pour une personne de mon âge ne sera pas forcement une addiction mais le "net" pour mon fils oui...Pour quelqu'un de mon âge peut-être est-il plus facile d'accepter le terme de dépendance !!

âge et addiction

Bonjour. Nous disposons de quelques informations démographiques minimales sur les participants. Voici les données aujourd'hui 15 janvier. En vert les hommes, en orange les femmes. La dernière colonne comprend les données non connues. ![Démographie @ddict?][1] [1]: /media/14212683881038294.png

âge et addiction

Alors, cela signifie qu'il y a plus de femmes âgées que d'hommes?

âge et addiction

A vue d'oeil c'est possible, au moins pour ceux nés avant 1961. Mais je ne suis pas sûr que ça soit significatif statistiquement, i.e. qu'il y ait une différence significative (= non due au hasard) entre la population des participants du mooc et la population française ou francophone. Il y a également au moins 70 personnes qui ne donnent pas de sexe (la barre bleue à droite).

Besoin

Addiction: besoin non vitale dont on ne peut se passer. L'addiction est crée par la société de consommation: Création d'un produit, création d' une mode, création d'un besoin, création de l'addiction...

L'addiction

Pour moi, de l'extérieur, l'addiction ressemble à un comportement insensé, de renfermement mais qui révèle un malaise, une souffrance de la personne "victime" qui agit comme un poison, en tout cas, jusqu'à ce que la personne elle-même s'en rende compte (en espérant qu'elle s'en rende compte). Mais l'addiction peut être vue comme bénéfique pour les industries, qui peuvent baser leur économie là-dessus (je pense à certains jeux sociaux que l'on trouve sur un certain réseau social).

qu'est que l'addiction

L'addiction est un comportement de dépendance à un produit dans lequel on a mis de l'illusion et en lequel on croit

addiction ?

L'addiction est la dépendance incontrôlée. C'est quand vous n'êtes plus maître de faire ou ne pas faire. Beaucoup (dans les réponses sur le forum) parlent de dépendance a un produit mais cela peut aussi être a un comportement. Par exemple pour les fumeurs l'addiction n'est pas tant a la cigarette et ses composants qu'au geste, qu'à la "pose cigarette". L'addiction vient peut-être plus de ce que la personne associe à l'acte au départ et qui d'encre dans son esprit, a son insu.

un bien ou un mal, un remède ou un poison

Je pense qu'il y a mise en place de l'addiction quand le produit de celle-ci est associé a un bien, un remède au départ et qu'il devient justement un mal, un poison quand il est addictif.

suite de ma réflexion

Pour faite suite a la notion de bien et de mal, de maitrise ou non, je me suis alors demande si j'etais addict au bonheur? Oui tous les jours je tend au bonheur donc je suis dans la repetition, dans l'endoctrinement (la positive attitude), oui quand je ne suis pas dans ce comportement je suis moins bien. Non ce n'est pas mal et plutot bien. Alors est-ce qu l'addiction doit remplir plusieurs conditions en meme temps. Et vous, etes-vous addict au bonheur? Qu'en pensez-vous ?

suite de ma réflexion

Bonsoir Corine, En se plaçant sur un point de vue médical, l'addiction renvoie à la notion de souffrance... Il me paraît donc paradoxal d'être addict au bonheur :) Personnellement, tout comme vous, j'essaye (avec des hauts et des bas) de tendre vers le bonheur tous les jours! Cordialement, Stéphanie

une dépendance

Pour moi, l'addiction est le fait de ne plus pouvoir se passer d'une substance, d'un comportement qui au départ ne fait pas partie des choses indispensables à la vie.

JEUX DE LETTRES

Peut-être par rapport aux jeux de lettres. Dès que j'allume ma tablette, j'aime bien jouer à Ruzzle.

Connotation négative

L'addiction a, selon moi, une connotation négative : c'est un besoin excessif et irrépressible qui dépasse l'entendement bien qu'il ne soit pas vital.

Connotation négative

Je me permet une question : l entendement de qui ?

Une définition de l'addiction

Je définirais l'addiction comme étant une dépendance. L'objet de la dépendance devient un besoin dont la personne ne peut se passer. En ce sens, l'addiction n'a rien de bénéfique parce qu'elle prive la personne d'une certaine liberté (assouvir absolument un besoin qui n'est pas nécessaire, qui n'est pas vital).

Tout dépend de ce à quoi on est addict.

Entre être addict à la lecture et addict au jeu, je pense que la lecture favorise un peu plus le développement personnel, la réflexion (tout dépend aussi ce qu'on et/ou à quoi on joue...) Je pense quand même que peu (pas?) d'addictions ont un effet 100% positif sur la personne concernée. Même si c'est une addiction à la musique, le fait de se coucher à 2h du matin tous les jours pour en écouter, découvrir de nouveaux artistes, ou en faire, n'est pas un comportement sain à la longue. Dans certains cas, je pense qu'elle peut être une thérapie pour soigner certains maux psychologiques, et se plonger à corps perdu dans la passion pour oublier d'autres événements plus douloureux.

addiction

Il s'agit d'une dépendance où les risques sont un poison, un mal pour la personne concernée.

Dépendance

L'addiction est une dépendance, un besoin irrepressible de faire telle activité ou de consommer telle substance, pour prendre du plaisir. Au début, c'est pour cela que l'on y revient, pour retrouver ce plaisir ressenti les premières fois. Et petit à petit, ce besoin devient une nécessité, la recherche du plaisir nous entraîne parfois à consommer ou agir de façon excessive, le plaisir n'étant plus forcément présent mais il devient impossible de s'en passer. Le manque commence à se faire ressentir et plutôt que de se sentir "mal" on continue afin d'assouvir ce "besoin", au détriment de la vie sociale, familiale, au détriment même des besoins vitaux (sommeil, alimentation...) Il ne faut pas confondre une consommation abusive, excessive avec une addiction où la notion de dépendance (physique et/ou psychique) est forte.

Acte de plaisir engendrant une dépendance

L'addiction peut se définir comme un acte répété et prolongé dans le temps recherché avec avidité pour le plaisir mais engendrant une dépendance à un produit psychotrope ou une situation génératrice de sensations fortes

Acte de plaisir engendrant une dépendance

Je ne pense pas que la notion de sensation forte puisse être la seule source d'addiction notamment dans le numérique. Si l'on prend l'exemple d'un joueur de MMORPG, il peut développer une addiction parce que la progression de l'avatar du joueur, et donc par dérivée du joueur lui même, est linéaire et progressive alors que sa vie réelle peut être en stagnation (echec scolaire, travail peu gratifiant, solitude etc...)

Acte de plaisir engendrant une dépendance

Bonjour, votre remarque est intéressante. Il est vrai que le jeu vidéo offre un monde dans lequel les moyens de reconnaissance sont nombreux, en effet dans l’univers du jeu les exploits sont reconnus par le jeu mais aussi par les autres joueurs qui reconnaissent la performance. Marine

Dépendance

Impossible de s'en passer ; sensation de manque quand l'objet d'addiction n'est pas disponible

Addiction

L'addiction est une forme de dépendance liée la recherche du plaisir, du bien-être ou de l'oubli.

suis-je victime d'une addiction ?

Non, je ne pense pas en être victime, mais je suis très intéressée par ce sujet pour comprendre le fonctionnement des personnes dépendantes, et notamment des ados.

Qu'est ce que l'addiction ?

L'addiction est le fait d'avoir certains comportements compulsifs dont la volonté est incapable à gérer ou à mettre un terme. Elle est un mal car elle entrave la liberté d'un individu; dans ce sens elle est plutôt un poison.

Qu'est ce que l'addiction ?

Je suis en partie d'accord. Je pense qu'en plus d'un comportement obsessionnel-compulsif, l'addiction se définit comme une réponse aux angoisses, coupant ainsi le lien rattachant la personne à ses émotions et sentiments. Je pense que c'est un moyen de fuir la réalité qui est alors insoutenable pour la personne. C'est un remède dans le sens où c'est une solution que la personne a trouvé à un problème rencontré et un poison à la fois car comme vous le disiez, cela entraîne la perte de contrôle, une dépendance physique et psychologique accompagné ou non d'effets secondaires.

La musique

Je préfére la musique, car elle m'a beaucoup apporté dans ma vie, je choisis ce que j'écoute en fonction de mes activités (musique classique, rock, mais aussi musique naturelle). J'ai fait un stage il y a quelques années où l'on m'a fait comprendre l'impact de la musique sur l'individu. Nous ne réagissons pas de la même manière s'il nous écoutons une goutte d'eau tomber, une vague venant sur le rivage, un coup de tonnerre, le vent, les oiseaux chanter, une petite sonnette). Je me suis laissée aller à vivre intensément l'instant en écoutant différents sons, (qui sont employés en relaxation), mes émotions. Cela m'a appris beaucoup de choses (que l'on peut aller de l'état de stress à l'état de plenitude, puis pleurer même en dormant en écoutant de la musique. Mais c'est une belle expérience, et je suis mélomane depuis mon enfance car j'avais de bons profs de musique et des amis jouaient dans un groupe de Hard. Mais je n'en suis pas dépendante pour autant.

1ere Question !!!

A mon avis, l'addiction est la dépendance physique, psychologique ou physiologique d'un individu à une substance ou à un comportement de façon à en avoir des conséquences néfastes sur soi ou sur son entourage

addiction la question

L'addiction c'est un mal, un poison de l'esprit, effectivement généré par la société moderne qui offre un statut particulier et très flatteur à l'image et les interfaces pour capter les images, les visionner, les arranger, les collectionner, les partager etc. . l'image pour moi est apparentée à l'idée de possession, je prends pour exemple les photos que les personnes prennent des œuvres d'art dans les musées... Connaissant depuis longtemps ma faiblesse addictive à l'image, je vis depuis 12 ans déjà sans TV mais les interfaces numériques ont progressivement envahi ma vie. Actuellement je remarque le caractère virtuel de tout cela et m'interroge sur ce qu'est vivre vraiment, c'est à dire libéré de cette addiction...

addiction la question

Bonjour, si cela ne vous gêne pas de donner un peu de détails, qu'appelez-vous une "faiblesse addictive à l'image" ?

Addiction suite

Je vis également un aspect fuite des réalités dans le fait de céder à l'addiction...

L'addiction en trois temps

Quelques bribes de réflexion quant à la question posée: le sens éthymologique de ce mot, les aspects "thérapeutiques" de l'addiction vus selon l'intérêt d'autrui et enfin la notion de déséquilibre présente dans l'addiction. Ethymologiquement la notion d'addiction vient du latin "ad-dicere", expression latine employée à l'encontre des esclaves qui, n'ayant droit à un patronyme, se voyait apostrophés par la précédente locution, signifiant "dire à". Cela conforme ainsi mon impression de départ ralliant l'addiction à la servitude, à la perte d'identité et à d'autres notions péjoratives. Personnellement, je ne vois pas comment l'addiction pourrait être un bien ou un remède pour soi. En revanche elle peut être un "bien" utilisée comme outil de manipulation. En effet, il existe plusieurs niveaux de manipulation, lorsque certains ont un caractère clairement win-loose (c'est-à-dire lorsque la manipulateur a un comportement qui ne bénéficie pas au manipulé) au win-win (par exemple, lorsqu'un parent voudrait induire un comportement addictif à son enfant vis-à-dis de la lecture de livres didactiques, voire de livres tout simplement). Ainsi l'usage de l'addiction comme remède à des fins manipulatoires win-win suppose un comportement manquant de la part du manipulé. Cela implique dès lors une faiblesse de la part du manipulé (immaturité, insuffisance cognitive...), ainsi nous revenons à la coercition et à la servitude. Les addictions sont en général liées à des comportements exagérés. Or tout comportement sain devrait être mesuré afin de ne pas empiéter sur les droits, devoirs et envies saines de son initiateur. Tout comportement sain ne devrait pas non plus priver l'initiateur de contact équitable avec la société. Dès lors, l'addiction est un "mal" voire un poison pour celui qui en souffre et ne sera donc un possible remède uniquement si l'addiction à des fins manipulatoires afin de changer de façon coercitive la personnalité du manipulé.

L'addiction en trois temps

Bonjour Aurelia, On peut par exemple voire l'addiction comme un bien parce qu'elle permet de mettre à distance certaines souffrances, et d'oublier certains problèmes. La substance utilisée (ou l'outil), devient ainsi un moindre mal pour la personne en difficulté. Qu'en pensez-vous? Guillaume

L'addiction en trois temps

Bonjour, "On peut par exemple voire l'addiction comme un bien parce qu'elle permet de mettre à distance certaines souffrances, et d'oublier certains problèmes.": je pense que si ces souffrances sont mises à distance, elles ne disparaissent en aucune façon... Et le retour de bâton risque d'être violent.

L'addiction en trois temps

Bonjour monnat, Je suis d'accord avec vous, elles ne disparaissent pas et le soulagement n'est que momentané. Mais si l'on va dans ce sens je trouve que cela amène d'autres questions. Guillaume Pourquoi des individus en viennent-ils à recourir à un tel moyen de se soulager de leur souffrance? Cette souffrance est-elle si grande? Les offres de soin médicales comme psychologiques sont-elles si peu connues? Si peu adaptées?

Mes addictions

Question hautement personnelle et visant à mettre son âme à nu. Je vais donc jouer le jeu: mes addictions sont selon moi de deux formes: numériques et primaires. Mes addictions numériques sont principalement liées mon smartphone et à mon ordinateur mais surtout à ce qu'ils me permettent de faire: être en société, parler à de nouvelles personnes et découvrir des horizons nouveaux. Comme pour la télé, longtemps décriée comme endormeuse de cerveau, il s'agit surtout de ce que l'on fait de nos objets connectés: allons nous perdre notre temps mais peut etre aussi prendre le temps de se détendre sur Candy Crush ou préféront nous découvrir une branche de la biologie concernant la néoténie? Mes addictions primaires sont liés à mes besoins de liberté et de découverte, à mon besoin d'amour mais également aux besoins de mes papilles et de sucre. Ce dernier est clairement un aliment aux vertus addictives. Pour revenir au caractère sociale des nouvelles technologies, elles sont clairement liés à mes addictions primaires dans mon cas. En effet, internet m'a permis de combler mon besoin d'amour quitte à m'envoyer sur le chemin addictif qu'il implique. Internet m'a également permis de mettre en synergies mes besoins de découvertes. Finalement, dans mon cas, je dirais que mes addictions sont mes besoins nourris de manière passionnée. Quant à mes non-addictions, je suis un traitement anti-douleurs qui pourrait m'y pousser, pourtant en étant stricte au niveau des prises de se médicament et en écoutant mon corps je n'ai aucun problème addictif médicamentaux. Comme quoi les addictions personnelles sont surtout une question de volonté et de sagesse. Il faut vraiment réfléchir à ce qui peut découler lors de nos agissements. En général rien n'est jamais gratuit.

qu'est-ce que l'addiction

l'addiction est une compensation de vide ou de manque de satisfaction d'un ou de plusieurs besoins attendus d'autres personnes que soi. C'est aussi l'expression que notre présent ne nous satisfait pas. C'est aussi un signe que nous sommes vivants et pouvons nous passer de besoin attendu d'autrui.

pensez-vous être concerné par une addiction?

Je pense être concerné par l'addiction. Je pense que je vis la rêverie de façon addictive. En effet je me trouve souvent en retard pour répondre à des obligations professionnelles et sociales pour avoir passer mon temps à rêver.

pensez-vous être concerné par une addiction?

C'est original et intéressant car on a plutot tendance à décrire en général la rèverie comme une ouverture ,voire un antidote de l'addiction ;son caractère délié ,à distance de l'urgence de faire ,et meme de penser,contribue à cette vision ; pourtant certaines rèveries récurrentes , et plutot stéreotypées , sont vécues comme contraignantes et dommageables;s'agit il pour autant de processus addictif ou faut il parler d'obsession ,ou encore de conduite d'évitement? en tout cas votre témoignage est stimulant de ce point de vue! jlv

addiction...no way

a mon sens, l'addiction ne peut être quelque chose de positif parce que par définition elle fait perdre le contrôle a celui qui en souffre... elle peut etre un poison si elle est poussée à l'extrême et qu'elle devient omniprésente... le remède? en parler autour de soi, s'imposer des exercices simples à réaliser petit à petit...

addiction

L'addiction est un comportement répétitif visant à procurer du plaisir et/ou à soulager un mal être. elle prend une place importante dans la vie au point de délaisser d'autres centres d'intérêt . C'est aussi une perte de contrôle ,perte de liberté. est ce un bien ou un mal? en tout cas, elle a une fonction . elle peut permettre d'atténuer des souffrances insupportables ,d'anesthésier, d'oublier .En ce sens , elle peut servir de remède . un poison? aussi ,car souvent, il y a des conséquences négatives, des pertes à différents niveaux (argent, santé, familial ...)

Bien ou mal?

Pour moi l'addicion est un poison car c'est quelque chose qu'on n'arrive pas à gérer, on n'est plus maître de soi et, quelque fois, on ne peut même plus ressentir les bienfaits que notre addiction est sensée nous apporter.

Bien ou mal?

Pour moi l'addiction est une dépendance (boisson, drogue, médicament, sport, travail, jeux). Il me semble que la personne se procure ainsi un bien être (à mon avis relatif), du plaisir.La personne a conscience ou pas de sa dépendance. Elle peut vouloir s'en passer,s'en libérer mais cela nécéssite à mon avis un suivi médical.Pour résumé, il me semble qu'il y a addiction quand il y a plusieurs facteurs: dépendance, répétition, plaisir et perte de liberté.

un poison plus ou moins accepté par la société

Pour moi l'addiction est une dépendance (boisson, drogue, médicament, sport, travail,jeux). Il me semble que la personne se procure ainsi un bien être (à mon avis relatif), du plaisir.La personne a conscience ou pas de sa dépendance. Elle peut vouloir s'en passer,s'en libérer mais cela nécessite à mon avis un suivi médical.Pour résumé, il me semble qu'il y a addiction quand il y a plusieurs facteurs: dépendance, répétition, plaisir et perte de liberté.

addiction

Une addiction est une conduite qui se répète quotidiennement, régulièrement alors que la personne a perdu tout contrôle. On note une notion de dépendance à la fois physique et psychique qui se définit avec un phénomène de tolérance, un syndrome de sevrage, une augmentation du temps pour rechercher le produit, des tentatives infructueuses pour arrêter, un retentissement fonctionnel. Perte de liberté. Quelques chose qui était un plaisir devient une contrainte, un poids, quelques chose tout on a vraiment du mal à se libérer. Il peut être associé une pathologie psychiatrique favorisant l'addiction (cercle vicieux alcool- dépression.

réponse 1

L'addiction est une dépendance de l'être à quelque chose. Elle est par définition négative à l'homme car elle l'empêche d'être libre.

réponse 2

Oui j'ai des addictions alimentaires : le chocolat et certains biscuits

définition de l'addiction

Selon moi, l'addiction est une perte de contrôle de ses consommations ou comportements. La personne vient à consommer, non plus par plaisir comme ça pouvait l'être au départ, mais pour éviter d'être mal.

Semaine 1 / 1.2 Vos addictions

Etes vous concerné par une ou plusieurs addictions?

Je suis fumeuse depuis bientôt 30 ans avec cependant de longues périodes d'arrêt (5 ans et 6 ans plus de petites ruptures). Ceci dit, fumer est un besoin très fort et je ne peux me résoudre à abandonner totalement le tabac. Il agit sur moi comme un calmant parfois, comme un dynamiseur sinon.

non

je ne pense pas souffrir d'addiction, je suis un passionné de beaucoup de choses, mais je peux vivre sans, sans que cela génère chez moi un sentiment de manque . de ce fait je retrouve du plaisir à m'adonner à ces passions mais je ne suis pas angoissé si je ne puis le faire.

oui

J ai une addiction au tabac (très bon score établi par un tabacologue lors d une unique tentative de sevrage ). Je me demande si l atavisme est un facteur pertinent dans ce type d addiction ? Pour ce qui est du numérique le MOOC viendra répondre à la question... Le point qui semble le plus me toucher c est le besoin de reconnaissance , quelque chose qui toiche a l estime de soi et internet nourrit ce besoin. Avec quels risques ?

non

Dans la mesure où l'addiction suppose la dépendance à l'égard de substances, d'objets ou de personnes extérieures à nous, elle est une manière de nous détourner d'une réalité qui semble ne pas avoir de sens. L'âge m'a appris que la vie n'a que le sens qu'on lui donne et on ne peut lui en donner un qu'en agissant dans un domaine qui permettra une réalisation de soi-même. C'est sans doute le privilège de l'âge que d'accéder à cette réalisation, mais comprendre que s'accrocher à des choses qui ne dépendent pas de nous est illusoire, me paraît accessible à tous.

Je ne pense pas...

**Pensez-vous être concerné par une ou plusieurs addictions ?** Je ne pense pas. Ma réponse peut surprendre car c'est n'est pas un "oui" ou un "non" ferme et définitif. Je pense que l'on se rend compte d'une addiction lorsque l'on est privé de la substance à laquelle on est addict. Au cours de ces dernières années j'ai souvent entendu parlé d'addiction à des aliments "de tous les jours", comme le sucre, le café, les produits gras... Une personne qui boit un apéro tous les soirs en rentrant du boulot saura si elle est alcoolique le jour où elle se sentira mal si elle ne boit pas. Si cette personne devient alcoolique, il est également probable qu'une autre personne ayant la même habitude qu'elle ne le devienne pas. Je ne peux donc dire que pour le moment je ne pense pas être concernée par une addiction.

Peut-être

Je développe peut-être une addiction aux jeux PC. Je peux m'en passer pour partir en vacances ou un week-end mais je ressens le besoin de jouer. C'est parfois pour moi la façon de me défouler quand je suis énervée, que ma journée ne s'est pas bien passée ou de me détendre tout simplement. Je passe plusieurs heures par jour sur mon ordinateur alors je n'ose pas faire le compte de la semaine.

Possible

Le sport peut-être une addiction.

Possible

Je ne crois pas que le sport devienne maladie ou trouble....donc pas d'addiction pour moi, en tout cas passion

Possible

- Les joueurs sociaux : ce sont des personnes qui jouent soit occasionnellement, soit régulièrement, mais dans la vie desquelles le jeu garde une place limitée, celle d’un loisir. - Les joueurs professionnels. - Les joueurs pathologiques, addicts, seraient donc une catégorie à part. A la dépendance, s’ajoute dans leur cas la démesure, le fait que le jeu est devenu centre de l’existence, au détriment d’autres investissements affectifs et sociaux. Le sport de haut-niveau peut-être classé dans les addiction comportementales @Bruno_TISON

exemple adiction

l addiction donc la plus frappante est l addiction aux smartphone tablettes ces appareils creent une dependance je ne peux passer une journee sans consulter mes mails comme si c est indispensable l addiction au net est encore pire une panne internet on a l impression que c est la fin du monde on a limpression d etre vampirise par ces nouvelles technologies

Une ou plusieurs addictions ?

L'amour ? j'y suis accro ! Mon cappuccino du matin pris à la machine avant de monter au boulot ! Mon ordi, un petit peu quand-même. Pour mon époux, c'est la complicité avec son ordi. qui fait peur !

Une ou plusieurs addictions ?

C'est si mignon :) Mais c'est vrais que vous êtes la première personne à en parler. J'espère pour votre époux que vous ne seriez pas prête à le tuer si vous ressentez un manque d'affection ;)

Une ou plusieurs addictions ?

Ah-ah ! Au bout d'un moment, s'il n'y avait plus l'Amour tout court, prête à ME tuer ? peut-être ?

Une ou plusieurs addictions ?

aussi exceptionnel soit votre mari personne ne mérite qu'on se suicide pour lui

Une ou plusieurs addictions ?

Nan c'est pas ça !!! En terme d'addiction, je parle de l'Amour de chaque instant, pour moi, mais aussi pour chacun de nous je pense. Je pars dans un délire philosophique peut-être mais on ne peut pas vivre sans la chaleur d'un sourire, le souffle d'un baiser, la douceur d'un mot ou la puissance du regard, même de quelqu'un qui nous est étranger. On peut être "accro" à l'amour, "en manque, recherche ou attente" d'amour, "en délire avec" l'amour, en extase face à l'amour, s'aimer soi-même et bien d'autres choses ! Ce que je veux dire, c'est qu'on a tout simplement besoin d'amour pour vivre ! Mais c'est une addiction qui fait à la fois du bien et du mal. Peut-être la plus grande addiction de l'être humain ?

Suis-je addict ?

Non je ne pense pas car j'aime beaucoup de choses, mais de là à ne plus pouvoir m'en passer au point de faire des kilomètres ou passer des nuits blanches ... Le sucre peut-être ?, ce n'est pas indispensable mais je peux difficilement m'en passer.

Pensez-vous être concerné par une addiction ?

On est tous dépendant de quelqu'un ou de quelque chose, sans forcément être dans le pathos et L'addiction ...Sigmund Freud illustre cela par la dépendance de l'enfant à sa mère pour sa survie.. . je ne pense pas être aujourd'hui addict à quoi que ce soit, je n'ai pas de désir compulsif envers quoi que cela soit..

Moi addict ?

Peut être ne suis-je pas vraiment sincère avec moi-même mais je ne me considère pas comme addict à quelque chose. J'oublie mon portable ? Bon d'accord ça m'agace sur le coup mais je ne me mettrais pas en retard pour ça ! Je fume ? Oui, une ou deux cigarettes par jour même les jours de stress ! J'aime le chocolat ? Oui mais pas tous les jours ! J'aime...mais avec une certaine modération et sans crises de colère quand je n'ai pas (ou angoisse)... Voilà pourquoi moi je ne me considère pas addict, là tout de suite en tout cas (je me dis les histoires de vie ça pet faire changer pas mal de choses...) je ne le suis pas...

concerné par une ou plusieurs ???

il me semble que oui: une pratique + une substance numérique + drogue se nourrir + aliment

addict moi jamais ...

exagérer une pratique voir une substance ouiiiiiii en conscience donc occasionnelle ... mais le sport et Internet ... bien sur ... c'est tellement agréable ! pour éviter d'exagérer ... faire à plusieurs, partager et stopper les outils

Addict ?

Je ne me sens pas personnellement concernée par une ou des addictions. Quelques mois auparavant, j'aurais peut être dit la cigarette mais j'ai réussi à arrêter très facilement. Donc je ne suis même pas sûre qu'elle en fut vraiment une.

Vague addictive

Ancienne fumeuse, je pense pouvoir répondre "OUI, je l'ai été" et, au regard de ma représentation actuelle de l'addiction. J'ai d'ailleurs réussi à arrêter au nom de l'indépendance, c'est dire si je tiens à ma liberté. J'émets quelques réserves quant à mes comportements que je nomme 'mes boulimies'. Ce sont des vagues addictives. A ce moment là je qualifie plutôt ces comportements comme abusifs. Surtout par rapport à l'outil informatique, lequel me sert surtout pour travailler. Mais je l'avoue, j'ai quand même réussi à passer des mois (environ 6) sans trop percevoir le soleil et sans envie particulière de sortir. C'est un peu comme ma fenêtre sur le monde, j'y trouverais presque un équilibre mais je continue à penser que ce serait un faux semblant.

Suis je concerné?

Oui, je pense être concerné. Non pas que je sois addict (enfin, je pense/j'espère), mais que je pense pouvoir le devenir. Par rapport au sujet qui nous concerne ici, passer des heures connecté aux réseaux sociaux, à internet, lire les infos, lire mes mails ou mes messages, je l'ai fait. Sur l'ordinateur directement, mais aussi sur tablette et smartphone quand je ne suis pas chez moi. Avoir besoin de tout checker tout le temps, même en sortie, en famille, entre amis, devant la télé, dans les salles d'attentes, pendant les repas. Ressentir le stress de ne pas le faire, mais aussi un stress d'être dans l'attente d'un message, dans la projection future de ce que je vais lire ou pas. J'ai donc pris beaucoup de distance et je me modère moi même pour me dépolluer. Pareil pour les jeux vidéos. Addiction? Usage excessif? J'ai connu la cigarette et le sentiment de manque quand j'ai arrêté et j'ai continué à en rêver des années après. Et aussi concerné en regardant autour de moi ou je vois de l'habitude, de l'habitude excessive, peut être justement de l'addiction ou le chemin de l'addiction à l'alcool, au tabac, au sport, au travail, aux écrans

Suis je concerné?

Je fume et je suis ex-cocaïnomane. Donc en rétablissement à vie...

Suis je concerné?

Bon courage Julie, tout mon soutien.

Je ne pense pas...

Selon ma vision des choses, le concept d'addiction est notamment relié à l'apparition de conséquences néfastes sur l'individu et/ou son entourage. En ce sens, je ne pense pas entretenir un lien avec quoique ce soit au point de me faire du tort...

Je ne pense pas...

je me reconnais assez dans votre message, et ne pense pas être concernée par une ou des addictions. je suis curieuse de beaucoup de choses, j'ai des pratiques et des activités diversifiées, rien qui ne m'oblige ou me ferait du mal (ou à mon entourage).

Je ne pense pas...

avant de faire mal à son entourage on peut se faire mal à soi en terme d'addiction, d'autant plus qu'il n'en ressort pas toujours du plaisir

Sans aucun doute

Le sucre sous toutes ces formes (surtout chocolatées !) est ma principale addiction, remède chouchou contre tout mal-être. Je ne sais pas vraiment d'où vient cette addiction, le prénom peut y être pour quelque chose ! ;)

concerné?

je ne pense pas être dans l'addiction. Certes, mes séances de sport me manquent quand je ne peut pas les suivre, le regarde mon iphone un nombre incalculable de fois dans la journée, mais je n'oublie jamais de me nourrir, de me laver et je pose le téléphone lorsque je suis avec mes amis ou ma famille.

tabac addiction ?

n voyant le nombre de témoignages et l'idée générale que le tabac est une addiction, étant moi-même fumeuse, je me pose la question justement : suis-je addict ? je dirais non, dépendante, ça oui, c'est sûr et certain. Pourquoi je ne me sens pas addict : mon comportement ne change pas que je fume ou pas, cela ne me calme pas plus que cela m'excite, je ne m'isole pas, je n'oublie pas qui je suis et j'ai conscience pleinement de raccourcir mon espérance de vie. (en sortant de la chimio, mon premier geste était d'allumer une cigarette, mais là je crois que c'était ma bravade devant la maladie). Dépendante : car de vouloir faire comme la copine, vouloir ensuite faire plus femme , c'était l'époque sensible de la puberté et j'ai souscris et j'ai continué. Je pense que les produits qui sont dans les cigarettes créent cette dépendance. Autant il m'a été facile d'arrêter le café (jusqu'à trois litres par jour, cafetière toujours allumée) autant il m'est difficile d'essayer d'arrêter de fumer. D'où mon idée de produits qui sont dans la composition : si c'était du simple tabac, je devrais pouvoir arrêter aussi facilement. En comparaison, je suis étonnée que l'on puisse parler d'addiction face au numérique, je parlerais d'excès d'usage et de mauvais usage. Je ne possède pas de ipod ipad tablette et compagnie. Bon j'arrête mon bavardage avant de vous lasser (si ce n'est pas déjà fait). Murielle

tabac addiction ?

Le tabac est un psychotrope donc une substance qui agit principalement sur l'état du système nerveux central. Si le comportement change si on est fumeur ou non, tu n'en as pas conscience c'est différent. Une addiction est un excès d'usage. le tabac à l'origine est la feuille d'une plante. Regarde la composition du tabac ici][1] [1]: http://quentin-gerbeaux.jimdo.com/la-composition-d-une-cigarette/

Addict Une ou Plus

Sans doûte plusieurs, J'assume. Alcool = Peut être il faut quantifier alors le risque santé 1 verre 2 verres etc Informatique = C'est l'addiction typique qui a du en remplacer une autre à savoir le temps de lecture ou de TV avant on parlait alord de loisirs... Travail = Cela peut faire sourire mais il y a aussi de vrai addict au travail En fait il me semble qu'il y a un regard à avoir sur soi et sur les activités que l'on pratique avant de juger pour soi ou pour les autres si tel ou tel comportement, loisir est à classer dans l'addiction.

Mes addictions?

Je ne sais pas si je dois les appelés addictions. Côté Substance,je n'ai aucun addiction. dépuis que j'ai eu mon premier ordinateur en 2008, j'ai toujour été accroché à PC. quelquefois même si je n'ai pas grande chose à faire je suis toujours là en train de faire un truc. je ne sais pas si je suis addict à mon PC?

Mes addictions?

je pense plutôt que tu ne sais plus comment gérer ton temps libre en dehors du pc, le pc est chronophage et effectivement même si on n' a rien de particulier à y faire on y perd beaucoup de temps

pensez vous avoir plusieurs addictions

je pense être addict au jogging que je tente de maîtriser mais lorsque je devrais courrir et que je ne sors pas je ne me sens pas très bien moralement

pensez vous avoir plusieurs addictions

Bonjour, l'addiction peut effectivement prendre différentes formes et parfois une addiction est une substitution à un manque, voire à une autre addiction. pour ma part, je suis addicte à mon sport de la semaine et dans une certaine mesure, au web.

pensez vous avoir plusieurs addictions

Quelle diffénce faite-vous entre un manque, un besoin, une habitude ? @Bruno_TISON

pensez vous avoir plusieurs addictions

bonsoir je pense que l habitude on peut la changer le manque peut passer le besoin me fait prendre mes baskets et courrir quoique que j'aie à faire invariablement

pensez vous avoir plusieurs addictions

Les habitudes sont très difficiles à changer ou à éradiquer, et pas seulement pour les êtres humains. J'ai un chat et si je change l'endroit où je place son plat de nourriture il est un peu perdu pendant quelques jours.

Moi addict ?!

**Pensez-vous être concerné par une ou plusieurs addictions ? Si oui donnez éventuellement des exemples.** Nous avons tous des tendances "addictives" (je ne peux pas me passer de mon café du matin, je ne peux pas m'empêcher de vérifier mes mails en me levant...) Pourtant est-ce que nous ne serions pas en train de tomber dans une "mode" de l'addiction ? Tout le monde se croit addict, mais au final la plupart des gens n'ont pas de comportements pathologiques. Pour l'addiction numérique c'est difficile de l'évaluer puisque finalement il faut se baser sur une norme : nous sommes tous sur nos téléphones toute la journée, mais sommes nous donc tous addict ?

Moi addict ?!

Tous sur nos téléphones toute la journée ? C'est effrayant votre analyse :p ! Je ne crois pas qu'on le soit tous, en tout cas pas mon entourage et pas moi.

Moi addict ?!

Les petites poucettes il y en a beaucoup, une pratique majoritaire du smartphone ne fait pas de nous forcément des personnes addictes, tout dépend du contexte d'utilisation, de l'usage et du temps accordé à téléphoner ou à passer des sms.

Suis-je soumise à une addiction?

Je ne le pense-pas car je peux me passer de produits ou de conduites sans souffrir du manque. Enfin si l'attachement sentimental est assimilé à une addiction, je peux y être addicte parfois, à voir...

Je l'ai été

J'ai développé une dépendance et une accoutumance à un traitement prescrit pour des douleurs chroniques (Rivotril) : nécessité d'augmenter les doses pour trouver de moins en moins de soulagement, syndrome de sevrage majeur à l'arrêt progressif avec surtout des manifestations physique (douleurs, insomnies, tachycardie, problèmes de tension artérielle...), deux crises de panique, mais je n'ai jamais eu l'envie de reprendre le traitement malgré un flacon entamé que j'ai gardé quelques mois "au cas où" avant de le ramener à la pharmacie. Plus de deux ans après l'arrêt, j'ai encore des troubles très gênants au quotidien, j'ai dû diminuer mon activité professionnelle après des mois d'arrêt de travail et de multiples tentatives de reprise... Ma vie relationnelle a connu un grand vide... J'ai un double sentiment : de fierté, d'avoir tenu bon, et de découragement : bon sang, quand est-ce que ça va se terminer ? Alors, oui, finalement, l'addiction, je sais ce que c'est ! Et je n'en ai pas d'autres...

Je l'ai été

Certainement quand on a mal et qu'une substance permet de calmer cette douleur, c'est presque compréhensible qu'on en soit accro... Mon mari souffre de migraines terribles appelées cluster headache et dès que la moindre menace de crise apparaît, il se lance sur ses piqûres. Comment le blâmer?

Addict ou dépendant ?

Je pense être addict au tabac dans le sens où lorsque j'essaie de m'en passer, je n'arrête pas d'y penser. Alors suis-je addict ou dépendant ?

comment mesurer sa propre addiction ?

Je ne me considère pas en addiction par rapport à quelque chose; néanmoins, mon entourage me trouve très accroché à mon téléphone. serai je addicte ????

comment mesurer sa propre addiction ?

Si je bois 3 ou 4 bières par jour suis-je un alcoolique ou non ?

Addiction

Je suis concerné par l'addiction numérique : une grande quantité de pages consultées chaque jours + face,twitter,Linkd, viadéo et plusieurs comptes E-mail. Je trouve de moins en moins du temps pour faire autres choses.

Addiction

Est-ce que c'est l'infobésité qui te gêne, le temps passé à consulter tes réseaux sociaux ou bien la difficulté à trouver la bonne réponse à une ou plusieurs interrogations ? @bruno_TISON

addictions ?

j'ai un comportement addictif ; je me sors d'une addiction pour replonger dans une autre !

addictions ?

idem, j'arrive même à cumuler ;-) sport+ travail + amour passionnel ... Peut on parler de tempérament addictif ou simplement passionné. Une addiction serait elle une passion maladive? Toute passion n'est elle pas susceptible de se transformer en addiction ?

Cela dépend

Je ne pense pas être concernée par une addiction mais j'ai parfois des comportements compulsifs. Notamment avec le chocolat.

Lien entre addictions et estime de soi

Pour ma part, je suis plus sensible aux addictions (chocolat, internet, ....) quand mon estime personnelle est au plus bas, c'est à dire quand je me retrouve seul et sans projets pendant plusieurs semaines. Dès que je retrouve dans un certain niveau d'activité, ces addictions ont tendance à diminuer fortement.

Addict ou pas ?

Si je fais la liste... je m'effraie un peu.. addiction au smartphone, la plus récente, ce qu'on appelle la nomophobie, je crois, twitter en particulier... mais aussi addiction à la presse, aux infos (en ce moment, c'est particulièrement violent... #jesuischarlie ..) addiction à certains rituels, le café du matin au comptoir même si le café est meilleur chez moi... Si je remonte dans le passé, addiction au chocolat/sucre...un passage de dépenses compulsives, addiction à l'Aturgyl (décongestionnant nasal aujourd'hui interdit) je crois que c'est tout... Bonne soirée Frédérique

un petit "non"

un petit « non », mais n’avons-nous pas plaisirs à retrouver certaines habitudes ?

un petit "non"

petit non ne veut pas dire que grand oui , le problème est que est vous dépendant, comme si vous avez soif ou vous avez faim, un besoin indispensable pour vous

un petit "non"

Mais n’avons-nous pas plaisirs à retrouver certaines habitudes ?

un petit "non"

mais Est-ce que les habitudes poussées à l'excès qui deviendront les addictions au bout de plusieurs années ?

Plaisir de liberté

Je suis libre ; c'est mon sentiment le plus fort. Je suis passée par quelques dépendances que j'ai tenté d'élaborer dans ma quête de liberté. La liberté semble opposée à la dépendance. Pourtant je fume, des fois j'arrête mais là je fume. À contre courant de l'hygiènisme ambiant, je sais que l'humain a besoin de modifier sa conscience pour le plaisir ou pour la création... Je reste addicte au plaisir, c'est une porte ouverte...

Suis-je soumise à une addiction ?

Franchement, à part l'internet et la consultation de pages, les réseaux sociaux, FB, Youtube, Gmail, Wikipedia, etc., dont je peux me passer pendant les vacances, je ne pense pas être addict. Mais c'est une partie la raison pour laquelle je me suis inscrite à ce MOOC. Donc faut attendre un peu pour savoir... hi hi hi !

maitrisable ou non

bon la question est que je pourrai me maitriser? comme la cigarette si je ne fume pas je me sens bizarre ou je me sens mal. la plupart des gens que je rencontres passe beaucoup de temps avec leur portables dès qu'ils sont n attente pendant les heures creuses, ENFIN JE PENSE QUE TOUS LES ABUS SONT NUICIBLES

Question 2

Cela dépend si tel ou tel pratique peut être considérée comme une addiction ou non, donc soit je prends une réponse très personnelle, soit je prends une réponse de spécialiste mais étant donné que suivant les spécialistes, tous ne sont pas d'accord pour certaines éventuelles addictions (cf. jeux vidéo par exemple) mais c'est bien cela permet de faire le lien avec la question suivante.

café

oui c'est banal mais... si je n'ai pas un café (ou un substitut, thé, coca ...) avant 10h du matin, je ne sais plus me gérer. C'est une migraine, et l'idée fixe qu'il me FAUT un café et qui devient ma priorité unique jusqu'à ce que je trouve le doux breuvage. Il n'y a pas à ce moment là de raisonnement qui tienne, la discussion et la concentration sur autre chose deviennent impossible. ça ne prend pas beaucoup de temps, ça n'envahit pas ma vie, ce n'est pas une consommation excessive et croissante, mais j'en ai physiquement besoin.

café

Oui, c'est intéressant ce que vous décrivez: nous sommes tous différents et dans votre cas, cela ne ressemble effectivement pas à une addiction. Il y a pas mal de gens qui disent qu'avant de boire leur café du matin ils ne se sentent pas opérationnels. Je connais cependant des cas (rares) de personnes qui boivent énormément de café durant toute la journée et qui ne peuvent s'en passer: ils ont des comportements addictifs au café, mais s'ils n'en souffrent pas on ne peut pas parler d'addiction à mon avis. Certains (très rares!)en souffrent...

Non !

Suite aux précisions données dans le webinaire non, rien dont je ne puisse me passer ET qui me ferait souffrir. J'ai des habitudes fortes, comme l'usage de Twitter, mais cela ne génère pas de souffrances pour moi, bien au contraire !

Non !

D'où la différence entre usages importants, usages excessifs et addiction j'imagine...

je ne suis pas addict...

Je ne pense pas être addict, mais curieuse et intéressée par toutes les nouveautés.

Addiction ou pas?

Comme la majorité de la population actuelle, j'ai souvent le regard rivé sur l'écran de mon smartphone... toutefois lorsqu'il m'arrive d'oublier cet objet en quittant la maison, même si je ressens un certain malaise, je survis... Peut-on déjà parler d'addiction???

Oui, j'ai des addictions...comme tout le monde !

Mon confort quotidien : ma douche chaude,mon café du matin, mon émission de télé, etc. Ces habitudes génèrent du bien-être chez moi ! Mais j'ai aussi d'autres dépendances plus prononcées : la cigarette, les séries tv, mon smartphone, twitter, etc. Et là, si je n'y ai pas accès, ça devient nocif pour mon entourage et moi !

Oui, j'ai des addictions...comme tout le monde !

La douche, le café, le journal à la télé... ne sont pas des addictions, ce sont des habitudes, certaines d'entre elles nécessaires. La première par exemple est un must d'hygiène. Une addiction c'est autre chose. C'est de ne pas pouvoir éviter de réaliser un acte même sachant qu'il peut être nocif.

Addiction à internet !!

Dans mon cas, comme pour beaucoup je penses je me suis rendu compte que j'ai une consommation eccecive à internet !!! premier reflexe au reveil consulter mon portable ou ordi ( réseaux sociaux, mail ,....) Il est facile de se connecter à n'importe quel moment et n'importe où ! Dans mon cas je penses que cette utilisation s'est transformé en addiction dans ce sens où il m'est arrivé de refuser des sorties activités ou soirées ou en les abégeant préférant rester chez moi devant mon écran comme pour répondre à un besoin ! Internet est un outil formidable et vraiment très pratique et je crois qu'il serait difficile de s'en passer aujourd'hui ! Mais sur le net on ne tombe sur des sites ou des personnes qui eux ne le sont pas :-)) Donc attention à l'utilisation qu'on en fait et à ce que l'on consulte !! Je penses qu'il y a un gros travail d'education et d'information à faire sur cela ...

Addiction à internet !!

Bonjour! Consommation excessive ou addiction? :) Si le coeur vous en dit: relevez donc notre défi de la semaine 2: "une journée sans numérique?" et partagez avec nous votre ressenti! Cordialement, Stéphanie

Addict ? non...

Je ne pense pas que l'on puisse se déclarer addict de manière objective. L'enferment de l'addiction ne permet pas au dépendant de s'en apercevoir. Donc, suis-je dépendant ? Au boulot selon ma femme et à la tablette toujours selon la même source. A mes enfants et à ma famille certainement aussi !

Oui bien sûr

Comme tout le monde, je suis addict au numérique. La preuve j'oublie d'emmener ma bouteille d'eau (vitale), mais je n'oublie pas mes objets numériques (non vitale). Je dis comme tout le monde, car à un moment ou un autre de la journée instinctivement nous allons regarder un écran. A quel moment faut-il parler d'addiction? Puis-je rester un jour, une semaine sans regarder un seul écran? Réponse non, pour tant ce n'est pas vitale.

Oui bien sûr

Bonjour, Je pense qu'on parle parfois excessivement d'addiction tout de même. Vous dites ne pas pouvoir rester un jour sans regarder un écran...est-ce vraiment un besoin que vous ressentez ou plutôt une habitude ou une nécessité dans certains cadres (professionnel par exemple) ? Je pense qu'il ne faut pas trop se demander si dans notre quotidien on peut passer une semaine sans écran... car effectivement c'est un gros effort vu le nombre d'écrans que l'on croise... Mais est-ce que vous refuseriez de partir une semaine en vacances dans un endroit ou vous ne pourriez pas avoir accès à Internet ou à la télé ? Si oui, alors vous êtes peut-être un peu addict :) Je travaille 7-8h par jour sur un écran, je participe à des MOOC, suis secrétaire et responsable communication d'une association ce qui implique que je fais des réunions en ligne, gère des réseaux sociaux, je joue régulièrement sur tablette ou sur PS4... et malgré tout je suis tout à fait capable de partir une semaine en vacances sans écran ! Et, si je n'oublie pas mon téléphone en partant de chez moi parce qu'il contient mes podcasts (et dans un open space vraiment trop bruyant c'est quasi vital :'( ), il m'arrive d'oublier ma bouteille d'eau parce que, au pire, j'irais à la fontaine d'eau du boulot ! L'eau n'est vitale que quand on en manque ;) Bonne journée, Angéla R

Oui bien sûr

Je suis d'accord avec AngyRegg.

Je ne pense pas

Je ne pense pas avoir d'addiction particulière, même si je passe beaucoup de temps sur le numérique (principalement de par mon statut d'étudiant en science de l'information et de la communication). Simplement parce que j'ai un certain recul, je sais que je peux m'en passer et je le fais volontiers durant plusieurs jours (même chose pour les téléphones portables, je peux mettre 2 à 3 jours avant de répondre à mes proches par sms ou mail).

addiction quand tu me tiens

Pendant des années j'ai cru que fumer me détendait,le temps passait trop vite perdue entre deux cigarettes,.. addicte je pense l'être tout au fond de moi j'ai arrêté de fumer... mais le risque c'est de basculer ensuite vers d'autres dépendance ,alimentaires par exemple je parlerai donc là de personnalité enclin à toute addiction réponse à une souffrance enfuie de l'enfance méme lorsque celle-ci semble des plus dorée

addiction quand tu me tiens

Bonjour, Je suis d'accord avec toi, et je me retrouve dans ce que tu dis!

Deuxième question de la semaine

Je trouve la notion de personnalité à risque est importante car elle peut être enclin aux addictions.

A la limite ? Réflexe, conditionnement ou addiction ?

J'ai un besoin de consulter mes mails dès le lever. Je m'oblige ou j'essaie - car ce n'est pas toujours une réussite - de ne pas le faire systématiquement le week-end ou en vacances. Alors, quelque part, un vague sentiment de culpabilité m'envahit, mais si...

A la limite ? Réflexe, conditionnement ou addiction ?

J'ai un besoin de consulter mes mails dès le lever. Je m'oblige ou j'essaie - car ce n'est pas toujours une réussite - de ne pas le faire systématiquement le week-end ou en vacances. Alors, quelque part, un vague sentiment de culpabilité m'envahit, mais si...

A la limite ? Réflexe, conditionnement ou addiction ?

le terme de conditionnement ,qui n'a guère été mentionné encore , est inévitablement une des clés du processus addictif,au niveau des facteurs de constitution comme d'entretien du processus; conditionnement opérant (Skinner)avec renforcement par la réponse (positif à la recherche des effets agreables liés au comportent , ou négatif à la recherche de la disparition d'effets négatifs,notement de sevrage)mais aussi conditionnement répondant (Pavlov)à partir d'un stimulus associé au comportement et devenu conditionnel rendant compte de ce qu'on appelle la sensibilisation comportementale ,qui peut expliquer que la rencontre d'un tel stimulus dans l'environnement puisse dans certain cas précipiter la rechute; ceci dit un grand nombre des comportements que chacun de nous a sélectionné au fil de son parcours développemental répondent à de tels conditionnements! la encore c'est donc la réalité des dommages entrainés ,avec la souffrance qui leur est liée ,ainsi que la poursuite du comportement malgré ses conséquences négatives ,qui sont déterminants pour parler d'addiction jlv

Non concerné par une addiction

je ne suis pas concerné personnellement par une addiction, mais cette notion m'intéresse pour comprendre le processus addictif chez les sujets jeunes et adultes en fonction de leur personnalité et des interactions avec l'entourage.

Plutôt addict

Je pense que certains pourraient me considérer comme addict ou du moins l'ayant été, notamment au "numérique" et aux jeux vidéos... En effet, il m'est arrivé d'organiser certains moments de ma vie selon les impératifs d'un jeu vidéo (World of Warcraft en l’occurrence). Certains, dans mon entourage, considéraient cela comme de l'addiction. De mon point de vue, il s'agissait plus de "e-sport" , dans le sens où je ne ressentais pas forcément le besoin de jouer, c'était plus un engagement moral vis à vis d'une équipe au même titre que celui que l'on peut avoir avec une équipe de football ou de rugby (présence aux entraînements, matches etc...). Aujourd'hui je pense cependant être plutôt addict aux "informations" que je peux glaner sur Internet et notamment sur Twitter, je ne suis pas très actif à titre personnel mais je consulte ma TL énormément...

Oui !

Très certainement concernée par le sujet ...

Probablement...

Entre la musique, le numérique et un peu de jeu... Pas mal d'addictions...

Pas addict

Suis je addict? Je ne m'étais jamais posée la question. Non je ne suis pas addict mais je connais autour de moi des personnes addictes au sport, et aux jeux vidéos. Je me suis inscrite à ce mooc pour deux raisons : -Je suis très intéressée par ce sujet et comprendre comment on devient un jour addict. - pour vivre avec son temps et "palper" concrètement le MOOC

Pas addict

Bonjour, Par rapport aux personnes que vous pensez addicts autour de vous au sport ou aux jeuxvideos, quels sont les indices qui vous amènent à dire qu'ils sont effectivement addicts? Guillaume

Pas addict

Bonsoir, Il me semble qu'elles sont addictes car elles ont un besoin impérieux de jouer ou de faire du sport, qu'elles y passent beaucoup de temps,qu'elles en ont besoin pour être bien et qu'elles s isolent de la société.J'ai même pu remarquer pour la personne qui joue aux jeux vidéos qu'elle est en manque lorsqu'elle ne peut pas jouer.

Pas au sens de la CIM 10

Les séries peut être mais pas une addiction au sens strict de la définition du DSM 4 ou de la CIM 10, non. Il y a sûrement des comportements qui se rapprochent d'un comportement addictif mais les réelles conséquences et complications que l'on retrouve dans les addictions.

réponse question 2

Oui je présente une addiction au tabac. Au départ ça n'était qu'un usage simple. Je fumais de temps en temps en soirée, ça me procurait du plaisir, je pouvais m'en passer plusieurs jours sans problème. Au jour d'aujourd'hui c'est devenu quotidien. Je ne fume plus par plaisir mais parce que j'en ressent le besoin comme manger, combler un ennui, me réveiller le matin, me concentrer sur un travail... Le tabac a pris bien plus de place dans ma vie que je ne l'aurais cru au départ.

Semaine 1 / 2.1 Usage excessif et addiction

L'addiction, une maladie

L'usage excessive peut être stoppé. L'addiction nécessite un effort qui semble impossible à surmonter seul par la personne "addict".L'addiction est maladive

pathologique

l'addiction est une maladie qui nécessite une prise en charge sérieuse avec des professionnels de santé , elle nuit à la santé physique, psychologique et social de l'individu, contrairement à l'usage excessif même si la limite entre les deux est parfois très ténue. la différence est souvent liée à la notion de manque, si l'on ne peut se passer de quelque chose de non vital sans en épprouver des symptomes physiologiques ou psyhologiques alors ce n'est plus de l'usage excessif c'est de l'addiction.

pathologique

Quoi qu'il en soit, l'usage excessif également est à travailler ; selon son degré, il peut détruire beaucoup de choses. Mais comment faire prendre conscience de l'abus et de la notion de "trop" et de danger à celui qui parfois se fait mal et parfois fait mal aux autres aussi au sein de la famille ?

usage excessif vs addiction

L'expression "usage excessif" se découpe en deux parties : un nom et son adjectif. L'adjectif est un jugement. Dans ce cas, il y a donc négociation. L'usage excessif fait comprendre qu'il existe un usage normal connu de la personne. L'addiction au contraire est sans négociation, donc perte des repères.

Quelle échelle de valeur pour en juger ?

Il me semble impossible de répondre à cette question ! La notion d'excès se définit par rapport à la norme, mais qui établit la norme ? Je ne parle pas de l'addiction à des substances, pour laquelle je n'ai aucune compétence. En revanche, en ce qui concerne l'addiction comportementale, je suppose que qu'il n'y a pas de différence entre excès et addiction. La différence ne vient que de la différence des personnes portant un jugement sur l'activité en question et de la bonne foi des personnes concernées. Par exemple, l'adolescent qui a mauvaise conscience devant ses excès pourra aussi bien se dédouaner en se donnant comme victime d'une addiction ou, au contraire assumer ses excès en se reconnaissant lâche devant ses excès. Même chose pour le parent qui veut soit excuser cet adolescent en nommant addiction ses excès, soit le culpabiliser en disant qu'il exagère. Ce deuxième parti servant parfois à dédouaner le parent qui refuse de jouer son rôle de régulateur dans la vie de son enfant.

des synonymes ?

On peut se dire que l'usage excessif entraîne l'addiction. Mais qu'est ce qui décide si on est excessif ou pas. Ce qui est excessif pour moi est peut être normal pour autrui. Je pense que la grande différence est que l'usage excessif dérange autrui qui observe. L'addiction s'infiltre tellement dans nos comportements qu'elle n'est pas toujours détectée ou détectable. Toujours en gardant le // avec la drogue un usage excessif d'une drogue par rapport à notre habitude se verra de l'extérieur. Un habitué, un addict au plus profond de son être tant qu'il n'est pas en manque peut resté masqué. Le manque démasque l'addiction.

Excessif / Addiction

Difficile de situer excessif par rapport à addiction. On a un usage excessif lorsque l'on est addict mais est-on addict lorsque l'on a un usage excessif? L'usage excessif est une image que l'on se fait de nos propres usages ou ce sont les autres qui détermine si on a un usage excessif ou non? Au final au revient à la question qui fixe la norme de l'excessivité?

addiction exces

internet cest un outil qui permet de s ouvrir sur le monde entier le probleme c est l abus qui nuit en tout au debut cest un passe temps les peripeties de la vie nous poussent a etre addict perte emploi divorce rupture internet est palliatif une facon d oublier ses problemes une fuite en avant pour fuir la realite

question 3

Excès et addiction, même combat.

Usage excessif ?

Usage excessif : on peut s'en passer sans trop tirer la bouille. Addiction : il faudra nous tirer par les cheveux ou nous chatouiller pour nous décoller du shoot !

Usage excessif ?

Addiction: c'est à nos risques et périls, bien qu'en chatouillant ou en tirant par les cheveux un addict on peut se prendre une raclée en retour.

Usage excessif ?

Ah bah c'est sûr ! Mais faut bien se placer devant le monstre de l'informatique parfois pour pas se faire bouffer sa vie perso ! Et, par rapport à mon époux, il y a challenge parfois entre cette grosse machine et moi ! Elle se prend pour qui celle-là ?

Usage excessif et addiction

L'addiction a un caractère maladif et obligatoire.

usage excessif ou addiction?

la frontière est mince.....l'addict a'il conscience qu'il est addict? un usager excessif sans doute et il peut encore y remédier avant de tomber dans l'addiction.

La nuance est dans l'accoutumance ?

Plus une supposition qu'une affirmation...un usage excessif peut être temporaire et céder avec le temps, tandis qu'une addiction serait plus "rebelle" !

usage excessif et addiction

pour moi c'est l'impact social .. quand le comportement envahissant devient une contrainte, une nuisance sociale, et que la pensée est parasitée par l'objet

La question de la frontière

C'est évidemment une question complexe. Si on reste sur l'alcoologie, il me semble que l'on peut parler d'usage abusif, d'usage nocif et ensuite de dépendance. La frontière est mince. Il me semble, que sur un plan comportementale, parfois la quantité ne fait pas forcément l'addiction. Mais plutôt le rapport entretenu au produit, puis dans un second temps la quantité de ce produit et les formes de dépendance créées (physique et psychique). Je me rappelle d'un groupe de jeunes adolescents placés par l'ASE, dans un foyer, que j'ai reçu en groupe avec un éducateur formé à l'alcoologie. Sur les 10 jeunes, tous avaient beaucoup bu, beaucoup avaient vomi, beaucoup avait été excentrique dans leurs comportements. Mais un seul à pu nous dire que l'alcool était un moyen de s'apaiser, vis à vis d'angoisses terribles et que son moyen de se rassurer était d'avoir des bouteilles chez lui. Il aime boire seul quand il va mal même un seul verre. Même si nous avons repris les choses avec tous, un nous inquiète plus malgré tout...

Addiction vs usage abusif

Si on se fie à la nouvelle version du DSM, la question en elle-même ne serait pas tout à fait juste puisque cette distinction a été abolie, du moins en ce qui concerne les substances psychotropes... Sinon, l'un me semble faire référence à une certaine continuité dans le temps alors qu'on utilise l'autre pour parler d'un comportement à un moment précis.

trop c 'est trop!

Trop d internet, trop de découvertes, trop de mail, trop de facebook, trop de lecture, trop d 'écriture, trop... plus une minute pour s 'arrêter , des fois qu on louperait une info, un mail... de quoi attraper des migraines , des sciatiques (à force de rester assis). ce trop est difficile à gérer . ce trop tue la famille, les amis..

trop c 'est trop!

Bonsoir 1234regine, Trop de mal être, trop de douleur, trop de peurs, trop de fragilités, trop de non-dits, trop de mensonges, trop de mesquineries, trop de soucis, trop de charges, trop de famines... une seule vie. Murielle

usage excessif ?

quand il me coupe des autres, quand je commence à m'isoler

Une fine barrière

Je vois l'addiction comme la création d'un besoin. Si l'action (prise de substance, réalisation d'un comportement, etc.) n'est pas réalisée, cela va se ressentir au niveau de l'esprit, mais aussi du corps. L'usage excessif ne m'apparait pas fonctionner de la même manière. Je n'ai pas l'impression qu'il participe à la réalisation d'un besoin mais plutôt d'une envie, d'un désir. Pour moi, il y aurait une notion de plaisir, absente de l'addiction. De plus, il m'apparait plus facile de réduire/arrêter un usage excessif que de sortir d'une addiction.

usage excessif / addiction

Pour moi, l'usage excessif c'est je fais trop, beaucoup trop, trop souvent, mais je fais par choix, par liberté,de façon consciente, ça ne change pas fondamentalement ma perception des choses et de mon environnement extérieur, je peux continuer de fonctionner "normalement" quand je ne fais pas et je peux ne pas faire sans en ressentir d'effets négatifs physiques ou psychologiques. L'addiction, je ne fais plus seulement par choix, par plaisir, par envie, je fais parce qu'il faut que je fasse, par besoin, par obligation sinon je ressens un manque et ce manque peut avoir des conséquences physiques ou psychologiques et se répercuter sur ma vie personnelle, professionnelle, familiale. Je perds le contrôle

usage excessif / addiction

effectivement, je suis d'accord avec toi Olivier

Abus vs addiction

Pour ma part, je dirais que l'usage excessif peut amener à penser d'une part à un comportement qui va durer un certain temps. Un peu comme si l'esprit se focalisait sur une seule chose. Comportement qui pourrait à la fois se répéter et viser un objet différent à chaque fois. Au contraire de l'addiction que je définis difficilement mais comme UN grand mal établi et qui au fur et à mesure éloigne la personne de la réalité et d'elle-même. Dans les deux cas, on perd le contrôle de ses émotions

Excessif < Addiction

L'usage excessif = dérangeant pour l'usager. Addiction = dérangeant pour l'entourage.

Excessif < Addiction

Je suis assez d'accord, mais je rajouterai : Addiction = dérangeant "également" pour l'entourage.

Excessif < Addiction

L'usage excessif peut aussi être dérangeant pour l'entourage !

la frontière c'est le non

L'usage, même excessif peut être stoppé par le seul bon vouloir. L'usage excessif peut être concentré sur une période , il peut également s'arrêter pendant une période. L'addiction ne peut être stoppé par l'addict et ne souffre pas de pause.

WAOU Usage excessif

Appelons les choses par leur nom: l'usage excessif d'une chose ou une situation relative à l'existence et entrainant donc un comportement est une addiction

WAOU Usage excessif

Bonsoir Ematos, Pas tout à fait d'accord : ce n'est qu'une partie de l'addiction Murielle

usage excessif vs addiction

Je pense que l'usage excessif peut être considéré comme le stade préalable à l'addiction. Avec une prise de conscience, il est réversible et corrigeable. L'addiction est le stade pathologique, l'individu peut s'en sortir avec un soutien, un sevrage et une vigilance à vie car fragilisé, il pourrait retomber dans la même addiction, ou une autre

addiction => obsession

Pour moi on passe à l'addiction quand l'objet de l'addiction prend toute la place dans les préoccupations de la personne. Tout le temps qui n'est pas consacré à l'usage de la chose est concentré sur la pensée de la chose et du moment de l'assouvissement du désir qu'on en a. Et c'est un état permanent dont on ne peut se sortir sans événement déclencheur.

Usage excessif, c'est embêtant. Addiction, c'est une maladie installée

Faire un usage excessif de chocolat, c'est embêtant pour l'équilibre alimentaire. Faire un usage excessif des jeux vidéo, c'est embêtant pour mes devoirs... Être addict au chocolat ou aux jeux vidéo, ça me rend invivable pour mes proches quand j'en suis privé, ça me rend nerveusement incapable de me concentrer sur autre chose, ca me rend asocial, ça me coupe des autres. Je suis en danger.

Usage excessif, c'est embêtant. Addiction, c'est une maladie installée

Je suis assez d'accord avec cette piste de définition. Il y a dans l'addiction une camisole qui rend fou ...

parlons en

Suis-je naïve de croire que l'on peut contrer un usage excessif en en parlant, en montrant les côtés négatifs, les incidences sur la vie quotidienne : je suis pour le dialogue, expliquer, montrer des exemples, redonner une prise de conscience. Et j'ai le sentiment que face à une addiction, les mots ne peuvent plus livrer bataille, n'atteignent plus la personne... Murielle

Comportement envahissant

A mon avis ; L'individu ayant un comportement addictif va se définir par rapport à son addiction suivant le regard des autres et se sera plus en fonction de sa sensibilité à ce regard qu'il sera en mesure de quantifier sa propre addiction.

usage excessif ou addiction: la différence?

Le comportement avec addiction, je pense qu'il commence lorsque vous gêner les autres, que votre comportement est négatif avec et sur les autres. Il y a des seuils de tolérance et la limite se situe là, lorsque ces seuils sont dépassés et que l'on ne peut pas s'arrêter afin de reprendre une vie sociale d'échanges. Vous êtes désocialisé. L'usage excessif peut se maitriser après , bien sur, quelques hésitations, mais on revient à la réalité plus ou moins facilement suivant son degré de dépendances. Des vacances en montagne, mon smartphone est déconnecté, et en fait, après une bouffée d'angoisse à la pensée de ne pas pouvoir être jointe si jamais il arrivait "quelque chose" qu'est ce que l'on se sent bien! La terre a continué de tourner et la famille allait très bien au retour!

Usage raisonnable

Question qui fait doublon. L'addiction est un usage excessif après reste la question de la gestion de cet usage par rapport à notre quotidien, à notre vie social, le rapport aux autres et à son environnement.

usage excessif ou addiction?

je pense qu'effectivement l'usage excessif ou l'addiction ont une frontière quasi inexistante pour être souvent entre l'excessif et l'addiction -je pratique le jogging depuis quelques années , tous les jours pendant une longue période, je m'épuise ou me fait mal et puis j'arrête plusieurs mois ...pour reprendre graduellement -je pense qu'il est très difficile de distinguer la différence

addiction

L'usage excessif peut se raisonner. L'addiction non. Le sujet est conscient du caractère excessif mais ne peut l'empêcher.

Usage excessif Vs Addiction

Il y a bien sûr les définitions classiques de l'abus et de la dépendance : > L’**usage abusif** est une consommation > susceptible de provoquer des dommages physiques, psychologiques, > économiques, judiciaires ou sociaux pour le consommateur et pour son > environnement immédiat ou lointain. > > Brutale ou progressive selon les produits, la **dépendance** s’installe > quand on ne peut plus se passer de consommer une ou plusieurs > substances, sans éprouver de souffrances physiques ou psychologiques. Pour le numérique ces définitions me semble tout à fait applicables. Le plus important pour différencier l'usage excessif de la dépendance c'est de rechercher une souffrance. Dans l'usage abusif, l'usager est encore en phase de "lune de miel" avec son comportement il me semble qu'il ne se rend pas encore compte des effets nocifs de son comportement. Dans la dépendance il est conscient des effets nocifs, mais malgré ses tentatives d'arrêt il n'arrive pas a arrêter son comportement et c'est de sa que vient la souffrance, de cette perte de liberté, de cette autodestruction qu'on ne peut empêcher.

Usage excessif Vs Addiction

Je suis assez d'accord avec vous pour dire que l'addiction est un palier supplémentaire à l'abus excessif. la notion de souffrance est en effet importante et primordiale dans le cas de l'addiction. Je crois qu'il faut aussi prendre en compte les tentatives de rejet de cette addiction par le sujet.

2 usages bien distincts

La notion d'excessif contient intrinsèquement l'idée d'exception. L'addiction, elle, se réfère à un usage régulier, récurrent et qui n'est plus contrôlé ou contrôlable, à la différence des excès qu'on tolère..

usage excessif ou addiction

l addiction apparaît lorsque la vie d'une personne n'est remplie que de la recherche du produit addictif et de ses effets. La douleur du manque apparaît dès que le produit vient à manquer. L'excès excessif laisse la place à d'autres conduites et plaisirs, même si le manque est ressenti, il ne conduit pas à la recherche unique et reproductive.

usage excessif + volontariat/dépendance = addiction

Je pense que l'on parle d'addiction lorsque l'usage devient abusif voir excessif. Mais l'addiction apparaît lorsque qu'il y a un caractère volontaire même inconsciemment. Dans le numérique on peut parler d'usage excessif notamment dans des situations professionnelles. Cependant peut-on parler d'addiction dans de tel cas ? Je ne crois pas car l'addiction nécessite une démarche volontaire et personnelle relevant du caractère identitaire

Envahissant excès

Se sentir envahi par quelque chose ... Pour ma part, je me sens envahi, je fuis. Si l'on rajoute l'excès, l'addiction, je pourrai rester. Qu'est ce qui me ferai rester ? Communiquer avec l'autre, découvrir, Alors oui mon excès pourrai me rendre addicte Le temps me le permettrait également La disponibilité intellectuelle aussi. En résumé, trop souvent penser à quelque chose (comme le téléphone) me ferait prendre conscience que j'aurai une forme d'addiction à ce support. Pour le moment, je ne le pense pas.

situer l'usage excessif /addiction

BSR,Tout ce qui est excessif est en soi un problème,l'homme étant la mesure de toute chose. L'addiction est l'application (de ce point de vue moral sur l'homme) à l'investissement personnel ,focalisation de soi sur une activité trop exclusive ,qui exclut les autres ,qui isole ,enferme ,qui abrutit ,etc ... jphed

fréquence quotidienne

quand on ne peut plus s'arrêter une journée qu'il y a un comme une sorte d'énervement ou de stress qui se crée, un besoin à sastisfaire qui devient impérieux

usage excessif

usage excessif : dérange la vie quotidienne, mais n’empêche pas de faire ce qui avait été prévu, possible encore de s'arrêter quand on se fixe des bornes addiction: impossible de ne pas le faire, plus de limites, inconscience , même si cela dérange tous les plans prévus et met à cote de la vie sociale ou familiale

Abus au quotidien

Je pense que la différence entre l'usage excessif et l'addiction se situe à partir du momment où le comportement en question se répète plusieurs fois dans une même journée. A partir du seuil où ce comportement devient gênant pour le quotidien ( vie professionnelle, vie privée ) qu'il devient incontrôlable,à mon avis on atteint l'addiction. Je pense qu'un usage excesif ne dérange pas dans la vie de tous les jours.

L'USAGE EXCESSIF/L'ADDICTION

Je pense que l'usage excessif est le premier degré de l'addiction. On peut utiliser une substance(mener une activité) de façon excessive mais se passer de cette substance (activité) dans l'avenir. Alors que ce n'est pas le cas de l'Addiction qui nécessite un traitement ou soutien particulier .

L'USAGE EXCESSIF/L'ADDICTION

Cette réponse me convient bien.

usage excessif

L'usage excessif par rapport à l'addiction c'est ne plus maîtriser l'utilisation en fonction des besoins propres et en fonction de la gestion efficace du temps.

Excès ou abus

Ca me semble être de deux ordres distincts. L'excès peut être festif, occasionnel, l'abus, qu'il aille trop loin ou trop souvent, est plutôt destructif.

Usage excessif répété puis répétitif

L'addiction correspondrait à un usage jugé excessif, par l'individu et/ou tiers, non pas isolé, mais qui se répète et et devient même répétitif sans même que la conscience que l'on en a ne puisse l'empêcher ou l'interrompre. Ce qui laisse à penser que l'addiction répond à un besoin ou une attente mal identifié (e)

usage excessif

Par rapport à une addiction je pense que l'usage excessif est un usage auquel on peut arriver à se détacher. Par exemple quelqu'un qui passe beaucoup de temps sur internet ou son téléphone et qui part en vacance et qui arrive à s'en passer totalement sans ressentir de manque.

usage excessif

Effectivement, je me sens limite addict au niveau internet car j'éprouve un sentiment de manque quand je ne peux pas me connecter en vacances !!!!

Usage excessif vs addiction

L'usage excessif laisse une place (petite) au libre arbitre contrairement au comportement addictif qui induit des processus de soumission mentale/physique, totale. Mathéa CM

Usage excessif vs addiction

oui le c'est le coté irrépressible qui caractérise l'addiction. Elle n'est pas forcement liée à un excès et qui peut avoir des aspects positifs (un joueur de JV peut devenir un expert ) Elle est problématique quand elle devient le seul moteur de l'existence. Le devient elle forcement? Il y a des fumeurs qui ont de belles vie et ne meurent pas d'un cancer (ceci dit, j'ai arrêté et je me sent plus libre)

Du plaisir vers le dégoût

C'est une limite difficile à marquer. Lorsqu'un comportement provoque du plaisir et reste à cet état, nous pensons que nous ne sommes pas encore dans l'addiction. Lorsqu'un comportement provoque du dégoût (de soi par la honte par exemple), on pourrait parler d'un comportement addictif.

degré, échelle

Il s’agit d’un rapport d’échelle, de degré. L’usage excessif peut mener à l’addiction, s’il n’est pas maitrisé par l’usager.

Distinction entre consommation, abus et dépendance

Le cercle vicieux de l'addiction est très complexe. Chaque individu est différent et nous sommes tous inégaux (du point de vue génétique, environnemental ...) face à ces différents stades menant à l'addiction. Une chose est sûre, le passage du stade "liking" (on ressent du plaisir à consommer) au "wanting" (recherche absolue de la drogue en dépit de toute autre considération) puis au "craving" ( utilisation compulsive de la drogue) est sans retour. Seule solution : un sevrage accompagné d'un suivi psychologique. La personne devient "addict" dès lors où elle poursuit la consommation de la drogue en dépit de conséquences négatives. L'usage excessif de drogues ne mène pas forcément à une addiction. Ophélie JOLY, étudiante en Neurosciences

Distinction entre consommation, abus et dépendance

c' est à dire on est devenu addict dès qu' on entre dans le coté OBSCUR du consommation?

addiction ou comportement envahissant

L'addiction est différente pour chacun. Nous sommes inégaux génétiquement face à cela. Un fumeur qui fume 30 cigarettes par jour peut arrêter parfois plus facilement qu'une personne qui fume 2 cigarettes par jour. Par contre, nous sommes tous susceptibles de commettre des abus ou d'avoir des comportements envahissants. l'intensité n'est pas la même.

Usage excessif ? Addiction ?

On peut arrêter, faire une pause dans un usage excessif... S'en passer le temps de vacances, de soirées,... L'addiction ne peut pas s'arrêter, elle est comme une obsession quotidienne.

Usage excessif ? Addiction ?

mais on ne peut pas aller en vacances toute l' année? la solution doit être accessible à tous, les vacances sont trop chers, changement de comportements c' est suffit comme les cigarettes

usage excessif et addiction

Je ne pense pas que l'usage excessif relève du même domaine que l'addiction. Je peux faire un usage excessif de sel dans un plat et corriger par la suite, même si j'aime manger "salé". Mon addiction au tabac par exemple n'est pas contrôlée, difficile à mesurer, non rationnelle. Je perçois bien que ce ne sont pas les mêmes parties du cerveau qui entrent en jeu.

Question 3

C'est compliqué de répondre, surtout si on se place du point de vue d'un ado où son cerveau est en pleine maturation et où les comportements excessifs sont nombreux, d'ailleurs c'est pour cela que certains spécialistes des domaines addiction et adolescence pensent qu'il n'y aurait pas d'addiction à cette période. Si on se place d'un point de vue adulte, encore qu'il est difficile de faire la limite entre ado et adulte... perso je dis que l'adolescence se termine une fois que l'ado a compris que le frigo ne se remplit pas tout seul... Donc pour en revenir au point de vue adulte, il est fréquent d'avoir un usage excessif d'alcool par exemple en soirée ou à une fête alors qu'on n'est pas addict à l'alcool pour autant. Donc je pense qu'on peut avoir un usage excessif sans être addict, mais au fait, excessif c'est par rapport à quoi ?????? La loi pour l'alcool par exemple ??? Bref là aussi c'est difficile de se positionner sans élément de comparaison ou de point de repère

Question 3

Excessif, à mon avis, ce n'est pas par rapport à une loi. C'est toute l'ambiguïté de la loi française qui autorise certaine drogues potentiellement dangereuses, comme l'alcool ou le tabac mais en interdit d'autres. Que la loi interdise les conséquences néfastes (comme conduire au volant alcoolisé) me semble souhaitable mais qu'elle se mêle de la vie privée des gens (consommer une drogue) me semble abusif. L'excès c'est ce qui devient néfaste pour l'organisme ou pour la vie sociale ou pour la vie individuelle. Mais parfois on est dans l'excès et on ne s'en rend pas compte. Et parfois on est dans l'excès exceptionnel et choisi et cela ne regarde que soi. Etre toujours raisonnable, est-ce bien raisonnable?...

incontrolabilité

pour moi un comportement addictif est incontrolable par la personne concernée, et ce comportement finit par structurer son existence. L'abus est relatif, et la barre entre le raisonnable, l'excès, et l'abus dépend de chacun d'entre nous. Pour certains, 4h d'internet par jour sera une consommation raisonnable et maitrisée, pour d'autres, ce sera dèjà trop. Je pense que le seuil n'est pas sur la quantité, mais sur la capacité à controler la consommation. Une exemple d'actualité: tous ceux (celles) qui font les soldes sont ils des shopping addicts ? et les acheteurs compulsifs (au point de finir à découvert) sont ils addicts à quelque chose ?

incontrolabilité

mais certains bureaucrates sont obligés de travailler quatre heures sur internet sont ils ou elles accro? Alors que c' est leur travail

incontrolabilité

concernant l'achat compulsif je dirai que c'est une addiction. Si l'acte d'achat n'est pas assouvi, il y a souffrance, l'achat vient combler un besoin même irraisonnable.

entre excès et addiction

La frontière entre comportement addictif et usage excessif se situe je pense au moment où l’usage devient indispensable au cours de la vie. L’activité cesse d’être plaisir pour devenir nécessité

usage excessif/addiction

Il me semble qu'il y a une sensation de douleur, de manque si l'addiction n'est pas assouvie. L'usage excessif n'est pas dangereux et n'entraîne pas de manque.

discussion

A partir de quel comportement peut on voir l'addiction? pour moi c'est quand il n' y a plus de frontière entre le normal et l'excès. Là aussi c'est par rapport au jugement de chacun, la limite est quand on ne peut plus s' en passer ou que l'on ressent une gêne physique ou spychologique.

Usage excessif

L'usage excessif peut ne pas être indispensable à la mode de vie du concerné, il peut s'en passer de temps en temps, mais pour l'addiction je pense il lui est très difficile de s'en défaire.

A partir de certains comportements, comment situez vous l'usage excessif par rapport à l'addiction?

une sensation de manque incontrôlable, à la fois dans son corps et dans son esprit.

Besoin irrépressible

L'addiction répond à un besoin physiologique irrépressible alors que l'usage excessif est le dépassement d'une limite définie sans pour autant qu'il y ait un tel besoin. Enfin c'est ce que j'en pense...

Excès ou addiction

Pour moi, un comportement peut être considéré comme une addiction quand son excès est sciemment vu comme néfaste, mais qu'il est néanmoins maintenu.

Excès ou addiction

Vu comme néfaste par l'entourage? ou plutôt ressenti comme néfaste par la personne impliquée?

Addiction et usage excessif

Dès que la consommation ou l'usage conduit la personne à l'isolement, on peut alors vraiment parler d'addiction. Cet isolement est souvent inconscient et s'installe peu à peu jusqu'à la désocialisation de la personne.

Usage excessif vs addiction

Usage excessif : je l'utilise pour tout et n'importe quoi. Addiction : j'angoisse si je ne peux pas l'utiliser.

Excessif est addiction

Dès que l'excès est présent, l'addiction naît. Pour perdre du poids on peut par exemple rééquilibrer son alimentation ; faire un peu de sport. Mais si on commence à retirer TOUT les féculents, TOUTES les huiles.. Ce n'est plus un régime ; mais de l'excès.

Où est la limite ? Quelle est la différence ?

Je penses que la limite entre l'habitude de consommation d'une pratique ou d'une substance et l'addiction se trouve dans la prise de conscience où dans les problèmes qu'elle va engendrer !! L'addiction répond à un besoin incontrolable même si on s'est que ce n'est pas bien et peut répondre à un mal être sur le moment mais ne résout pas le problème de fond !!! Il est des addictions ou des pratiques dont on ne peut pas parler car il peut être difficile de comprendre certaine consommation et par manque d'information on ne sait pas vers qui se tourner, c'est un cercle vicieux Quand une pratique prend le dessus sur le quotidien et que l'on ne peut pas la controler cela devient une addiction !!!

Usage excessif et addiction

Pour moi l'usage excessif n'est pas encore dans l'addiction mais cela ne saurait tarder car la frontière est légére à mon avis. L'addiction est peut-être un mot reconnu médicalement tandis que le fait d'avoir un usage excessif reste un terme plus commun. L'usage excessif peut être appliqué sur une période donné tandis qu'addiction reste avec une notion de temps importante et reconnue.

2 notions distinctes

2 notions proches mais pourtant distinctes : usage excessif = usage dépassant la norme le cas échéant sur une courte durée. addiction = répétition de l'usage le rendant excessif

Toujours Bruno Bril je ne veux pas rester anonyme

L'addiction souvent nous dépasse l'excés peut être voulu. Certaines consommations excessives peuvent être recadrées à la baisse mais quand on parle d'addiction on ne parle pas de "volumes" mais plus de répétitions.

la raison de tout cela

Pourquoi vouloir se prouver quelque-chose, notamment que l'on est pas addict au numérique, en se privant, même momentanément, d'un outil qui non seulement ne nous fait pas souffrir, mais qui nous procure de nombreux plaisirs ou bénéfices (exemple la participation à ce MOOC ou d'autres échanges...), etc ? Quelqu'un a eu l'idée de se priver volontairement de sa voiture pendant 7 jours juste pour voir son niveau de dépendance? et alors ? quelles conclusions ? On peut s'en passer, oui, mais on n'en voit pas l'intérêt. On est dépendant ? oui, au même titre que vis à vis de notre voiture, de l'argent... Au-delà des définitions claires qui ont été données lors du 1er webinaire, chacun a ses propres représentations du numérique et du terme addiction. Le numérique, en tant "qu'objet philosophique" est le support de tous les fantasmes, de toutes les peurs, croyances, espoirs...

La limite

Bonsoir, une calculatrice employée pour n'importe quel calcul même les plus basique, est un emploi excessif d'une calculatrice. Le besoin de se tenir informer par exemple est une addiction à l'information, on en ressent le besoin, "il faut que je saches ce qu'il se passe" comme si cela m'était vital.

qu'est ce que cela tente de cacher?

Un comportemement qui devient envahissant, n'est pas plus perçu comme envahissant dans l'addiction il devient justifié ,valoriser ,et puissant

usage excessif ou addiction

La différence est pour moi sur la capacité de maitriser son comportement, son acte sans souffrance, sans difficulté excessive.

excès

L'usage excessif devient gênant pour autrui ou pour soi-même. Il empêche de faire quelque chose de plus urgent ou important. On prend du retard dans des aspects essentiels de la vie ou du travail. L'addiction entraîne une souffrance liée au manque ou à l'absence de possibilité de satisfaire ce qui est devenu une nécessité.

Addiction une pathologie ?

L'addiction serait une pathologie (comme les TOC ?) : les personnes qui en souffrent doivent être aidées, accompagnées pour en guérir. Quant à l'usage excessif, il peut être auto-régulé.

Addiction une pathologie ?

Bonjour, Vous avez effectivement été nombreux à souligner un écart entre addiction et usage excessif. Une des différences qui a été soulignée est que l'usage excessif peut rester un plaisir, mais il peut également mener mener vers l'addiction. Il ressort un aspect contrôlable, "auto-régulable" de l'usage excessif. Les TOC sont effectivement considérés comme des troubles. Si vous souhaitez plus de renseignements là-dessus: http://psychiatrie.free-h.fr/troubles-anxieux/criteres-diagnostiques-dsm-iv-tr-to.html Bonne journée, Cordialement, Stéphanie

Addiction une pathologie ?

la place du trouble addictif par rapport au trouble du controle des impulsions d'un coté,et au trouble obsessionnel compulsif de l'autre ,est régulièrement discutée; un élément important de distinction par rapport au TOC est que ce dernier est "égodystonique" ,c'est à dire vécu par le sujet comme plus ou moins absurde ,et parasite ,par rapport au reste de son comportement,ce qui n'est pas le cas du trouble addictif jlv

Addiction une pathologie ?

Ne pourrait-on pas dire que c'est un petit peu le cas dans certains troubles addictifs, notamment avec substance, où la personne en situation de dépendance sait que son comportement nuit à sa santé mais ne peut s'empêcher de continuer? On retrouve un coté absurde et parasite. Guillaume

usage excessif

l'usage excessif est peut-être contrôlable par rapport à l'addiction?

esclave

Excessif quand on ne se sent pas "esclave" de la chose en question. C'est-à-dire que l'on peut arr^ter plusieurs jours ou demaine sans ressentir le manque, ce besoin impérieux de jouer, consommer, faire du sport

esclave

votre rélexion donne l'opportunité de rappeler qu'éthymologiquement addict vient d'addictus qui ,en droit romain,et jusqu'au Moyen age signifie "esclave pour dette " ;autrement dit quand quelqu'un ne pouvait régler ses dettes ,il (son corps) etait donné en gage à son créancier pour un temps proportionnel au montant de cette dette ; cette notion de contrainte par corps n'est pas inintéressante pour penser l'addiction jlv

La notion de besoin

A mon sens la notion de besoin est primordiale. En effet, personne ne dira qu'un individu qu'il est addict si, par exemple, celui fait un footing par jour. La plupart des personnes vont alors d'écrire cette personne comme étant "sportive", "qui prend soin de sa santé" etc, alors qu'en fait trés souvent ces personnes ont BESOIN de faire cette activité, il s'agit donc à mon sens d'une addiction.

La notion de besoin

Bonjour, Je trouve que votre exemple sur le sport est très parlant, car s'il est socialement valorisé il peut aussi être source d'addiction. Néanmoins la notion de besoin est complexe car c'est une notion physiologique, on parle notamment de besoin vitaux (manger, dormir), mais qui renvoie aussi à d'autres éléments plus complexe (notamment décrit par Maslow avec ses travaux sur la pyramide des besoins). Peut être peut on parler de nécessité ou encore d' "Impossibilité de résister aux impulsions à réaliser ce type de comportement" comme cela est définit dans les critères de Goodman. Marine

Addiction : dommages irréversibles

J'ai l'impression que ce qui différencie l'addiction d'un usage estimé excessif, en plus de l'isolement qui a été mentionné par certains participants à cette discussion, c'est que l'addiction provoque des effets psychologiques / physiologiques irréversibles ou au moins très difficiles à "réparer". Il y a une sorte de "non retour" dans l'addiction. Certes, on peut se désintoxiquer, mais c'est difficile, on ne peut généralement pas le faire sans intervention d'un tiers et une rupture radicale", et de toutes façons quelque chose a été perdu. Alors qu'un comportement excessif ne me semble pas avoir ces effets irréversibles. Ce type de comportement risque t-il de faire basculer ceux qui l'ont dans l'addiction ? Peut-être, mais pas de manière systématique, et pas seul. Il y a probablement des facteurs de risque ailleurs. Bref, beaucoup de "peut-être" et de "probablement" dans mon message, je suis justement ici pour gagner en précision, sortir des imprécisions sur le sujet de l'addiction !

Addiction : dommages irréversibles

Bonjour, je ne pense pas qu'on puisse parler d'effet psychologiques irréversible, ni meme de non retour. Parmi les différents critères qui définissent l'addiction on trouve effectivement (entre autres choses) la mise en place de "tentatives infructueuses pour contrôler ou abandonner l'addiction" mais il existe aujourd'hui différents types d'intervention qui permettent de sortir de l'addiction sans forcément que ça implique une rupture radicale. Marine

Addiction

Quand cela empiète sur d'autres activités (typiquement > travail) ou que cela nuit à la santé.

en dépendance

Lorsque l'on ne peut plus gérer directement. On est alors mené par le bout du nez (dans la meilleur des cas)

usage excessif vs addiction

l'usage excessif est encore contrôlé. L'addiction échappe plus facilement au contrôle de l'esprit c'est un véhicule "fou".

Coercision

Lorsque qu'un comportement nous porte préjudice à un niveau de réflexion portant sur les conséquences de nos actes, et que, tout en en ayant conscience, une force intérieur nous culpabilise pour poursuivre ce comportement destructeur, alors il s'agit d'addiction. L'addiction est donc un comportement ni rationnel, ni rationalisable.

A partir de certains comportements devenant envahissant, comment situez-vous l'usage excessif par rapport à l'addiction ?

un usage excessif est un usage exagéré, dommageable même à la personne, mais cette personne peut contrôler tandis qu'une addiction est incontrôlable par la personne atteinte concernée.

usage excessif versius addiction

l'usage excessif je le définirais par un usage fort d'une technologie, de son téléphone, de son pc, tablette ou internet... mais on peut s'en passer en certaines occasions si vraiment il n'y a pas le choix. l'addiction au contraire fait en sorte que l'on ne peut pas s'en passer, qu'on ne pense qu'à ça et que l'on ressent un manque, un mal être qui en devient presque physique ; angoisse..;

usage excessif/addiction

on peut différencier peut être par la perte de contrôle . continuer un comportement malgré les conséquences négatives . perte d'intérêt pour d'autres activités .le temps passé au détriment de certaines obligations .

réponse troisième question

L'usage excessif, selon moi, n'est pas forcément synonyme d'addiction. L'addiction serait un usage qui bouleverse la vie quotidienne. La personne se livre à ce comportement en se privant de sortir avec des amis, d'avoir une hygiène de vie correcte (sommeil, alimentation...), d'aller au travail\école... La personne peut cependant passer beaucoup de temps à un comportement sans forcément que sa vie personnelle, professionnelle ou sa santé soit perturbée. Dans ce cas là, je parlerais plutôt d'usage excessif. Par ailleurs tout dépend le contexte dans lequel la personne se livre à ce comportement. Si ce comportement est pour combler un manque psychologique, se sentir mieux, soulager une souffrance... le risque d'addiction est plus présent. Si une personne se livre à un comportement même de façon excessive par plaisir, l'addiction n'est pas forcément présente même si le risque peut être là.(ex : jouer aux jeux vidéo entre amis de façon importante)

Semaine 1 / 3.1 Rôle de l'outil numérique

Vivre dans un monde virtuel est valorisé

L'addiction au numérique ne me semble pas associé à la drogue. Le besoin de resté connecté semble un besoin vital, une sorte d'oxygène.Ce besoin est plus insidieux, car être connecté est valorisé par notre société. On n'ingère pas de substance nocive. La bascule vers l'addiction numérique se révèle quand la personne n'est plus en contact avec son environnement direct, mais vit totalement dans son monde virtuel.Un exemple de film qui en fait l'apologie : Matrix.

L'outil et l'humain

L'outil numérique reste un outil au même titre que les cartes à jouer sont un outil. Ce qui plonge l'utilisateur dans l'addiction est la charge émotionnelle qui est déclenchée par l'usage de cet outil. Ainsi, l'outil numérique peut être un vecteur de ces charges émotionnelles mais aussi un vecteur d'apprentissage et donc de prise en charge de l'addiction.

L'outil comme moyen

Comme n'importe quel outil, le numérique est un médiateur entre le sujet et son objet. Sa valeur dépend donc de l'usage qu'on en fait. La réponse à la première question semble donc asse évidente. la puissance de cet outil démultiplie les possibilités offertes d'accès à l'objet. Je n'ai pas vraiment étudié la question, mais les nombreux sites proposant des jeux en ligne doivent faciliter l'addiction au jeu. Existe-t-il des sites proposant des drogues ? J'en doute un peu... En revanche comment cet outil pourrait-il permettre de se dégager d'une addiction est une question plus délicate. En ce qui me concerne, je dirai oui également. Si l'addiction est un moyen de se détourner de la réalité, le numérique m'apparaît tout autant comme un moyen d'y revenir.

L'outil comme moyen

On trouve tout sur internet, drogues, armes ... Le réseau Tor (l'oignon) permet(tait ?) l'anonymat. Voir [les sites de vente illégaux se professionnalisent][1] [1]: http://www.lemonde.fr/pixels/article/2014/09/23/drogues-armes-les-sites-de-vente-illegaux-se-professionnalisent_4492592_4408996.html

L'outil numérique un moyen pas une fin

L'erreur est je pense de penser l'outil numérique comme une fin et non comme un moyen.Tant que l'outil numérique, le téléphone, les réseaux sociaux, ... reste l'interface entre 2 humain, associé donc à une réfléxion, à un message, ... je pense qu'il peut être un support. Si l'outil numérique est utilisé comme une fin en soit (avoir xxx amis sur facebook comme objectif, xxx follower twitter, devenir populaire sur instagramm, ...) il va aloir devenir source d'addiction, ou du moins de comportements bizarres. Je ne pense pas que l'outil numérique puisse être unsupport autre que préventif (diffusion de message) pour l'addiction aux drogues. Et encore pour le préventif ce n'est meme pas sure. Car nous sommes rompues aux messages publicitaires, aux campagnes de communication. Pour moi seul l'accompagnement humain peut aider.

addiction echappatoire

l internet a multitudes de sites incitatifs a developper une dependance aux drogues images clips videos qui envoient des messages subliminaux comme pour les publicites on est subjuge nombre de personne qui nont jamais consomme qui passent a la realite en fumant. pour fuir la realite internet est refuge pour etre une autre personne

addiction echappatoire

L'anonymat est la meilleure et la pire des choses (notamment pour les addictions). Au début circulait l'adage [«sur l'Internet, personne ne sait que tu es un chien»][1]. C'était la phase 2 de l'internet qui était un espoir de partage et d'accès à la connaissance pour tous. C'était avant google, l'addict à nos données. [1]: http://fr.wikipedia.org/wiki/On_the_Internet,_nobody_knows_you%27re_a_dog

Jeu informatique et alcool

C'est quasi toujours avec la bouteille de bière que mon époux joue à son maudit jeu informatique ! Pris par le jeu, il ne se rend plus compte qu'il boit de l'alcool, et pris par l'alcool, il ne mesure pas son jeu. Les limites ont été posées maintes fois, en couple, mais elles sont tombées comme la foudre peut arracher des panneaux de signalisation !

outil numérique et addiction?

Il me semble que le numérique a favoriser certaines certaines addictions notamment celles des jeux d'argent, site de poker...., le joeur devient anonyme et peux désormais jouer sans même sortir de chez lui.

outil numérique et addiction?

Par ailleurs en plus des "addictions notamment celles des jeux d'argent, site de poker", on peut ajouter l'achat d'alcool, de drogues en lignes qui permettent aux plus dépendants de se faire directement livrer chez eux, sans avoir à se déplacer.

’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ?

non je ne pense pas .. on peut effectivement remplacer une addiction par une autre moins nuisible mais c'est un travail psy qu'il faut faire pour identifier comprendre et résoudre son problème et son rapport à l'objet

’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ?

Et un psy en ligne ? Par vidéo ? La caméra en face du divan à la maison ? Avec un paiement en ligne, évidemment !

’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ?

moi je pensais aux serious game . il doit bien exister des initiatives soit dans le cadre de la prévention soit pour le traitement d'addictions comportementales ou non. Est-ce que quelqu'un a des infos à ce sujet ?

’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ?

voici le lien du site d'une psychologue spécialisée dans les jeux vidéo, les usages numériques et leurs impacts (thérapeutiques, cognitifs et pédagogiques).http://vanessalalo.com

l'endroit et l'envers...

Bonjour à tous, Comme pour beaucoup de choses, l'apparition de nouveaux outils peut revêtir à la fois un progrès mais, dans l'envers du décor, montrer des côtés pervertis.... Il me semble que l'outil numérique, déjà en lui-même peut créer une addiction (aux écrans) mais aussi donner une facilité d'accès à certains produits, médicaments, drogues illégales... A l'inverse, certaines personnes en souffrance peuvent obtenir des informations, des soutiens, accéder à des forums pour discuter avec d'autres personnes rencontrant des problèmes similaires, avec d'autres qui s'en sont sortis... Je crois que comme beaucoup d'outils, il est important de le comprendre, de prévenir les enfants sur ses mauvais côtés, mais ne pas diaboliser... La difficulté de la génération précédente et la génération suivante, c'est que c'est cette dernière qui maîtrise le mieux l'outil, rendant parfois les parents impuissants et les enfants seuls...

facilitateur le numérique ?

ouiiiiiiiii car c'est nouveau, jamais fini, sans fin ...facile ...et souvent dans l'illusion par ailleurs: c'est une mine de renseignements, pour qui est curieux ce sont des connaissances à porter de tous mais si on a un penchant pour l'addiction est ce que le support importe ???

facilitateur le numérique ?

De mon point de vue, le support n'est pas neutre. Par exemple, sur internet, on trouvera toujours des interlocuteurs ou des compétiteurs en ligne pour les jeux. En présentiel, quand nos copains sont fatigués, ils nous laissent, et on va aussi se coucher parce que cette pause bénéfique nous a permis de prendre conscience que ouais, nous aussi on est crevé.

Etre ou ne pas être?

le numérique permet de realiser des achats sans sortit, personne ne voit, personne ne sait et de jour en jour on devient addict. le numérique permet aussi de sortit de chez soi pour découvrir d 'autres vies, d'autres mondes, personne ne voit , on devient addict. est ce que l 'addiction n 'est pas une création de la société pour augmenter la consommation sans en avoir l 'air.

Etre ou ne pas être?

Je ne pense pas que l'addiction soit une création volontaire de la société, mais plutôt le symptôme de certains de ses dysfonctionnements. L'addiction à grande échelle, ça risque de lui coûter cher en soins médicaux à la société, elle ne va pas sciemment la provoquer pour perdre le bénéfice de l'éventuelle augmentation de la consommation (et donc de la fameuse croissance tant désirée).

et le plaisir

Tout le monde parle d'addiction mais si il y a addiction il y a plaisir, j'ai commencé l'informatique à 40 ans et internet en bas débit aussitôt. Quel plaisir de maitriser ces nouveaux outils. 17 ans après je reste accroc à internet parce que je me fait plaisir, avant internet je lisais beaucoup. En tout cas sans plaisir il n'y a pas d'addiction.

et le plaisir

Dans addiction, il y a une notion de souffrance, non ? D'une recherche d'un plaisir qui n'est jamais totalement assouvi au point qu'on ne peut pas décrocher, même pour répondre à des besoins vitaux (manger pour l'alcoolique, dormir pour l'acccro d'écran,...)

oui aux deux points

Le web est décomplexé, tout le monde s'y exprime sur tous les sujets. Cachés derrière les écrans les individus peuvent "dire" tout ce qui ne serait pas possible au quotidien. On peut imaginer que quelqu'un qui serait tenté d'essayer une drogue, un produit ne pourrait peut être pas le faire ou alors en petite quantité s'il se fournit dans son environnement habituel. le net lui est un immense marché vendant de tout, ne se préoccupant pas de morale... il est alors tentant d'essayer, puis d'y retourner, d'essayer plus fort ou plus longtemps et installer alors une addiction qui n'aurait peut être pu être réalisée sans internet. Dans le cas du jeu en ligne par exemple, la mondialisation du net fait que quels que soient l'heure du jour ou de la nuit, il y a toujours quelqu'un prêt à jouer. Cela a donc une influence très forte sur le comportement, il devient facile de jouer sans arrêt alors que sans cette possibilité, le joueur devrait trouver des partenaires dans son fuseau horaire et disponibles quand lui le souhaite. Mais lorsque l'esclavage de l'addiction est perçue par l'esclave, qu'il souhaite s'en guérir, s'en extirper, s'en sauver, le net apporte aussi une aide importante (échanges avec d'autres personnes souffrant des mêmes addictions, aide médicale, comportementale, informations sur ce qu'est l'addiction, conseils pour s'en sortir..)Le souhait/besoin de s'en sortir et tout simplement la possibilité (témoignages de personnes ayant réussi à guérir) sont aussi des facteurs qui peuvent aider l'addict. Il me paraît quand même un peu osé de doter un outil numérique d'un pouvoir aussi grand que celui de pouvoir provoquer ou guérir des addictions... Ce n'est -à mon avis - pas l'outil qui a ce pouvoir mais son MESUSAGE .

oui aux deux points

Je me répète, mais je pense vraiment que l'outil n'est pas neutre, qu'il a du pouvoir en soi, et que c'est pour ça qu'on parle de "révolution numérique", car les outils créent aussi les usages et non plus uniquement l'inverse.

oui aux deux points

bjr;**-Internet n'est pas qu'un outil,c'est au moins un animal-** ,c'est vivant puisque tout de suite sur Internet il y a du monde ,beaucoup de monde ,bienveillant ou non .

Une mise en lumière du phénomène

Les addictions existaient avant les outils numériques, mais peut-être étaient-elles tout simplement moins relayées et visibles. Comme tout outil, le numérique est à double tranchant : pour certains, ça enfoncera une porte ouverte, pour d'autres, cela servira de tremplin pour décrocher. Facebook n'a pas rendu les gens addicts au "Me, Myself and I" - celui-ci existait déjà mais a trouvé une amplification grâce à ce nouveau comportement en ligne. WoW n'a pas rendu les gens addicts aux jeux, mais il a certainement contribué à assouvir un besoin chez certains, qui se sont enfermés dedans (et je parle en connaissance de cause). Certains addicts dans la vie "réelle" trouvent du soutien grâce aux différents forums et arrivent à s'extirper de leur addiction (fumeurs, etc).

Le numérique, un mal nécessaire

Le numérique avec ses nombreuses prouesses fait l'objet d'une admiration objective de nos jours.les termes développement et le numérique sont intimement liés et ne peuvent pas être dissociés.or loin d’être un outils totalement positif pour l'existence, il offre de nombreuses toutes autres possibilités qui déciment l'humanité,notamment le commerce des drogues illégales , des informations sur un apparent effet positif lié à leur consommation ect

Le numérique, un mal nécessaire

Oui, sur Internet on trouve malheureusement beaucoup d'inépties, de bêtises et de désinformation, que n'importe qui peut trouver et croire. Et quand on lit les commentaires d'actualité ou de n'importe quel autre chose, ça fait parfois peur...

facilitant

l'outil numérique est facilitant pour certaines addictions, aux jeux ou au sexe par exemple. En revanche, nous participons tous actuellement à l'inverse, c'est un moyen collaboratif de réflexion, de discussion sur ce sujet, et c'est le côté préventif de l'outil numérique .

L'activité cérébrale du cerveau

Il serait intéressant de parler un peu du corps humain, et qu'elles sont les parties les plus influençables et manipulables, je parle bien entendu du cerveau. Le cerveau est sensible à un certains types d'ondes transmisent par nos différents appareils digitaux, y compris la télé, la radio. Ces ondes facilitent et imprègent notre cerveau qui se transforme extrêmement facilement en une éponge qui absorbe, et absorbe... ce cerveau s'endort et cela diminue notre mode de réflexion et de pensée. Voir comment les médias peuvent influencer l'opinion publique. Ceci est mon avis personnel... je ne suis pas psy et pas envie de la devenir lol

A quelle fin?

le numérique n'est pas négatif en soi, c'est la façon dont il est employé (actif ou passif) et son taux d'utilisation et à quel fin?

A quelle fin?

quel que soit le moyen on peut tomber dans l'addiction tout est question d'auto modération je ne pense pas que le numérique soit plus addictif qu'un autre outil

Numérique et addiction => TV Lobotomie

http://youtu.be/NvMNf0Po1wY Je vous renvoie à la conférence de Michel Desmurget sur les effets néfastes de la télévision. On pourrait y faire un parallèle avec les écrans d'ordi... Pas tous, mais quand même...

Numérique et addiction => TV Lobotomie

Merci. Oui, il est clair que la télévision dans son usage actuel est globalement nocive, toutes les recherches scientifiques concordent. Oui on pourrait faire un parallèle avec des écrans d'ordi. Face à l'ordi on est quand même plus actif mais on est quand même bien "exploité". On peut aussi considérer que Google et Facebook (par exemples) vendent (entre autre) "du temps de cerveau à Coca Cola"... Tous les moyens sont bons et le combat pour que le numérique ne devienne pas aussi lamentable que la plus grande partie des chaines de télé n'est pas gagné, loin de là! Ce sera un des sujets de la semaine 5...

le numérique un facilitateur des addictions ?

Les réseaux sociaux permettent clairement de se procurer plus facilement de la drogue, le contact entre dealeur et consommateur est encore plus facile, plus besoin de se risquer dans des quartiers "haut les mains" pour trouver son produit. Maintenant il est même possible de se faire livrer presque légalement des drogues de synthèses directement à son domicile (merci M6). Pour les addictions comportementales, les addictions sexuels peuvent trouver toutes sortes de choses sur internet pour nourrir leur comportement (la première rechercher sur google est bien "sexe"...). Bien sûr internet permet aussi de discuter avec d'autres personnes qui ont pu se sortir d'une addiction, ou qui sont dans la même situation. Et ce soutient peut être bénéfique à l'addict... mais est-ce que la côté facilitateur ne prend pas le dessus sur cet aspect colaboratif de l'internet.

incidences du numérique sur des addictions

BSR,le numérique facilite l'accès ,l'anonymat (?),le nombre,donc amplifie une addiction .Mais aussi le retournement car on fait plus vite le tour de son désir ,donc on se lasse plus vite.

Le numérique, facilitateur ou support d'aide ?

Le numérique est surement un facilitateur de certaines addictions grâce à l'anonymat qu'il permet, à son ouverture sur le monde et sa face cachée (darknet, notamment). Cependant, je ne pense pas que le numérique ait entrainé une "révolution" dans le sens où les addictions existaient avant. Elles n'ont pas attendu. Elles étaient juste moins visibles. Est-ce que le numérique peut être un support pour se dégager de ses addictions ? Oui, surement également. Grâce à la quantité d'informations disponibles, d'une part. Et aussi grâce à l'anonymat, encore une fois. Il est plus facile d'en parler sur un forum derrière un pseudo que directement à sa famille. Ou de rentrer en contact avec d'anciens addicts, qui ont réussi à s'en sortir, sans se faire juger.

Sade s'est bien passé du WEB !

Y-a-t-il eu plus accro au sexe que Sade ? Je n'en suis pas sûr. Le WEB lui aurait-il permis d'aller encore plus loin ? J'en suis encore moins sûr.

Addiction = poison ou antidote ?

Il y a (...) un glissement intéressant du pharmakos humain au terme de pharmakon remède. En grec classique, le pharmakon signifie le poison et son antidote, le mal été son remède, et finalement toute substance capable d'exercer une action très favorable ou très défavorable selon les cas, les circonstances et les doses employées (médecine des semblables et des opposés d'Hippocrate). Le pharmakon est une drogue magique ambiguë dont les hommes ordinaires doivent laisser la manipulation à ceux qui jouissent de connaissances exceptionnelles, voire surnaturelles : prêtres, magiciens, chamans, médecins... Dans la nature on retrouve souvent le poison et son anti-dote , la ronce qui vous griffe les jambes à sang et le plantain plante des caniveaux qui mit sur la plaie la soigne, l'apaise et la cautérise. L'addiction amène : quatre types d’usage : · simple, · à risque (peut provoquer des accidents), · nocif (consommation répétée mais sans dépendance), · avec dépendance (impossible d’arrêter la consommation même en le voulant). Dans tout produit se pose la question de l'usage que j'en fait. Faut-il passer par la panne d'électricité ou le dijoncteur qui saute pour m'arrêter de compulser mon ordi ou smarphone ou bien mon seuil de fatigue me dit qu'il faut que j'appuie sur le bouton d'arrêt ou bien je le compulse en croisant les informations sur une encyclopédie ou une discussion avec un proche ou ami ? Est-ce que je peux comparer mon ou mes addictions : "jeux vidéos, apéritif, petite bière 5 à 6 fois par jour, tabac, 1 cigarette, 15 à 20 cigarette / jour , prise de cocaîne ou chanvre, course à pied de type marathon ou de type balade en forêt ? Est-ce que je suis conscient de l'état nocif que cela peut avoir sur mes organes, mon entourage (dispute, anxiété, agressivité ? Sommes-nous égaux face à l'addiction (sexe, morphologie, endurance, volonté ?) Est-ce que l'addiction créée forcément de l'isolement, une dénaturation du réel ?

Addiction = poison ou antidote ?

Vous évoquez le pharmakon, c'est une notion que Bernard Stiegler (un de nos invités du webinaire de la semaine 5) utilise souvent pour parler du numérique ! A suivre.

Addiction = poison ou antidote ?

Oui, très intéressant et moderne ce concept de pharmakon. Cela me fait penser à la citation de Paracelse "Tout est poison, rien n'est sans poison, seule la dose définit ce qui n'est pas poison".

Humain déterminant

En tant que moyen de communication, le net favorise le bon comme le mauvais. Je crois que ce qui est déterminant est plutôt la relation avec une personne en chair et en os.

L'Outil numérique un facilitateur d'addiction? L'Outil numérique support d'aide d'abandon des addictions comportementales?

L'Outil numérique un facilitateur d'addiction? Cette question est plus que d'actualité chez nous en Afrique avec le phénomène des brooteurs( hackers: des jeunes adolescents abandonnent les salles de classes pour escroquer les honnêtes citoyens a travers l'outil numérique. L'outil numérique contribue considérablement à l'apparition de nouvelles addiction et contribue au développement des anciennes addictions. L'Outil numérique support d'aide d'abandon des addictions comportementales? En quoi est ce que l'outil numérique peut amener un addict à abandonné son addiction? si j'ai bien compris la question. Vu que l'outil numérique facilite la diffusion des infos et la communication, il permet aux organes spécialises de faire leurs travaux auprès des addictions pour leur montrer le bien fondé des choses.

Outil numérique : ange ou démon ?

L’outil numérique n'est-il pas parfois facilitateur de certaines des addictions aux drogues (légales ou non) ou comportementales ? --*Dans la mesure où l'outil numérique est ouvert sur le monde, il me semble certainement facilitateur d'accès aux addictions.*-- A l’inverse, l’outil numérique n'est-il pas parfois un support aidant pour se dégager des addictions ? --*Si l'addiction en question n'est pas soumise à l'utilisation de l'outil numérique, je pense que ce dernier peut tout à fait être un support aidant dans la gestion du comportement addictif*--

Outil numérique : ange ou démon ?

Bonjour, l'outil numérique peut effectivement être utilisé dans certaines thérapies, comme le font entre autres Michael Stora et Serge Tisseron, à la fois comme un support pour la parole ou en tant que médiation. Différents articles ont été écrits à ce sujet et notamment : "Ico, un conte de fée interactif" de Michael Stora ou encore "Rêve et réalité : une clinique du jeu vidéo comme médiation thérapeutique" du même auteur. Marine

Un outil

L'outil numérique est un outil. Tout outil peut être utilisé pour le meilleur ou pour le pire ! L'outil numérique favorise certainement le passage à l'acte impulsif dans certaines addictions (je pense particulièrement au jeu en ligne...) mais il est également un support pour sortir de certaines addictions. Les informations que j'ai trouvé sur internet concernant le difficile syndrome de sevrage que j'ai vécu m'ont aidée à tenir bon. Pouvoir également rencontrer sur des forums d'autres personnes ayant les mêmes difficultés peut être une aide. Tout est donc facilité ! L'addiction, la prise de conscience de l'addiction, le cheminement pour sortir de l'addiction...

Un outil

Le numérique est un outil oui, mais il est aussi un espace de "vie". En fait il est même composé de plusieurs espaces. Je ne crois pas qu'on puisse tellement considérer le numérique comme quelque chose d'unis. Par exemple, le jeu "seconde life" n'a rien à voir avec ce forum, si ce n'est qu'ils se trouvent derrière un écran. Ainsi, certains de ces espaces numériques ne peuvent-ils pas être piégeant en faisant croire aux individus qu'ils se trouvent dans un espace réel? Avec des vrais amis faisant des vraies choses? Ambre

Un outil

Je suis d'accord avec vos deux points de vue, l'outil numérique est bel et bien un outil pour se dégager ou entrer dans certaines addictions. Il faut donc l'utiliser à bon escient et ne pas négliger les discussions "physiques" avec des personnes de notre entourage mais pas forcément. Ce qui est malheureux pour les personnes issues de la génération internet (dont moi-même) est que l'on ne communique presque plus en "vrai". Beaucoup de débats, conversations passent par des réseaux sociaux ou des forums. On peut ainsi avoir les récits de gens ayant vécu la même chose que nous mais à 20 000 km. Ce n'est pas qu'une mauvaise chose mais on devrait plus se concentrer sur les personnes nous entourant avant de fuir dans notre bulle assez autistique qu'est notre cher petit ordi nous attendant le soir au chaud lorsque l'on rentre à la maison. Ophélie JOLY, étudiante en Neurosciences

Support facilitateur

**Pour moi, l'outil numérique est un support facilitateur à partir du moment où l'on ne contrôle plus sa navigation sur internet. Cela reste un support très sensible et à haut risque où chacun doit être en mesure de mesurer les risques que cela peut engendrer en fonction de l'utilisation de l'internaute.**

numérique et addiction

Le numérique peut tenir une place démesurée dans nos vies, mais de là à devenir une addiction c'est que l'usager se serait fait "déborder" par l'outil. C'est une question de mesure et d'enjeux. Toute addiction débute par le fait que le cerveau ressent du bien mais par lasuite, l'addiction est le fait d'avoir "sa dose" pour ne pas être mal. Le numérique est créateur de bien comme de mal. On ne peut pas être manichéen lorsque l'on parle de cet outil. Certaines personnes vont trouver de l'aide par le biais du net, d'autres n'y trouveront que des choses pour "se faire mal".

numérique et addiction

A la différence de la télévision, où, me semble-t-il, il n'y a pas de problématiques concernant l'addiction, le numérique, en tant qu'objet global et philosophique (car il ré-interroge complètement notre rapport aux autres et au monde dans tous les domaines), cristallise toutes les peurs, mais aussi toutes les idéologies. Le numérique, interroge toutes les sciences. C'est dans ce cadre que la psychologie, la psychanalyse, les neurosciences...forcément aussi; notamment par l'entrée "addiction".

numérique et addiction

un article sur l'addiction à la TV -http://www.quebecoislibre.org/020608-4.htm--

Et si l'outil numérique permettait d'avoir une vie complète ?

Bonjour, En ce qui me concerne je trouve beaucoup de réponses à mes questions existentielles sur Internet. De même, j'habite à l'étranger et je suis en contact avec mon environnement familial au quodidien malgré tout... Peut-être cela me sauve-t-il d'autres addictions ????

addiction ?

Le numérique a profondément intégré et modifié nos modes de vie et comportements , nous aurions des difficultés à nous en passer. A quel moment peut on parler d'addiction ?

Quatrième question

Je pense que l'outil informatique n'est ni facilitateur des autres addictions, ni support aidant à s'en dégager. Le numérique est devenu nécessaire pour pour toutes nos activités professionnelles et personnelles. Le numérique est aussi devenu, par ses nouveautés et son abondance non maîtrisable..

Quatrième question

enfin notre époque a besoin du numérique, il est trop tard pour les éviter. nos systèmes de communication est trop numérisés, l' économie en dépendent, trop tard pour faire marche en arrière, addicts ou non il faut faire avec

Outil numérique:ange ou démon?

L'outil numérique est ce que l'on en fait. Son usage peut-être une ressource prodigieuse pour trouver des informations pour par exemple se sortir d'une addiction (informations sur des lieux de soins,forums de personnes souffrant des mêmes addictions...). Mais il peut aussi faciliter une addiction par ces mêmes forums ou autres (par exemple une personnes souffrant de troubles alimentaires peut trouver des forums de pro ana* ou autre); *Pro ana=pro anorexique

Outil numérique:ange ou démon?

tous les outils quel-qu' il soient sont outils dans la mesure ou ils vous rendent services mais à la limites ou restent toujours des outils,

Outil numérique:ange ou démon?

Pour ce qui concerne les forums pro-ana, vous pouvez jeter un oeil à une étude d'Antonio Casilli, qui montre que cela peut à la fois faciliter l'addiction, mais aussi constituer un réseau d'entraite important. Voir par exemple http://www.anamia.fr/conference-anamia-antonio-a-casilli-le-pro-ana-ne-signifie-pas-la-fin-de-lintermediation-medicale/ : *Dans cette intervention, tenue lors de la journée d’étude Comprendre le phénomène pro-ana : corps, réseaux, alimentation qui a eu lieu, dans le cadre du projet ANR ANAMIA, au Petit Auditorium de la BNF (Bibliothèque Nationale de France, Paris) le 14 décembre 2012, Antonio Casilli analyse, en passant par des exemples récentes, les pratiques en ligne et les usages des internautes atteints de TCA. Trop souvent stigmatisés dans la presse comme des « anorexiques radicaux », les auteurs et lecteurs des sites Web ana et mia s’inscrivent en fait dans un « continuum d’usages », où des forum de discussion sur l’alimentation et des blogs personnels côtoient des communautés de patients, des plateformes de jeux vidéos, de portails de conseils de beauté et des médias généralistes. Donc, la sociabilité en ligne des internautes anamia n’est pas détachée des usages « non pathologiques ». Ce qui explique aussi comment les anorexiques et boulimiques soient capable de prendre en compte la présence des sites Web et des professionnels de santé, dans un effort de co-construction de l’intermédiation médicale.*

l'outil numérique, facilitateur d'addiction

L'outil numérique est, je pense, un facilitateur des addictions à des produits puisqu'il va permettre de s'en procurer voire de les découvrir. Les technologies d'information et de communication sont utilisées en permanence. Aussi il est aussi intéressant de se poser la question d'une addiction comportementale facilitée dans ce cadre.

Cadre

L'usage problématique d'Internet et des nouvelles technologies (communément appelé cyberdépendance dans la plupart de la documentation) se traduit donc par une utilisation des technologies ou des moyens de communications offerts par Internet qui engendrent des difficultés chez l'individu: le mode d'utilisation inadapté persistant d'Internet conduit à une souffrance ou une altération du fonctionnement. Le contact avec les adolescents présentant un usage problématique des jeux vidéo ou d’Internet nous révèle que tous ne présentent pas ces caractéristiques. Il semble que dans certaines situations, l'usage problématique d'Internet et des jeux vidéos soit plutôt à comprendre comme un symptôme parmi d’autres dans un contexte de troubles de l’adaptation (une adaptation difficile à un nouveau contexte de vie, par exemple des difficultés d’émancipation du nid familial à l’adolescence ou au début de l’âge adulte), ou en présence d’autres difficultés émotionnelles plus ou moins sévères (anxiété, dépression). Il importe donc d'utiliser une approche systémique en intervention auprès des adolescents représentant un problème d'usage problématique des jeux vidéos et d'Internet.

Cadre

un facilitateur, oui pour le progrès oui , il faut avancer dans notre recherche de la perfection, mais en arrivant sommes nous coupable d'usage abusifs de nos moyens, faut donc créer un autre moyen que le numérique pour pouvoir connaitre tout ce qu' on apprends par internet ce moyen la c' est une chose ou l'on ne pourra jamais addict? mais quoi?

Question 4

L'outil numérique est facilitateur pour les addictions aux drogues étant donné qu'il est tellement facile de se procurer les nouvelles drogues nommés RC. De même pour les addictions comportementales enfin celle en lien avec les jeux de hasard et d'argent via les casinos en ligne. Effectivement il peut être un support pour se dégager ou trouver des aides il suffit de voir que certains CSAPA mettent en place des web conférences pour aider soit le patient soit son entourage.

Question 4

Mais mieux vaut être accro à l'internet qu' alcool, au moins cela nous permet de se dégager de l' autre

Question 4

*L'outil numérique est facilitateur pour les addictions aux drogues étant donné qu'il est tellement facile de se procurer les nouvelles drogues nommés RC. De même pour les addictions comportementales enfin celle en lien avec les jeux de hasard et d'argent via les casinos en ligne.* Oui, tout à fait d'accord avec vous: on peut se procurer de nombreuses drogues facilement par internet. Par contre je ne sais pas ce que signifie RC... Pour les jeux de hasard et d'argent en ligne, il est prouvé scientifiquement que jouer en ligne est plus addictif que jouer au casino. *Effectivement il peut être un support pour se dégager ou trouver des aides il suffit de voir que certains CSAPA mettent en place des web conférences pour aider soit le patient soit son entourage.* Oui, là aussi je suis d'accord avec vous. Il y a aussi des associations d'entraide entre utilisateurs, par exemple pour les troubles du comportement alimentaire (anorexie ou boulimie)ou en matière de toxicomanie les forums des consommateurs qui ont essayé telle ou telle molécule vendue sur internet et qui donnent leur avis (dosage, danger, etc.) Ces associations orientent souvent les personnes en difficulté vers des centres spécialisés. Peut être aussi pour ceux qui ne connaissent pas préciser que CSAPA signifie Centre de Soin d'Accompagnement et de Prévention en Addictologie, ce sont les centres où l'on peut consulter si on est en grande difficulté avec une addiction, il y en a au moins un par département en France et c'est gratuit.

Question 4

"Research Chemicals", ""design drugs mais l'appellation la plus correcte et française est de parler de "NDS" (Nouvelles Drogues de Synthèse), des drogues qui lorsqu'elles sont identifiées sont immédiatement classées stupéfiant. Internet est aussi le vecteur du mode d'emploi, voire de l'apologie de la plus part des produits. Les stups, leurs effets y sont sublimés. Liberté d'expression, censure , que doit on faire sachant que les pays, au delà d'une définition commune (OMS) autour des drogues, ont cela dit une réglementation (voire une culture) différente tant vis à vis des produits que du web. Les CSAPA sont bien présents mais ont ils tous les moyens d'accomplir la très lourde tâche qu'on leur attribue? Au delà des nombreuses politiques de réduction des conduites à risques, des orientations, des aides, combien font le pas de s'y présenter et de se faire aider?? Lutter contre la dépendance, quelle qu'elle soit, c'est d'abord avoir conscience d'un besoin d'aide. Pas si simple, car il est plus facile de penser qu'il n'y a pas de problème ou qu'il est simple de s'en sortir. Vaste sujet...

le numérique pour le meilleur comme pour le pire!

Le numérique est sans doute facilitateur de l’addiction aux écrans (vidéo, jeux, réseaux sociaux,etc.). C’est bien pour cela que les experts comme Serge Tisseron recommande la règle des 3-6-9 incitant les parents à contrôler la durée d’accès aux écrans en fonction de l’âge des enfants. C’est sans aucun doute une question de bon sens : le bien-être réside dans l’équilibre des activités.

le numérique pour le meilleur comme pour le pire!

Mais que signifie au juste la règle « 3-6-9-12 » ? Rappelons la brièvement 1. Pas d’écran avant 3 ans, ou tout au moins les éviter le plus possible Parce que de nombreux travaux montrent que l’enfant de moins de trois ans ne gagne rien à la fréquentation des écrans [1]. 2. Pas de console de jeu portable avant 6 ans Aussitôt que les jeux numériques sont introduits dans la vie de l’enfant, ils accaparent toute son attention, et cela se fait évidemment aux dépens de ses autres activités. En outre, avant que l’enfant ne sache lire, les seuls jeux possibles sont sensori moteurs et basés sur la stéréotypie motrice [2]. 3. Pas d’Internet avant 9 ans, et Internet accompagné jusqu’à l’entrée en collège L’accompagnement des parents sur Internet n’est pas seulement destiné à éviter que l’enfant y soit confronté à des images difficilement supportables. Il doit lui permettre d’intégrer trois règles essentielles : tout ce que l’on y met peut tomber dans le domaine public, tout ce que l’on y met y restera éternellement, et tout ce que l’on y trouve est sujet à caution parce qu’il est impossible de savoir si c’est vrai ou si c’est faux. 4. Internet seul à partir de 12 ans, avec prudence Là encore, un accompagnement des parents est nécessaire. Il faut définir avec l’enfant des règles d’usage, convenir d’horaires prédéfinis de navigation, mettre en place un contrôle parental... 5. Une règle nécessaire, mais pas suffisante Enfin, si la règle « 3-6-9-12 » est nécessaire, elle n’est pas suffisante à elle seule. Cadrer le temps d’écran, et cela à tout âge, est essentiel. Entre 3 et 5 ans notamment, les enfants n’ont rien à gagner à passer plus d’une heure par jour devant un écran. Par ailleurs, ils doivent bénéficier d’une éducation qui leur permette de comprendre les conditions de production des divers médias et leurs modèles économiques. C’est le rôle de l’institution scolaire de les leur donner. Les écrans doivent être encadrés dès l’enfance et l’enfant éduqué aux médias. La règle « 3-6-9-12 » est une pièce majeure de ce dispositif, mais une pièce seulement.

enfonce ou aide ?

l’outil numérique peut être un support aidant pour se dégager des addictions : remplacer une addiction par une autre !

enfonce ou aide ?

le renvoi d'un site vers un autre,la quête qui fixe devant l'écran

facilitateurs

L'outils numérique est partout, même les panneaux publicitaires deviennent numériques. Les livres deviennent numériques. L'école est numérique (ils offrent des ordinateurs aux élèves de 4ème, cours sur ordinateur...). Pour finir, même mon travail est devenu numérique par la "pointeuse" application de mon smartphone. C'est le modernisme mais ça peut vite entraîner des dépendances comportementales, émotionnelles et pourquoi pas tomber dans les drogues (tabacs, alcool et autres drogues). Le point positif est que nous avons une formidable qualité d'adaptation et qu'en seulement une dixaine d'années nous avons parfaitement intégré l'outils numérique à nos vies.C'est une des causes de nos addictions mais aussi une des solutions qui peut nous permettre de sortir de nos addictions.

Numérique et addictions aux drogues

Oui le numérique peut être un facilitateur : vente en ligne, échange sur les forums, liste des stupéfiants... Mais tous ces outils du numérique peut être aussi utilisé à bon escient .

outil numérique facilitateur de certaines addictions?

Pour l'alcool par exemple, l'outil numérique n'est pas forcément facilitateur. La personne a besoin de boire, a besoin du produit et c'est matériellement qu'elle consommera. Si elle souhaite une prise en charge de cette addiction, elle pourra trouver sur internet une aide pour se soigner, des témoignages via des forums qui la guideront dans sa recherche de soins. Tout dépend du type d'addictions

L'outil et ses contenus

Le numérique en tant qu'outil facilite l'accès aux marchés des différentes drogues sans avoir à se déplacer et à s'impliquer physiquement, et sans ressentir une prise de risques aussi élevés que dans la vie réelle ou même une certaine culpabilité. C'est un leurre. L'outil numérique permet une diffusion plus massive de l'information, et des échanges, positifs ou négatifs, avec des personnes concernées ou intéressées par les addictions. L'information et les échanges peuvent contribuer à se dégager d'une addiction mais ne sont pas suffisants car des interactions réelles sont nécessaires, dans le cadre par exemple d'une thérapie, afin de traiter les causes de l'addiction avec un feedback corporel et non corporel en temps réel.

Outil numérique facilitateur d'addiction

L'outil numérique crée de nouveaux types d'addictions (comportementale) du fait de son interactivité, qui pousse à aller "toujours plus loin". Du fait que son contenu peut changer en permanence, il peut pousser à beaucoup plus d'attention.

Outil...ou médium

Le numérique est devenu le socle commun de tant d'activités qu'il est presque logique qu'il occupe un place centrale dans les questions d'addiction. Envisager le numérique sous son aspect 'outil' est trop réducteur, c'est un médium en soi. Un médium a cela de particulier qu'il requalifie nos pratiques, quelles qu'elles soient. Par conséquent, le numérique comme outil peut occuper plusieurs fonctions face à l'addiction, la renforcer comme aider à la déjouer.

Drogue

Bonjour, Et bien sur Internet on peut tout trouver.. Comment faire, cultiver, trouver acheter. En revanche énormément de prévention, de site internet existe pour palier à ça. Je dirais "kif kif".

Internet ; Créateur d'addictions et de solutions ?

Pour ma part je penses quInternet peut developper une vrai addiction sans prise de produit donc comportementale !!! ( jeux vidéos, jeux d'argent, pornographie,....)pouvant détruire des vies dans le pire des cas ! Comme pour toute addiction, la seule solution reste la prise de conscience et l'envie d'en sortir ! Je penses aussi qu'internet reste un outil formidable à condition de savoir l'utiliser, et peut proposer des solutions pour se sortir de certaine situation compliquée et décrocher !!!!

Et les drogues !

Vous ne parlez pas des préoccupations liées aux drogues dans l'analyse de la semaine 1, je crois ?

Et les drogues !

L'addiction avec substance est évoquée dans la semaine 1, ainsi que dans le webinaire, mais le focus est sur les addictions dites comportementales.

fermetures et ouvertures

L'outil numérique n'est pas qu'un outil de consommation mais aussi un outil de diffusion, j'ai entendu lors d'un reportage sur ARTE que sur ytube arrivaient chaque minute 300 heures de vidéo! Pour les apologistes des drogues, des jeux et autres, il semble qu'effectivement cet outil -outre son volume-, s'il le veut, peut-être un facilitateur d'addictions comportementales et/ou autres. Il a été proposé dans les diverses réponses de ce début de MOOC de ne pas perdre à l'esprit, la faiblesse, la souffrance mais aussi la solitude: pour les apologistes/prédicateurs c'est l'idéal, c'est facilitateur! Il n'y a qu'a proposer, orienter guider et finalement "fermer" la personne (la face dans l'écran), c'est la "fermeture" Toutefois, le numérique est également outil merveilleux: c'est la science et la connaissance à portée de mains (même s'il faut faire un tri) mais aussi la communauté civile! Cette communauté civile, peut être d'un grand secours lorsque l'on cherche à se dégager de ses addictions, d'autant qu'elle est anonyme, on peut donc "s'exposer" et recevoir de l'aide, sans ressentir de gène, de mépris, de honte ou autres sentiments qui peuvent parfois laisser les personnes dans l'ombre, en cela le numérique est "ouverture".

à double tranchant

L'outil numerique sert autant en véhiculant des images idées comportement qui vont alimenter des recherche de nouvelles addictions ou produits addictifs et en même temps par tous les forums de témoignage injecte un antidote sauvage

le rôle de l'outil numérique dans l'addiction

Le numérique est un outil d'information et de communication et donc en tant que tel dépend de ce que nous en faisons, il est donc soit vecteur de renforcement d'addiction soit solution.

La notion d' "outil"

Outil = moyen permettant d'arriver à ses fins. L'outil numérique est donc un moyen pour atteindre ses objectifs, qu'ils soient "bons" ou "mauvais", "légaux" ou non, "sains" ou non... C'est également un outil facilitateur : les notions de lieu et de temps n'existent quasiment plus, on est facilement dans l'action. (La règle des 3 unités du théâtre classique qui avait pour objectif de ne pas éparpiller l'attention du spectateur vole en éclats : le temps et le lieu sont anéantis, tandis que l'action peut être démultipliée.)

numérique: facilitateur ou pas

facilitateur de certaines addictions aux drogues ou comportementales avec l'ouverture sur le monde grâce aux réseaux sociaux... support aidant vu la diversité des propositions de traitements ou de témoignages sur le sujet...

Certains savent en jouer...

Je constate que certaines sociétés, dans le numérique, savent jouer avec les addictions, certes légères mais présentes tout de même, je veux parler des apps (notamment des jeux) sur smartphones et tablettes sur le modèle économique dit "Freemium" qui explose en ce moment. Il s'agit d'offrir gratuitement un jeu dans lequel la progression est volontairement bridée, de façon à frustrer le joueur et le pousser à payer pour continuer sa progression ou à inciter ces amis à jouer à leur tour ( on peut nommer Candy Crush, PVZ2 etc). L'explosion de ce modèle économique est pour moi non seulement facilitateur mais aussi incitatif aux addictions.

Certains savent en jouer...

Voilà une réflexion toute indiquée pour la prochaine semaine "Fabriquer l'addiction ?" où on pourra analyser un produit numérique de ce point de vue.

L'objet et l'acteur

Encore une fois, dire que l'outil numérique ait un caractère addictif revient à mettre l'outil à la place de l'acteur. Or l'acteur c'est nous, personne ne nous conduit à avoir des comportements addictifs (mis à part pour les cas manipulatoires). En effet ce qui **nous** faisons de l'outil numérique peut nous conduire à une ou des addictions. Il est donc clair, net et précis que l'outil numérique peut être bénéfique ou non selon l'usage que **nous** lui attribuons.

L’outil numérique n'est-il pas parfois facilitateur de certaines des addictions aux drogues (légales ou non) ou comportementales ?

Je pense que l'outil numérique est un facilitateur de dépendance. Le manque d'exercice de "la volonté" d'agir, de la "volonté" d'aller vers les autres peut entraîner une "atonie de cette volonté" face à l'engagement. Cette "atonie de la volonté" va s'avérer fatal quand on doit renoncer à des plaisirs retirés d'un acte addictif.

cercle vertueux / cercle vicieux

comme tout, le digital, l'internet est à la fois une bonne et une mauvaise chose, tout dépend des mains dans lesquelles il se trouve... ainsi internet/le digital peut être un facteur facilitateur pour sortir d'une addiction : partage d'expérience, rencontre d'autres internautes, accès facilité à l'information... mais il peut aussi être synonyme de mauvaises rencontres, renfermement sur soi même... je pense que tout dépend de l'état d'esprit dans lequel on se trouve... le numérique peut lui même faire naître des addictions (jeux en ligne notamment)

Semaine 1 / Défi

web

un site très bien fait qui aborde les addictions comportementales: http://www.ifac-addictions.fr/les-addictions-comportementales.html

les principales addictions comportementales

1) Le jeu pathologique 2) Les achats et les débits compulsifs 3) Le sport extrême ou intensif 4) Les troubles des comportements alimentaires (ou TCA) 5) La dépendance et la codépendance affective 6) La dépendance et la codépendance sexuelle 7) Le travail pathologique (ou workaholism) 8) La cyberdépendance expliquées ici [http://www.prevenir-ou-guerir.org/addictions/principales_addictions_comportementales.htm][1] ![saisir une description de l’image ici][2] Une belle histoire d'un homme qui a vaincu l'addiction aux jeux vidéos https://www.youtube.com/watch?v=EHmC2D0_Hdg [1]: http://www.prevenir-ou-guerir.org/addictions/principales_addictions_comportementales.htm [2]: http://www.defimedia.info/media/k2/items/cache/6d40cbbdeb0d8284c5d7a8fc19b8dd72_XL.jpg?t=-62169984000

Cigarette ?

Pour moi la cigarette a été une addiction comportementale avant d'être une addiction à la nicotine : - gestuelle (la main et la bouche) - sociale (imitation des parents et phénomène de groupe à l'adolescence) Avec l'alcool les comportements étaient les mêmes mais l'addiction n'est pas apparue. Ce qui fait qu'aujourd'hui j'ai arrêté de fumer mais que je prend plaisir à boire. Y a-t-il des prédispositions ?

addiction précoce?

http://www.franceinter.fr/emission-grand-angle-les-tablettes-ne-sont-pas-nocives-pour-la-sante-cerebrale-des-enfants

L'addiction au jeux d'argents en ligne

À complêter

L'addiction au jeux d'argents en ligne

Bonjour, Je répond à votre invitation de compléter le sujet avec 2 liens : http://archive.francesoir.fr/actualite/sante/addiction-aux-jeux-d-argent-l-analyse-d-un-medecin-139998.html http://www.acte-now.com/index.php?option=com_content&view=article&id=50:addiction-aux-jeux-en-ligne-comment-y-remedier-&catid=36:temoignages&Itemid=53 En espèrant que d'autres trouvent mieux que moi :).

L'addiction au jeux d'argents en ligne

Je rajoute un témoignage, je ne sais pas s'il est véridique (internet) mais ça me semble intéressant. http://www.same-story.com/addictions-dependances/jeux-d-argent/addiction-aux-jeux-on-peut-s-en-sortir-216190

Les addictions sans drogues

Voici un article sur les addictions sans drogues. A vous lire ! http://www.hopital-marmottan.fr/publications/VALLEUR%20-%20VELEA%20-%20addictionssansdrogue,%202002.pdf

En finir avec l'addiction. Par Vaughan Bell

Blog http://nouvelles-psychanalytiques.blogspot.fr/2009/12/en-finir-avec-l-par-vaughan-bell.html

Essai

Voici le lien vers deux articles qui traitent du sujet. J'espère avoir bien saisi la question... http://www.lematin.ma/journal/2014/nouvelles-technologies-_comment-eviter-la-cyberdependance-chez-les-enfants--/210259.html http://www.usherbrooke.ca/medecine/accueil/babillard-interne/babillard-details/article/25308/

Ressources diverses addictions comportementales

Vidéo France Info [Dans le cerveau d'un joueur pathologique][1] A noter : Guillaume Sescousse présentera, en compagnie de Romain Ligneul également neuroscientifique, une conférence intitulée **Dans le cerveau d'un joueur**, mardi 28 janvier à la Cité des sciences et de l'industrie à Paris, à 19h. L'accès est gratuit. [Mieux comprendre les addictions][2] Le site de la **Fédération pour la recherche sur le cerveau** propose son compte rendu 2013 sur le thème des addictions dont une partie sur les addictions comportementales. ( téléchargeable en version pdf) [1]: http://www.franceinfo.fr/emission/info-sciences/2013-2014/dans-le-cerveau-d-un-joueur-pathologique-01-24-2014-12-55 [2]: http://www.frc.asso.fr/Le-cerveau-et-la-recherche/Dossiers-thematiques/addictions/mieux-comprendre-les-addictions

Ressources diverses addictions comportementales

Bonjour natag. intéressante cette expérience (Dans le cerveau d'un joueur pathol.) En écho, voici une citation de Freud (qui remonte à quelques années...) qui va dans le même sens. En 1898, il écrit : « (...)les autres cures d’abstinence, (…) ne réussiront qu’en apparence, tant que le médecin se contentera de retirer au malade son agent narcotique sans se soucier de la source d’où jaillit le besoin impérieux de celui-ci. « Accoutumance » n’est qu’une simple façon de parler sans valeur explicative ; tous ceux qui ont l’occasion de prendre pendant un certain temps de la morphine, du chloral et autres, n’acquièrent pas de ce fait «l’appétence» pour ces choses. -Une investigation plus précise démontre en général que ces narcotiques sont destinés à jouer le rôle de substitut –directement ou par voie détournée – de la jouissance sexuelle manquante,- et là où ne peut plus s’instaurer une vie sexuelle normale, on peut s’attendre avec certitude à la rechute du désintoxiqué ». (Cf. supra, p. 88). Par certains côtés ces citations ont bien sur vieilli, en particulier sur la notion de "vie sexuelle normale", n'empêche, la question demeure: est-ce que la dépendance pathologique ne vient pas tenter de se substituer à une souffrance qui s'originerait dans la sphère psycho-affective? L'expérience relatée dans l'animation laisse penser que oui...

Un film...

http://youtu.be/4FPf7_hKq8g Ceci est le lien vers la Bande Annonce du film "Shame" (la honte) de Steve McQueen qui traite de façon magistrale le problème de l'addiction au sexe. Troublant et impressionnant. L'impossibilité d'accepter de l'aide de la part de ses proches, l'impasse, le cauchemar.

Un film...

Épatant en effet. Masculin / féminin Dans le registre provocateur de Lars Von Trier https://www.youtube.com/watch?v=s9uI13pMSLM Qui propose une réalité dérangeante, sur fond de perversions. Je ne suis pas allée voir ce film car connais bien ce sujet pour avoir été amie avec des personnes qui souffrent (à mon avis encore maintenant) de cette addiction : la bande annonce me suffit.

Addiction sans drogue

Marie est une jeune fille de 15 ans, elle possède un ordinateur dans sa chambre et un smartphone. Elle passe la plupart de son temps libre sur les réseaux sociaux, elle commence à ne plus dormir la nuit pour rester connectée avec ses nombreux "amis" dans le monde entier. Elle commence à ne plus manger et ne plus aller au lycée pour ne plus être séparée de ses connections.

Addiction amoureuse ?

Est-ce que les passions amoureuses, parfois destructrices, peuvent être rangées dans les addictions ? Seulement quand elles ne sont pas partagées ? Je ne parle pas ici des addictions sexuelles, qui semblent mieux documentées. Après tout, on retrouve dans la passion amoureuse certains traits identiques à ceux décrits sur la page Wikipedia Addictions : manque, craving (!), aliénation, désintérêt pour les autres...

Addiction amoureuse ?

Une passion passion amoureuse oui. L'addiction c'est la dépendance régulière. Il existe aussi la dépendance affective. C'est le fait d'avoir un besoin permanent et irrationnel d'une relation affective (avec ou sans sexe) et donc des relations/passions amoureuses régulières sans avoir la capacité de prendre du recul. L'addiction au sentiment amoureux qui est souvent éphémère ...

Addiction amoureuse ?

Bonjour Sylvie, Effectivement, dans le Webinaire, Marc Valleur nous explique que la passion amoureuse a longtemps été considérée comme une addiction parce qu'elle en présente beaucoup de symptômes. Aujourd'hui ce n'est plus tellement le cas. La question qui demeure est pourquoi. Guillaume

Un remède contre la nomophobie: NoPhone

Ici à Abidjan certaines personnes peuvent avoir 2 voire 3 Smartphones sur elles pour leur communication. Souvent certaines ne sont même pas lettrées.La solution que je propose pour ces personnes: [http://www.lebabi.net/actualite-abidjan/nophone-un-faux-smartphone-contre-l-addiction-au-smartphone-32831.html][1] [1]: http://www.lebabi.net/actualite-abidjan/nophone-un-faux-smartphone-contre-l-addiction-au-smartphone-32831.html

Dépendances en cascade

Je pars d'un croisement de dépendance. Enfoncée dans des poudres blanches ou brunes, je passais mon bac tranquillement. L'année suivante, l'équilibriste que j'étais devenue se démantibula. C'est grâce à un entourage familial protecteur et une envie de connaître d'autres personnes que celles qui m'entouraient à l'époque que j'arrêtais tout, pari gagné ! C'est à l'occasion d'une tarte aux fraises que l'on me dit que vomir ne faisait pas grossir. Au lieu d'être libre, je me suis jetée à corps perdu dans l'achat de nourritures pour les manger mais surtout pour les vomir. Je passais d'autres diplômes en me triturant l'intérieur de la gorge pour en expulser ce qui venait d'y pénétrer. Puisse qu'une addiction procure une satisfaction, je ne sais toujours pas quel plaisir sadique m'a agit compulsivement. Mon médecin m'a dit "des troubles alimentaires pour sortir de la drogue, c'est pas cher payer". Mais les effets secondaires, les dégâts collatéraux n'en sont pas moins difficile à supporter quand on les subit. Vomir, même pour se soulager, emplit d'angoisse. L'idée n'étais pas nouvelle pour moi, passer d'une dépendance à une autre, comme un troc, j'en ai connu certains qui pensaient ainsi surfer et éviter les chocs... Je suis blessée, marquée par cette dépendance aux drogues qui, comme un signe infime, me fait reconnaître mes semblables, certains. Je ne sais pas pourquoi ? Pour l'alimentation, il ne se passe rien de ce type. Si l'excès, le détournement, dégoûtent, c'est moins tabou, moins interdit. En tout cas je n'ai aucun signe de reliance avec ces semblables là. La dépendance, c'est la vie à condition d'en sortir ! La liberté est une quête infinie qui passe par des ruptures quelque fois violentes mais qui semblent indispensables. La liberté semble s'opposer à l'idée de dépendance. Pourtant, à contre courant du fleuve hygièniste, je sais que l'humain a besoin de modifier sa conscience pour le plaisir ou la création...

Dépendances en cascade

Bonsoir, Je vous remercie pour ce témoignage honnête et émouvant, qui nous permet de voir les douleurs, les difficultés et les réflexions que l'addiction peut entraîner. J'espère que ce MOOC pourra vous apporter quelques réponses aux interrogations qui vous animent. Cordialement, Guillaume

Dépendances en cascade

Je rejoins Guillaume pour vous remercier également de ce partage, jolie initiative! Stéphanie

Dépendances en cascade

lorsque l'on est addicte on souffre, mais cette souffrance ne peut pas être dévoilée comme cela au grand jour (parfois pour rechercher un peu d'aide) car il y a des addictions que l'on préfère cacher. La conscience ne nous aide pas forcement voire pire car si l'on intellectualise trop sa reflexion sur soi-même on en croit pas nos yeux: on est moche et ca on ne cherche pas trop a le montrer

Dépendances en cascade

Un très beau récit, de quelqu'un qui est à fleur de peau... Merci pour ce témoignage, pourquoi ne passeriez-vous pas à une autre addiction, l'écriture par exemple ? Bien cordialement.

Le jeu + suis-je une acheteuse compulsive ?

--Première partie - Le jeu pathologique selon le DSM.-- L'apparition officielle du jeu pathologique comme entité individualisée dans la littérature à visée médicale et scientifique, remonte seulement à 1980, avec son introduction dans le DSM-III. Selon le DSM-IV (1994), le jeu pathologique est défini comme : pratique inadaptée, persistante et répétée du jeu, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes : 1.Préoccupation par le jeu (par exemple par la remémoration d'expériences de jeu passées ou par la prévision de tentatives prochaines, ou par les moyens de se procurer de l'argent pour jouer). 2.Besoin de jouer avec des sommes d'argent croissantes pour atteindre l'état d'excitation désiré... 3.Efforts répétés mais infructueux pour contrôler, réduire ou arrêter la pratique du jeu. 4.Agitation ou irritabilité lors des tentatives de réduction ou d'arrêt de la pratique du jeu. 5.Joue pour échapper aux difficultés ou pour soulager une humeur dysphorique (par exemple des sentiments d'impuissance, de culpabilité, d'anxiété, de dépression). 6.Après avoir perdu de l'argent au jeu, retourne souvent jouer un autre jour pour recouvrer ses pertes (pour se refaire). 7.Ment à sa famille, à son thérapeute ou à d'autres pour dissimuler l'ampleur réelle de ses habitudes de jeu. 8.Commet des actes illégaux, tels que falsifications, fraudes, vols ou détournement d'argent pour financer la pratique du jeu. 9.Met en danger ou perd une relation affective importante, un emploi ou des possibilités d'étude ou de carrière à cause du jeu. 10.Compte sur les autres pour obtenir de l'argent et se sortir de situations financières désespérées dues au jeu. Ces critères reprennent en grande partie ceux qui ont été proposés pour la définition de la dépendance aux substances psychoactives. ------------------------------------------------------------------------------- --Deuxième partie - Je propose de faire le test de la Compulsive Buying Scale de Faber et 0'Guinn ; histoire de faire un point (le plus objectif possible).- Faber et O'Guinn22 ont décrit les achats compulsifs à l'aide de la Compulsive Buying Scale. Ils estiment que la prévalence des achats compulsifs touche environ 6% de la population générale (référence 2002). *Réponse par oui ou non pour chaque question* 1. Vous arrive-t-il d'être saisi(e) d'une irrésistible envie d'aller dépenser votre argent pour faire un achat quel qu'il soit ? -oui- 2. Vous arrive-t-il d'acheter des objets qui vous paraissent inutiles ensuite ? -oui- 3. Vous est-il arrivé de vous sentir énervé(e), agité(e) ou irritable quand vous n'avez pas réalisé un achat ? --non-- 4. Vous arrive-t-il d'éviter certains magasins de crainte d'acheter trop ? --non-- 5. Proposez-vous à quelqu'un de vous accompagner dans vos courses seulement pour éviter d'acheter trop ? --non-- 6. Avez-vous déjà caché des achats à votre entourage ? -oui- 7. Une irrésistible envie d'acheter peut-elle vous amener à manquer une sortie avec des amis ? --non-- 8. Vous êtes-vous déjà absenté(e) de votre travail pour faire des achats ? --non-- 9. Un ou plusieurs achats ont-ils pu provoquer des reproches de votre entourage ? -oui- 10. Un ou plusieurs achats ont-ils pu provoquer une mésentente prolongée ou une séparation ? --non-- 11. Est-il arrivé qu'un achat soit responsable de difficultés bancaires ? -oui- 12. L'un de vos achats a-t-il été responsable de poursuites judiciaires ? --non-- 13. Avez-vous continué à faire des achats malgré les difficultés (familiales ou financières) qu'ils provoquaient ? -oui- 14. Regrettez-vous régulièrement vos achats ? --non-- 15. Vos achats sont-ils précédés d'une impression de tension et de nervosité ? --non-- 16. La réalisation de vos achats apaise-t-elle la tension ou la nervosité ? --non-- 17. Existe-t-il des périodes d'achats multiples, excessifs, accompagnés d'un sentiment de générosité ? -oui- 18. Vous arrive-t-il d'acheter quelque chose sur un coup de tête, sans l'avoir prévu à l'avance, au moins une fois par mois ? -oui- 19. Les achats coup de tête ou excessifs, s'ils existent, représentent-ils au moins un quart de vos revenus ? --non-- Mathéa CM

Pas compris...

Bonsoir, Je ne comprends pas ce qu'il faut faire ? Raconter sa propre histoire, faire un exposé sur le sujet, une présentation, compiler des témoignage trouvés sur le net ? parler d'un film ? Merci pour votre aide ! Anna

Pas compris...

Je pense qu'il s'agit de mener une rechercher sur des textes et des témoignage sur l'addiction sans drogue et les partager sur le forum.

Pas compris...

Bonjour Anna, Vous pouvez faire ce que vous voulez. Si vous voulez partager votre expérience, vous y êtes invitée, si vous préférez partager vos réflexions, elles seront les bienvenues, ou si vous avez de bons liens vers des textes ou des vidéos que vous voulez nous offrir, c'est très bien aussi. Faites ce que vous vous sentez de faire, ce que vous avez envie de faire. Guillaume

Addiction comportementale

- Portrait de l'addict : La première caractéristique qui apparaît quand on cherche à déterminer si une personne est addict, c’est la souffrance. « Ca fait mal, j’en souffre, je n’en peux plus… » sont des expressions courante chez l’addict comportemental. (voir la suite sur : [http://www.prevenir-ou-guerir.org/addictions/portrait.htm][1] ) Voir aussi les critère de cyberdépendance sur le même site : [saisir une description du lien ici][2] [1]: http://www.prevenir-ou-guerir.org/addictions/portrait.htm [2]: http://www.prevenir-ou-guerir.org/addictions/etes_vous_un_addict_comportemental.htm

Addiction comportementale

ben oui la souffrance ...j'en ai parlé sur la deuxième question je crois, je pense être le seul a avoir dit que oui j'avais des adddictions et je pense avoir terminé mon propos par la souffrance...(mais ce n'est pas le sujet qui nous réuni ici: je parle de mon cas)

Témoignage d'un enfant de 11 ans

VIDEO : [saisir une description du lien ici][1] [1]: http://www.dailymotion.com/video/x18ac7g_permis-internet-le-temoignage-d-un-enfant-de-11-ans-sur-l-addiction-au-web_news

Témoignage d'un enfant de 11 ans

beau témoignage que ce p'tit gars nous donne là...le piège d'être tout le temps connecté mais où finalement on est seul

Internet,jeux vidéos tous accros?

Voici une vidéo sur une façon de soigner l'addiction aux jeux vidéos. http://education.francetv.fr/videos/addiction-aux-jeux-video-une-therapie-originale-v108293 ![][1] ![saisir une description de l’image ici][2] [1]: /media/14209331811036803.jpg [2]: http://cdn.techpp.com/wp-content/uploads/2013/02/internet-addiction1.jpg

addiction aux relations

tous les matins je me connecte sur les réseaux sociaux pour voir qui a partagé avec moi, selon le nombre de connecté je passe une bonne journée ou pas... C'est triste car ces personnes sont des parfaits inconnues pour moi,j'ai le même comportement avec mon horoscope... Cela a une influence sur ma journée

Un hardgamer taiwanais décèdait en 2012 après +40h de jeu video non stop sans boire ni manger !

Un hardgamer taiwanais est décédé en 2012 après + 40h de jeu vidéo non stop sans boire ni manger ! Un jeune homme de 18 ans est décédé à Taiwan après avoir passé 40 heures d’affilé à jouer sur Diablo III. Le défunt taïwanais a enchaîné les heures sans prendre de pause pour s’hydrater, manger, ou dormir. [Voir l'article complet][1] [1]: http://www.journaldugamer.com/2012/07/18/deces-40-heures-diablo-iii/

Un hardgamer taiwanais décèdait en 2012 après +40h de jeu video non stop sans boire ni manger !

On voit bien là que c'est de l'usage non raisonné que résulte la mise en danger...si ce n'est pas une addiction c'est quoi?

Témoignage perso addiction WOW :)

Ancien joueur passionné de WOW (célèbre MMORPG), un jeu de rôle massivement multijoueurs en ligne, je me souviens d'une prise de conscience. Je remonte à il y 6 ans environ, avant la naissance de ma fille. Graphiste indépendant travaillant à l'époque à la maison, j'ai découvert le jeu World Of Warcraft sur les conseils d'amis dits "geek" mais aussi par goût personnel pour les jeux de rôle "de table" qui se déroulent en présentiel et collectivement. J'ai commencé à jouer puis rapidement, jouais quotidiennement. Pour ce rituel, je pouvais faire l'effort de me lever plus tôt pour continuer une partie et me coucher tard pour en finir une autre. Je profitais également de ma pause déjeuner pour avaler quelques plats devant mon écran, jonglant entre mon clavier, ma souris, un joystick "de compétition" et ma 4ème main pour boire et manger :) Au fil des mois, j'ai pu réalisé une légère baisse d'activité professionnelle et j'ai donc profité de cette opportunité pour jouer un peu plus lors de ma pause déjeuner. Jouer non plus 30 mn, ni 1h mais jusqu'à 2h30, reprenant ainsi le travail en milieu d'après-midi. Puis l'heureux événement a eu lieu, ma fille est née. Adieu WOW : je ne pouvais plus tout assurer et ma priorité était évidente. Je n'ai quasiment plus joué ensuite, ni à ce jeu ni à d'autres d'ailleurs. J'ai alors réalisé une fois ma consommation quotidienne de jeux vidéos stoppée, que je me trompais. Je m'étais construit une excuse rationnelle pour justifier la possibilité de jouer plus longtemps dans la journée : j'avais moins de travail. Or, la réalité était toute autre : j'avais moins de travail CAR je jouais plus, voire trop puisque sur la fin, je jouais entre 2h30 et 4h par jour. Sans la naissance de ma petite, je pense que la situation aurait dégénérée et que mon plaisir addictif pour WOW aurait perduré et se serait clairement déployé, grignotant progressivement mes capacités professionnelles et à terme, la viabilité de mon entreprise. Avec le recul, je me souviens clairement du plaisir immense que je prenais, un plaisir inégalé depuis par autre forme de loisir. Puisqu'il fallait trouver une addiction de substitution :) je m'épanouis aujourd'hui dans la promotion et le développement des réseaux sociaux en ligne comme hors ligne ! Facebook, Viadeo, Twitter… n'auraient-il pas un lien de parenté avec les MMORPG :) ? Ces outils créent des liens sociaux, permettent de prolonger en ligne une relation amicale "IRL". La notion de quête des jeux de rôle n'est-elle pas reprise sur Viadeo et LinkedIn par ex ? : trouver un emploi, des clients, des partenaires ? A méditer...

Témoignage perso addiction WOW :)

Peut etre aussi,qui sait ,une forme de couvade;les pères manifestent souvent des comportements ou préoccupations inhabituelles pendant la grossesse de leur compagne JLV

Un film

Bonjour, je souhaiterais citer un film pour ma petite participation : L'Autre Monde C'est un film de 2010, qui est joué certes par des acteurs, mais qui est en même temps numérique. On y sent l'addiction des participants. Film intéressant.

Un film

Merci il a l'air très interessant !

plaisir ou addiction

Une de mes belles soeur est RRH (38 ans), lorsqu'elle rentre chez elle elle passe au moins deux heures sur des jeux (sans compter la fin de soirée), cela chaque soir de la semaine : addicte et épicurienne ? Car à chacun ses gouts (de vie)? Mais l'on reste ici dans une question encore une fois liée au "volume" si elle jouait moins, cela me semble presque normal (pour elle c'est une distraction). Si je parle de mon fils 14 ans, lorsqu'il qu'il agit de la même manière je pense que je peux le qualifier d'addicte !! L'addiction a des effets comportementaux, sur cette exemple ma belle souer se fait plaisir, mon fils aussi mais il subit toutefois la pression de ses parents, de plus comme par hasard il n'a jamais soif voire ni faim (trop occupé à jouer), il modifie donc ses réponses, ses arguments pour rester dans son "mouv" mais aussi pour ne pas se faire banir par "sa" communauté!!! En conséquence, il se "rale" lui-même dessus quand il n'a pas eu le temps de travailler sur une révision scolaire, alors qu'il aime l'école et que de manière générale il est plutôt bon élève ...L'addiction nous mets hors de soi littéralement, on se ments à soi-même ...

comportement addicte

LA BIGOREXIE, OU LA DÉPENDANCE AU SPORT La bigorexie est une conduite addictive liée au sport. Une personne qui en souffre affirme ne plus pouvoir se passer de sport, et se sentir mal si elle est obligée de ne pas pratiquer. En France, plusieurs centaines de milliers de personnes souffrent d'addiction au jeu. Vos témoignages aident à briser le silence des autres joueurs et de leur entourage, à les sortir de l'isolement. Des solutions existent, quelles que soient vos difficultés : "Il y a encore une vie après le jeu", nous a dit Isabelle, après avoir vécu l'enfer.. Mais le record réside sur le nombre de conjoint qui passe ses soirée en tête avec son PC

addiction comportemental traitement

[saisir une description du lien ici][1] [1]: http://www-sante.ujf-grenoble.fr/SANTE/cms/sites/medatice/home/addictologie/docs/20101207213535/Addictions_comportementales_T.BOUGEROL.pdf

fabrique d' enfants dependants

un exemple ce midi lors d'un déjeuner au restaurant. la table à côté de nous , deux couples et un enfant de 6/7 ans. L'enfant jouera tout le repas sur une tablette, ne touchant à peine à ses plats. a la fin du déjeuner l'une des femmes dit à l'autre : "il a été sage !" L'autre répond : "ben ouais , j'ai l'habitude si il n'y a plus de batterie j'ai la Nintendo dans le sac." Encore un exemple d'écrans qui jouent le rôle de baby-sitter et qui interroge le rapport éducatif à nos enfants et notre capacité à les enfermer dans un monde numérique.

fabrique d' enfants dependants

Pour le petit bémol néanmoins, J observe mon jeune sept ans et sans faire usage du numérique il "s 'enferme dans un autre monde" quand il le désire . Il a cette aptitude à s evader dans son univers (les supports sont des personnages , des cartes à jouer ,des petites voitures ) Forcément si il a un jeu numerique en main il le fera avec encore plus de facilité mais s il vous plaît ne jetez pas trop de cailloux aux mamans.....eElles peuvent aussi avoir besoin de discuter avec d autres adultes dans le cours d une journée dédiée à leurs bambins .......

fabrique d' enfants dependants

oui je suis d'accord sur la capacité qu'on nos enfants à pouvoir s'évader dans un monde virtuel sans écrans et cela me rassure que cela soir encore possible. Ce qui me désole c'est d'observer que peu d'adultes de mon entourage adopte une posture éducative qui interroge et régule ce rapport aux écrans. Non seulement il se presse d'équiper de plus en plus jeune leurs bambins(déesses,tablettes , jeux vidéos...)sans se poser la question d'un alternative possible. Mais en plus, ils n'ont de régulation que le discours! Oui du temps pour soi c'est important mais j'observe moins d'adultes qui dédient véritablement du temps à leurs enfants que d'adultes qui sont débordés par leur multiples activités où l'enfant et les l'échange avec lui a peu de place.

fabrique d' enfants dependants

Bonjour, Je trouve cet exemple très intéressant. Je pense qu'il y aurait beaucoup de choses à dire, mais je ne sais pas ce qui m'interroge le plus, les "munitions" numériques de la maman, ou le fait que l'autre femme considère que l'enfant a été sage, alors que s'il avait été adolescent, la réflexion à la fin du repas aurait peut être été plus négative. Guillaume

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Travaillant dans l'Education avec des enfants et adolescents, je veux parler d'une addiction particulière qu'internet peut developper à savoir la consommation de pornographie sur internet ! Ayant mené une enquéte auprès de ce public sur leurs pratiques sur internet, des témoignages sont ressortis et peuvent paraitre inquiétant ! En effet des jeunes nous ont fait part de leur expérience sur le net et si à leur age il est plus que classique et "normal" de consulter des sites porno pour répondre aux questions que l'on se pose, il apparait que la consommation de ce genre de contenu peut devenir une addiction ! Si avec ce public et à leur age il est difficile de parler de pornographie, nous avons réussi à ouvrir le dialogue et même s'il peut y avoir un sentiment de honte, à dire qu'on fréquente ces sites qu'ils visitent souvent seul et sans contrôle, ils ont assez bien réagit Certains nous on fait part des contenus choquant qu'ils ont pu trouver sur le net, des pièges qu'ils ont rencontrer, et il ressort que certains ont une vision fausée de la sexualité. Internet est un piège car certains sont tombés sur des contenus illégaux ( pédo pornographie) !!!! Il est apparement très facile de tomber sur ces contenu sans les rechercher ( liens qui renvoit sur ces contenus ) D'autres sont tombés sur ce qu'on appel des "prédateurs" sur des forums destinés à la base aux jeunes ( forums, tchat, ....) Difficile pour eux de savoir comment réagir, de savoir qui peut se cacher derrière un écran et de comprendre les conséquences que cela peut engendrer !! Nous leur avons expliquer ce qu'il faut faire et comment signaler ces pratiques bien sur, mais nous avons réaliser qu'il exciste un vrai problème avec internet sur ce genre de site et qu'il parait plus qu'important de faire un travail d'éducation auprès des parents comme des jeunes ! Mais pour revenir à une utilisation plus classique, il apparait que des jeunes peuvent tomber dans une addiction en fréquentant des sites X .... que cela répond à leur envie et qu'il n'ont pas toujours conscience que ce qu'ils peuvent voir, n'est pas ce qu'il se passe dans la réalité !!! En bref je voulais juste faire part de ce qui est ressorti de cette " enquete", et montrer qu'en matière de pronographie sur internet il existe une addiction de ce genre de contenu, et qui peut provoquer des dérives et une mauvaise utilisation du net. D'autre part, nous avons pu constater toujours d'après des témoignages que beaucoup de jeunes ( élève de primaire, CM1, CM2), sont déjà tombé sans le rechercher sur ce genre de contenu ...choquant à cet âge non ? C'est dans ce sens qu'il parait important que les parents surveille l'utilisation d'internet chez les plus jeunes !!!! Mais qu'il faut aussi que les campagnes d'information et de prévention et d'éducation à internet fassent parti intégrante du programme d'éducation, tout comme peut l'être le permis piéton .... Il est important de protéger les jeunes de ce genre de pratique et de dérives et en tout cas qu'ils en soient informés pour ne pas tomber dans des pièges et leur proposer des solutions avant qu'il ne soit trop tard !

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonjour à vous, Effectivement, l'addiction à la pornographie est une des addictions recensée par un certain nombre de chercheurs, et certains avancent même qu'elle ne pourrait avoir lieu sans Internet, qui rend tout de même bien plus facile, et anonyme, l'accès à ce genre de contenu. Votre témoignage est tout de même troublant. Des élèves des CM1 et CM2 qui tombent sur ce genre de contenu, d'autant plus par hasard, cela nous invite à agir, notamment comme vous le dîtes en terme de prévention. Cela a de quoi inquiéter, j'imagine, un certain nombre de parents... Guillaume

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Je confirme cette inquiétude en tant que ma maman et mon aîné fêtant ses sept ans la question que je repoussais jusque ici va se poser. Mes enfants comprennent intuitivement très vite comment utiliser les outils. je pense que déjà l accès à internet ne se fera que dans une pièce commune et avec le matériel qui ne sera pas à eux mais à la famille pour faciliter l accompagnement . J ai aussi le sentiment qu il va falloir aborder plus tôt que je ne l aurai souhaiter des questions avec eux sachant qu ils verront via des camarades des images, des sites non adaptés à leur âge. pour éviter l effet banalisation que peuvent avoir ses images. Comment peuvent ils savoir ce qui relève de l acceptable ou non dans les images qu ils capteront sans filtre. Je dois introduire ce filtre en préventif exercice compliqué . c est ce que nous vivons ces jours ci au sujet de la question de la violence . il nous faut vraiment doter nos enfants d un solide cadre éthique pour les aider à se positionner face à des messages reçus que nous ne contrôlons plus.

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Vous mettez bien le doigt sur le problème l'inquiétude vient souvent des parents, chaque génération est passée par là dans le comment informer ses enfants en terme de sexualité, à quel âge, par qui le père, la mère en regardant un film avec eux ou une revue. Le problème de l’acceptable ou non ne se pose pas. C'est le détournement de l'acte sexuel normal qui est pernicieux. Qu'est-ce que la normalité dans ce cadre-là. Les pratiques sexuelles sont nombreuses et variées et votre normalité à vous sera différente de celle de votre voisin. L'affaire de communication pour cadrer les enfants n'est pas si simple que cela. Généralement les familles parlent très peu au quotidien de ce problème de gestion de la sexualité ou de la violence. Interdire, être dirigiste, tout contrôler ou au contraire être permissif n'est pas faciliter la communication. Mettre des filtres parentaux et ils iront ailleurs voir ce qu'ils veulent découvrir. Ce qui est certain si vous les habituez à des documentaires de la 5 ou de ARTE, à écouter de la musique classique de temps en temps, si vous lisez en famille des livres de cuisine ou sur les animaux ou encore si vous lisez la bible il y a des chances que leur cerveau s'habitue au beau, au calme, la sérénité. Si votre mari joue, bricole ou fait le jardin avec vos enfants et les enfants des voisins qu'il s'instaure une communication. Plus on parle d'un problème plus on obtient l'inverse. Mettez en place des stratégies de communication positive familiale et vous verrez que les problèmes de porno et de violence auront disparues comme par enchantement.

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Je souhaitais vous répondre mais J avoue que je comprends mal votre message . je ne parle pas de normes mais d éthique ( donc pas de jugements sur les actes en eux même mais sur la question du cconsentement, de la réflexion du respect de l autre...ce qui n est pas abordé dans les oeuvres pornographiques). Pour ce qui est de l enchantement et de la bible, je passe mon tour :D

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Je me permets de m'insérer dans le débat. Le problème avec la pornographie c'est qu'elle rend les parents eux-même accros. La solution n'est pas uniquement dans les contrôles parentaux mais bien sûr dans le dialogue. Pourtant, les contrôles parentaux sont une sacré aide. Pour qu'ils soient efficaces, ils doivent être doublés d'un compte administrateur. Sur téléphone (smartphone), c'est une autre paire de manche ! Des solutions efficaces sembles être en développement : http://business.lesechos.fr/directions-numeriques/0203985608550-une-nouvelle-arme-contre-le-porno-en-entreprise-105945.php#xtor=CS1-35 Pourtant, la solution est de d'abord résoudre ses propres problèmes de sexualité compulsive. Pour ensuite pouvoir en parler avec ses enfants. Pour ceux que le problème intéresse, j'ai ouvert mon site en avril dernier : http://stopporn.fr Au plaisir de vous lire.

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonjour, Tout d'abord merci pour votre réponse rapide. Le MOOC que vous proposez est vraiment très intéressant pour mieux comprendre l'addiction au numérique et dans mon cas personnel c'est suite à ce dont je vous ai fait part que j'ai décidé de m'y inscrire ! Alors dans le cas des élèves de CM1 ou CM2, dont j'ai connaissance il s'avère que soit c'est en tapant certains mots sur google par exemple qu'ils ont étaient redirigés sans la vouloir vers des contenus porno, et ont vite quittés ou modifiés leur recherche Dans d'autre cas certains de ces jeunes sont en "avance" par rapport aux autres, parce que soit ils ont dans leur entourage des copains ou frères un peu plus vieux qu'eux et avec qui ils parlent de leur activité sur le net ce qui attise leur curiosité et c'est donc par choix qu'ils recherchent ces contenus, même si pour ces enfants cela reste a prioris une minorité heureusement ! Dans le cadre de mes activités professionnelles je suis aussi amener à cotoyer les ados et là c'est différent !!! Eux c'est bien sur par choix qu'ils fréquente des sites porno et c'est le but de leur recherches de voir ces contenus Alors même s'il peut paraitre normal de consulter ces sites, ce que j'ai pu entendre est parfois inquiétant de part la consomation très fréquente de ces sites, certains se disant accro, mais aussi parce qu'ils pensent que ce qu'ils voient c'est comme ça que ca se passe en vrai ! Je suis donc d'accord avec vous il y a un gros travail d'éducation à faire auprès des jeunes sur ce sujet précis mais comment le mettre en place ? Qu'entendez vous par "cela nous invite à agir" ? D'avance merci

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonsoir, Je me permet d'intervenir dans cette discussion, car le sujet que vous soulevez est fort intéressant. Je pense qu'avant tout il faut éduqué les parents. Une solution pour prévenir ce type de comportement, est d'avoir chez soi un poste dédié au web dans la pièce principal où il y a du passage, pas de wifi, pas de forfait internet sur les portables. J'ai plusieurs poste, un seul relié au web, donc il n'y a pas d'isolement, je n'ai pas rencontré ce type de problème. Quand un de mes enfants est sur le web je ne suis pas très loin donc ils peuvent m'appeler si il y a un souci (4 enfants dont 3 ados). La majorité des gens pensent que le web est leur ami, la baby-siter des enfants. Là où je suis la plus sidérée, est le phénomène tablette, elle est joli la tablette, mais il y a le wifi à la maison, donc elle est connectée, c'est un cadeau fare pour les enfants de 8 10 ans qui vont se coucher avec leur tablette et donc sont seul face à la toile. Le téléphone viens un peu plus tard 11 12 ans et c'est le même scénario.

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonsoir, Je trouve intéressant les solutions apportées par Katiat et Cardoso. Elles sont différentes mais peuvent être complémentaires. Mettre un ordinateur connecté dans une pièce de passage, et ne proposer que cet outil pour la connexion est fort simple et très utile pour éviter l'isolement que amener Internet, et même le rendre plus convivial, un outil qui amènerait plus de rassemblement. Ensuite je me demande si c'est applicable pour tout le monde, en particulier les adultes. Car il est ressorti plusieurs fois au cours de ce Mooc que l'utilisation que nous avons d'Internet relève de l'intime. Et par définition, l'intime est ce qu'on choisit de montrer aux autres ou pas. Je pense que je serais gêné si je ne pouvais pas accéder à Internet en privé. Je ne sais pas ce qu'en pensent les autres? Quand je disais cela nous invite à agir, je pensais entre autre à ce que nous décrit Cardoso, tout ce qui concerne la prévention et l'explication qu'on peut donner aux enfants, à propos de la violence ou de la pornographie. On l'a vu récemment, une vidéo de meurtre a été disponible en première page sur Youtube pendant près d'une semaine. C'est d'autant plus important que de nombreuses études montrent que l'exposition à la violence, notamment dans les jeux videos, mais aussi les films ou vidéos, désensibilisent le cerveau à la violence, ce que vous appelez la banalisation. Si on prend cela en compte, l'explication semble etre un premier pas indispensable, qui en appelle un autre, prendre des mesures préventives, comme celle que nous propose katiat. Expliquer aux élèves, ou aux enfants, que ce qu'ils regardent a une influence mesurable (et selon le contenu négative) sur leur cerveau me semble un bon morceau de solution. Qu'en pensez-vous? Le point que vous soulevez Katiat, sur le fait que les outils numériques deviennent la baby sitter des enfants est intéressant. D'abord ça me fait penser qu'on dit souvent qu'il est le doudou des parents, qui le transfèrent donc à leurs enfants. Mais plus globalement, je trouve que cela nous amène à réfléchir sur l'organisation de la société, dans laquelle nous créons des objets qui servent à maintenir une situation où le temps dont disposent les parents pour s'occuper de leurs enfants est mince du fait de leur activité professionnelle. Qu'en pensez-vous?

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonjour Je vous propose un lien vers une émission de Rfi qui m'a paru intéressante: "Jeune, sexe, et vidéo" concernant l'impact sur la santé et les risques d'addiction pour les jeunes et aussi les enfants http://rfi.my/1zGxbaH Quand internet est arrivé à la maison mes enfants étaient ados et l'ordinateur connecté a été placé dans le salon. J'ai dû les accompagner surtout en ce qui concerne l'échange avec des inconnus sur des forums: la question de la sécurité, définir les limites verbales, la responsabilité personnelle, la gestion des provocations, etc... La question de l'intimité s'est posée plutôt après le lycée mais à ce moment là ce n'était plus un problème d'être connecté dans la chambre ou ailleurs. C'était il y a quelques années déjà... Je crois qu'il est très difficile de prévenir la violence des images sur internet dans le sens où l'on ne peut pas toujours prévoir à l'avance ce qu'il y a réellement dans certaines pages, articles, blogs ou vidéos. On sait que ces images peuvent provoquer des traumatismes dans le cerveau des personnes et que l'impact est plus grave en ce qui concerne les enfants. Je pense qu'une campagne de prévention pour expliquer à l'ensemble de la population, enfants et adultes, l'impact que peuvent avoir les images de violence sur le cerveau serait une solution. Pour ce qui est du babby sitter, je pense que la tablette n'est qu'un baby sitter de plus après la télé. Depuis longtemps déjà les enseignants alertent sur le fait que de nombreux enfants très jeunes (GS,CP) ont la télé dans leur chambre, et quand ils partagent la chambre avec un-e grand-e soeur ou frère, ils arrivent parfois très fatigués le matin à l'école... Je pense que non seulement il faudrait revoir l'organisation de la société en se centrant sur les besoins des enfants et donc des parents (et non l'inverse) mais il faudrait aussi enseigner aux jeunes parents ce que sont les besoins fondamentaux d'un enfant pour se construire.

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Merci à vous tous pour vos réponses et avis sur ce sujet qu'est la pornographie sur le net et ses dérives, et qui peut devenir une addiction chez nos jeunes en particulier. Le fait de pouvoir trouver des images ou vidéeos avec des contenus violent est aussi un problème qui se pose et en particulier sur la façcon de filtrer ces contenus !! Alors toutes les idées sont bonnes je penses et chacun peut avoir ses solutions, je ne penses pas qu'il y en est UNE qui soit la meilleur ou celle qui marchera à chaque fois. Je suis certain que l'éducation de chaque parents reste indispensable ainsi que porter de l'interet à nos enfants et surveiller leur activités sur le net en les prévenant de certains dangers, et qu'il faut en parler s'il tombe sur des contenus choquant pour eux, sans honte. Je cropis donc que la communication reste la meilleur prévention sans rentrer dans l'intime en fonction de l'âge des enfants. On ne peut pas toujours être derière eux et que ce soit sur le net où dans la rueon ne peut pas les protéger de tout, mais il nous appartient de leur donner toute les chances de ne pas tomber dans des pièges C'est pourquoi je penses qu' au niveau des écoles, collèges, lycées, il serait interessant de developper avec l'aide descollectivités des missions de prévention d'information, d'instaurer des temps de parole, d'échange d'idée et d'expérience. Je penses que pour les primaires et dans le temps des activité périscolaire, il serait bien qu'un moment soit accorder à cela, à l'aide de support (plaquette, fichier informatique, reportage, ....)et mettre un place un permis à la navigation sur internet qui serait remise aux parents également Ces supports, ces moments pourraient être mis en place aussi au collège et lycée, en les adaptant aux tranches d'âges concernées bien sur !!! Pour ça il faudrait l'aide des mairies, pour mettre ces supports et ces moments dans les écoles et inviter des intervenants présenter et débattre de ces sujets C'est donc le projet que j'ai et qui me tient à coeur, pour éviter que d'autre tombe dans ces addictions ou rencontre des problème, alors si vous avez des idées ou envie de vous investir, des connaissances ou des contacts pour que ce projets voit le jour merci d'en faire part Cordialement

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

C'est un beau projet et l'appel est lancé. Guillaume

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonjour, je pense aussi que la communication est essentielle dans ce genre de situations. Mettre des limites (un ordinateur visible, comme certains l'ont proposé) peut être utile mais rien ne vaut le dialogue. Concernant la mise en place de projets de prévention, tout dépend de votre département, il existe généralement différents types de structures sur lesquelles vous pouvez vous appuyez et notamment l'IREPS (’Instance Régionale d’Education et de Promotion de la Santé), l'Ecole des Parents ou d'autres associations locales. Marine

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Ici par exemple il existe une association qui propose d accompagner les structures d éducation dans l usage du numérique unela prévention des risques. http://maison-tic.org/?page_id=341

Addiction à Internet: Pornographie Dérive et danger

Bonjour, Je vous conseille un film qui s'appelle Don Jon, il parle d'addiction au porno et montre toute la complexité de la relation au sexe et à ce type de dépendance la BO : https://www.youtube.com/watch?v=VPMC7w3cCPs Sans être voyeuriste ni pornographique, il pourrait être une base de discussion sur ce thème sensible.

Un dernier article nous venant du WSJ

Le WSJ a récemment publié un article au sujet de la Chine. En effet, les chinois sont de plus en plus nombreux à décrier les réseaux sociaux et à les quitter vis-à-vis des externalités négatives qu'ont leur caractère addictif sur leurs rapports à la société: http://blogs.wsj.com/digits/2015/02/05/china-growing-less-enamored-of-social-media-study-finds/?mod=e2tw

Un dernier article nous venant du WSJ

Je ne lis parfaitement l anglais mais pour les chinois le souci des réseaux sociaux ne vient il pas aussi de la censure ? Les contenus n y sont pas libres me semble t il et du coup leur intérêt est moindre ?

addiction à facebook

http://www.takethislollipop.com/ ça fait peur..

Semaine 1 / Lancement de la discussion

addiction

Quand peut-on peut on parler d'addiction? le 1er gestes au réveil, allumer le pc, consulter ses mails plusieurs fois par jour, veuillez à toujours avoir son téléphone protable a portée de mains , je ne fume pas mais je me sent aussi dépendante qu'un fumeur au tabac. L'addiction finalemment n'est-ce pas quand soi-même on prend conscience que c'est trop..on a envie d'arréter mais on se rend compte que c'est difficile (semble voir même imposible)?

addiction

Je crois qu'on ne peut pas parler d'addiction quand on fait allusion à des habitudes. Se laver, se peigner, s'habiller ne sont pas des cas d'addiction sauf que cela devient un problème pour la santé physique ou psychique ...

addiction

effectivement Viviana. Parce que tout un chacun à des habitudes. Par exemple un musulman chaque matin au réveil doit faire sa prière de matin et ensuite faire d'autres chose. Moi je dirai de l'addiction: une situation non obligatoire(une chose non obligatoire) mais dont on ne plus s'en passer.

L'absence plutôt que l'abondance

Un certain nombre de commentaires semblent converger vers un lien ressenti entre addiction et consommation exagérée. Cette approche entraîne la seconde question : À partir de quelle quantité, fréquence, une consommation (au sens large) d'un produit 'psychotrope licite ou non, chocolat...) ou d'une situation (jeu, sexe, consultation de mails...) est-elle considérée comme une addiction ? Il pourrait être intéressant de prendre la question par l'autre bout, celui du manque. En d'autres termes, comment l'absence de la "chose" "addictive" modifie t'elle mon comportement, mes valeurs, comment puis-je m’accommoder du manque de la situation addictive, suis-je encore stable dans le contrôle de ma volonté, puis-je orienter mon comportement de manière socialement admise, ne vais-je pas faire passer au second plan ma santé, le bien-être de mes proches, mon équilibre financier ... ? Si l'on considère l'autonomie comme la capacité à se gouverner selon ses propres lois de façon harmonieuse avec le corps social environnant, l'addiction ne se manifesterait-elle pas d'abord comme un affaiblissement voire une abolition de l'autonomie ?

Responsabilité

La notion d'addiction n'est-elle pas souvent utilisée pour "libérer" le sujet de sa responsabilité ?

Responsabilité

Bonsoir, Votre question est intéressante car elle nous amène à nous demander si l'addiction est une maladie ou non. Car si elle est une maladie, il est difficile de reprocher à quelqu'un d'être malade, d'autant que très souvent, quand on a par exemple la grippe, on aimerait mieux ne pas l'avoir, et il en va parfois de même pour les personnes souffrant de dépendance. Mais si l'on pense que derrière la notion d'addiction il n'y a pas de maladie, effectivement, la responsabilité des individus est davantage mise en jeu. Vous avez peut-être des exemples où cette notion aurait été utilisée pour libérer quelqu'un de sa responsabilité? Cordialement, Guillaume

traitement

ma question est comment soigne t on une personne "cyberaddict" ou dépendante au numérique( jeux vidéos, internet etc...)? existe des formations et des thérapeutiques en france?

traitement

Bonjour, Je vous transmets la réponse de Jean-Luc Vénisse: Comme cela a été précisé lors du 1er webinaire,il faut distinguer les cas dans lesquels le numérique n'est qu'un médiateur facilitateur d'une addiction qui existe en dehors de lui (jeux de hasard et d'argent,achats pathologiques et addiction sexuelle) des cas dans lesquels un outil numérique pourrait etre lui meme objet d'addiction ( c'est discuté essentiellement pour certains jeux video) les demandes de soin sont en augmentation indiscutable dans le premier cas ; pour le deuxième cela reste peu important bien que présent les prises en charges s'inspirent toujours des fondamentaux en addictologie ,quelque soit l'objet d'addiction: travail motivationnel et recherche d'alliance initiale,définition d'objectifs contractuels,de réduction ou d'arret de la conduite,travail cognitivo comportemental sur les boucles d'auto entretien de la conduite ,plus ou moins complété par des approches psychanalytiques autour du sens possible de la conduite en lien avec l'histoire individuelle et familiale et des thérapies familiales_;le traitement des comorbidités ,notamment anxio dépréssives peut justifier la prescription d'un Tt pharmacologique les pistes de recherche sont nombreuses actuellement en addictologie ,aussi bien au niveau biologique et pharmacologique qu'en matière de psychothérapies et d'outils de prévention-"JLV Cordialement, Stéphanie

L'exemple d'Internet

Internet en vacances, je m'en passe très bien quand je ne l'ai pas sous la main. En revanche, quand j'y ai accès, j'ai beaucoup de mal à ne pas y surfer... Donc en ça, c'est peut être plus un usage abusif mais qui je crois peut être aussi isolant qu'une addiction.

L'exemple d'Internet

Je partage la même expérience concernant les vacances. A contrario, je ne partage pas l'analyse du psy qui réfute le terme d'addiction pour privilégier le mot abus, il s'agit bien en ce qui me concerne d'une addiction.

L'exemple d'Internet

Pour ma part, lorsque je suis en vacances, avoir internet ou non ne change rien. Ne pas l'avoir aide peut être à se reposer plus, se couper du monde comme on dit. Je pense que l'usage abusif et l'addiction sont deux choses bien différentes. Les motivations ne sont pas les mêmes. Est ce qu'on va aller sur internet car on ressent une envie incontrôlable d'y aller ou est ce pour la recherche d'une sensation que l'on a seulement lorsqu'on est sur la toile... Ce pourquoi on va surfer sur le net, la durée et ce que l'on ressent avant, pendant et après font la différence entre l'usage abusif et l'addiction je pense...

Plaisir ?

En regardant le nuage de mots et le micro-trottoir, je vois apparaître la notion de plaisir. Dans l'idée que je m'en fais, l'addiction se met en place petit à petit, à partir de quelque chose qui nous remplit de satisfaction, qu'on finit par consommer abondamment parce que ça fait du bien. Finalement, on franchit le pas de l'addiction lorsque le plaisir n'est plus forcément nécessaire à la consommation addictive. C'est autre chose qui motive. Peut-être l'espoir de prendre du plaisir, mais pas nécessairement le plaisir lui-même.

Plaisir ?

Votre analyse me remémore une définition de l'alcoolisme : boire sans plaisir. Sans jamais avoir été alcoolique, j'ai pu à une période plus difficile de ma vie boire plus que d'accoutumé. Je recherchai ainsi a m'évader des soucis, n'était ce pas un sentiment proche du plaisir. Pour jouer à des jeux en ligne, je considère que le qualificatif addictif s'applique pleinement à ceux ci : difficulté voire impossibilité de s'en détacher bien que j'ai pleinement conscience des perturbations qu'ils génèrent. En m’analysant, je ne crois pas que la notion de plaisir disparaisse complètement malgré l'addiction.

Plaisir ?

Oui, je le pense aussi on consomme souvent pour se faire plaisir mais lorsqu'il n'y a plus de plaisir dans une consommation qui continue on peut parler d'addiction. Mais dans ce cas si il y a consommation a outrance avec plaisir ainsi l'addiction est dénoncée par les autres mais peut-être pas vue comme telle par celui qui prend du plaisir.

Liens de dépendance

Bonjour à tous, J'enchéris en ajoutant la notion d'autonomie - qui rejoint les propos de Mildouze - entraînant la capacité à gérer ses liens de dépendance dans une situation et un contexte donnés. Cordialement Mathéa

Défi

Je ne comprends pas qu'à l'heure actuelle on parle encore d'addiction aux jeux vidéo... suffit de lire les différents rapports ou communiqués des académies de médecine ou de sciences pour dire qu'il vaut mieux parler de pratique excessive plus que d'addiction, de plus depuis des années tous ceux qui ont voulus démontrer une quelconque addiction aux jeux vidéo n'y sont pas parvenus, au bout d'un moment ça suffit faut arrêter et reconnaître qu'il n'y en a pas... Sauf si on veut continuer à percevoir des sous pour pouvoir ouvrir des consultations alors qu'il n'y a pas lieu d'être...je me pose la question parfois de savoir si certaines de ses structures ne sont pas malhonnêtes intellectuellement parlant...

Défi

Comme je travaille dans le domaine depuis un certain temps je peux vous dire que vous mettez les pieds dans le plat d'un débat qui oppose fortement des spécialistes sur la question et je pense en plus qu'ils sont tous sincères. Le rapport de l'académie de médecine, par exemple, effectivement prenait beaucoup de recul par rapport à la notion d'addiction aux jeux numériques mais il a provoqué beaucoup de réactions allant en sens inverse... Je ne crois pas que la question des sous soit le facteur qui amène certains à affirmer qu'il existe des addictions aux jeux numériques. Ce que je peux dire en tant que professionnel qui reçoit des personnes en addictologie, c'est qu'il y a bien des gens qui viennent soit parce que leur enfant joue beaucoup trop à leur avis et que du coup "ça craint à la maison", soit des gens qui viennent d'eux même parce qu'ils ne contrôlent plus leur consommation de jeu et qu'ils en souffrent, cela c'est clair pour moi: ça existe puisque j'en reçois! Maintenant faut-il parler d'addiction ou pas pour ces personnes: Est-ce si important de se prendre la tête là dessus? Elles en souffrent, on en parle et voilà! Et c'est à mon avis une petite minorité des joueurs qui en général vont bien. Mais je crains que cela ne suffise pas à clore le débat tant il est passionné!

Semaine 1 / Webinaire

Question

L'addiction se développe t'elle toujours sur un terrain particulier ? Faut-il avoir un manque à combler ou des faits à oublier pour devenir addict ? Ou c'est juste "pas de chance" ? N'est-ce pas paradoxal d'utiliser le support des MOOC pour parler des addictions numériques ? Je crois que je deviens accroc aux MOOC !

Question

C'est noté aussi! Nous allons prévoir une suite pour satisfaire les addict alors... ;)

Question

Votre question est d'autant plus pertinente que vous n'êtes pas la première personne à souligner qu'il y a un paradoxe à utiliser un support numérique pour parler d'addiction au numérique...

Question webinaire

A partir de combien d'heures d'utilisation par jour d'un téléphone portable et/ou ordinateur peut-on considérer qu'il y a une addiction?

Question webinaire

C'est noté. didier

je m'interroge

l'addiction n 'est elle pas intimement liée à la vie? SI non peut on l'éviter?

je m'interroge

C'est vrai je trouve. Si on est là devant notre ordi. à se poser des questions sur l'addiction, c'est bien qu'on y est accro. à la vie ! Complexe mais pas mal.

je m'interroge

J'ai tendance à penser qu'un besoin vital ne peut être une addiction. Et je pense que nos invités vont répondre d'eux-mêmes à cette question (sinon je la garde en réserve).

bonjour

Y a t il une version texte du Webinaire qui serait disponible ?

bonjour

Bonjour, ce n'est pas prévu de la part des organisateurs. Mais si plusieurs participants veulent s'associer pour proposer une transcription, ça sera très apprécié par tous ! En se répartissant le travail sur un outil collaboratif (exemple titanpad.org ou google doc), ça ne doit pas demander trop d'efforts à chacun ! Si cela vous va, le mieux doit être de changer le titre de votre message pour qu'il soit plus explicite, tout en appelant aux bonnes volontés et en organisant le travail.

bonjour

Merci, Je n oserai pas en faire la demande ça me semble très fastidieux "manuellement" , il me semble qu un logiciel maîtrisé pourrait permettre à un habitué de réaliser ce travail.

bonjour

Nous envisageons de faire une première passe avec un logiciel, puis de mettre à disposition le texte à corriger dans un document partagé. A suivre.

bonjour

Merci à vous. Le numerique est aussi un formidable outil d accessibilité au savoir pour tous ! Je participerai volontiers à la correction collaborative (même si je suis surtout douée pour la coquille )

Impossible de visionner le bonus du web inter 1

Bonsoir, D'autres personnes rencontrent-elles le même problème que moi ? Merci d'avance. Bonne soirée, Emilie

Impossible de visionner le bonus du web inter 1

Bonsoir. Pourriez-vous êtes plus précise sur le problème ?

question webinaire

En quoi les supports numériques ont-ils pu développer ou révolutionner l'approche de la toxicomanie au centre Marmottan ? ...souvenirs de jeunesse: je remets à ma mémoire ce livre de Claude Olievenstein "il n'y a pas de drogués heureux", le Dr C.Olievenstein est je crois à l'initiative de la création du centre Marmottant, après avoir vécu avec les drogués, il a pu et surtout su "s'en occuper"...ce livre (cet auteur), mais aussi "Moi Christiane F. 13 ans droguée, prostituée..." m'ont bien fait comprendre les méfaits de la drogue (+ dure) et je n'y ai jamais mis le nez, j'avais 13/14 ans j'en ai 48... Mais tout cela c'était avant le numérique: d'où ma question !!!

question webinaire

je ne crois pas que les outils numériques aient révolutionné l'approche de la toxicomanie,à Marmottan comme ailleurs ,mais ils contribuent à une offre de produits sans cesse renouvellés, et disponibles en ligne (produits de synthèse à raison d'un nouveau par semaine en Europe);pour plus de précisions chercher TREND sur le site de l'OFDT; jlv

Question aux spécialistes

Bonjour, voici quelques questions que j'aimerais poser aux spécialistes: -Quels types de thérapies, de prise en charge sont proposées aux personnes addictes à internet? -Est-ce qu'il y a une augmentation de ce type d’addiction? -Quelles sont les nouvelles pistes de recherches en 2015 dans le domaine des addictions?

Question aux spécialistes

Bonjour, Je vous transmets la réponse de Jean-Luc Vénisse: "Comme cela a été précisé lors du 1er webinaire,il faut distinguer les cas dans lesquels le numérique n'est qu'un médiateur facilitateur d'une addiction qui existe en dehors de lui (jeux de hasard et d'argent,achats pathologiques et addiction sexuelle) des cas dans lesquels un outil numérique pourrait etre lui meme objet d'addiction ( c'est discuté essentiellement pour certains jeux video) les demandes de soin sont en augmentation indiscutable dans le premier cas ; pour le deuxième cela reste peu important bien que présent les prises en charges s'inspirent toujours des fondamentaux en addictologie ,quelque soit l'objet d'addiction: travail motivationnel et recherche d'alliance initiale,définition d'objectifs contractuels,de réduction ou d'arret de la conduite,travail cognitivo comportemental sur les boucles d'auto entretien de la conduite ,plus ou moins complété par des approches psychanalytiques autour du sens possible de la conduite en lien avec l'histoire individuelle et familiale et des thérapies familiales_;le traitement des comorbidités ,notamment anxio dépréssives peut justifier la prescription d'un Tt pharmacologique les pistes de recherche sont nombreuses actuellement en addictologie ,aussi bien au niveau biologique et pharmacologique qu'en matière de psychothérapies et d'outils de prévention-" JLV Cordialement, Stéphanie

études

Avec une utilisation quotidienne d'internet au sein des foyers, les addictions ont-elles augmentées ou diminuées?

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la question est trop complexe pour trouver une répone sur un mode binaire et global ,mais des éléments de réponse ont deja été apportés au fil des premiers webinaires jlv